Ce pont à couper le souffle au Vietnam vient juste d’ouvrir et il semble sorti tout droit du Seigneur des anneaux
Baptisé Golden Bridge, le pont se trouve à 1 400 mètres d’altitude au-dessus des Ba Na Hills, au Vietnam, offrant une vue spectaculaire sur la campagne environnante.
La passerelle dorée est bordée de chrysanthèmes violets et s’étend sur près de 150 mètres.
Mais ce sont les mains sculptées qui lui donnent le réel effet « waouh ». Le pont a été conçu par l’entreprise TA Landscape Architecture, et bien que les mains semblent être taillées dans la pierre, elles ne le sont pas. «
Le Vietnam a connu un boom touristique alors que de plus en plus de gens découvrent la beauté de ce pays remarquable.
La structure fait partie d’un investissement de 2 milliards de dollars pour attirer encore plus de touristes que les 1,5 million de visiteurs que la région reçoit annuellement
Ce pont au Vietnam séduit les visiteurs avec son design élégant.
Le pont est flambant neuf et a été ouvert au public en juin.2018
Il semble être tenu en l’air par deux mains géantes.
La passerelle dorée est bordée de chrysanthèmes violets.
Nous avons conçu le squelette des mains et les avons recouvertes de mailles d’acier », a déclaré un représentant de l’entreprise.
« Nous les avons ensuite recouvertes de fibre de verre et avons ajouté la thématique sur ces dernières. La construction entière du pont a pris environ un an. »
Bassoues est une petite commune du sud-ouest de la France, située dans le département du Gers et de la région Occitanie.
Elle fait partie de la Communauté de communes "Coeur d'Astarac en Gascogne".
Les habitants et habitantes de la commune de Bassoues sont appelés les Bassouais et les Bassouaises.
Les 391 habitants du village de Bassoues vivent sur une superficie totale de 32 km2 avec une densité de 12 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 220 m.
Depuis le dernier recensement de 1999 à 2008, la population est passée de 376 à 391 et a légèrement augmenté de 4%.
Les villes voisines sont Mascaras, Scieurac-et-Flourès, Saint-Christaud, Castelnau-d'Anglès, Pouylebon.
La grande ville la plus proche de Bassoues est Auch et se trouve à 28 kilomètres à l' est à vol d'oiseau.
est un lieu-dit de la commune de Salazie situé dans les Hauts de l'île de la La Réunion au pied du Piton d'Anchaing.
Baptisé ainsi en 1841 en l'hommage de celui qui fut gouverneur de Bourbon au milieu du XIXe siècle, Anne Chrétien Louis de Hell, le village possède de nombreuses maisons de la seconde moitié du XIXe siècle, construites par de riches planteurs et des commerçants de la côte à proximité des Thermes disparues au début du XXe siècle.
Le label Plus beau village de France lui a été attribué, ses rues et son cimetière très fleuri entouré de bambous étant particulièrement pittoresques.
En 1832, c'est en chassant le cabri sauvage qu'Adrien Pignolet de Fresnes et Adam de Villiers découvrirent entre le plateau d'Hell-Bourg et l'Îlet à Vidot plus exactement au lieu-dit « Bémaho », des sources dont la valeur thérapeutique et médicale fut reconnue rapidement.
Les premiers curistes furent installés dans des paillotes.
Progressivement, un village se crée autour des sources thermales en 1842. Il deviendra district spécial de Salazie, dix ans après l’érection du « village » en commune (1899).
Malgré la volonté des habitants de voir Hell-Bourg devenir une commune à part entière, cette organisation administrative restera identique jusqu'à nos jours.
L'établissement thermal créé le 13 juillet 1852 connut une période d'apogée en 1875, malgré un débit horaire relativement limité (environ 1,1 litre par seconde) et une minéralisation faible.
Les classes aisées du littoral de l'île, attirées par les thermes d'Hell-Bourg, venaient également profiter de la fraîcheur du cirque de Salazie dans un mouvement appelé changement d'air.
Peu à peu, une vie mondaine s'organise : - on assiste successivement à la construction et la location de villas (résidences secondaires), et à l’ouverture d'un casino.
Ce qui fait d'Hell-Bourg une station d'altitude à la mode qui prend une allure urbaine avec 150 cases créoles d'un style architectural raffiné.
