De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
29/09/2016 - 15:12
Visiter Hong Kong, que faire, que voir ?

Le « port aux parfums » et ville la plus riche de Chine ?   Hong Kong, la ville aux multiples visages, la cité aux diverses confluences et influences entre tradition chinoise et modernité occidentale. Un endroit foisonnant, déconcertant où les néons et les lumières des buildings tentent de cacher la misère à quelques pas.
Une ville où la population se montre extrêmement souriante, chaleureuse, adorable. Comment ne pas succomber aux charmes envoûtants de Hong Kong.
Voici quelques idées de visites à Hong Kong pour vous donner davantage Envie de vous plonger dans son univers pittoresque, unique au monde.

1. La promenade des stars


  Avec l’activité incroyable de l’industrie cinématographique à Hong Kong, les rues de la ville vont vous sembler très familières: les asiatiques et même les étrangers amoureux du 7ème art se sentiront chez eux. Cette promenade est un clin d’œil à Hollywood: elle offre un panorama sur l’ensemble de la ville d’où l’on devine les nombreux gratte-ciels et le fameux Pic Victoria. Cette avenue symbolise tout le glamour du cinéma Hongkongais avec notamment les empreintes d’un acteur qui fit découvrir la ville au monde entier grâce à ses films, à savoir Bruce Lee.

Le Pic Victoria

  Aussi surnommé sobrement « The Peak », il s’agit sûrement du plus haut point de toute la ville. Quartier le plus demandé, c’est aussi l’endroit où vous allez pouvoir (enfin) respirer à pleins poumons de l’air frais car Hong Kong demeure étouffante quand on se promène dans ses rues.
De ce point de vue incroyable, s’offrent à vous des gratte-ciel et la fameuse baie connus dans le monde entier. Essayez d’y aller le soir au moment où le soleil se couche pour admirer toutes ces teintes orangées et rosées qui se réverbèrent sur l’eau.


 
Dans le même esprit que précédemment, vous pouvez effectuer un trajet en tramway vers The Peak avec le Peak tram: une expérience inoubliable, cardepuis votre funiculaire, vous allez admirer les gratte-ciel qui défilent sous vos yeux ébahis. À son terminus, vous pouvez visiter la galerie historique qui demeure le témoin de plus de 100 ans d’histoire de la ville de Hong Kong.

4. Ocean Park

 
Dédié entièrement au monde marin, ce parc à thème propose des spectacles, des attractions diverses et la possibilité de découvrir un zoo et un formidable aquarium. Entre éducation, divertissement, et sensibilisation, cet endroit fait le bonheur des petits comme des grands. Sur près de 870.000 m², vous découvrez des mondes fantastiques comme celui de Polar Adventure (la vie dans les Pôles avec une descente en bobsleigh et une rencontre avec des pingouins), l’univers de Rainforest avec son ambiance exotique digne d’une forêt tropicale et sesanimaux extraordinaires comme l’aracari vert ou le capibara qui est le plus grand rongeur au monde.

5. Lady’s market

 
Situé sur la rue de Tung Choi sur près d’un kilomètre, Lady’s market est le paradis des vêtements et des accessoires pour femmes. Avec plus de 100 étals de vêtements et de souvenirs assez cheap, vous ne pourrez pas en sortir sans avoir acheté un petit quelque chose. Il y a de tout pour tous les goûts entre les vêtements, les montres, les articles pour la maison, les bibelots, les cosmétiques…

6. La Tour de l’Horloge

 
Construite en 1915 et haute de 44 mètres, l’ancienne Tour de l’Horloge est aujourd’hui un point de repère pour des millions de Chinois qui sont arrivés via la gare ferroviaire et son terminal de Kowloon-Canton. À l’instar de la Statue de la Liberté qui était le symbole de l’Amérique pour les migrants au début du 20ème siècle, cette tour rappelle les mêmes caractéristiques pour les Chinois.

7. Temple Street

 
C’est surtout pour son marché que la rue est connue: en effet, quand la nuit tombe, des étals apparaissent çà et là et chanteurs d’opéra et diseuses de bonne aventures commencent à faire leurs numéros. Temple Street, c’est un bazar populaire à ciel ouvert. Un lieu incontournable qui est imprégné de la culture locale et qui a servi à de nombreux décors dans plusieurs films. Vous allez pouvoir y dénicher tout ce dont vous avez besoin comme des bibelots, des théières, des montres, des vêtements, des
antiquités. Un endroit vivant, festif, théâtral qui illustre l’âme de Hong Kong.

8. HKCEC

 
Derrière cet acronyme quelque peu nébuleux se cache le centre d’exposition et decongrès de Hong Kong. Impossible de le manquer, il se situe sur la baiede l’île; il est considéré comme le meilleur centre d’exposition et de congrès d’Asie. Le HKCEC est une extension du port qui fut créée avec des méthodes novatrices, notamment grâce à des techniques dites top-down pour faire face au manque desurface constructible. Une architecture reconnue mondialement.

9. La place Golden Bauhinia Square

 
Il faut savoir que la bauhinia est la fleur emblématique de la ville.
Alors que Hong Kong est redevenue chinoise en 1997, une sculpture fut offerte à la ville et installée au centre de cette place qui demeure extrêmement populaire parmi les visiteurs chinois. Un lieu très important dans le cœur des habitants qu’il faut découvrir sans plus attendre.

10. Temple de Wong Tai Sin

 
Ce lieu de culte à la confluence des religions taoïstes, bouddhistes et confucianistes est un endroit magique car il est dit que tous les vœux se réalisent sur simple demande. En tout cas, l’endroit est fantastique de sérénité, le cadre naturel est sublime et les bâtiments sont richement décorés. On y vient pour obtenir la bonne fortune demander de l’aide et faire des offrandes.

