7 objets les plus sales que la cuvette des toilettes,
Un objet plus sale que la cuvette des toilettes ? Vraiment ? La cuvette des toilettes est pour beaucoup de personnes, l’endroit le plus repoussant et le moins hygiénique d’une maison. Pourtant, des objets d’usage quotidien sont des foyers de bactéries bien plus virulents. Voici 7 exemples. L’éponge de cuisine. L’éponge de cuisine, avec sa frimousse innocente, est un vrai nid à bactéries. Rien d’étonnant à cela, elle est en contact avec toutes les saletés de la cuisine, puisqu’elle les nettoie. On estime généralement qu’elle compte dix millions de bactéries par pouce carré. Il faut donc songer à désinfecter et nettoyer votre éponge régulièrement. Les sacs à main. C’est un accessoire féminin courant, et un autre repaire de bactéries bien connu. En effet, il récupère des germes à chaque fois qu’il est posé, dans des endroits pas forcément réputés pour leur propreté (métro, sol de toilettes publiques ou de terrasse…). Pour se prémunir contre toute infection, mieux vaut suspendre le sac à un accroche-sac, loin de la cuisine, du bureau de travail ou du lit. Les brosses à dents. On dit souvent que la brosse à dents est l’objet le plus personnel que l’on puisse posséder. En effet, mieux vaut éviter de prêter sa brosse à dents, foyer privilégié des staphylocoques, herpès et autres virus de lagrippe… S’il est indispensable de rincer la brosse après chaque usage, le rinçage n’autorise pas pour autant le prêt, même à un membre de la famille. Il faut de plus la préserver de l’humidité autant que possible (l’eau favorise le développement micro-bactérien) et la changer régulièrement. On peut aussi nettoyer sa brosse à dents avec du bicarbonate de soude. Petite astuce : Mettez votre brosse à dents au lave-vaisselle pour éliminer les bactéries présentes. Les téléphones portables. Les téléphones sont les rois incontestés de la contamination bactériologique, puisqu’une étude scientifique menée à l’Université de Manchester estime qu’un écran de téléphone portable contient… 500 fois plus de bactéries qu’une cuvette de toilettes ! Gare à la salmonelle, ouaux staphylocoques dorés. Un portable DOIT se nettoyer au moins une fois par semaine. Les oreillers. Vous dormez dessus et pourtant, l’endroit où vous appuyez vos têtes assoupies est le refuge favori de tous types d’acariens et de champignons, qui se délectent de sa moiteur. Ces habitants indésirables passent ensuite dans le système respiratoire (le nez n’est jamais loin de l’oreiller…) et peuvent vraiment gêner les personnes souffrant d’asthme, de sinusite ou de toute autre complication respiratoire. Les oreillers doivent être lavés fréquemment dans l’eau chaude pour éliminertous les intrus. La télécommande Elle est prise en main par tout le monde à la maison… y compris les membres de la famille malades ou aux mains sales, et constitue donc un puissant pourvoyeur de bactéries. Comme pour un écran de téléphone portable, nettoyez la télécommande une fois par semaine. De plus, lorsque vous voyagez, pensez à désinfecter la télécommande si vous voulez l’utiliser. Vous ne savez pas qui est passé avant vous… Le clavier d’ordinateur. Vous l’utilisez même lorsque vous êtes souffrant, et les bactéries ne se font pas prier pour s’y développer, nourries par les restes de nourriture que vous pouvez consommer en utilisant votre ordinateur. Nettoyez votre clavier entièrement et régulièrement, et surtout ne mangez pas au-dessus.
Des bergers nomades seraient à l’origine de la célèbre route de la soie La célèbre route de la soie, premier réseau commercial entre la Chine et l’Europe, a été dessinée il y a 4.000 ans par d’humbles bergers, selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature. De l’or, des pierres précieuses, de la soie ou encore du thé: les caravanes de la route de la soie ont transporté, à partir du IIe siècle avant notre ère, de nombreux produits rares le long d’un complexe réseau de sentiers, qui serpentaient de la Chine à la Méditerranée orientale, empruntant notamment d’ardus terrains montagneux. Des chemins tracés il y a 4.000 ansSelon Michael Frachetti du département d’Anthropologie de l’université de Washington aux Etats-Unis et ses collègues, la route suit d’anciens chemins tracés il y a 4.000 ans par les bergers nomades en quête de pâturages verts pour leurs troupeaux. Pour arriver àces conclusions, pas de fouilles à la truelle ou aux pinceaux mais l’utilisation de données satellitaires et de systèmes de modélisation numérique. AFP PHOTO / BEHROUZ MEHRI
Des endroits où il faisait bon de brouterPartant du fait, qu’en 4.000 ans, les reliefs des hautes montagnes de l’Asie centrale ont finalement peu changé, Michael Frachetti et ses collègues ont répertorié les lieux où il devait faire bon brouter, en haute montagne pour l’été et à des altitudes plus clémentes pour l’hiver. Les chercheurs ont ensuite passé ces données au prisme d’un système d’information géographique (SIG), qui analyse les données spatiales et géographiques, et modélisé 500 ans de déplacements de bétails, étudiant les mouvements des animaux comme ils auraient travaillé sur les écoulements de cours d’eau. La Chine est l'unique productrice de soie jusqu'au 5e siècle (elle est la seule à connaître le processus de fabrication). La soie est un produit de luxe en demande. Elle peut même servir de monnaie. D'ailleurs, l'État l'a déjà utilisée pour payer ses fonctionnaires.
La route de la soie Les échanges qui proviennent de la route de la soie ne sont pas que matériels. La route de la soie permet la transmission de nouvelles connaissances et d'éléments culturels entre les peuples. Le bouddhisme se répand le long de la route de la soie pendant plusieurs siècles. De nouvelles techniques sont transmises : des peuples d'Asie découvrent la fabrication du papier et apprennent à couler le fer grâce aux Chinois. La route de la soie a même permis la création d'un des plus grands empires de tous les temps : l'Empire mongol. Avec Mondo Terra sur les traces de la Route de la Soie
Dans la cour d’un immeuble d’habitation de la rue du Borrégo, dans le XXe arrondissement, se cache un petit auvent abritant une porte de cellule et une grille provenant de l’ancienne prison de la Grande Roquette qui servait de “Dépôt des Condamnés”. Comment cette porte, unique vestige de l’immense prison de la rue de la Roquette, s’est-elle retrouvée là, à trois kilomètres de son lieu d’origine ? LES OTAGES DE LA COMMUNE DE PARIS. L’histoire de cette porte est directement liée à celle de l’Église Notre-Dame-des-Otages, située quelques mètres plus loin, et à celle de la Commune de Paris. Le 26 mai 1871, pendant la Semaine Sanglante, une soixantaine de fédérés se rend à la prison de la Grande Roquette où sont détenus près de 200 “otages du peuple de Paris”. 49 de ces otages, parmi lesquels despères Jésuites, sont sortis de leur cellule et emmenés jusqu’au siège du deuxième secteur de la Commune, au 85 de la rue Haxo. Ils y seront assassinés : fusillés par un peloton d’exécution selon certains, massacrés par la foule selon d’autres.
