De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
18/03/2016 - 11:17
SCIAGE DES TRONCS D'ARBRE.

DANS LE BON VIEUX TEMPS, ÇA SE PASSAIT DE MÊME !
 

 
Avant que les scies à chaînes furent inventées, l'industrie du billot aux
États-Unis et au Canada était une occupation qui posait de sérieux défis
à  ses travailleurs sur les chantiers et nous ne parlons que d'il y a
environ 125 ans.

Au Nord-Ouest, sur la côte du Pacifique il y avait des forêts remplies
d'arbres géants et la coupe de ces arbres se faisait à la main.

Le travail exigeait de très forts hommes (et chevaux aussi), travaillant de longues journées pour peu d'argent.
Pouvez-vous vous imaginer de faire ce travail pour gagner votre vie ?
 

 

 
Après qu'un arbre ait finalement tombé, ça prenait une semaine ou plus pour
le couper en sections qu'on pouvait (d'une façon ou d'une autre) déplacer
et transporter par train jusqu'à une usine qui en faisait des madriers
et des planches.

Manoeuvrer ces immenses billots et les faire descendre d'une montagne jusqu'à la
voie ferrée était un travail complexe (et hasardeux).

Je n'ai fait aucune recherche sur ce sujet particulier mais je serais
curieux de savoir combien d'hommes ont perdu la vie en faisant ce
travail dangereux. Un glissement et voilà un billot gros comme un hôtel
qui dévale vers vous.

Une autre question c'est comment ils arrivaient à embarquer ces immenses billots
sur une plateforme de train.

 


 
Des billots dont on avait creusé l'intérieur devinrent les bureaux mobiles
de la compagnie (dont on ne mentionne pas le nom ici).

Pouvez-vous vous imaginer de construire une maison à étages avec ces billots et
avoir à les empiler les uns sur les autres? Deux étages (des plus gros
billots) produiraient un toit de 9 mètres de haut.

Je me demande combien de temps ça prenait pour creuser de tels billots pour en faire une habitation.
Longtemps avant que quelqu'un ait imaginé les maisons mobiles ou les motorisés,
des immenses billots creusés étaient aussi utilisés pour loger les
équipes de travailleurs qui coupaient les arbres.

 


 
Nous sommes habitués à notre confort moderne comme l'électricité et les
scies à chaînes fonctionnant à la gazoline et ça nous fait un peu frémir
de réaliser que des gens autrefois devaient faire des tâches
monumentales avec leurs mains sans toutes nos machines modernes et
l'aisance que nous avons de nos jours.

Souvenez-vous de la photo ci-haut qui montre un immense tronc d'arbre évidé et
transformé en caravane roulante.
 

 
18/03/2016 - 09:10
Raw food, comment cuisiner cru ?
La raw food ou crudivorisme est une cuisine sans cuisson, vivante et
source de santé. En Californie, elle est même devenue un mode de vie
pour certains. En France, on commence tout juste à s'y intéresser. En
voici les codes ainsi que quatre recettes initiatiques pour s'y plonger.











Raw, quèsaco ? Ce mot anglais se traduit d'abord par cru.
Mais son sens second dévoile ensuite les termes brut, sauvage, intégral.
Par ricochet, la raw food se résume donc à une alimentation composée
d'ingrédients peu transformés, peu raffinés, bios et, surtout, crus.
Mais pourquoi vouloir à tout prix supprimer les cuissons, se passer du
fumet fumant d'un bon plat en sauce ? Pourquoi serait-il si nuisible de
manger chaud ? En fait, la cuisson s'apparente à une arme de destruction
massive pour les vitamines et, surtout, les enzymes. Présents dans les
fruits et les légumes, ces derniers seraient indispensables à notre
digestion, mais très sensibles à la chaleur. Passé 47,8 °C (118 °F), ils
sont détruits. Du coup, notre système digestif en général et le
pancréas en particulier doivent redoubler d'efforts pour faire le job à
leur place. Avec comme conséquence d'affaiblir l'organisme et
d'occasionner de probables maladies.
Par ailleurs, la cuisson détruirait les propriétés anti- cancérigènes de certains aliments.
C'est pourquoi les adeptes de la raw food n'hésitent pas à la qualifier carrément d'alimentation anti-cancer.
 
