Bonsoir à tous Dernier jour de février et on fête les Romain est un homme spirituel, qui aime apprendre et acquérir de nouvelles connaissances. Son fort caractère lui permet de s'affirmer facilement. En cas de décisions importantes à prendre, il est l'homme de la situation. Les challenges ne l'effraient pas, il aime se surpasser et se fixer des objectifs même s'ils sont difficiles à atteindre.
Origines de Mardi Gras et de Carnaval Tout au long de l'année, se succèdent des fêtes qui rythment la vie des chrétiens. La fête de Mardi Gras a tous les ans une date différente, fixée par rapport à la date de Pâques, qui elle même varie en fonction du cycle de la Lune.
Mardi gras et le jour qui précède le Mercredi des Cendres. Il y a 40 jours de carême, entre le mercredi des cendres et le jour de Pâques.
Le mercredi des cendres Cette fête marque le souvenir d'Adam condamné après son péché à retourner poussière. Les chrétiens sont invités à se purifier de leurs fautes et à faire pénitence par des privations. Le mercredi des Cendres est le 1er Jour du Carême qui va durer 40 jours. A l'issue de ces 40 jours la fête de Pâques célébrera la mort et la résurrection du Christ.
Pour marquer le coup avant que ces privations ne commencent, la veille, le mardi, on faisait gras. On finissait les aliments gras avant de se mettre au carême. On en profite pour faire des beignets, des bugnes et des fritures. De plus, la tradition du carême veut qu’on arrête également de manger des œufs, donc on en profite pour faire des crêpes.
Par opposition au carême, le carnaval est une période de joie et de liberté où les règles de vie normales sont suspendues et où chacun fait un peu comme il lui plaît : on se déguise, on mange tout ce qu’on veut, on sort chanter dans les rues.
Carême Pendant la période de Carême, les croyants doivent jeûner, se priver et prier dans le but d'expier leurs fautes. L'Eglise interdit ainsi la consommation de viande, la célébration des mariages et les relations conjugales. A la fin du temps du Carême se déroule la fête de Pâques qui célèbre la mort, puis la résurrection du Christ.
Carnaval Origines du mot : Dans Carnaval il y a Carne, la chair, la viande. En Italien "carnelevare" signifie "sans viande". Avant l'apparition de ce mot, la veille du Carême était appelée "Carême Prenant". C'est le dernier jour pour profiter une dernière fois avant Carême et faire bombance, car ensuite, pas d'alimentation carnée ni graisseuse durant 40jours.
On marque le coup par un festin, une fête colorée et bruyante. La fête de Carnaval se déroule à différentes dates selon l'endroit du globe et revêt des rituels différents ! Carnaval, fête non reconnue par l'Eglise connaît des dates variables de début mais une date de fin fixe qui correspond à la tombée de la nuit de mardi gras.
Il faut savoir que sous l'empire Romain, il existait déjà une grande fête de Carnaval nommée " les Saturnales " à une toute autre période de l'année. Cette période de fête populaire se déroulait entre le 17 et le 25 décembre.
Le peuple marquait par des réjouissances le solstice d'hiver. Ces fêtes avaient pour but de redonner courage et espoir au peuple effrayé par les sols gelés, l'absence de vie et l'obscurité.
On offrait des cadeaux : des porte-bonheur, du miel, des gâteaux, de l'or étaient des cadeaux courants. On décoraient les maisons avec du lierre, des branches de houx et de gui et tout travail, à part celui de la cuisinière et du banquier, était interdit.
Les symboles de Carnaval :
Le déguisementLa musique, orchestre ou fanfareLa parade qui consiste en un défilé des personnes déguisées accompagnées avec de la musique.Les chars en général fleuris et très fantasques.
Carnaval laisse une grande place à l'imagination de chacun.
Lors de ces fêtes de Carnaval on retrouve toujours le principe d'inversion au travers des costumes et des jeux (maître/esclave, homme/femme), on se déguise, on fait ripailles, on offre des cadeaux, chants et danses sont de la fête. Par opposition au Carême, le Carnaval est une période d'excès joyeux, de gras contre maigre. Dans tous les carnavals, les gens dansent, mangent et se déguisent, les règles et interdits habituels sont suspendus.
Chars géants, parades, bals masqués, confettis et serpentins, fanfares, c'est la période des excès démonstratifs ! Chaque pays à sa propre interprétation des réjouissances avec toujours un même objectif : faire la fête !Parmi les plus connus de nos jours, on peut citer les carnavals de Rio de Janeiro, Venise, Nouvelle-Orléans, Nice, également ceux du nord de la France comme Dunkerque, moins connu mais tout aussi festif, le carnaval de Québec.
La plupart des carnavals ont des thèmes très variés, comme les géants, à Dunkerque dans le Nord de la France. A Rio de Janeiro, on envahit les rues en dansant des samba endiablées, habillé de paillettes et de plumes, pendant des jours et des nuits.
"Depuis 2007", année de sortie du premier iPhone d'Apple, devenu un symbole de ces nouveaux accessoires technologiques, "environ 968 TWh ont été utilisés pour fabriquer des smartphones. C'est presque autant d'électricité que ce que consomme durant un an l'Inde, qui a utilisé 973 TWh en 2014", avance Greenpeace. Cela correspond également à environ 11 ans d'alimentation électrique pour la Belgique.
C'est la phase de fabrication des appareils qui dévore le plus d'électricité et entraine la plus grosse part de pollution du cycle de vie d'un smartphone, avec près de 3/4 des émissions de CO2. Une des raisons en est que la production est essentiellement localisée en Chine, un pays dont l'économie repose toujours sur un mix énergétique extrêmement polluant, dominé par le charbon. Cet élément est central dans l'empreinte carbone très élevée des appareils électroniques, et donc dans leur impact sur le réchauffement climatique, écrit Greenpeace.
"Ce qui a eu lieu avec la campagne de rappel du Galaxy Note 7 de Samsung est représentatif d'un système gaspilleur et non viable", a commenté en marge du rapport Jude Lee, qui travaille pour Greenpeace en Asie du Sud-est. "L'entreprise doit guider le secteur informatique et se tournervers un système qui permet aux téléphones d'être réparés, réutilisés et recyclés plus facilement".
