Téléport de Svalbard, archipel de Svalbard, Norvège.
Désolé de décevoir les fans de golf. Ceci n’est pas un monument à la gloire de votre sport favori mais la station terrestre de télécommunication par satellite de Svalbard, un archipel de Norvège. Située au-delà du cercle arctique, à seulement un millier de kilomètres du Pôle Nord, cette station est la seule à pouvoir détecter des satellites de basse altitude en orbite polaire dans l’hémisphère Nord. Elle offre ses services à des clients gouvernementaux et privés, dont la NASA et l’Agence spatiale européenne
Un constat sans appel : le monde moderne a détérioré nos sens. Clic ici...........http://dai.ly/x5domad Le corps humain est un équilibre fragile au sein duquel chaque sens a sa place. Son fonctionnement censé assurer le bien-être de l’homme est aujourd’hui altéré par le monde moderne. La dégradation de nos sens et fonctions vitales inquiète beaucoup la communauté scientifique. Trois experts des sens se sont exprimés à ce sujet au cours du meeting annuel de l’ American Association for the Advancement of Science de Boston. EPIDÉMIE DE MYOPIE : DIMINUTION DE L’ACUITÉ VISUELLE D’après le professeur Amanda Melin de l’Université de Calgary, les nouvelles technologies et l’évolution des conditions de travail ont terriblement diminué notre vue. Le temps passé devant les écrans des ordinateurs, des tablettes ou des smartphones, mais aussi la vie en intérieur, la lumière artificielle et le travail dans les bureaux sont essentiellement responsables de la baisse croissante de l’acuité visuelle de l’espèce humaine. Dans certaines régions du monde, la myopie est tellement élevée que 90 % des personnes doivent porter des lunettes. Amanda Melin explique que la vue de l’homme n’a pas été habituée à évoluer dans de telles conditions, c’est pourquoi elle baisse continuellement.
» NOUS SOMMES EN INTÉRIEUR, DANS LA LUMIÈRE ARTIFICIELLE, NOUS NE PASSONS PLUS AUTANT DE TEMPS DEHORS QUE DANS LE CONTEXTE OÙ NOTRE VUE A EVOLUÉ «
Les écrans et l’éclairage diminuent l’acuité visuelle des enfants via Depositphotos
RECORDS D’OBÉSITÉ LIÉS À LA SURCONSOMMATION DE SUCRE Les sociétés occidentales sont très touchées par le fléau du surpoids consécutif de la mauvaise alimentation des familles. Paul Breslin, professeur de sciences nutritionnelles à l’Université Rutgers explique que l’homme dispose d’un goût prononcé pour le sucre analogue àcelui de ses ancêtres les primates. Ce gène précis combiné à la large disponibilité du sucre sur le marché mondial serait responsable de la crise d’obésité qui frappe nos sociétés. Les singes sont particulièrement friands des fruits en tout genre, principales sources de sucre de leur alimentation. Cependant les arbres fruitiers ne produisent pas des fruits toute l’année, Paul Breslin explique qu’après avoir mangé tous les fruits présents dans les arbres, la nature pousse les singes à se rabattre sur les feuilles et les insectes ce qui rétablit l’équilibre de leur organisme. Mais dans le monde moderne, le sucre est toujours accessible, ainsi le professeur précise qu’aujourd’hui l’homme ne se met jamais à la diète comme son ancêtre le singe.
« NOUS GRIMPONS DANS CET ARBRE QUE LA SOCIÉTÉ A CRÉÉ ET NOUS NOUS GAVONS DE FRUITS, MAIS L’ARBRE N’EST JAMAIS À COURT DE FRUITS ET NOUS N’EN DESCENDONS JAMAIS NON PLUS, DONC NOUS MANGEONS DE GRANDES QUANTITÉS DE SUCRE ET NOUS PRENONS DU POIDS »
DES MALADIES PHYSIQUES ET MENTALES LIÉES À LA POLLUTION D’après le professeur Kara Hoover de l’Université d’Alaska, le nez des humains est aujourd’hui incompatible avec le monde moderne. L’odorat s’est développé dans un monde riche en odeurs mais aujourd’hui,la pollution diminue les facultés olfactives et nous empêche d’interagir avec le monde. Les perturbations de l’odorat et des facultés respiratoires déclenchées par la pollution exposent l’organisme à des troubles mentaux comme la dépression et l’anxiété, des déséquilibres physiques comme l’obésité et des risques sociaux qui pèsent sur les interactions avec autrui.
« LA POLLUTION TEND À PERTURBER LE SENS DE L’ODORAT, CE QUI VOUS EXPOSE À DIFFÉRENTS RISQUES »
La pollution atmosphérique perturbe l’odorat et favorise le développement de maladies via Depositphotos CHANGER LE COURS DE L’ÉVOLUTION Si nos sens se détériorent, ce n’est pas une fatalité, il reste toujours possible de préserver l’équilibre du corps. Pour que notre globe oculaire se développe correctement, Amanda Melinpréconise de sortir plus souvent, la rétine ainsi sollicitée sera plus apte à se concentrer sur des images à la bonne échelle. Pour elle, il faudrait que les politiques exhortent les jeunes à vivre plus souvent en extérieur. Le professeur Paul Breslin quant à lui nous met en garde sur l’importance d’avoir une alimentation équilibrée et nous conseille de diminuer drastiquement les quantités de sucre que nous consommons. Enfin, le professeur Hoover et d’avis que tous les moyens sont bons pour lutter contre la pollution atmosphérique. L’amélioration de nos sens pourrait agir comme un cercle vertueux, si l’environnement est plus propre, les familles sortiront plus, elles pourront ainsi se dépenser et préserver leur vue…
Un monde sans pollution permettrait de rétablir l’équilibre du corps
UN JARDIN DE NARCISSE.... A la sortie de l’hiver, le jardin de Berchigranges, dans les Vosges, se pare de narcisses qui explosent par milliers. Visite printanière avec Monique et Thierry, les propriétaires d’un lieu réputé pour sa poésie, ses richesses végétales et ses idées inédites.
Elevé au rang des plus beaux jardins de France, Berchigranges reste le lieu intime d’un couple, Monique et Thierry, qui s’est construit et a organisé sa vie autour de cette œuvre. Une œuvre qui lui permet d’exprimer sa passion pour le jardinage, sa créativité et son amour pour les plantes.
Les narcisses ouvrent le bal Dans les Vosges, l’hiver est neigeux, froid et long ! Aussi lorsque la jonquille (Narcissus pseudonarcissus) - ‘Perle des Vosges’- fait à nouveau son apparition, c’est magique et si joyeux qu’à Gérardmer(commune voisine) on la célèbre par des défilés de chars, des cordons de fleurs et autres ornements floraux que les habitants confectionnent avec la cueillette des prairies. Cet événement a lieu tous les deux ans. Narcisse 'Johann Strauss'. A Berchigranges, la fête est plus sobre, mais pas moins brillante. Elle dure chaque année près de deux mois, et met à l’honneur des centaines de variétés différentes, chacune étant représentée par 10, 20, 50 sujets… et même 1000 dans les prairies en contrebas, où le jardin formel cède en douceur la place à un paysage plus naturel. « Pour favoriser la naturalisation, je n’ai utilisé à cet endroit que six variétés proches des espèces botaniques », précise Thierry. En attendant pas moins de 50000 têtes jaunes et blanches s’offrent à vous dans la végétation naissante des brunneras, euphorbes, épimédiums, pivoines, géraniums…, dont les tons changent au fil des jours ! Leur défilé suit les ruisseaux et les coulées de pierres dans ce jardin au relief vallonné, s’amassant par endroits autour d’un banc ou d’un ponton-terrasse. Si leurs tiges tremblent sous le vent, il est rare qu’elles cassent quand les bourrasques menacent. Les trompettes résistent aussi, plus ragaillardies qu’affectées par les giboulées. En bon montagnard, le narcisse craint davantage le soleil que le frais printemps vosgien, ce qui le prédestinait à rejoindre les collections du jardin. Dans cette terre déjà très peuplée, il s’est donc installé, vivant son cycle végétatif sans déranger.
Des ambiances variéesAuprès des ruisseaux qu’on enjambe sur des chemins de bois, les scènes pleines de fraîcheur abritent les formes les plus majestueuses de la jonquille et du narcisse des poètes. Les combinaisons sont travaillées presque à l’infini pour obtenir des tons sur tons vifs (‘Ambergate’, ‘Mondragon’, ‘Bravoure’…), des couronnes rosées (‘Romance’, ‘Salomé’, ‘Passionale’), des petites corolles doubles (’Rip Van Ripple’, ‘Van sion…).Elles y côtoient les Trillium, dont le rare T.grandiflorum ‘Flore pleno’, bientôt remplacés par les primevères candélabres, les lysimaques, les méconopsis… Les vivaces qui s’annoncent ne tarderont pas à submerger les feuilles des bulbes qui se feront oublier dès la fin des floraisons. Au centre du terrain, la grande rocaille épouse le relief dans la pente qui remonte légèrement bordée par des blocs de pierres savamment agencés. Dès le printemps, les recoins et les étages de ce milieu ultra drainé, offrent un refuge idéal aux plus belles miniatures dont les parfums méritent que l’on y plonge son nez, même si on ne les remarque pas tout de suite : ce sont les puschkinias, les erythroniums, les scilles, les muscaris, les narcisses (N. cyclamineus et le très petit N. rupicola dont la fleur n’est guère plus large qu’une bille).
Cette famille vit dans le cercle arctique depuis 2013 dans une maison... extraordinaire !