UN HOMMAGE DES JÉSUITES AUX OTAGES. Quelques années plus tard, à la fin du XIXe siècle, les Jésuites décident d’acheter le terrain où se sont déroulés les événements du 26 mai 1871 afin d’y élever une chapelle en mémoire des otages exécutés. À la même époque, ils acquièrent le terrain de la prison de la Grande Roquette sur le point d’être détruite. Ils font démonter trois cellules anciennementoccupées par des pères jésuites exécutés ce jour-là et les font transférer près de la rue Haxo. La chapelle, plusieurs fois détruite et reconstruite, se trouvait à l’emplacement de l’actuelle église Notre-Dame-des-Otages qui lui a succédé en 1936. Les cellules, quant à elles, ont été détruites dans les années 50 : il ne reste aujourd’hui que la porte et la grille de l’une d’elles, ainsi qu’une dalle commémorative où est gravée l’histoire de ces otages. 51, rue du Borrego, 75020 Metro : Saint-Fargeau (ligne 3bis), Porte des Lilas (lignes 3bis, 11) Crédit photos : JPD – Paris Bise Art
Elles sont nombreuses et diverses, les clématites. Choisir les meilleures paraît difficile si on ne les connaît pas. Mais nous allons vous simplifier la tâche : après en avoir essayé des dizaines au fil des années, voici les 10 qui recueillent nos suffrages, à la fois pour leur robustesse, pour leur floraison abondante et pour leur charme particulier.
La plus robuste? des doubles
‘Multiblue’ Caractéristiques : elle doit sa robustesse à l’indémodable ‘The Président’, dont elle descend, et qui a traversé le xxe siècle sans rival. Au cœur d’une corolle bleu foncé, les étamines de ‘Multiblue’ sont transformées en pétales fins et pointus, formant un cœur hérissé durablequi persiste après la chute des pétales.? À savoir : vigoureuse mais pas envahissante, ses pousses de 2 à 3 m n’ont pas forcément besoin de taille pour fleurir. Il faudra tout de même lesraccourcir de temps à autre pour l’inciter à former de nouvelles tiges depuis la base.
La plus tendre
Success® Lavender Caractéristiques : cette première obtention des pépinières Travers (grands spécialistes des clématites) tient ses promesses avec d’immenses fleurs (12-15 cm de diamètre) d’un beau bleu lavande, sur une plante robuste mais peu volumineuse. À savoir : sa végétation mesurée (2 m) est un atout pour l’associer aux arbustes fragiles comme les érables japonais auxquels elle apporte une touche raffinée. Ajoutons que ses coloris ne passent pas au soleil. Fin février, gardez 1 ou 2 tiges de l’année et coupez les autres à la base pour une floraison de juin à septembre.
La plus pomponnée
C. macropetala‘Markhamii’ Caractéristiques : l’une des plus précoces parmi les rustiques, car sa floraison débute en avril et se prolonge jusqu’à la mi-mai. Elle ne craint pas le froid et produit fidèlement chaque printemps des fleurs plus ou moins doubles d’un beau rose tendre, qui une fois pleinement épanouies forment de jolis pompons.? À savoir : elle grimpe jusqu’à 2 m mais préfère ramper sur des arbustes bas. Il suffit de couper une des branches près de sa base dès la fin de la floraison en mai pour assurer la repousse et de jolies fleurs l’année suivante.
La plus docile ‘ Margot Koster’ Caractéristiques : cette clématite a tous les avantages des variétés de C. viticella (dites « à petites fleurs »), mais ses corolles sont bien plus grandes que les autres. Presque rondes, d’une belle teinte vieux rose qui ne passe pas au soleil, elles se renouvellent durant deux mois, en juillet et en août.? À savoir : très facile à soigner, il suffit de la tailler entre 20 cm et 1m soit dès la fin de la floraison pour libérer son support, soit en find’hiver (février). Si vous épargnez quelques tiges plus longues, elles fleurissent parfois plus tôt, dès le mois de juin.
La plus originale
‘Gravetye Beauty’ Caractéristiques : ses jolies fleurs en clochettes dressées évoquent de petites tulipes. La confusion est accentuée par le fait que cette clématite préfère s’étaler et ramper entre les plantes vivaces que grimper sur un support. Il s’ensuit une belle succession de fleurs à la mi-août à la base de chaque paire de feuilles, le long des tiges (alors que si on la force à grimper à la verticale, elle ne fleurit qu’au bout des tiges). À savoir : sa végétation n’est jamais très dense, ce qui est une qualité car elle n’écrase pas les plantes qui lui servent de support.
La plus indémodable
‘Étoile Violette’ Caractéristiques : cousine des fameuses C. x jackmanii, elle en a tout le caractère, c’est-à-dire la floribondité?et la facilité à vivre, mais?elle propose des corolles?plus rondes, d’un très beau violet pourpré foncé, qui ressort encore mieux derrière le bouquet d’étamines claires.? À savoir : la floraison dure tout juillet et août, plus quelques fleurs en septembre quel que soit le mode de taille, sévère (40 cm en février) ou léger (les tiges sèches ou gênantes en fin d’été ou en fin d’hiver). Les corolles mesurent 8 à 10 cm de diamètre.
La plus irrésistible
C. montana‘Broughton star’ Caractéristiques : les clématites des montagnes sont réputées très vigoureuses et capables de couvrir des arbres d’où elles laissent pendre de grandes lianes couvertes de fleurs roses ou blanches à 4 pétales en mai. Celle-ci est à la fois plus sophistiquée et bien moins vigoureuse, mais parfaite pour habiller une barrière.? À savoir : ses corolles vieux rose saumoné s’ouvrent sur un cœur d’étamines pétaloïdes en étoile. L’ensemble est irrésistible et dure longtemps. On peut couper juste après la floraison les rameaux trop gênants.
La plus mignonne‘ Savannah’ Caractéristiques : cette variété appartient au groupe des « herbacées » car elles se renouvellent naturellement depuis la base chaque printemps, comme des plantes vivaces.? À savoir : les tiges s’allongent de 70 cm à 1,50 m et se faufilent entre les branches des arbustes voisins, sans les étouffer, mais juste pour conduire leurs fleurs au soleil en juillet et août. On augmente encore sa floribondité déjà intéressante en la laissant retomber du sommet d’un muret car elle fleurit alors tout au long des tiges les mieux exposées.
La plus chic
‘Chantilly’ Caractéristiques : elle a fait une entrée remarquée il y a peu grâce à la délicatesse de son coloris. À savoir : elle offre une floraison en deux temps mai-juin, puis août- septembre (si on la taille peu), mais ses pousses restent plus compacteset la floraison est plus concentrée, donc plus spectaculaire. On peut aussi la tailler court?(25 cm) en février, ce qui lui permet de fleurir un peu plus tard mais pour longtemps, de juillet à septembre. Parfaite en bac, sur une terrasse ombragée.
La plus prolifique
C. Golden tiara® ‘Kugotia’ Caractéristiques : avec ses petites fleurs en clochette, jaunes, une couleur qu’elle est la seule à porter dans cette famille, elle est originale. En juillet, elle produit d’innombrables fleurs. À savoir : les fleurs à 4 pétales épais et au cœur d’étamines noires s’ouvrent sur 6 à 8 cm de diamètre au cœur de la journée. Elles sont suivies de fruits plumeux argentés alors que la floraison se prolonge jusqu’en octobre. Coupez à 50 cm du sol en fin de saison ou en février pour que tout recommence.
