VOYAGES

Par Victoria il y a 7 années 5 mois
21/09/2019 - 16:18
En CHINE En CHINE
14/09/2019 - 16:25
  RUSSIE  EN  RUSSIE , aussi...(beau parc)
      
05/09/2019 - 12:28
               Le toboggan du diable



 
 
Devil’s Slide, le toboggan du diable,
est une étrange formation rocheuse calcaire à l’est de Ogden dans l’Utah.


Cette formation a des rebords de 12 mètres de haut, séparés de 4.5 mètres sur quelques 245 mètres de long.

Ce qui en fait une belle piste de luge qui semble avoir été sculptée par des géants.

Devil’s Slide est également le nom de la ville fantôme à proximité sur la rivière Weber.
Ce commentaire a été modifié le 05/09/2019 à 12:29
29/08/2019 - 10:32
Merci beaucoup victoria
28/08/2019 - 18:58
                    Surplombant le canal de Nantes à Brest,

   




      le Château de Josselin,
demeure de la famille Rohan depuis plus de dix siècles, offre à ses visiteurs,
dans un contraste spectaculaire, de découvrir du côté de la rivière sa puissante architecture de forteresse médiévale et,
du côté de la cité, sa somptueuse façade tout en granit sculpté, joyau du gothique flamboyant et du début de la Renaissance,
édifiée au tout début du 16ème siècle.




L’histoire du Château de Josselin remonte au début du 11ème siècle.

En 1008, Guéthennoc, Vicomte de Porhoët, décide de s’installer sur ce haut promontoire rocheux dominant la vallée de l’Oust.
Son fils, Goscelinus, donne son nom à ce premier château et à la petite cité qui s’installe tout autour.

Après une période assez obscure, Josselin devient en 1370 la propriété d’Olivier de Clisson, un grand seigneur qui deviendra
Connétable de France en 1380.
Il édifie une véritable forteresse dotée d’un donjon très puissant et de neuf tours, dont quatre subsistent encore aujourd’hui.
A sa mort, en 1407, le Château est transmis à son gendre Alain VIII de Rohan.

Par la suite, l’arrière-petit-fils de Clisson,
Jean II de Rohan, fait construire au tout début du 16ème siècle un magnifique logis qu’il adosse aux tours et à la courtine bâtis par son arrière-grand-père.
A son retour des guerres d’Italie, très proche de la Cour du Roi Louis XI où séjournent des artistes italiens, il fait édifier la splendide façade que l’on peut admirer de la cour, témoignage exceptionnel du gothique flamboyant et de la Renaissance bretonne.

Lors des guerres de religion, au 17ème siècle,
Henri de Rohan, alors propriétaire de Josselin et Général en chef des protestants se révolte contre le pouvoir royal.
Pour le punir, le Cardinal de Richelieu, en mars 1629,
fait démolir une partie de la forteresse, mais le logis Renaissance est épargné.

A la mort d’Henri de Rohan en 1638, le Château devient la propriété de sa fille unique Marguerite et de son gendre Henri Chabot qui sera fait Duc de Rohan.

Durant la Révolution, le Château réquisitionné par la municipalité.
En 1799, le Château est rendu à la famille Rohan, dans un état très dégradé.

Il restera à l’abandon jusque vers 1850.

Vers 1855, 
initiée par Josselin de Rohan et poursuivie par son fils Alain commence la grade restauration du Château,
avec l’aide de l’architecte Juliot de la Morandière puis de l’architecte Henri Lafargue.
La famille souhaite faire du Château une demeure confortable et agréable à habiter.
De nombreux amis et membres de la famille viennent y séjourner chaque année jusqu’en 1914.





Aujourd’hui,
le Château est toujours habité et entretenu par la famille Rohan,
qui s’implique beaucoup dans sa préservation et dans l’animation de ce site, largement ouvert au public.

Classé monument Historique depuis 1928, le Château bénéficie d’aides de l’Etat, du Département du Morbihan et
de la Région de Bretagne pour la réalisation des travaux importants.