BIO ET BON
 
Une idée qui est née dans les années 50, lorsque l'édifiante histoire d'Ann Wigmore se répand aux Etats-Unis.
Elle affirme alors avoir guéri de deux cancers grâce à une alimentation entièrement crue, notamment à
base de jus d'herbes. Sa conviction la pousse même à ouvrir
l'Hippocrates Health Institute (histoire de partager son expérience et
son savoir), qui devient bientôt une référence. Vingt ans plus tôt, le
chercheur Paul Kouchakoff avait émis l'hypothèse que les aliments cuits
étaient reconnus comme des corps étrangers par l'organisme,
contrairement aux crus, accueillis sans problème. Aujourd'hui, des «
enzyme therapy centers » s'implantent aux Etats-Unis pour tester la
capacité digestive des patients et révéler leurs dysfonctionnements
avant que n'apparaissent les maladies. Quant aux stars américaines,
comme Georgia May Jagger, Channing Tatum et Demi Moore, elles ont fini
par rendre la raw food populaire en l'adoptant pour leur propre compte.
 
Entre-temps, ce régime a conquis le Canada, l'Australie, l'Allemagne et même des chefs de réputation internationale,
au sein du collectif Cook it raw, créé en 2009.
Parmi lesquels René Redzépi (le Noma, à Copenhague, élu meilleur restaurant du monde),
Pascal Barbot (L'Astrance, à Paris, 3 étoiles Michelin) et Inaki Aizpitarte (le Chateaubriand, à Paris),
tous à l'avant-garde de la cuisine et enthousiastes à l'idée de travailler de nouvelles saveurs, de dévoiler
de nouvelles textures. En France, la mode détox a semé le terreau sur lequel la raw food pousse aujourd'hui tout
doucement. Des livres, blogs, restaurants et cours de cuisine s'implantent dans notre paysage gustatif.
Génial, pensez-vous, voilà un cuisine zéro effort qui ne réclame que de croquer des fruits surtout
pas défendus et ne requiert aucune casserole. Reste que, dans la
pratique, le crudivorisme, tel qu'il est prôné par les purs et durs,
demande du temps et de la bonne volonté. Essentiellement végétalien, ce
régime ne comporte ni oeufs, ni viandes, ni poissons, ni laitages, mais
toutes sortes de légumes (sauf la pomme de terre) et fruits crus,
toujours bios, des fruits séchés, oléagineux et graines, huiles de
première pression à froid. Pour éviter les carences (vitamines B12 et D,
calcium), il est complété par des légumineuses et des céréales germées,
légumes lactofermentés et algues.
 
DES VITAMINES !
 
Chaque été, nous faisons tous du crudivorisme sans le savoir, en préparant nos crudités ou nos salades de fruits.
A ce titre, de nombreuses recettes ne présentent aucune difficulté. Mais quand il
s'agit de prolonger ce régime toute l'année, il faut ruser. Comment
attendrir des légumes un peu coriaces ? En les éminçant à la mandoline
et en les laissant mariner dans un mélange d'huile, de sel et de jus
citron pendant 2 heures, voire une nuit. Comment retrouver le craquant
d'une pâte à tarte ou d'un biscuit ? En vous équipant d'un déshydrateur
qui concentre les arômes et rend les préparations croustillantes
(comptez au moins 12 heures). Comment rendre crémeuse une carotte ? A
l'aide d'un blender surpuissant (genre Vitamix, franchement onéreux). Si
les solutions ne manquent pas, elles compliquent la vie et changent
fondamentalement nos habitudes en cuisine. Mais elles nous poussent à
sortir des sentiers battus et découvrir qu'une courgette ou du chou vert
sont aussi délicieux crus que cuits. S'il est peu réaliste de
transformer totalement son régime alimentaire, au risque de se couper de
ses amis et de sa famille, il est indéniable que la raw food procure de
vrais avantages (préservation des enzymes et des vitamines,
consommation élevée d'antioxydants et de fibres) dont il serait dommage
de ne pas profiter. Inscrire des aliments crus le plus souvent possible à
son menu, voilà la bonne idée.
 
