Fleurs , Fruits , Légumes , Jardins ,Déco......

Par Victoria il y a 7 années 6 mois
13/07/2018 - 14:27
 

 
 
 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 


 
 

 

 

 

 

 

 
Ce commentaire a été modifié le 13/07/2018 à 14:43
13/07/2018 - 13:29
09/07/2018 - 16:26
Quel beauté encore pour nos yeux merci
09/07/2018 - 16:18
Merci pour ces jolies photos Bonne soirée
09/07/2018 - 15:04


 
09/07/2018 - 12:02

 

 

 

 



 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 






 
Ce commentaire a été modifié le 09/07/2018 à 12:06
07/07/2018 - 12:43
Iris : comment les choisir, les planter, les diviser.

Par Emmanuelle Saporta

Des couleurs vives ou subtiles, des parfums envoûtants, une floraison printanière ou estivale selon les variétés…
Parmi centaines de variétés d’iris disponibles vous trouverez certainement des fleurs à votre goût. Suivez aussi nos conseils pour les choisir, les planter et les diviser.



Prince Eugène (M – 85 cm)
Une des variétés préférées de Cayeux . Pétales blancs, sépales à centre blanc beige et très large bordure framboise vif, barbes corail. Hampe à 4 branches, 9 boutons. Longue floraison. 20 €.

Leader européen en matière de création de variétés d’iris, les établissements Cayeux ont introduit 150 nouveaux iris dans leur collection entre 2000 et 2015. Au total, ils proposent une collection de plus de 650 variétés d’iris destinés aux jardiniers amateurs.
Notre sélection de variétésLes périodes de floraisons : chaque variété est présentée avec une lettre qui correspond à sa période de floraison. Cela peut varier selon la région et le climat.
H = hâtif (10-15 mai)
M = mi-saison (vers 20 -25 mai)
T = tardive (début juin)


Poivre Rouge (M – 85 cm).
Pétales jaune clair plus soutenu sur les bords, sépales jaunes à fines stries brun rouge autour des barbes or et finement sablés de petits points rouges vers le bas des dits sépales. Beau branchement et longue
floraison. 14 € pièce.


Moscova (M. 80 cm). Très grosses fleurs ondulées d’un bleu moyen pur, sans trace de violet. Barbes jaune pâle discrètes.
Hampes parfois un peu trappues. 14 € pièce.



Ma Véronique (M – 80 cm). Pétales blanc crème amplement infusés de jaune citron, sépales  blanc crème aux bords teintés de citron pâle, barbes jaunes au cœur, blanches vers leur extrémité. Forme parfaite, petites ondulations rapprochées sur tout le pourtour des fleurs très nombreuses (10 à 12 en moyenne). 20 € pièce.
Ses points forts : sa floribondité, la forme des fleurs, sa teinte douce.

Chapiteau (M – 90 cm).
Un très beau violet uni et vif, fortement ondulé avec des barbes jaune d’or (très légère éclaircie autour des barbes). Très beaux en bouquets, longue floraison. 13 € pièce.


Air d’été (T– 80 cm de haut). Fleurs orange, de taille modérée, compacte et proportionnées à la plante ; Barbes mandarine et 7 boutons en moyenne. 13,50 € pièce.

Pour passer commande.
Les commandes peuvent être passées sur le site des Iris Cayeux entre le 15 janvier et le 15 décembre. Les iris sont expédiés en racines nues de fin juin à fin octobre.
Visite des champs lors des floraisons.
Ouverture aux visites dès le 13 avril pour une durée de 7 à 8 semaines. Visite gratuite tous les jours, y compris les week-end et jours fériés. Les Ets Cayeux sont situés à quelques kilomètres au sud de Gien. Il s'agit de la plus grande culture d’iris de jardin en Europe sur 20 hectares avec 1200 variétés cultivées. Rendez-vous à
Poilly-lez-Gien dans le Loiret.
Quand planter les iris ?
A réception des iris, plantez-les en plein soleil, idéalement en été (de juillet à octobre), dans un sol perméable.

Comment diviser les iris ?

Arrachez toute la touffe à la fourche-bêche en progressant petit à petit. N'essayez pas de soulever de gros amas: vous pourriez blesser les rhizomes et vous faire mal au dos. Retirez tous les rhizomes, même les chétifs. (PHOTO 2)
Sélectionnez les plus beaux éventails : des feuilles saines et nombreuses, une portion de rhizome renflé et en bonne santé, des racines charnues. Retirez les parties de rhizomes flétries, coupez les feuilles en pointe (retirez-en la moitié) et raccourcissez les racines de moitié. (PHOTO 1)
Replantez-les à leur nouvel emplacement, sur une terre propre. Placez 3 à 5 iris en cercle, l'éventail placé vers l'extérieur, dans une petite cuvette. Tassez la terre contre la base du rhizome pour le faire tenir, mais ne l'enterrez pas complétement (sauf si votre terre est sableuse). (PHOTO 3)Arrosez légèrement.





