Un débat à Lyon le samedi 5 novembre Selon notre tradition "Rue89iène", on vous convie à un débat sur le vin et l’agriculture à l’occasion de la troisième édition du salon "Rue89Lyon" des vins.
Il se tiendra le samedi 5 novembre (de 13h45 à 15h environ), au Palais de la Bourse (Lyon 2è). Il sera précédé de longs extraits de Cuatro Manos, documentaire sur le vin naturel sud-américain, et portera sur le thème : « Le vin peut-il changer l’agriculture ? », en présence de nos intervenants : Antoine Gerbelle, journaliste et auteur de Soif d’aujourd’hui ; Jacques Berthomeau, compagnon de route de Michel Rocard à l’agriculture et blogueur ; Vincent Wallard, vigneron naturel en Argentine ; et Dominique Piron, président de l’interprofession du Beaujolais.
Les vignes de Bruno Perraud (les Côtes de la Molière), dans le Beaujolais. Crédit : DD/Rue89Lyon.
Pour connaître le contenu du programme de cette édition 2016, suivez le guide. Sachez aussi que l’on vous concocte une petite soirée de bienvenue le vendredi soir au Lavoir Public, et un autre moment pour se dire au revoir, le dimanche soir, à… l’Académie de billard. Mais oui.
Plusieurs membres du forum Quora ont fait remarquer que les personnes intelligentes sont flexibles et capables de connaître le succès dans différents contextes.
Comme l'écrit Donna Hammet, "elles peuvent montrer qu'elles peuvent faire quelque chose sans tenir compte des complications ou des limites auxquelles elles peuvent être confrontées". Une récente étude psychologique soutient cette idée. L'intelligence dépend du fait d'être capable de changer notre propre comportement dans le but de se débrouiller efficacement ou de faire changer l'environnement dans lequel l'on est plongé".
Des scientifiques ont ainsi suivi des milliers de personnes nées au Royaume-Uni depuis cinquante ans. Ils ont appris que ceux qui avaient leniveau de QI le plus élevé à onze ans sont ceux qui ont le plus d'ouverture d'esprit à 50 ans...
Les anciens d’Okinawa privilégiaient dans leur assiette les aliments riches en nutriments les plus importants dans la lutte contre le vieillissement, l’inflammation et la majorité des maladies. Voici quelques aliments particulièrement riches en nutriments protecteurs afin de préserver votre corps en bonne santé . La santé passe d'abord par l'assiette !
Les algues, pour éliminer les toxines Faibles en calories mais extrêmement riches en nutriments, les algues abondent dans les plats okinawaïens. Elles sont particulièrement riches en minéraux (calcium, magnésium), oligo-éléments (fer, cuivre, iode), vitamines (A, B2, B9, C, K), antioxydants et protéines. De plus, elles favorisent l’élimination des toxines et nettoient l’organisme. Il existe différentes variétés d’algues : nori, kombu, hijiki… Elles se présentent principalement fraîches ou séchées. Produites en Bretagne, vous pouvez les acheter en magasins bio.
Le soja, source de protéines végétales Okinawa détient le record de consommation de soja, et cela n’est pas sans conséquences sur leur bonne santé. Cet ingrédient est à la base de nombreux produits : sauce de soja, tofu, miso… C’est une source de protéines d’excellente qualité mais également de minéraux (calcium, magnésium, fer), de vitamines et d’antioxydants (les isoflavones). Il existe une multitude de tofu différents au Japon, mais en France on trouve principalement du tofu ferme (pour la cuisson) ou soyeux (utile pour les sauces, mousses ou crèmes).
Le curcuma et le gingembre contre les inflammations Le curcuma et le gingembre sont 2 rhizomes largement utilisés en Asie dans la cuisine comme dans la médecine traditionnelle. En effet, ils font partie des anti-inflammatoires naturels les plus puissants et leur action antioxydante n’est plus à démontrer. Au Japon, le gingembre est principalement connu pour faciliter la digestion. Le curcuma rentre dans la composition de mélanges d'épices : curry, garam massala, ras-el-hanout… À Okinawa, on consomme également ses feuilles. Pour multiplier les bienfaits du curcuma ou du gingembre, il est conseillé de les associer à du poivre ou de l’huile d’olive.
Les champignons stimulent les défenses immunitaires Le champignon le plus connu à Okinawa est le shiitaké, également appelé lentin du chêne. Il est largement utilisé dans la pharmacopée chinoise où il est considéré comme un véritable élixir de vie. Il contient environ 25 % de son poids sec en protéines et est une source importante de vitamines (notamment B12 et D), de minéraux (zinc) et de polysaccharide (le lentinane, un sucre complexe, considéré comme un médicament au Japon), éléments qui sont reconnus pour avoir une activité stimulante du système immunitaire. Les champignons sont également une bonne source de fibres.
Les poissons gras, sources d'oméga-3 Les poissons gras (saumon, truite, thon, bonite, maquereau, sardine, hareng,anchois, lotte, turbot, flétan…) sont très présents dans le régime d’Okinawa (principalement la bonite dans les bouillons dashi). Or on sait qu’ils sont particulièrement riches en oméga-3 et sont une excellente source de vitamine D. De plus, ils contiennent jusqu’à deux fois plus de protéines à poids égal que les poissons maigres.
Le thé vert, puissant antioxydant Le thé vert, omniprésent à Okinawa, contient des polyphénols qui ont une activité antioxydante bien supérieure à celle des vitamines C et E. Ces substances sont plus nombreuses dans le thé vert que dans le thé noir. Si le thé vert est le plus souvent consommé en infusion, il existe le thé matcha – la poudre de thé vert servant à la cérémonie du thé au Japon. Elle peut aussi être utilisée en cuisine.
Le riz complet, riche en fibres Le riz est de loin la céréale la plus consommée à Okinawa. Nous avons tendance à cuisiner du riz blanc, ôté de son enveloppe (le son) qui concentre la plupart des nutriments (magnésium, sélénium, manganèse…) et des fibres. Il est donc intéressant de consommer du riz complet pour profiter pleinement de ses bienfaits. De plus, il est riche en sucres lents essentiels pour apporter l’énergie dont le corps a besoin. Si vous trouvez le riz complet trop dur, opter pour commencer pour un riz semi-complet qui peut être un très bon compromis. Ne pas hésiter à varier les saveurs : riz japonais, basmati, thaï, gluant, noir…
Les herbes aromatiques et les légumes-feuilles au menu À Okinawa, la nature est riche et les légumes à feuilles vertes abondants. Comme ils sont souvent spécifiques à l’archipel, il est préférable de parler des variétés présentes chez nous et dont les valeurs nutritives sont intéressantes : persil, menthe, blette, épinard, mâche, cresson, salade (pour n’en citer que quelques-uns) ont en commun d’être riches en vitamines (C, B9), minéraux (calcium), oligo-éléments (fer), protéines et fibres. N’hésitez pas à en consommer quotidiennement !
Le plein de vitamines avec les fruits Les fruits tropicaux sont un élément important du régime d’Okinawa. Chez nous, on préférera les fruits locaux, notamment les fruits rouges en saison (cassis, groseille, myrtille, fraise, framboise, mûre…) car ils sont particulièrement riches en vitamine C, en bêta-carotène et en polyphénols, trois puissants antioxydants. De plus, leur teneur en potassium vous aidera à faire le plein d’énergie tout au long de la journée… avec un faible apport en calories.
Les oléagineux, en dose thérapeutique ! Ces graines (sésame, lin) ou fruits à coques (noix, noisette, amande…) sont de véritables petites bombes de nutriments. En effet, les oléagineux concentrent une exceptionnelle richesse en éléments nutritifs : magnésium, calcium, sélénium, fer, oméga-3, vitamine B9 (acide folique),coenzyme Q10… Ils sont également une source importante de protéines et de fibres. Leur seul défaut : ils sont caloriques. Mais leurs bienfaits sont tels que je vous conseille de les introduire dans votre alimentation en les consommant plutôt au petit déjeuner ou en encas.
L'huile de Colza est riche en oméga-3 Cette huile, connue chez nous pour être une source importante d’oméga-3, fait partie du régime alimentaire d’Okinawa. Mais il existe d’autres huiles également intéressantes pour leur apport en oméga-3 : soja, lin, germe de blé, noix… En revanche, toutes ces huiles supportent mal les températures trop élevées. Utiliser l’huile d’olive pour les cuissons etcombiner les autres huiles pour les assaisonnements.
L'ail, l'oignon et l'échalote contre les maladies cardiovasculaires Cette famille d’aliments est reconnue pour ses innombrables vertus sur la santé dans de nombreuses traditions. En effet, l’ail est riche en fibres, vitamines (E, B6, C) et autres composés antioxydants comme le sélénium ou les flavonoïdes. Il diminuerait le cholestérol et ferait baisser la tension artérielle. L’échalote est, quant à elle, l’un des aliments les plus riches en vitamine B9 (ou acide folique), indispensable au moment de la grossesse.
24 HEURES D'UNE JOURNEE EN GIFS ANIMES Photographe Fong Qi Wei Il réunit les 24 heures d’une journée en une seule photographie grâce à des montages géométriques.
octobre - les Trophées de la gastronomie et des vins. Jeudi 3 novembre Rhône-Alpes Découvrez les lauréats des Trophées de la gastronomie et des vins, édition 2016. Odile Mattei a remis le 24 octobre les Trophées de la gastronomie et des vins.
LES TROPHEES DE LA GASTRONOMIE 2016
TROPHEE DU CHEF A L'INTERNATIONAL Le lauréat est : Christophe PAUCODLugdunum Bouchon Lyonnais TOKYO Christophe Paucod est né à Vénissieux le 21 janvier 1973 Fils d’un père lyonnais et d’une mère normande, Christophe passe les premières années de son enfance à Lyon, C’est ensuite en Normandie à Rouen qu’il termine ses études. A 15 ans, il commence à Rouen son apprentissage de la vie culinaire dans le fameux restaurant « GILL », 2 étoiles au guide Michelin, sous la tutelle de Gilles Tournadre. Après 2 années et l’obtention de son CAP de cuisine, Gilles Tournadre lui propose d’aller rejoindre la brigade de Gérard Sallé, Chef des cuisines de l’hôtel Normandy à Deauville. Après une année, son Chef lui annonce qu’il va quitter Deauville pour prendre la direction d’un grand Palace Parisien, Le Plaza Athénée. Christophe part au Touquet pour l’ouverture de L’hôtel Picardy, puis quelques mois après, direction Paris. Il intègre la brigade du Restaurant la Tour d’Argent avec Manuel Martinez (MOF 1986). En Mai 1992, le maître Gérard Salle, invite son élève à rejoindre l’équipe du grand palace parisien. Durant 4 années il acquiert un savoir faire à tous les postes. En février 1996, il décide de quitter Gérard. Tout d’abord pour l’hôtel « Bristol » avec le Chef Emile Tabourdiau (MOF 1976), puis pour le restaurant « Prunier » avec le Chef Gabriel Biscay (MOF 1982), pour être ensuite Chef du Restaurant « Toutoune » dans le 5ème à Paris. Avril 1998, coup de foudre pour le Japon, Christophe quitte la capitale française pour le pays du soleil levant. Malgré son jeune âge (25ans), il intègre la fameuse école du cordon bleu en temps que chef enseignant. Avril 2000, contacté par le groupe Accor, Il ouvre le Sofitel Tokyo en tant que Chef des cuisines, puis Directeur de la restauration, et pour finir Chef des cuisines du groupe Accor Japon. A 33 ans, Christophe n’a qu’une chose en tête, « être chez lui ». En tant que lyonnais, il ne pouvait que faire honneur à sa ville natale Lyon et crée le premier bouchon lyonnais au Japon tenu par un lyonnais, dans le quartier authentique et historique de Kagurazaka, en septembre 2007.