Les cigognes de Cigoc Le village de Čigoč abrite la population de cigognes la plus importante d'Europe
En Posavina, le Parc Naturel de Lonjsko Polje se situe à 1h de route au sud de Zagreb.
S’étendant sur 506 km² sur la vallée de la Save, il constitue l’un des plus grands territoires de marais préservés d’Europe, théâtre de la biodiversité régionale, site naturel d’importance internationale (Ramsar).
Romantiques, paisibles et silencieux, les vastes marais couverts de nénuphars et bordés de forêts de chênes séculaires sont dotés d’un charme unique.
Réputé pour sa richesse ornithologique.
En raison de conditions naturelles extrêmement favorables,
les cigognes font leurs nids sur chaque maison ou grange.
D’ailleurs le village de Čigoč abrite la population la plus importante d’Europe : - on y compte plus de cigognes que d’habitants!
Précisément, cent vingt personnes pour quelque deux cents volatiles, aussi comment ne pas parler de l’harmonie qui règne entre les hommes et les oiseaux sur ce territoire...
L’autre particularité du Parc Naturel de Lonjsko Polje est la présence d’un fabuleux patrimoine architecturale vernaculaire en bois: - la « Stara Hiža ».
Le long des méandres de la Save, les maisons traditionnelles de villages comme Krapje ou Lonja, dont certaines ont plus de deux siècles, sont construites en disposant horizontalement des planches de chêne maintenues par des chevilles en bois (aucun clous), elles représentent un sommet dans l’architecture rurale populaire en Croatie.
En raison du risque d’inondation, les maisons étaient autrefois élevées sur des colonnes en bois ou en pierre qui ont ensuite été remplacées par des fondations en briques.
Les tuiles ont pris la place des toitures originelles de paille, de joncs, de chaume ou de petites planches au début du 20ème siècle.
L’aspect vernaculaire de ces maisons est encore accentué par l’escalier extérieur couvert, les petits toits protecteurs, les encadrements de fenêtres, les poutres apparentes non équarris ainsi que les barrières et les colonnes richement sculptées.
Ces maisons en bois ne tournent la plupart du temps vers la route, que leurs façades étroites, tandis que dans leurs cours se trouvent les bâtiments de la propriété avec leurs fonctions propres : - étables, granges, remises, hangars, porcheries, silos à maïs, poulaillers, etc...
Car le Parc Naturel de Lonjsko Polje n’est en aucun cas un espace inhabité et vide de sens.
Une population rurale auxtraditions vivantesy demeure : - la Posavina était jadis, aux avants postes de la civilisation croate face aux visées hégémoniques des Turcs (bataille de Sisak en 1593 qui brisa l’avancée ottomane). Par sa présence, elle contribue tous les jours à façonner le paysage culturel du Parc : - agriculture, pêche, artisanat, élevages de races porcines et chevalines éponymes.
D’ailleurs, symbole de liberté, il n’est de spectacle plus fastueux que de regarder au crépuscule les chevaux de Posavinadivaguer par centaines sur les plaines grasses et lourdes du Lonjsko Polje...
Dans la poussière impalpable comme de la farine qui recouvre tout, dans le tintement de leurs marteaux sur le calcaire qui sonne comme du métal, ils s'entraînent inlassablement.
Venus de Brac, mais aussi de la côte et des pays avoisinants, certains de ces Dalmates immenses ressemblent, malgré leur salopette, aux Titans de la mythologie qui frappaient sans relâche le métal rougi dans les entrailles de la terre.
Ils s'appliquent d'abord à faire des surfaces planes, puis des coins, et plus tard à reproduire des formes élaborées, fûts et chapiteaux de colonne, rosaces de cathédrale et lions assis, mais toujours avec les outils traditionnels.
Pierres omniprésentes sur ces montagnes et collines, que les femmes, au fil des siècles, ont ramassées et entassées, pour dégager un peu de sol.
La terre ici est pauvre et elles ont dû lutter pour gagner les mètres carrés.
De murets en empilements sagement ordonnés, elles ont créé l'espace pour planter la vigne et ont si bien réussi qu'il coûtait moins cher de se laver au vin qu'à l'eau !
La flore autour de la rivière Krka se compose de 860 espèces végétales. La faune du parc se compose entre autre de 20 espèces de poissons, 22 espèces de reptiles, 211 espèces d’oiseaux, 46 espèces de mammifères. Parmi les animaux présents dans le parc : - la truite fario, la loutre, l’aigle royal ou encore le protée surnommé ‘poisson humain’ qui vit dans les eaux souterraines du parc.