Josselin, 14ème Duc de Rohan et son épouse, Antoinette, sont actuellement propriétaires-gestionnaires du Château de Josselin et
veillent à l’entretien et la valorisation de ce patrimoine exceptionnel et le partagent tout au long de l’année avec des milliers de visiteurs.



LE JARDIN À LA FRANÇAISE   :
Devant la somptueuse façade renaissance s’étend un jardin à la française créé au début du 20ème siècle pat le célèbre paysagiste
Achille Duchêne.
Des buis et des ifs rigoureusement taillés encadrent de vastes pelouses, à l’ombre d’arbres centenaires.
Dans les douves, deux lions en pierre provenant d’Italie, veillent sur la sérénité de ce jardin.

 

En contrebas,
la roseraie, avec ses 160 rosiers appartenant à 40 variétés différentes et ses nombreuse plantes vivaces, est l’œuvre du
célèbre paysagiste Louis Benech.

En suivant l’allée central, on atteint enfin le parc à l’anglaise, au pied des remparts, dans un vallon très abrité.

Comme le jardin à la française il a été aménagé vers 1910 par Achille Duchêne.
Des arbres rares, une collection de cornus et aussi, des plantations d’hortensias et de nombreux rhododendrons ornent ce parc protégé par d’imposants arbres centenaires.
Des bancs, ainsi qu’un espace pique-nique, permettent de prolonger dans la détente la visite de domaine privilégié.




Poupées et jouets

Il y a plus de 30 ans,
 Antoinette de Rohan découvre dans le grenier du château la collection de poupées commencée à la fin du 19ème siècle par Herminie de Rohan, l’arrière-grand-mère de son époux, Josselin de Rohan.

Il lui faudra plusieurs années pour inventorier et compléter cette collection, recherchant les origines, les particularités, les histoires
de toutes ces poupées.

Enfin, en 1984, Antoinette de Rohan ouvre le Musée avec des centaines de poupées, la plus ancienne datant du 17ème siècle.

Peu à peu, grâce à la générosité de très nombreux donateurs, la collection familiale s’enrichit de nouvelles poupées, de jouets et de
jeux, ce qui permettra, à partir de 1988, la présentation d’expositions temporaires consacrées chaque année à un thème différent.

Le Musée a vu arriver depuis sa création de nombreux jouets offerts par de généreux donateurs, ce qui lui permet de présenter aujourd’hui des expositions très variées.
 
La collection Rohan compte actuellement au total près de 5000 pièces,
- en particulier une large collection de poupées en costume breton,
- un ensemble exceptionnel de poupées du Japon,  
- ainsi que de nombreux jouets,
- jeux de société,
- maisons de poupées,
- dinettes,
- animaux,
- trains,
-  avions…

Cette collection est considérée aujourd’hui comme la plus importante collection privée de poupées et de jouets de France.




Cette année, le Musée fête le 60ème anniversaire de la poupée Barbie, véritable star lancée en 1959 aux Etats-Unis par la célèbre maison Mattel.
        Barbie n’est pas qu’une icône de la mode.



A la fin des années 50, elle témoigne d’un véritable changement de société, avec l’influence croissante des adolescents et l’arrivée de nombreuses femmes dans le monde du travail.
C’est une jeune femme très active, elle fait du sport, elle commence à exercer des métiers jusque-là réservés aux hommes.
On le voit dans le Musée, Barbie deviendra pilote de ligne, pompier, astronaute, pilote de course, médecin, vétérinaire …
Mais elle reste toujours élégante et aime à suivre la mode.
C’est pourquoi Barbie est très présente dans le Musée, au sein de l’exposition « Vive les vacances» en compagnie de nombreux jouets et jeux évoquant les loisirs et les voyages.

Autre phare du Musée cette année, l’exposition sur les poupées japonaises,
avec un ensemble exceptionnel disposé autour d’un autel de cérémonie traditionnel.
Les panneaux d’information qui accompagnent cette présentation permettent de mieux découvrir
ce témoignage inédit des belles traditions, mais aussi du goût pour la modernité qui caractérisent le Japon.