TROPHEE DE L’ACCUEILLes lauréats sont : Samuel et Ludovic Campus – Victoria Hall, Lyon 7e Samuel Campus, ancien de l'Institut Paul Bocuse, s'est associé avec son cousin Ludovic Campus pour reprendre l'établissement au début 2010. Ludovic Campus, 33 ans, diplômé de l’EM Lyon, aux manettes financières et Samuel Campus, 29 ans, diplômé de l’Institut Bocuse et déjà rompu au poste de directeur de restaurant. Sitôt le seuil franchi, le ton est donné. A l’abri de l’agitation de la jungle urbaine, on cultive ici le luxe du calme et de la volupté, ainsi qu’un certain goût de la discrétion. À la lueur des lumières tamisées et au son de musiques lounge, le lieu est idéal pour s’accorder un break, déguster des mets raffinés ou découvrir l’un des savoureux cocktails maison. Tout est fait pour que dans cette grande demeure à l’ambiance feutrée et chaleureuse, on se sente un peu… comme chez soi.
TROPHEE DU BOUCHON LYONNAISLe lauréat est : Resto Halle / Chez Yannis, Lyon 3e Chef : Yannis Rousseau Restaurant type bouchon lyonnais, situé au coeur de Lyon dans les halles de Lyon "Paul Bocuse". Spécialités : Foie de Veau à la lyonnaise, tablier de sapeur, tétine de vaches, quenelles nantua,...
TROPHEE DE LA BISTRONOMIELe lauréat est : L’Aromatic – Pierre Daret, Saint-Etienne (42) Après un apprentissage plutôt bien inspiré à La Poularde, à Montrond-les-Bains, et auprès de Stéphane Laurier (ex-Nouvelle à Saint-Étienne), Stéphanois comme lui, Pierre Daret fait une saison à Leï Mouscardins à Saint-Tropez. Monté à Paris, il atterrit au Mercure Galant chez Pierre Féranti. A Paris, au Grand Véfour, il côtoie le jeune Guy Martin fraîchement débarqué dans l’antre du grand Raymond Oliver, disparu un an plus tôt. « Nous formions une équipe, composée uniquement de provinciaux, et très solidaire. Impossible de ne pas aimer Guy, un homme généreux et fédérateur, fier de ses racines savoyardes ». S’ensuit une aventure de trois ans à Firminy dans la Loire où il est le chef du restaurant « Les Cordes » puis un départ pour la Côte d’Azur, sa terre d’élection. Pierre s’installe à La Chèvre d’or à èze-Village avec Jean-Marc Delacourt, un élève de Guy Legay, ancien chef du Ritz. Bougeotte oblige, Pierre retourne à Saint-Tropez, sa ville d’adoption, et jette l’ancre… au Girelier, un restaurant spécialisé dans le poisson, où bouillabaisse et bourride, deux de ses plats fétiches, trônent en tête d’affiche. Son retour à Eze, au Château Eza, cette fois, lui porte chance : il y obtient son premier macaron Michelin, avant que les frères Pourcel ne viennent le débaucher pour le Sens, une de leurs nouvelles enseignes, créée à Levallois-Perret en 2007. Baroudeur dans l’âme, il fait de nouveau son baluchon , et officie cette fois dans les cuisines d’un particulier : Nicolas Seydoux.… Quand il reprend son envol, c’est pour le Moyen-Orient cette fois qu’il largue les amarres : il signe pour une expérience de quatre mois au Carlton Al Moaibed, au royaume d’Arabie Saoudite. Bois de oud et autres senteurs exotiques le font succomber aux charmes de l’Orient, qu’il évoque avec nostalgie. Puis au Baudelaire , six mois après l’ouverture du restaurant, Pierre Daret est récompensé de sa première étoile dans l’édition 2011 du Guide Michelin ! Aujourd’hui, c’est à Saint Etienne sa ville natale que Pierre a posé ses valises pour le plus grand bonheur des stéphanois et des stéphanoises.
TROPHÉE CUISINE DU MONDELe lauréat est : La Toscane (italien), Lyon 6e D’un côté Fabrice Garabédian, chef cuisinier expérimenté, dont quelques années passées chez Georges BLANC. De l’autre, Corine, petite fille du grand chef étoilé Marius. Ils partagent tous deux une grande passion pour la cuisine. Ils avaient donc à coeur d’ouvrir leur propre bistrot italien, afin de partager leur amour de la bonne cuisine avec d’autres personnes.
TROPHÉE DU SOMMELIER DE L’ANNÉELe lauréat est : Philippe Troussard Les Caudalies, Arbois (39) MOF 2015 Depuis six ans, Philippe Troussard travaille en famille dans cette jolie maison d’Arbois (39). Il est gérant et copropriétaire avec Claude, son père. Nadine, sa belle-mère, est aux fourneaux et Claire, sa fiancée, est en salle. Mais surtout, Philippe Troussard a décroché le titre de Meilleur Ouvrier de France sommelier cette année. Le vin est donc au centre de cette belle histoire. Avant d’arriver à Arbois, la famille tenait le Val d’Héri à Salins-les-Bains. La cave était déjà superbe. Désormais, Philippe Troussard peut proposer 500 références à ses clients, dont 60 % de vins du Jura !« Je vais à la rencontre des vignerons, c’est important dans mon métier de voir ceux qui font le vin et de visiter les lieux. « Cela me permet de parler des arômes d’un vin, mais aussi du paysage, du terroir et des hommes. » Philippe Troussard a découvert le vin dans les fêtes de familles. Il y avait toujours de belles bouteilles sur la table. Il a eu la chance de recevoir une initiation vers le bon. Il s’est rapidement rendu compte qu’il avait des prédispositions. « J’ai une bonne mémoire des goûts et des odeurs », explique-t-il. « J’associe toujours un parfum à une histoire, un lieu, un épisode de ma vie. Par exemple, un parfum de gazon mouillé, ça m’évoque le foot. Lorsqu’il y avait un temps légèrement pluvieux, quand montait cette odeur, je savais que j'allais pouvoir tacler en glissant bien ! » Le sommelier d’Arbois n’a rien perdu de son esprit de compétition. Il a abordé le concours de MOF comme les Jeux olympiques. Il fallait qu’il soit performant le jour J, il s’est préparé en conséquence, physiquement et psychologiquement. Il est même allé voir un ORL pour être sûr de pouvoir bien utiliser son nez. « Je vais me poser un peu mais je pense refaire des concours plus tard, Meilleur sommelier d’Europe d’abord… » Un sommelier ne doit pas seulement connaître le vin, il doit être capable d’en parler, donc faire un peu le spectacle, et il doit savoir le vendre. Pour ce volet commercial, il faut disposer de compétences d’analyse, d’observation et de psychologie. Mais également de diplomatie et de tact… « Nous avons quelques secondes pour comprendre ce que le client vient chercher, ce qu’il aime comme type de vin. Il faut vite savoir si l’on met les mêmes notions sous les mêmes mots. Il arrive qu’un client me dise qu’il veut un vin fruité alors qu’il souhaite un vin doux. Je dois m’adapter. » Philippe Troussard aime cette relation avec le client. « J’entre dans l’intimité d’une personne, dans ses goûts et dans son portefeuille ! Je dois proposer le meilleur accord met/vin possible en fonction de ce que les gens aiment et du prix qu’ils souhaitent mettre. Il faut viser juste. Depuis que je suis MOF, l’attente est encore plus grande. Beaucoup me font totalement confiance. Et veulent goûter différentes choses. C’est pour cela que j’ai augmenté l’offre de vins au verre : nous en avons 45 chaque jour ! » Le vin est son métier, il reste son plaisir. Philippe Troussard a vécu une belle émotion de dégustation récemment avec un Meursault 2001 de chez Coche-Dury. TROPHÉE DU CHEF PÂTISSIERLe lauréat est : Cédric Grolet – Hôtel Le Meurice, Paris (75) Après avoir été élu meilleur chef pâtissier de l'année en septembre 2015 par ses pairs, Cédric Grolet a reçu, mercredi 7 septembre, au Pavillon Cambon à Paris, le prix Relais Desserts de meilleur chef pâtissier 2016. À 31 ans à peine, le chef pâtissier du palace parisien Le Meurice touche les étoiles. Si jeune et déjà sur la première marche du podium, il ne lui reste plus qu’à ouvrir une très belle boutique parisienne pour couronner son œuvre. « Demain sûrement », nous confie-t-il, ce jeudi par téléphone. Demain, il souhaite voyager dans le monde entier pour partager sa passion et transmettre son savoir-faire. Demain, il sera l’auteur d’un livre, dont le thème est tenu secret, sur lequel il travaille depuis un an. Pour l'heure, Cédric Grolet est le chef pâtissier du restaurant doublement étoilé Meurice Alain Ducasse (1). « Il y a dix ans, quand on m’avait demandé ce que je souhaitais faire dans une décennie, j’avais répondu que je serai chef dans un palace. Aujourd’hui, j’espère que dans dix ans j’aurais mis mon nom dans les plus belles capitales du monde », ajoute-t-il. Cédric Grolet grandit à Firminy, dans le département de la Loire. Ses grands-parents tiennent un hôtel-restaurant à Andrézieux-Bouthéon, à quelques kilomètres de chez lui. Le jeune garçon y découvre les coulisses de la restauration et se passionne alors pour la pâtisserie. « J’étais tout le temps fourré dans les pattes de mon grand-père », s’amuse t’il. « Mais finalement, la pâtisserie, c’est une passion que j’ai découverte seul. Petit, comme un grand, je faisais des gâteaux de tout et de rien. » Cédric Grolet en fera son métier. Après avoir décroché son CAP pâtissier-chocolatier au Puy-en-Velay et son brevet technique des métiers à Yssingeaux, il remporte plusieurs prix régionaux, puis débarque à Paris. D’abord chez Fauchon en boulangerie, puis en tant que sous-chef au Meurice. En 2012, à seulement 27 ans, il devient chef pâtissier. Son dessert préféré ? Celui de demain, celui qu’il n’a pas encore créé. La place de la pâtisserie dans un repas ? « Le meilleur pour la fin. » La saveur qui le rend heureux ? « Une bonne fraise ramassée un soir d’été dans un jardin. La fraise tout juste nettoyée avec les doigts, qui est encore chaude du soleil et sur laquelle il y a encore un peu de terre », ajoute-t-il. Ce qui l’inspire ? Tout, les saisons, les gens, les souvenirs, les saveurs, les odeurs. La question serait plutôt, qu’est-ce qui n'inspire pas Cédric Grolet ? Et la réponse : rien.
TROPHÉE DU CHEF ESPOIR DE L’ANNÉELe lauréat est : Gregory Stawowy – Le Suprême 106, Lyon 7e
Après avoir travaillé dix ans à l'étranger aux côtés de chefs comme Pierre Gagnaire à Londres, et Daniel Boulud à New York, Grégory Stawowy a repris ce restaurant de cuisine bressane qu'il a rebaptisé Le Suprême avec sa femme, Yun Young Lee. Habitué des tables gastronomiques, le chef revendique son appétence pour la cuisine de terroir.
TROPHÉE GRANDE TABLE DE L’ANNÉELe lauréat est : Restaurant Alexandre, Michel KAYSER, Garon (30) Né à Bitche en Moselle le 21 octobre 1955. En 1969, âgé de 13 ans ½, il entre comme apprenti à Forbach chez Pierre STERNJACOB à l’hôtel-restaurant "l’Union" en Moselle. Il continue sa route en réalisant des saisons au restaurant « Le Bourgogne » à Evian-les-Bains, à Courchevel, à Palavas les Flots au sein de la brigade de Paul ALEXANDRE, chez René BOUVAREL, à St Hilaire du Rosier. Au décès de son père, en 1978, il retourne dans l’Est et se fait une place au sein de l’équipe du restaurant étoilé « Kammerzell » à Strasbourg pour ensuite rejoindre une équipe plus restreinte à Sarreguemines au poste de Chef de cuisine. En avril 1983 avec sa femme Monique et sa première fille Aude, il rejoint la région méditerranéenne, comme chef de cuisine du restaurant « Alexandre ». Le restaurant perd son étoile et la transmission est rude, elle se termine en 1986. Même année où est née, Marine, sa seconde fille : un élan de bonheur au milieu de la bataille ou plutôt un beau présage. En effet en 1987 une première étoile inattendue récompense une équipe réduite à son strict minimum. En 2001, Monique et Michel Kayser deviennent enfin propriétaires et en 2003. En 2007, la récompense suprême : deux étoiles au Guide Michelin. Puis en 2009 l’entrée dans la prestigieuse chaîne des « Relais et Châteaux »couronne la volonté de Michel Kayser. Nouvelle récompense en 2014, le Guide Champérard attribue le titre de "Chef de l'année" à Michel KAYSER.