Les vestiges romains cohabitent avec les merveilles médiévales, en toute harmonie. Eglises, palais, statues, sont réellement enchanteurs. Le fleuron de cette cité est incontestablement le Palais de Dioclétien qui eut le privilège d'être inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco en 1979. Le fondateur de Split fut l'empereur romain Dioclétien (245-313).
Entre 295 et 305, il fit construire un immense palais pour finir sa vie dans le pays qui l'avait vu naître.
Pendant trois siècles, les seuls occupants de cet édifice furent des monarques romains.
Tout changea au VIIe siècle.
A cette époque, les invasions avares et slaves poussèrent les habitants de Salone, une colonie romaine voisine, à venir se réfugier dans le Palais de Dioclétien.
Dès lors, une véritable vie urbaine commença à se développer à l'intérieur et à l'extérieur de l'enceinte fortifiée.
Split était réellement née.
Après la chute de l'Empire romain d'Occident, Split tomba sous le joug de Byzance.
Cependant, elle bénéficia d'une relative indépendance du XIIe au XIVe siècle.
Cela lui permit de se développer et de connaître un essor économique sans précédent.
En 1420, Split fut conquise par Venise.
La ville connut un fort déclin.
De plus, elle fut menacée par les invasions turques.
C'est pourquoi d'imposants remparts furent construits au XVIIe siècle.
La domination vénitienne prit fin en 1797.
Presque immédiatement, l'empereur d'Autriche devint le souverain de la Dalmatie et par conséquent, de Split.
Hormis un intermède napoléonien (1809-1815), la ville dalmate resta "autrichienne" jusqu'en 1918.
A la fin de la Première guerre mondiale, Split devint yougoslave puis en 1991, croate.
Zadar, en Croatie, est la plus grande ville du nord de la Dalmatie. Cette cité au riche passé aurait pu rivaliser en beauté avec la fameuse Dubrovnik si elle n'avait pas subi des bombardements pendant la Seconde Guerre Mondiale... Elle a toutefois conservé une vieille ville pleine de charme où de nombreux témoignages du passé sont rassemblés sur une presqu'île
Dubrovnik ville Dubrovnik, ou Raguse, capitale du Comitat de Dubrovnik-Neretva.
Elle a pour devise : « La liberté ne se vend pas même pour tout l'or du monde ».
Située au sud de la côte dalmate, à proximité de la frontière avec la Bosnie-Herzégovine et le Monténégro, la ville-forte de Dubrovnik est un lieu touristique important de Croatie.
Le climat est marqué par des étés chauds et humides ainsi que par des hivers froids, mais tempérés par la proximité maritime.
Istrie Cette ancienne région qui s'étirait de la Grèce au nord de la Croatie, nommée Illyrie, est l'endroit où l'héroïne de La nuit des rois et son frère font naufrage. Bien que Shakespeare ne soit pas précis sur l'emplacement exact de l'histoire, il est aisé d'identifier l'Istrie, une région côtière qui produit les meilleurs vins, jambons, huiles d'olive et truffes du pays comme le berceau de cette comédie Istrie
Ce commentaire a été modifié le 21/12/2018 à 03:51
Voici Richard Desautels, un Québecquois, en visite dans notre village, sur les traces de son ancêtre!!!! Derrière ce panneau, coule la Sarthe,, le petit port d'où était parti, Pierre desautels, simple tailleur...... Coucou le Québec, belle province!!!! oh!oui. Et cousins très sympas!!!!
Merci Victoria de partager ces beaux spectacles lyonnais, difficile de faire un choix parmi tous ces sites et leurs splendides jeux de lumières . Si je ne vais pas à Bucarest je me contenterai d'un séjour de 2 jours à Lyon ( Présages et aussi la Fontaine et Fourvière ...tout en fait !
Ce pont
à couper le souffle au Vietnam vient juste d’ouvrir et il semble sorti tout droit du Seigneur des anneaux
Baptisé Golden Bridge,
le pont se trouve à 1 400 mètres d’altitude au-dessus des Ba Na Hills, au Vietnam,
offrant une vue spectaculaire sur la campagne environnante.
La passerelle dorée est bordée de chrysanthèmes violets et
s’étend sur près de 150 mètres.
Mais ce sont les mains sculptées qui lui donnent le réel effet « waouh ».