Une plantation simple. On exagère le «côté capricieux des clématites», souvent dû à un excès d’arrosages et de fumure. Ameublissez la terre sur 30 cm ou 40 cm et incorporez du gravier de rivière si le sol est trop argileux. Placez la motte à la verticale ou à l’horizontale (peu importe) mais le collet(base des tiges) doit rester à moins de 2 cm au-dessous du niveau du sol. Vous favoriserez un enracinement complémentaire en enterrant un ou deux entre-nœuds à faible profondeur (ou en les plaquant à la surface du sol sous une pierre plate). Mélangez du compost seulement à la même profondeur que les racines et mouillez bien le sol. Tassez modérément et arrosez peu, mais couvrez le sol avec des paillettes de lin qui tiennent les limaces à distance. Le premier été, arrosez autour du pied de temps en temps, mais sans mouiller la base des tiges. Les variétés portent parfois des noms à rallonge.
Exemple C. Savannah ‘Evipo015’ . Ils sont en fait composés du nom officiel, ici‘Evipo015’, qui restera identique quel que soit le pays de vente et d’une appellation commerciale (souvent protégée), ici, Savannah, qui s’adapte selon le pays. Ne les clouez pas au mur !Comme vous pouvez le constater sur les photos de cet article, les clématites s’épanouissent mieux sur des arbustes, des bambous, des grillages, des clôtures que sur des murs. Elles grimpent alors sans palissage, et sont en meilleure santé dans une situation plus ventilée. Les racines des arbustes les gardent aussi plus au sec.
Ces enluminures, ou plutôt marginalia car elles sont dans la marge, étaient souvent placés à cotés des textes des livres médiévaux par les copistes qui avaient l’air de bien s’amuser. J’en ai trouvé la plupart sur ce site et celui là qui en ont plus avec des références et des explications.
Combat d’handicapés
Comment ne pas se servir d’une catapulte
Un lapin acapturé un chasseur et l’a condamné à être pendu.
Rencontre d’un singe et d’un hérisson
Un cochon à échasse qui porte un chapeau
Un ours attaque une licorne
Un escargot attaque un chevalier
qui font de la musique
et s’amusent
et font des choses bizarre avec des bâtons . Du baseball médiéval.
La plus grosse arnaque jamais révélée : les cabines d’essayage dans les magasins !
Peu de gens s’en doute mais, les miroirs installés dans les cabines d’essayages des magasins de vêtements sont magiques ! C’est une chose qu’on remarque rarement, pourtant les glaces des cabines d’essayages sont spécialement conçues pour nous faire croire que chaque vêtement que nous enfilons nous va à ravir. Pour le prouver, une jeune femme a pris 10 photos avec la même tenue, la première chez elle et les 9 autres, dans 9 cabines d’essayage de 9 boutiques différentes. Le résultat est tout simplement incroyable !
1- Photo de référence : elle est chez elle.
2- Zara
3- Stradivarius
4- Sela
5- Promod
6- Ostin
7- New Yorker
8- Mango
9- H&M
10- Bershka C’est vraiment incroyable ! Dans chaque magasin, elle a exactement la même coiffure et les mêmes vêtements mais bizarrement, chaque photo présente une silhouette et une mine différente… Et on comprend mieux pourquoi les femmes emmènent toujours une copine pour vérifier… N’est-ce pas ?
Thomas Edison Aurait Pu Être L’inventeur De La Chaise Électrique...Mais Il Refusa...
Thomas Edison restera l’inventeur prolifique bien connu de tous, mettant au point l’ampoule électrique et le phonographe, tout en participant activement au développement du cinéma. Mais un chapitre de sa vie contient un épisode un peu moins glorieux… Certes l’américain était un inventeur, mais il jouissait également du statut d’entrepreneur, qualité évidente pour pouvoir vendre ses créations lumineuses. La compétition lui arriva très vite sous le nom de George Westinghouse... Inventeur des freins pneumatique et du courant alternatif (AC), capable de fonctionner sur plusieurs kilomètres, contrairement au courant direct d’Edison (DC), qui ne dépassait pas quelques centaines de mètres. Il semblait alors évident que ce concurrent de taille serait le premier à « électrifier » le monde entier ! Mais c’était sans compter sur notre inventeur-entrepreneur, qui aurait fait courir le bruit que le courant alternatif était très dangereux... Lançant une campagne de désinformation pour avertir les maires des grandes villes américaines. Au même moment, la ville d’Albany, capitale de l’état de New-York, cherchait une méthode « innovante » pour ses peines capitales. La commission en charge des exécutions aurait alors demandé à Edison la permission d’utiliser son courant électrique, ce qu’il refusa, trop opposé à la peine de mort. Il aurait plus tard recommandé aux autorités d’utiliser le courant alternatif de son rival, y voyant peut-être une occasion de se faire un peu de publicité ! Ainsi, Westinghouse serait associé à la peine de mort dans l’inconscient collectif, même si en définitif, le monde finit par adopter son mode d’électricité, avec le nom d’Edison gravé dans les mémoires -------------------------------------------------------- La Plus Jeune Mère Au Monde A Accouché À L’âge De 5 Ans... Le 14 mai 1939 au Pérou, Lina Medina, une petite fille âgée de seulement 5 ans est emmenée à l’hôpital de Lima où elle accouchera par césarienne d’un petit garçon. Elle reste aujourd’hui la plus jeune mère connue de l’histoire. Un mois plus tôt, ses parents ne se doutaient pas qu’ils deviendraient grands parents. Voyant le ventre de leur fille gonfler, ils consultèrentdes guérisseurs, craignant qu’elle ne soit habitée par un démon. Sans réponse, ils consultèrent alors un docteur qui crut d’abord à une énorme tumeur avant de réaliser qu’il s’agissait bien d’un fœtus. D’après ses parents, la petite fille aurait commencé à avoir des pertes de sang à l’âge de 3 ans et sa poitrine avait commencé à gonfler lors de ses 4 ans. L’identité du père reste un mystère puisque la petite Lina ne dénoncera jamais celui qui avait abusé d’elle --------------------------------------------------- Les Loutres De Mer...Ces Animaux Stupéfiants Qui Ont Une Technique Bien À Eux Pour Dormir...
Ces animaux aussi mignons que fascinants sont capables de beaucoup de choses. Les loutres de mer vivent dans le l’océan pacifique nord, elles se laissent dériver dans des eaux parfois glaciales. Leur secret pour ne pas tomber malade ou mourir de froid réside dans la fourrure et la graisse que les loutres possèdent. Les loutres possèdent 500 000 poils au centimètre carré, ce qui en fait l’une des fourrures les plus denses de monde animal. Découvrons 5 autres caractéristiques incroyables des loutres de mer... C’est le mammifère marin le plus petit du monde. Elles possèdent une poche sous le bras pour y stocker de leur nourriture et une pierre (qui leur sert à casser les coquillages). Les loutres de mer ont la capacité de dériver en groupe tel un radeau. Et évidemment, elles se tiennent la main pour dormir. Les loutres de mer préfèrent se tenir par la main lorsqu’elles stagnent sur le dos dans l’eau. De nombreuses photos ont été prises de ces mammifères marins qui se tenaient la main. Comme cela, les loutres peuvent dormir et se laisser dériver sur l’eau sans se fatiguer et sans se séparer et se perdre.