En norvégien, « Hjertefølger » signifie « suivre son cœur ». Et ce n’est pas un hasard si la famille que vous allez découvrir porte ce nom. En effet, il en faut de l’envie et du courage pour partir vivre dans un endroit particulièrement reculé du cercle polaire. Pourtant, c’est exactement ce que font les Hjertefølger depuis décembre 2013.
Seulement voilà, résider dans une zone du globe où le thermostat frôle régulièrement les -40 °C voire -50 °C en hiver, et ne dépasse que très rarement les 10 °C en été, demande quelques précautions. Pour face à cette météo plutôt rude, la petite tribu de six personnes a décidé de construire, tout autour de leur maison, un dôme géodésique. Comprenez : sans piliers. Mais comment ? Cette structure sphérique a l’avantage de distribuer les forces et les tensions sur l'ensemble de la structure, laissant ainsi l'intérieur entièrement disponible.
En plus d’offrir un vaste espace, le dôme géodésique permet, grâce aux rayons du soleil qui tapent sur sa paroi vitrée, de réchauffer l’air qu’il renferme. Et donc, d’augmenter la température à l’intérieur. La famille obtient ainsi un microclimat plus tempéré qui leur permet de créer un potager.. Un vrai plus quand on sait que la maison des Hjertefølger se situe à plus de 1 000 kilomètres au nord d’Oslo, loin de toutes commodités. Et enfin,la cerise sur le gâteau, la structure n’empêche pas d’observer le sublime spectacle des aurores boréales, très fréquentes dans la zone.
« La sensation que l’on a quand on évolue dans cette maison est différente de toutes celles que l’on peut ressentir dans n’importe quelle autre habitation. L’atmosphère y est unique. Le lieu est tellement calme, vous ne pouvez pas imaginer » a confié Ingrid Hjertefølger, la mère de famille, à nos confrères de chez Inhabitat.
Des spécialités bretonnes que le monde nous envie.
En Bretagne, on est pas du genre à se la raconter niveau gastronomie. Pas de fines herbes cueillies dans la rosée matinale, pas d'épices raffinées venues du bout du monde, non... Le Breton fait avec ce qu'il a sous la main, de la farine, des pommes, du porc et du beurre. Plein de beurre. Et malgré tout, la Bretagne a su se forger une véritable identité culinaire. La preuve par 10.
POUR COMMENCER
Une bonne sardine Ok la mer appartient à tout le monde, mais les meilleures conserveries sont en Bretagne. Le pâté Henaff Si la Sarthe a ses rillettes, la Bretagne peut compter sur ces conserves de pâté fabriquées par une entreprise qui a toujours revendiqué son ancrage dans la région. Et pour une fois qu'une spécialité bretonne n'est pas constituée à 50% de beurre, on va le noter.
POUR LES PLATS
La galette saucisse Le "hot-dog breton", un élément majeur de la gastronomie bretonne, pas trop compliqué à faire : vous avez une galette ? vous avez une saucisse ? Bah voilà vous avez une galette saucisse. Preuve de son succès interplanétaire, les supporters du Stade Rennais en ont fait une chanson : "Galettes saucisse, je t'aime ! / J'en mangerai des kilos (et des kilos !) / Dans tout l'Ille-et-Vilaine / Avec du lait ribot !
La Saint-Jacques de Saint-Brieuc La "pecten maximus", ne cherchez pas, il n'y a pas meilleur...
La Roulade Sévigné L'emblème de la ville de Vitré !
L'Andouille de Guémené On pratique l'andouille dans plusieurs bourgades de France, mais la rivalité se joue clairement entre ces souillons de Vire en Normandie, qui se contentent de bourrer des lambeaux de tripaille dans un gros intestin et celle de Guémené, plus rafinée, qui présente des cercles concentriques de boyaux enfilées les uns dans les autres. Bon, ceci dit,ça reste des abats de porc.
Le Kig-Ha-Farz Littéralement « viande et far ». Ne l'appelez pas Pot au feu, ça risquerait de le blesser
Le Coco de Paimpol Les rois du Haricot
POUR LE DESSERT
La crêpe Pas besoin de se crêper le chignon, la crêpe, ça défonce le pancake ou tout ce qui se fait de similaire. Si vous en avez marre de la traditionnelle beurre-sucre.
Ker-Y-Pom Une petite brioche avec du chocolat
La caramel au beurre-salé Sous toutes les formes, notamment des bonbons dans le Morbihan. La tradition n'est pas ancrée depuis des siècles dans la région et il semblerait que cette "spécialité" soit un peu factice.
Le Far Breton Plus efficace qu'un Smecta pour vous coller l'estomac bien au fond. Du flan, des pruneaux, le Breton n'est pas du genre à faire des machins en neige pour épater la galerie.
Le Kouign-amann Peut-être le gâteau le plus difficile à épeler, rien que ça. Ah si, et le plus riche en calorie du monde aussi. Une bouchée et vous sentez votre sang s'épaissir dans vos artères. Du coup les Bretons n'en mangent presque jamais et en vendent par palettes entières aux touristes en ciré. Le Quatre-quarts Et oui, le gâteau star de toutes vos boums d'adolescents vient de Bretagne. Pourquoi ce nom ? Facile, les 4 ingrédients (farine, sucre, beurre, œufs) sont en quantité égale.
Les Galettes de Pont-Aven Avant d'être UN FILM AUX RÉPLIQUES CULTES de Jean-Pierre Marielle, c'est aussi un gâteau Les fraises de Plougastel C'est depuis l'un des plus jolis coins de Bretagne, au bord de la rade de Brest, que l'on inonde depuis plus d'un siècle l'Europe de fraises etde confitures. Et la "Fête des fraises", le 2ème dimanche de juin, est un évenement incontournable. Les palets bretons 1 cm et demi d'épaisseur, un goût de beurre qui ne se cache pas, et un biscuit qui ne trouve pas de rival quand il s'agit d'accompagner un café.
POUR ARROSER LE TOUT
Le cidre breton Autrefois, le Breton buvait du vin. Comme un trou. Du coup les autorités ont cherché à imposer une boisson un peu plus light, avec le même "voltage" que la bière, pour contenir les drames. Le cidre s'est imposé,et est devenu le compagnon idéal de la galette.
Le Lambig La gnôle locale, à base de cidre, qu'on appelle, comme en Normandie, de "l'eau de vie". Un joli nom pour un truc qui retourne les boyaux bien comme il faut Le chouchen Une légende veut que parfois, le venin de l'abeille reste dans cette boisson à base de miel, et que certains ivrognes peu attentifs basculentsur le dos. Le chouchen, c'est un peu le "fugu" breton.
Derrière le joli nom musical de Milly-la-Forêt se trouve une commune tout aussi charmante. Cette dernière, située dans le département de l’Essonne, abrite plusieurs lieux à ne surtout pas manquer. Comme la maison où vécut Jean Cocteau de 1947 jusqu’à sa mort, en 1963. Cette très belle demeure, facilement reconnaissable à ses deux tourelles, est ouverte à la visite, et retrace l’œuvre de l’artiste ainsi que sa vie commune avec Jean Marais. La découverte artistique du village se poursuit à quelques pas de là, dans la forêt de Milly, où se trouve une étonnante sculpture aux allures de monstre métallique. Le « Cyclop » est une œuvre commune créée par Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle et plusieurs de leurs amis artistes. Composée de 350 tonnesd’acier, cette tête haute de plus de 22 mètres possède un œil unique etdoré. L'exploitation Depuis 1996, Catherine Bosc-Bierne a repris le flambeau de son père qui déjà régalait avec ses spécialités de Milly-la-Forêt. En plus du traditionnel glaçon de Milly, cette fameuse friandise à la menthe poivrée de Milly, Catherine compose des tisanes avec des plantes sélectionnées pour leurs vertus médicinales et aromatiques, toutes BIO. Dans la boutique de la place du marché de Milly-la-Forêt, vous trouverez aussi les sirops et liqueurs sans colorant, distillés par Catherine avecdes plantes de la région.
Depuis le XVIe jusqu’au XIXe siècle, le château de Saint-Cloud fut fréquenté par d’illustres personnages, comme le frère du roi Louis XIV, Marie-Antoinette ou encore Napoléon Bonaparte. Détruit lors de la guerre de 1870 entre la France et la Prusse, le château était situé au cœur d’un splendide parc qui se visite encore aujourd’hui. Le domaine national de Saint-Cloud, initialement dessiné par Le Nôtre, s’étend sur quelque 460 hectares. Agrémenté de statues et de fontaines, ce parc considéré comme l’un des plus beaux espaces de ce type en Europe offre une vue panoramique sur Paris. Le parc de Saint-Cloud officiellement domaine national de Saint-Cloud est un parc situé sur les communes de Saint-Cloud, Marnes-la-Coquette, Sèvres et Garches dans le département des Hauts-de-Seine, près de Paris.
Amateurs d’art urbain, ne quittez pas le Val-de-Marne sans découvrir les superbes œuvres d’architecture que compte la ville de Nogent-sur-Marne. Les maisons d’inspiration normande, à la mode à la fin du XIXe siècle, rivalisent en majesté avec les réalisations plus tardives, de styles Art Déco et Art Nouveau. Des promenades dans la ville sont organisées pour permettre au public de contempler les nombreuses façades qui portent l’empreinte artistique du début du XXe siècle. Côté Art Nouveau, ce sont les architectes Damotte et Nachbaur qui modelèrent à leur façon plusieurs bâtiments de Nogent-sur-Marne. Plus tard, dans les années 1930, Tissoire et Hillion invitèrent la modernité de l’Art Déco au cœur de la ville.De quoi faire de Nogent-sur-Marne une commune au style résolument éclectique, également marqué par le néo-baroque et le néo-Renaissance. Nogent-sur-Marne (prononcé [n?.????sy??ma?n]) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en régionÎle-de-France. C'est l'une des 47 communes de ce département et l'une des trois sous-préfectures. Le 10 juin 2010,Nogent-sur-Marne est la première commune du Val-de-Marne à obtenir le label « Commune touristique ».