Au premier étage, on peut toujours admirer la splendide collection d’Herminie de Rohan, aïeule des propriétaires actuels, depuis la poupée emblématique du 17ème siècle jusqu’aux nombreuses poupées à tête de porcelaine présentes à Josselin depuis le 19ème siècle ou offertes plus récemment par de généreux donateurs.

Sans oublier, au premier étage,
deux autres anniversaires,
-  avec Tintin qui souffle ses 90 bougies
-  et Mickey qui fête ses 91 ans !
Une visite riche en découvertes qui enchantera petits et grands.

(contact@chateaudejosselin.com
02 97 22 36 45)
27/08/2019 - 16:50
Coucou Victoria, et merci pour ces photos et explications sur Carentan. 
27/08/2019 - 16:08


Dans la baie du Cotentin, venez découvrir Carentan

En sillonnant vous aurez le loisir d’admirer un patrimoine
classé aux Monuments Historiques : - - une église édifiée au XIe siècle ainsi que le grand orgue Notre-Dame.

Vous pourrez aussi découvrir les arcades médiévales,

des peintures du XVII et XVIIIe siècle,

des hôtels d’une grande beauté architecturale,

l’incontournableport de Carentan et

bien d’autres merveilles…


la nature est reine !
Pénétrez au coeur du parc des marais de Carentan,
et observez un paysage de bocages traditionnels.
Des somptueux panoramas et points de vue.



Des somptueux parcs et jardins datant parfois du 18e siècle, admirez certaines plantes rares et exotiques.


Découvrez des sites naturels d’exception:

- la baie des Veys,
bernache nonnette

- les réserves ornithologiques

Laissez-vous porter au grès des flots, le temps d’une promenade fluviale.

Partez à la rencontre du phoque veau-marin, tentez d’observer de nombreux oiseaux :
phoque veau-marin

- la bernache cravant,

le pluvier argenté ,

le martin-pêcheur ,

le héron garde-boeuf,….

Pluvier argenté

BERNACHE CRAVANT
La Baie du Cotentin fait partie du Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.


En hiver, les marais offrent des paysages improbables où l’eau semble rejoindre le ciel.

C’est la saison de la « blanchie ».


En effet, dès octobre,
l’abondance des pluies hivernales fait déborder les rivières ;

le territoire devient alors un immense plan d’eau, véritable miroir où se reflète la lumière.

C’est un phénomène naturel et profitable puisque le lit des rivières se répand sur les champs pour les fertiliser.

Au printemps, ils deviennent des pâturages riches pour les chevaux et les vaches.

Parc naturel des marais de Cotentin et du Bessin
Avec 150 communes, 30 000 hectares de prairies humides et 5 vallées principales
(la Douve, la Sèves, la Taute, la Vire etl’Aure),
le territoire du Parc naturel des marais de Cotentin et du Bessin est vaste.

Marais, bocage, littoral et landes sont les ingrédients de ce Parc formé par deux régions naturelles de Normandie.

Au carrefour des départements de la Manche et du Calvados, entre terre et
mer, s’étend l’une des zones humides les plus secrètes de France :
les marais du Cotentin et du Bessin.
Cette fascinante Camargue normande est sillonnée par une multitude de rivières, canaux et fossés.


Né il y a 8 000 ans et aménagé au XVIIIe siècle, il vit au double rythme des saisons et des marées.
Les portes à flots ont été conçues pour empêcher l’eau de mer de pénétrer dans les terres.
Actionnées par la seule force des eaux, elles se referment à chaque marée montante et s’ouvrent à marée basse
pour que l’eau douce des rivières, accumulée en amont, puisse s’évacuer.


L’eau et les oiseaux
Le Parc des Marais du Cotentin est reconnue internationalement comme terre d’accueil pour les oiseaux d’eau en escale ou en hivernage.