------------------------------------ Les premiers préservatifs inventés étaient faits à partir d’intestins d’animaux... Aussi insolite que cela puisse paraître, les premiers préservatifs inventés étaient faits à partir d’intestins d’animaux. Concrètement, l’histoire atteste de l’utilisation des préservatifs depuis plusieurs millénaires. En effet, on sait que 3000 av. J.-C, les Égyptiens notamment ne voulaient pas contracter des maladies vénériennes lors des rapports sexuels. Pour ce faire, ils utilisaient des boyaux de mouton et des morceaux de vessies de porcs. Ensuite, le préservatif se transforma petit à petit avec le recours à des matières telles que le velours, la soie et autres tissus. Les objectifs de l’utilisation de ces préservatifs étaient similaires à ceux d’aujourd’hui : ne pas avoir de maladies et comme moyen contraceptif. À partir de 1844, un certain Charles Goodyear développa la production de masse des préservatifs en caoutchouc avec les mêmes procédés que pour laproduction des pneus. Ce préservatif en caoutchouc initial était réutilisable et lavable. C’est àpartir des années 1880 que le préservatif fut produit en latex, un modèle qui se démocratisa lentement. Dès la 1re Guerre mondiale, le développement des préservatifs augmenta en production, car les soldats avaient contracté de nombreuses maladies vénériennes en fréquentant notamment les prostituées durant leur périple. Sinon, avant le XIXe siècle et la production de masse, les préservatifs étaient fabriqués à base d’intestins d’animaux de ferme. On peut trouver cela dérangeant, sale, malvenu, mais toujours est-il que cela fait partie de notre patrimoine culturel et historique. Il faut faire un lien entre l’apparition des préservatifs en caoutchouc avec les recherches en sciences physiques et chimiques durant le XIXe siècle. Auparavant, les recherches dans ces domaines existaient déjà, mais étaient encore balbutiantes, d’où l’apparition de ces inventions en même temps que l’intensification des progrès en sciences dites « dures ». Le préservatif est à ce jour le meilleur moyen pour prévenir les maladies sexuellement transmissibles ainsi que les grossesses, par conséquent, n’hésitez surtout pas à les utiliser.
Au cœur géographique de l'île de Corse, la forêt de Vizzavona est une étape importante du GR20, sentier de grande randonnée de Corse. Le long du ruisseau Agnone, on profite d'un panorama superbe, entre cascades chantantes et colonies de pins laricio, entre faune et flore.
Comme s’il s’agissait de Hollywood, son nom est inscrit en grosses lettres blanches, visibles de loin : le fortin de Vivario est l’une des clés du dispositif militaire envisagé par le comte de Vaux lors de son quadrillage de la Corse, à la tête d’une armée de 24 000 hommes, à partir de 1769. L’un des deux seuls forts construits sur les quinze prévus, monte la garde dans l’une des régions les plus fières de l’île, à l’entrée de la forêt de Vizzavona, lorsque l’on arrive de Corte, conservatoire des traditionsautonomistes.
Le fort de Vivario, ou redoute de Pasciolo, est un bâtiment de 1771 conçu pour abriter une garnison de 48 hommes. On accède à la solitude de ses ruines perchées à 800 m d'altitude par un chemin au départ de Vivario. La cascades des Anglais : un accès relativement facile...Cela fait longtemps que l’Europe entière a saisi la beauté du site et monte au col de Vizzavona (1 163 mètres) pour en admirer la grandeur. À la fin du XIXe siècle, la construction de la ligne de chemin de fer y attira ingénieurs, promeneurs et naturalistes. Malgré la réputation aventureuse du sentier de grande randonnée GR20, l’accès àla cascade des Anglais est ici relativement facile. Une fois quitté la N193 qui descend vers Ajaccio, on s’enfonce sous des frondaisons de feuillus. Après une descente en pente douce de quelques centaines de mètres, le murmurede l’eau devient omniprésent : ici passe l’Agnone, un ruisseau qui dévale la montagne avant d’aller se jeter dans le Vecchio et le Tavignano pour finir sa course dans la mer Tyrrhénienne. Seulement 6,9 kilomètres de long mais un compagnon idéal pour crapahuter vers le Monte d’Oro, le deuxième plus haut sommet de Corse (2 391 mètres). Sur le sentier, rive droite, attiré par les cascades, les rebonds de l’eau sur les vasques calcaires, les bassins cristallins, on perd facilement les indications rouges et blanches portées sur les chaos rocheux et les troncs. Les promeneurs rencontrés nous remettent sur le droit chemin. D’autres fois, c’est une vachette au pied montagnard, dont la cloche tinte au loin, qui sert d’efficace rabatteur…
La superbe forêt de Vizzavona est au centre de l'île : presque 1 600 hectares au pied du Monte d'Oro. Sa célébrité dépasse largement les frontières corses. Dans la forêt de Valdu Niellu, le roi des lariciosAu cours de l’ascension, le paysage se fait austère, dénudé. Il permet d’observer au plus près l’un des géants de la nature corse, le pin laricio. Marcelle Conrad (1897-1990), une artiste botaniste qui fit un colossal travail de recensement de la flore corse (et dont les ouvrages pourront être consultés dans la bibliothèque de l’hôtel Monte d’Oro) avait longuement décrit cet arbre : pouvant atteindre 50 mètres de haut, au fût droit, adapté aux mâts de navire mais donnant aussi des « boiseries aux tons chauds ». On reconnaît l’arbre à son ampleur (il n’est réellement exploitable qu’après avoir atteint l’âge de 180 ans et un diamètre de 70 centimètres), à ses aiguilles qui ne tombent que tous les six ou sept ans, mais aussi à son écorce, qui n’est pas craquelée horizontalement mais seulement verticalement. Marcelle Conrad mentionnait le roi des laricio, un patriarche de mille ans, abattu en 1956 dans la forêt de Valdu Niellu (dans le Niolo) après avoir été touché par la foudre.
La cascade des Anglais n'est pas une, mais plusieurs. C'est une succession de cascades dans la vallée de l'Agnone, au pied du Monte d'Oro, proche de Vizzavona Retour au col de VizzavonaSi l’on tend l’oreille, si l’on affûte le regard, peut-être pourra-t-on saisir le passage de la sittelle corse, qui raffole des pignons du laricio. Il suffira de détecter sa jolie tête noire… Salamandres, truites fario, geais, huppes et loirs : bien d’autres représentants du genre animal peuvent être croisés. Mais pas l’écureuil ni la vipère, qui n’existent pas en Corse ! Au retour vers le col de Vizzavona, ayant faussé compagnie au GR20, nous voici marchant sur la ligne de crête, sous le feuillage des noisetiers. La brume est montée, cachant totalement la descente vers Ajaccio. Mais fournissant une atmosphère inoubliable, lorsqu’apparaissent comme un fantôme, dans des lambeaux d’ouate, les ruines de l’autre fort de Vaux. La Corse, parfois, c’est mieux que l’Écosse !
Les cascades sont accessibles depuis Vizzavona par un sentier en sous-bois. Comptez une petite heure de marche pour atteindre la passerelle et la première cascade. Une très belle balade facile, bien que sur le redouté GR20
DES COURONNES ET MOTIFS FLORAUX ORGANISES AUTOURS DE SA TASSE DE CAFE.
Sawa artiste japonaise crée des compositions de fleurs délicates (dont la plupart elle ramasse dans son propre jardin!) tout en ayant son café. Elle forme des couronnes et des motifs floraux parfaitement organisés autour de ses tasses à café et les capture dans ses photographies minimalistes, dont chacun vient avec une date. Depuis des fleurs fraîches ne durent pas éternellement, vous ne pensez pas c'est une belle façon de les immortaliser cette façon?
Un objet plus sale que la cuvette des toilettes ? Vraiment ?
La cuvette des toilettes est pour beaucoup de personnes, l’endroit le plus repoussant et le moins hygiénique d’une maison. Pourtant, des objets d’usage quotidien sont des foyers de bactéries bien plus virulents.
