Rochefort-En-Terre, Village Fleuri De Bretagne... Par Philippe Bourget (Texte Original) ;
Céline Fion (Adaptation )
Beauté bretonne, épanouie entre ravins et forêts, Rochefort-en-Terre combine le cachet des maisons de granit et colombages, la délicatesse d’un village hautement fleuri et l’attrait d’un patrimoine culturel unique.
La place du Puits est l’un des lieux les plus charmants du bourg. Vous y trouverez l’office du Tourisme. C’est au XIIe siècle qu’un seigneur eu la judicieuse idée d'ériger une forteresse sur un éperon schisteux de la vallée du Gueuzon, nommé Roche Forte. Situé sur la route du sel. Le village prospéra jusqu’à l’annexion de la Bretagne par le Royaume de France qui aboutit à la destruction des biens des alliés du duc de Bretagne. Fort heureusement pour le village, le seigneur local Jean IV de Rieux-Rochefort, fut tuteur d’Anne de Bretagne, devenue reine. Elle fit don de 100 000 écus d’or au seigneur qui entreprit de reconstruire son château mais aussi d’embellir les zones en contrebas. A côté des ruines médiévales, le singulier Naia Museum a vu le jour. Il est dédié aux arts de l’imaginaire fantastique. Balade dans les ruellesEn descendant du château, l’on peut admirer les beaux logis de granit percés de fenêtre Renaissance, que firent construire les notables, gens d’épée et classes intermédiaires du clergé. En poursuivant la découverte vers le bas du bourg, ce sont les habitations plus modestes, autrefois utilisées par la marchands et artisans, qui s’offrent à la vue. Une étonnante église est aussi située dans la partie basse. Elle fut construite à l’endroit où une bergère trouva, au XIIe siècle, une vierge de bois qui aurait été cachée deux siècles plus tôt par un prêtre. Construit sans fondations, l'édifice a perdu sa verticalité. Il surprend aussi par son allure romano-gothico-Renaissance, fruit de divers embellissements à travers les siècles. Mélange de vestiges médiévaux et d’un corps de logis du XXe siècle, le château et son parc appartiennent désormais à la commune. Village d'artistesRochefort-en-terre doit en grande partie son visage actuel au peintre américain Alfred Klots. Tombé sous le charme du village, au début du XXe siècle, il racheta les ruines du château et y investit sa fortune. L’artiste avait pris l’habitude de convier ses amis dans son coin de paradis. Il impulsa de nombreuses activités touristiques et fut à l’origine du premier concours de fenêtres fleuries, en 1911. Aujourd’hui, la cité morbihanaise peut s’enorgueillir de quatre fleurs dans la classification « villages fleuris ». Si le printemps pare Rochefort-en-terre de mille couleurs et parfums, l’hiver charme tout autant avec un festival d’illuminations de toute beauté qui rassemblent chaque année des milliers de visiteurs. Et, des années après Alfred Klots, la tradition des arts et de l'artisanat est toujours très présentes dans les ruelles de la cité.
« L’amour plutôt que la guerre, des fleurs plutôt que des bombes. » Ces images touchantes nous rappellent que l’amour en temps de guerre peut être le plus terrible, comme le plus réconfortant des sentiments. Qu’il s’agisse d’une relation fraternelle, d’un coup de foudre, d’une amitié ou d’une romance, ces clichés prennent une dimension encore plus touchante car l’on assiste, en retournant dans le passé, aux adieux sur le quai d’une gare, aux derniers baisers à travers la fenêtre d’un wagon ou d’un hublot.
Servicemen And Downtown Workers Embrace And Kiss In The Street As Word Of Surrender Flashed Through The Nation, 1945.
Couple In Penn Station Sharing Farewell Kiss Before He Ships Off To War, 1943.
Saying Farewell To Departing Troops At New York’s Penn Station, April 1943.
A Sailor Kissing A Nurse In New York’s Times Square. This Iconic Photo Symbolizes The End Of World War II, 1945.
American Soldier Kissing His English Girlfriend On Lawn In Hyde Park, 1945.
Anglo-American Friendship Is Furthered By Boy And Girl Meetings In Hyde Park, 1945.
A GI And His Girl Walk Arm-In-Arm Among The Sheep In Kensington Gardens, London, 1945.
An English ATS And Eighth Air Force Sergeant Enjoy A Blissful Kiss, 1945.
An English ATS And A GI Lies In The Grass In Hyde Park, 1945.
World War Two Farewell Kiss, Between 1940-1945.
Soldier Kissing A Red Cross Nurse, 1945.
A Woman Leans Over The Railing To Kiss A British Soldier Returning From World War II, London, 1940.
A Soldier Comes Home From War, 1940s.
Saying Goodbye At The Train Station Before Departing To WWII.
A Present For His Girlfriend, California, 1943.
Couple Laughing In A Park, California, 1943.
Young Couple Chalking Hearts Onto A Tree, Valentine’s Day, 1944.
Soldiers Departing For Egypt Lean Out Of Their Windows To Kiss Their Loved Ones Goodbye, 1935.
A Young Woman Lifts Her Feet While Embracing And Kissing A Uniformed Us Soldier At The Train Station, Connecticut, 1945.
A British Soldier Kisses His Wife On His Return From Serving With The Armed Forces, 1945.
A Couple Kissing In A Pub As Europe Celebrates The End Of World War II, London, 1945.
A Sailor Leans Over A Picket Fence And Lifts His Girlfriend Up For A Kiss, 1945.
American Soldiers Getting Last Kiss On Ship Before Deployment To Egypt, 1963.
An American GI And His French Girlfriend Holding One Another While On A Date, 1940s.
D. Brown Kissing Her Fiance Terry Under The Mistletoe, On Board The HMS Wakeful At Portsmout, 1955.
A Kiss In Times Square Displays The Mood Of The World On V-E Day, New York, May 8, 1945.
English Soldiers Saying Goodbye To Their Wives, Getting Ready To Go To Egypt, 1937.
Farewell To Departing Troops At New York’s Penn Station, April 1943.
Farewell To Departing Troops At New York’s Penn Station, April 1943.
A Soldier Saying Goodbye To His Wife In Seattle, Leaving For World War I, 1917.
Comrades Heckle Soldier Kissing His Girlfriend Goodbye Before Leaving Waterloo Station, London, 1939.
Jean Moore Kneels And Kisses Her Fiancé, Wheelchair-Bound World War II Veteran Ralph Neppel, 1945.