La réserve naturelle de Beauguillot offre deux observatoires pour admirer ces nombreux oiseaux de races variées, à deux pas de la plage d’Utah Beach.
 De bon matin, souvent la brume s’invite,les ombres, les gouttelettes d’eau, les mini habitants du marais s’éveillent et apportent un coté féérique à ce paysage.
Le soleil se lève et c’est l’éblouissement : les reflets del’eau de cette lumière soudaine, la douce tranquillité…
Lorsqu’on est sur un pont, on distingue à peine le lit de la rivière où le courant est le plus fort…

Le « lac » devant vous s’étire à des kilomètres.
HÉRONS
N’hésitez pas à revenir à ce même endroit au printemps ou en été, vous verrez des prairies bien vertes à perte de vue…

27/08/2019 - 12:24
Grand merci Victoria.   et coucou Mimit et Violetta.
27/08/2019 - 12:16
Belles photos et intéressant.
Merci Victoria
27/08/2019 - 02:15
Le Rocky Mountaineer

    


invite à la découverte des forêts de l’Ouest  canadien, entre la Colombie-Britannique et l’Alberta.

Alberta

Entre Vancouver et Calgary, on s’échappe au cœur du paradis perdu des Amérindiens.
Des paysages sauvages d’une telle beauté que les voyageurs en deviennent muets.

Par Claire Fleury
 
Les fans de Lucky Luke le savent bien,
au Far West, les trains ne menaient pas toujours quelque part.
Pourtant quel lecteur de BD n’a pas rêvé de les emprunter, pour croiser les Dalton, un croque-mort ou Calamity Jane ?
Là où le « cheval fumant » s’arrêtait, des villes poussaient, avec hôtel, prison, saloon…
   


  Les ROCHEUSES 
À quelle période partir dans les Rocheuses canadiennes ?
La meilleurs période en terme de météo serait de juin à octobre,
les températures sont plus clémentes et les risques de pluie plus faible.
Nous avons adoré découvrir les paysages à l’automne avec les magnifiques couleurs jaunes des mélèzes.
Elles sublimaient les paysages de nos randonnées.
Mais si vous ne craignez pas le froid, l’hiver doit également être magique

.
   


l'Ouest Canadien  :
Lac Peyto (renommé Lac Pitou par l’Homme !) dont la forme rappelle celle de la tête d’un chien.
C’est Bill Peyto –feu-rangers excentrique– qui a donné son nom au lac.



Colombie Britanique 

Vancouver 

Vancouver :
Pour entamer la découverte de Vancouver et s’imprégner de l’ambiance qui y règne, rien ne vaut un petit tour dans le centre-ville (downtown).
C’est ici que vous pourrez admirer les gratte-ciels et vous retrouvez au cœur de l’effervescence de la ville.
   -  2 quartiers :

  --  Gastown, le quartier historique de Vancouver
pour voir certains des plus beaux édifices victoriens de la ville.
Vous pourrez faire un arrêt photo devant la « Steam Clock », une horloge à vapeur sifflant tous les ¼ d’heure.
Le quartier est très sympa avec de nombreux cafés et restaurants en terrasse.
  « Steam Clock »

  --    Yaletown, le quartier branché et cool.

Ancien quartier d’entrepôts, ils ont été rénovés pour accueillir pleins de petites boutiques et de nombreux restaurants parmi les meilleurs de Vancouver. La vie nocturne y est très développée, l’endroit idéal pour faire la fête à Vancouver.

             Le parc Stanley    
Chaque grande ville à son poumon vert :
A Vancouver, c’est au parc Stanley que vous pourrez vous promener
et profiter de la verdure.
Ce parc immense de 400 hectares est un incontournable de la ville pour faire une belle balade au bord de l’eau.
Il offre de beaux panoramas sur toute la ville et la côte.

---------des totems amérindiens à Brockton Point
---------- Siwash Rock

-------- la scultpure « Girl In Wetsuit »

--------- admirer le Lions Gate Bridge

Totems
Siwash Rock
"Girl in a Wetsuit"

 

L’aquarium de Vancouver
C’est également à l’intérieur du parc Stanley que vous pourrez visiter l’aquarium de Vancouver.
C’est le plus grand aquarium du Canada avec ses 70 000 animaux dont des dauphins, des loutres ou encore des pingouins. Vous pourrez y retrouver la faune spécifique de la côte Ouest et de l’Océan Pacifique.