TROPHÉE DU CHEF DE L’ANNÉELe lauréat est : Christophe Bacquié – Hôtel du Castellet Le Castellet (83) Doublement étoilé au Guide Michelin et ayant obtenu le titre de Meilleur Ouvrier de France en 2004, Christophe Bacquié officie à la direction de la restauration de l’Hôtel & Spa du Castellet et des cuisines du restaurant gastronomique depuis le 1er novembre 2009. Il retrouve la Corse où il a grandi et y officie pendant 12 ans. Il obtient sa 1ere étoile « Michelin » en 2002 puis une seconde en février 2007. En 2008, récompensé par le Relais Gourmand Trophy, il devient « Grand Chef » Relais et Châteaux. En 2009, il décide de relever un nouveau challenge et quitte la Corse pour la Provence. Il s’installe aux commandes des cuisines de l’hôtel du Castellet et réussi l’exploit de retrouver sa deuxième étoile en 2010 au restaurant gastronomique. Il débute l’année 2011 avec son nouveau projet de bistrot pour l’hôtel du Castellet « Le SanFelice » qui voit le jour au mois de mai 2011. En novembre 2011 le restaurant gastronomique fait son entrée dans les Grandes Tables du Monde. Puis en mars 2015, la table gastronomique devient le "Restaurant Christophe Bacquié". Avec son second, Fabien Ferré, et son chef pâtissier Loïc Colliau, ils prennent plaisir à créer de nouveaux plats, mais aussi à former les jeunes apprentis, telle une grande famille. Un échange au quotidien, renforcé par les années de travail au sein d'une même équipe. Aujourd’hui, une seule passion les unit : la passion de la cuisine.
TROPHÉE VIN ET VIGNERON DE L’ANNÉELe lauréat est : Jean-Pierre LARGE - Chiroubles 2014 Vieilles Vignes Domaine Emile CHEYSSON Le Chiroubles est un cru du Beaujolais qui peut se boire jeune mais dont les qualités se développent en vieillissant de 3 à 5 ans. Fin, très fruité, c’est le cru le plus typique du Beaujolais. Des coteaux du Beaujolais aux chemins de vignes de la Bourgogne il n'y a qu'un pas. Mais si en plus on allie à un fabuleux terroir un élevage en fût, nous commencerons à pouvoir être comparé aux belles appellations bourguignonnes. A un bémol près, les origines Chiroublonnes du vin lui confère un fruité et une finesse rarement égalés.
Trophée Toque Blanche de l'année Le lauréat est : Eric Lambolez, chef du restaurant « Jean Brouilly à Tarare (69
21 tentatives pour sortir sa voiture de sa place de parking. Par Les conducteurs ne sont pas tous logés à la même enseigne quand il s'agit de sortir la voiture de sa place de parking. Si certains y parviennent du premier coup, même dans les situations les plus compliquées, d'autres ont plus de mal. Mais celui qui a été filmé par cette caméra de surveillance bat des records...
Une Toyota qui a quelques problèmes avec son parking. N'en déplaise aux mauvaises langues, qui penseront immédiatement qu'une vidéo montrant une voiture qui a du mal à sortir de sa place de parking doit montrer une voiture conduite par une femme... Ce n'est absolument pas le cas. Les habits du conducteur laissent plutôt penser qu'il s'agit bien d'un homme.
Et cet homme, non mieux identifié, a quelques soucis : il doit sortir sa Toyota grise de sa place de parking. Rien ne semble poser problème et pourtant... il ne va pas y arriver. Du moins pas tout de suite et pas sans, au passage, laisser quelques traces sur le flan d'une Volkswagen Golf blanche.
21 essais plus tard, c'est la libération La vidéo, postée sur Youtube et qui sera diffusée au Royaume-Uni à l'occasion d'un nouveau programme appelé "Car Crash Global : Caught on Camera", montre toute la difficulté de l'homme pour sortir sa voiture de sa place de parking.
Il ne va tenter pas moins de 21 manœuvres avant d'y parvenir. On ne sait si c'est un record mais on ne doit pas en être loin. Naturellement, il ne va pas prendre la peine de laisser un mot au propriétaire de la Golf qui aura une bien mauvaise surprise en retrouvant sa voiture.
CIRCUIT TOURISTIQUE AUTOURS DU MONT BLANC - LE TOIT DE L'EUROPE Partez en virée autour du mont Blanc en passant par Chamonix, Megève, Courmayeur, la Palud, Aoste, Beaufort, la vallée de la Tarentaise... En faisant le tour du toit de l'Europe, vous serez surpris de voir combien l'atmosphère diffère entre la France, l'Italie ou la Suisse. Allez en route, au volant de votre camping-car !
L'aventure du mont Blanc commence à Chamonix, la Mecque des alpinistes qui, dès le XVIIIe siècle, devint la base de départ pour conquérir l’inaccessible sommet. Si les premiers à atteindre le plus haut sommet supposé du continent furent les Chamoniards Balmat et Paccard (le 7 août 1786), ce sont des Anglais qui explorèrent les Alpes. Des aristocrates oisifs et sportifs qui avaient commencé leur course vers les sommets dès 1741. Notre tour du massif du Mont-Blanc est donc, pour une bonne partie, celui des stations qui servent de départ pour gravir les 4809 mètres qui, pour nombre de passionnés de la montagne, constituent le but d’une vie.
Le chemin balcon sur la mer de glace qui conduit au signal Forbes avec les aiguilles de la république et des grands Charmoz Une reconnaissance aérienne...par les téléphériquesAvant de prendre la route, il faudrait prendre le temps d’expérimenter tous les points de vue sur le plus célèbre massif au monde : le téléphérique du Brévent et le sentier dit Petit Balcon du Mont-Blanc qui longe la vallée ; suivre le sentier du Montenvers (ou prendre le petit train à crémaillère) pour accéder à la Mer de Glace ; et bien sûr, monter à l’aiguille du Midi (3 800 m) par le vertigineux téléphérique. Plus fou encore : un autre téléphérique passe au-dessus de la Vallée Blancheet du glacier du Géant, conduisant en Italie par la pointe Helbronner. Enfin, un sentier facile et magnifique gravit la montagne de la Côte, sur la rive gauche du glacier des Bossons, mais il faut monter pendant deux heures.
Depuis le piton nord de l'aiguille du Midi, gare d'arrivée du téléphérique, une passerelle vertigineuse donne accès aux tunnels et à l'ascenseur du piton central De Chamonix à Megève, vieille station de charmeDe Chamonix, descendre la vallée de l’Arve jusqu’à Saint-Gervais, la station thermale et de sports d’hiver qui constitue aujourd’hui le point de départ pour l’ascension du mont Blanc. En effet, afin de gravir le sommet, les alpinistes partent avant l’aube du refuge de l’aiguille du Goûter (3 817 m). Ils atteignent donc ce refuge la veille; et la manière la plus confortable d’effectuer cette approche consiste à emprunter le tramway du Mont-Blanc qui relie Saint-Gervais au chalet-restaurant du Nid d’Aigle (2 372 m). On ne manquera pas non plus, par la route cette fois (D902), de monter le Val Montjoie aux riants alpages, jusqu’à la station de ski des Contamines.? De retour à Saint-Gervais, franchir la gorge du Bon Nant par le ?pont du Diable. La route? D909 nous mène à Megève.? Cette vieille station de charme? est aussi la plus mondaine des? Alpes françaises ; mais surtout elle offre, en été, nombre de belles randonnées vers le mont d’Arbois (1 833 m), le mont Joux (1 958 m) et le mont Joly (2 525 m). Par le val d’Arly (D1212) on rejoint ensuite Flumet, sur la D909 qui n’est autre que la Route des Grandes Alpes : nous la suivons sur la gauche en direction de Notre-Dame-de-Bellecombe et du col des Saisies.
L'arche naturelle sur le Nant Borrand dans la réserve naturelle de Contamines Montjoie. Le Beaufortain et son fromage, la Tarentaise et son lac de barrageAvec sa station de sports d’hiver, Les Saisies donnent accès au Beaufortain. Réputé pour son fromage, c’est aussi l’un des pays qui a le mieux su conserver toute son authenticité, notamment en développant une agriculture de montagne plutôt que d’immenses domaines de ski alpin. Sous le col des Saisies, faire halte au charmant village de Hauteluce et ne pas hésiter à pousser vers la petite station du Val Joly : la vallée de Hauteluce se trouve exactement dans l’axe du mont Blanc ! On atteint le fond de la vallée à Beaufort, chef-lieu du pays dont on visitera la coopérative fromagère. Et avant de reprendre cet itinéraire commun à la Traversée des Grandes Alpes et au Tour du Mont-Blanc, nous ferons un aller-retour vers Arêches, qui offre un point de vue pittoresque sur les chalets de Boudin, étagés à flanc de pente. La route grimpe ensuite très raide vers le Cormet de Roselend? (1 968 m), qui donne accès à la vallée de la Tarentaise. Cette vaste zone d’alpage est en grande partie occupée par le lac de barrage de Roselend : son club nautique est sans doute ?le plus haut de France ! La route plonge ensuite vers Bourg- Saint-Maurice, porte de la Tarentaise.
Pour bénéficier de l'une des meilleures vues sur le lac de Roselend (73), dans le Beaufortain, il faut prendre la route de crête du barrage à 150 m au-dessus de l'eau.
La cave coopérative de Beaufort. La visite s’impose, afin de connaître tous les secrets de ce fromage royal au fruité incomparable. Si la zone de production s’étend sur le val d’Arly et les vallées de la Tarentaise ainsi que de la Maurienne, le cœur du terroir est le massif du Beaufortain. Bénéficiant d’une AOP depuis 1968, le beaufort se distingue par des règles particulièrement strictes : lait de vaches tarine et abondance dont la production n’excède pas 500 kg par an et par vache, avec pour alimentation unique du foin et de l’herbe pâturée. À savoir : il existe trois beaufort, dont deux de qualité supérieure : D’été et Chalet d’alpage, plus fruités parce que les bêtes profitent de pâturages particulièrement riches.
Vers l'Italie par le col du Petit-Saint-Bernard (2 188 mètres)?La D1090 qui franchit le Petit-Saint-Bernard est l’un des passages majeurs entre la France et l’Italie ; d’où cette route large qui monte régulièrement, de virage en virage, vers la frontière. Et le mont Blanc, qui est de nouveau en vue, ne manque pas de surprendre, car sa face sud paraît bien plus raide et acérée que ses flancs nord et ouest. Et nous voici en Italie, longeant la Dora di Verney pour rejoindre le val d’Aoste. Si le français demeure, depuis le Moyen Âge, la deuxième langue officielle du val d’Aoste, l’exotisme italien s’impose dès le premier café commandé dans un bar ou un déjeuner dans une trattoria. Dans la vallée, avant de poursuivre le tour du mont Blanc par Aoste et le col du Grand-Saint-Bernard, il faut remonter vers Courmayeur.
Vue sur le col du Petit-Saint-Bernard. La station de Courmayeur et la face sud du Mont Blanc?Des ruelles étroites qui se faufilent parmi de vieilles maisons à balcons et toitures de lauzes soigneusement restaurées, bordées de boutiques de ski et de mode, de cafés et de salons de thé : Courmayeur est une station chic et une base de départ pour les alpinistes confimés. C’est de La Palud, en haut de la vallée, qu’on peut prendre le téléphérique vers l’aiguille du Midi via la pointe Helbronner, voyage évoqué précédemment. Mais il faut aussi remonter le val Ferret, pour la beauté de ses alpages, et le panorama sur le sommet de l'Europe. Parce qu'il est ici tout proche, il paraît beaucoup plus haut qu'en France ! Et comme on remonte la vallée, quel vertigineux coup d'oeil sur les aiguilles qui forment le massif des Grandes Jorasses !