Les Maisons De Pays Nordiques... Aux Toits Végétalisés Sont Magnifiques ! Source : Endroit magnifique dans la république d'Islande... Belles et surprenantes, ces maisons traditionnelles en bois sont aussi très performantes. En voici quelques superbes spécimens... Par : Axel Leclercq -
Ces constructions fascinent le monde entier et, à raison, ces gens de pays nordiques en sont très fiers. Mais la beauté est loin d’être le seul atout de ces étonnantes maisons en bois. Non. Si ces constructions ont un toit végétalisé, c’est avant toutpour répondre à des objectifs essentiels et très concrets : Le système permet notamment d’absorber l’eau, de réduire considérablement les frais de chauffage en hiver et de garder l’intérieur au frais en été! Bref, que du bon ! Voici 20 magnifiques exemples… On Dirait Des Décors De Conte De Fées !
Hofskirkja, Islande
Thjorsardalur, Islande
Par National De Vatnajökull, Islande
Renndølsetra, Norvège
Torshavn, Iles Féroé
Skalholt, Islande
Saksun, Iles Féroé
Église De Funningur, Iles Féroé
Mikladalur, Iles Féroé
Saksun, Îles Féroé
Geiranger, Norvège
Norvège
Norvège
Rogaland, Norvège
Skjolden, Norvège
Église De Saksun, Îles Féroé
Olden, Norvège
Glaumbaer, Islande
Kvednafossen, Norvège
Superbe, tout simplement… Source Des Photographies : Toutes de source différente...
Le Mammouth A Subi Des Mutations Génétiques Néfastes...
Un mammouth numérique illustré dans le film 10,000 BC (2008). Warner Bros.Agence France-Presse Washington
L'effondrement des populations de mammouths laineux a provoqué des mutations génétiques dévastatrices qui ont conduit à la disparition des derniers de ces animaux encore présents dans une île de l'Arctique il y a 3700 ans.
Les mammouths étaient les grands herbivores les plus répandus en Amérique du Nord et en Sibérie jusqu'à leur extinction sur les terres continentales il y a environ 10 000 ans. Ils ont été victimes du réchauffement du climat après le dernier âge glaciaire (-75 000 à - 12 000 ans) et de la chasse des populations humaines, expliquent les auteurs d'une étude publiée jeudi dans la revue scientifique américaine PLOS Genetics. Ces chercheurs, dont Rebekah Rogers et Montgomery Slatkin de l'université de Californie à Berkeley, ont comparé le génome d'un mammouth continental datant de 45 000 ans, quand leurs populations étaient abondantes, à celui d'un de ces animaux qui vivait il y a environ 4300 ans dans un troupeau de 300 têtes dans la petite île Wrangel, juste avant leur extinction.
Leur analyse révèle que le génome de l'un de ces derniers mammouths avait accumulé de multiples mutations néfastes. Ces animaux avaient ainsi perdu de nombreux récepteurs olfactifs permettant de détecter les odeurs ainsi que des protéines urinaires, ce qui a pu avoir un impact sur leur statut dans le groupe ainsi que sur leur reproduction. La comparaison entre ces deux génomes a donné aux chercheurs une occasion rare de voir ce qui arrive au patrimoine génétique quand la taille de lapopulation d'une espèce se réduit fortement. Utilisant des modèles mathématiques, les deux généticiens ont pu déterminer que les différences entre les deux génomes de mammouths étaient trop extrêmes pour être expliquées par d'autres facteurs. Ces résultats confortent une théorie en discussion depuis des décennies selon laquelle une forte diminution de la population d'une espèce entraîne une multiplication de mutations génétiques néfastes, soulignent les auteurs. Ces conclusions pourraient aussi être utiles pour aider dans les efforts de préservation des espèces en danger d'extinction. Par ailleurs, des scientifiques américains ont indiqué en février qu'ils travaillaient sur un projet pour ressusciter le mammouth grâce à l'ingénierie génétique. «Notre but est de produire un embryon hybride mi-éléphant mi-mammouth», a dit le professeur George Church, un généticien célèbre de l'université Harvard. «En fait, ce sera probablement davantage un éléphant avec un nombre de traits caractéristiques de mammouth», a-t-il dit, ajoutant: «nous n'y sommes pas encore mais cela pourrait arriver d'ici deux ans». ---------------------------------------------- Un Manchot Géant Au Pays Des Dinosaures L'illustration d'un artiste des manchots géants. Chris GASKIN, Geology Museum University of Otago, AFP Agence France-PresseParis
La découverte d'un fossile de manchot géant, vieux de 61 millions d'années, ouvre la voie à une image étonnante... Les tous premiers représentants de ces oiseaux marins à la démarche chaloupée auraient côtoyé les dinosaures.
Le fossile découvert sur l'Ile du sud de Nouvelle-Zélande par un collectionneur amateur représente « l'un des plus anciens fossiles de manchot au monde », selon l'étude parue jeudi dans la revue scientifique The Science of Nature.
Selon les conclusions d'une équipe de chercheurs allemand et néo-zélandais, l'animal aurait foulé la glace il y a 61 millions d'années, au Paléocène. Mais ce n'est finalement pas son grand âge qui interpelle les scientifiques,c'est plutôt son squelette. Très grand, il diffère énormément des autres fossiles de manchots datant approximativement de la même époque. Car un autre manchot appelé « Waimanu manneringi » avait également été découvert le long de la même rivière Waipara dans la région de Canterbury. On avait déjà estimé qu'il devait avoir environ 61 millions d'années. Mais « les deux manchots, provenant exactement de la même localité, sont morphologiquement très différents », explique à l'AFP Gerald Mayr du Forschungsinstitut Senckenberg, le musée d'histoire naturelle de Francfort (Allemagne), coauteur de l'étude. Haut de 1,50 mètre, le nouveau venu, baptisé le « manchot géant waipara », mesure près de 30 cm de plus que le manchot empereur, le plus grand et le plus lourd représentant actuel de cette famille d'oiseaux marins. « Les os des pattes que nous avons étudiés montrent que ce manchot était significativement plus grand que son congénère précédemment découvert »,explique Gerald Mayr. Or si une espèce est très diversifiée au Paléocène, cela implique qu'un ancêtre commun aux différents descendants les a précédés, « cinq à dix millions d'années plus tôt », précise l'ornithologue. Et cinq à dix millions d'années avant le Paléocène c'était... l'ère des dinosaures?! Les monstres préhistoriques ont peuplé la planète jusqu'à il y a 65 millions d'années et leur extinction totale. « Cette diversité indique que les premiers représentants des manchots existaient déjà à l'âge des dinosaures, il y plus de 65 millions d'années », conclut Gerald Mayr. En outre, selon l'équipe de chercheurs, les grands pieds du « manchot géant waipara » indiquent qu'il avait certainement déjà acquis la station verticale et sa démarche dandinante si caractéristique.
-------------------------------------------------- Le Mystère De L'origine Des Plantes À Fleurs S'éclaircit...
Pour comprendre comment elles y sont parvenues, les scientifiques se sont intéressés à la génétique d'une plante gymnosperme, l'étonnante Welwitschia mirabilis, capable de vivre pendant plus d'un millénaire.Michael W. Frohlich, CNRS via archives AFPAgence France-Presse
Mais d'où viennent les plantes à fleurs au système reproductif sophistiqué et très efficace?? L'étude génétique d'une étonnante plante cousine, qui ne pousse que dans certains déserts africains, a permis à des chercheurs français de lever un coin du voile.
« Nous avons dissipé une petite partie » de ce que Charles Darwin appelait « l'abominable mystère » de l'origine des plantes à fleurs, déclare à l'AFP le biologiste François Parcy, directeur de recherche CNRS à l'Université de Grenoble. L'étude a été publiée dans la revue New Phytologist. Les végétaux ont colonisé la terre ferme il y a plus de 400 millions d'années, mais les plantes à fleurs (angiospermes) sont apparues il y a seulement 150 millions d'années. Elles ont été directement précédées par le groupe des gymnospermes, dont le mode de reproduction est plus rudimentaire et qui compte notamment les actuels conifères. « Ces plantes ont déjà inventé la graine, mais pas encore la fleur », explique François Parcy.