Voici 7 exemples.
L’éponge de cuisine.
L’éponge de cuisine, avec sa frimousse innocente, est un vrai nid à bactéries.
Rien d’étonnant à cela, elle est en contact avec toutes les saletés de la cuisine, puisqu’elle les nettoie. On estime généralement qu’elle compte dix millions de bactéries par pouce carré. Il faut donc songer à désinfecter et nettoyer votre éponge régulièrement.
Les sacs à main.
C’est un accessoire féminin courant, et un autre repaire de bactéries bien connu. En effet, il récupère des germes à chaque fois qu’il est posé, dans des endroits pas forcément réputés pour leur propreté (métro, sol de toilettes publiques ou de terrasse…). Pour se prémunir contre toute infection, mieux vaut suspendre le sac à un accroche-sac, loin de la cuisine, du bureau de travail ou du lit.
Les brosses à dents.
On dit souvent que la brosse à dents est l’objet le plus personnel que l’on puisse posséder. En effet, mieux vaut éviter de prêter sa brosse à dents, foyer privilégié des staphylocoques, herpès et autres virus de lagrippe… S’il est indispensable de rincer la brosse après chaque usage, le rinçage n’autorise pas pour autant le prêt, même à un membre de la famille. Il faut de plus la préserver de l’humidité autant que possible (l’eau favorise le développement micro-bactérien) et la changer régulièrement. On peut aussi nettoyer sa brosse à dents avec du bicarbonate de soude.
Petite astuce : Mettez votre brosse à dents au lave-vaisselle pour éliminer les bactéries présentes.
Les téléphones portables.
Les téléphones sont les rois incontestés de la contamination bactériologique, puisqu’une étude scientifique menée à l’Université de
Manchester estime qu’un écran de téléphone portable contient… 500 fois plus de bactéries qu’une cuvette de toilettes ! Gare à la salmonelle, ouaux staphylocoques dorés. Un portable DOIT se nettoyer au moins une fois par semaine.
Les oreillers.
Vous dormez dessus et pourtant, l’endroit où vous appuyez vos têtes assoupies est le refuge favori de tous types d’acariens et de
champignons, qui se délectent de sa moiteur. Ces habitants indésirables passent ensuite dans le système respiratoire (le nez n’est jamais loin de l’oreiller…) et peuvent vraiment gêner les personnes souffrant d’asthme, de sinusite ou de toute autre complication respiratoire. Les oreillers doivent être lavés fréquemment dans l’eau chaude pour éliminertous les intrus.
La télécommande
Elle est prise en main par tout le monde à la maison… y compris les membres de la famille malades ou aux mains sales, et constitue donc un puissant pourvoyeur de bactéries. Comme pour un écran de téléphone portable, nettoyez la télécommande une fois par semaine. De plus, lorsque vous voyagez, pensez à désinfecter la télécommande si vous voulez l’utiliser.
Vous ne savez pas qui est passé avant vous…
Le clavier d’ordinateur.
Vous l’utilisez même lorsque vous êtes souffrant, et les bactéries ne se font pas prier pour s’y développer, nourries par les restes de
nourriture que vous pouvez consommer en utilisant votre ordinateur. Nettoyez votre clavier entièrement et régulièrement, et surtout ne mangez pas au-dessus.
Des bergers nomades seraient à l’origine de la célèbre route de la soie
La célèbre route de la soie, premier réseau commercial entre la Chine et l’Europe, a été dessinée il y a 4.000 ans par d’humbles bergers, selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature. De l’or, des pierres précieuses, de la soie ou encore du thé: les caravanes de la route de la soie ont transporté, à partir du IIe siècle avant notre ère, de nombreux produits rares le long d’un complexe réseau de sentiers, qui serpentaient de la Chine à la Méditerranée orientale, empruntant notamment d’ardus terrains montagneux.
Des chemins tracés il y a 4.000 ans Selon Michael Frachetti du département d’Anthropologie de l’université de Washington aux Etats-Unis et ses collègues, la route suit d’anciens chemins tracés il y a 4.000 ans par les bergers nomades en quête de pâturages verts pour leurs troupeaux. Pour arriver àces conclusions, pas de fouilles à la truelle ou aux pinceaux mais
l’utilisation de données satellitaires et de systèmes de modélisation numérique.
AFP PHOTO / BEHROUZ MEHRI
Des endroits où il faisait bon de brouter Partant du fait, qu’en 4.000 ans, les reliefs des hautes montagnes de l’Asie centrale ont finalement peu changé, Michael Frachetti et ses collègues ont répertorié les lieux où il devait faire bon brouter, en haute montagne pour l’été et à des altitudes plus clémentes pour l’hiver. Les chercheurs ont ensuite passé ces données au prisme d’un système d’information géographique (SIG), qui analyse les données spatiales et géographiques, et modélisé 500 ans de déplacements de bétails, étudiant les mouvements des animaux comme ils auraient travaillé sur les
écoulements de cours d’eau.
La Chine est l'unique productrice de soie jusqu'au 5e siècle (elle est la seule à connaître le processus de fabrication). La
soie est un produit de luxe en demande. Elle peut même servir de monnaie. D'ailleurs, l'État l'a déjà utilisée pour payer ses
fonctionnaires.
La route de la soie
Les échanges qui proviennent de la route de la soie ne sont pas que matériels. La route de la soie permet la transmission de nouvelles connaissances et d'éléments culturels entre les peuples. Le bouddhisme se répand le long de la route de la soie pendant plusieurs siècles. De nouvelles techniques sont transmises : des peuples d'Asie découvrent la
fabrication du papier et apprennent à couler le fer grâce aux Chinois.
La route de la soie a même permis la création d'un des plus grands empires de tous les temps : l'Empire mongol.
Avec Mondo Terra sur les traces de la Route de la Soie
1.Frozen in Time
2.When Conditions Are Right
3.White Rhinos
4.Jal Mahal during Sunrise
5.Ocean World
6.Tribal Make-Up Artist
7.Colours of Earth
8.Last Light on Godafoss, Iceland
9.Camping On The Diving Board
10.Lighting up the Night
Dans la cour d’un immeuble d’habitation de la rue du Borrégo, dans le XXe arrondissement, se cache un petit auvent abritant une porte de cellule et une grille provenant de l’ancienne prison de la Grande Roquette qui servait de “Dépôt des Condamnés”. Comment cette porte, unique vestige de l’immense prison de la rue de la Roquette, s’est-elle retrouvée là, à trois kilomètres de son lieu d’origine ?
LES OTAGES DE LA COMMUNE DE PARIS.
L’histoire de cette porte est directement liée à celle de l’Église Notre-Dame-des-Otages, située quelques mètres plus loin, et à celle de la Commune de Paris. Le 26 mai 1871, pendant la Semaine Sanglante, une soixantaine de fédérés se rend à la prison de la Grande Roquette où sont détenus près de 200 “otages du peuple de Paris”. 49 de ces otages, parmi lesquels despères Jésuites, sont sortis de leur cellule et emmenés jusqu’au siège du deuxième secteur de la Commune, au 85 de la rue Haxo. Ils y seront assassinés : fusillés par un peloton d’exécution selon certains, massacrés par la foule selon d’autres.
UN HOMMAGE DES JÉSUITES AUX OTAGES.