En effet, le business model actuel de l'industrie du smartphone repose sur un cycle d'utilisation très court, note l'organisation. Les fabricants se dirigent de plus en plus vers des modèles qui ne permettent pas au consommateur d'augmenter la capacité de stockage ou de remplacer la batterie de l'appareil pour l'"adapter" à un usage plus long. Résultat: l'appareil entier finit à la poubelle après quelques mois ou années d'utilisation, ou dès que la batterie montre des signes de faiblesse, faisant le jeu des "nouveaux" modèles qui inondent constamment le marché. Le fait que des smartphones soient annoncés comme "gratuits" dans le cadre de certains contrats avec des opérateurs de téléphonie mobile pousse encore la tendance de l'utilisateur à acquérir un nouvel appareil assez rapidement. Or, on estime que moins de 16% des déchets électriques sont recyclés, indique Greenpeace. "En 2014 uniquement, les déchets électroniques provenant de petits appareils électroniques tels que les smartphones étaient estimés à 3 millions de tonnes métriques, selon une étude des Nations unies".
"En Asie, le volume des déchets électroniques auraient, selon les estimations, grimpé de 63% depuis 2012, ce qui dépasse l'accroissement de population ainsi que la capacité de la région de gérer cette masse de déchets de manière sûre", annonce l'organisation.
Celle-ci plaide pour un nouveau modèle de "production circulaire", basé sur des smartphones imaginés pour permettre une "mise à jour" des composants et une réutilisation des matériaux. Note de l'auteur du blogue:C'est exaspérant de constater que beaucoup d'individus étant parfaitement au courant des dégats que cause cet engin ; que pour ma part; je considére comme étant diabolique, continuent envers et contre tout d'en acheter préférant leur petit confort personnel à celui de la préservation de notre planète. L'égoisme devient ici collectif car ceux qui se posent laquestion: « mais comment vivait-on sans smartphone autres " bidules " connectés », deviennent de plus en plus rares au risque de se voir coller une étiquette de marginaux... Ce n'est rien, qu'ils continuent à marcher tête baissée, les yeux rivés sur cet écran minuscule comme si leur vie en dépendait, au risque de seprendre chaque poteau d'éclairage en plein dans la gueule, au risque deprovoquer des accidents déchirant ou décimant des familles entières. Il faut donc croire que rester connecté à internet en marchant dehors, en prenant les transports en commun et autres trucs et machins de la vie de tous les jours, est devenu une primeur méprisante.....
Pourquoi ces dunes présentent-elles des couleurs différentes ? Sur Mars, le sable est habituellement de couleur sombre, vu qu’il provient de roches volcaniques, de coulées de lave par exemple. En couleurs haute-définition, des surfaces telles que ces sommets de dunes prennent une teinte bleu foncé ou pourpre. La taille des grains de sable convient parfaitement au transport éolien en surface : les grains se déplacent par petits bonds sur les reliefs de fond, comme ces dunes, au cours du temps. Les surfaces de couleur plus claire, “ocre” ou “rougeâtre” sont composées de matériaux différents, contrairement aux particules de la taille d’un grain de sable qui constituent l’essentiel de ces dunes. Les surfaces lisses de couleur claire, qui dominent dans les zones plus basses et plus planes des dunes, sont constituées d’une fine couche de la poussière qui recouvre l’ensemble de la planète. La poussière de Mars est composée d’une variété de matériaux, y compris du fer oxydé, autrement dit de la rouille. Quand une rafale de vent survient, sa vitesse varie en fonction de l’altitude. La vitesse est plus élevée en hauteur, et l’énergie du vent est proche de zéro au niveau du sol. La poussière persiste sur les zones les plus planes des dunes, parce que l’énergie du vent est insuffisante pour l’enlever, alors que les crêtes, dépourvues de poussière, sont soumises à des ventsplus intenses, ce qui finit par donner cet aspect bicolore aux dunes.
Cette fête païenne célébrant la fin de l'hiver est devenue une célébration chrétienne marquant l'entrée en Carême. Retour sur l'histoire de Mardi gras qui se fête ce mardi. Quelle est l'origine de Mardi gras? C'est une fête païenne romaine célébrant la fin de l'hiver, les Calendes de mars, pendant laquelle les interdits étaient transgressés et les déguisements autorisés. Elle fut plus tard christianisée, pour marquer l'entrée en Carême, période de jeûne et de prière qui commémore les 40 jours passés au désert par le Christ. «Mardi gras» précède donc le mercredi des Cendres. Mardi gras est donc une fête chrétienne? Le Mardi gras ouvre la période pascale, jusqu'à la fête de la Résurrection du Christ. Avant l'austérité du Carême, ce jour permet la joie et l'abondance. Mardi est appelé «gras» en référence aux aliments considérés comme riches, dont on se prive pendant le Carême: viande, beurre, surcre... Avec la Réforme protestante, qui a remis en cause le Carême, Mardi gras est surtout identifié aux pays catholiques et orthodoxes. Dans les pays anglo-saxons, certains protestants ont conservé un équivalent, sobrement intitulé «Shrove Tuesday»: Mardi de la confession, ou Mardi de l'absolution. D'où vient la tradition du carnaval? Mardi gras est l'occasion des carnavals, dont ceux de Nice, avec ses chars fleuris, et de Dunkerque, où l'on jette des harengs à la foule, sont célèbres en France. Carnaval vient du latin «carne vale», qui signifie «adieu à la chair». Les chrétiens marquent ainsi la privation du Carême par un dernier jour de réjouissance, tant alimentaire que vestimentaire. Par le déguisement, le carnaval invite aussi à la dérision. Quid des crêpes? La coutume de manger des crêpes, des gaufres, des beignets, ou encore des pancakes dans les pays anglo-saxons, vient à l'origine de la nécessité d'épuiser les réserves d'œufs et de beurre qui ne seront pas utilisées durant le Carême.
L'île de Porquerolles bercée par le chant des cigales.
Porquerolles : Parc National Français, bercé par le chant des cigales ...
Porquerolles est une charmante île d’Hyères, dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Longue de 7,5 kilomètres et large de 3 kilomètres, elle est la plus grande des trois îles de la commune. Propriété de l’Etat français depuis 1971, elle possède le statut de parc national depuis 2012. L’île L'île de Porquerolles est bordée de plages de sable couvertes de pins, de bruyères et de myrtes qui parfument le chemin sur la côte nord, contrastant avec un paysage abrupt sur la côte sud. Les touristes s’adonnent principalement à la randonnée pour admirer les nombreux points de vue, le VTT, le repos sur la plage ou la plongée sous-marine.
Le lieu est épargné par les pollutions industrielles directes et abrite des espèces rares comme le genêt à feuilles de lin. L’île de Porquerolles a un charme naturel qui donne envie d’aller y passer ses vacances ...
Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé. L’esprit est tout. Ce que nous pensons nous le devenons. – Bouddha
Généralement, nous sous-estimons très largement le pouvoir des pensées positives. Elles ont pourtant un pouvoir physique qui influence directement ou indirectement notre vie. Ca et là, on peut parler de présence, de magnétisme, d’aura, qui ne sont finalement que l’enveloppe invisible créée par les pensées. Ce pouvoir des pensées est d’autant plus grand lorsqu’il est pétri dans la foi et l’émotion. Ces derniers augmentent la vibration, comme on augmenterait le son d’une radio pour mieux l’entendre. Des pensées positives emplies de foi agiront favorablement, tout comme des négatives créeront le lit du malheur. NOUS SOMMES DES MACHINES À PENSERChaque personne émet en moyenne 60.000 pensées par jour ! Étonnamment, 95% de celles-ci sont les mêmes pensées répétées chaque jour. En moyenne, 80% de ces pensées répétitives sont négatives. Malheureusement, nos cerveaux sont configurés pour accorder plus d’attention aux expériences négatives que positives. Cette particularité a permis à l’être humain de survivre. Jadis, il était essentiel de retenir les expériences négatives comme par exemple la morsure d’un serpent, la toxicité d’une plante… Si notre monde est aujourd’hui beaucoup moins dangereux, nos pensées sont pourtant toujours principalement négatives. Grâce à l’imagerie IRM, les chercheurs ont prouvé que les pensées négatives stimulent les zones du cerveau qui favorisent la dépression et l’anxiété. Ils ont également prouvé que des pensées positives déclenchent une cascade d’hormones positives dans tout le corps qui se traduit par un sentiment de calme et de paix. Ce que la sagesse des anciens nous avait enseigné, la science moderne nous le confirme donc aujourd’hui. Le cerveau est « reconfigurable » par diverses méthodes dont la pensée positive.Voici 115 pensées positives pour être plus heureux(se). Veuillez sélectionnez uniquement celles qui vous parlent et plaisent le plus.
La brève culture* La plus grosse cloche de Paris, qui est également le plus gros bourdon de France, est celle du Sacré-Cœur de Montmartre. Surnommée la Savoyarde parce qu’elle a été offerte par les diocèses de Savoie et fondue à Annecy, ce carillon en airain (alliage de cuivre et d’étain) pèse pas moins de 19 tonnes, tandis que sa masse en mouvement atteint les 25 tonnes. Si cette immense cloche semble faire quantité négligeable face au 90 tonnes du plus gros carillon sonnant au monde, celui de Mingun en Birmanie, elle fait tout de même partie des cloches à balancement les plus lourdes ! * Il y a des questions sur Paris dont on aimerait bien avoir la réponse. Que ce soit des interrogations importantes sur la capitale, son histoire ou ses bonnes adresses ou des mini-informations à picorer dont on peut se servir pour briller en société. "
Au cœur de la Nouvelle Athènes, dans le triangle d’or fréquenté par le tout-Paris artiste et intellectuel du XIXème siècle, l’hôtel Scheffer-Renan abrite depuis 1987 le Musée de la Vie Romantique de la ville de Paris. La demeure du 16 rue Chaptal a gardé intacts son charme, sa verdure et l’architecture d’origine du petit hôtel particulier du peintre d’originehollandaise Ary Scheffer (1795-1858). Construite par l’entrepreneur Wormser, cette maison généreuse crépie de blanc, typique de l’époque Restauration, comporte deux étages d’habitation surélevés sous un toit à l’italienne. Dans le jardin courent bientôt treilles et glycines. Face à la maison, Ary Scheffer fait rapidement construire deux ateliers à verrière, orientés au nord, de part et d’autre de la cour pavée : l’un à usage de salon, l’autre d’atelier de travail. Dans l’atelier-salon, Scheffer, portraitiste renommé sous la monarchie de Juillet, reçoit le Tout-Paris artistique et intellectuel. Delacroix vient en voisin, comme George Sand avec Chopin qui joue volontiers sur le piano Pleyel. Ils retrouvent Liszt et Marie d’Agoult, mais aussi Rossini, Tourgueniev, Dickens. L’atelier de travail, qui lui fait pendant devant un délicieux fouillis de seringas et de rosiers, était utilisé par Ary Scheffer et son frère cadet Henry, lui aussi peintre. Agrémentée d’une serre et d’un jardin, cette propriété qu’Ary Scheffer loua pendant près de trente ans, fut achetée à sa mort en 1858 par sa fille unique Cornélia Scheffer-Marjolin. En 1956, la maison est vendue à l’Etat pour un montant symbolique, afin qu’y soit établie « une institution culturelle à dominante muséographique ». Ouverte en 1982, cette annexe du musée Carnavalet prend ainsi brièvement le nom de « Musée Renan-Scheffer ». Peu après, une nouvelle muséographie est lancée,mettant en valeur dans les bâtiments rénovés sous la conduite de Jacques Garcia, de nombreux souvenirs de George Sand (meubles, peintures, objets d’art et bijoux). Le musée prend en 1987 l’appellation de « Musée de la Vie Romantique ».
Sainte Maison par les Anges réalisée entre 1828 et 1837 par Pierre Claude François Delorme
La Princesse de Joinville, peint par Ary Scheffer en 1844, huile sur toile
Souvent les hommes prennent pour acquis ce qu’ils possèdent (la paix, la sécurité) comme quelque chose qui est immuable, qui va toujours exister, qui ne peut pas changer. Mais l’histoire prouve le contraire.
C’est souvent dans ces périodes de fausses sécurités que les plus grands drames arrivent, que l’impensable se produit, que le monde, du jour au lendemain, est bouleversé.
Tout le monde savait que le nazisme montait très dangereusement en Allemagne, et qu’Hitler construisait une grande armée.
Puis, l’enfer a commencé à se déchaîner, la Pologne, du jour au lendemain, a été envahie par l’armée allemande.
La Deuxième Guerre mondiale venait de débuter !
Puis ce fut le tour et la défaite de la Finlande, du Danemark, de la Norvège et de la Hollande. Et bien sûr l’invasion de la Belgique, et pour terminer, la défaite de la France et de l’armée anglaise !
Ma mère a connu cette affreuse et terrible période. Sa famille a dû prendre la route de l’exil pour se réfugier dans le sud de la France.
Bien qu’elle fût qu’une enfant, elle se rappelle ces événements, les terribles conditions des réfugiés, le manque de nourriture, le pain noir rancît, la gale et autres maladies, sans compter le froid et l’incertitude du futur.
Une chose qui m’a toujours marqué, c’est ce qu’elle disait, juste avant que tout cela arrive :
« Les gens faisaient la fête, ils allaient au bal pour s’amuser, comme si de rien ne se passer dans le reste de l’Europe. »
Je me rappelle ses paroles et je les ai toujours prises au sérieux, comme une mise en garde pour le futur.