Le pont a été conçu par l’entreprise TA Landscape Architecture,
et bien que les mains semblent être taillées dans la pierre, elles ne le sont pas. «
Le Vietnam
a connu un boom touristique alors que de plus en plus de gens découvrent la beauté de ce pays remarquable.
La structure fait partie d’un investissement de 2 milliards de dollars
pour attirer encore plus de touristes que les 1,5 million de visiteurs que la région reçoit annuellement
Ce pont au Vietnam séduit les visiteurs avec son design élégant.
Le pont est flambant neuf et a été ouvert au public en juin.2018
Il semble être tenu en l’air par deux mains géantes.
La passerelle dorée est bordée de chrysanthèmes violets.
Nous avons conçu le squelette des mains et les avons recouvertes de mailles d’acier »,
a déclaré un représentant de l’entreprise.
« Nous les avons ensuite recouvertes de fibre de verre et avons ajouté la thématique sur ces dernières.
La construction entière du pont a pris environ un an. »
Avez-vous envie de visiter ce pont incroyable?
Bassoues :
Bassoues est une petite commune du sud-ouest de la France, située dans le département du Gers et de la région Occitanie.
Elle fait partie de la Communauté de communes "Coeur d'Astarac en Gascogne".
Les habitants et habitantes de la commune de Bassoues sont appelés les Bassouais et les Bassouaises.
Les 391 habitants du village de Bassoues vivent sur une superficie totale de 32 km2
avec une densité de 12 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 220 m.
Depuis le dernier recensement de 1999 à 2008, la population est passée de 376 à 391
et a légèrement augmenté de 4%.
Les villes voisines sont Mascaras, Scieurac-et-Flourès, Saint-Christaud, Castelnau-d'Anglès, Pouylebon.
La grande ville la plus proche de Bassoues est Auch et se trouve à 28 kilomètres à l' est à vol d'oiseau.
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Hell-Bourg
est un lieu-dit de la commune de Salazie situé dans les Hauts de l'île de la La Réunion au pied du Piton d'Anchaing.
Baptisé ainsi en 1841 en l'hommage de celui qui fut gouverneur de Bourbon au milieu du XIXe siècle,
Anne Chrétien Louis de Hell,
le village possède de nombreuses maisons de la seconde moitié du XIXe siècle,
construites par de riches planteurs et des commerçants de la côte à proximité des
Thermes disparues au début du XXe siècle.
Le label Plus beau village de France
lui a été attribué,
ses rues et son cimetière très fleuri entouré de bambous étant particulièrement pittoresques.
En 1832, c'est en chassant le cabri sauvage
qu'Adrien Pignolet de Fresnes et Adam de Villiers
découvrirent entre le plateau d'Hell-Bourg et l'Îlet à Vidot plus exactement au lieu-dit « Bémaho »,
des sources dont la valeur thérapeutique et médicale fut reconnue rapidement.
Les premiers curistes furent installés dans des paillotes.
Progressivement, un village se crée autour des sources thermales en 1842.
Il deviendra district spécial de Salazie, dix ans après l’érection du « village » en commune (1899).
Malgré la volonté des habitants de voir Hell-Bourg devenir une commune à part entière,
cette organisation administrative restera identique jusqu'à nos jours.
L'établissement thermal créé le 13 juillet 1852 connut une période d'apogée en 1875,
malgré un débit horaire relativement limité
(environ 1,1 litre par seconde)
et une minéralisation faible.
Les classes aisées du littoral de l'île, attirées par les thermes
d'Hell-Bourg, venaient également profiter de la fraîcheur du cirque de
Salazie dans un mouvement appelé changement d'air.
Peu à peu, une vie mondaine s'organise :
- on assiste successivement à la
construction et la location de villas (résidences secondaires),
et à l’ouverture d'un casino.
Ce qui fait d'Hell-Bourg une station d'altitude à la mode
qui prend une allure urbaine avec 150 cases créoles d'un style architectural raffiné.
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Le village de Čigoč abrite la population de cigognes la plus importante d'Europe
En Posavina, le Parc Naturel de Lonjsko Polje se situe à 1h de route au sud de Zagreb.
S’étendant sur 506 km² sur la vallée de la Save, il constitue l’un des plus
grands territoires de marais préservés d’Europe, théâtre de la
biodiversité régionale, site naturel d’importance internationale
(Ramsar).