Ce commentaire a été modifié le 07/07/2018 à 16:44
06/07/2018 - 19:45
Un jardin breton d’agapanthes et d’hortensias bleus
Par Hélène Thomas
           Détente jardin.
Un jardin les pieds dans l’eau est une situation si exceptionnelle que Chantal et Olivier n’ont pas hésité longtemps pour signer l’acquisition. Visite de ce jardin breton en belle harmonie avec sa région et son environnement.



Avec une vue sur mer à plus de 180°, ce jardin vit au gré des marées et se nourrit de nature bretonne dans ses rocailles, ses ondulations « karikomi » et ses vagues de fleurs bleues.
Ici tout est bleu, blanc et gris, comme la mer qui joue sans relâche avec le soleil, le vent et la pluie. "La maison était peu ouverte sur la mer, sans doute pour se protéger des vents. Nous avons fait des transformations de façon à réorienter les pièces vers le jardin, et nous avons créé des ouvertures aussi larges que possible pour profiter de la vue", explique Olivier. "En bord de mer, le vent est fort et dessèche tout, ce qui me prive de mes érables préférés, mais c'est bien le seul problème!" comment Chantal. "Je suis même étonnée de constater la vitesse de croissance des plantes en l'absence de gel : tout pousse de façon extraordinaire."



Sous la maison, un talus descend vers la mer en 4 paliers retenus par des murets en pierres sèches.



Chantal et Olivier ont réalisé leur rêve de bord de mer.
Harmonie des couleurs«Certes, le sol n’est pas riche, mais il donne des hortensias bleus comme je n’en ai jamais eu.» jubile Chantal.  Elle en a planté des dizaines, tous de variétés différentes et tous vivent en harmonie dans un camaïeu de roses et de bleus. Elle a aussi installé des agapanthes, l’autre perle bleue des bords de mer, et tout un choix de vivaces de longue durée : verveines de Buenos Aires, échinacées, bruyères... Ces dernières se font remarquer en hiver par leurs feuillages et leurs floraisons colorés : « Elles font partie de la lande bretonne, comme les ajoncs, les graminées ou les mousses. » Pour fleurir ses rocailles et ses massifs, notre jardinière aime puiser dansla réserve naturelle de plantes locales : érodium, érigeron, armérie maritime...



Les Echinacea sont solides et de longue durée.
Ici, on ne bouscule pas la nature, les plantes poussent toutes seules comme sur la lande.
Ondulations.
Toutes ces plantes de terre pauvre se développent sans aucun apport de nourriture sur une légère couche de terre, voire sur le sable, à
l’instar des filaires, des fusains et des oléarias. Ces trois arbustes de bord de mer parfaitement résistants aux embruns ont été choisis pour créer un « karikomi ». Ce type de composition paysagère empruntée aux Japonais se présente comme un parterre d’arbustes, bien individualisés et taillés en boules de façon à créer un moutonnement de verdure. Bien que très travaillé, il a un
aspect naturel.


Ce grand plateau enchaîne des vagues de graminées.
 Le « karikomi » a été pensé comme la lande naturelle, avec des herbes
et des buissons qui restent bas sous l’effet du vent et des embruns.

Chantal a aménagé sa rocaille sur une terrasse caillouteuse avec plus de sable que de terre. Elle y a planté des bruyères en rappeldes landes voisines, des thyms et d’autres petits couvre-sols.

Devant les pins qui font rempart contre le vent et les regards, la haie variée est colorée en été par les hortensias, en harmonie avec les agapanthes au bord de la terrasse. Les némésies, blanches ou roses, tiennent 
très longtemps, elles se ressèment et
donnent des fleurs presque toute l’année. Chantal les rabat de temps en temps pour les maintenir en boules.

Tailles régulières.
Chantal, qui avait acquis dans un précédent jardin une bonne maîtrise des tailles, classique et à la japonaise, s’en donne à cœur joie dans
sa grande coulée d’arbustes déjà matures dans leur quatrième année. « Avec un peu d’expérience, on sent comment sculpter ce type de jardin ; ce n’est pas un travail difficile, mais il faut s’y tenir au moins une fois par mois tant que les plantes poussent. Pour moi, c’est plutôt tousles 15 jours », ajoute-t-elle.