Le téléphérique de l'Aiguille du Midi
4809 mètresC’est la hauteur du mont Blanc mesurée en 2015, passant sous la barre des 4 810 m pour la première fois depuis 2005. Il faut savoir que la hauteur du sommet enneigé varie en fonction des vents, des intempéries et de la température.
Entre le Val d'Aoste et le parc du Grand ParadisOn peut maintenant descendre vers Aoste. Axe de communication naturel entre l’Italie et la France, le val d’Aoste a toujours été une région d’un grand intérêt stratégique. Aussi ne faut-il pas être surpris par le nombre incroyable de donjons et forteresses qui le balisent. Le plus étonnant est le château de Saint-Pierre qui, avec ses clochetons et ses échauguettes, semble sorti d’un conte de fées. À partir de Lavergogne, sur la droite s’ouvrent les profondes vallées de Valgrisenche, Rhêmes, Valsavarenche et Cogne. Toutes quatre s’enfoncent vers le massif du Grand Paradis, ancienne réserve de chasse royale devenue parc naturel en 1922 et entretenue depuis dans unparfait état de virginité.
Dans le val d'Aoste, en Italie, le château et l'église de Saint-Pierre dominent la vallée. Entre les deux se dresse un clocher roman du XIIesiècle . Aoste et le Col du Grand-Saint-Bernard (2 469 mètres). À l’intérieur de ses remparts datant de l’époque romaine, la capitale de la région possède un quartier ancien d’autant plus attachant que ses rues sont piétonnières. On a vite fait de visiter la porte Prétorienne, l’arc d’Auguste, le théâtre, l’amphithéâtre et le pont romain. Reste alors à explorer les rues de Tillier et de la Porte-Prétorienne, avec leurs cafés, restaurants, boutiques de spécialités locales et de matériel de montagne. Et on peut se mettre en route pour le Grand-Saint-Bernard, qui marque la frontière avec la Suisse. Le col du Grand-Saint-Bernard mêle deux images fortes. Historique avec l’armée de Bonaparte attaquant par surprise l’Italie. Bon enfant avec les fameux chiens sauveteurs en montagne, énormes bêtes partant à la recherche des voyageurs égarés, avec un tonnelet de rhum suspendu au collier. Et l’hospice dont ils dépendaient mérite en effet l’arrêt, avec son petit musée. On appréciera par ailleurs le panorama, qui couvre les Alpes Valaisanes, le massif du Grand Paradis et la face orientale du massif du Mont-Blanc.
Le col du Grand-Saint-Bernard, le passage entre le mont Mort et la pointe de Drône, marque la frontière entre la Suisse et l'Italie. Depuis le lac, on peut admirer la vue sur les sommets italiens dont le Grand Golliat qui pointe à 3238 m d'altitude Retour à Chamonix via la SuisseEn longeant la dranse d’Entremont vers Martigny, noter le lac de barrage des Toules et le jardin alpin de Bourg-Saint-Pierre. Avec Martigny et la vallée du Rhône, nous voici en plein Valais. C’est ici que l’on va reprendre le chemin de la France et de Chamonix, d’abord par le col de la Forclaz (1 526 m) et celui des Montets (1 461 m), la frontière se situant entre les deux. C’est au col des Montets que nous renouons avec les belles vues sur le massif du Mont Blanc. Et en contrebas, avec le torrent de l’Arve, nous retrouvons la vallée de Chamonix.
15 illusions d'optique que la nature nous offre. Ma-gni-fique !
Voici notre sélection de clichés exceptionnels :
1. Une rivière qui donne le vertige… Ce randonneur semble marcher proche du vide ! En réalité, il longe une rivière, et cette dernière reflète la paroi qui le surplombe. Une photo réalisée dans à Glen Canyon, dans l’Arizona aux États-Unis.
2. Non, les enfants, non ! Vous avez l’impression que ces enfants sautent dans le vide ? Détrompez-vous, ils vont tomber dans de… l’eau. Elle est si cristalline qu’on ne la voit pas au premier coup d’œil. Cette source naturelle se situe aux Texas et mesure 4 mètres de diamètre, pour 12 mètres de profondeur.
3. Une chute d’eau très particulière ! L’île Maurice possède de nombreux endroits naturels à couper le souffle. L’un des plus impressionnants est sans aucun doute ce courant marin qui, vu du ciel, ressemble énormément à une chute d’eau. Une réaction due, comme vous pouvez le voir, à une ouverture dans la barrière de corail.
4. Un immeuble pas comme les autres Les immeubles haussmanniens de Paris sont reconnaissables dans le monde entier. Le reflet de celui-ci sur un miroir déformant permet un aller simple pour la quatrième dimension ! Une photo réalisée sur la célèbre (et très chère) Avenue George V.
5. Un zèbre mutant ! Les perspectives sont parfois trompeuses. La preuve avec ces deux zèbres, positionnés l’un derrière l’autre, qui donnent l’impression d’avoir à faire à un animal à deux têtes. Le timing de la photo est tellement parfait qu’on y croirait !
6. L’art de tailler les arbres… bien droits. Bluffant ! Bienvenue à Schonbrunn Park, en plein cœur de la ville de Vienne, en Autriche. Un espace arboré où, le moins que l’on puisse dire, c’est que les jardiniers sont perfectionnistes. Il n’y a qu’à voir la façon parfaite dont les arbres sont taillés pour s’en rendre compte !
7. Non, ceci n’est pas une peinture En effet, il ne s’agit pas d’une œuvre d’art, mais bien d’une photo prise lors du coucher de soleil, dans le désert de Namibie. Au premier plan, on peut apercevoir des arbres morts, et au second plan, une dune de sable rouge. Les points blancs sont des rochers. Impressionnant…
8. Oh, un mouchoir géant ! Cette sculpture métallique réalisée par l’artiste Neil Dawson ne correspond pas du tout à ce que l’œil veut bien nous montrer. Nous avons une impression de dessin en 2D, alors qu’en réalité, l’œuvre est bien en 3D. Pour mieux comprendre le secret qui se cache derrière ce mouchoir exposé en Nouvelle-Zélande, regardez cette vidéo.
9. Bienvenue sous l’océan Ces nuages rares sont appelés « asperatus » et sont connus pour leurs formes en vagues. Mais ne vous fiez pas aux apparences. Car malgré leur côté effrayant, ils ne sont absolument pas dangereux. En effet, les asperatus ne sont jamais suivis de tempête ou d’ouragan.
10. Un lac très graphique ! En Suisse, la température peut parfois descendre très bas, au point que l’eau gèle. Quand le soleil fait son retour et que le mercure remonte, sa surface craquèle. Ici, la nature a véritablement bien fait les choses en donnant aux cristaux une forme géométrique quasiment parfaite. Incroyable n’est-ce pas ?
11. Une mannequin découpée ! Ne vous inquiétez pas, la modèle va très bien. Comme vous le voyez sur la photo de droite, le bas de la robe a été créé en deux parties bien distinctes. Sous celles-ci, on aperçoit les jambes du mannequin dans un tissu noir. Et lorsque cette dernière passe devant un arrière-plan noir,comme sur la photo de gauche, l’illusion est parfaite. On a l’impression que son corps est en lévitation. Génial !
12. Vagues de pierre Aux États-Unis, à la frontière entre l’Arizona et l’Utah, on peut observer des formations rocheuses très originales. Elles se sont formées pendant des millions d’années à partir de dunes de sable, grâce notamment à l’érosion engendrée par le vent et la pluie. Résultat : des murs de pierre qui ressemblent à des vagues bien réelles.
13. Un déménagement express Cette sculpture d’Alicia Martin donne l’impression que quelqu’un est en train de jeter des milliers de livres par la fenêtre. Mais en réalité, il s’agit d’une structure métallique sur laquelle des bouquins ont été collés. L’illusion de mouvement est parfaite !
14. Une route très spéciale ! En regardant cette photographie pour la première fois, on a l’impression de voir une route sur le sommet d’une montagne sinueuse. Mais nos yeux nous trahissent ! En fait, il s’agit d’une photo aérienne du fleuve Colorado situé tout en bas d’un canyon. L’illusion est tellement parfaite qu’on est tous tombés dans le panneau, n’est-ce pas ?
15. Ciel de coton Qui n’a jamais rêvé de se relaxer en s’allongeant dans les nuages ? Si c’est votre cas, cette photo risque de hanter vos nuits… car ces nuages rappellent vraiment la texture douillette et chaleureuse du coton. En somme, que du bonheur !
Si vous aimez les univers décalés, à mi-chemin entre réalité et dimensions alternatives, vous allez tomber sous le charme de Doctor Strange, le nouveau film Marvel qui sortira le 26 octobre prochain. L’histoire met en scène un neurochirurgien new-yorkais qui, suite à un accident de voiture, découvre des dimensions parallèles et un univers fantastique. Il va devoir en découvrir les secrets…
Œuvre d’artistes composé de Kristi Botkoveliet Beka Zaridzede jolies scènes proches des livres illustrés pour enfants, on arrive même à reconnaître le Petit Prince sur l’une d’entres elles.
Un débat à Lyon le samedi 5 novembre Selon notre tradition "Rue89iène", on vous convie à un débat sur le vin et l’agriculture à l’occasion de la troisième édition du salon "Rue89Lyon" des vins.
Il se tiendra le samedi 5 novembre (de 13h45 à 15h environ), au Palais de la Bourse (Lyon 2è).
Il sera précédé de longs extraits de Cuatro Manos, documentaire sur le vin naturel sud-américain, et portera sur le thème : « Le vin peut-il changer l’agriculture ? », en présence de nos intervenants : Antoine Gerbelle, journaliste et auteur de Soif d’aujourd’hui ; Jacques Berthomeau, compagnon de route de Michel Rocard à l’agriculture et blogueur ; Vincent Wallard, vigneron naturel en Argentine ; et Dominique Piron, président de l’interprofession du Beaujolais.
Les vignes de Bruno Perraud (les Côtes de la Molière), dans le Beaujolais. Crédit : DD/Rue89Lyon.
Pour connaître le contenu du programme de cette édition 2016, suivez le guide.
Sachez aussi que l’on vous concocte une petite soirée de bienvenue le vendredi soir au Lavoir Public, et un autre moment pour se dire au revoir, le dimanche soir, à… l’Académie de billard. Mais oui.
L'intelligence c'est quoi ?
8 Qualités que possèdent les personnes vraiment intelligentes...
Les plus intelligents s’adaptent à toutes les situations. © bowie 15 - 123RF
Plusieurs membres du forum Quora ont fait remarquer que les personnes intelligentes sont flexibles et capables de connaître le succès dans différents contextes.
Comme l'écrit Donna Hammet, "elles peuvent montrer qu'elles peuvent faire quelque chose sans tenir compte des complications ou des limites auxquelles elles peuvent être confrontées".
Une récente étude psychologique soutient cette idée. L'intelligence dépend du fait d'être capable de changer notre propre comportement dans le but de se débrouiller efficacement ou de faire changer l'environnement dans lequel l'on est
plongé".
Elles ont conscience qu'elles ne savent pas tout
Plus l’on est savant, plus l’on cherche à apprendre en permanence. © ivan Kruk - 123RF
Les personnes brillantes sont capables d'admettre qu'elles ne sont pas familières avec un concept.
Comme le fait remarquer Jim Winer, les individus les plus intelligents "ne sont pas effrayés à l'idée de dire je ne sais pas.
Si elles ne savent pas, elles peuvent tout à fait apprendre".
L'observation de Winer est soutenue par une étude classique de Justin Kruger et David Dunning qui ont démontré que moins l'on était intelligent, plus on surestimait nos capacités cognitives.
Au cours d'une expérience, par exemple, 25% des étudiants qui ont obtenu la plus mauvaise note ont surestimé d'environ 50% le nombre de questions auxquelles ils ont donné la bonne réponse. Dans le même
temps, les étudiants qui font partie des 25% meilleurs ont légèrement
sous-estimé le nombre de leurs bonnes réponses.