Les bons sites
www.happycrulture.com Camila Prioli organise des ateliers de formation-dégustation.
www.linstantcru.com Marie-Sophie L., que nous avions quittée comédienne, s'est découvert
une passion pour le cru qu'elle démontre au
travers de recettes en vidéo. www.veganbio.typepad.com Le blog de
référence voué à l'alimentation vivante. www.crudivorisme.com Une
quantité de recettes sur ce site canadien entièrement consacré à
l'alimentation crue.

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Les barres "raw food", des concentrés
de bienfaits !
Le 12 mars 2016 à 11h09 - par Émilie Nodiga

À base de fruits et de graines souvent bio, les barres "raw food" dont
raffolent les foodistas healthy sont préparées sans ajout de sucre ni
température élevée, tout en renfermant les bienfaits des fruits à l'état brut.

© iStock
Qu'est-ce que la «raw food » ? La « cuisine crue » est une nouvelle tendance alimentaire venue des États-Unis.
Les produits phares sont les fruits et légumes, et le principe repose sur
une préparation sans cuisson élevée (42 °C max) pour préserver les bons
nutriments, comme les vitamines, les enzymes et les acides gras
essentiels qui ne supportent pas les hautes températures. Toutefois, il
ne s'agit pas de manger des végétaux tels quels. Germination,
fermentation, déshydratation à basse température et broyage sont autant
d'éléments qui permettent de transformer les produits sans les détériorer.
Qu'y a-t-il dans ces barres ? Toutes contiennent une même base : de la pâte de dattes.
On retrouve presque toujours en deuxième ingrédient un fruit oléagineux : noix de
cajou, amande, sésame, noix de pécan, noix du Brésil...
Ensuite, chaque marque propose différentes saveurs en privilégiant les « super-fruits »,
c'est-à-dire ceux qui présentent une teneur particulièrement élevée en vitamines et antioxydants :
açaï , myrtille, cacao, baie de goji , poudre de baobab, mulberry... il y en a pour tous les goûts !
À noter, certaines recettes sont enrichies en protéines végétales (soja, riz, pois...).
Quels sont leurs atouts nutritionnels ?
« Contrairement aux barres de céréales, elles sont 100 % naturelles et ne contiennent pas d'additifs ni de sucre ajouté,
note la diététicienne Estelle Peyen. Les fruits secs apportent des protéines végétales, de "bonnes" graisses,
des minéraux variés (magnésium anticrampes, calcium et phosphore pour les os, potassium alcalinisant...) et
un index glycémique bas
. »
Sans gluten , sans lactose et sans produit d'origine animale, ces barres conviennent au plus grand nombre :
« Celles qui sont enrichies en protéines sont parfaites pour les personnes végétariennes ! »
À quoi faut-il faire attention sur l'étiquette ? Leurs bienfaits ne doivent pas faire oublier leur apport énergétique
assez élevé : de 350 à 450 kcal/100 g. Regardez la taille des barres qui, elle aussi, varie (30 à 50 g selon les marques) et
faites le calcul. « Il ne faut pas en grignoter n'importe quand ! Elles sont intéressantes après ou avant un entraînement », rappelle notre expert. L'apport en protéines est aussi variable : de 5 g pour les moins bien pourvues à 20 g pour celles qui sont enrichies !
« Après un effort intense, celles qui apportent 10 g de protéines par barre sont parfaites. Les protéines de soja et de chanvre présententtous les acides aminés indispensables, sinon l'association pois et riz les apportent aussi. »
Pour aller plus loin
Les meilleurs supers-aliments
L'ŒIL DU PRO Estelle Peyen, diététicienne et nutritionniste du sport
(Visvictus. com) Quand et combien ? • Elles sont intéressantes 1 h avant
le sport ou après, en collation. Dans ce dernier cas, privilégiez les
plus riches en protéines.
• Vous pouvez aussi en consommer toutes les 2 ou 3 h lors d'un effort de longue durée.
Cette fois, préférez les plus riches en glucides.
• Elles peuvent occasionnellement remplacer un petit déjeuner quand on manque de temps,
accompagnées d'une boisson chaude.
18/03/2016 - 08:09
COULEURS DELICATES ET PASTELS DU MAROC