11. Causeway bay

 
C’est sûrement l’un des plus beaux quartiers commerçants de la ville. Situé dans le quartier résidentiel, il y a toujours du monde, quelle que soit l’heure du jour. C’est ici que les locaux viennent acheter ce dont ils ont besoin pour leur quotidien et si vous voulez respirer l’âme véritable de Hong Kong et découvrir ses habitants, c’est à Causeway bay qu’il faut se rendre. Évitez toutefois d’y aller le week-end car la foule est très dense et cela peut rapidement devenir étouffant.

12. Nathan Road

 
L’une des rues les plus importantes de la ville où vous retrouverez de nombreux magasins, mais aussi des banques, des hôtels et des restaurants. Une rue extrêmement fréquentée autant en journée que la nuit. Une rue qui vit à son propre rythme dans laquelle il faut s’immerger.
29/09/2016 - 14:57
12 Photos Du Passage Magique De L’été À L’automne...
Par :   Florian Colas - 


Les belles transformations de l’automne en photo Même sans cesser de regarder autour de nous, on peut parfois manquer le passage naturel de l’été à l’automne.
Et si le changement de couleurs des arbres vous fascine, voici une liste de photos qui comparent différents endroits avant et après avoir enfilé leur robe aux couleurs de l’automne.
Outre l’air frisquet, les écharpes, et les délicieux fruits et légumes de l’automne, l’évolution des feuilles sur les branches est probablement leplus grand signe que nous arrivons à l’automne.
Une feuille est verte à cause de la présence d’un groupe de pigments appelé chlorophylle.
Quand la chlorophylle est abondante dans les cellules, le vert des molécules de chlorophylle domine et masque la couleur de tout autre pigment qui pourrait être présent dans la feuille.
Ces pigments se décomposent progressivement à l’automne, révélant les nombreuses autres couleurs qui existent également dans les feuilles.
C’est à ce moment que nous obtenons les riches couleurs brunes, oranges, jaunes et rouges que nous associons à la saison.

Salon de thé Tu-Hwnt-I’r Bont, Llanrwst, Galles du Nord





Gapstow Bridge, New York, Etats-Unis





Érable palmé, Jardin Japonais, Portland, Etats-Unis





Façade d’une bâtisse



Les couleurs d’une forêt autour d’un lac en Pologne





L’allée des poètes, Central Park, New York, Etats-Unis





Parc Hitachi Seaside, Japon






Viaduc de Glenfinnan, Ecosse






Une île sur un lac, Pologne






Capitol Creek Valley, Colorado, Etats-Unis




Château de Kilchurn, Irlande




Phare de Grand Island East Channel, Michigan, Etats-Unis




29/09/2016 - 14:51
VISITE DU SITE EN BULGARIE À BOUZLOUZHA

Bouzloudzha









Bouzloudzha Le monument de Buzludzha ou maison du Parti communiste bulgare est une ancienne salle de congrès, aujourd'hui abandonnée, situé en Bulgarie, à quelques kilomètres au sud de Gabrovo, non loin du mémorial de Chipka.
Construit sous le régime communiste de la République populaire de Bulgarie, ce bâtiment est situé sur le sommet de la Bouzloudja (ou Buzludja) à 1 441 m d’altitude.
En 1868 ce fut le lieu de la dernière bataille entre les Bulgares (menés par les rebelles Hadji Dimitar et Stefan Karadzha) et les Turcs.
Ce monument fut construit par les communistes pour commémorer les événements de 1891 quand les socialistes, menés par Dimitar Blagoev, se réunirent secrètement à cet endroit pour organiser le mouvement socialiste. Il a été inauguré en 19811.
Conçu par l’architecte Guéorguy Stoilov, ce bâtiment a mobilisé pendant 7 ans plus de 6000 travailleurs2 dont 20 célèbres peintres et sculpteurs bulgares qui ont travaillé pendant 18 mois à la décoration intérieure.
Il fut financé par des fonds gouvernementaux mais surtout grâce à des dons de partisans pour un total de près de 14 186 000 de leva, soit 7 000 000 d’euros environ.
Une souscription nationale avait en effet été lancée pour financer les travaux de cette impressionnante structure mais une grande partie des fonds recueillis ont finalement été utilisés pour l’édification d’une autre structure, tout aussi imposante et à l’inspiration soviétique...
Le monument de Choumen, construit sur les hauteurs du plateau, au-dessus de la ville, à l’occasion du 1300e anniversaire de la fondation de l’État bulgare.
La construction du bâtiment fut confiée à la division Génie Civile de l’armée bulgare ainsi qu’à des volontaires. Le maître d’œuvre fut le général Delcho Delchev, commandant de la division du Génie Civile de Stara Zagora.
La bâtiment comporte plusieurs niveaux, une passerelle panoramique et la salle principale ornée d’un plafond en forme de coupole suspendue à prèsde 15 mètres de hauteur.
Cette coupole impressionnante était recouvert à l’origine de 30 tonnes de cuivre, pillé aux fils des années et fragilisant la structure de l’édifice.
Attenante à la structure principale, on trouve une grande tour de 70 m de hauteurornée de part et d’autre de deux étoiles de verre couleur rubis, chacune haute de 12m de hauteur.
Elles seraient 3 fois plus grandes que les fameuses étoiles rouge des tours du Kremlin.
À l’origine, le décor intérieur était composé de superbes fresques en mosaïque de marbre et de verre, y compris dans le magnifique auditorium de la salle principale, d’une superficie de 500 m2, où la fresque géante en mosaïque représente des principaux thèmes communistes bulgares et soviétiques.
Des mosaïques, abîmées, en pierre, serties d’étoiles couleur rubis, représentent des scènes de bataille.
Si les portraits de Marx, Engels et Lénine sont encore reconnaissables, les historiens de l’art réclament la préservation du monument aux mosaïques monumentales, œuvre selon eux desmeilleurs artistes de l’époque.
Pourtant, aucune des institutions publiques ne prend l’initiative de conserver et rénover ce monument historique, bien que lié à la douloureuse histoire politique du pays. Le parti socialiste bulgare lui-même n’engage aucune action en faveur de l’entretien de son plus important symbole.
C'est en septembre 2011 que le gouvernement bulgare a transféré la propriété du monument au Parti socialiste bulgare. Le Premier ministre bulgare, Boïko Borissov a déclaré à cette occasion...
"Nous allons les laisser en prendre soin parce que nous pensons qu’un pays qui ne respecte pas son passé et ses symboles n’a pas d’avenir”.
“Ce monument, unique en Europe, une fois restauré, attirera beaucoup de touristes, notamment
occidentaux. C’est un témoignage historique impressionnant”, répondra, Boytcho Bivolarski, dirigeant régional des socialistes à Stara Zagora (centre du pays).