Apparus il y a 300 millions d'années, les gymnospermes se reproduisent grâce à des cônes mâles d'un côté et des cônes femelles de l'autre, le vent étant chargé de transporter le pollen. « Ce n'est pas ce qu'il y a de plus efficace », souligne M. Parcy. Les plantes à fleurs ont beaucoup innové. La fleur rassemble à la fois les organes mâles (étamines) et femelles (pistil), entourés par des pétales et des sépales. Et les ovules, au lieu d'être nus, sont protégés au sein du pistil. « C'est un système de reproduction incroyablement efficace », relève M. Parcy. Pour comprendre comment elles y sont parvenues, les scientifiques se sont intéressés à la génétique d'une plante gymnosperme, l'étonnante Welwitschia mirabilis, capable de vivre pendant plus d'un millénaire. Poussant uniquement dans les déserts côtiers de Namibie et d'Angola, elle se développe à partir d'un tronc court qui comporte seulement deux grandes feuilles. De façon curieuse, ses cônes mâles possèdent quelques ovules stériles et du nectar, ce qui révèle « une tentative échouée de faire des fleurs », note M. Parcy. Les auteurs de cette étude, fruit d'une collaboration entre l'Université Grenoble Alpes, l'Université Claude Bernard Lyon 1 et les Jardins de Kew(Royaume-Uni), ont découvert chez cette plante des gènes similaires à ceux responsables de la formation des fleurs, qui plus est organisés selon la même hiérarchie. « Pour faire une fleur, il ne faut pas seulement des gènes », explique M. Parcy. « Il faut aussi qu'ils soient en réseau, l'activité des premiers gènes déclenchant celle des seconds et ainsi de suite, en cascade ». Le fait de trouver une cascade de gènes similaires chez les plantes à fleurs et leurs cousins gymnospermes « indique qu'il s'agit là d'un héritage de leur ancêtre commun », relève le CNRS (Centre national de la recherche scientifique). Les plantes à fleurs « n'ont pas eu à l'inventer ». « Les pièces du meccano étaient déjà présentes et elles ont été utilisées pour créer la fleur », souligne M. Parcy. ------------------------------------------------- Les Plus Vieux Micro-Fossiles Trouvés Dans Le Nord Du Québec...Publié Le 01 Mars 2017Par: Émilie Bergeron «Pour rester prudents», les scientifiques ont donné aux microorganismes «un âge minimum de 3,77 milliards d'années.» Image fournie par AFPPascale Mollard-Chenebenoit Agence France-Presse Paris
La vie sur Terre pourrait être apparue encore plus précocement qu'on ne le pensait. Des chercheurs ont découvert des microorganismes fossiles qui auraient entre 3,77 et 4,29 milliards d'années, soit seulement quelques centaines de millions d'années de moins que notre planète.
Les scientifiques ont mis en évidence ces microfossiles dans des couches dequartz du site géologique de la ceinture de Nuvvuagittuq, au nord-est du Québec. Leurs travaux sont publiés mercredi dans Nature.
Une nouvelle étude dont les résultats ont été publiés mercredi dans la revue scientifique Nature lève le voile sur la découverte de restes minéraux qui découleraient d'une bactérie qui existait il y a de 3,77 milliards à 4,28 milliards d'années.«Grâce à des images laser des échantillons prélevés, nous avons pu identifier des microfossiles, qui sont les plus vieux connus au monde», a déclaré Matthew Dodd, de University College London (UCL), dans une vidéo postée sur le site de la revue.
En diamètre ils font la moitié de celui d'un cheveu humain. En longueur, ils mesurent jusqu'à un demi-millimètre, précise-t-il. «Le plus excitant dans ces découvertes», c'est que la vie ait réussi à démarrer sur Terre de façon précoce - «ce qui soulève d'intéressantes questions» sur ce qui s'est passé sur Mars et ailleurs dans l'Univers, considère Matthew Dodd. «Si la vie est arrivée si vite sur Terre», «a-t-elle pu faire de même sur d'autres planètes?», s'interroge-t-il. La Terre s'est formée il y a 4,567 milliards d'années. Ces microfossiles ont été repérés dans la Ceinture de Nuvvuagittuq, un affleurement situé le long des côtes du Québec, qui est réputée abriter la plus vieille roche connue (4,29 mds d'années). «Elle a été datée selon une méthode robuste mais cela reste toutefois controversé», précise à l'AFP Dominic Papineau, de l'UCL, principal auteur de l'étude. «Cheminées» «Pour rester prudents», les scientifiques ont donné aux microorganismes «un âge minimum de 3,77 milliards d'années», ajoute-t-il. C'est déjà 300 millions d'années plus ancien que les plus vieux microfossiles connus jusqu'à présent, qui ont été trouvés en Australie et sont âgés de 3,460 mds d'années, souligne Dominic Papineau. Les microfossiles se sont formés au fond de la mer, à proximité de «cheminées hydrothermales», qui réchauffent les eaux et sont le fruit de l'activité volcanique, soulignent les chercheurs. Dominic Papineau s'est rendu au Québec pour choisir les échantillons de jaspe rouge qui ont ensuite été analysés. Il fallait démontrer que les structures étaient bien d'origine biologique. De minuscules filaments et des tubes formés par des sortes de «bactéries» qui vivaient sur du fer ont été retrouvés encapsulées dans des couches de quartz, souligne UCL dans un communiqué. En septembre 2016, une autre équipe de chercheurs avait annoncé avoir découvert au Groenland des stromatolites (des structures calcaires formées par des colonies microbiennes) vieux de 3,7 milliards d'années. Ces stromatolites se sont formés à la surface de l'eau alors que les microorganismes décrits par la nouvelle étude sont nés dans les profondeurs marines. Pour Matthew Dodd, la nouvelle étude montre que «la vie s'est développée sur notre planète à un moment où Mars et la Terre avaient de l'eau liquide àleur surface». «Par conséquent, nous nous attendons à trouver des preuves de vie passée surMars il y a 4 milliards d'années. A moins que la Terre ne soit une exception», dit-il.
Désolé de décevoir les fans de golf. Ceci n’est pas un monument à la gloire de votre sport favori mais la station terrestre de télécommunication par satellite de Svalbard, un archipel de Norvège. Située au-delà du cercle arctique, à seulement un millier de kilomètres du Pôle Nord, cette station est la seule à pouvoir détecter des satellites de basse altitude en orbite polaire dans l’hémisphère Nord. Elle offre ses services à des clients gouvernementaux et privés, dont la NASA et l’Agence spatiale européenne
a détérioré nos sens.
Clic ici...........http://dai.ly/x5domad
Le corps humain est un équilibre fragile au sein duquel chaque sens a sa place. Son fonctionnement censé assurer le bien-être de l’homme est aujourd’hui altéré par le monde moderne. La dégradation de nos sens et fonctions vitales inquiète beaucoup la communauté scientifique. Trois experts des sens se sont exprimés à ce sujet au cours du meeting annuel de l’ American Association for the Advancement of Science de Boston.
EPIDÉMIE DE MYOPIE : DIMINUTION DE L’ACUITÉ VISUELLE
D’après le professeur Amanda Melin de l’Université de Calgary, les nouvelles technologies et l’évolution des conditions de travail ont terriblement diminué notre vue. Le temps passé devant les écrans des ordinateurs, des tablettes ou des smartphones, mais aussi la vie en intérieur, la lumière artificielle et le travail dans les bureaux sont essentiellement responsables de la baisse croissante de l’acuité visuelle de l’espèce humaine. Dans certaines régions du monde, la myopie est tellement élevée que 90 % des personnes doivent porter des lunettes.
Amanda Melin explique que la vue de l’homme n’a pas été habituée à évoluer dans de telles conditions, c’est pourquoi elle baisse continuellement.
Les écrans et l’éclairage diminuent l’acuité visuelle des enfants via Depositphotos
RECORDS D’OBÉSITÉ LIÉS À LA SURCONSOMMATION DE SUCRE
Les sociétés occidentales sont très touchées par le fléau du surpoids consécutif de la mauvaise alimentation des familles. Paul Breslin, professeur de sciences nutritionnelles à l’Université Rutgers explique que l’homme dispose d’un goût prononcé pour le sucre analogue àcelui de ses ancêtres les primates. Ce gène précis combiné à la large disponibilité du sucre sur le marché mondial serait responsable de la crise d’obésité qui frappe nos sociétés.
Les singes sont particulièrement friands des fruits en tout genre, principales sources de sucre de leur alimentation. Cependant les arbres fruitiers ne produisent pas des fruits toute l’année, Paul Breslin explique qu’après avoir mangé tous les fruits présents dans les arbres, la nature pousse les singes à se rabattre sur les feuilles et les insectes ce qui rétablit l’équilibre de leur organisme. Mais dans le monde moderne, le sucre est toujours accessible, ainsi le professeur précise qu’aujourd’hui l’homme ne se met jamais à la diète comme son ancêtre le singe.
DES MALADIES PHYSIQUES ET MENTALES LIÉES À LA POLLUTION
D’après le professeur Kara Hoover de l’Université d’Alaska, le nez des humains est aujourd’hui incompatible avec le monde moderne.
L’odorat s’est développé dans un monde riche en odeurs mais aujourd’hui,la pollution diminue les facultés olfactives et nous empêche d’interagir avec le monde.
Les perturbations de l’odorat et des facultés respiratoires déclenchées par la pollution exposent l’organisme à des troubles mentaux comme la dépression et l’anxiété, des déséquilibres physiques comme l’obésité et des risques sociaux qui pèsent sur les interactions avec autrui.
La pollution atmosphérique perturbe l’odorat et favorise le développement de maladies via Depositphotos
CHANGER LE COURS DE L’ÉVOLUTION
Si nos sens se détériorent, ce n’est pas une fatalité, il reste toujours possible de préserver l’équilibre du corps.
Pour que notre globe oculaire se développe correctement, Amanda Melinpréconise de sortir plus souvent, la rétine ainsi sollicitée sera plus apte à se concentrer sur des images à la bonne échelle. Pour elle, il faudrait que les politiques exhortent les jeunes à vivre plus souvent en extérieur.
Le professeur Paul Breslin quant à lui nous met en garde sur l’importance d’avoir une alimentation équilibrée et nous conseille de diminuer drastiquement les quantités de sucre que nous consommons.
Enfin, le professeur Hoover et d’avis que tous les moyens sont bons pour lutter contre la pollution atmosphérique.