par Claudia CORRENT photographe italienne
 
de magnifiques photos qui explorent la relation entre les habitants et leur vaste environnement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


18/03/2016 - 07:57
Les plus belles photos d’enfance noir et blanc de 2015
Voici parmi les plus belles photos d’enfance noir et blanc de 2015, des images primées lors du concours B&W Child.
Quelques 5000 clichés ont été soumis aux jury par des photographes du monde
entier, des clichés refletant ce moment charnière de l’existence.
Le concours s’est déroulé en deux demi-concours coupant l’année en deux et
a récompensé les meilleures images dans les catégories suivantes:
1. Portrait
2. Fine Art
3. Lifestyle
4. Conceptual & Photo Manipulation
5. Documentary & Street
6. Silhouette
 

 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
18/03/2016 - 06:57
GARDEZ BIEN LE TRUC POUR CET ETE


Et si on vous disait qu'il existe un moyen tout simple de se débarrasser
naturellement des mouches et des moustiques, sans produits chimiques et
surtout sans se ruiner ?

Voici une astuce peu connue, qui marche à  tous les coups et en l'espace de quelques minutes seulement !

Avec la chaleur et l'humidité, les mouches nous envahissent et les
moustiques nous attaquent par nuées, nous infligeant de douloureuses
piqures. Mais on ne va pas se laisser faire : un citron, une quinzaine
de clous de girofle et une petite coupelle suffisent à  mettre fin à 
tous vos tourments !


Comment Faire :

1. Prenez un citron vert, coupez-le en 2. (ça marche aussi avec une orange...)
2. Plantez-y quelques clous de girofle, et placez le tout au centre de la maison.
Et c'est tout ! L'odeur de ces deux plantes combinées (agrume et clou de
girofle) est un répulsif naturel, incroyablement efficace contre les
petits insectes ailés !

Placez un demi-citron dans chaque pièce, et vous n'aurez plus aucun souci.
Si la pulpe devient un peu marron-brun, c'est normal : c'est justement que ça marche.

Il faut juste penser à  remplacer les citrons au bout de 2 à  3 semaines.
Pour le coup, cela sent plutôt bon, par contre les mouches et les moustiques
n'apprécient pas du tout. En fait, ils détestent tellement cette odeur
qu'ils quittent instantanément les lieux.

Voilà  qui devrait vous permettre de retrouver des nuits tranquilles !
 A garder en archive afin de mettre en application  pour la saison 2016.

 
 
17/03/2016 - 16:48
Pour La Saint-Patrick, Cinq Choses...À...Savoir Sur La Fête Nationale Irlandaise...  

Le HuffPost  / Par Sandra Lorenzo
 

 
Irlande - Avant d'aller lever le coude et danser sur un enivrant air de musique
irlandaise, faisons le point. Vous vous en doutiez certainement, la
Saint-Patrick n'a pas été créée par les brasseurs pour nous faire boire
une quantité faramineuse de bière, ni par les producteurs de trèfles ou
les marchands de tissus verts pour qui le 17 mars représente, à n'en pas
douter, un jour important.