Romantiques, paisibles et silencieux, les vastes marais couverts de nénuphars et bordés de forêts de chênes séculaires sont
dotés d’un charme unique.
Réputé pour sa richesse ornithologique.
En raison de conditions naturelles extrêmement favorables,
les cigognes font leurs nids sur chaque maison ou grange.
D’ailleurs le village de Čigoč abrite la population la plus importante d’Europe :
- on y compte plus de cigognes que d’habitants!
Précisément, cent vingt personnes pour quelque deux cents volatiles, aussi comment
ne pas parler de l’harmonie qui règne entre les hommes et les oiseaux
sur ce territoire...
L’autre particularité du Parc Naturel de Lonjsko Polje est la présence d’un fabuleux patrimoine architecturale vernaculaire en bois:
- la « Stara Hiža ».
Le long des méandres de la Save,
les maisons traditionnelles de villages comme Krapje ou Lonja, dont certaines ont plus de deux siècles,
sont construites en disposant horizontalement des planches de chêne maintenues par des chevilles en bois (aucun clous), elles représentent un sommet dans l’architecture rurale populaire en Croatie.
En raison du risque d’inondation,
les maisons étaient autrefois élevées sur des colonnes en bois ou en pierre qui ont ensuite été remplacées par des fondations en briques.
Les tuiles ont pris la place des toitures originelles de paille, de joncs,
de chaume ou de petites planches au début du 20ème siècle.
L’aspect vernaculaire de ces maisons est encore accentué par l’escalier extérieur couvert,
les petits toits protecteurs, les encadrements de fenêtres, les poutres apparentes non équarris ainsi que les barrières et les colonnes richement sculptées.
Ces maisons en bois ne tournent la plupart du temps vers la route, que leurs façades étroites, tandis que dans leurs cours se trouvent les bâtiments de la propriété avec leurs fonctions propres :
- étables, granges, remises, hangars, porcheries, silos à maïs, poulaillers, etc...
Car le Parc Naturel de Lonjsko Polje n’est en aucun cas un espace inhabité et vide de sens.
Une population rurale auxtraditions vivantesy demeure :
- la Posavina était jadis, aux avants postes de la civilisation croate face aux visées hégémoniques des Turcs
(bataille de Sisak en 1593 qui brisa l’avancée ottomane).
Par sa présence, elle contribue tous les jours à façonner le paysage culturel du Parc :
- agriculture, pêche, artisanat, élevages de races porcines et chevalines éponymes.
D’ailleurs, symbole de liberté, il n’est de spectacle plus fastueux que de regarder au crépuscule les chevaux de Posavinadivaguer par centaines sur les plaines grasses et lourdes du Lonjsko Polje...
Sous le soleil de midi,
la carrière semble vibrer, aveuglante et magnifique.
Les engins colossaux découpent des blocs de la falaise immaculée.
Des blocs de cette pierre qui permit à Dioclétien de faire édifier à Split ce palais d'une blancheur éblouissante qui attire des milliers de visiteurs.
Des blocs qui
servirent également à la construction de la Maison Blanche
(à Washington).
Brac est l'île minérale par excellence :
- sur le port de Pucisca se trouve une école de tailleurs de pierre renommée.
Dans la poussière impalpable comme de la farine qui recouvre tout,
dans le tintement de leurs marteaux sur le calcaire qui sonne comme du métal, ils s'entraînent inlassablement.
Venus de Brac, mais aussi de la côte et des pays avoisinants,
certains de ces Dalmates immenses ressemblent, malgré leur salopette, aux Titans de la mythologie qui frappaient sans relâche le métal rougi dans les entrailles de la terre.
Ils s'appliquent d'abord à faire des surfaces planes, puis des coins, et plus tard à reproduire des formes élaborées, fûts et chapiteaux de colonne, rosaces de cathédrale et lions assis, mais toujours avec les outils
traditionnels.
Pierres omniprésentes sur ces montagnes et collines, que les femmes, au fil des siècles, ont ramassées et entassées, pour dégager un peu de sol.
La terre ici est pauvre et elles ont dû lutter pour gagner les mètres carrés.
De murets en empilements sagement ordonnés, elles ont créé l'espace pour planter la vigne et ont si bien réussi qu'il coûtait moins cher de se laver au vin qu'à l'eau !
Le parc se compose de chutes d’eau qui ont été créées par le calcaire de l’eau qui s’est déposé le long de la rivière Krka en formant des barrières de roche calcaire qu’on appelle le travertin.