L’amélioration de nos sens pourrait agir comme un cercle vertueux, si l’environnement est plus propre, les familles sortiront plus, elles pourront ainsi se dépenser et préserver leur vue…
A la sortie de l’hiver, le jardin de Berchigranges, dans les Vosges, se pare de narcisses qui explosent par milliers.
Visite printanière avec Monique et Thierry, les propriétaires d’un lieu réputé pour sa poésie, ses richesses végétales et ses idées inédites.
Elevé au rang des plus beaux jardins de France, Berchigranges reste le lieu intime d’un couple, Monique et Thierry, qui s’est construit et a organisé sa vie autour de cette œuvre.
Une œuvre qui lui permet d’exprimer sa passion pour le jardinage, sa créativité et son amour pour les plantes.
Les narcisses ouvrent le bal
Dans les Vosges, l’hiver est neigeux, froid et long !
Aussi lorsque la jonquille (Narcissus pseudonarcissus) - ‘Perle des Vosges’- fait à nouveau son apparition, c’est magique et si joyeux qu’à Gérardmer(commune voisine) on la célèbre par des défilés de chars, des cordons de fleurs et autres ornements floraux que les habitants confectionnent avec la cueillette des prairies.
Cet événement a lieu tous les deux ans.
Narcisse 'Johann Strauss'.
A Berchigranges, la fête est plus sobre, mais pas moins brillante.
Elle dure chaque année près de deux mois, et met à l’honneur des centaines de variétés différentes, chacune étant représentée par 10, 20, 50 sujets… et même 1000 dans les prairies en contrebas, où le jardin formel cède en douceur la place à un paysage plus naturel. « Pour favoriser la naturalisation, je n’ai utilisé à cet endroit que six variétés proches
des espèces botaniques », précise Thierry.
En attendant pas moins de 50000 têtes jaunes et blanches s’offrent à vous dans la végétation naissante des brunneras, euphorbes, épimédiums, pivoines, géraniums…, dont les tons changent au fil des jours !
Leur défilé suit les ruisseaux et les coulées de pierres dans ce jardin au relief vallonné, s’amassant par endroits autour d’un banc ou d’un ponton-terrasse.
Si leurs tiges tremblent sous le vent, il est rare qu’elles cassent quand les bourrasques menacent.
Les trompettes résistent aussi, plus ragaillardies qu’affectées par les giboulées.
En bon montagnard, le narcisse craint davantage le soleil que le frais printemps vosgien, ce qui le prédestinait à rejoindre les collections du jardin.
Dans cette terre déjà très peuplée, il s’est donc installé, vivant son cycle végétatif sans déranger.
Des ambiances variées Auprès des ruisseaux qu’on enjambe sur des chemins de bois, les scènes pleines de fraîcheur abritent les formes les plus majestueuses de la jonquille et du narcisse des poètes.
Les combinaisons sont travaillées presque à l’infini pour obtenir des tons sur tons vifs (‘Ambergate’, ‘Mondragon’, ‘Bravoure’…), des couronnes rosées (‘Romance’, ‘Salomé’, ‘Passionale’), des petites corolles doubles (’Rip Van Ripple’, ‘Van sion…).Elles y côtoient les Trillium, dont le rare T.grandiflorum ‘Flore pleno’, bientôt remplacés par les primevères
candélabres, les lysimaques, les méconopsis…
Les vivaces qui s’annoncent ne tarderont pas à submerger les feuilles des bulbes qui se feront oublier dès la fin des floraisons.
Au centre du terrain, la grande rocaille épouse le relief dans la pente qui remonte légèrement bordée par des blocs de pierres savamment agencés.
Dès le printemps, les recoins et les étages de ce milieu ultra drainé, offrent un refuge idéal aux plus belles miniatures dont les parfums méritent que l’on y plonge son nez, même si on ne les remarque pas tout de suite : ce sont les puschkinias, les erythroniums, les scilles, les muscaris, les narcisses (N. cyclamineus et le très petit N. rupicola dont la fleur n’est guère plus large qu’une bille).
depuis 2013 dans une maison... extraordinaire !
En norvégien, « Hjertefølger » signifie « suivre son cœur ». Et ce n’est pas un hasard si la famille que vous allez découvrir porte ce nom. En effet, il en faut de l’envie et du courage pour partir vivre dans un endroit particulièrement reculé du cercle polaire. Pourtant, c’est exactement ce que font les Hjertefølger depuis décembre 2013.
Seulement voilà, résider dans une zone du globe où le thermostat frôle régulièrement les -40 °C voire -50 °C en hiver, et ne dépasse que très rarement les 10 °C en été, demande quelques précautions. Pour face à cette météo plutôt rude, la petite tribu de six personnes a décidé de construire, tout autour de leur maison, un dôme géodésique. Comprenez : sans piliers. Mais comment ? Cette structure sphérique a l’avantage de distribuer les forces et les tensions sur l'ensemble de la structure, laissant ainsi l'intérieur entièrement disponible.
En plus d’offrir un vaste espace, le dôme géodésique permet, grâce aux rayons du soleil qui tapent sur sa paroi vitrée, de réchauffer l’air qu’il renferme. Et donc, d’augmenter la température à l’intérieur. La famille obtient ainsi un microclimat plus tempéré qui leur permet de créer un potager.. Un vrai plus quand on sait que la maison des Hjertefølger se situe à plus de 1 000 kilomètres au nord d’Oslo, loin de toutes commodités. Et enfin,la cerise sur le gâteau, la structure n’empêche pas d’observer le sublime spectacle des aurores boréales, très fréquentes dans la zone.
« La sensation que l’on a quand on évolue dans cette maison est différente de toutes celles que l’on peut ressentir dans n’importe quelle autre habitation. L’atmosphère y est unique. Le lieu est tellement calme, vous ne pouvez pas imaginer » a confié Ingrid Hjertefølger, la mère de famille, à nos confrères de chez Inhabitat.
Vous allez en prendre plein la vue :
En Bretagne, on est pas du genre à se la raconter niveau gastronomie. Pas de fines herbes cueillies dans la rosée matinale, pas d'épices raffinées venues du bout du monde, non... Le Breton fait avec ce qu'il a sous la main, de la farine, des pommes, du porc et du beurre. Plein de beurre.
Et malgré tout, la Bretagne a su se forger une véritable identité culinaire. La preuve par 10.
POUR COMMENCER
Une bonne sardine
Ok la mer appartient à tout le monde, mais les meilleures conserveries sont en Bretagne.
Le pâté Henaff
Si la Sarthe a ses rillettes, la Bretagne peut compter sur ces conserves de pâté fabriquées par une entreprise qui a toujours revendiqué son ancrage dans la région. Et pour une fois qu'une spécialité bretonne n'est pas constituée à 50% de beurre, on va le noter.
POUR LES PLATS
La galette saucisse
Le "hot-dog breton", un élément majeur de la gastronomie bretonne, pas trop compliqué à faire : vous avez une galette ? vous avez
une saucisse ? Bah voilà vous avez une galette saucisse. Preuve de son succès interplanétaire, les supporters du Stade Rennais en ont fait une chanson : "Galettes saucisse, je t'aime ! / J'en mangerai des kilos (et des kilos !) / Dans tout l'Ille-et-Vilaine / Avec du lait ribot !
La Saint-Jacques de Saint-Brieuc
La "pecten maximus", ne cherchez pas, il n'y a pas meilleur...
La Roulade Sévigné
L'emblème de la ville de Vitré !
L'Andouille de Guémené
On pratique l'andouille dans plusieurs bourgades de France, mais la rivalité se joue clairement entre ces souillons de Vire en Normandie, qui se contentent de bourrer des lambeaux de tripaille dans un gros intestin et celle de Guémené, plus rafinée, qui présente des cercles concentriques de boyaux enfilées les uns dans les autres. Bon, ceci dit,ça reste des abats de porc.
Le Kig-Ha-Farz
Littéralement « viande et far ». Ne l'appelez pas Pot au feu, ça risquerait de le blesser
Le Coco de Paimpol
Les rois du Haricot
POUR LE DESSERT
La crêpe
Pas besoin de se crêper le chignon, la crêpe, ça défonce le pancake ou tout ce qui se fait de similaire. Si vous en avez marre de la
traditionnelle beurre-sucre.
Ker-Y-Pom
Une petite brioche avec du chocolat
La caramel au beurre-salé
Sous toutes les formes, notamment des bonbons dans le Morbihan. La tradition n'est pas ancrée depuis des siècles dans la région et il semblerait que cette "spécialité" soit un peu factice.
Le Far Breton
Plus efficace qu'un Smecta pour vous coller l'estomac bien au fond. Du flan, des pruneaux, le Breton n'est pas du genre à faire des machins en neige pour épater la galerie.
Le Kouign-amann
Peut-être le gâteau le plus difficile à épeler, rien que ça. Ah si, et le plus riche en calorie du monde aussi. Une bouchée et vous sentez
votre sang s'épaissir dans vos artères. Du coup les Bretons n'en mangent presque jamais et en vendent par palettes entières aux touristes en ciré.
Le Quatre-quarts
Et oui, le gâteau star de toutes vos boums d'adolescents vient de Bretagne. Pourquoi ce nom ? Facile, les 4 ingrédients (farine, sucre,
beurre, œufs) sont en quantité égale.
Les Galettes de Pont-Aven
Avant d'être UN FILM AUX RÉPLIQUES CULTES de Jean-Pierre Marielle, c'est aussi un gâteau
Les fraises de Plougastel
C'est depuis l'un des plus jolis coins de Bretagne, au bord de la rade de Brest, que l'on inonde depuis plus d'un siècle l'Europe de fraises etde confitures. Et la "Fête des fraises", le 2ème dimanche de juin, est un évenement incontournable.