Elles ont une curiosité insatiable
Dès le plus jeune âge, ils expérimentent. © Andrey Kiselev - 123RF
C'est Albert Einstein lui-même qui le dit : "Je n'ai pas de talents spéciaux, mais je suis passionnément curieux". Pour Keyzurbur Alas, "Les personnes intelligentes se laissent fasciner par ce que les autres prennent pour acquis".
Une étude publiée en 2016 suggère qu'il existe un lien entre l'intelligence précoce (qui englobe la curiosité intellectuelle) et la capacité à expérimenter à l'âge adulte.
Des scientifiques ont ainsi suivi des milliers de personnes nées au Royaume-Uni depuis cinquante ans. Ils ont appris que ceux qui avaient leniveau de QI le plus élevé à onze ans sont ceux qui ont le plus
d'ouverture d'esprit à 50 ans...
Elles sont ouvertes d'esprit
L’ouverture d’esprit est une preuve d’un cerveau performant © Andrea de Martin - 123RF
Les personnes intelligentes ne sont jamais fermées aux idées ou aux opportunités. Hammett écrit que ce type de gens
"est impatient de prendre en compte et d'accepter les opinions des autres grâce à leur ouverture d'esprit.
Ils sont ouverts aux solutions alternatives".
Des psychologues affirment que les personnes ouvertes d'esprit (celles qui recherchent de nouveaux points de vue et les examinent), tendent à avoir des scores élevés dans les tests de mesure de l'intelligence.
Dans le même temps, ils font attention aux idées et aux perspectives qu'ils adoptent.
"Un esprit intelligent a une forte aversion à accepter les choses dans leur valeur nominale et par conséquent a besoin de preuves évidentes", analyse Alas.
Elles aiment la solitude...
Les plus intelligents ne sont pas les plus grégaires © khunaspix - 123RF
Richard He met en avant le fait que les personnes dotées d'une intelligence développée tendent à être "vraiment individualistes".
De manière intéressante, une récente étude révèle que les plus intelligents ont moins de satisfaction que les autres à socialiser avec des amis.
Elles ont un haut niveau de "self control"
La capacité à se contrôler est une caractéristique centrale. © pat138241 -123RF
Zoher Ali écrit que les personnes intelligentes sont capables de surmonter leur impulsivité en "planifiant, clarifiant leurs buts, en explorant les stratégies alternatives et en examinant les conséquences avant que celles-ci ne surviennent. Des scientifiques ont démontré un lien entre la capacité à se contrôler et l'intelligence.
Dans une étude menée en 2009, des participants ont été invités à choisir entre deux types de récompense financière : une petite paie versée immédiatement ou un salaire plus élevé mais versé plus tard.
Les chercheurs ont montré que les personnes choisissant la seconde option étaient celles qui avaient un haut niveau de contrôle et accessoirement des scores élevés aux tests de mesure de l'intelligence.
Les chercheurs ont mis en avant qu'une partie du cerveau (le cortex pré frontal), jouait un rôle clé et aidait les personnes à résoudre des problèmes et à faire preuve de contrôle de soi-même pour atteindre des objectifs.
Elles sont vraiment marrantes
Austérité et intelligence ne vont pas de pair… © konstantynov - 123RF
Selon Advita Bahani, le sens de l'humour est un point que possède les plus intelligents. Et les scientifiques approuvent.
Une étude a ainsi dévoilé que les personnes qui écrivent les sous-titres les plus marrants sous une image sont celles qui ont le niveau d'intelligence verbale le plus élevé.
Une autre étude montre que les comédiens professionnels ont un niveau d'intelligence verbale qui se situe au-dessus de la moyenne.
Elles sont sensibles aux expériences des autres
"Autant apprendre grâce aux autres", estiment les plus intelligents. © Jean-Marie Guyon - 123RF
"Les plus intelligents sont presque capables de sentir ce que les autres pensent ou ressentent", constate He. Certains psychologues arguent que l'empathie, qui signifie la capacité à comprendre les besoins et les sentiments des autres est une composante à part entière de l'intelligence émotionnelle.
Les individus émotionnellement intelligents sont typiquement ceux qui apprécient vraiment de parler avec de nouvelles personnes et d'en apprendre plus à propos d'elles...
Les anciens d’Okinawa privilégiaient dans leur assiette les aliments riches en nutriments les plus importants dans la lutte contre le
vieillissement, l’inflammation et la majorité des maladies. Voici quelques aliments particulièrement riches en nutriments protecteurs afin de préserver votre corps en bonne santé .
La santé passe d'abord par l'assiette !
Les algues, pour éliminer les toxines
Faibles en calories mais extrêmement riches en nutriments, les algues abondent dans les plats okinawaïens. Elles sont
particulièrement riches en minéraux (calcium, magnésium), oligo-éléments (fer, cuivre, iode), vitamines (A, B2, B9, C, K), antioxydants et protéines.
De plus, elles favorisent l’élimination des toxines et nettoient l’organisme. Il existe différentes variétés d’algues : nori, kombu, hijiki… Elles se présentent principalement fraîches ou séchées. Produites en Bretagne, vous pouvez les acheter en magasins bio.
Le soja, source de protéines végétales
Okinawa détient le record de consommation de soja, et cela n’est pas sans conséquences sur leur bonne santé. Cet ingrédient est à la base de nombreux produits : sauce de soja, tofu, miso… C’est une source de protéines d’excellente qualité mais également de minéraux (calcium, magnésium, fer), de vitamines et d’antioxydants (les isoflavones). Il existe une multitude de tofu différents au Japon, mais en France on trouve principalement du tofu ferme (pour la cuisson) ou soyeux (utile pour les sauces, mousses ou
crèmes).
Le curcuma et le gingembre contre les inflammations
Le curcuma et le gingembre sont 2 rhizomes largement utilisés en Asie dans la cuisine comme dans la médecine traditionnelle. En effet, ils font partie des anti-inflammatoires naturels les plus puissants et leur action antioxydante n’est plus à démontrer. Au Japon, le gingembre est principalement connu pour faciliter la digestion. Le curcuma rentre dans la composition de mélanges d'épices : curry, garam massala, ras-el-hanout… À Okinawa, on consomme également ses feuilles. Pour multiplier les bienfaits du curcuma ou du gingembre, il est conseillé de les associer à du poivre ou de l’huile d’olive.
Les champignons stimulent les défenses immunitaires
Le champignon le plus connu à Okinawa est le shiitaké, également appelé lentin du chêne. Il est largement utilisé dans la
pharmacopée chinoise où il est considéré comme un véritable élixir de vie. Il contient environ 25 % de son poids sec en protéines et est une source importante de vitamines (notamment B12 et D), de minéraux (zinc) et de polysaccharide (le lentinane, un sucre complexe, considéré comme un médicament au Japon), éléments qui sont reconnus pour avoir une activité stimulante du système immunitaire. Les champignons sont également une bonne source de fibres.
Les poissons gras, sources d'oméga-3
Les poissons gras (saumon, truite, thon, bonite, maquereau, sardine, hareng,anchois, lotte, turbot, flétan…) sont très présents dans le régime d’Okinawa (principalement la bonite dans les bouillons dashi). Or on sait qu’ils sont particulièrement riches en oméga-3 et sont une excellente source de vitamine D. De plus, ils contiennent jusqu’à deux fois plus de protéines à poids égal que les poissons maigres.
Le thé vert, puissant antioxydant
Le thé vert, omniprésent à Okinawa, contient des polyphénols qui ont une activité antioxydante bien supérieure à celle des vitamines C et E. Ces substances sont plus nombreuses dans le thé vert que dans le thé noir.
Si le thé vert est le plus souvent consommé en infusion, il existe le thé matcha – la poudre de thé vert servant à la cérémonie du thé au Japon. Elle peut aussi être utilisée en cuisine.
Le riz complet, riche en fibres
Le riz est de loin la céréale la plus consommée à Okinawa. Nous avons tendance à cuisiner du riz blanc, ôté de son enveloppe (le son) qui concentre la plupart des nutriments (magnésium, sélénium, manganèse…) et des fibres.
Il est donc intéressant de consommer du riz complet pour profiter pleinement de ses bienfaits. De plus, il est riche en sucres lents
essentiels pour apporter l’énergie dont le corps a besoin. Si vous trouvez le riz complet trop dur, opter pour commencer pour un riz
semi-complet qui peut être un très bon compromis. Ne pas hésiter à varier les saveurs : riz japonais, basmati, thaï, gluant, noir…
Les herbes aromatiques et les légumes-feuilles au menu
À Okinawa, la nature est riche et les légumes à feuilles vertes abondants.
Comme ils sont souvent spécifiques à l’archipel, il est préférable de parler des variétés présentes chez nous et dont les valeurs nutritives sont intéressantes : persil, menthe, blette, épinard, mâche, cresson, salade (pour n’en citer que quelques-uns) ont en commun d’être riches en vitamines (C, B9), minéraux (calcium), oligo-éléments (fer), protéines et fibres. N’hésitez pas à en consommer quotidiennement !
Le plein de vitamines avec les fruits
Les fruits tropicaux sont un élément important du régime d’Okinawa. Chez nous, on préférera les fruits locaux, notamment les fruits rouges en saison (cassis, groseille, myrtille, fraise, framboise, mûre…) car ils sont particulièrement riches en vitamine C, en bêta-carotène et en polyphénols, trois puissants antioxydants. De plus, leur teneur en potassium vous aidera à faire le plein d’énergie tout au long de la journée… avec un faible apport en calories.
Les oléagineux, en dose thérapeutique !
Ces graines (sésame, lin) ou fruits à coques (noix, noisette, amande…) sont de véritables petites bombes de nutriments. En effet, les oléagineux concentrent une exceptionnelle richesse en éléments nutritifs : magnésium, calcium, sélénium, fer, oméga-3, vitamine B9 (acide folique),coenzyme Q10… Ils sont également une source importante de protéines et de fibres. Leur seul défaut : ils sont caloriques. Mais leurs bienfaits sont tels que je vous conseille de les introduire dans votre alimentation en les consommant plutôt au petit déjeuner ou en encas.
L'huile de Colza est riche en oméga-3
Cette huile, connue chez nous pour être une source importante d’oméga-3, fait partie du régime alimentaire d’Okinawa. Mais il existe d’autres huiles également intéressantes pour leur apport en oméga-3 : soja, lin, germe de blé, noix… En revanche, toutes ces huiles supportent mal les températures trop élevées. Utiliser l’huile d’olive pour les cuissons etcombiner les autres huiles pour les assaisonnements.
L'ail, l'oignon et l'échalote contre les maladies cardiovasculaires
Cette famille d’aliments est reconnue pour ses innombrables vertus sur la santé dans de nombreuses traditions. En effet, l’ail est riche en fibres, vitamines (E, B6, C) et autres composés antioxydants comme le sélénium ou les flavonoïdes. Il diminuerait le cholestérol et ferait baisser la tension artérielle. L’échalote est, quant à elle, l’un des aliments les plus riches en vitamine B9 (ou acide folique), indispensable au moment de la grossesse.
Photographe Fong Qi Wei
Il réunit les 24 heures d’une journée en une seule photographie grâce à des montages géométriques.
[tr]
Découvrez les lauréats des Trophées de la gastronomie et des vins, édition 2016.
octobre
- les Trophées de la gastronomie et des vins.
Jeudi 3 novembre
Rhône-Alpes
Découvrez les lauréats des Trophées de la gastronomie et des vins, édition 2016.
Odile Mattei a remis le 24 octobre les Trophées de la gastronomie et des vins.
LES TROPHEES DE LA GASTRONOMIE 2016
TROPHEE DU CHEF A L'INTERNATIONAL
Le lauréat est :
Christophe PAUCOD Lugdunum Bouchon Lyonnais TOKYO
Christophe Paucod est né à Vénissieux le 21 janvier 1973
Fils d’un père lyonnais et d’une mère normande, Christophe passe les
premières années de son enfance à Lyon, C’est ensuite en Normandie à
Rouen qu’il termine ses études.
A 15 ans, il commence à Rouen son apprentissage de la vie culinaire dans
le fameux restaurant « GILL », 2 étoiles au guide Michelin, sous la
tutelle de Gilles Tournadre.