Mais, depuis cette date, le Parti socialiste bulgare et l’État ne sont toujours pas parvenus à un accord sur un projet de rénovation du « Monument de Buzludzha ».
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29/09/2016 - 08:25
Belle-île-en Mer En Bretagne...

Source: David Keochkerian

Belle-Île-en-Mer est une île française de l’océan Atlantique située dans le département du Morbihan, dans le Sud de la Bretagne. Les habitants de l’île se nomment les Bellilois et les Belliloises.
Toponymie C’est dans les écrits du géographe Ptolémée qu'apparaît pour la première fois le nom de Vindilis pour désigner Belle-Île. En gaulois, vindo1 veut dire « blanc », ou métaphoriquement « beau, brillant », et illis signifie « île ».
Comme l'île n'apparaît pas comme blanche avec ses falaises de schiste noir, le sens de Vindilis est donc déjà celui de « belle île ».
Pline l’Ancien désignait quant à lui l’ensemble des îles de Groix, Belle-Île, Houat et Hoëdic sous le nom d’Insulae Veneticae, c'est-à-dire îles des Vénètes, peuple celte de navigateurs qui a également laissé son nom à la ville de Vannes.
En vieux breton, Belle-Île est nommée Guedel ou Guadel (1029, Charte d’Alain Canhiart Comte de Cornouaille). Les désignations sous les formes grecques de kalos nésos (c’est-à-dire « belle île ») ou latines Calonessus apparaissent sur quelques cartes ou descriptions à partir du XVIe siècle.
À la fin du Moyen Âge, le nom de Belle-Isle est désormais utilisé en français. Avec la construction au XVIe siècle du fort de Palais, elle va être désignée en breton comme Enez ar Kêr veur, « île du grand fort », plus simplement Ar Gerveur.
Temporairement, sous la Révolution française, l’île fut appelée « île de l'Unité », mais ce nom ne fut jamais confirmé par décret.
Quinze ans plus tard, sous Napoléon Ier, la municipalité proposa la nouvelle dénomination de Belle-Isle Joséphine, mais, divorce de Napoléon oblige, cette appellation ne fut
jamais acceptée.

L’île gardera alors ses noms de Belle-Île-en-Mer en français, l’extension « en Mer » apparaissant sur les cartes du début XVIIIe siècle, et d’Enez ar Gerveur en breton.
Au nom de Belle-Île, on ajoute parfois « la bien nommée », formule trouvée par la poétesse belliloise Éva Jouan, dans son recueil de poèmes De la grève, paru en 1896.
 
Navigation
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Abords Les parages de Belle-île en haute mer sont réputés favorables et accueillants comme l'attestent deux versions de la tétralogie d'Ouessant:
Il est dit par les marins, comme le rapporte Chateaubriand...
« Celui qui voit Belle-Isle, voit son île ; […]
Celui qui voit Ouessant, voit son sang. »
Pour les navires de guerre qui partent de Brest, le dicton devient...
« Qui voit Ouessant voit son sang.
Qui voit Sein voit sa fin.
Qui voit Groix voit sa joie.
Qui voit Belle-Île, cingle sans péril. »
Écueils, Naufrages De nombreux naufrages ont eu lieu dans les parages de Belle-île en raison des tempêtes, d'avaries ou d'écueils. Le plus terribles parmi les derniers est celui du pétrolier Erika en 1999 qui a provoqué une marée noire et la pollution de trente kilomètres de côtes.
Ports Belle-île a deux principaux ports, celui de Palais et celui de Sauzon, ainsi qu'une une vingtaine de ports naturels permettant de mettre un bateau à l'abri.
Phares, Balises, Sémaphores Belle-île est balisée par trois phares...
Le Phare de Goulphar, le phare des Poulains et le phare de Kerdonis.
Le Grand Phare de Belle-île peut être visité.
Secours en mer La Société nationale de sauvetage en mer (SNSM)
possède un canot nommé Ville de Palais.
Belle-Île-en-Mer
Îles du Ponant
Phare de Goulphar
(ou grand phare de Kervilaouen)
Phare de la pointe des Poulains
Citadelle Vauban
Bataille des Cardinaux
Gazette de Belle-Île-en-Mer
Louis Charles Garan
Belle-Île-en-Mer
Sur Wikimedia Commons
Belle-Île-en-Mer
Sur le Wiktionnaire











29/09/2016 - 07:28
30 BANCS PUBLICS LES PLUS CREATIFS

Voici une série de bancs publics parmi les plus créatifs, du mobilier urbain
pour lequel les designers ont fait preuve de pas mal d’imagination.