Us Soldier And Local Girl Sharing A Chocolate Bar And Cigarettes, 1940s.
A Couple Celebrate The Victory On May 8, 1945.
US Soldier Giving Japanese Girl A Bicycle Ride, With Handlebar Riding Forbidden, 1946, Japan.
US Soldier Tenderly Kissing His Girlfriend Goodbye Before Departing By Train, 1922.
A Member Of The 1st Battalion Of The Manchester Regiment During A Quayside Reunion At Southampt Before The Unit Moves Onto Egypt.
Evacuated French Troops Relax On An English Beach.
Courances, La Vie De Château Dans Le Gâtinais... Par Céline Fion...
Situé en bordure d’Essonne, Courances est surtout connu pour son château, s’affirmant dans un parc remarquable qui mêle inspirations anglaises et françaises. Son paisible centre-ville mérite également le détour.
On retrouve dans la façade du château des inspirations venues tout droit de Fontainebleau. Nombreux sont les visiteurs qui se pressent principalement dans ce coin d'Essonne pour passer les grilles du château. Simple manoir au XVIIe siècle, le bâtiment se façonna une identité en fonction des envies de ses différents propriétaires jusqu’à se parer d’un escalier en fer à cheval majestueux et à révéler ses briques rouges pour coller au style Louis XIII. Depuis la fin du XIXe, le château appartient à une même lignée. La famille de Ganay continue de l’utiliser comme résidence secondaire mais à ouvert certaines pièces à la visite. L’occasion d’admirer entre autres un billard ayant appartenu au général Montgomery et des « singeries » en tapisserie. Courances est riche de dizaines de sources, elles permettent la culture du cresson et alimentent les dix-sept pièces d'eau du parc. Jardins anglais, français, japonais Le parc qui entoure le bâtiment est des plus singuliers. Conçu comme un jardin d’eau, il évolua lui aussi avec le temps, passant notamment entre les mains des Duchêne père et fils. Si certaines lignes évoquent le travail de Le Nôtre (qui n'œuvra pourtant pas à Courances), le parc a gagné en caractère dans la seconde moitié du XXe siècle, sur l’impulsion de Jean-Louis de Ganay. Par souci d’efficacité, le noble maire décida de simplifier les lignes et de laisser le jardin s’épanouir « à l’anglaise ». Le mélange entre classicisme français et « laisser-aller » à l’anglaise font toute la richesse du lieu. En déambulant, y compris sur les pelouses dont l’accès est autorisé, les visiteurs tomberont sur un atypique recoin : un jardin japonais et ses arbres rares taillés en nuage. Un chemin de randonnée passe devant la mairie de Courances, pour une découverte du Gâtinais. Village de charme Il serait regrettable de quitter Courances au sortir du château sans admirer le reste du village. Avec son plan en étoile, il charme par la délicatesse de ses basses maisons de pierre et de tuiles. Malgré sa petite taille, Courantes a su préserver la présence d’une école qui s’épanouit à l’ombre de l’église du 12e siècle. Elle borde un remarquable lavoir, à la charpente façonnée à la main. En s’éloignant du centre, et en suivant le fil de la rivière Ecole, l’on tombera sur le Moulin grenat, admirablement rénové, au cœur d’un cadre bucolique qui invite à la balade, à seulement quarante-cinq kilomètres de Paris.
Voici 28 phrases à dire à ses enfants pour qu'ils ne perdent pas la confiance en soi Le manque de confiance en soi est l'une des pires choses qu'un être humain peut ressentir, c'est un handicap à toute initiative. Il freine votre capacité de vous affirmer et développe une peur à prendre des risques, ce qui vous fait rater toute opportunité d'avancement. L'estime de soi est la clé du succès, elle n'est pas innée, donc il est un devoir pour chaque parent de cultiver cette confiance en soi sur leurs enfants dès le jeune âge. Ainsi, pour aider les parents sur la conduite à tenir face à cela, Isabelle Filliozat nous présente son livre "Fais-toi confiance". Elle y donne quelques méthodes d'épanouissement efficaces et une liste de phrases que les parents devraient dire à leurs enfants pour qu'il développe l'estime de soi. Ci-dessous la liste des phrases proposées par Isabelle Filliozat : L’instauration de la confiance de base
« Je t’aime. » « Tu existes pour moi, tu es important pour moi. » « Tu es le bienvenu. » « Je te regarde. » « Je te respecte. »
L’affirmation de soi
« Tu as le droit d’être différent. » « Tu as le droit d’avoir un goût personnel. » « Tu as le droit d’être en colère. » « Tu as le droit d’avoir des désirs et des envies. » « Tu as le droit d’avoir tes propres idées. » « Tu as le droit de ne pas penser comme tout le monde. » « Tu es toi et je suis moi. »
La confiance en ses compétences
« Tu es capable. » « Tu peux le faire. » « Tu as les ressources en toi pour réussir. » « Tu as le droit d’échouer. » « Il est important de se tromper pour apprendre. » « Plus tu t’exerceras, plus tu seras compétent. » « Tu as le droit de ne pas être parfait. » « Tu as le droit de faire des erreurs. » « Tu as le droit d’échouer et de te relever. C’est ainsi que tu as appris à marcher. »
La confiance relationnelle
« Tu peux aller vers les autres. » « Tout le monde partage les mêmes émotions et les mêmes besoins. » « Tu as droit à ta place. » « Tu es utile par ta simple présence. » « Tu as autant de valeur que les autres. Toute vie humaine a une valeur. » « Tu participes à l’humanité. » « Tu as le droit de demander, de donner, de recevoir, de refuser. »
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les étrangers surnomment Paris » City of Lights » ? Il y a en réalité deux explications : La première remonte au 18e siècle. A cause de la montée de la criminalité dans un Paris alors très sombre àla tombée de la nuit, le Préfet demanda à tous les parisiens de mettre une bougie ou une lampe à huile sur le rebord de leurs fenêtres, ceci afin d’éclairer entièrement la ville. Ce serait à ce moment là que Paris obtint le surnom de « Ville Lumière« . La deuxième serait que l’inventeur de l’éclairage au gaz, Philippe Lebon, développa son invention à Paris dans les années 1820. A partir de là, le magnifique éclairage de Paris, en particulier dans les passages commerçants, fascina toute l’Europe. Les Londoniens baptisèrent alors Paris City of Lights; la Ville Lumière.