Après 2 années et l’obtention de son CAP de cuisine, Gilles Tournadre
lui propose d’aller rejoindre la brigade de Gérard Sallé, Chef des
cuisines de l’hôtel Normandy à Deauville.
Après une année, son Chef lui annonce qu’il va quitter Deauville pour
prendre la direction d’un grand Palace Parisien, Le Plaza Athénée.
Christophe part au Touquet pour l’ouverture de L’hôtel Picardy, puis
quelques mois après, direction Paris. Il intègre la brigade du
Restaurant la Tour d’Argent avec Manuel Martinez (MOF 1986).
En Mai 1992, le maître Gérard Salle, invite son élève à rejoindre
l’équipe du grand palace parisien. Durant 4 années il acquiert un savoir
faire à tous les postes.
En février 1996, il décide de quitter Gérard. Tout d’abord pour l’hôtel «
Bristol » avec le Chef Emile Tabourdiau (MOF 1976), puis pour le
restaurant « Prunier » avec le Chef Gabriel Biscay (MOF 1982), pour être
ensuite Chef du Restaurant « Toutoune » dans le 5ème à Paris.
Avril 1998, coup de foudre pour le Japon, Christophe quitte la capitale
française pour le pays du soleil levant. Malgré son jeune âge (25ans),
il intègre la fameuse école du cordon bleu en temps que chef enseignant.
Avril 2000, contacté par le groupe Accor, Il ouvre le Sofitel Tokyo en
tant que Chef des cuisines, puis Directeur de la restauration, et pour
finir Chef des cuisines du groupe Accor Japon.
A 33 ans, Christophe n’a qu’une chose en tête, « être chez lui ». En
tant que lyonnais, il ne pouvait que faire honneur à sa ville natale
Lyon et crée le premier bouchon lyonnais au Japon tenu par un lyonnais,
dans le quartier authentique et historique de Kagurazaka, en septembre
2007.
TROPHEE DE L’ACCUEILLes lauréats sont :
Samuel et Ludovic Campus – Victoria Hall, Lyon 7e
Samuel Campus, ancien de l'Institut Paul Bocuse, s'est associé avec son cousin Ludovic Campus pour reprendre l'établissement au début 2010. Ludovic Campus, 33 ans, diplômé de l’EM Lyon, aux manettes financières et Samuel
Campus, 29 ans, diplômé de l’Institut Bocuse et déjà rompu au poste de
directeur de restaurant.
Sitôt le seuil franchi, le ton est donné. A l’abri de l’agitation de la
jungle urbaine, on cultive ici le luxe du calme et de la volupté, ainsi
qu’un certain goût de la discrétion. À la lueur des lumières tamisées et
au son de musiques lounge, le lieu est idéal pour s’accorder un break,
déguster des mets raffinés ou découvrir l’un des savoureux cocktails
maison.
Tout est fait pour que dans cette grande demeure à l’ambiance feutrée et chaleureuse, on se sente un peu… comme chez soi.
TROPHEE DU BOUCHON LYONNAISLe lauréat est :
Resto Halle / Chez Yannis, Lyon 3e
Chef : Yannis Rousseau
Restaurant type bouchon lyonnais, situé au coeur de Lyon dans les halles
de Lyon "Paul Bocuse". Spécialités : Foie de Veau à la lyonnaise,
tablier de sapeur, tétine de vaches, quenelles nantua,...
TROPHEE DE LA BISTRONOMIELe lauréat est :
L’Aromatic – Pierre Daret, Saint-Etienne (42)
Après un apprentissage plutôt bien inspiré à La Poularde, à
Montrond-les-Bains, et auprès de Stéphane Laurier (ex-Nouvelle à
Saint-Étienne), Stéphanois comme lui, Pierre Daret fait une saison à Leï
Mouscardins à Saint-Tropez. Monté à Paris, il atterrit au Mercure
Galant chez Pierre Féranti.
A Paris, au Grand Véfour, il côtoie le jeune Guy Martin fraîchement
débarqué dans l’antre du grand Raymond Oliver, disparu un an plus tôt. «
Nous formions une équipe, composée uniquement de provinciaux, et très solidaire. Impossible de ne pas aimer Guy, un homme
généreux et fédérateur, fier de ses racines savoyardes ». S’ensuit une aventure de trois ans à Firminy dans la Loire où il est le
chef du restaurant « Les Cordes » puis un départ pour la Côte d’Azur,
sa terre d’élection. Pierre s’installe à La Chèvre d’or à èze-Village
avec Jean-Marc Delacourt, un élève de Guy Legay, ancien chef du Ritz.
Bougeotte oblige, Pierre retourne à Saint-Tropez, sa ville d’adoption,
et jette l’ancre… au Girelier, un restaurant spécialisé dans le poisson,
où bouillabaisse et bourride, deux de ses plats fétiches, trônent en
tête d’affiche.
Son retour à Eze, au Château Eza, cette fois, lui porte chance : il y
obtient son premier macaron Michelin, avant que les frères Pourcel ne
viennent le débaucher pour le Sens, une de leurs nouvelles enseignes,
créée à Levallois-Perret en 2007. Baroudeur dans l’âme, il fait de
nouveau son baluchon , et officie cette fois dans les cuisines d’un
particulier : Nicolas Seydoux.… Quand il reprend son envol, c’est pour
le Moyen-Orient cette fois qu’il largue les amarres : il signe pour une
expérience de quatre mois au Carlton Al Moaibed, au royaume d’Arabie
Saoudite. Bois de oud et autres senteurs exotiques le font succomber aux
charmes de l’Orient, qu’il évoque avec nostalgie.
Puis au Baudelaire , six mois après l’ouverture du restaurant, Pierre
Daret est récompensé de sa première étoile dans l’édition 2011 du Guide
Michelin !
Aujourd’hui, c’est à Saint Etienne sa ville natale que Pierre a posé ses
valises pour le plus grand bonheur des stéphanois et des stéphanoises.
TROPHÉE CUISINE DU MONDELe lauréat est :
La Toscane (italien), Lyon 6e
D’un côté Fabrice Garabédian, chef cuisinier expérimenté, dont quelques
années passées chez Georges BLANC. De l’autre, Corine, petite fille du
grand chef étoilé Marius. Ils partagent tous deux une grande passion
pour la cuisine. Ils avaient donc à coeur d’ouvrir leur propre bistrot
italien, afin de partager leur amour de la bonne cuisine avec d’autres
personnes.
TROPHÉE DU SOMMELIER DE L’ANNÉELe lauréat est :
Philippe Troussard Les Caudalies, Arbois (39)
MOF 2015
Depuis six ans, Philippe Troussard travaille en famille dans cette jolie
maison d’Arbois (39). Il est gérant et copropriétaire avec Claude, son
père. Nadine, sa belle-mère, est aux fourneaux et Claire, sa fiancée,
est en salle. Mais surtout, Philippe Troussard a décroché le titre de
Meilleur Ouvrier de France sommelier cette année. Le vin est donc au
centre de cette belle histoire.
Avant d’arriver à Arbois, la famille tenait le Val d’Héri à
Salins-les-Bains. La cave était déjà superbe. Désormais, Philippe
Troussard peut proposer 500 références à ses clients, dont 60 % de vins
du Jura !« Je vais à la rencontre des vignerons, c’est important dans mon métier de voir ceux qui font le vin et de visiter les
lieux. « Cela me permet de parler des arômes d’un vin, mais aussi du
paysage, du terroir et des hommes. » Philippe Troussard a découvert le vin dans les fêtes de familles. Il y avait toujours de
belles bouteilles sur la table. Il a eu la chance de recevoir une
initiation vers le bon. Il s’est rapidement rendu compte qu’il avait des
prédispositions. « J’ai une bonne mémoire des goûts et des odeurs », explique-t-il. « J’associe toujours un parfum à une histoire, un lieu, un épisode de ma vie. Par
exemple, un parfum de gazon mouillé, ça m’évoque le foot. Lorsqu’il y
avait un temps légèrement pluvieux, quand montait cette odeur, je savais
que j'allais pouvoir tacler en glissant bien ! »
Le sommelier d’Arbois n’a rien perdu de son esprit de compétition. Il a
abordé le concours de MOF comme les Jeux olympiques. Il fallait qu’il
soit performant le jour J, il s’est préparé en conséquence, physiquement
et psychologiquement. Il est même allé voir un ORL pour être sûr de
pouvoir bien utiliser son nez. « Je vais me poser un peu mais je pense refaire des concours plus tard, Meilleur sommelier d’Europe d’abord… »
Un sommelier ne doit pas seulement connaître le vin, il doit être
capable d’en parler, donc faire un peu le spectacle, et il doit savoir
le vendre. Pour ce volet commercial, il faut disposer de compétences
d’analyse, d’observation et de psychologie. Mais également de diplomatie
et de tact… « Nous avons quelques secondes pour comprendre ce que le client vient chercher, ce qu’il aime comme type de vin. Il
faut vite savoir si l’on met les mêmes notions sous les mêmes mots. Il
arrive qu’un client me dise qu’il veut un vin fruité alors qu’il
souhaite un vin doux. Je dois m’adapter. » Philippe Troussard aime cette relation avec le client. « J’entre dans l’intimité d’une personne, dans ses goûts et dans son portefeuille
! Je dois proposer le meilleur accord met/vin possible en fonction de
ce que les gens aiment et du prix qu’ils souhaitent mettre. Il faut
viser juste. Depuis que je suis MOF, l’attente est encore plus grande.
Beaucoup me font totalement confiance. Et veulent goûter différentes
choses. C’est pour cela que j’ai augmenté l’offre de vins au verre :
nous en avons 45 chaque jour ! »
Le vin est son métier, il reste son plaisir. Philippe Troussard a vécu
une belle émotion de dégustation récemment avec un Meursault 2001 de
chez Coche-Dury. TROPHÉE DU CHEF PÂTISSIERLe lauréat est :
Cédric Grolet – Hôtel Le Meurice, Paris (75)
Après avoir été élu meilleur chef pâtissier de l'année en septembre 2015
par ses pairs, Cédric Grolet a reçu, mercredi 7 septembre, au Pavillon
Cambon à Paris, le prix Relais Desserts de meilleur chef pâtissier 2016.
À 31 ans à peine, le chef pâtissier du palace parisien Le Meurice
touche les étoiles. Si jeune et déjà sur la première marche du podium,
il ne lui reste plus qu’à ouvrir une très belle boutique parisienne pour
couronner son œuvre. « Demain sûrement », nous confie-t-il, ce jeudi
par téléphone. Demain, il souhaite voyager dans le monde entier pour
partager sa passion et transmettre son savoir-faire. Demain, il sera
l’auteur d’un livre, dont le thème est tenu secret, sur lequel il
travaille depuis un an. Pour l'heure, Cédric Grolet est le chef
pâtissier du restaurant doublement étoilé Meurice Alain Ducasse (1). « Il y a dix ans, quand on m’avait demandé ce que je souhaitais faire
dans une décennie, j’avais répondu que je serai chef dans un palace.
Aujourd’hui, j’espère que dans dix ans j’aurais mis mon nom dans les
plus belles capitales du monde », ajoute-t-il.
Cédric Grolet grandit à Firminy, dans le département de la Loire. Ses
grands-parents tiennent un hôtel-restaurant à Andrézieux-Bouthéon, à
quelques kilomètres de chez lui. Le jeune garçon y découvre les
coulisses de la restauration et se passionne alors pour la pâtisserie. «
J’étais tout le temps fourré dans les pattes de mon grand-père », s’amuse t’il. « Mais finalement, la pâtisserie, c’est une passion que j’ai découverte seul.
Petit, comme un grand, je faisais des gâteaux de tout et de rien. » Cédric Grolet en fera son métier. Après avoir décroché son CAP
pâtissier-chocolatier au Puy-en-Velay et son brevet technique des
métiers à Yssingeaux, il remporte plusieurs prix régionaux, puis
débarque à Paris. D’abord chez Fauchon en boulangerie, puis en tant que
sous-chef au Meurice. En 2012, à seulement 27 ans, il devient chef
pâtissier.
