Fleurs , Fruits , Légumes , Jardins ,Déco......

Par Victoria il y a 7 années 6 mois
14/10/2018 - 10:26
14/10/2018 - 10:25
14/10/2018 - 10:23
De belles photos et de bonnes idées    Merci !
Le potiron je le cire et celà fait une déco originale rustique . Pareil pour  les coloquintes que l'on va trouver sur les marchés .
13/10/2018 - 15:37
Coucou Victoria, je n'aime pas les potirons (beurk), mais tes cyclamens !!!! ah!oui, alors,  merci beaucoup, hop dans un album!!!A+Marché à Tahiti.
13/10/2018 - 15:13





            



 

   

 

 





13/10/2018 - 10:12
Les plus belles fleurs blanches du jardin.

Charlotte Fauve

On a tous photographié les fleurs du jardin avec son appareil photo ou son smartphone. Voici les photos de fleurs blanches prises par l'artiste britannique Mandie Disher. Des photos épurées, graphiques qui rendent hommage à la beauté de la nature. Découvrez son travail.


Ces perce-neige, photographiés par la britannique Mandy Disher, ont été primées dans le cadre du concours de photographie de jardins IGPOTY.
Chaque année, ses images enchantent les amoureux de fleurs et de nature : IGPOTY, compétition internationale de photographies de jardins, a délivré ses résultats dans les frimas de l’hiver. Si les récompenses dévoilent les splendeurs des jardins du monde entier, elles rendent également hommage au talent des photographes qui les ont capturés. Dans la catégorie portfolio, la britannique Mandie Disher s’est ainsi vue primée pour six clichés immaculés d’une grande délicatesse. Cette photographe, qui immortalise les fleurs de son jardin, se distingue par ses images épurées, qui rendent hommage à la beauté de la nature.
Comment photographier les fleurs selon Mandie Fisher.
"La toute première photo de fleur que j'ai prise,
se souvient Mandy Disher, c'était un jour de printemps froid. L’un de mes camélias n’avait pas fleuri depuis longtemps : j’étais tellementsurprise de le voir s’épanouir que je me suis précipitée à l’intérieur de la maison pour chercher mon appareil photo." 
Depuis, Mandy Disher photographie des fleurs, rien que des fleurs. Perce-neige, muguets ou tulipes, sa série de six images représentant des fleurs d’un blanc pur a été récompensée d’un premier prix dans la catégorie Portfolio du concours IGPOTY. Un aboutissement pour cette habituée du rendez-vous photographique, qui n’avait encore jamais reçu la récompense ultime.



La série Simple Nature se caractérise par ses fleurs blanches, capturées par la photographe Mandy Disher sur un fond immaculé.
Bien connue outre-Manche, la compétition internationale IGPOTY récompense chaque année les plus belles photographies de plantes et de jardin.
Celles de Mandy Disher, avec leurs corolles épurées se détachant sur un fond blanc, se caractérisent par leur simplicité : « Mon approche, explique l’artiste, était de réussir à être créative avec des compositions à la palette de couleurs minimale. Chaque image se devait d’être à la fois simple et visuellement forte, j’ai donc été très attentive à la sélection des fleurs, aux caractéristiques de chaque plante et à la façon dont chacuneétait connectée au groupe floral. » La photographe, dont la première source d’inspiration reste la nature, avoue attendre impatiemment chaque changement de saison. Quant aux plantes qu’il lui reste à photographier, Mandy Disher reste optimiste : « J’aime en particulier les anémones, mais ma liste pourrait continuer indéfiniment : pâquerettes, cosmos, lys, hellébores, tulipes, perce-neige et stellaires ne cesseront jamais de me donner le sourire. La nature nous offre des ressources infinies, l'inspiration n'est donc jamais bien loin. » Pour celles et ceux qui souhaiteraient l'imiter, Mandy Disher a accepté de dévoiler sa technique: "Pour produire ces arrière-plans blancs, j'utilise un led lightpad, une table lumineuse, pour éclairer les fleurs par-dessous (les fleurs sont arrangées directement sur la table), ainsi qu'une softbox, un éclairage de studio, pour illuminer les fleurs par devant." 
 