Une pierre venue d’ailleurs qui toucherait nos cœurs.
L’histoire revêt des allures fantastiques. Pourtant, elle est vraie. Une pierre mystérieuse, récupérée en Uruguay, aurait une fabuleuse influence énergétique sur les personnes qui la côtoient. Nous sommes plus d’une centaine dans la salle du Miroir de l’Ame (Paris), un lundi à 14 h ! La pierre d’Uruguay semble défier tous nos plannings, et nombreux sont ceux à avoir délaissé leurs activités pour la « rencontrer ». Cette incroyable attraction qu’elle opère serait due à sa capacité à « ouvrir » nos cœurs. Un mystère auquel se sont heurtés bien des scientifiques, sans succès. Seules persistent sa « vibration », et la rumeur des changements « extraordinaires » qu’elle suscite. Cette géode en agate, de 130 millions d’années, a été découverte il y a plus de 40 ans en Uruguay par Laires Luciano Lucas, extracteur de pierres de père en fils. Bien plus tard, en 2007, c’est lors d’un voyage touristique en Uruguay que Michel Almeras, un français, « rencontrera » la pierre. Une surprenante série de coïncidences l’amèneront en sa présence ; il y restera des heures. Depuis, il la présente dans de nombreux pays. Un projet qui, de son propre aveu, a bouleversé son itinéraire de chef de projets informatiques en entreprise. Ce qui frappe en premier lieu, c’est sa forme, calquée sur celle de l’Uruguay quand on regarde la carte: un cœur ! Autre fait étonnant : les symboles et les écritures en cristaux de quartz inscrits à l’intérieur, qui ont donné lieu à de nombreuses interprétations. Mais l’essentiel n’est pas là ! Au fur et à mesure que Michel nous « conte » la pierre, semble s’opérer une ré harmonisation énergétique sur notre assemblée ; Un changement d’ambiance infime, mais perceptible. Comme si la géode, exposée dans la pièce, agissait subtilement sur cette frénésie si courante dans la capitale. L’agitation première, de nature mentale, cède la place à une « énergie » plus douce. Imperceptiblement, chacun se tourne vers son voisin, inconnu ou pas, pour partager. « Difficile d’exprimer ce qu’on ressent », confie Michel Almeras. Hormis qu’à chaque rencontre, le miracle a bien lieu. Au contact de la pierre, chacun se détend puis rayonne. Pour Pierre, un participant, « le but de la pierre, c’est la paix, elle ouvre le cœur ! » Puis notre hôte aborde les fameuses inscriptions. « Nous allons enfin avoir des explications rationnelles », chuchote un monsieur âgé derrière moi. Pas si sûr ! En effet, ce que les géologues ne s’expliquent pas, c’est la disposition de ces inscriptions en cristaux de quartz. Ces formes spécifiques soulèvent bien des interrogations. La question de la naturalité du phénomène ou d’une éventuelle falsification s’est même posée, tant la pierre est unique à présenter ces symboles. Un mystère qui reste entier pour les scientifiques qui ont cherché à le percer. Et ce ne sera pas faute d’avoir essayé. Il y a quelques années, au sud du Brésil, une équipe de savants, experts en géologie, ont demandé à l’étudier. Leurs travaux ont échoué à « déchiffrer le mystère de la pierre ». Après une après midi entière à la soumettre à des méthodes d’échantillonnage pointues, aux lasers et autres microscopes électroniques, la seule réponse qu’ils fourniront, visiblement confus, sera : « cette pierre est incroyable », sans en dire davantage ! Quatre mots pour seul compte rendu d’une journée entière d’études ! Le fait est que chacun peut en faire une lecture personnelle ; D’aucuns y déchiffreront les initiales de J.C., d’autres un code des atlantes, ou encore la disposition des statues de l’Ile de Pâques. C’est indéniable, la vibration de la pierre est exceptionnelle. Elle pourrait être d’une autre planète. « Peut-être une météorite qui vient de Vénus », a même entendu Michel Almeras. Un chamane réputé en Uruguay, Paul, témoigne pour sa part de la très forte énergie qui émane de cette singulière géode. Quant à la signification de ce qui est inscrit à l’intérieur ? « Une création de l’univers, avec une programmation spéciale ». Il conclut en disant « qu’il doit y avoir une bonne raison à l’existence de cette pierre. Une bénédiction. » À nous de l’accueillir, dans une présence ouverte, comme nous devrions le faire avec le mystère de la vie. (Source : INREES)
Certaines contrées se jouent de ceux qui cherchent à les explorer. Ainsi le Morvan dont le hasard fait qu’il se trouve là où se chevauchent les cartes, tant de Michelin que de l’Institut géographique national ! La partie la plus intéressante de ce massif forestier et montagneux se trouve dans ses confins méridionaux, entre le Haut-Folin, son point culminant, et le mont Beuvray.
Avec ses allures de montagne granitique « bosillée », le massif du Morvan est au mitan des quatre départements constituant la Bourgogne. Sur ce vieux massif raboté par l’érosion et affaissé tel un vieillard, la forêt recouvre la majeure partie d’un territoire de 80 km2. Cette « immobile respiration chlorophyllienne » (Julien Gracq) est peuplée de soyeux de mélèzes, de pins, d’épicéas (le Morvan produit nos sapins de Noël), de hêtraies touffues, de breuils, d’étangs et de rivières. Du Morvan, on dit parfois qu’elle est la « montagne des Parisiens » , parce qu’on peut voir, sur son point culminant du Haut-Folin (901 mètres), une vieille remontée mécanique de ski, qui fut installée par le Club alpin français en ces temps d’avant le réchaufement climatique, à l’époque où chaque hiver déposait une abondante couche de neige sur le massif. Orienté nord-sud, le Morvan s’étend sur 70 kilomètres de longueur environ, entre Quarré-les-Tombes et Saint-Léger-sous-Beuvray. Sa largeur atteint une quarantaine de kilomètres. Tout au sud se trouve sa partie la plus sauvage, le Haut-Morvan.
Issu de la construction au XIXe siècle d’un barrage destiné à réguler la navigation des flotteurs de bois sur l’Yonne, le lac des Settons (Nièvre), situé au coeur du parc naturel régional du Morvan, se découvre à pied, à vélo ou à cheval via un faisceau de circuits balisés (GR13, GR de Pays, Boucle de Folie...).