Quelques années plus tard, à la fin du XIXe siècle, les Jésuites décident d’acheter le terrain où se sont déroulés les événements du 26 mai 1871 afin d’y élever une chapelle en mémoire des otages exécutés. À la même époque, ils acquièrent le terrain de la prison de la Grande Roquette sur le point d’être détruite. Ils font démonter trois cellules anciennementoccupées par des pères jésuites exécutés ce jour-là et les font transférer près de la rue Haxo.
La chapelle, plusieurs fois détruite et reconstruite, se trouvait à l’emplacement de l’actuelle église Notre-Dame-des-Otages qui lui a succédé en 1936. Les cellules, quant à elles, ont été détruites dans les années 50 : il ne reste aujourd’hui que la porte et la grille de l’une d’elles, ainsi qu’une dalle commémorative où est gravée l’histoire de ces otages.
51, rue du Borrego, 75020
Metro : Saint-Fargeau (ligne 3bis), Porte des Lilas (lignes 3bis, 11)
Crédit photos : JPD – Paris Bise Art
Elles sont nombreuses et diverses, les clématites. Choisir les meilleures paraît difficile si on ne les connaît pas.
Mais nous allons vous simplifier la tâche : après en avoir essayé des dizaines au fil des années, voici les 10 qui recueillent nos suffrages, à la fois pour leur robustesse, pour leur floraison abondante et pour leur charme particulier.
La plus robuste? des doubles
‘Multiblue’
Caractéristiques : elle doit sa robustesse à l’indémodable ‘The Président’, dont elle descend, et qui a traversé le xxe siècle sans rival.
Au cœur d’une corolle bleu foncé, les étamines de ‘Multiblue’ sont transformées en pétales fins et pointus, formant un cœur hérissé durablequi persiste après la chute des pétales.?
À savoir : vigoureuse mais pas envahissante, ses pousses de 2 à 3 m n’ont pas forcément besoin de taille pour fleurir. Il faudra tout de même lesraccourcir de temps à autre pour l’inciter à former de nouvelles tiges depuis la base.
La plus tendre
Success® Lavender
Caractéristiques : cette première obtention des pépinières Travers (grands spécialistes des clématites) tient ses promesses avec d’immenses fleurs (12-15 cm de diamètre) d’un beau bleu lavande, sur une plante robuste mais peu
volumineuse.
À savoir : sa végétation mesurée (2 m) est un atout pour l’associer aux arbustes fragiles comme les érables japonais auxquels elle apporte une touche raffinée.
Ajoutons que ses coloris ne passent pas au soleil.
Fin février, gardez 1 ou 2 tiges de l’année et coupez les autres à la base pour une floraison de juin à septembre.
La plus pomponnée
C. macropetala‘Markhamii’
Caractéristiques : l’une des plus précoces parmi les rustiques, car sa floraison débute en avril et se prolonge jusqu’à la mi-mai.
Elle ne craint pas le froid et produit fidèlement chaque printemps des fleurs plus ou moins doubles d’un beau rose tendre, qui une fois pleinement épanouies forment de jolis pompons.?
À savoir : elle grimpe jusqu’à 2 m mais préfère ramper sur des arbustes bas. Il suffit de couper une des branches près de sa base dès la fin de la floraison en mai pour assurer la repousse et de jolies fleurs l’année suivante.
La plus docile
Margot Koster’
Caractéristiques : cette clématite a tous les avantages des variétés de C. viticella (dites « à petites fleurs »), mais ses corolles sont bien plus grandes que les autres.
Presque rondes, d’une belle teinte vieux rose qui ne passe pas au soleil, elles se renouvellent durant deux mois, en juillet et en août.?
À savoir : très facile à soigner, il suffit de la tailler entre 20 cm et 1m soit dès la fin de la floraison pour libérer son support, soit en find’hiver (février).
Si vous épargnez quelques tiges plus longues, elles fleurissent parfois plus tôt, dès le mois de juin.
La plus originale
‘Gravetye Beauty’
Caractéristiques : ses jolies fleurs en clochettes dressées évoquent de petites tulipes.
La confusion est accentuée par le fait que cette clématite préfère s’étaler et ramper entre les plantes vivaces que grimper sur un support.
Il s’ensuit une belle succession de fleurs à la mi-août à la base de chaque paire de feuilles, le long des tiges (alors que si on la force à grimper à la verticale, elle ne fleurit qu’au bout des tiges).
À savoir : sa végétation n’est jamais très dense, ce qui est une qualité car elle n’écrase pas les plantes qui lui servent de support.
La plus indémodable
‘Étoile Violette’
Caractéristiques : cousine des fameuses C. x jackmanii, elle en a tout le caractère, c’est-à-dire la floribondité?et la facilité à vivre, mais?elle propose des corolles?plus rondes, d’un très beau violet pourpré foncé, qui ressort encore mieux derrière le bouquet d’étamines claires.?
À savoir : la floraison dure tout juillet et août, plus quelques fleurs en septembre quel que soit le mode de taille, sévère
(40 cm en février) ou léger (les tiges sèches ou gênantes en fin d’été ou en fin d’hiver).
Les corolles mesurent 8 à 10 cm de diamètre.
La plus irrésistible
C. montana‘Broughton star’
Caractéristiques : les clématites des montagnes sont réputées très vigoureuses et capables de couvrir des arbres d’où elles laissent pendre de grandes lianes couvertes de fleurs roses ou blanches à 4 pétales en mai.
Celle-ci est à la fois plus sophistiquée et bien moins vigoureuse, mais parfaite pour habiller une barrière.?
À savoir : ses corolles vieux rose saumoné s’ouvrent sur un cœur d’étamines pétaloïdes en étoile. L’ensemble est irrésistible et dure longtemps. On peut couper juste après la floraison les rameaux trop gênants.
La plus mignonne
Savannah’
Caractéristiques : cette variété appartient au groupe des « herbacées » car elles se renouvellent naturellement depuis la base chaque printemps, comme des plantes vivaces.?
À savoir : les tiges s’allongent de 70 cm à 1,50 m et se faufilent entre les branches des arbustes voisins, sans les étouffer, mais juste pour conduire leurs fleurs au soleil en juillet et août.
On augmente encore sa floribondité déjà intéressante en la laissant retomber du sommet d’un muret car elle fleurit alors tout au long des tiges les mieux exposées.
La plus chic
‘Chantilly’
Caractéristiques : elle a fait une entrée remarquée il y a peu grâce à la délicatesse de son coloris.
À savoir : elle offre une floraison en deux temps mai-juin, puis août- septembre (si on la taille peu), mais ses pousses restent plus compacteset la floraison est plus concentrée, donc plus spectaculaire.
On peut aussi la tailler court?(25 cm) en février, ce qui lui permet de fleurir un peu plus tard mais pour longtemps, de juillet à septembre.
Parfaite en bac, sur une terrasse ombragée.
La plus prolifique
C. Golden tiara® ‘Kugotia’
Caractéristiques : avec ses petites fleurs en clochette, jaunes, une couleur qu’elle est la seule à porter dans cette famille, elle est originale. En juillet, elle produit d’innombrables fleurs.
À savoir : les fleurs à 4 pétales épais et au cœur d’étamines noires s’ouvrent sur 6 à 8 cm de diamètre au cœur de la journée.
Elles sont suivies de fruits plumeux argentés alors que la floraison se prolonge jusqu’en octobre. Coupez à 50 cm du sol en fin de saison ou en février pour que tout recommence.
Une plantation simple.
On exagère le «côté capricieux des clématites», souvent dû à un excès d’arrosages et de fumure.