Que fait le fermier quand il voit d’énormes nuages noirs s’amonceler sur l’horizon ? Il sait qu’une terrible tempête est sur le point d’arriver, et il se prépare pour cela. Il fait ses préparatifs, tout ce qui est en son pouvoir pour protéger ses biens.
La question que nous pouvons nous poser : sommes-nous prêts si demain une catastrophe majeure arrivait en France ? (une catastrophe dans une de nos centrales nucléaires par exemple)
Si demain les lignes téléphoniques étaient coupées, l’électricité et le gaz manquant, l’eau devenue impure à boire, les pompes à essence et le carburant manquant pour nos voitures, la nourriture dans les supermarchés complètement dévalisée.
Bien sûr, vous pensez que cela ne peut pas arriver dans notre pays, que nous sommes à l’abri de telles catastrophes, et pourtant…
La plus grande préparation que nous pouvons faire, c’est en premier une préparation mentale et psychologique, de réaliser que cela peut arriver du jour au lendemain sans prévenir.
En second, de faire quelques préparations à la portée de nos mains et de nos bourses. Ici, je ne vous parle pas de construire un abri antinucléaire, avec de la nourriture et du carburant pour plusieurs années.
Mais de faire une réserve d’eau potable pour plusieurs semaines ; remplir un placard ou deux de nourriture pour un mois ou plus. D’avoir une alternative de chauffage ; un réchaud à gaz, avec quelques recharges est une bonne idée ; sans oublier une bonne réserve de bougies et d’allumettes ; et pourquoi pas, ressortir ces bonnes vieilles lampes à pétrole pour nous éclairer (avec une ou deux bouteilles de pétrole pour qu’elles continuent à être utiles.)
Avoir quelques médicaments et nécessaires pour des premiers soins n’est pas un luxe aussi. En outre, je mettrais dedans une ou deux boîtes de cachets pour purifier l’eau en cas d’urgence. N’oubliez pas ces bonnes vieilles bouillottes, elles peuvent faire des miracles.
Quelque chose que j’ai toujours enseigné à mes enfants : « Il vaut mieux l’avoir et ne pas en avoir besoin, que d’en avoir besoin et de ne pas l’avoir ! »
Mais la question est celle-ci : Sommes-nous prêts à n’importe quel changement qui peut arriver dans notre notre pays ?
Avons-nous planifié ou pensé à faire quelques préparations pour le pire ?
Récemment, une très bonne amie à moi a perdu sa maison et la plupart de ses biens dans un incendie ; une tragédie que personne ne pense qui peut leur arriver.
J’ai réalisé alors, combien la perte de tous ses papiers et documents importants ont dû être un gros souci pour elle.
Donc, j’encourage ceux qui ont un ordi et un scanneur, de scanner tous vos papiers et documents importants et de les mettre sur une clé USB pour garder des traces.
Quant à emmagasiner une petite réserve de nourriture et autres items indispensables, c’est très simple à réaliser :
Chaque fois que vous faites votre shopping, achetez une ou deux boîtes de conserve en plus, un pot de miel ou un paquet de sucre ou de café, ou encore une bouteille d’huile en supplément de vos courses.
Il suffit après, de les marquer d’une date et de les ranger dans votre placard de réserve. Et bien sûr, n’oubliez pas de faire une rotation pour utiliser ceux qui ont des dates anciennes.
Les conserves peuvent se garder deux à trois ans ou plus. Tant que les conserves ne sont pas bombées, il y a de grandes chances qu’elles sont encore comestibles.
Il y a un bon nombre d’aliments qui survivent après bien des années, comme le riz, les pâtes, les lentilles, etc. Le miel par exemple est impérissable.
Savez-vous qu’on a retrouvé des biscuits dans leurs emballages d’origine qui dataient de la Deuxième Guerre mondiale et qui étaient encore comestibles ?
Une autre chose importante qui me vient à l’esprit, ce sont les médicaments. C’est bien d’avoir une armoire à pharmacie la plus complète possible. Penser aussi, au traitement que vous prenez chaque jour, et si vous pouvez, faites une petite réserve.
Au sujet des médicaments : ne jetez pas au bout d’une année la plupart de vos médicaments. Vous pouvez les garder 4 ans ou plus, quelque chose que les compagnies pharmaceutiques ne veulent surtout pas vous dire. Renseignez-vous quand même.
Pour terminer, je n’ai pas écrit ce blogue dans l’intention d’être négatif ou rabat-joie, mais plutôt un petit aide-mémoire sur l’importance d’avoir quelques préparatifs d’urgence en cas de besoin.
Conseil : tout le monde devrait avoir un ou deux livres qui parlent de survie dans leur bibliothèque.
Je voudrais vous poser une simple question :
Combien de personnes qui ont besoin de faire un long voyage en voiture l’hiver pensent à apporter avec elles de la nourriture, des couvertures, des lampes électriques, une trousse de secours, etc. en cas de grosses intempéries, et d’être tristement bloqué sur une route ? Croyez-moi, cela peut sauver votre vie ou d’autres personnes aussi !
Avez-vous déjà pris l’avion, vous retrouvant bloqué pendant des heures ou parfois toute une journée dans un aéroport ? J’ai pris souvent l’avion, et parfois avec mes jeunes enfants, et là, je vous parle de bon sens, de prendre les devants et d’être prêts à n’importe quelles urgences.
Rappelez-vous de ces simples maximes :
La prudence est la mère de toutes les vertus !
Le sage prend garde et se prépare !
Il est plus préférable de construire une barrière en haut de la falaise que de construire un hôpital en bas !
N’oubliez pas, que la meilleure préparation est tout d’abord mentale et psychologique. Et effacez définitivement de votre esprit que cela ne peut pas vous arriver, que cela arrive seulement qu’aux autres !
J’ai voyagé lors de mes déplacements à l’étranger, parfois dans des conditions difficiles ; il faut que je prenne le temps de vous écrire mes expériences, je suis sûr que cela va vous intéresser.
Photographe Omar Z. Robles,s’est rendu à Puerto Rico pour saisir de magnifiques portraits des danseurs dans les rues. Les corps tout en souplesse s’accordent parfaitement avec l’architecture et la physionomie de l’île.
Bonsoir à tous
Dernier jour de février et on fête les
Romain est un homme spirituel, qui aime apprendre et acquérir de nouvelles connaissances. Son fort caractère lui permet de s'affirmer facilement. En cas de décisions importantes à prendre, il est l'homme de la situation. Les challenges ne l'effraient pas, il aime se surpasser et se fixer des objectifs même s'ils sont difficiles à atteindre.
Tout au long de l'année, se succèdent des fêtes qui rythment la vie des chrétiens.
La fête de Mardi Gras a tous les ans une date différente, fixée par
rapport à la date de Pâques, qui elle même varie en fonction du cycle de la Lune.