Rivière prenant sa source au pied du Haut-Folin, la Canche entame une course folle à travers rochers de granit taillés en escaliers, jaillissant là en cascades, s'encaissant ici en de sombres gorges, irriguant plus loin une hêtraie classée réserve biologique domaniale. Les galets et graviers charriés par le courant impétueux ont creusé dans le roc des "marmites de géant" aux eaux noires. Celui-ci commence au sud du lac des Settons, à des altitudes se situant entre 600 et 900 mètres, avec des escarpements rocheux et des forêts profondes qui ont donné leur nom aux lieux. En effet, l’étymologie celte de Morvan serait « Montagne noire ». La justesse du terme se vérife lorsqu’on traverse les futaies de chênes et de hêtres multicentenaires qui couvrent le mont Beuvray. Enfn, il faut le savoir : dans la mesure où le Morvan forme obstacle à la course des dépressions venues de l’Atlantique, les pluies y sont fréquentes. Elles gonfent une multitude de ruisseaux et torrents, lesquels alimentent généreusement des lacs de barrage.
C’est sur les terres du « Morven » aux puissantes racines celtiques que l’ancienne Bibracte des Éduens, au sommet du mont Beuvray, développa son inconfortable oppidum. Du lac des Settons au mont Beuvray, la traversée du Morvan fait suivre un labyrinthe de routes étroites et sinueuses, la plupart du temps désertes. Comme point de repère pour baliser l’itinéraire, prenez Anost, via l’Huis-Prunelle, qui vous fera passer à côté de la source de la Cure, puis les lieux-dits Athez et Corcelles. Une fois arrivé au niveau de la D 978, prenez la direction d’Autun. Après 4 kilomètres, tournez à droite pour remonter les gorges de la Canche par la D 179. petite route très spectaculaire vous conduira au village de Saint-Prix où, après l’église, vous trouverez la D 260. Deux carrefours plus loin, voici la route qui gravit le mont Beuvray.
Qu’est-ce qu’elle a ma « queule » ? Au mont Beuvray, les queules forment de curieuses clôtures constituées de branches de hêtres entrelacées, qui, jadis, séparaient le parcellaire agricole. Ces haies plessées étaient obtenues en fendant les troncs d’arbres puis en liant leurs tiges entre elles. On peut sourire des 900 mètres d’altitude du Morvan, pourtant, les escarpements rocheux, les pentes abruptes, les vallées encaissées, procurent la sensation de se trouver en véritable montagne. Et justement, les randonneurs tout-terrain le savent bien : ce n’est pas l’altitude qui fait la montagne, mais les dénivelés. De ce point de vue, les 821 mètres du mont Beuvray se défendent bien. Pour qui l’a gravi à vélo, la route qui mène au sommet laisse de grands souvenirs. Et l’on songera qu’ils avaient 3 trouvé un site naturellement bien fortifé, ces Gaulois de Vercingétorix qui créèrent ici l’oppidum de Bibracte, épicentre de la résistance aux légions romaines. Aujourd’hui, il n’en reste rien de très visible, mais quelle futaie ! Les dimensions des troncs, couverts de mousse au vert fuorescent, laissent rêveurs. Et de la table d’orientation, quelle vue sur la plaine d’Autun. Il paraît qu’après le passage d’une perturbation atlantique, le vent de nord-ouest nettoyant l’atmosphère, la vue porte jusqu’au Jura, voire jusqu’aux Alpes !
A la lueur de la lune et d’un ciel incroyablement étoilé. Des paysages figés, endormis, montrant de majestueuses demeures avec leurs voitures de collection, qui prennent un tout autre aspect une fois la nuit venue.
Cette boulangerie de Montreuil donne du pain aux plus pauvres ! Le client paie 2 baguettes, une pour lui et la deuxième pour une personne dans le besoin. Par: Denis Gentele...11 avril 2016
Cette boulangerie biologique située à Montreuil en Seine-Saint-Denis, « La Conquête du Pain », distribue des baguettes gratuites pour les plus pauvres. Le principe est simple, le client paie 2 baguettes, une pour lui et la deuxième est mise dans un panier dans l’attente qu’une personne dans le besoin vienne la récupérer. Une dizaine de baguettes sont ainsi distribuées chaque jour. Des associations viennent aussi récupérer les invendus chaque soir. Crédit Photo : V. Wartner / 20 MinutesLa boulangerie propose un pain de qualité :
Crédit photo : La Conquête du Pain « La farine utilisée dans nos pains est issue de l’agriculture biologique : sans OGM, sans pesticides et sans engrais chimiques. Nous utilisons aussi du gros sel de mer non raffiné. » Crédit photo : La Conquête du Pain Bien sûr, ce concept n’est pas nouveau. Il s’inspire d’une tradition italienne : le café suspendu. Quand le client rentre dans un bar, au lieu de payer un café, celui qu’il boit, il en paie deux, un pour lui et un autre pour un client qui ne peut pas se le permettre. Mais, comme toutes les bonnes idées, le plus important est qu’elles puissent se concrétiser et se généraliser. Plus il y aura de commerçants qui appliqueront et adapteront le concept du café suspendu, plus notre monde deviendra altruiste et généreux. Qui sera le prochain ? Un autre boulanger ? Un pizzaiolo ? Un restaurateur ? Un épicier ?
Crédit Photo : La Conquête du Pain En attendant, si vous passez du côté de Montreuil, au 47 rue de la Beaune, n’oubliez pas de demander une baguette suspendue.
UN COUCHER DE SOLEL A L'ILE DE RE ( Photos prises de 20h20 à 21h03 au phare des Baleines )
Avec un peu d'imagination , vous êtes assis sur les rochers et un spectacle sublime s'offre à vous . Un peu de rêve en ce wek-end de Pentecôte un peu maussade et un air de vacances .
Par Philippe Bourget (Texte Original) ;
Céline Fion (Adaptation )
Beauté bretonne, épanouie entre ravins et forêts, Rochefort-en-Terre combine
le cachet des maisons de granit et colombages, la délicatesse d’un
village hautement fleuri et l’attrait d’un patrimoine culturel unique.
La place du Puits est l’un des lieux les plus charmants du bourg. Vous y trouverez l’office du Tourisme.
C’est au XIIe siècle qu’un seigneur eu la judicieuse idée d'ériger une
forteresse sur un éperon schisteux de la vallée du Gueuzon, nommé Roche
Forte. Situé sur la route du sel.
Le village prospéra jusqu’à l’annexion de la Bretagne par le Royaume de
France qui aboutit à la destruction des biens des alliés du duc de Bretagne.