La photographe Mandy Disher trouve l'inspiration dans les parterres de son jardin: ici, des tulipes qu'elle a sélectionnées avec
grand soin pour leurs caractéristiques et leur homogénéité.


Pour réussir à être créative malgré une palette de couleurs minimale, l'artiste a également choisi des espèces très différentes; en
comparaison des tulipes ou des lys, ces cosmos apportent à la série légèreté et spontanéité.



La série Simple Nature est aussi l'occasion de montrer sous un autre jour des plantes emblématiques du jardin, à l'image de ces brins de muguet.


Mandy Disher tire son inspiration dans la nature et dans son jardin, comme par exemple avec ces lys. 

Tags:
Couleur blanc
Plante fleurie
Ce commentaire a été modifié le 13/10/2018 à 10:14
13/10/2018 - 09:22
5 compositions de cyclamens vraiment originales !

Par Catherine Delvaux et Armelle Robert

Oubliez les ennuyeuses potées de cyclamens et découvrez comment réaliser des compositions vraiment originales ! Voici d’adorables variétés, résistantes aux maladies et qui fleurissent incroyablement longtemps. Avec elles, place àl’imagination et à la fantaisie.

En jardin japonais : notre coup de cœur !


Nous adorons ce joli petit jardin japonais aux allures de sous-bois, réalisé avec des godets de fougères (asplénium et scolopendre) et des minicyclamens. Quelques boules de mousse et un galet photophore créent l’ambiance. Cette composition de cyclamen peut durer plus d’un mois si elle passe ses nuits dehors.

En tapis dans un sous-bois.


Deux espèces de cyclamens se naturalisent facilement dans les jardins, sous les arbres caducs : le cyclamen de Naples, C. hederifolium, à floraison automnale, et le cyclamen de Cos, ou C. coum, à floraison hivernale. Les petites fleurs de ce dernier s’épanouissent en février-mars, parfois depuis la mi-décembre. L’espèce est parfaitement rustique dans toute la France.

Comment réparer un tapis de rose napolitain?


Plantez les tubercules de cyclamen de Naples dès que vous les trouvez. Ils n’aiment pas attendre à l’air libre et ils risquent de se friper. Mis en place avant la fin juillet, ils fleuriront un peu cette année et formeront vite des taches fleuries l’automne d’après.
1-Le cyclamen de Naples forme ses racines sur la partie bombée du tubercule : repérez le sens pour ne pas le planter à l’envers !
Il faut placer la partie creuse vers le haut.
2-Creusez un simple trou profond de 15 cm, à la mi-ombre, même au pied d’un arbre : il n’est pas nécessaire de beaucoup décompacter la terre.
3- Placez le tubercule au fond et rebouchez, sans arroser. En sol pauvre ou à proximité d’un ogre (comme un marronnier ou un platane), comblez le trou de plantation avec de la terre mélangée à du terreau de plantation.

En plante d’intérieur.


Les jardineries vendent en ce moment d’adorables mini-cyclamens. Achetez-en plusieurs et groupez-les sur un plateau.
Le cache-pot doit être percé d’un trou, sinon, les plantes vont pourrir par les racines.
Une astuce pour doubler le temps de floraison : faites-leur passer la nuit sur le rebord de la fenêtre, tant qu’il ne gèle pas.

En potées mélangées ou simples.


Associez-les comme ci-dessus avec des heuchères, des chrysanthèmes vivaces à petites fleurs, des carex bronze, des gaulthérias, des bruyères d’hiver.


Ou bien faites-en, de généreuses potées : comptez alors au moins 10 godets de 8 cm dans un pot de 25 cm de diamètre.

Pour en savoir plus sur les cyclamens:
Découvrez comment entretenir les cyclamens.
Comment conserver les cyclamens en poComment semer les cyclamens


12/10/2018 - 11:45

 

 

 

 
11/10/2018 - 21:54

 

 

 

 



 
Merci
    

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 
08/10/2018 - 07:51
Un Jardin Qui Invite Au Voyage...
Par Hélène Thomas...


Dans la douceur humide du climat bordelais. L’exotisme règne sur ce vallon inspiré...Des jardins de graminées et d’horizons lointains. À admirer dans la lumière de l’automne...