La flore autour de la rivière Krka se compose de 860 espèces végétales.
La faune du parc se compose entre autre de 20 espèces de poissons, 22 espèces de reptiles, 211 espèces d’oiseaux, 46 espèces de mammifères.
Parmi les animaux présents dans le parc :
- la truite fario, la loutre, l’aigle royal ou encore le protée surnommé ‘poisson humain’ qui vit dans les eaux souterraines du parc.
Les vestiges romains cohabitent avec les merveilles médiévales, en toute harmonie.
Eglises, palais, statues, sont réellement enchanteurs.
Le fleuron de cette cité est incontestablement le Palais de Dioclétien qui eut le privilège d'être inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco en 1979.
Le fondateur de Split fut l'empereur romain Dioclétien (245-313).
Entre 295 et 305, il fit construire un immense palais pour finir sa vie dans le pays qui l'avait vu naître.
Pendant trois siècles, les seuls occupants de cet édifice furent des monarques romains.
Tout changea au VIIe siècle.
A cette époque, les invasions avares et slaves poussèrent les habitants de Salone, une colonie romaine voisine, à venir se réfugier dans le Palais de Dioclétien.
Dès lors, une véritable vie urbaine commença à se développer à l'intérieur et à l'extérieur de l'enceinte fortifiée.
Split était réellement née.
Après la chute de l'Empire romain d'Occident,
Split tomba sous le joug de Byzance.
Cependant, elle bénéficia d'une relative indépendance du XIIe au XIVe siècle.
Cela lui permit de se développer et de connaître un essor économique sans précédent.
En 1420, Split fut conquise par Venise.
La ville connut un fort déclin.
De plus, elle fut menacée par les invasions turques.
C'est pourquoi d'imposants remparts furent construits au XVIIe siècle.
La domination vénitienne prit fin en 1797.
Presque immédiatement, l'empereur d'Autriche devint le souverain de la Dalmatie et par conséquent, de Split.
Hormis un intermède napoléonien (1809-1815),
la ville dalmate resta "autrichienne" jusqu'en 1918.
A la fin de la Première guerre mondiale, Split devint yougoslave
puis en 1991, croate.
Zadar, en Croatie, est la plus grande ville du nord de la Dalmatie.
Cette cité au riche passé aurait pu rivaliser en beauté avec la fameuse Dubrovnik si elle n'avait pas subi des bombardements pendant la Seconde Guerre Mondiale...
Elle a
toutefois conservé une vieille ville pleine de charme où de nombreux
témoignages du passé sont rassemblés sur une presqu'île
Poreč ou Parenzo est une ville située en Istrie, en Croatie.
Cathédrale
Dubrovnik, ou Raguse, capitale du Comitat de Dubrovnik-Neretva.
Elle a pour devise :
« La liberté ne se vend pas même pour tout l'or du monde ».
Située au sud de la côte dalmate, à proximité de la frontière avec la Bosnie-Herzégovine et le Monténégro, la ville-forte de Dubrovnik est un lieu touristique important de Croatie.
Le climat est marqué par des étés chauds et humides ainsi que par des hivers froids, mais tempérés par la proximité maritime.
Oliviers | Paysage de Croatie, Ile de Krk : Oliviers dans la baie de Punat :
Istrie
Cette ancienne région qui s'étirait de la Grèce au nord de la Croatie, nommée
Illyrie, est l'endroit où l'héroïne de La nuit des rois et son frère
font naufrage.
Bien que Shakespeare ne soit pas précis sur l'emplacement
exact de l'histoire, il est aisé d'identifier l'Istrie, une région
côtière qui produit les meilleurs vins, jambons, huiles d'olive et truffes du pays comme le berceau de cette comédie
ah oui
magnifique.
merci madame
Si je ne vais pas à Bucarest je me contenterai d'un séjour de 2 jours à Lyon
LUMIÈRES de LYON du 06 décembre
Du 6 au 9 décembre, les internautes sont invités à voter pour le Trophée des Lumières France 3.
Le choix doit s'opérer parmi les dix sites
retenus à l'occasion de la Fête des Lumières qui se déroule pendant 4 jours à Lyon.
En savoir plus : clic sur toutes les phrases en bleu
POUR VOTER :https://france3-regions.francetvinfo.... ( voir d'autres vidéos plus bas sur la page en date du 06 décembre)
1 exemple de vidéo :
un autre des exemples :