Fort heureusement pour le village, le seigneur local Jean IV de Rieux-Rochefort, fut tuteur d’Anne de Bretagne,
devenue reine.
Elle fit don de 100 000 écus d’or au seigneur qui entreprit de reconstruire
son château mais aussi d’embellir les zones en contrebas.
A côté des ruines médiévales, le singulier Naia Museum a vu le jour. Il est dédié aux arts de l’imaginaire fantastique.
Balade dans les ruelles En descendant du château, l’on peut admirer les beaux logis de granit
percés de fenêtre Renaissance, que firent construire les notables, gens d’épée et classes intermédiaires du clergé.
En poursuivant la découverte vers le bas du bourg, ce sont les habitations plus modestes, autrefois utilisées par la marchands et artisans, qui s’offrent à la vue.
Une étonnante église est aussi située dans la partie basse. Elle fut
construite à l’endroit où une bergère trouva, au XIIe siècle, une vierge
de bois qui aurait été cachée deux siècles plus tôt par un prêtre.
Construit sans fondations, l'édifice a perdu sa verticalité. Il surprend aussi par son
allure romano-gothico-Renaissance, fruit de divers embellissements à travers les siècles.
Mélange de vestiges médiévaux et d’un corps de logis du XXe siècle, le château et son parc appartiennent
désormais à la commune.
Village d'artistes Rochefort-en-terre doit en grande partie son visage actuel au peintre américain Alfred Klots.
Tombé sous le charme du village, au début du XXe siècle, il racheta les ruines du château et y investit sa fortune.
L’artiste avait pris l’habitude de convier ses amis dans son coin de paradis. Il impulsa de nombreuses activités touristiques et fut à l’origine du premier concours de fenêtres fleuries, en 1911.
Aujourd’hui, la cité morbihanaise peut s’enorgueillir de quatre fleurs dans la classification « villages fleuris ».
Si le printemps pare Rochefort-en-terre de mille couleurs et parfums,
l’hiver charme tout autant avec un festival d’illuminations de toute
beauté qui rassemblent chaque année des milliers de visiteurs.
Et, des années après Alfred Klots, la tradition des arts et de l'artisanat
est toujours très présentes dans les ruelles de la cité.
« L’amour plutôt que la guerre, des fleurs plutôt que des bombes. » Ces images
touchantes nous rappellent que l’amour en temps de guerre peut être le
plus terrible, comme le plus réconfortant des sentiments.
Qu’il s’agisse d’une relation fraternelle, d’un coup de foudre, d’une
amitié ou d’une romance, ces clichés prennent une dimension encore plus
touchante car l’on assiste, en retournant dans le passé, aux adieux sur
le quai d’une gare, aux derniers baisers à travers la fenêtre d’un wagon
ou d’un hublot.
Servicemen And Downtown Workers Embrace And Kiss In The Street As Word Of Surrender Flashed Through The Nation, 1945.
Couple In Penn Station Sharing Farewell Kiss Before He Ships Off To War, 1943.
Saying Farewell To Departing Troops At New York’s Penn Station, April 1943.
A Sailor Kissing A Nurse In New York’s Times Square. This Iconic Photo Symbolizes The End Of World War II, 1945.
American Soldier Kissing His English Girlfriend On Lawn In Hyde Park, 1945.
Anglo-American Friendship Is Furthered By Boy And Girl Meetings In Hyde Park, 1945.
A GI And His Girl Walk Arm-In-Arm Among The Sheep In Kensington Gardens, London, 1945.
An English ATS And Eighth Air Force Sergeant Enjoy A Blissful Kiss, 1945.
An English ATS And A GI Lies In The Grass In Hyde Park, 1945.
World War Two Farewell Kiss, Between 1940-1945.
Soldier Kissing A Red Cross Nurse, 1945.
A Woman Leans Over The Railing To Kiss A British Soldier Returning From World War II, London, 1940.
A Soldier Comes Home From War, 1940s.
Saying Goodbye At The Train Station Before Departing To WWII.
A Present For His Girlfriend, California, 1943.
Couple Laughing In A Park, California, 1943.
Young Couple Chalking Hearts Onto A Tree, Valentine’s Day, 1944.
Soldiers Departing For Egypt Lean Out Of Their Windows To Kiss Their Loved Ones Goodbye, 1935.
A Young Woman Lifts Her Feet While Embracing And Kissing A Uniformed Us Soldier At The Train Station, Connecticut, 1945.
A British Soldier Kisses His Wife On His Return From Serving With The Armed Forces, 1945.
A Couple Kissing In A Pub As Europe Celebrates The End Of World War II, London, 1945.
A Sailor Leans Over A Picket Fence And Lifts His Girlfriend Up For A Kiss, 1945.
American Soldiers Getting Last Kiss On Ship Before Deployment To Egypt, 1963.
An American GI And His French Girlfriend Holding One Another While On A Date, 1940s.
D. Brown Kissing Her Fiance Terry Under The Mistletoe, On Board The HMS Wakeful At Portsmout, 1955.
A Kiss In Times Square Displays The Mood Of The World On V-E Day, New York, May 8, 1945.
English Soldiers Saying Goodbye To Their Wives, Getting Ready To Go To Egypt, 1937.
Farewell To Departing Troops At New York’s Penn Station, April 1943.
Farewell To Departing Troops At New York’s Penn Station, April 1943.
A Soldier Saying Goodbye To His Wife In Seattle, Leaving For World War I, 1917.
Comrades Heckle Soldier Kissing His Girlfriend Goodbye Before Leaving Waterloo Station, London, 1939.
Jean Moore Kneels And Kisses Her Fiancé, Wheelchair-Bound World War II Veteran Ralph Neppel, 1945.
Us Soldier And Local Girl Sharing A Chocolate Bar And Cigarettes, 1940s.
A Couple Celebrate The Victory On May 8, 1945.
US Soldier Giving Japanese Girl A Bicycle Ride, With Handlebar Riding Forbidden, 1946, Japan.
US Soldier Tenderly Kissing His Girlfriend Goodbye Before Departing By Train, 1922.
A Member Of The 1st Battalion Of The Manchester Regiment During A
Quayside Reunion At Southampt Before The Unit Moves Onto Egypt.
Evacuated French Troops Relax On An English Beach.
Par Céline Fion...