Vue Générale Du Vallon Des Graminées.

De Gauche À Droite...
Des filipendules, le Miscanthus ‘Morning Light ‘ et l’Arundo donax.
Devant le frêne, rouge à l’automne, un massif sur gravier réalisé à partir d’un vieil orme déformé, flanqué de deux touffes de molinies. Le cerf-volant dragon, rouge, rapporté de Bali, évoque le jardin exotique.

Connu des jardiniers aquitains pour fréquenter et animer les fêtes des plantes et autres manifestations horticoles régionales, Jacques Lubet a toujours voué beaucoup de temps à son jardin et aux plantes.


Jacques et Babeth Lubet ont peaufiné le moindre détail au millimètre pour ce week-end.
Son terrain girondin, qu’il a façonné dans des conditions parfois difficiles, est le lieu d’expression d’une vocation artistique qu’il avait manifestée auparavant dans la céramique.
Sportif de haut niveau qui a gagné des marathons, il n’a jamais reculé devant les tâches physiques les plus ingrates pour arriver à ses fins.
Depuis trente ans, date de la construction de la maison sur un lot de terre à vigne, le jardinier progresse avec des expériences heureuses et des déboires, des rencontres et des voyages, beaucoup de rêves et autant de
concret.

Son parcours débouche sur l’actuel « Jardin du fond de l’or » ouvert à la visite depuis peu, et qui se révèle particulièrement éblouissant à l’automne.


Acer palmatum ‘Osakazuki’, l’un des plus beaux érables japonais, au feuillage vert au printemps, virant au rouge à l’automne.
Inspirations Lointaines.
La « fontaine de l’or », rebaptisée « fond de l’or » existe bel et bien : c’est la source garante de l’exubérance du jardin. Sur la pente nord du jardin, on peut voir l’eau affleurer et s’écouler en un mince filet.
Sans elle, les étés chauds d’Aquitaine auraient sans doute eu raison des gunnères, des miscanthus et de tous les feuillages exubérants qui créent l’ambiance.
Une ambiance inspirée par les nombreuses visites de jardins que Jacques a faites, de l’Angleterre à la Méditerranée, jusque dans des pays d’Asie ou d’Amérique du Sud.
Chaque hiver, il s’évade très loin avec son épouse Babeth, ce qui n’est pas sans effet sur les plantations et le choix des ornements.
Les sculptures sont en majorité des œuvres de leur fils Christophe, un autre voyageur qui, par son métier d’élagueur, récupère de belles piècesde bois pour ses créations.
Le nom du « fond de l’or » annonce bien les mystères de ce jardin qui se découvre en trois parties.
La plus ancienne, en haut du terrain, est un jardin à vivre aux abords de la maison, planté de roses et de haies mixtes qui laissent entrevoir la campagne.


Une tête sculptée par Christophe Lubet dans le bois d’un peuplier abattu chez le voisin.
J'aime le dépaysement et j'attends d'un jardin qu'il me surprenne.
Échecs & Succès« Nous avons la chance d’avoir eu le dernier lot en bordure d’un champ qui n’a pas été bâti », se réjouit Babeth depuis sa terrasse. Une plus grande chance encore est de pouvoir exploiter le relief de la butte qui ne faisait pourtant envie à personne en raison des difficultés à l’aménager.
Les plantations dans la terre lourde de la pente se sont soldées par beaucoup d’échecs, surtout à cause du calcaire très actif à cet endroit.
Nyssa, Cornus controversa et tant d’autres merveilles découvertes en Angleterre dans les années quatre-vingt n’ont pas survécu.Heureusement, un Parrotia persica a réussi et couronne majestueusement la pente, ombrageant les hostas, primevères, rodgersias et autres plantes de fraîcheur.