Loin des formes usuelles banales, ils transforment l’espace avec plus de beauté
et parfois de fonctionnalités.


Dans un parc à Vöcklabruck, Autriche


Banc de Kiev, Ukraine


Aménagement au bord du lac Paprocany


The Blue Carpet à Newcastle, Angleterre


Le banc sec après la pluie (déjà présenté dans cet article sur 30 inventions étonnantes et indispensables)


Des bancs fauteuils dans un parc du Massachusetts


Banc par AllesWirdGut Architektur, Luxembourg


Banc en forme de queue de baleine


Banc avec des crayons à Kiev, Ukraine


Sièges en forme de touches de machine à écrire


Le hamac en place de classique banc à Copenhague, Danemark
:

Banc en forme de livre à Londres


Banc musical


Sièges en forme de tulipes par Tulpi Design


Sièges relax à l’université de Sydney, Australie


Banc El Poeta par Alfredo Häberli


Banc arrêt de bus


Banc par Zoltan Bencze & Szovetseg’39 à Pecs, Hongrie


Ouvragé à New York


Banc à bascule par Neulhae Cho


Avec abri


Banc permettant de s’allonger confortablement


Formes étranges mais fonctionnelles


Dans un immeuble d’affaire de San Francisco


Pour ceux qui aiment s’assoir sur les marches d’escaliers à la bibliothèque de Kansas City


En forme de livres à Paris


En forme d’arbre à Seattle


Des bancs avec de grands chapeau à Marseille


Très designs à la The Sheldon Art Gallery de Saint Louis, Missouri


Pour poser ses fesses au International Garden Show de Hambourg

29/09/2016 - 07:15
NANCY LA BELLE  BOURGEOISE LORRAINE

Nancy demeure peu connue des Français. Une injustice ! Entre architecture classique et Art nouveau, la ville abrite un patrimoine d'exception, particulièrement bien mis en valeur.

1 - La place Stanislas


À elle seule, la place Stanislas, classée à l'Unesco, constitue une
raison suffisante de découvrir la ville de Nancy. Qu'on la contemple par
un beau soir d'été ou par une pluvieuse matinée d'automne, elle
provoque le même ravissement. Rien n'est plus harmonieux que ce carré de
pavés clairs, clôturé de pavillons d'un classicisme élégant, de grilles
d'or et d'un arc de triomphe. L'opéra de Lorraine, l'hôtel de ville et
le musée des Beaux-Arts se partagent cet écrin du XVIIIe siècle, bâti entre 1751 et 1755 par Stanislas Leszczynski.
La statue du roi de France n'ayant pas survécu à la Révolution, c'est le bon roi
Stanislas qui trône, depuis 1831, sur la place qui porte son nom.
Le dernier duc de Lorraine montre du doigt l'arc de triomphe, ou arc Héré,
qui sépare la place « Stan » de la place de la Carrière.



2 - Une architecture d'exception


Le palais du Gouvernement de la place de la Carrière.
Nouvel émerveillement devant d'autres places de la ville. La place de la
Carrière d'abord, royale et tout en longueur. Une troisième, la place
d’alliance prend de faux airs de place des Vosges. Les grilles de Jean
Lamour, ornées de potences à lanterne, et l’hémicycle décoré de statues
encadrant le palais du Gouvernement rappellent le faste de la place
Stanislas.
La Ville-Vieille ensuite ! Commençons par la basilique Saint-Epvre, cette église vibrante
de mille couleurs : ses murs ont littéralement été remplacés par des
vitraux (2 300 mètres carrés de sur- face !) de sorte que les voûtes ne
reposent que sur des piliers. La merveille incontestable de la
Ville-Vieille se trouve juste de l’autre côté de la place Saint-Epvre :
reconstruit par le duc René II au tout début du XVIe siècle après la victoire sur Charles le Téméraire, l’ancien palais des ducs de
Lorraine attire l’œil grâce à sa porterie à l’incroyable décor
Renaissance mâtiné de gothique flamboyant.

3 - La rue des Écuries et le parc de la Pépinière

La rue des Écuries a un cachet fou avec ses pavés moussus et ses
passerelles donnant sur le parc de la Pépinière. Véritable poumon vert
de Nancy, ce jardin public, aménagé par Stanislas pour élever de jeunes
arbres, ofre au visiteur des pelouses val- lonnées, des allées de roses
et même des singes et des paons.



4 - La piscine ronde de Nancy Thermal

Voilà un siècle que les Nancéiens n’en finissent plus de faire des
ronds dans l’eau. On les comprend : la piscine ronde de Nancy Thermal
est un lieu unique. Voyez ce bassin circulaire sous une grande coupole
blanche, entouré d’une balustrade en grès flammé garnie de fontaines et
de mosaïques d’époque. Les cabines donnent toutes sur ce rond bleu qui a
servi au décor du film Il y a longtemps que je t’aime de Philippe Claudel. À vos maillots de bain !
 
5 - L'Art nouveau


1 - L’ancienne graineterie Génin-Louis est le seul bâtiment de Nancy
dont la structure métallique est apparente, une technique fort récriée à
son époque.
2 - Issue de la collaboration des architectes Weissenburger et Mienville,?de Daum, de
Majorelle et de Gruber, la brasserie Excelsior a été bâtie pour
promouvoir la brasserie de Vézelise
Avant la Grande Guerre, l’esprit des bois a soufflé sur Nancy. Sous la férule
d’Émile Gallé et des membres de l’École de Nancy, les maisons se sont
ornées de courbes végétales, les vases se sont pris pour des fleurs, et
les bijoux, pour des insectes de cristal. Foyer de l’Art nouveau, la ville a conservé d’admirables vestiges de ce mouvement qui voyait « l’art dans tout » et voulait « l’art pour tous ».