Mardi gras et le jour qui précède le Mercredi des Cendres.
Il y a 40 jours de carême, entre le mercredi des cendres et le jour de Pâques.
Le mercredi des cendres
Cette fête marque le souvenir d'Adam condamné après son péché à retourner poussière.
Les chrétiens sont invités à se purifier de leurs fautes et à faire pénitence par des privations.
Le mercredi des Cendres est le 1er Jour du Carême qui va durer 40 jours.
A l'issue de ces 40 jours la fête de Pâques célébrera la mort et la résurrection du Christ.
Pour marquer le coup avant que ces privations ne commencent, la veille, le mardi, on faisait gras. On finissait les aliments gras avant de se mettre au carême. On en profite pour faire des beignets, des bugnes et des fritures. De plus, la tradition du carême veut qu’on arrête également de manger des œufs, donc on en profite pour faire des crêpes.
Par opposition au carême, le carnaval est une période de joie et de liberté où les règles de vie normales sont suspendues et où chacun fait un peu comme il lui plaît : on se déguise, on mange tout ce qu’on veut, on sort chanter dans les rues.
Carême
Pendant la période de Carême, les croyants doivent jeûner, se priver et prier dans le but d'expier leurs fautes. L'Eglise interdit ainsi la
consommation de viande, la célébration des mariages et les relations conjugales. A la fin du temps du Carême se déroule la fête de Pâques qui célèbre la mort, puis la résurrection du Christ.
Carnaval
Dans Carnaval il y a Carne, la chair, la viande. En Italien "carnelevare" signifie "sans viande".
Avant l'apparition de ce mot, la veille du Carême était appelée "Carême Prenant".
C'est le dernier jour pour profiter une dernière fois avant Carême et faire bombance, car ensuite, pas d'alimentation carnée ni graisseuse durant 40jours.
On marque le coup par un festin, une fête colorée et bruyante.
La fête de Carnaval se déroule à différentes dates selon l'endroit du globe et revêt des rituels différents !
Carnaval, fête non reconnue par l'Eglise connaît des dates variables de début mais une date de fin fixe qui correspond à la tombée de la nuit de mardi gras.
Il faut savoir que sous l'empire Romain, il existait déjà une grande fête de Carnaval nommée " les Saturnales " à une toute autre période de l'année.
Cette période de fête populaire se déroulait entre le 17 et le 25 décembre.
Le peuple marquait par des réjouissances le solstice d'hiver. Ces fêtes avaient pour but de redonner courage et espoir au peuple
effrayé par les sols gelés, l'absence de vie et l'obscurité.
On offrait des cadeaux : des porte-bonheur, du miel, des gâteaux, de l'or étaient des cadeaux courants.
On décoraient les maisons avec du lierre, des branches de houx et de gui et tout travail, à part celui de la cuisinière et du banquier, était interdit.
Le déguisementLa musique, orchestre ou fanfareLa parade qui consiste en un défilé des personnes déguisées accompagnées avec de la musique.Les chars en général fleuris et très fantasques.
Carnaval laisse une grande place à l'imagination de chacun.
Lors de ces fêtes de Carnaval on retrouve toujours le principe d'inversion au travers des costumes et des jeux (maître/esclave, homme/femme), on se déguise, on fait ripailles, on offre des cadeaux, chants et danses sont de la fête.
Par opposition au Carême, le Carnaval est une période d'excès joyeux, de gras contre maigre. Dans tous les carnavals, les gens dansent, mangent et se déguisent, les règles et interdits habituels sont suspendus.
Chars géants, parades, bals masqués, confettis et serpentins, fanfares, c'est la période des excès démonstratifs !
Chaque pays à sa propre interprétation des réjouissances avec toujours un même objectif : faire la fête !Parmi les plus connus de nos jours, on peut citer les carnavals de Rio de Janeiro, Venise, Nouvelle-Orléans, Nice, également ceux du nord de la France comme Dunkerque, moins connu mais tout aussi festif, le carnaval de Québec.
La plupart des carnavals ont des thèmes très variés, comme les géants, à Dunkerque dans le Nord de la France.
A Rio de Janeiro, on envahit les rues en dansant des samba endiablées, habillé de paillettes et de plumes, pendant des jours et des nuits.
© bloomberg.
En 10 ans, plus de 7 milliards de smartphones ont été fabriqués, et cette nouvelle industrie qui encourage le renouvellement constant des appareils a un impact néfaste et loin d'être négligeable sur la planète,affirme Greenpeace dans un rapport publié lundi. "Nous ne pouvons pas nous permettre de poursuivre avec le même schéma dans les 10 prochaines années", peut-on lire dans ce document, qui avance notamment qu'un Américain moyen n'utilise son smartphone qu'un peu plus de deux ans (26 mois) avant de le remplacer.
Le processus et le lieu de production, les matériaux utilisés, la courte durée d'utilisation de l'appareil ainsi que le manque de recyclage des déchets qui en sont issus font de cette industrie récente un "désastre écologique", selon l'organisation de protection de l'environnement.
"Depuis 2007", année de sortie du premier iPhone d'Apple, devenu un symbole de ces nouveaux accessoires technologiques, "environ 968 TWh ont été utilisés pour fabriquer des smartphones. C'est presque autant d'électricité que ce que consomme durant un an l'Inde, qui a utilisé 973 TWh en 2014", avance Greenpeace. Cela correspond également à environ 11 ans d'alimentation électrique pour la Belgique.
C'est la phase de fabrication des appareils qui dévore le plus d'électricité et entraine la plus grosse part de pollution du cycle de vie d'un smartphone, avec près de 3/4 des émissions de CO2. Une des raisons en est que la production est essentiellement localisée en Chine, un pays dont l'économie repose toujours sur un mix énergétique extrêmement
polluant, dominé par le charbon. Cet élément est central dans l'empreinte carbone très élevée des appareils électroniques, et donc dans leur impact sur le réchauffement climatique, écrit Greenpeace.
"Ce qui a eu lieu avec la campagne de rappel du Galaxy Note 7 de Samsung est représentatif d'un système gaspilleur et non viable", a commenté en marge du rapport Jude Lee, qui travaille pour Greenpeace en Asie du Sud-est. "L'entreprise doit guider le secteur informatique et se tournervers un système qui permet aux téléphones d'être réparés, réutilisés et recyclés plus facilement".