Les créations de Chantal.

Taille de virtuose.
Les arbustes du « karikomi » ont
 été plantés serrés avec quelques espaces pour faciliter l’accès à l’intérieur du massif et permettre ainsi de créer des vagues ondulantes.
Chantal a appris la technique de la taille à la japonaise dans son précédent jardin et se laisse ici guider par son ressenti. Elle revient
souvent sur l’ouvrage et utilise pratiquement toujours une cisaille
 à main pour mieux contrôler son geste et ne pas hacher les
feuillages.


Potager surélevé.
Les légumes et les fleurs du potager sont cultivés dans des banquettes, arrondie en demi-cercle pour l’une, rectangulaire pour l’autre. Elles
 sont montées à même le sol, à partir de piquets en bois traité en autoclave. Outre son côté esthétique, cette organisation permet un meilleur contrôle de la terre qui peut être enrichie entre deux cultures ou changée si besoin. Chantal
peut travailler et faire ses récoltes sans risquer un tour de reins.

Les repères
Lieu : Bretagne sud, dans la rade de Lorient.
Sol : granitique, drainant et acide. Sur la partie basse du terrain, très érodée, la terre peut être rare. Par endroit, 
il n’y a plus que la roche et du sable.
Entretien:L’activité se concentre sur le désherbage et sur l’élimination des semis et autres pousses en excès (milieu très poussant) ; la taille est un autre poste important ainsi que l’élimination à répétition des aiguilles de pin, des glands et 
des branches mortes. 
La tonte doit être effectuée une fois par semaine, un peu moins par temps sec.

06/07/2018 - 09:24
Jardin:10 gestes à faire avant de partir en vacances.

Par Pierre-Yves Nédelec (texte et photos)


Retrouvez vos plantes en bonne santé à votre retour de vacances grâce à quelques conseils simples et efficaces.

• Confiez votre bonsaï

C’est plus simple et moins risqué que de le transporter en voiture. Votre fleuriste ou un ami à la main verte saura en prendre soin en vaporisant de l’eau sur le feuillage une fois par jour et en immergeant le pot dansune bassine d’eau deux à trois fois par semaine.

• Ombrez les jardinières

Les fleurs à l’étroit dans une jardinière grillent vite au soleil. Si vous partez plus d’un mois, mieux vaut couper de moitié les plantes avant de les installer dans un coin ombragé. Vous pourrez aussi les protéger en déroulant une toile d’ombrage sur le balcon.

• Enterrez les pots

Si vous avez un bout de jardin orienté nord ou est, n’hésitez pas à enterrer les pots. Les plantes profiteront ainsi de l’humidité du sol grâce à la porosité de la terre cuite.


Pour retrouver un jardin fleuri, coupez les roses épanouies et même celles en bouton, taillez de moitié le phlox, le penstemon, le gaura, le géranium vivace et l’achillée. 

 • Chassez les mauvaises herbes

Rien n’est plus décourageant que de retrouver, après un mois d’absence, sa plate-bande fleurie totalement envahie par les mauvaises herbes. Pour éviter cela, arrachez toutes celles qui risquent de grainer, puis recouvrez le sol d’un épais paillage.

• Donnez les clés du potager.
Après l’avoir arrosé, paillé le sol, et vérifié la solidité des tuteurs des tomates et des dahlias, demandez à un voisin de récolter les
légumes une fois par semaine. En contrepartie, il acceptera volontiers de faire quelques arrosages. 

• Sortez votre orchidée.
Un bon bol d’air lui fera le plus grand bien. L’idéal est de la suspendre sous un arbre à l’aide d’un petit crochet afin qu’elle profite
de l’ombre et des pluies d’orage. Au sol, choisissez un coin bien abrité du vent et posez-la sur une soucoupe remplie de billes d’argile expansée.

• Regroupez vos plantes vertes.
Déménagez vos plantes d’intérieur à bonne distance des fenêtres situées plein sud. Pensez à tirer un voilage pour tamiser la lumière. Sivous le pouvez, installez-les dans la pièce la plus fraîche de la maison. Remplissez au maximum les pots à réserve d’eau.

 • Taillez les arbustes défleuris.
À votre retour, il sera trop tard! Raison de plus pour jouer du sécateur avec les rosiers non remontants, le deutzia, le seringat et la
plupart des spirées. S’il vous reste du temps, effectuez une taille d’entretien de vos haies, qui prennent vite de la hauteur.