La villa Les Clématites, à deux pas du musée de l‘École de Nancy et de l’établissement thermal, était louée aux curistes
29/09/2016 - 07:11
LES CITÉS-JARDINS D’ILE-DE-FRANCE :
PETITE HISTOIRE D’UNE UTOPIE URBAINE




Habitué à vivre dans l’ultra-urbain, on se réjouit du moindre petit coin de
verdure croisé inopinément sur notre chemin… enfin, on respire ! On
aurait donc assez de mal à s’imaginer la ville et la campagne réunies au
même endroit. Pourtant, dès le tout début du 20ème siècle, des
architectes et urbanistes d’Ile-de-France souhaitent transformer ces
idées en réalité. Malheureusement pour nous, ces initiatives n’ont pas
duré ! Retour sur l’histoire d’une utopie urbaine : celle des
cités-jardins de la région parisienne…



Plan des cités-jardins construites par l’Office public d’habitations à bon marché


A partir de la seconde moitié du 19ème siècle, les pays européens en
pleine Révolution industrielle se trouvent confrontés à une démographie
croissante à l’origine de gros problèmes de logements, en ce qui
concerne, notamment, la population ouvrière. Les initiatives
philanthropiques visant à améliorer le sort de ces travailleurs, réduits
à des habitats surpeuplés et insalubres, ne suffisent pas et bientôt,
l’intervention publique devient inévitable.



Schéma d’un type d’habitation dans les cités-jardins


C’est, dans ce terreau, que le projet de construire des “cités-jardins” voit
le jour au tout début du 20ème siècle. Conceptualisées et testées, en
premier lieu, en Angleterre, dans la banlieue de Londres, les
cités-jardins avaient pour vocation de décongestionner Paris en créant
des agglomérations urbaines à taille humaine construites autour d’un
écosystème favorable avec de petits pavillons individuels tout à fait
pittoresques, de grands espaces verts, une artère commerçante à l’écart
des résidences et tous les équipements nécessaires à la vie de quartier :
écoles, crèche, dispensaire, stade, piscine, lieux de culte, théâtre,
maison pour tous, …




Plan original de la cité-jardin de Stains, Seine-Saint-Denis (93)




Aperçu de la cité-jardin d’Arcueil, Val-de-Marne (94)




Aperçu de la cité-jardin des Lilas, Seine-Saint-Denis (93)


En région parisienne, c’est à l’initiative de l’Office public
d’habitations à bon marché (HBM) que sont construites, à partir de 1912
et jusqu’en 1950, et une quinzaine de ces résidences pavillonnaires dans
le nord de la ville, notamment en Seine-Saint-Denis. Le plus gros
chantier se fait sans doute à Stains où une cité-jardin de 1640
logements au total est construite entre 1920 et 1930.



La cité-jardin de Stains (93) vu du ciel




La cité-jardin de Stains (93) et ses maisons colorées…




Pavillon type de la cité-jardin de Stains (93)


Or, si l’esprit pavillonnaire à l’anglaise a été conservée dans les
premières constructions, une transition vers les grands ensembles s’est
progressivement initiée pour cause d’un besoin croissant en logements
parallèlement à une hausse des coûts du bâtir. C’est ainsi que cette
utopie urbaine fut dénaturée par l’apparition de plus en plus
systématique d’habitats collectifs dans ces cités-jardins. Et alors que,
dans l’esprit, ces espaces accordaient une large place, dans leur
hiérarchisation, au végétal, la végétation devient petit à petit quasi
inexistante.



Habitat collectif dans la cité-jardin de Champigny-sur-Marne, Val-de-Marne (94)





Jardins des Longs Réages de la cité-jardin de Suresnes, Hauts-de-Seine (92)


C’est donc un bien triste sort qui a été réservé à cet ambitieux projet, bien
que l’on puisse encore admirer quelques uns de ces petits pavillons de
banlieue à Suresnes, Prés-Saint-Gervais, Gennevilliers et, bien
évidemment, Stains ! Reste plus qu’à espérer que le projet Grand Paris
mette un peu plus de vert dans notre région…
29/09/2016 - 07:01
La Montagne Bourbonnaise...
Contes & Légendes D'Auvergne
Par Sophie Bogrow

De vallées encaissées en landes mélancoliques, de frais bocages en forêts drues et sombres,de cascades pétillantes en rocs taillés par l’érosion,ce petit massif granitique à l'est de Vichy, recèle d’innombrables balades qui dévoilent une nature authentique et préservée.


Depuis le sommet du rocher Saint- Vincent, entre Ferrières-sur- Sichon et
Lavoine, profitez de la vue sur le puy de Montoncel,? point culminant de l’Allier.

C’est à peine une montagne, qui ne dépasse guère les 1 000 mètres, sinon au
sud, où les pentes à sapins des Bois Noirs culminent au puy de Montoncel
(1 287 m), et à l’est, dans les monts de la Madeleine, où quatre remonte-pentes
font de la Loge des Gardes (1 175 m) une station de ski miniature.

Les curistes de Vichy y venaient en excursion, avant guerre, profiter de la
fraîcheur. Un petit train à voie étroite, le Tacot, mis en service en
1910, mettait des heures à les conduire de Vichy à Lavoine et Laprugne
en passant par Cusset, Le Mayet-de-Montagne et Ferrières : 38
kilomètres, 13 stations...