Ameublissez la terre sur 30 cm ou 40 cm et incorporez du gravier de rivière si le sol est trop argileux.
Placez la motte à la verticale ou à l’horizontale (peu importe) mais le collet(base des tiges) doit rester à moins de 2 cm au-dessous du niveau du sol.
Vous favoriserez un enracinement complémentaire en enterrant un ou deux entre-nœuds à faible profondeur (ou en les plaquant à la surface du sol sous une pierre plate). Mélangez du compost seulement à la même profondeur que les racines et mouillez bien le sol.
Tassez modérément et arrosez peu, mais couvrez le sol avec des paillettes de lin qui tiennent les limaces à distance.
Le premier été, arrosez autour du pied de temps en temps, mais sans mouiller la base des tiges.
Les variétés portent parfois des noms à rallonge.
Exemple C. Savannah ‘Evipo015’ . Ils sont en fait composés du nom officiel, ici‘Evipo015’, qui restera identique quel que soit le pays de vente et d’une appellation commerciale (souvent protégée), ici, Savannah, qui s’adapte selon le pays.
Ne les clouez pas au mur ! Comme vous pouvez le constater sur les photos de cet article, les clématites s’épanouissent mieux sur des arbustes, des bambous, des grillages, des clôtures que sur des murs.
Elles grimpent alors sans palissage, et sont en meilleure santé dans une situation plus ventilée.
Les racines des arbustes les gardent aussi plus au sec.
Moyen Age.
Ces enluminures, ou plutôt marginalia car elles sont dans la marge, étaient souvent placés à cotés des textes des livres médiévaux par les copistes qui avaient l’air de bien s’amuser.
J’en ai trouvé la plupart sur ce site et celui là qui en ont plus avec des références et des explications.
Combat d’handicapés
Comment ne pas se servir d’une catapulte
Un lapin acapturé un chasseur et l’a condamné à être pendu.
Rencontre d’un singe et d’un hérisson
Un cochon à échasse qui porte un chapeau
Un ours attaque une licorne
Un escargot attaque un chevalier
qui font de la musique
et s’amusent
et font des choses bizarre avec des bâtons
.
Du baseball médiéval.
les cabines d’essayage dans les magasins !
Peu de gens s’en doute mais, les miroirs installés dans les cabines d’essayages des magasins de vêtements sont magiques !
C’est une chose qu’on remarque rarement, pourtant les glaces des cabines d’essayages sont spécialement conçues pour nous faire croire que chaque vêtement que nous enfilons nous va à ravir.
Pour le prouver, une jeune femme a pris 10 photos avec la même tenue, la première chez elle et les 9 autres, dans 9 cabines d’essayage de 9 boutiques différentes. Le résultat est tout simplement incroyable !
1- Photo de référence : elle est chez elle.
2- Zara
3- Stradivarius
4- Sela
5- Promod
6- Ostin
7- New Yorker
8- Mango
9- H&M
10- Bershka
C’est vraiment incroyable ! Dans chaque magasin, elle a exactement la même
coiffure et les mêmes vêtements mais bizarrement, chaque photo présente
une silhouette et une mine différente…
Et on comprend mieux pourquoi les femmes emmènent toujours une copine pour vérifier… N’est-ce pas ?
Thomas Edison Aurait Pu Être L’inventeur De La Chaise Électrique...Mais Il Refusa...
Thomas Edison restera l’inventeur prolifique bien connu de tous, mettant au point l’ampoule électrique et le phonographe, tout en participant activement au développement du cinéma. Mais un chapitre de sa vie
contient un épisode un peu moins glorieux…
Certes l’américain était un inventeur, mais il jouissait également du statut d’entrepreneur, qualité évidente pour pouvoir vendre ses créations lumineuses. La compétition lui arriva très vite sous le nom de George Westinghouse...
Inventeur des freins pneumatique et du courant alternatif (AC), capable de fonctionner sur plusieurs kilomètres, contrairement au courant direct d’Edison (DC), qui ne dépassait pas quelques centaines de mètres.
Il semblait alors évident que ce concurrent de taille serait le premier à « électrifier » le monde entier ! Mais c’était sans compter sur notre inventeur-entrepreneur, qui aurait fait courir le bruit que le courant alternatif était très dangereux...
Lançant une campagne de désinformation pour avertir les maires des grandes villes américaines.
Au même moment, la ville d’Albany, capitale de l’état de New-York, cherchait une méthode « innovante » pour ses peines capitales.
La commission en charge des exécutions aurait alors demandé à Edison la permission d’utiliser son courant électrique, ce qu’il refusa, trop opposé à la peine de mort.
Il aurait plus tard recommandé aux autorités d’utiliser le courant alternatif de son rival, y voyant peut-être une occasion de se faire un peu de publicité !
Ainsi, Westinghouse serait associé à la peine de mort dans l’inconscient collectif, même si en définitif, le monde finit par adopter son mode d’électricité, avec le nom d’Edison gravé dans les mémoires
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La Plus Jeune Mère Au Monde A Accouché À L’âge De 5 Ans...
Le 14 mai 1939 au Pérou, Lina Medina, une petite fille âgée de seulement 5 ans est emmenée à l’hôpital de Lima où elle accouchera par césarienne d’un petit garçon.
Elle reste aujourd’hui la plus jeune mère connue de l’histoire.
Un mois plus tôt, ses parents ne se doutaient pas qu’ils deviendraient grands parents. Voyant le ventre de leur fille gonfler, ils consultèrentdes guérisseurs, craignant qu’elle ne soit habitée par un démon.
Sans réponse, ils consultèrent alors un docteur qui crut d’abord à une énorme tumeur avant de réaliser qu’il s’agissait bien d’un fœtus.
D’après ses parents, la petite fille aurait commencé à avoir des pertes de sang à l’âge de 3 ans et sa poitrine avait commencé à gonfler lors de ses 4 ans.
L’identité du père reste un mystère puisque la petite Lina ne dénoncera jamais celui qui avait abusé d’elle
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Les Loutres De Mer...Ces Animaux Stupéfiants Qui Ont Une Technique Bien À Eux Pour Dormir...
Ces animaux aussi mignons que fascinants sont capables de beaucoup de choses.
Les loutres de mer vivent dans le l’océan pacifique nord, elles se laissent dériver dans des eaux parfois glaciales.
Leur secret pour ne pas tomber malade ou mourir de froid réside dans la fourrure et la graisse que les loutres possèdent.
Les loutres possèdent 500 000 poils au centimètre carré, ce qui en fait l’une des fourrures les plus denses de monde animal.
Découvrons 5 autres caractéristiques incroyables des loutres de mer...
C’est le mammifère marin le plus petit du monde.
Elles possèdent une poche sous le bras pour y stocker de leur nourriture et une pierre (qui leur sert à casser les coquillages).
Les loutres de mer ont la capacité de dériver en groupe tel un radeau.
Et évidemment, elles se tiennent la main pour dormir.
Les loutres de mer préfèrent se tenir par la main lorsqu’elles stagnent sur le dos dans l’eau.
De nombreuses photos ont été prises de ces mammifères marins qui se tenaient la main.
Comme cela, les loutres peuvent dormir et se laisser dériver sur l’eau sans se fatiguer et sans se séparer et se perdre.
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Les premiers préservatifs inventés étaient faits à partir d’intestins d’animaux...
Aussi insolite que cela puisse paraître, les premiers préservatifs inventés étaient faits à partir d’intestins d’animaux.