En effet, le business model actuel de l'industrie du smartphone repose sur un cycle d'utilisation très court, note l'organisation. Les fabricants se dirigent de plus en plus vers des modèles qui ne permettent pas au consommateur d'augmenter la capacité de stockage ou de remplacer la batterie de l'appareil pour l'"adapter" à un usage plus long. Résultat: l'appareil entier finit à la poubelle après quelques mois ou années d'utilisation, ou dès que la batterie montre des signes de faiblesse, faisant le jeu des "nouveaux" modèles qui inondent constamment le marché. Le fait que des smartphones soient annoncés comme "gratuits" dans le cadre de certains contrats avec des opérateurs de téléphonie
mobile pousse encore la tendance de l'utilisateur à acquérir un nouvel appareil assez rapidement. Or, on estime que moins de 16% des déchets électriques sont recyclés, indique Greenpeace. "En 2014 uniquement, les déchets électroniques provenant de petits appareils électroniques tels que les smartphones étaient estimés à 3 millions de tonnes métriques, selon une étude des Nations unies".
"En Asie, le volume des déchets électroniques auraient, selon les estimations, grimpé de 63% depuis 2012, ce qui dépasse l'accroissement de population ainsi que la capacité de la région de gérer cette masse de déchets de manière sûre", annonce l'organisation.
Celle-ci plaide pour un nouveau modèle de "production circulaire", basé sur des smartphones imaginés pour permettre une "mise à jour" des composants et une réutilisation des matériaux.
Note de l'auteur du blogue:C'est exaspérant de constater que beaucoup d'individus étant parfaitement au courant des dégats que cause cet engin ; que pour ma part; je considére comme étant diabolique, continuent envers et contre tout d'en acheter préférant leur petit confort personnel à celui de la préservation de notre planète. L'égoisme devient ici collectif car ceux qui se posent laquestion: « mais comment vivait-on sans smartphone autres " bidules " connectés », deviennent de plus en plus rares au risque de se voir
coller une étiquette de marginaux...
Ce n'est rien, qu'ils continuent à marcher tête baissée, les yeux rivés sur cet écran minuscule comme si leur vie en dépendait, au risque de seprendre chaque poteau d'éclairage en plein dans la gueule, au risque deprovoquer des accidents déchirant ou décimant des familles entières. Il faut donc croire que rester connecté à internet en marchant dehors, en prenant les transports en commun et autres trucs et machins de la vie de tous les jours, est devenu une primeur méprisante.....
Pourquoi ces dunes présentent-elles des couleurs différentes ?
Sur Mars, le sable est habituellement de couleur sombre, vu qu’il provient de roches volcaniques, de coulées de lave par exemple. En couleurs haute-définition, des surfaces telles que ces sommets de dunes prennent une teinte bleu foncé ou pourpre. La taille des grains de sable convient parfaitement au transport éolien en surface : les grains se déplacent par petits bonds sur les reliefs de fond, comme ces dunes, au cours du temps.
Les surfaces de couleur plus claire, “ocre” ou “rougeâtre” sont composées de matériaux différents, contrairement aux particules de la taille d’un grain de sable qui constituent l’essentiel de ces dunes. Les surfaces lisses de couleur claire, qui dominent dans les zones plus basses et plus planes des dunes, sont constituées d’une fine couche de la poussière qui recouvre l’ensemble de la planète. La poussière de Mars est composée d’une variété de matériaux, y compris du fer oxydé, autrement dit de la rouille.
Quand une rafale de vent survient, sa vitesse varie en fonction de l’altitude. La vitesse est plus élevée en hauteur, et l’énergie du vent est proche de zéro au niveau du sol. La poussière persiste sur les zones les plus planes des dunes, parce que l’énergie du vent est insuffisante pour l’enlever, alors que les crêtes, dépourvues de poussière, sont soumises à des ventsplus intenses, ce qui finit par donner cet aspect bicolore aux dunes.
CLIC ICI........http://dai.ly/x5dd4ft
Cette fête païenne célébrant la fin de l'hiver est devenue une célébration
chrétienne marquant l'entrée en Carême. Retour sur l'histoire de Mardi
gras qui se fête ce mardi.
Quelle est l'origine de Mardi gras?
C'est une fête païenne romaine célébrant la fin de l'hiver, les Calendes de
mars, pendant laquelle les interdits étaient transgressés et les
déguisements autorisés. Elle fut plus tard christianisée, pour marquer
l'entrée en Carême, période de jeûne et de prière qui commémore les 40
jours passés au désert par le Christ. «Mardi gras» précède donc le mercredi des Cendres.
Mardi gras est donc une fête chrétienne?
Le Mardi gras ouvre la période pascale, jusqu'à la fête de la Résurrection
du Christ. Avant l'austérité du Carême, ce jour permet la joie et
l'abondance. Mardi est appelé «gras» en référence aux aliments
considérés comme riches, dont on se prive pendant le Carême: viande,
beurre, surcre... Avec la Réforme protestante, qui a remis en cause le
Carême, Mardi gras est surtout identifié aux pays catholiques et
orthodoxes. Dans les pays anglo-saxons, certains protestants ont
conservé un équivalent, sobrement intitulé «Shrove Tuesday»: Mardi de la
confession, ou Mardi de l'absolution.
D'où vient la tradition du carnaval?
Mardi gras est l'occasion des carnavals, dont ceux de Nice, avec ses chars
fleuris, et de Dunkerque, où l'on jette des harengs à la foule, sont
célèbres en France. Carnaval vient du latin «carne vale», qui signifie
«adieu à la chair». Les chrétiens marquent ainsi la privation du Carême
par un dernier jour de réjouissance, tant alimentaire que vestimentaire.
Par le déguisement, le carnaval invite aussi à la dérision.
Quid des crêpes?
La coutume de manger des crêpes, des gaufres, des beignets, ou encore des
pancakes dans les pays anglo-saxons, vient à l'origine de la nécessité
d'épuiser les réserves d'œufs et de beurre qui ne seront pas utilisées
durant le Carême.
Porquerolles : Parc National Français, bercé par le chant des cigales ...
Porquerolles est une charmante île d’Hyères, dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Longue de 7,5 kilomètres et large de 3 kilomètres, elle est la plus grande des trois îles de la commune.
Propriété de l’Etat français depuis 1971, elle possède le statut de parc national depuis 2012.
L’île L'île de Porquerolles est bordée de plages de sable couvertes de pins, de bruyères et de myrtes qui parfument le chemin sur la côte nord, contrastant avec un paysage abrupt sur la côte sud. Les touristes s’adonnent principalement à la randonnée pour admirer les nombreux points de vue, le VTT, le repos sur la plage ou la plongée sous-marine.
Le lieu est épargné par les pollutions industrielles directes et abrite des espèces rares comme le genêt à feuilles de lin.
L’île de Porquerolles a un charme naturel qui donne envie d’aller y passer ses vacances ...