Situé en bordure d’Essonne, Courances est surtout connu pour son château,
s’affirmant dans un parc remarquable qui mêle inspirations anglaises et
françaises. Son paisible centre-ville mérite également le détour.
On retrouve dans la façade du château des inspirations venues tout droit de Fontainebleau.
Nombreux sont les visiteurs qui se pressent principalement dans ce coin
d'Essonne pour passer les grilles du château. Simple manoir au XVIIe siècle, le bâtiment se façonna une identité en fonction des envies de ses différents propriétaires jusqu’à se parer d’un escalier en fer à
cheval majestueux et à révéler ses briques rouges pour coller au style Louis XIII.
Depuis la fin du XIXe, le château appartient à une même lignée. La famille de Ganay continue
de l’utiliser comme résidence secondaire mais à ouvert certaines pièces à
la visite. L’occasion d’admirer entre autres un billard ayant appartenu
au général Montgomery et des « singeries » en tapisserie.
Courances est riche de dizaines de sources, elles permettent la culture du cresson et alimentent
les dix-sept pièces d'eau du parc.
Jardins anglais, français, japonais Le parc qui entoure le bâtiment est des plus singuliers.
Conçu comme un jardin d’eau, il évolua lui aussi avec le temps, passant notamment entre
les mains des Duchêne père et fils.
Si certaines lignes évoquent le travail de Le Nôtre (qui n'œuvra pourtant pas à Courances),
le parc a gagné en caractère dans la seconde moitié du XXe siècle, sur l’impulsion de Jean-Louis de Ganay.
Par souci d’efficacité, le noble maire décida de simplifier les lignes et de laisser le jardin s’épanouir « à l’anglaise ».
Le mélange entre classicisme français et « laisser-aller » à l’anglaise font toute la richesse du lieu.
En déambulant, y compris sur les pelouses dont l’accès est autorisé,
les visiteurs tomberont sur un atypique recoin : un jardin japonais et
ses arbres rares taillés en nuage.
Un chemin de randonnée passe devant la mairie de Courances, pour une découverte du Gâtinais.
Village de charme Il serait regrettable de quitter Courances au sortir du château sans
admirer le reste du village. Avec son plan en étoile, il charme par la
délicatesse de ses basses maisons de pierre et de tuiles.
Malgré sa petite taille, Courantes a su préserver la présence d’une école qui
s’épanouit à l’ombre de l’église du 12e siècle. Elle borde un
remarquable lavoir, à la charpente façonnée à la main.
En s’éloignant du centre, et en suivant le fil de la rivière Ecole, l’on
tombera sur le Moulin grenat, admirablement rénové, au cœur d’un cadre
bucolique qui invite à la balade, à seulement quarante-cinq kilomètres de Paris.
Voici 28 phrases à dire à ses enfants pour qu'ils
ne perdent pas la confiance en soi
Le manque de confiance en soi est l'une des pires choses qu'un être
humain peut ressentir, c'est un handicap à toute initiative. Il freine
votre capacité de vous affirmer et développe une peur à prendre des
risques, ce qui vous fait rater toute opportunité d'avancement.
L'estime de soi est la clé du succès, elle n'est pas innée, donc il
est un devoir pour chaque parent de cultiver cette confiance en soi sur
leurs enfants dès le jeune âge. Ainsi, pour aider les parents sur la
conduite à tenir face à cela, Isabelle Filliozat nous présente son livre
"Fais-toi confiance". Elle y donne quelques méthodes d'épanouissement
efficaces et une liste de phrases que les parents devraient dire à leurs
enfants pour qu'il développe l'estime de soi.
Ci-dessous la liste des phrases proposées par Isabelle Filliozat :
L’instauration de la confiance de base
« Je t’aime. »
« Tu existes pour moi, tu es important pour moi. »
« Tu es le bienvenu. »
« Je te regarde. »
« Je te respecte. »
L’affirmation de soi
« Tu as le droit d’être différent. »
« Tu as le droit d’avoir un goût personnel. »
« Tu as le droit d’être en colère. »
« Tu as le droit d’avoir des désirs et des envies. »
« Tu as le droit d’avoir tes propres idées. »
« Tu as le droit de ne pas penser comme tout le monde. »
« Tu es toi et je suis moi. »
La confiance en ses compétences
« Tu es capable. »
« Tu peux le faire. »
« Tu as les ressources en toi pour réussir. »
« Tu as le droit d’échouer. »
« Il est important de se tromper pour apprendre. »
« Plus tu t’exerceras, plus tu seras compétent. »
« Tu as le droit de ne pas être parfait. »
« Tu as le droit de faire des erreurs. »
« Tu as le droit d’échouer et de te relever. C’est ainsi que tu as appris à marcher. »
La confiance relationnelle
« Tu peux aller vers les autres. »
« Tout le monde partage les mêmes émotions et les mêmes besoins. »
« Tu as droit à ta place. »
« Tu es utile par ta simple présence. »
« Tu as autant de valeur que les autres. Toute vie humaine a une valeur. »
« Tu participes à l’humanité. »
« Tu as le droit de demander, de donner, de recevoir, de refuser. »
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les étrangers surnomment Paris » City of Lights » ?
Il y a en réalité deux explications :
La première remonte au 18e siècle. A cause de la montée de la criminalité dans un Paris alors très sombre àla tombée de la nuit, le Préfet demanda à tous les parisiens de mettre
une bougie ou une lampe à huile sur le rebord de leurs fenêtres, ceci
afin d’éclairer entièrement la ville. Ce serait à ce moment là que Paris
obtint le surnom de « Ville Lumière« .
La deuxième serait que l’inventeur de l’éclairage au gaz, Philippe Lebon,
développa son invention à Paris dans les années 1820. A partir de là, le
magnifique éclairage de Paris, en particulier dans les passages commerçants,
fascina toute l’Europe. Les Londoniens baptisèrent alors Paris City of Lights; la Ville Lumière.
Notre Dame de Paris
Montmatre
Les toits de Paris
Montmartre
Paris vu du ciel la nuit
Coucher de soleil sur le jardin des Tuileries
Mademoiselle Eiffel
Place de l’Etoile
Montmartre
Les toits de Paris
Montmartre par Gaston Paris (1940)
Tour Eiffel sous la brume
Paris sous la pluie
Couché de soleil sur Paris
Tour Saint Jacques & Montparnasse
Pont de Bir-Hakeim
Rue Saint Dominique
Montmartre
Pyramide du Louvre
Notre Dame de Paris à la nuit tombante
Le Sacrée Coeur sous la brume
Paris sou l’orage
Le pont des Arts à la nuit tombante
La conciergerie
Station fantôme Haxo de nuit
La Défense
Place de l’Etoile
La verrière du petit palais
Mademoiselle tour Eiffel
Paris la Défense
Opéra Garnier
Notre Dame de Paris et la Défense
Métro de Paris
Square des peupliers
L’hotel des Invalides
Pyramide du Louvre
Place Saint Opportune
L’histoire revêt des allures fantastiques. Pourtant, elle est vraie.