Granville Island
On continue ce séjour à Vancouver avec Granville Island.
Le principal lieu d‘intérêt de Granville est son immense marché couvert. Vous pourrez y trouver pleins de produits frais (fruits, légumes, fromages) et locaux à des prix abordables.
Il s’y trouve également un grand food-court proposant des plats de toutes les cuisines du monde. Indien, mexicain,
américain, chinois, tout le monde y trouvera son compte;  ensuite les déguster à l’extérieur, au bord de l’eau.
Ill y a pleins de micro-brasseries à Granville.
Granville c’est aussi le lieu idéal pour chiner dans les boutiques vintage et partir à la recherche de créations originales et uniques faites par les artisans locaux.


Canada Place
Canada Place est un endroit vraiment sympa de Vancouver pour se promener le long du Waterfront.
Ce monument national présente une architecture unique avec ses 5 voiles blanches évoquant un bateau.
Le Canadian Trail est divisé par sections représentant les provinces et les territoires canadiens. Vous pourrez admirer la vue sur Stanley Park et sur les montagnes.

    Etc....

   

CALGARY  :


 
the Bow
est l’un des plus haut gratte-ciel du Canada (58 étages). Il a été réalisé en forme de demie lune afin de réduire sa
résistance au vent.
Sa forme peu commune favorise également l’entrée de la lumière naturelle à l’intérieur.
À son pied, une sculpture de 12 mètres en forme de visage nommée « Wonderland », réalisée par l’artiste espagnol Jaume Plensa, sublime le bâtiment

. 

 

Le Peace Bridge : pont rouge piétonnier et cyclable
Calgary est surnommée « cowtown » soit la « ville des vaches » pour son passé très lié aux fermiers.

Avec ses fameux événements comme :
- le Stampede (en juillet),
- le YYComedy Festival ou encore
- le Calgary International Film Festival
(tous les deux en septembre / octobre),
--  Calgary est une place culturelle très riche dans l’Ouest américain.
Beaucoup de personnes pensent même qu’elle est
la capitale de l’Alberta au détriment d’Edmonton.


C’est l’une des villes les plus ensoleillées du Canada avec ses 2 405 heures de soleil par an,
Fish Creek Park est le plus large parc urbain de l’Ouest canadien,
la rivière Bow est le 3ème meilleur spot au monde pour pêcher des truites,
la Calgary Tower est la plus grande tour d’observation de l’Ouest canadien, avec ses 191 mètres.  canadien.
le restaurant Pigeonhole a été nommé meilleur restaurant du Canada en 2015 par enRoute magazine,
le Stampede de Calgary est l’événement de rodéo le plus important d’Amérique du Nord.


Au Canada voisin, l’histoire est similaire, à une exception politique près.
Indépendant depuis 1867, le pays s’arrêtait aux Rocheuses.

                Les Etats-Unis lorgnaient sur ce territoire –
la Colombie-Britannique et le port de Vancouver – qui les rapprochait de l’Alaska, racheté à la Russie.


Le Canada, lui, s’engagea à construire une ligne de chemin de fer jusqu’au Pacifique si la province rejoignait sa confédération.
C’est chose acquise en 1871.

Le reste est plus compliqué.
Les scandales financiers, la neige, les bêtes sauvages, le froid extrême, la roche à tailler à la pioche ou à la dynamite…
Pour les ouvriers, le chantier est un cauchemar l’hiver et un calvaire l’été.
Le résultat semble modeste, la ligne n’a qu’une seule voie, le parcours est parfois si dangereux que les passagers doivent descendre du train !

Mais qu’importe, en 1885, le Canadian Pacific Railway (CP Rail) relie pour la première fois les océans Atlantique et Pacifique
au-delà du 49e parallèle nord.

Cette ligne existe toujours, elle a même été doublée par la compagnie Rail Canada National Railway (CN Rail) au début du XXe siècle.
Ce commentaire a été modifié le 27/08/2019 à 02:17