Concrètement, l’histoire atteste de l’utilisation des préservatifs depuis plusieurs millénaires. En effet, on sait que 3000 av. J.-C, les Égyptiens notamment ne voulaient pas contracter des maladies vénériennes lors des rapports sexuels.
Pour ce faire, ils utilisaient des boyaux de mouton et des morceaux de vessies de porcs.
Ensuite, le préservatif se transforma petit à petit avec le recours à des matières telles que le velours, la soie et autres tissus.
Les objectifs de l’utilisation de ces préservatifs étaient similaires à ceux d’aujourd’hui : ne pas avoir de maladies et comme moyen contraceptif.
À partir de 1844, un certain Charles Goodyear développa la production de masse des préservatifs en caoutchouc avec les mêmes procédés que pour laproduction des pneus.
Ce préservatif en caoutchouc initial était réutilisable et lavable. C’est àpartir des années 1880 que le préservatif fut produit en latex, un modèle qui se démocratisa lentement.
Dès la 1re Guerre mondiale, le développement des préservatifs augmenta en production, car les soldats avaient contracté de nombreuses maladies vénériennes en fréquentant notamment les prostituées durant leur périple.
Sinon, avant le XIXe siècle et la production de masse, les préservatifs étaient fabriqués à base d’intestins d’animaux de ferme. On peut trouver cela dérangeant, sale, malvenu, mais toujours est-il que cela fait partie de notre patrimoine culturel et historique.
Il faut faire un lien entre l’apparition des préservatifs en caoutchouc avec les recherches en sciences physiques et chimiques durant le XIXe siècle.
Auparavant, les recherches dans ces domaines existaient déjà, mais étaient encore balbutiantes, d’où l’apparition de ces inventions en même temps que l’intensification des progrès en sciences dites « dures ».
Le préservatif est à ce jour le meilleur moyen pour prévenir les maladies sexuellement transmissibles ainsi que les grossesses, par conséquent, n’hésitez surtout pas à les utiliser.
Au cœur géographique de l'île de Corse, la forêt de Vizzavona est une étape importante du GR20, sentier de grande randonnée de Corse.
Le long du ruisseau Agnone, on profite d'un panorama superbe, entre cascades chantantes et colonies de pins laricio, entre faune et flore.
Comme s’il s’agissait de Hollywood, son nom est inscrit en grosses lettres blanches, visibles de loin : le fortin de Vivario est l’une des clés du dispositif militaire envisagé par le comte de Vaux lors de son quadrillage de la Corse, à la tête d’une armée de 24 000 hommes, à partir de 1769.
L’un des deux seuls forts construits sur les quinze prévus, monte la garde dans l’une des régions les plus fières de l’île, à l’entrée de la forêt de Vizzavona, lorsque l’on arrive de Corte, conservatoire des traditionsautonomistes.
Le fort de Vivario, ou redoute de Pasciolo, est un bâtiment de 1771 conçu pour abriter une garnison de 48 hommes.
On accède à la solitude de ses ruines perchées à 800 m d'altitude par un chemin au départ de Vivario.
La cascades des Anglais : un accès relativement facile... Cela fait longtemps que l’Europe entière a saisi la beauté du site et monte au col de Vizzavona (1 163 mètres) pour en admirer la grandeur.
À la fin du XIXe siècle, la construction de la ligne de chemin de fer y attira ingénieurs, promeneurs et naturalistes.
Malgré la réputation aventureuse du sentier de grande randonnée GR20, l’accès àla cascade des Anglais est ici relativement facile.
Une fois quitté la N193 qui descend vers Ajaccio, on s’enfonce sous des frondaisons de feuillus.
Après une descente en pente douce de quelques centaines de mètres, le murmurede l’eau devient omniprésent : ici passe l’Agnone, un ruisseau qui dévale la montagne avant d’aller se jeter dans le Vecchio et le Tavignano pour finir sa course dans la mer Tyrrhénienne.
Seulement 6,9 kilomètres de long mais un compagnon idéal pour crapahuter vers le Monte d’Oro, le deuxième plus haut sommet de Corse (2 391 mètres).
Sur le sentier, rive droite, attiré par les cascades, les rebonds de l’eau sur les vasques calcaires, les bassins cristallins, on perd facilement les indications rouges et blanches portées sur les chaos rocheux et les troncs.
Les promeneurs rencontrés nous remettent sur le droit chemin. D’autres fois, c’est une vachette au pied montagnard, dont la cloche tinte au loin, qui sert d’efficace rabatteur…
La superbe forêt de Vizzavona est au centre de l'île : presque 1 600 hectares au pied du Monte d'Oro.
Sa célébrité dépasse largement les frontières corses.
Dans la forêt de Valdu Niellu, le roi des laricios Au cours de l’ascension, le paysage se fait austère, dénudé.
Il permet d’observer au plus près l’un des géants de la nature corse, le pin laricio. Marcelle Conrad (1897-1990), une artiste botaniste qui fit un colossal travail de recensement de la flore corse (et dont les ouvrages pourront être consultés dans la bibliothèque de l’hôtel Monte d’Oro) avait longuement décrit cet arbre : pouvant atteindre 50 mètres de haut, au fût droit, adapté aux mâts de navire mais donnant aussi des « boiseries aux tons chauds ».
On reconnaît l’arbre à son ampleur (il n’est réellement exploitable qu’après avoir atteint l’âge de 180 ans et un diamètre de 70 centimètres), à ses aiguilles qui ne tombent que tous les six ou sept ans, mais aussi à son écorce, qui n’est pas craquelée horizontalement mais seulement verticalement. Marcelle Conrad mentionnait le roi des laricio, un patriarche de mille ans, abattu en 1956 dans la forêt de Valdu Niellu (dans le Niolo) après avoir été touché par la foudre.
La cascade des Anglais n'est pas une, mais plusieurs. C'est une succession de cascades dans la vallée de l'Agnone, au pied du Monte d'Oro, proche de Vizzavona
Retour au col de Vizzavona Si l’on tend l’oreille, si l’on affûte le regard, peut-être pourra-t-on saisir le passage de la sittelle corse, qui raffole des pignons du laricio. Il suffira de détecter sa jolie tête noire… Salamandres, truites fario, geais, huppes et loirs : bien d’autres représentants du genre animal peuvent être croisés. Mais pas l’écureuil ni la vipère, qui n’existent pas en Corse ! Au retour vers le col de Vizzavona, ayant faussé compagnie au GR20, nous voici marchant sur la ligne de crête, sous le feuillage des noisetiers.
La brume est montée, cachant totalement la descente vers Ajaccio.
Mais fournissant une atmosphère inoubliable, lorsqu’apparaissent comme un fantôme, dans des lambeaux d’ouate, les ruines de l’autre fort de Vaux.
La Corse, parfois, c’est mieux que l’Écosse !
Les cascades sont accessibles depuis Vizzavona par un sentier en sous-bois.
Comptez une petite heure de marche pour atteindre la passerelle et la première cascade.
Une très belle balade facile, bien que sur le redouté GR20
ORGANISES AUTOURS DE SA TASSE DE CAFE.
Sawa artiste japonaise crée des compositions de fleurs délicates (dont la plupart elle ramasse dans son propre jardin!) tout en ayant son café.
Elle forme des couronnes et des motifs floraux parfaitement organisés autour de ses tasses à café et les capture dans ses photographies minimalistes, dont chacun vient avec une date.
Depuis des fleurs fraîches ne durent pas éternellement, vous ne pensez pas c'est une belle façon de les immortaliser cette façon?
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