Une pierre mystérieuse, récupérée en Uruguay, aurait une fabuleuse influence
énergétique sur les personnes qui la côtoient.
Nous sommes plus d’une centaine dans la salle du Miroir de l’Ame (Paris), un lundi à 14 h !
La pierre d’Uruguay semble défier tous nos plannings, et nombreux sont
ceux à avoir délaissé leurs activités pour la « rencontrer ».
Cette incroyable attraction qu’elle opère serait due à sa capacité à « ouvrir » nos cœurs. Un mystère auquel se sont heurtés bien des
scientifiques, sans succès.
Seules persistent sa « vibration », et la rumeur des changements « extraordinaires » qu’elle suscite.
Cette géode en agate, de 130 millions d’années, a été découverte il y a plus
de 40 ans en Uruguay par Laires Luciano Lucas, extracteur de pierres de
père en fils.
Bien plus tard, en 2007, c’est lors d’un voyage touristique en Uruguay
que Michel Almeras, un français, « rencontrera » la pierre.
Une surprenante série de coïncidences l’amèneront en sa présence ;
il y restera des heures. Depuis, il la présente dans de nombreux pays.
Un projet qui, de son propre aveu, a bouleversé son itinéraire de chef
de projets informatiques en entreprise. Ce qui frappe en premier lieu,
c’est sa forme, calquée sur celle de l’Uruguay quand on regarde la carte: un cœur !
Autre fait étonnant : les symboles et les écritures en cristaux de quartz
inscrits à l’intérieur, qui ont donné lieu à de nombreuses
interprétations. Mais l’essentiel n’est pas là !
Au fur et à mesure que Michel nous « conte » la pierre, semble s’opérer une
ré harmonisation énergétique sur notre assemblée ;
Un changement d’ambiance infime, mais perceptible. Comme si la géode,
exposée dans la pièce, agissait subtilement sur cette frénésie si
courante dans la capitale.
L’agitation première, de nature mentale, cède la place à une « énergie » plus
douce. Imperceptiblement, chacun se tourne vers son voisin, inconnu ou
pas, pour partager.
« Difficile d’exprimer ce qu’on ressent », confie Michel Almeras. Hormis qu’à chaque rencontre, le miracle a bien lieu.
Au contact de la pierre, chacun se détend puis rayonne. Pour Pierre, un
participant, « le but de la pierre, c’est la paix, elle ouvre le cœur ! »
Puis notre hôte aborde les fameuses inscriptions. « Nous allons enfin avoir
des explications rationnelles », chuchote un monsieur âgé derrière moi.
Pas si sûr !
En effet, ce que les géologues ne s’expliquent pas, c’est la disposition
de ces inscriptions en cristaux de quartz. Ces formes spécifiques
soulèvent bien des interrogations.
La question de la naturalité du phénomène ou d’une éventuelle
falsification s’est même posée, tant la pierre est unique à présenter
ces symboles. Un mystère qui reste entier pour les scientifiques qui ont
cherché à le percer.
Et ce ne sera pas faute d’avoir essayé. Il y a quelques années, au sud
du Brésil, une équipe de savants, experts en géologie, ont demandé à
l’étudier. Leurs travaux ont échoué à « déchiffrer le mystère de la pierre ».
Après une après midi entière à la soumettre à des méthodes d’échantillonnage
pointues, aux lasers et autres microscopes électroniques, la seule
réponse qu’ils fourniront, visiblement confus, sera : « cette pierre est
incroyable », sans en dire davantage !
Quatre mots pour seul compte rendu d’une journée entière d’études !
Le fait est que chacun peut en faire une lecture personnelle ;
D’aucuns y déchiffreront les initiales de J.C., d’autres un code des
atlantes, ou encore la disposition des statues de l’Ile de Pâques.
C’est indéniable, la vibration de la pierre est exceptionnelle.
Elle pourrait être d’une autre planète.
« Peut-être une météorite qui vient de Vénus », a même entendu Michel Almeras.
Un chamane réputé en Uruguay, Paul, témoigne pour sa part de la
très forte énergie qui émane de cette singulière géode.
Quant à la signification de ce qui est inscrit à l’intérieur ?
« Une création de l’univers, avec une programmation spéciale ».
Il conclut en disant « qu’il doit y avoir une bonne raison à l’existence de cette pierre.
Une bénédiction. »
À nous de l’accueillir, dans une présence ouverte, comme nous devrions le faire avec le mystère de la vie.
(Source : INREES)
Par Hugues Dérouard...
Certaines contrées se jouent de ceux qui cherchent à les explorer. Ainsi le
Morvan dont le hasard fait qu’il se trouve là où se chevauchent les
cartes, tant de Michelin que de l’Institut géographique national !
La partie la plus intéressante de ce massif forestier et montagneux se
trouve dans ses confins méridionaux, entre le Haut-Folin, son point
culminant, et le mont Beuvray.
Avec ses allures de montagne granitique « bosillée », le massif du Morvan
est au mitan des quatre départements constituant la Bourgogne.
Sur ce vieux massif raboté par l’érosion et affaissé tel un vieillard, la
forêt recouvre la majeure partie d’un territoire de 80 km2.
Cette « immobile respiration chlorophyllienne » (Julien Gracq) est peuplée de
soyeux de mélèzes, de pins, d’épicéas (le Morvan produit nos sapins de
Noël), de hêtraies touffues, de breuils, d’étangs et de rivières.
Du Morvan, on dit parfois qu’elle est la « montagne des Parisiens » ,
parce qu’on peut voir, sur son point culminant du Haut-Folin (901
mètres), une vieille remontée mécanique de ski, qui fut installée par le
Club alpin français en ces temps d’avant le réchaufement climatique, à
l’époque où chaque hiver déposait une abondante couche de neige sur le
massif.