Pour ceux de la Montagne, c’était le seul moyen d’exporter leurs productions.
La ligne a fermé en 1949, mais son tracé demeure, qu’on repère ici et là à
la présence d’un viaduc (telle l’arche de béton de Ferrières) ou à une
maisonnette typique des gares.



Édifié en ?1910 près de Ferrières-sur-Sichon, le pont du Moulin Neuf est un vestige ?de l’ancienne ligne de chemin de fer du Tacot. Son arche de plus de 50 mètres ?a été conçue ?en béton armé.

Une atmosphère de mystère Entre-temps, on est passé d’une douce houle céréalière à des collines herbues, secouées de plissements, puis aux pentes abruptes des vallées où la forêt l’emporte.
Tout ici est propice aux légendes...
Les blocs de granit moussus, que les fées ou les druides, c’est certain, ont creusés de cupules rondes, à l’image des Pierres du Jour à Laprugne...
Les hêtres que des siècles de taille ont transformés en tortueux décor pour conte fantastique, près de Saint-Nicolas-des-Biefs.



Dans les Bois noirs, proches?de Saint-Nicolas- des-Biefs, ?des hêtres tortueux âgés de 400 ans bordent un chemin de randonnée,? l’allée des Géants, lui donnant un? air de décor pour conte de fées.
Même le brouillard, qui se lève souvent sur le dédale des bois et des haies, contribue à créer le mystère.
De tous ces mystères, le plus passionnant est l’énigme de Glozel.
En 1924, le jeune Émile Fradin, alors qu’il labourait, tomba sur une fosse enfouie qui regorgeait d’ossements, de poteries, de galets gravés, d’objets en os, et surtout de tablettes couvertes de signes inconnus.
Les plus grandes sommités s’accordant à dater du néo- lithique la moisson recueillie par le docteur Morlet,on spécula sur l’existence d’une écriture antérieure aux Phéniciens.
Mais en 1927, un de ces messieurs, auteur d’une autre théorie sur la question, décida de disqualifier la concurrence en criant à la fraude etune commission officielle décréta le jeune paysan, armé de son certificat d’études, coupable d’une gigantesque falsification qui eût exigé une thèse en anthropologie...
Quand, après des années de procès, les tribunaux eurent fini de blanchir Fradin, le mal était fait.
Son honneur était terni.




Le bourg de Ferrières, traversé par le Sichon, était autrefois prospère.
En témoignent les sept foires annuelles qui rythmaient la vie des
villageois. Au fond, le clocher de l’église Saint-Désir.



Entouré? de douves alimentées par un canal, le château de Chappes à Ferrières- sur-Sichon (XVe siècle)?a abrité de prestigieux personnages de l’histoire de France. ?Il est classé Monument historique depuis 1992.

Au pays des Verriers Pourtant, à partir des années 1970, de nouvelles analyses, confirmées vers 1995, ont permis de préciser certaines datations.
Ainsi, bien que les tablettes gravées affichent entre 3 000 et 7 000 ans (sauf une part de copies médiévales), Glozel aurait été un site funéraire et cultuel de l’époque gauloise et romaine, réinvesti au Moyen  Âge pour servirpeut-être de four à des verriers.
La forme ovale de ses tombes pourrait être liée à ces inexplicables souterrains annulaires creusés en nombre(au moins 34) dans la région.


La tourbière? du plateau? de la Verrerie.? Ce milieu protégé se découvre en suivant les pontons de bois, au ras des sphaignes et des droséras.

Quant aux verriers, ils étaient nombreux entre autres vers Saint-Nicolas-des-Biefs, fondant le sable des rivières grâce aux hêtres des forêts.
En 150 ans, avant la Révolution, ils ont ainsi entièrement dénudé le bien nommé plateau de la Verrerie.
Restent 60 hectares de lande mauves de callunes, myrtilles et genêts, gardés par des chèvres et moutons, et de tourbière avec vue plongeante sur la plaine de Roanne.



Dominant ?la vallée ?de la Besbre, l’imposante église Notre-Dame de Châtel-Montagne (1095-1216).

27/09/2016 - 17:10

                                                                          Tout savoir sur le potimarron



Habillé d’orange vif, ce légume-fruit est un vrai trésor. Savoureux, il se prépare de mille
façons. En plus, il est plein de vitamines et autres bonnes choses pour
l’organisme ! Découvrez le potimarron sous tous ses aspects grâce aux
conseils de Cléa, blogueuse et passionnée de cuisine.



La peau toute fine du potimarron peut être consommée une fois cuite. Tout comme les graines, grillées pour l’apéritif.
Le potimarron appartient à la grande famille des cucurbitacées. Cousin du potiron, il affiche la même couleur, mais
révèle une tout autre saveur, plus délicate et très caractéristique : un
petit goût de châtaigne très agréable.
Originaire d’Amérique du Sud, il aurait été introduit au XVIe siècle en
Asie où des variétés auraient été sélectionnées. Il a d’ailleurs pour
autre nom « potiron doux d’Hokkaido » ou encore « courge de Chine ». Il
arrive en Europe en 1957 avec une famille japonaise, et est cultivé en
Flandres. Il fait ensuite nson chemin dans les réseaux confidentiels de
l’agriculture biologique avant de connaîre le succès.
Le légume santé Le potimarron est très riche en vitamines A, B, C, D, E, en oligo-éléments (phosphore, fer, magnésium...), en acides aminés,
acides gras insaturés et sucres naturels. Il contient deux fois plus de
carotène (provitamine A) que la carotte. Bon pour la peau, la vue, la
régénération des tissus.