Les palets bretons
1 cm et demi d'épaisseur, un goût de beurre qui ne se cache pas, et un biscuit qui ne trouve pas de rival quand il s'agit d'accompagner un café.
POUR ARROSER LE TOUT
Le cidre breton
Autrefois, le Breton buvait du vin. Comme un trou. Du coup les autorités ont cherché à imposer une boisson un peu plus light, avec le même "voltage" que la bière, pour contenir les drames. Le cidre s'est imposé,et est devenu le compagnon idéal de la galette.
Le Lambig
La gnôle locale, à base de cidre, qu'on appelle, comme en Normandie, de "l'eau de vie". Un joli nom pour un truc qui retourne les boyaux bien comme il faut
Le chouchen
Une légende veut que parfois, le venin de l'abeille reste dans cette boisson à base de miel, et que certains ivrognes peu attentifs basculentsur le dos. Le chouchen, c'est un peu le "fugu" breton.
Le Mont-Saint-Michel est une commune française située dans le département de la Manche en Normandie. Elle tire son nom de l'îlot rocheux consacré à saint Michel où s’élève aujourd’hui l’abbaye du Mont-Saint-Michel.
L’architecture du Mont-Saint-Michel et sa baie en font le site touristique le plus fréquenté de Normandie1 et l'un des dix plus fréquentés en France — et même le premier des sites après ceux d'Île-de-France — avec près de deux millions et demi de visiteurs chaque année (3 250 000 en 2006, 2 300 000 en 2014).
Une statue de saint Michel placée au sommet de l’église abbatiale culmine à 170 mètres au-dessus du rivage. Élément majeur, l'abbaye et ses dépendances sont classées au titre des monuments historiques par la liste de 18624 (60 autres constructions étant protégées par la suite5) ; la commune et la baie figurent depuis 19796 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
En 2013, la commune comptait 41 habitants appelés les Montois.
Fontainebleau, la "maison des siècles"
Photo 2/12© Andrea Anastasakis / Flickr CC 2.0
Bienvenue dans la "maison des siècles", comme l’appelait Napoléon. Le château de Fontainebleau, situé au sud de la Seine-et-Marne, possède en effet une histoire longue et riche.
La construction de l’ensemble, qui commença au XIIe siècle, dura jusqu’au XIXe siècle. C’est François Ier qui, appréciant d’y séjourner et d’allerchasser dans la forêt de Fontainebleau, fit du château une demeure à dimensions royales.
Au fil des époques, les lieux ont accueilli les plus grands noms de l’histoire de France, qui laissèrent derrière eux leur empreinte stylistique.
L’histoire de Vaux-le-Vicomte
Photo 3/12© Mark B. Schlemmer / Flickr CC 2.0
Le château de Vaux-le-Vicomte, situé sur le territoire de la commune française de Maincy, à 50 km au sud-est de Paris, près de Melun est un château du XVII? siècle, construit pour le surintendant des finances de Louis XIV, Nicolas Fouquet.
Ancienne demeure resplendissante de Nicolas Fouquet, le surintendant des finances du roi Louis XIV, le château de Vaux-le-Vicomte fit à la fois la gloire et la ruine de son célèbre propriétaire.
C’est ici que Fouquet donna un jour une fête somptueuse qui impressionna tant le roi Soleil qu’il prit peur du pouvoir et de la richesse de son surintendant, et décida de l’emprisonner à vie pour le mettre à l’écart
de la vie politique du royaume.
Situé sur la commune de Maincy, en Seine-et-Marne, le château de Vaux-le Vicomte, né des talents conjugués de l’architecte Louis Le Vau, du peintre Charles Le Brun ou encore du paysagiste André Le Nôtre, se prêteidéalement à une visite nocturne, lorsque les lieux sont éclairés à la chandelle…
La cité médiévale de Provins
Photo 4/12© Guillaume Speurt / Flickr CC 2.0
Provins est une commune française située à soixante-dix sept kilomètres au sud-est de Paris, sous-préfecture du département de Seine-et-Marne dans la région Île-de-France. Elle est le chef-lieu de l'arrondissement et du
canton.
En vous baladant à Provins, au sud-est de la Seine-et-Marne, ne soyez pas surpris de tomber nez à nez avec un aigle. Cette ancienne cité médiévaleest en effet réputée pour son spectacle de fauconnerie, qui se tient aucœur des imposants remparts de la vieille ville.
De quoi faire ressurgir le passé moyenâgeux de cette ancienne place commerçante d’importance régionale, qui accueillait il y a mille ans lesgrandes Foires de Champagne.
Afin de protéger les richesses accumulées par la cité, une enceinte défensive fut construite sur environ 5 kilomètres, et l’on peut encore aujourd’hui admirer une partie des lourds murs érigés au XIIIe siècle.
L’Observatoire de Meudon
Photo 5/12© Jean-Marc Astesana / Flickr CC 2.0
Direction Meudon, dans le département des Hauts-de-Seine, pour admirer l’un des trois sites qui constituent le prestigieux Observatoire de Paris.
Cet établissement fondé en 1667 est l’un des plus vieux observatoires astronomiques du monde, et dispense encore aujourd’hui un enseignement de haute qualité.
Le site de Meudon est singulier. Situé sur une colline, le Château Neuf de la ville, construit par le fils de Louis XIV, fut au XIXe siècle surmonté d’une grande coupole astronomique dotée d’une lunette d’observation.
L’observatoire est encore aujourd’hui un lieu de travail privilégié des astrophysiciens spécialistes du Soleil.
L'Observatoire de Paris est un observatoire astronomique implanté sur trois sites : Paris, Meudon et Nançay.
Les mystères de Milly-la-Forêt.
Photo 6/12© Renaud Camus / Flickr CC 2.0
Derrière le joli nom musical de Milly-la-Forêt se trouve une commune tout aussi charmante. Cette dernière, située dans le département de l’Essonne, abrite plusieurs lieux à ne surtout pas manquer.
Comme la maison où vécut Jean Cocteau de 1947 jusqu’à sa mort, en 1963.
Cette très belle demeure, facilement reconnaissable à ses deux tourelles, est ouverte à la visite, et retrace l’œuvre de l’artiste ainsi que sa vie commune avec Jean Marais.
La découverte artistique du village se poursuit à quelques pas de là, dans la forêt de Milly, où se trouve une étonnante sculpture aux allures de monstre métallique.
Le « Cyclop » est une œuvre commune créée par Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle et plusieurs de leurs amis artistes. Composée de 350 tonnesd’acier, cette tête haute de plus de 22 mètres possède un œil unique etdoré.
L'exploitation
Depuis 1996, Catherine Bosc-Bierne a repris le flambeau de son père qui déjà régalait avec ses spécialités de
Milly-la-Forêt.
En plus du traditionnel glaçon de Milly, cette fameuse friandise à la menthe poivrée de Milly, Catherine compose des tisanes avec des plantes sélectionnées pour leurs vertus médicinales et aromatiques, toutes BIO.
Dans la boutique de la place du marché de Milly-la-Forêt, vous trouverez aussi les sirops et liqueurs sans colorant, distillés par Catherine avecdes plantes de la région.
Le savoir-faire
Depuis plus de 20 ans, l'Herbier de Milly prépare ses produits grâce aux spécialités locales. Catherine Bosc-Bierne reprend le flambeau de 4 générations de travail des plantes médicinales.
Ses produits phares sont la menthe poivrée et la mélisse de Milly-la-Forêt, ainsi que le coquelicot d'Essonne.
Elle sèche elle-même ses feuilles et pétales pour la préparation des tisanes aux vertus médicinales, et possède également une distillerie pour la confection de ses sirops et liqueurs.
Étampes, Ville D’art & d’histoire
Photo 7/12© tongeron91 / Flickr CC 2.0
Située à une soixantaine de kilomètres d’Orléans, la ville d’Etampes est historiquement l’une des portes d’entrée septentrionales de la région Île-de-France, dans le département de l’Essonne.
Dès le Moyen-Âge, la cité étampoise commence à rayonner. Sa position stratégique, entre Paris, la Beauce et l’Orléanais, lui permet de se développer économiquement et culturellement au cours des siècles.
Le patrimoine architectural d’Etampes est aujourd’hui la preuve de son histoire longue et riche et lui vaut d’être détentrice du label "Ville d’art et d’histoire".
Des parcours touristiques permettent de découvrir les lieux, et notamment le centre-ville historique, doté de très beaux hôtels particuliers, ou encore la Collégiale Notre-Dame-du-Fort et sa crypte médiévale.
Étampes (prononcé [e.t???p]
Le domaine national de Saint-Cloud
Photo 8/12© Saskia Heijltjes / Flickr CC 2.0
Depuis le XVIe jusqu’au XIXe siècle, le château de Saint-Cloud fut fréquenté par d’illustres personnages, comme le frère du roi Louis XIV, Marie-Antoinette ou encore Napoléon Bonaparte.
Détruit lors de la guerre de 1870 entre la France et la Prusse, le château était situé au cœur d’un splendide parc qui se visite encore aujourd’hui.
Le domaine national de Saint-Cloud, initialement dessiné par Le Nôtre, s’étend sur quelque 460 hectares. Agrémenté de statues et de fontaines, ce parc considéré comme l’un des plus beaux espaces de ce type en Europe offre une vue panoramique sur Paris.
Le parc de Saint-Cloud officiellement domaine national de Saint-Cloud est un parc situé sur les communes de Saint-Cloud, Marnes-la-Coquette, Sèvres et Garches dans le département des Hauts-de-Seine, près de Paris.