Son dessert préféré ? Celui de demain, celui qu’il n’a pas encore créé. La place de la pâtisserie dans un repas ? « Le meilleur pour la fin. » La saveur qui le rend heureux ? « Une bonne fraise ramassée un soir d’été dans un jardin. La fraise tout
juste nettoyée avec les doigts, qui est encore chaude du soleil et sur
laquelle il y a encore un peu de terre », ajoute-t-il. Ce qui l’inspire ? Tout, les saisons, les gens, les souvenirs, les saveurs,
les odeurs. La question serait plutôt, qu’est-ce qui n'inspire pas
Cédric Grolet ? Et la réponse : rien.
TROPHÉE DU CHEF ESPOIR DE L’ANNÉELe lauréat est :
Gregory Stawowy – Le Suprême 106, Lyon 7e
Après avoir travaillé dix ans à l'étranger aux côtés de chefs comme
Pierre Gagnaire à Londres, et Daniel Boulud à New York, Grégory Stawowy a
repris ce restaurant de cuisine bressane qu'il a rebaptisé Le Suprême
avec sa femme, Yun Young Lee. Habitué des tables gastronomiques, le chef
revendique son appétence pour la cuisine de terroir.
TROPHÉE GRANDE TABLE DE L’ANNÉELe lauréat est :
Restaurant Alexandre, Michel KAYSER, Garon (30)
Né à Bitche en Moselle le 21 octobre 1955.
En 1969, âgé de 13 ans ½, il entre comme apprenti à Forbach chez Pierre STERNJACOB à l’hôtel-restaurant "l’Union" en Moselle.
Il continue sa route en réalisant des saisons au restaurant « Le
Bourgogne » à Evian-les-Bains, à Courchevel, à Palavas les Flots au sein
de la brigade de Paul ALEXANDRE, chez René BOUVAREL, à St Hilaire du
Rosier.
Au décès de son père, en 1978, il retourne dans l’Est et se fait une
place au sein de l’équipe du restaurant étoilé « Kammerzell » à
Strasbourg pour ensuite rejoindre une équipe plus restreinte à
Sarreguemines au poste de Chef de cuisine.
En avril 1983 avec sa femme Monique et sa première fille Aude, il
rejoint la région méditerranéenne, comme chef de cuisine du restaurant «
Alexandre ».
Le restaurant perd son étoile et la transmission est rude, elle se
termine en 1986. Même année où est née, Marine, sa seconde fille : un
élan de bonheur au milieu de la bataille ou plutôt un beau présage.
En effet en 1987 une première étoile inattendue récompense une équipe réduite à son strict minimum.
En 2001, Monique et Michel Kayser deviennent enfin propriétaires et en 2003.
En 2007, la récompense suprême : deux étoiles au Guide Michelin.
Puis en 2009 l’entrée dans la prestigieuse chaîne des « Relais et Châteaux »couronne la volonté de Michel Kayser.
Nouvelle récompense en 2014, le Guide Champérard attribue le titre de "Chef de l'année" à Michel KAYSER.
TROPHÉE DU CHEF DE L’ANNÉELe lauréat est :
Christophe Bacquié – Hôtel du Castellet Le Castellet (83)
Doublement étoilé au Guide Michelin et ayant obtenu le titre de Meilleur
Ouvrier de France en 2004, Christophe Bacquié officie à la direction de
la restauration de l’Hôtel & Spa du Castellet et des cuisines du
restaurant gastronomique depuis le 1er novembre 2009.
Il retrouve la Corse où il a grandi et y officie pendant 12 ans. Il
obtient sa 1ere étoile « Michelin » en 2002 puis une seconde en février
2007. En 2008, récompensé par le Relais Gourmand Trophy, il devient «
Grand Chef » Relais et Châteaux.
En 2009, il décide de relever un nouveau challenge et quitte la Corse
pour la Provence. Il s’installe aux commandes des cuisines de l’hôtel du
Castellet et réussi l’exploit de retrouver sa deuxième étoile en 2010
au restaurant gastronomique.
Il débute l’année 2011 avec son nouveau projet de bistrot pour l’hôtel
du Castellet « Le SanFelice » qui voit le jour au mois de mai 2011.
En novembre 2011 le restaurant gastronomique fait son entrée dans les Grandes Tables du Monde.
Puis en mars 2015, la table gastronomique devient le "Restaurant Christophe Bacquié".
Avec son second, Fabien Ferré, et son chef pâtissier Loïc Colliau, ils
prennent plaisir à créer de nouveaux plats, mais aussi à former les
jeunes apprentis, telle une grande famille.
Un échange au quotidien, renforcé par les années de travail au sein
d'une même équipe. Aujourd’hui, une seule passion les unit : la passion
de la cuisine.
TROPHÉE VIN ET VIGNERON DE L’ANNÉELe lauréat est :
Jean-Pierre LARGE - Chiroubles 2014 Vieilles Vignes Domaine Emile CHEYSSON
Le Chiroubles est un cru du Beaujolais qui peut se boire jeune mais dont
les qualités se développent en vieillissant de 3 à 5 ans. Fin, très
fruité, c’est le cru le plus typique du Beaujolais.
Des coteaux du Beaujolais aux chemins de vignes de la Bourgogne il n'y a
qu'un pas. Mais si en plus on allie à un fabuleux terroir un élevage en
fût, nous commencerons à pouvoir être comparé aux belles appellations
bourguignonnes. A un bémol près, les origines Chiroublonnes du vin lui
confère un fruité et une finesse rarement égalés.
Trophée Toque Blanche de l'année
Le lauréat est :
Eric Lambolez, chef du restaurant « Jean Brouilly à Tarare (69
Pour vous éviter de compter sur vos doigts...
Savez-vous combien de jours se sont écoulés depuis le jour de votre naissance ?
Voici un moyen facile de le savoir !
Exceptionnel, à conserver et faire suivre à vos amis.
http://www.korn19.ch/coding/days.php?lang=fr
Par Les conducteurs ne sont pas tous logés à la même enseigne quand il s'agit de sortir la voiture de sa
place de parking. Si certains y parviennent du premier coup, même dans les situations les plus compliquées, d'autres ont plus de mal.
Mais celui qui a été filmé par cette caméra de surveillance bat des records...
Une Toyota qui a quelques problèmes avec son parking.
N'en déplaise aux mauvaises langues, qui penseront immédiatement qu'une vidéo montrant une voiture qui a du mal à sortir de sa place de parking doit montrer une voiture conduite par une femme... Ce n'est absolument pas le cas. Les habits du conducteur laissent plutôt penser qu'il s'agit bien d'un homme.
Et cet homme, non mieux identifié, a quelques soucis : il doit sortir sa Toyota grise de sa place de parking. Rien ne semble poser problème et pourtant... il ne va pas y arriver. Du moins pas tout de suite et pas sans, au passage, laisser quelques traces sur le flan d'une Volkswagen Golf blanche.
21 essais plus tard, c'est la libération
La vidéo, postée sur Youtube et qui sera diffusée au Royaume-Uni à l'occasion d'un nouveau programme appelé "Car Crash Global : Caught on Camera", montre toute la difficulté de l'homme pour sortir sa voiture de sa place de parking.
Il ne va tenter pas moins de 21 manœuvres avant d'y parvenir. On ne sait si c'est un record mais on ne doit pas en être loin.
Naturellement, il ne va pas prendre la peine de laisser un mot au propriétaire de la Golf qui aura une bien mauvaise surprise en retrouvant sa voiture.
LE TOIT DE L'EUROPE
Partez en virée autour du mont Blanc en passant par Chamonix, Megève, Courmayeur, la Palud, Aoste, Beaufort, la vallée de la Tarentaise...
En faisant le tour du toit de l'Europe, vous serez surpris de voir combien l'atmosphère diffère entre la France, l'Italie ou la Suisse. Allez en route, au volant de votre camping-car !
L'aventure du mont Blanc commence à Chamonix, la Mecque des alpinistes qui, dès le XVIIIe siècle, devint la base de départ pour conquérir l’inaccessible sommet.
Si les premiers à atteindre le plus haut sommet supposé du continent furent les Chamoniards Balmat et Paccard (le 7 août 1786), ce sont des Anglais qui explorèrent les Alpes.
Des aristocrates oisifs et sportifs qui avaient commencé leur course vers les sommets dès 1741. Notre tour du massif du Mont-Blanc est donc, pour une bonne partie, celui des stations qui servent de départ pour gravir les 4809 mètres qui, pour nombre de passionnés de la montagne, constituent le but d’une vie.
Le chemin balcon sur la mer de glace qui conduit au signal Forbes avec les aiguilles de la république et des grands Charmoz
Une reconnaissance aérienne...par les téléphériques Avant de prendre la route, il faudrait prendre le temps d’expérimenter tous les points de vue sur le plus célèbre massif au monde : le téléphérique du Brévent et le sentier dit Petit Balcon du Mont-Blanc qui longe la vallée ; suivre le sentier du Montenvers (ou prendre le petit train à crémaillère) pour accéder à la Mer de Glace ; et bien sûr, monter à l’aiguille du Midi (3 800 m) par le vertigineux téléphérique.
Plus fou encore : un autre téléphérique passe au-dessus de la Vallée Blancheet du glacier du Géant, conduisant en Italie par la pointe Helbronner.
Enfin, un sentier facile et magnifique gravit la montagne de la Côte, sur la rive gauche du glacier des Bossons, mais il faut monter pendant deux heures.
Depuis le piton nord de l'aiguille du Midi, gare d'arrivée du téléphérique, une passerelle vertigineuse donne accès aux tunnels et à l'ascenseur du piton central
De Chamonix à Megève, vieille station de charme De Chamonix, descendre la vallée de l’Arve jusqu’à Saint-Gervais, la station thermale et de sports d’hiver qui constitue aujourd’hui le point de départ pour l’ascension du mont Blanc.
En effet, afin de gravir le sommet, les alpinistes partent avant l’aube du refuge de l’aiguille du Goûter (3 817 m).
Ils atteignent donc ce refuge la veille; et la manière la plus confortable d’effectuer cette approche consiste à emprunter le tramway du Mont-Blanc qui relie Saint-Gervais au chalet-restaurant du Nid d’Aigle (2 372 m).
On ne manquera pas non plus, par la route cette fois (D902), de monter le Val Montjoie aux riants alpages, jusqu’à la station de ski des Contamines.? De retour à Saint-Gervais, franchir la gorge du Bon Nant par le ?pont du Diable.
La route? D909 nous mène à Megève.? Cette vieille station de charme? est aussi la plus mondaine des? Alpes françaises ; mais surtout elle offre, en été, nombre de belles randonnées vers le mont d’Arbois (1 833 m), le mont Joux (1 958 m) et le mont Joly (2 525 m).
Par le val d’Arly (D1212) on rejoint ensuite Flumet, sur la D909 qui n’est autre que la Route des Grandes Alpes : nous la suivons sur la gauche en direction de Notre-Dame-de-Bellecombe et du col des Saisies.
L'arche naturelle sur le Nant Borrand dans la réserve naturelle de Contamines Montjoie.
Le Beaufortain et son fromage, la Tarentaise et son lac de barrage Avec sa station de sports d’hiver, Les Saisies donnent accès au Beaufortain.
Réputé pour son fromage, c’est aussi l’un des pays qui a le mieux su conserver toute son authenticité, notamment en développant une agriculture de montagne plutôt que d’immenses domaines de ski alpin.
Sous le col des Saisies, faire halte au charmant village de Hauteluce et ne pas hésiter à pousser vers la petite station du Val Joly : la vallée de Hauteluce se trouve exactement dans l’axe du mont Blanc ! On atteint le fond de la vallée à Beaufort, chef-lieu du pays dont on visitera la coopérative fromagère.
Et avant de reprendre cet itinéraire commun à la Traversée des Grandes Alpes et au Tour du Mont-Blanc, nous ferons un aller-retour vers Arêches, qui offre un point de vue pittoresque sur les chalets de Boudin, étagés à flanc de pente.