Au jardinCette toupie orange vif est une courge coureuse dont les tiges, qui peuvent mesurer jusqu’à 3 mètres, rampent sur le sol. Il lui faut donc
de l’espace. Sa culture est assez simple :
Mi-avril, semez, au chaud, en godet (2 à 3 graines par godet). Repiquez en pleine terre vers la mi-mai, au
soleil, en espaçant les jeunes plants d’un bon mètre. Vous pouvez aussi
semer en place en mai (3 graines par poquet – un trou de 3 cm de
profondeur). Apportez du compost dans le trou de plantation.Installez un plastique noir ou étalez une bonne couche de paillis (paille, compost) au pied des potimarrons. Cela préservera l’humidité du sol et empêchera les fruits d’être en contact direct avec la terre, ce qui risque de les faire pourrir. Vous pouvez aussi poser les fruits sur des tuiles plates, des pierres ou des plaques d’ardoise. Arrosez une fois par semaine. Récoltez le potimarron dès septembre.Les fruits pèsent en moyenne 2 à 4 kilos  selon les variétés. Les plus faciles à trouver sont "Red Kuri" et "Golden Delicious" à peau orange ; "Chesnut Bush" à peau gris-bleu ou encore "Blue Kiri" à peau bleutée. Tous ont une saveur assez proche et une chair orangée (disponibles chez Graines Baumaux, Caillard,
"Le potimarron est extrêmement intéressant à cuisiner, sucré comme salé, cru ou cuit, en velouté, gratiné ou farci... On peut presque tout
faire avec lui."     

Le potimarron se consomme le plus souvent cuit (à la vapeur, à l’eau, à l’étouffée…)
En version salée : purée, velouté, gratin, tajine, risotto… En version
sucrée : cake, flan et même en confiture ! Pour cette dernière recette,
relevez votre préparation avec des épices (cannelle, gingembre, vanille)
et ajoutez d’autres fruits (pommes, poires…).Le potimarron peut se consommer cru, râpé,  et servi avec une vinaigrette. Dans ce cas,
retirez la peau qui n’est pas bonne crue. Et là, ça demande un peu de
patience…Le casse-tête de l’épluchage.  Une astuce de Cléa, l’auteure des recettes : découpez le
potimarron sans ôter la peau. Retirez les graines, coupez-le en gros
morceaux, faites-les cuire à l’étouffée pendant une vingtaine
de minutes. Laissez tiédir. Il sera alors facile d’enlever la peau si
vous le désirez. Mais celle-ci peut tout à fait être consommée
lorsqu’elle est cuite. Congélation.  Le potimarron peut être congelé, mais il est préférable de le faire cuire au préalable.La recette salée : potimarron farci au soufflé de potimarron Préparation : 30 minutes
Cuisson : 25 à 40 minutes
Pour 4 personnes.
Ingrédients : 1 gros potimarron ou 4 minipotimarrons ; 2 c. à s. d’huile d’olive ;
25 g de farine de blé T65 ou T80 ; 25 cl de lait de soja ; 1?2 c.
à café de noix de muscade fraîchement râpée ; 500 g de purée de
potimarron ; 4 oeufs ; 100 g de comté râpé ; 
Laver le potimarron. Ôter le chapeau en créant une ouverture bien large (cela permettra au soufflé de bien lever)À l’aide d’un couteau pointu, ôter les graines et la partie fibreuse. Réserver. Préchauffer le four à 200 °CChauffer l’huile d’olive dans une casserole.Verser la farine et bien remuer pour obtenir un roux. Laisser cuire, tout en remuant pendant
2 minutes, puis incorporer petit à petit le lait de soja. La sauce doit
être bien épaisseSaler et ajouter la noix de muscade. RéserverDans un saladier, battre la purée de potimarron avec les jaunes d’oeufs. Incorporer la sauce et le comté. Battre les blancs des oeufs en
neige, avec 1 pincée  de sel. Incorporer délicatement au mélangeVerser dans le(s) potimarron(s) évidé(s). Placer dans un plat à gratin, le(s) chapeau(x) à côtéEnfourner pour 30 à 40 minutes (version gros potimarron) ou bien 25 minutes (version petits potimarrons)Servir immédiatement, en remettant le(s) chapeau(x) sur le(s) soufflé(s)  Le saviez-vous ? Plus la durée de conservation du potimarron est longue, meilleures sont ses qualités nutritives ; sa chair devient de plus en plus sucrée
et riche en vitamines. Stockez les potimarrons dans un endroit frais et
bien aéré. Évitez de les empiler ou de les cogner pour ne pas les gâter.
Vous pouvez les garder plusieurs semaines.

La recette sucrée : cake moelleux au potimarron, noisettes et épices douces Préparation : 20 minutes
Cuisson : 30 minutes environ (purée) + 60 minutes (cake)
Pour 6 à 8 personnes.
Ingrédients pour 1 cake : 200 g de purée de potimarron ; 2 oeufs ; 10 cl d’huile d’olive ; 100 g
de noisettes réduites en poudre au mixeur, ou bien de poudre de
noisette ; 2 c. à café de cannelle en poudre ; 1 c. à café de gingembre
en poudre ; 1 pincée de sel ; 90 g de sucre roux ; 175 g de farine de
blé T80 ; 2 c. à caffé de poudre à lever 1 pincée de bicarbonate ;
Préchauffer le four à 150 °C. Mélanger au batteur les différents ingrédients, en les incorporant dans l’ordre et en battant bien à
chaque nouvel ajoutVerser dans un moule à cake bien huilé et fariné.Enfourner pour 1 heure environ. Laisser refroidir sur une grilleCe gâteau se conserve très bien une fois emballé (1 semaine environ).
o
Au moment des recettes, le potimarron multiplie aussi les atouts :
La texture du potimarron, son goût sucré et de châtaigne n’ont pas d’égal.Contrairement à ses frères et cousins de plus grande dimension, il présente une petite taille, le potimarron est une portion idéale pour vos recettes.Les qualités nutritionnelles du potimarron sont nombreuses tant en vitamines qu’en minéraux. Pour en savoir plus : les qualités nutritives du potimarronLe potimarron est très simple d’utilisation. Conservez-le entier dans un endroit sec et aéré. Contrairement à beaucoup des membres de sa
famille, le potimarron n’a pas besoin d’être épluché : coupez-le en morceaux et ôtez les graines, c’est tout !Enfin – et surtout? – les possibilités culinaires du potimarron sont quasi-infinies : soupe et velouté bien sûr, purée, poêlée, gratin et
même en dessert…
Voici un panel de recettes de potimarron Prince de Bretagne :
Les recettes de velouté et soupe de potimarronCe qu’il faut savoir avant de préparer une soupe de potimarronC’est le best-seller du potimarron : le velouté, la soupe, le potage… Très facile à préparer, le velouté de potimarron réchauffe la famille
tout l’hiver.
Prince de Bretagne a réalisé une vidéo sur le potimarron qui vous brosse ses possibilités culinaires et en particulier le velouté.