Elles ont pourtant un pouvoir physique qui influence directement ou indirectement notre vie. Ca et là, on peut parler de présence, de magnétisme, d’aura, qui ne sont finalement que l’enveloppe invisible créée par les pensées.
Ce pouvoir des pensées est d’autant plus grand lorsqu’il est pétri dans la foi et l’émotion. Ces derniers augmentent la vibration, comme on augmenterait le son d’une radio pour mieux l’entendre.
Des pensées positives emplies de foi agiront favorablement, tout comme des négatives créeront le lit du malheur.
NOUS SOMMES DES MACHINES À PENSERChaque personne émet en moyenne 60.000 pensées par jour ! Étonnamment, 95% de celles-ci sont les mêmes pensées répétées chaque jour. En moyenne, 80% de ces pensées répétitives sont négatives.
Malheureusement, nos cerveaux sont configurés pour accorder plus d’attention aux expériences négatives que positives. Cette particularité a permis à l’être humain de survivre. Jadis, il était essentiel de retenir les expériences négatives comme par exemple la morsure d’un serpent, la toxicité d’une plante…
Si notre monde est aujourd’hui beaucoup moins dangereux, nos pensées sont pourtant toujours principalement négatives.
Grâce à l’imagerie IRM, les chercheurs ont prouvé que les pensées négatives stimulent les zones du cerveau qui favorisent la dépression et
l’anxiété. Ils ont également prouvé que des pensées positives déclenchent une cascade d’hormones positives dans tout le corps qui se traduit par un sentiment de calme et de paix.
Ce que la sagesse des anciens nous avait enseigné, la science moderne nous le confirme donc aujourd’hui. Le cerveau est « reconfigurable » par diverses méthodes dont la pensée positive.Voici 115 pensées positives pour être plus heureux(se). Veuillez sélectionnez uniquement celles qui vous parlent et plaisent le plus.
La brève culture*
La plus grosse cloche de Paris, qui est également le plus gros bourdon de France, est celle du Sacré-Cœur de Montmartre.
Surnommée la Savoyarde parce qu’elle a été offerte par les diocèses de Savoie et fondue à Annecy, ce carillon en airain
(alliage de cuivre et d’étain) pèse pas moins de 19 tonnes, tandis que sa masse en mouvement atteint les 25 tonnes.
Si cette immense cloche semble faire quantité négligeable face au 90 tonnes du plus gros carillon sonnant au monde, celui de Mingun en Birmanie, elle fait tout de même partie des cloches à balancement les plus lourdes !
* Il y a des questions sur Paris dont on aimerait bien avoir la réponse. Que ce soit des interrogations importantes sur la capitale, son histoire ou ses bonnes adresses ou des mini-informations à picorer dont on peut se servir pour briller en société. "
Au cœur de la Nouvelle Athènes, dans le triangle d’or fréquenté par le tout-Paris artiste et intellectuel du XIXème siècle, l’hôtel
Scheffer-Renan abrite depuis 1987 le Musée de la Vie Romantique de la ville de Paris.
La demeure du 16 rue Chaptal a gardé intacts son charme, sa verdure et l’architecture d’origine du petit hôtel particulier du peintre d’originehollandaise Ary Scheffer (1795-1858). Construite par l’entrepreneur Wormser, cette maison généreuse crépie de blanc, typique de l’époque Restauration, comporte deux étages d’habitation surélevés sous un toit à l’italienne. Dans le jardin courent bientôt treilles et glycines. Face à la maison, Ary Scheffer fait rapidement construire deux ateliers à verrière, orientés au nord, de part et d’autre de la cour pavée : l’un à usage de salon, l’autre d’atelier de travail.
Dans l’atelier-salon, Scheffer, portraitiste renommé sous la monarchie de Juillet, reçoit le Tout-Paris artistique et intellectuel. Delacroix vient en voisin, comme George Sand avec Chopin qui joue volontiers sur le piano Pleyel. Ils retrouvent Liszt et Marie d’Agoult, mais aussi Rossini, Tourgueniev, Dickens. L’atelier de travail, qui lui fait pendant devant un délicieux fouillis de seringas et de rosiers, était utilisé par Ary Scheffer et son frère cadet Henry, lui aussi peintre.
Agrémentée d’une serre et d’un jardin, cette propriété qu’Ary Scheffer loua pendant près de trente ans, fut achetée à sa mort en 1858 par sa fille unique Cornélia Scheffer-Marjolin. En 1956, la maison est vendue à l’Etat pour un montant symbolique, afin qu’y soit établie « une institution culturelle à dominante muséographique ». Ouverte en 1982, cette annexe du musée Carnavalet prend ainsi brièvement le nom de « Musée Renan-Scheffer ». Peu après, une nouvelle muséographie est lancée,mettant en valeur dans les bâtiments rénovés sous la conduite de Jacques Garcia, de nombreux souvenirs de George Sand (meubles, peintures, objets d’art et bijoux). Le musée prend en 1987 l’appellation de « Musée de la Vie Romantique ».
Sainte Maison par les Anges réalisée entre 1828 et 1837 par Pierre Claude François Delorme
La Princesse de Joinville, peint par Ary Scheffer en 1844, huile sur toile
Survivre en temps de catastrophe !
Souvent les hommes prennent pour acquis
ce qu’ils possèdent (la paix, la sécurité)
comme quelque chose qui est immuable,
qui va toujours exister, qui ne peut pas
changer. Mais l’histoire prouve le contraire.
C’est souvent dans ces périodes de fausses
sécurités que les plus grands drames arrivent,
que l’impensable se produit, que le monde,
du jour au lendemain, est bouleversé.
Tout le monde savait que le nazisme
montait très dangereusement en Allemagne,
et qu’Hitler construisait une grande armée.
Puis, l’enfer a commencé à se déchaîner,
la Pologne, du jour au lendemain, a été
envahie par l’armée allemande.
La Deuxième Guerre mondiale venait de
débuter !
Puis ce fut le tour et la défaite de la Finlande,
du Danemark, de la Norvège et de la Hollande.
Et bien sûr l’invasion de la Belgique, et pour
terminer, la défaite de la France et de l’armée
anglaise !
Ma mère a connu cette affreuse et terrible
période. Sa famille a dû prendre la route de
l’exil pour se réfugier dans le sud de la France.
Bien qu’elle fût qu’une enfant, elle se rappelle
ces événements, les terribles conditions des
réfugiés, le manque de nourriture, le pain noir
rancît, la gale et autres maladies, sans compter
le froid et l’incertitude du futur.