La route grimpe ensuite très raide vers le Cormet de Roselend? (1 968 m), qui donne accès à la vallée de la Tarentaise.
Cette vaste zone d’alpage est en grande partie occupée par le lac de barrage de Roselend : son club nautique est sans doute ?le plus haut de France !
La route plonge ensuite vers Bourg- Saint-Maurice, porte de la Tarentaise.
Pour bénéficier de l'une des meilleures vues sur le lac de Roselend (73), dans le Beaufortain, il faut prendre la route de crête du barrage à 150 m au-dessus de l'eau.
La cave coopérative de Beaufort.
La visite s’impose, afin de connaître tous les secrets de ce fromage royal au fruité incomparable.
Si la zone de production s’étend sur le val d’Arly et les vallées de la Tarentaise ainsi que de la Maurienne, le cœur du terroir est le massif du Beaufortain.
Bénéficiant d’une AOP depuis 1968, le beaufort se distingue par des règles particulièrement strictes : lait de vaches tarine et abondance dont la production n’excède pas 500 kg par an et par vache, avec pour alimentation unique du foin et de l’herbe pâturée.
À savoir : il existe trois beaufort, dont deux de qualité supérieure :
D’été et Chalet d’alpage, plus fruités parce que les bêtes profitent de pâturages particulièrement riches.
Vers l'Italie par le col du Petit-Saint-Bernard (2 188 mètres) ?La D1090 qui franchit le Petit-Saint-Bernard est l’un des passages majeurs entre la France et l’Italie ; d’où cette route large qui monte régulièrement, de virage en virage, vers la frontière.
Et le mont Blanc, qui est de nouveau en vue, ne manque pas de surprendre, car sa face sud paraît bien plus raide et acérée que ses flancs nord et ouest.
Et nous voici en Italie, longeant la Dora di Verney pour rejoindre le val d’Aoste. Si le français demeure, depuis le Moyen Âge, la deuxième langue officielle du val d’Aoste, l’exotisme italien s’impose dès le premier café commandé dans un bar ou un déjeuner dans une trattoria.
Dans la vallée, avant de poursuivre le tour du mont Blanc par Aoste et le col du Grand-Saint-Bernard, il faut remonter vers Courmayeur.
Vue sur le col du Petit-Saint-Bernard.
La station de Courmayeur et la face sud du Mont Blanc ?Des ruelles étroites qui se faufilent parmi de vieilles maisons à balcons et toitures de lauzes soigneusement restaurées, bordées de boutiques de ski et de mode, de cafés et de salons de thé : Courmayeur est une station chic et une base de départ pour les alpinistes confimés.
C’est de La Palud, en haut de la vallée, qu’on peut prendre le téléphérique vers l’aiguille du Midi via la pointe Helbronner, voyage évoqué précédemment. Mais il faut aussi remonter le val Ferret, pour la beauté de ses alpages, et le panorama sur le sommet de l'Europe.
Parce qu'il est ici tout proche, il paraît beaucoup plus haut qu'en France !
Et comme on remonte la vallée, quel vertigineux coup d'oeil sur les aiguilles qui forment le massif des Grandes Jorasses !
Le téléphérique de l'Aiguille du Midi
4809 mètres C’est la hauteur du mont Blanc mesurée en 2015, passant sous la barre des 4 810 m pour la première fois depuis 2005.
Il faut savoir que la hauteur du sommet enneigé varie en fonction des vents, des intempéries et de la température.
Entre le Val d'Aoste et le parc du Grand Paradis On peut maintenant descendre vers Aoste. Axe de communication naturel entre l’Italie et la France, le val d’Aoste a toujours été une région d’un grand intérêt stratégique.
Aussi ne faut-il pas être surpris par le nombre incroyable de donjons et forteresses qui le balisent.
Le plus étonnant est le château de Saint-Pierre qui, avec ses clochetons et ses échauguettes, semble sorti d’un conte de fées.
À partir de Lavergogne, sur la droite s’ouvrent les profondes vallées de Valgrisenche, Rhêmes, Valsavarenche et Cogne.
Toutes quatre s’enfoncent vers le massif du Grand Paradis, ancienne réserve de chasse royale devenue parc naturel en 1922 et entretenue depuis dans unparfait état de virginité.
Dans le val d'Aoste, en Italie, le château et l'église de Saint-Pierre dominent la vallée. Entre les deux se dresse un clocher roman du XIIesiècle .
Aoste et le Col du Grand-Saint-Bernard (2 469 mètres).
À l’intérieur de ses remparts datant de l’époque romaine, la capitale de la région possède un quartier ancien d’autant plus attachant que ses rues sont piétonnières.
On a vite fait de visiter la porte Prétorienne, l’arc d’Auguste, le théâtre, l’amphithéâtre et le pont romain.
Reste alors à explorer les rues de Tillier et de la Porte-Prétorienne, avec leurs cafés, restaurants, boutiques de spécialités locales et de matériel de montagne.
Et on peut se mettre en route pour le Grand-Saint-Bernard, qui marque la frontière avec la Suisse.
Le col du Grand-Saint-Bernard mêle deux images fortes. Historique avec l’armée de Bonaparte attaquant par surprise l’Italie.
Bon enfant avec les fameux chiens sauveteurs en montagne, énormes bêtes partant à la recherche des voyageurs égarés, avec un tonnelet de rhum suspendu au collier.
Et l’hospice dont ils dépendaient mérite en effet l’arrêt, avec son petit musée. On appréciera par ailleurs le panorama, qui couvre les Alpes Valaisanes, le massif du Grand Paradis et la face orientale du massif du Mont-Blanc.
Le col du Grand-Saint-Bernard, le passage entre le mont Mort et la pointe de Drône, marque la frontière entre la Suisse et l'Italie. Depuis le lac, on peut admirer la vue sur les sommets italiens dont le Grand Golliat qui pointe à 3238 m d'altitude
Retour à Chamonix via la Suisse En longeant la dranse d’Entremont vers Martigny, noter le lac de barrage des Toules et le jardin alpin de Bourg-Saint-Pierre.
Avec Martigny et la vallée du Rhône, nous voici en plein Valais.
C’est ici que l’on va reprendre le chemin de la France et de Chamonix, d’abord par le col de la Forclaz (1 526 m) et celui des Montets (1 461 m), la frontière se situant entre les deux.
C’est au col des Montets que nous renouons avec les belles vues sur le massif du Mont Blanc.
Et en contrebas, avec le torrent de l’Arve, nous retrouvons la vallée de Chamonix.
Petite promenade au Bourg-Saint-Pierre
Ma-gni-fique !
Voici notre sélection de clichés exceptionnels :
1. Une rivière qui donne le vertige…
Ce randonneur semble marcher proche du vide ! En réalité, il longe une rivière, et cette dernière reflète la paroi qui le surplombe. Une photo réalisée dans à Glen Canyon, dans l’Arizona aux États-Unis.
2. Non, les enfants, non !
Vous avez l’impression que ces enfants sautent dans le vide ?
Détrompez-vous, ils vont tomber dans de… l’eau. Elle est si cristalline qu’on ne la voit pas au premier coup d’œil. Cette source naturelle se situe aux Texas et mesure 4 mètres de diamètre, pour 12 mètres de profondeur.
3. Une chute d’eau très particulière !
L’île Maurice possède de nombreux endroits naturels à couper le souffle. L’un des plus impressionnants est sans aucun doute ce courant marin qui, vu du ciel, ressemble énormément à une chute d’eau. Une réaction due, comme vous pouvez le voir, à une ouverture dans la barrière de corail.
4. Un immeuble pas comme les autres
Les immeubles haussmanniens de Paris sont reconnaissables dans le monde entier. Le reflet de celui-ci sur un miroir déformant permet un aller simple pour la quatrième dimension ! Une photo réalisée sur la célèbre (et très chère) Avenue George V.
5. Un zèbre mutant !
Les perspectives sont parfois trompeuses. La preuve avec ces deux zèbres, positionnés l’un derrière l’autre, qui donnent l’impression d’avoir à faire à un animal à deux têtes. Le timing de la photo est tellement parfait qu’on y croirait !
6. L’art de tailler les arbres… bien droits. Bluffant !
Bienvenue à Schonbrunn Park, en plein cœur de la ville de Vienne, en Autriche. Un espace arboré où, le moins que l’on puisse dire, c’est que les jardiniers sont perfectionnistes. Il n’y a qu’à voir la façon parfaite dont les arbres sont taillés pour s’en rendre compte !
7. Non, ceci n’est pas une peinture
En effet, il ne s’agit pas d’une œuvre d’art, mais bien d’une photo prise lors du coucher de soleil, dans le désert de Namibie. Au premier plan, on peut apercevoir des arbres morts, et au second plan, une dune de sable rouge.
Les points blancs sont des rochers. Impressionnant…
8. Oh, un mouchoir géant !
Cette sculpture métallique réalisée par l’artiste Neil Dawson ne correspond pas du tout à ce que l’œil veut bien nous montrer. Nous avons une impression de dessin en 2D, alors qu’en réalité, l’œuvre est bien en 3D.
Pour mieux comprendre le secret qui se cache derrière ce mouchoir exposé en Nouvelle-Zélande, regardez cette vidéo.
9. Bienvenue sous l’océan
Ces nuages rares sont appelés « asperatus » et sont connus pour leurs formes en vagues. Mais ne vous fiez pas aux apparences. Car malgré leur côté effrayant, ils ne sont absolument pas dangereux. En effet, les asperatus ne sont jamais suivis de tempête ou d’ouragan.
10. Un lac très graphique !
En Suisse, la température peut parfois descendre très bas, au point que l’eau gèle. Quand le soleil fait son retour et que le mercure remonte, sa surface craquèle. Ici, la nature a véritablement bien fait les choses en donnant aux cristaux une forme géométrique quasiment parfaite.
Incroyable n’est-ce pas ?
11. Une mannequin découpée !
Ne vous inquiétez pas, la modèle va très bien. Comme vous le voyez sur la photo de droite, le bas de la robe a été créé en deux parties bien distinctes. Sous celles-ci, on aperçoit les jambes du mannequin dans un tissu noir. Et lorsque cette dernière passe devant un arrière-plan noir,comme sur la photo de gauche, l’illusion est parfaite. On a l’impression que son corps est en lévitation. Génial !
12. Vagues de pierre
Aux États-Unis, à la frontière entre l’Arizona et l’Utah, on peut observer des formations rocheuses très originales. Elles se sont formées pendant des millions d’années à partir de dunes de sable, grâce notamment à l’érosion engendrée par le vent et la pluie. Résultat : des murs de pierre qui ressemblent à des vagues bien réelles.
13. Un déménagement express
Cette sculpture d’Alicia Martin donne l’impression que quelqu’un est en train de jeter des milliers de livres par la fenêtre. Mais en réalité, il s’agit d’une structure métallique sur laquelle des bouquins ont été collés. L’illusion de mouvement est parfaite !
14. Une route très spéciale !
En regardant cette photographie pour la première fois, on a l’impression de voir une route sur le sommet d’une montagne sinueuse. Mais nos yeux nous trahissent ! En fait, il s’agit d’une photo aérienne du fleuve Colorado situé tout en bas d’un canyon. L’illusion est tellement parfaite qu’on est tous tombés dans le panneau, n’est-ce pas ?
15. Ciel de coton
Qui n’a jamais rêvé de se relaxer en s’allongeant dans les nuages ? Si c’est votre cas, cette photo risque de hanter vos nuits… car ces nuages rappellent vraiment la texture douillette et chaleureuse du coton. En somme, que du bonheur !
Si vous aimez les univers décalés, à mi-chemin entre réalité et dimensions alternatives, vous allez tomber sous le charme de Doctor Strange, le nouveau film Marvel qui sortira le 26 octobre prochain. L’histoire met en scène un neurochirurgien new-yorkais qui, suite à un accident de voiture, découvre des dimensions parallèles et un univers fantastique.
Il va devoir en découvrir les secrets…
Œuvre d’artistes composé de Kristi Botkoveliet Beka Zaridzede jolies scènes proches des livres illustrés pour enfants, on arrive même à reconnaître le Petit Prince sur l’une d’entres elles.