• Mettez la pelouse au repos.
Ce n’est pas en rasant la pelouse à la dernière minute qu’elle poussera moins vite. Les deux dernières tontes avant le départ se feront donc avec le niveau de coupe en position haute.

• A faire à votre retour.
- Remettez les potées en place avant d’arroser.
- Coupez le gazon pour faire place nette.
- Retirez les fleurs fanées et les légumes abîmés.
- Désherbez à la main les massifs de fleurs.
- Taillez les haies à feuillage persistant.
Ce commentaire a été modifié le 06/07/2018 à 09:27
06/07/2018 - 07:47
Prunier : les planter, les cultiver, les tailler.

Par Pascal Gabre - Intégration Céline Costantini
source : Détente Jardin

Les pruniers sont à classer dans la famille des prunus qui regroupe elle-même plus de 200 espèces d’arbres, bien souvent fruitiers. Où et comment planter un prunier ? Comment tailler les branches ? Suivez les conseils de Détente Jardin et découvrez les secrets d’un entretien réussi.



Les pruniers sont si chargés de fruits certaines années que les branches cassent net sous le poids !
Les différentes catégories de pruniers.
On classe les pruniers en plusieurs catégories :
La reine-claude, issue de Prunus domestica subsp. italica, produit des fruits de belle taille jaunes à verts. Sa saveur est
subtile. Nous vous conseillons ‘Reine Claude Dorée’aux fruits très juteux et sucrés. Et ‘Reine Claude de Bavay’ assez ferme, parfumée, trèssucrée.
La mirabelle est issue de Prunus domestica subsp. syriaca. Il existe deux groupes : la mirabelle de Metz et de Nancy. Celle-ci,
jaune d’or avec des nuances de rouge, est plus grosse que celle de Metz.
La questche est issue de Prunus domestica subsp. insititia. La quetsche d’Alsace est une des meilleures variétés. Elle est adaptée au climat bien marqué en hiver.
La prune d’Ente, dont on fait les pruneaux, est issue de Prunus domestica subsp domestica.La culture du prunier en 3 pointsLe prunier en racines nues est généralement disponible auprès des pépiniéristes et vépécistes d'octobre à mi-avril. Vous pouvez le planterdès réception. Si vous n'avez pas le temps de le faire rapidement, placez-le en jauge quelques jours. Mais ne tardez pas trop.

Un choix adapté à vos conditions : Mirabelliers et quetschiers apprécient un climat marqué, chaud en été et froid en hiver. C’est pour cela qu’ils se développent bien dans le nord-est de laFrance. Les reines-claudes préfèrent un climat moins marqué. Vous les
cultiverez mieux dans le sud-ouest.
Une situation protégée :
La plupart des arbres fruitiers fructifient mieux en situation abritée. Choisissez de préférence un
emplacement à l’abri des vents froids du printemps qui pourraient altérer la floraison et donc la fructification.
Un porte-greffe adapté :
On l’oublie souvent, mais dans le cas des arbres fruitiers, l’une des clés de la réussite est le choix du porte-greffe. Il doit être parfaitement adapté au développement voulu (faible, moyen, grand) et au substrat. N’hésitez pas à demander conseil à votre pépiniériste en fonction de votre situation et de vos besoins
.Quatre variétés de pruniers.


1- Mirabelle de Nancy 2- 'Reine Claude Violette'



1-Quetsche d'Alsace          2-Prune d'Ente

Une année dans la vie de vos pruniers;
Janvier-février : procédez à une taille d’entretien de vos pruniers. Coupez les branches abîmées ou celles qui se croisent afin de garder une forme harmonieuse. Vérifez bien qu’aucun gourmand ne part du pied.
Mars-avril : vos pruniers sont en fleurs. Profitez du spectacle. Dans le nord et l’est de la France, soyez vigilant aux périodes de gel.
Juillet-août : récoltez vos prunes au fur et à mesure de leur maturité. Une légère pression vous permet de vérifier qu’elles sont mûres.
À partir de novembre : débarrassez l’arbre de toutes les prunes momifiées, attaquées par la moniliose.

Comment tailler un prunier.


En hiver, Il faut procéder à une taille d’entretien des pruniers, pour nettoyer la ramure des branches mortes, malades ou mal placées. Les jeunes plants doivent avoir une taille de formation pour favoriser le développement des branches qui porteront des fruits. Si de grosses branches anormalement vigoureuses partent verticalement du milieu de l’arbre, supprimez-les.