Les actualités de la semaine.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 6 années 9 mois
PLACIDE DUPONT
01/05/2018 - 08:16
LANDAIS pour  une fois   encore  je  donne  raison  a  JAWAD     vous  faite  une   fixette sur MACRON
je vous  rappelle    que  le  1er mai    il y a  des   hausses   et des   baisses   ( MEME   QUAND  C EST PAS  MACRON  AUX  COMMANDES
landais40
01/05/2018 - 07:52
Ce qui change au 1er mai

● Les tarifs réglementés du gaz en hausse «Cette augmentation est de 0,1% pour ceux qui utilisent le gaz pour la cuisson, de 0,2% pour ceux qui ont un double usage cuisson et eau chaude
et de 0,4% pour les foyers qui se chauffent au gaz», détaille le régulateur dans un communiqué.

● Le contrôle technique va se durcir Le véhicule contrôlé qui écope d'une ou plusieurs défaillances se verra apposer une vignette sur le pare-brise signifiant l'obligation d'une
contre-visite. Le propriétaire aura alors vingt-quatre heures pour faire
réparer sa voiture, sous peine d'une amende de 135 euros - minorée à 90
euros si le paiement est immédiat.

Le"sAigneur de Macronie", néanmoins, selon des éléments de langages élaborés par ses organes de communication, continue d'affirmer que le pouvoir d'achat des Français va s'améliorer...
Il a raison concernant les contribuables...jadis assujetis à l'...ISF... C'est,...plus que jamais le président des riches, des...très riches...


28/04/2018 - 18:45
Nucléaire Iranien: L'accord Actuel «N'est Pas Suffisant», Dit Merkel
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« L'Europe et les États-Unis devraient être en harmonie sur ce sujet », a ajouté la chancelière allemande Angela Merkel lors d'une conférence de presse aux côtés du président Donald Trump, le 27 avril à Washington.

Photo EvanVucci, Associated Press
Jérôme Cartillier Agence France-Presse Washington

L'accord actuel sur le nucléaire iranien ne suffit pas à contenir les ambitions de Téhéran, a déclaré vendredi la chancelière allemande Angela Merkel lors d'une visite à Washington.
« Nous sommes d'avis que le JCPOA est une première étape qui a contribué à ralentir leurs activités sur cet aspect en particulier [...], mais nous pensons aussi, d'un point de vue allemand, que cela n'est pas suffisant pour s'assurer que les ambitions de l'Iran soient maîtrisées et contenues », a déclaré Mme Merkel en utilisant l'acronyme anglais de cet accord.
Aux termes de ce texte âprement négocié par l'Iran et les grandes puissances (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), Téhéran a accepté de geler son programme nucléaire jusqu'en 2025.
« L'Europe et les États-Unis devraient être en harmonie sur ce sujet », a ajouté la chancelière lors d'une conférence de presse aux côtés du président Donald Trump.
M. Trump, fervent opposant à l'accord signé en juillet 2015, doit annoncer le 12 mai s'il « déchire » l'accord.
Le président américain a fustigé vendredi les autorités iraniennes, qualifiant le régime à Téhéran de « meurtrier ».
« Le régime iranien alimente la violence, l'effusion de sang et le chaos dans tout le Moyen-Orient. Nous devons nous assurer que ce régime meurtrier ne s'approche même pas d'une arme nucléaire et que l'Iran mette fin à sa prolifération de missiles dangereux et à son soutien au terrorisme », a-t-il lancé.
« Peu importe où vous allez au Moyen-Orient, là où il y a un problème, l'Iran est là », a-t-il soutenu.
Mardi à Washington, le président français Emmanuel Macron avait proposé à son homologue américain de préserver l'accord d'origine sur le nucléaire iranien, qui deviendrait le premier des « quatre piliers » d'un « nouvel » accord.
Les autres « piliers » concerneraient l'après-2025, quand certaines clausesconcernant les activités nucléaires vont expirer, mais aussi les missiles balistiques très controversés de Téhéran et son rôle jugé « déstabilisateur » dans la région.


Angela Merkel & Donald Trump
Photo Kevin Lamarque, Reuters

Angela Merkel, «Une Femme Extraordinaire».
Donald Trump a loué vendredi les qualités d'Angela Merkel, « une femme extraordinaire », mais les deux dirigeants ont surtout pris acte de leurs points de désaccord, du nucléaire iranien aux tarifs douaniers.
Dans un contraste saisissant avec les embrassades et tapes dans le dos qui ont marqué la visite, en début de semaine, du président français Emmanuel Macron, le président américain et la chancelière allemande se sont cantonnés à un registre plus classique, plus distant aussi.
Sur le dossier brûlant des taxes sur les importations d'acier et d'aluminium, M. Trump est resté évasif, se déclarant simplement déterminé à travailler avec son hôte « pour réduire les obstacles aux exportations américaines et renforcer les liens économiques ».
Mais la chancelière allemande a clairement indiqué que les discussions avaient été difficiles. « Nous avons échangé sur négociations en cours et les positions des uns et des autres [...] La décision appartient au président », a-t-elle expliqué.
Après avoir promulgué des taxes de 25 % sur les importations d'acier et de 10 % sur celles d'aluminium , M. Trump a exempté l'Union européenne jusqu'au 1er mai mais aucune décision n'a été annoncée au-delà de cette date, faisant redouter une guerre commerciale si aucune solution n'est trouvée.
Larry Kudlow, son principal conseiller économique, a prévenu jeudi que ces exemptions ne seraient prolongées que si les États-Unis obtenaient des concessions, évoquant en particulier le secteur automobile.
M. Trump et Mme Merkel, dirigeants aux parcours profondément différents, se sontbrièvement serré la main dans le Bureau ovale. Et lors de leur conférence de presse commune, l'absence de complicité était palpable.
Lorsque le locataire Maison-Blanche a fait blague sur sa capacité à virer les gens incompétents au sein de ses ministères « au moins aussi vite qu'en Allemagne », la chancelière a haussé les sourcils.
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Publié Le 25 Avril 2018