Shopping aux Puces de Saint-Ouen
Photo 9/12© ParisSharing / Flickr CC 2.0
A cheval sur le 18e arrondissement de Paris et la commune de Saint-Ouen, dans le département de Seine-Saint-Denis, le marché aux puces dit "de Clignancourt" est un des sites commerçants les plus visités de Paris et de sa proche banlieue.
Dépaysement garanti, au cœur de ce marché cosmopolite qui rassemble des individus de toutes origines et de tous milieux sociaux.
Des fripes "vintage" au mobilier haut de gamme des antiquaires prestigieux, il y en a pour tous les goûts aux Puces du nord de Paris, qui rencontrèrent un succès populaire immédiat dès leur création à la fin de XIXe siècle.
Plus d’une quinzaine de marchés, regroupant environ 2 000 stands et boutiques, composent aujourd’hui le marché de Clignancourt et de Saint-Ouen.
La culture et l’art ont de même une place importante à Saint-Ouen. Dans une démarche de renouvellement urbain, la municipalité a mis en œuvre unprogramme d’implantation d’œuvres d’art dans l’espace public.
Ce projet nommé « L’art dans la ville » permet de découvrir une vingtaine d’artistes internationaux à Saint-Ouen.
Le street-art a également une place très importante et de nombreux graffitis sont à découvrir au détour des rues.
On y croise des Space Invaders autant que des œuvres de M. Chat ou d’artistes moins célèbres mais tout aussi talentueux.
La Roseraie du Val-de-Marne, située à L'Haÿ-les-Roses, près de Paris dans le département du Val-de-Marne, est la première roseraie moderne, fondéeen 1894 par Jules Gravereaux.
Allées luxuriantes, dôme et arceaux fleuris, jardins colorés et odorants… La roseraie du Val-de-Marne se visite comme un rêve éveillé.
Créé en 1894, ce parc dédié à l’art de la rose se trouve à l’Haÿ-les-Roses, dans le Val-de-Marne. Il est né de la volonté de Jules Gravereaux, spécialiste de la rose, de montrer au grand public tout le potentiel créatif et ornemental de cette fleur exceptionnelle.
Qu’elle pousse en buisson, qu’elle grimpe ou qu’elle rampe, la rose permet à elle seule d’élaborer de spectaculaires effets de style floraux. Un royaume de délicatesse à découvrir absolument.
Évasion Sur Les Îles Du Marne
Photo 11/12© Pop H / Flickr CC 2.0
Il plane encore, sur les îles de la Marne, le parfum d’une époque révolue,lorsque cette région du Val-de-Marne était encore peu accessible depuisParis en raison de l’absence de voie de chemin de fer.
Sur l’île des Loups, l’île d’Amour et l’île du Moulin, entre les communes du Perreux et de Nogent-sur-Marne, les petites populations insulaires vivaient au rythme tranquille des traversées en barque de la grande rivière francilienne.
Si ces îles sont aujourd’hui bien moins enclavées que par le passé, elles ont su préserver une part de mystère qui en fait tout le charme.
Une escapade bucolique idéale pour se couper de la frénésie urbaine le temps de quelques heures.
La Seine-et-Marne (prononcé [s?.n?e ma?n]) est un département français de la région Île-de-France. Il tire son nom du fleuve Seine et de la rivière Maren.
L'Insee et la Poste lui attribuent le code 77. Sa population en 2013, selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), est de 1 365 200 habitants1. Ses habitants sont les Seine-et-Marnais(es).
Photo 12/12© Benoit / Flickr CC 2.0
Amateurs d’art urbain, ne quittez pas le Val-de-Marne sans découvrir les superbes œuvres d’architecture que compte la ville de Nogent-sur-Marne.
Les maisons d’inspiration normande, à la mode à la fin du XIXe siècle, rivalisent en majesté avec les réalisations plus tardives, de styles Art Déco et Art Nouveau.
Des promenades dans la ville sont organisées pour permettre au public de contempler les nombreuses façades qui portent l’empreinte artistique du début du XXe siècle.
Côté Art Nouveau, ce sont les architectes Damotte et Nachbaur qui modelèrent à leur façon plusieurs bâtiments de Nogent-sur-Marne.
Plus tard, dans les années 1930, Tissoire et Hillion invitèrent la modernité de l’Art Déco au cœur de la ville.De quoi faire de Nogent-sur-Marne une commune au style résolument éclectique, également marqué par le néo-baroque et le néo-Renaissance.
Nogent-sur-Marne (prononcé [n?.???? sy? ?ma?n]) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.
C'est l'une des 47 communes de ce département et l'une des trois sous-préfectures. Le 10 juin 2010,Nogent-sur-Marne est la première commune du Val-de-Marne à obtenir le label « Commune touristique ».
Aux Toits Végétalisés Sont Magnifiques !
Source : Endroit magnifique dans la république d'Islande...
Belles et surprenantes, ces maisons traditionnelles en bois sont aussi très performantes.
En voici quelques superbes spécimens...
Par : Axel Leclercq -
Ces constructions fascinent le monde entier et, à raison, ces gens de pays nordiques en sont très fiers.
Mais la beauté est loin d’être le seul atout de ces étonnantes maisons en bois. Non. Si ces constructions ont un toit végétalisé, c’est avant toutpour répondre à des objectifs essentiels et très concrets : Le système permet notamment d’absorber l’eau, de réduire considérablement les frais de chauffage en hiver et de garder l’intérieur au frais en été!
Bref, que du bon !
Voici 20 magnifiques exemples…
On Dirait Des Décors De Conte De Fées !
Hofskirkja, Islande
Thjorsardalur, Islande
Par National De Vatnajökull, Islande
Renndølsetra, Norvège
Torshavn, Iles Féroé
Skalholt, Islande
Saksun, Iles Féroé
Église De Funningur, Iles Féroé
Mikladalur, Iles Féroé
Saksun, Îles Féroé
Geiranger, Norvège
Norvège
Norvège
Rogaland, Norvège
Skjolden, Norvège
Église De Saksun, Îles Féroé
Olden, Norvège
Glaumbaer, Islande
Kvednafossen, Norvège
Superbe, tout simplement…
Source Des Photographies : Toutes de source différente...
Un mammouth numérique illustré dans le film 10,000 BC (2008).
Warner Bros.Agence France-Presse Washington
L'effondrement des populations de mammouths laineux a provoqué des mutations génétiques dévastatrices qui ont conduit à la disparition des derniers de ces animaux encore présents dans une île de l'Arctique il y a 3700 ans.
Les mammouths étaient les grands herbivores les plus répandus en Amérique du Nord et en Sibérie jusqu'à leur extinction sur les terres continentales il y a environ 10 000 ans.
Ils ont été victimes du réchauffement du climat après le dernier âge glaciaire (-75 000 à - 12 000 ans) et de la chasse des populations humaines, expliquent les auteurs d'une étude publiée jeudi dans la revue scientifique américaine PLOS Genetics.
Ces chercheurs, dont Rebekah Rogers et Montgomery Slatkin de l'université de Californie à Berkeley, ont comparé le génome d'un mammouth continental datant de 45 000 ans, quand leurs populations étaient abondantes, à celui d'un de ces animaux qui vivait il y a environ 4300 ans dans un troupeau de 300 têtes dans la petite île Wrangel, juste avant leur extinction.
Leur analyse révèle que le génome de l'un de ces derniers mammouths avait accumulé de multiples mutations néfastes.
Ces animaux avaient ainsi perdu de nombreux récepteurs olfactifs permettant de détecter les odeurs ainsi que des protéines urinaires, ce qui a pu avoir un impact sur leur statut dans le groupe ainsi que sur leur reproduction.
La comparaison entre ces deux génomes a donné aux chercheurs une occasion rare de voir ce qui arrive au patrimoine génétique quand la taille de lapopulation d'une espèce se réduit fortement.
Utilisant des modèles mathématiques, les deux généticiens ont pu déterminer que les différences entre les deux génomes de mammouths étaient trop extrêmes pour être expliquées par d'autres facteurs.
Ces résultats confortent une théorie en discussion depuis des décennies selon laquelle une forte diminution de la population d'une espèce entraîne une multiplication de mutations génétiques néfastes, soulignent les auteurs.
Ces conclusions pourraient aussi être utiles pour aider dans les efforts de préservation des espèces en danger d'extinction.
Par ailleurs, des scientifiques américains ont indiqué en février qu'ils travaillaient sur un projet pour ressusciter le mammouth grâce à l'ingénierie génétique.
«Notre but est de produire un embryon hybride mi-éléphant mi-mammouth», a dit le professeur George Church, un généticien célèbre de l'université Harvard.
«En fait, ce sera probablement davantage un éléphant avec un nombre de traits caractéristiques de mammouth», a-t-il dit, ajoutant: «nous n'y sommes pas encore mais cela pourrait arriver d'ici deux ans».
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Un Manchot Géant Au Pays Des Dinosaures
L'illustration d'un artiste des manchots géants.
Chris GASKIN, Geology Museum University of Otago, AFP Agence France-PresseParis
La découverte d'un fossile de manchot géant, vieux de 61 millions d'années, ouvre la voie à une image étonnante...
Les tous premiers représentants de ces oiseaux marins à la démarche chaloupée auraient côtoyé les dinosaures.
Le fossile découvert sur l'Ile du sud de Nouvelle-Zélande par un collectionneur amateur représente « l'un des plus anciens fossiles de manchot au monde », selon l'étude parue jeudi dans la revue scientifique The Science of Nature.