Une chose qui m’a toujours marqué, c’est ce
qu’elle disait, juste avant que tout cela arrive :
« Les gens faisaient la fête, ils allaient au bal
pour s’amuser, comme si de rien ne se passer
dans le reste de l’Europe. »
Je me rappelle ses paroles et je les ai toujours
prises au sérieux, comme une mise en garde
pour le futur.
Que fait le fermier quand il voit d’énormes
nuages noirs s’amonceler sur l’horizon ? Il
sait qu’une terrible tempête est sur le point
d’arriver, et il se prépare pour cela.
Il fait ses préparatifs, tout ce qui est en son
pouvoir pour protéger ses biens.
La question que nous pouvons nous poser :
sommes-nous prêts si demain une catastrophe
majeure arrivait en France ? (une catastrophe
dans une de nos centrales nucléaires par
exemple)
Si demain les lignes téléphoniques étaient
coupées, l’électricité et le gaz manquant,
l’eau devenue impure à boire, les pompes
à essence et le carburant manquant pour
nos voitures, la nourriture dans les
supermarchés complètement dévalisée.
Bien sûr, vous pensez que cela ne peut pas
arriver dans notre pays, que nous sommes
à l’abri de telles catastrophes, et pourtant…
La plus grande préparation que nous
pouvons faire, c’est en premier une
préparation mentale et psychologique,
de réaliser que cela peut arriver du jour
au lendemain sans prévenir.
En second, de faire quelques préparations
à la portée de nos mains et de nos bourses.
Ici, je ne vous parle pas de construire un
abri antinucléaire, avec de la nourriture et
du carburant pour plusieurs années.
Mais de faire une réserve d’eau potable
pour plusieurs semaines ; remplir un placard
ou deux de nourriture pour un mois ou plus.
D’avoir une alternative de chauffage ; un
réchaud à gaz, avec quelques recharges est
une bonne idée ; sans oublier une bonne
réserve de bougies et d’allumettes ; et
pourquoi pas, ressortir ces bonnes vieilles
lampes à pétrole pour nous éclairer (avec
une ou deux bouteilles de pétrole pour
qu’elles continuent à être utiles.)
Avoir quelques médicaments et nécessaires
pour des premiers soins n’est pas un luxe
aussi. En outre, je mettrais dedans une ou
deux boîtes de cachets pour purifier l’eau
en cas d’urgence. N’oubliez pas ces bonnes
vieilles bouillottes, elles peuvent faire des
miracles.
Quelque chose que j’ai toujours enseigné
à mes enfants : « Il vaut mieux l’avoir et
ne pas en avoir besoin, que d’en avoir
besoin et de ne pas l’avoir ! »
Mais la question est celle-ci :
Sommes-nous prêts à n’importe quel
changement qui peut arriver dans notre
notre pays ?
Avons-nous planifié ou pensé à faire
quelques préparations pour le pire ?
Récemment, une très bonne amie à moi
a perdu sa maison et la plupart de ses biens
dans un incendie ; une tragédie que personne
ne pense qui peut leur arriver.
J’ai réalisé alors, combien la perte de tous ses
papiers et documents importants ont dû être
un gros souci pour elle.
Donc, j’encourage ceux qui ont un ordi et un
scanneur, de scanner tous vos papiers et
documents importants et de les mettre sur
une clé USB pour garder des traces.
Quant à emmagasiner une petite réserve de
nourriture et autres items indispensables,
c’est très simple à réaliser :
Chaque fois que vous faites votre shopping,
achetez une ou deux boîtes de conserve en
plus, un pot de miel ou un paquet de sucre ou
de café, ou encore une bouteille d’huile
en supplément de vos courses.
Il suffit après, de les marquer d’une date et
de les ranger dans votre placard de réserve. Et
bien sûr, n’oubliez pas de faire une rotation
pour utiliser ceux qui ont des dates anciennes.
Les conserves peuvent se garder deux à trois
ans ou plus. Tant que les conserves ne sont pas
bombées, il y a de grandes chances qu’elles sont
encore comestibles.
Il y a un bon nombre d’aliments qui survivent
après bien des années, comme le riz, les pâtes,
les lentilles, etc. Le miel par exemple est
impérissable.
Savez-vous qu’on a retrouvé des biscuits dans
leurs emballages d’origine qui dataient de la
Deuxième Guerre mondiale et qui étaient
encore comestibles ?
Une autre chose importante qui me vient à
l’esprit, ce sont les médicaments. C’est bien
d’avoir une armoire à pharmacie la plus
complète possible. Penser aussi, au traitement
que vous prenez chaque jour, et si vous pouvez,
faites une petite réserve.
Au sujet des médicaments : ne jetez pas au
bout d’une année la plupart de vos médicaments.
Vous pouvez les garder 4 ans ou plus, quelque
chose que les compagnies pharmaceutiques ne
veulent surtout pas vous dire. Renseignez-vous
quand même.
Pour terminer, je n’ai pas écrit ce blogue dans
l’intention d’être négatif ou rabat-joie, mais
plutôt un petit aide-mémoire sur l’importance
d’avoir quelques préparatifs d’urgence en cas
de besoin.
Conseil : tout le monde devrait avoir un
ou deux livres qui parlent de survie dans
leur bibliothèque.
Je voudrais vous poser une simple question :
Combien de personnes qui ont besoin de faire
un long voyage en voiture l’hiver pensent à
apporter avec elles de la nourriture, des
couvertures, des lampes électriques, une
trousse de secours, etc. en cas de grosses
intempéries, et d’être tristement bloqué sur
une route ? Croyez-moi, cela peut sauver
votre vie ou d’autres personnes aussi !
Avez-vous déjà pris l’avion, vous retrouvant
bloqué pendant des heures ou parfois toute
une journée dans un aéroport ? J’ai pris souvent
l’avion, et parfois avec mes jeunes enfants, et là,
je vous parle de bon sens, de prendre les devants
et d’être prêts à n’importe quelles urgences.
Rappelez-vous de ces simples maximes :
La prudence est la mère de toutes les
vertus !
Le sage prend garde et se prépare !
Il est plus préférable de construire une
barrière en haut de la falaise que de
construire un hôpital en bas !
N’oubliez pas, que la meilleure préparation est
tout d’abord mentale et psychologique. Et effacez
définitivement de votre esprit que cela ne peut pas
vous arriver, que cela arrive seulement qu’aux
autres !
J’ai voyagé lors de mes déplacements à l’étranger,
parfois dans des conditions difficiles ; il faut que
je prenne le temps de vous écrire mes expériences,
je suis sûr que cela va vous intéresser.
Patrick Etienne
Photographe Omar Z. Robles,s’est rendu à Puerto Rico pour saisir de magnifiques portraits des danseurs dans les rues. Les corps tout en souplesse s’accordent parfaitement avec l’architecture et la physionomie de l’île.