Osez les initiatives : crème, fromage fondu… et pourquoi pas quelques
lamelles crues qui apportent du croquant et un goût de noisette ? Si si,
testez notre idée de la semaine que vous pouvez consulter ici, c’est vraiment tout simple, original et savoureux.
photo de l’idée de la semaine du 23 10 2014 – Soupe veloutée de potimarron
Recette : Velouté de potimarron et carpaccio de Saint-JacquesUne très chic variante du velouté de potimarron, avec lait de coco,
citronnelle, citron vert qui subliment la recette. Le carpaccio de
Saint-Jacques apportent une touche marine très agréable. Vous pouvez
servir cette soupe de potimarron en verrines à l’apéritif. Succès
garanti !
> Voir la recette
Recette : Potimarron en velouté, foie gras poêlé, fruits d’automnePour fêter la saison du potimarron, rien de tel que de concocter cette
recette automnale. La rondeur du foie gras va merveilleusement bien avec
le potimarron, c’est véritablement une recette gastronomique. Et
n’oublions pas qu’on trouve encore du potimarron au moment des fêtes de
fin d’année…
> Voir la recette
Les recettes de potimarron à l’apéritifRecette : Macarons au potimarron et crevettesDes macarons sucrés-salés pour l’apéritif ? Surprenez vos invités avec
cette recette très originale. Ah, bien sûr, il faut savoir faire des
macarons… Pas de problème, lisez bien notre recette, vous trouverez la
vidéo explicative, avec le petit truc en plus pour faire des coques
spéciales pour macarons salés.
> Voir la recette
Le potimarron en puréeUne purée de potimarron, c’est une purée orange avec des atouts du légume frais et un goût de châtaigne. Bref, un régal pour petits et
grands.
La purée de potimarron est très facile à faire :
pas la peine de l’éplucher,coupez le potimarron en morceaux,faites cuire dans de l’eau ou du lait,égouttez, mixez en rajoutant du liquide de cuisson pour obtenir la consistance désirée.Et c’est prêt ! Il ne vous reste plus qu’à agrémenter votre purée, par exemple avec quelque oignons frits, avec de l’oignon de Roscoff AOP
encore un peu croquant, c’est fabuleux !
Recette : Parmentier végétarien potimarron, échalotes et shii-takéC’est un délice ! Cette recette est très simple et épatera vos convives. Le
shii-také, l’échalote et le potimarron s’allient pour émerveiller nos
papilles : du croquant, des textures opposées, de jolies couleurs et des
saveurs uniques.
Végétariens, les valeurs nutritives du potimarron et du shii-také font de cette recette un plat complet. Non végétariens, accompagnez
cette recette d’une viande, un magret de canard par exemple.
> Voir la recette
Le potimarron rôti, poêlé, en fritesLe potimarron se poêle très bien dans un peu de matière grasse. Servi en cubes, il constitue un très bel accompagnement. Il peut aussi être
tout simplement rôti au four, après avoir enduit d’huile les morceaux de
potimarron. Vous pouvez même en faire des frites, que vous pouvez cuire
à l’huile à 180°C, ou, de préférence, au four, après les avoir enduites
d’huile.
Recette : Potimarron et courgettes rôtis, oignon de Roscoff AOP et galette de sarrasinEn automne, nous avons encore la chance de trouver en magasin de belles
courgettes bretonnes. Cette recette marie différents légumes cuits
simplement au four, et servis sur une crêpe bretonne, c’est magique !
> Voir la recette
Le potimarron en dessertLa chair du potimarron est sucrée et convient donc parfaitement aux desserts : crumble, confiture, cake, tarte tatin…
Recette : Cakes sucrés au potimarron et glaçage au fromage fraisLes gâteaux et pâtisseries à base de légumes sont très « tendance ». Normal
: en plus de leur originalité, elles sont un moyen de faire manger des
légumes aux enfants. Naturellement sucré, avec une saveur de châtaigne, 
le potimarron convient très bien pour cela. Notre recette de cake au
potimarron est surprenante : il suffit d’incorporer du potimarron râpé
cru à la pâte, la cuisson se fera dans le four…

27/09/2016 - 08:17
COMPOSITIONS ESTHETIQUES DE LA FUMEE DE DIRK WEYER

 il s’est également intéressé à l’esthétique de la fumée à travers des photographies conceptuelles. Tels des feux d’artifice miniatures, ou même de petites éruptions volcaniques, le photographe a mis en scène cesémanations aux étincelles colorées
de façon spectaculaire.