Selon les conclusions d'une équipe de chercheurs allemand et néo-zélandais, l'animal aurait foulé la glace il y a 61 millions d'années, au Paléocène.
Mais ce n'est finalement pas son grand âge qui interpelle les scientifiques,c'est plutôt son squelette. Très grand, il diffère énormément des autres fossiles de manchots datant approximativement de la même époque.
Car un autre manchot appelé « Waimanu manneringi » avait également été découvert le long de la même rivière Waipara dans la région de Canterbury. On avait déjà estimé qu'il devait avoir environ 61 millions d'années.
Mais « les deux manchots, provenant exactement de la même localité, sont morphologiquement très différents », explique à l'AFP Gerald Mayr du Forschungsinstitut Senckenberg, le musée d'histoire naturelle de Francfort (Allemagne), coauteur de l'étude.
Haut de 1,50 mètre, le nouveau venu, baptisé le « manchot géant waipara », mesure près de 30 cm de plus que le manchot empereur, le plus grand et le plus lourd représentant actuel de cette famille d'oiseaux marins.
« Les os des pattes que nous avons étudiés montrent que ce manchot était significativement plus grand que son congénère précédemment découvert »,explique Gerald Mayr.
Or si une espèce est très diversifiée au Paléocène, cela implique qu'un ancêtre commun aux différents descendants les a précédés, « cinq à dix millions d'années plus tôt », précise l'ornithologue.
Et cinq à dix millions d'années avant le Paléocène c'était... l'ère des dinosaures?! Les monstres préhistoriques ont peuplé la planète jusqu'à il y a 65 millions d'années et leur extinction totale.
« Cette diversité indique que les premiers représentants des manchots existaient déjà à l'âge des dinosaures, il y plus de 65 millions d'années », conclut Gerald Mayr.
En outre, selon l'équipe de chercheurs, les grands pieds du « manchot géant waipara » indiquent qu'il avait certainement déjà acquis la station verticale et sa démarche dandinante si caractéristique.
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Le Mystère De L'origine Des Plantes À Fleurs S'éclaircit...
Welwitschia mirabilis est la seule espèce du genre Welwitschia et de la famille des Welwitschiacées.
Cette plante est considérée comme une espèce panchronique. Wikipédia
Nom scientifique : Welwitschia mirabilis
Rang : Espèce
Classification supérieure : Welwitschiaceae
Pour comprendre comment elles y sont parvenues, les scientifiques se sont intéressés à la génétique d'une plante gymnosperme, l'étonnante Welwitschia mirabilis, capable de vivre pendant plus d'un millénaire. Michael W. Frohlich, CNRS via archives AFP Agence France-Presse
Mais d'où viennent les plantes à fleurs au système reproductif sophistiqué et très efficace?? L'étude génétique d'une étonnante plante cousine, qui ne pousse que dans certains déserts africains, a permis à des chercheurs français de lever un coin du voile.
« Nous avons dissipé une petite partie » de ce que Charles Darwin appelait « l'abominable mystère » de l'origine des plantes à fleurs, déclare à l'AFP le biologiste François Parcy, directeur de recherche CNRS à l'Université de Grenoble. L'étude a été publiée dans la revue New Phytologist.
Les végétaux ont colonisé la terre ferme il y a plus de 400 millions d'années, mais les plantes à fleurs (angiospermes) sont apparues il y a seulement 150 millions d'années.
Elles ont été directement précédées par le groupe des gymnospermes, dont le mode de reproduction est plus rudimentaire et qui compte notamment les actuels conifères.
« Ces plantes ont déjà inventé la graine, mais pas encore la fleur », explique François Parcy.
Apparus il y a 300 millions d'années, les gymnospermes se reproduisent grâce à des cônes mâles d'un côté et des cônes femelles de l'autre, le vent étant chargé de transporter le pollen.
« Ce n'est pas ce qu'il y a de plus efficace », souligne M. Parcy.
Les plantes à fleurs ont beaucoup innové. La fleur rassemble à la fois les organes mâles (étamines) et femelles (pistil), entourés par des pétales et des sépales.
Et les ovules, au lieu d'être nus, sont protégés au sein du pistil.
« C'est un système de reproduction incroyablement efficace », relève M. Parcy.
Pour comprendre comment elles y sont parvenues, les scientifiques se sont intéressés à la génétique d'une plante gymnosperme, l'étonnante Welwitschia mirabilis, capable de vivre pendant plus d'un millénaire.
Poussant uniquement dans les déserts côtiers de Namibie et d'Angola, elle se développe à partir d'un tronc court qui comporte seulement deux grandes feuilles.
De façon curieuse, ses cônes mâles possèdent quelques ovules stériles et du nectar, ce qui révèle « une tentative échouée de faire des fleurs », note M. Parcy.
Les auteurs de cette étude, fruit d'une collaboration entre l'Université Grenoble Alpes, l'Université Claude Bernard Lyon 1 et les Jardins de Kew(Royaume-Uni), ont découvert chez cette plante des gènes similaires à ceux responsables de la formation des fleurs, qui plus est organisés selon la même hiérarchie.
« Pour faire une fleur, il ne faut pas seulement des gènes », explique M. Parcy. « Il faut aussi qu'ils soient en réseau, l'activité des premiers gènes déclenchant celle des seconds et ainsi de suite, en cascade ».
Le fait de trouver une cascade de gènes similaires chez les plantes à fleurs et leurs cousins gymnospermes « indique qu'il s'agit là d'un héritage de leur ancêtre commun », relève le CNRS (Centre national de la recherche scientifique).
Les plantes à fleurs « n'ont pas eu à l'inventer ». « Les pièces du meccano étaient déjà présentes et elles ont été utilisées pour créer la fleur », souligne M. Parcy.
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Les Plus Vieux Micro-Fossiles Trouvés Dans Le Nord Du Québec...Publié Le 01 Mars 2017 Par: Émilie Bergeron
«Pour rester prudents», les scientifiques ont donné aux microorganismes «un âge minimum de 3,77 milliards d'années.»
Image fournie par AFP Pascale Mollard-Chenebenoit Agence France-Presse Paris
La vie sur Terre pourrait être apparue encore plus précocement qu'on ne le pensait. Des chercheurs ont découvert des microorganismes fossiles qui auraient entre 3,77 et 4,29 milliards d'années, soit seulement quelques centaines de millions d'années de moins que notre planète.
Les scientifiques ont mis en évidence ces microfossiles dans des couches dequartz du site géologique de la ceinture de Nuvvuagittuq, au nord-est du Québec. Leurs travaux sont publiés mercredi dans Nature.
Une nouvelle étude dont les résultats ont été publiés mercredi dans la revue scientifique Nature lève le voile sur la découverte de restes minéraux qui découleraient d'une bactérie qui existait il y a de 3,77 milliards à 4,28 milliards
d'années.«Grâce à des images laser des échantillons prélevés, nous avons pu identifier des microfossiles, qui sont les plus vieux connus au monde», a déclaré Matthew Dodd, de University College London (UCL), dans une vidéo postée
sur le site de la revue.
En diamètre ils font la moitié de celui d'un cheveu humain. En longueur, ils mesurent jusqu'à un demi-millimètre, précise-t-il.
«Le plus excitant dans ces découvertes», c'est que la vie ait réussi à démarrer sur Terre de façon précoce - «ce qui soulève d'intéressantes questions» sur ce qui s'est passé sur Mars et ailleurs dans l'Univers, considère Matthew Dodd.
«Si la vie est arrivée si vite sur Terre», «a-t-elle pu faire de même sur d'autres planètes?», s'interroge-t-il.
La Terre s'est formée il y a 4,567 milliards d'années.
Ces microfossiles ont été repérés dans la Ceinture de Nuvvuagittuq, un affleurement situé le long des côtes du Québec, qui est réputée abriter la plus vieille roche connue (4,29 mds d'années).
«Elle a été datée selon une méthode robuste mais cela reste toutefois
controversé», précise à l'AFP Dominic Papineau, de l'UCL, principal
auteur de l'étude.
«Cheminées»
«Pour rester prudents», les scientifiques ont donné aux microorganismes «un
âge minimum de 3,77 milliards d'années», ajoute-t-il.
C'est déjà 300 millions d'années plus ancien que les plus vieux microfossiles
connus jusqu'à présent, qui ont été trouvés en Australie et sont âgés
de 3,460 mds d'années, souligne Dominic Papineau.
Les microfossiles se sont formés au fond de la mer, à proximité de
«cheminées hydrothermales», qui réchauffent les eaux et sont le fruit de
l'activité volcanique, soulignent les chercheurs.
Dominic Papineau s'est rendu au Québec pour choisir les échantillons de jaspe rouge qui ont ensuite été analysés.
Il fallait démontrer que les structures étaient bien d'origine biologique.
De minuscules filaments et des tubes formés par des sortes de «bactéries» qui vivaient sur du fer ont été retrouvés encapsulées dans des couches de quartz, souligne UCL dans un communiqué.
En septembre 2016, une autre équipe de chercheurs avait annoncé avoir découvert au Groenland des stromatolites (des structures calcaires formées par des colonies microbiennes) vieux de 3,7 milliards d'années.
Ces stromatolites se sont formés à la surface de l'eau alors que les microorganismes décrits par la nouvelle étude sont nés dans les profondeurs marines.
Pour Matthew Dodd, la nouvelle étude montre que «la vie s'est développée sur notre planète à un moment où Mars et la Terre avaient de l'eau liquide àleur surface».
«Par conséquent, nous nous attendons à trouver des preuves de vie passée surMars il y a 4 milliards d'années. A moins que la Terre ne soit une exception», dit-il.