Orienté nord-sud, le Morvan s’étend sur 70 kilomètres de longueur environ,
entre Quarré-les-Tombes et Saint-Léger-sous-Beuvray. Sa largeur atteint
une quarantaine de kilomètres. Tout au sud se trouve sa partie la plus
sauvage, le Haut-Morvan.
Issu de la construction au XIXe siècle d’un barrage destiné à réguler la navigation des flotteurs de
bois sur l’Yonne, le lac des Settons (Nièvre), situé au coeur du parc
naturel régional du Morvan, se découvre à pied, à vélo ou à cheval via
un faisceau de circuits balisés (GR13, GR de Pays, Boucle de Folie...).
Rivière prenant sa source au pied du Haut-Folin, la Canche entame une course
folle à travers rochers de granit taillés en escaliers, jaillissant là
en cascades, s'encaissant ici en de sombres gorges, irriguant plus loin
une hêtraie classée réserve biologique domaniale.
Les galets et graviers charriés par le courant impétueux ont creusé dans le roc des "marmites de géant" aux eaux noires.
Celui-ci commence au sud du lac des Settons, à des altitudes se situant entre
600 et 900 mètres, avec des escarpements rocheux et des forêts profondes
qui ont donné leur nom aux lieux.
En effet, l’étymologie celte de Morvan serait « Montagne noire ». La
justesse du terme se vérife lorsqu’on traverse les futaies de chênes et
de hêtres multicentenaires qui couvrent le mont Beuvray.
Enfn, il faut le savoir : dans la mesure où le Morvan forme obstacle à la
course des dépressions venues de l’Atlantique, les pluies y sont
fréquentes.
Elles gonfent une multitude de ruisseaux et torrents, lesquels alimentent généreusement des lacs de barrage.
C’est sur les terres du « Morven » aux puissantes racines celtiques que
l’ancienne Bibracte des Éduens, au sommet du mont Beuvray, développa son
inconfortable oppidum.
Du lac des Settons au mont Beuvray, la traversée du Morvan fait suivre un
labyrinthe de routes étroites et sinueuses, la plupart du temps
désertes.
Comme point de repère pour baliser l’itinéraire, prenez Anost, via
l’Huis-Prunelle, qui vous fera passer à côté de la source de la Cure,
puis les lieux-dits Athez et Corcelles.
Une fois arrivé au niveau de la D 978, prenez la direction d’Autun. Après 4
kilomètres, tournez à droite pour remonter les gorges de la Canche par
la D 179. petite route très spectaculaire vous conduira au village de
Saint-Prix où, après l’église, vous trouverez la D 260. Deux carrefours
plus loin, voici la route qui gravit le mont Beuvray.
Qu’est-ce qu’elle a ma « queule » ? Au mont Beuvray, les queules forment de
curieuses clôtures constituées de branches de hêtres entrelacées, qui,
jadis, séparaient le parcellaire agricole.
Ces haies plessées étaient obtenues en fendant les troncs d’arbres puis en liant leurs tiges entre elles.
On peut sourire des 900 mètres d’altitude du Morvan, pourtant, les
escarpements rocheux, les pentes abruptes, les vallées encaissées,
procurent la sensation de se trouver en véritable montagne.
Et justement, les randonneurs tout-terrain le savent bien : ce n’est pas
l’altitude qui fait la montagne, mais les dénivelés. De ce point de vue,
les 821 mètres du mont Beuvray se défendent bien.
Pour qui l’a gravi à vélo, la route qui mène au sommet laisse de grands
souvenirs. Et l’on songera qu’ils avaient 3 trouvé un site naturellement
bien fortifé, ces Gaulois de Vercingétorix qui créèrent ici l’oppidum
de Bibracte, épicentre de la résistance aux légions romaines.
Aujourd’hui, il n’en reste rien de très visible, mais quelle futaie !
Les dimensions des troncs, couverts de mousse au vert fuorescent, laissent rêveurs.
Et de la table d’orientation, quelle vue sur la plaine d’Autun. Il
paraît qu’après le passage d’une perturbation atlantique, le vent de
nord-ouest nettoyant l’atmosphère, la vue porte jusqu’au Jura, voire
jusqu’aux Alpes !
Tom Blachford photographe
A la lueur de la lune et d’un ciel incroyablement étoilé. Des paysages
figés, endormis, montrant de majestueuses demeures avec leurs voitures
de collection, qui prennent un tout autre aspect une fois la nuit venue.
Le client paie 2 baguettes, une pour lui et la deuxième pour une personne dans le besoin.
Par: Denis Gentele...11 avril 2016
Cette boulangerie biologique située à Montreuil en Seine-Saint-Denis,
« La Conquête du Pain », distribue des baguettes gratuites pour les plus
pauvres.
Le principe est simple, le client paie 2 baguettes, une pour lui et la
deuxième est mise dans un panier dans l’attente qu’une personne dans le
besoin vienne la récupérer.
Une dizaine de baguettes sont ainsi distribuées chaque jour. Des associations viennent aussi récupérer les invendus chaque soir.
Crédit Photo : V. Wartner / 20 Minutes La boulangerie propose un pain de qualité :
Crédit photo : La Conquête du Pain
« La farine utilisée dans nos pains est issue de l’agriculture biologique :
sans OGM, sans pesticides et sans engrais chimiques. Nous utilisons
aussi du gros sel de mer non raffiné. »
Crédit photo : La Conquête du Pain
Bien sûr, ce concept n’est pas nouveau. Il s’inspire d’une tradition italienne : le café suspendu.
Quand le client rentre dans un bar, au lieu de payer un café, celui qu’il
boit, il en paie deux, un pour lui et un autre pour un client qui ne peut pas se le permettre.
Mais, comme toutes les bonnes idées, le plus important est qu’elles puissent se concrétiser et se généraliser.
Plus il y aura de commerçants qui appliqueront et adapteront le concept du
café suspendu, plus notre monde deviendra altruiste et généreux.
Qui sera le prochain ? Un autre boulanger ? Un pizzaiolo ? Un restaurateur ? Un épicier ?
Crédit Photo : La Conquête du Pain
En attendant, si vous passez du côté de Montreuil, au 47 rue de la Beaune, n’oubliez pas de demander une baguette suspendue.
( Photos prises de 20h20 à 21h03 au phare des Baleines )
Avec un peu d'imagination , vous êtes assis sur les rochers et un spectacle sublime s'offre à vous .
Un peu de rêve en ce wek-end de Pentecôte un peu maussade et un air de vacances .