 
Le canna bien adapté au climat bordelais, surtout en zone humide.
Ses feuilles sont aussi belles que les fleurs...Surtout chez les variétés panachées comme ‘Tropicana...
Le Nouveau Vallon.
Une dernière partie a été créée il y a 5 ans au bas du talus, suite au rachat d’une parcelle humide, « le palud ». Des talus la protègent des inondations de la Dordogne qu’on devine dans la plaine.
De fait, cette parcelle s’est révélée très fertile. « Tout a poussé très vite ; même le chêne vert, réputé de pousse lente, a pris près de 4 m depuis sa plantation », constate Jacques.
En plus, c’est un sol à limons avec peu de calcaire, ce qui devrait permettre de cultiver des érables du Japon et des tulipiers. Ce « fond d’or » est illuminé par une soixantaine d’espèces et variétés de graminées, mélangées à des feuillages de cannas, bananiers, colocasias, dahlias et arbustes flamboyants.
Les miscanthus retombant en fontaine et autres herbes folles font de longs rubans soyeux autour des érables,liquidambars et autres essences colorées en automne.
Pour Jacques, ce jardin acquis à l’aube de la retraite est celui de la maturité...Le jardinier a compris qu’il ne servait à rien de contredire la nature,les plantes choisies sont adaptées au lieu, bien paillées avec un mulchet s’épanouissent avec un minimum de contrôle.


 Le Spectacle Des Graminées.
Deux touffes de miscanthus, immenses en fin d’été. À gauche, M. floridulus, le plus grand de tous (jusqu’à 2,40 m), plus grand encore lorsqu’il vit les pieds dans l’eau. À droite, M. sinensis ‘Malepartus’ (jusqu’à
2 m de haut environ) garni de
ses plumeaux en train de sécher. Ces derniers sont d’abord rouges en été, puis argentés à l’automne, avant de virer au doré de novembre à février.

Un décor garanti même au cœur de l’hiver. À tailler au début du mois de mars.

                 Les Secrets De Jacques.
Magiques gunnères. Jacques a planté deux Gunnera manicata (Brésil) et deux G. tinctoria (Chili), de comportement semblable. Elles se plaisent dans ce vallon ombragé : pas de gel en dessous de – 10 °C, et de l’eau de source presque à volonté. En automne, les feuilles sèches sont rabattues sur la souche pour la protéger.
Quand les feuilles ressortent de terre en avril-mai, elles poussent à vue d’œil jusqu’à 2-3 m de haut et de large. Attention, elles sont très irritantes pour la peau !


 
 Un escalier en rondins. La pente, raide et glissante du fait de l’humidité sur la glaise, a dû être équipée de marches sur toute 
la hauteur. Plutôt qu’un escalier ordinaire et linéaire,
 ce sont des petits rondins blottis dans la verdure qui guident les pas. Ils ont été réalisés avec des coupes 
de cèdre, un bois dur et imputrescible.
Les rondins 
de 40 à 50 cm de haut et de diamètre sont calés dans 
la pente.
Chacun est recouvert de grillage à poules pour éviter toute glissade.

La rampe, dessinée sur mesure, a été réalisée en bois exotique par un ami ébéniste, et peinte avec une laque rouge, comme au Japon.


Un beau figuier. À la délicieuse ‘Ronde de Bordeaux’ unifère (une seule récolte en fin d’été), Jacques a préféré la variété ‘Goutte d’Or’ à fruits vert doré, rustique (-15 °C) et donnant deux récoltes (gros fruits en juin, petits fruits sucrés en août).
La vraie raison de son choix : le port de l’arbre. Il est petit (2-3 m) et bien équilibré avec un feuillage très découpé et très esthétique.
Les RepèresLieu : à 25 km au nord de Bordeaux, en limite
 du vignoble fronsadais.

Climat : forte influence océanique : doux et humide, avec des pointes de froidaccidentelles (– 20 °C en 1985). Gelées épisodiques à - 8 °C, périodes chaudes et sèches en été.
La présence de l’eau sur le terrain crée un microclimat favorable.
Sol : argilo-calcaire, avec des zones de calcaire très actif ; en fond, limons plus neutres et fertiles.

Exposition : la pente est orientée vers l’ouest.
Entretien : suivi régulier toute l’année, y compris en hiver pour les tailles (excepté pendant les voyages au long cours).
En saison, interventions ponctuelles. Au printemps, aide extérieure pour le désherbage.

Ce commentaire a été modifié le 13/10/2018 à 08:53