À Quoi Sert L'amitié Entre Macron & Trump ?
Mardi, dans le Bureau ovale, le président américain s'écrie : «Nous avons une relation très spéciale.
D'ailleurs je vais lui enlever quelques pellicules. Vous en avez un peu».
Photo AFP
 Laurence Benhamou Agence France-Presse Washington

Trois jours d'une visite d'État, du faste et des embrassades: l'offensive de charme d'Emmanuel Macron pour tenter d'obtenir des concessions de Donald Trump a parfois semblé tourner à l'avantage de l'Américain, qui n'a rien lâché sur le fond mais a donné le ton sur la forme.

Souvent tactile avec ses hôtes, le président français s'est cette fois fait largement dépassé par les gestes d'affection enthousiastes - et parfoismême embarrassants - de son homologue.
Le Washington Post a publié en Une mercredi une photo de Donald Trump qui entraîne énergiquement son hôte en le
tenant par la main, rappelant un peu un père pressé avec son fils.

Diversement interprétée, la scène a souvent été jugée un peu humiliante pour le Français. Et l'analyse de ce «body langage» informe la capacité de la France à peser face aux États-Unis sur leurs nombreux sujets de désaccords, en tête l'accord nucléaire sur l'Iran.
L'effet visuel est exactement à l'inverse de mai 2017, quand le Français avait suscité le buzz - et pas mal d'admiration - pour sa poignée de main musclée avec l'Américain. Le président Macron en avait alors clairement fait un instrument diplomatique.
«Pas De Petites Concessions»
«Il faut montrer qu'on ne fera pas de petites concessions, même symboliques, mais ne rien surmédiatiser non plus», avait-il lancé.
Mardi, juste avant de poser devant les photographes dans le Bureau ovale, le président américain s'écrie: «Nous avons une relation très spéciale. D'ailleurs je vais lui enlever quelques pellicules. Vous en avez un peu». Et d'épousseter de l'index la veste du Français surpris, qui finitpar rire.
L'image Est Passée En Boucle Sur Les Télés...
«Durant ce voyage, Trump devient le mâle dominant et Macron se laisse dominer», tranche un éditorialiste du Washington Post.
Pour le New York Times et le Spiegel, le Français se sert de cette amitié d'une manière calculée pour obtenir des concessions, mais avec un succèsdouteux.
«Macron utilise cette relation pour se présenter comme le leader de l'Europe etrestaurer la place de la France à l'international (...) mais savoir si ces manifestations ont elles un impact sur Trump n'est pas clair», écrit le Spiegel.
Thomas Snegaroff, un expert français des États-Unis, ne semble pas non plus convaincu. «Depuis deux jours, on ne cesse de vanter le talent de Macronqui a pigé qu'il fallait flatter sans cesse Trump pour parvenir à ses fins. J'ai l'impression qu'on peut dire que l'inverse est vrai», écrit-il sur Twitter.
Même analyse du professeur Corentin Sellin, qui y voit une «condescendance croissante mais subtile de Trump envers le président Macron» et un «revers pour la main tendue» du Français.


Emmanuel Macron était devant le Congrès américain, mercredi.AP

Il note, sur Twitter, que nombre d'analystes américains font le parallèle avec la relation George W. Bush - Tony Blair et le pari du premier ministre britannique de «se singulariser auprès d'un dirigeant américain unilatéraliste honni en Europe pour se positionner comme meilleur allié et obtenir des concessions «uniques»».
Mais attention aux conclusions hâtives. «La seule mesure de la réussite du pari avec Trump sera sa décision le 12 mai sur l'Iran et son choix de déchirer ou non un accord obtenu de haute lutte par Barack Obama et ses alliés européens», ajoute-t-il.
Ton Plus Tranchant.
Devant le Congrès mercredi, le ton du président français est devenu plus tranchant, développant longuement ses thèmes favoris en lançant bon nombre de piques contre la politique de Donald Trump, son isolationnisme, son scepticisme sur le changement climatique et sa posture guerrière en matière de commerce.
C'est ainsi qu'il a fustigé sans prendre de gants la tentation de «l'isolationnisme et du nationalisme»et appelé lesÉtats-Unis à aider à«préserver et réinventer le multilatéralisme», devant une assemblée dominée par des républicains, dont bon nombre partagent les idées de M. Trump dans ce domaine.
Les démocrates eux ont souvent applaudi à tout rompre, les passages sur la défense de l'environnement et de la science.
En attendant de connaître le sort de l'accord iranien le 12 mai, les humoristes américains ont choisi de rire des démonstrations d'affection entre les deux hommes.
Le Daily Show, sur Comedy Central, animé par Trevor Noah, a résumé cette «visite d'État» d'un petit court métrage noir et blanc intitulé «L'Affaire des Mains», musique romantique à l'appui, mettant bout-à-bouttous les contacts entre les deux hommes.
PLACIDE DUPONT
28/04/2018 - 18:32
ILS FETENT    QUOI   D A PRES   VOUS  
deux   solutions
1ERE   LA VICTOIRE   DE    L OM   ou
2EME  LA NAISSANCE  DU ROYAL BABY