En fait, la Saint-Patrick est née sur le sol américain. Saint Patrick
lui-même n'était pas irlandais mais écossais et à l'origine la couleur
de ce jour n'est pas le vert émeraude mais... le bleu! Bref, avant
d'avoir tout faux et de ne plus avoir les idées très claires, voici 5
idées reçues sur la Saint Patrick :
Saint-Patrick N'était Pas Irlandais
 

GettyStock
 
Saint Patrick serait né en 393 à Kilpatrick, en Écosse. À l'âge de 16 ans, il fut capturé par des Irlandais
et amené sur l'île où il fut réduit en esclavage. Après 6 ans où il pria intensément, il revint en Ecosse.

Dans un rêve, les Irlandais le supplièrent de revenir avec eux.
Pendant plusieurs années, Patrick alla se former en Gaule.
Quadragénaire, il revint en Irlande pour fonder des couvents et des monastères dans toute l'île.

 

  La Couleur De Saint-Patrick Est Le Bleu...
GettyStock

Comme l'explique le Time, plusieurs historiens s'accordent à dire que la couleur de Saint Patrick
est le bleu et non le vert. Cette teinte de bleu peut toujours être vue
sur d'anciens drapeaux irlandais et était utilisée sur les drapeaux de
l'Armée Citoyenne Irlandaise ...

 
Le vert de la Saint Patrick a fait son apparition en 1798 pendant la
rébellion irlandaise quand le trèfle est devenu un symbole du
nationalisme...


La Saint-Patrick est américaine
 

Source : Chicago peint sa rivière en vert...À la Sain-patrick...AFP

Selon Timothy Meagher, un professeur de l'Université Catholique américaine d'origine
irlandaise, ce sont les villes américaines qui comptaient une forte diaspora irlandaise qui au XVIIIe ont commencé à célébrer cette journée.

 
"C'était une façon d'honorer un saint mais aussi d'affirmer leur identité ethnique et de créer des liens de solidarité."

Saint Patrick n'a pas fait partir tous les serpents d'Irlande...
 

 GettyStock

Non, contrairement à la légende, Saint Patrick n'a pas fait partir tous les
serpents d'Irlande. Comme en Nouvelle-Zélande, en Islande, au Groenland
et en Antarctique, on ne trouve pas de serpents en Irlande, comme l'explique Le National Geographic.


 
Boire à la Saint-Patrick? Non ce n'est pas vraiment le moment


 GettyStock
 
La Saint-Patrick tombe en pleine période de Carême pendant laquelle les
abus en tout genre sont particulièrement mal vus dans la religion
catholique. Jusqu'en 1961,
une loi imposait aux pubs d'Irlande de fermer ce soir-là...

17/03/2016 - 16:41
Découvrez les origines méconnues de la Saint-Patrick.

Cette fête irlandaise célébrée dans le monde entier. 
 
Des gens fêtant la Saint-Patrick via Shutterstock

Tout au long de l’année, on recense sur le calendrier énormément de fêtes,
qui sont célébrées à travers le monde. Plus le temps avance, plus les
gens sont nombreux à faire la fête sans en connaître la signification.
L’une des fêtes les plus célèbres dans le monde est la Saint-Patrick,
fameuse fête du peuple irlandais. SooCurious vous dévoile les origines
de cette fête celte. 

Célébrée par tous les Irlandais de Dublin ou d’ailleurs, la Saint-Patrick est aujourd’hui l’une
des fêtes les plus appréciées.
La fête se déroule généralement le 17 mars de chaque année, même si elle a déjà dû être
célébrée à une autre date, quand cela coïncidait avec une autre fête
religieuse (la fête des Rameaux par exemple). A priori, cela ne se
reproduira pas avant 2160. A l’origine, la Saint-Patrick (ou Lá fhéile
Pádraig en gaélique) célèbre le saint patron de l’Irlande. C’est une
fête chrétienne observée par les Églises catholiques, anglicanes
(Irlande), protestantes et orthodoxes. Depuis 1903 et le Bank Holiday
Act, ce jour est férié en Irlande. Beaucoup l’ignorent mais cette
célébration a une histoire très ancienne.



Au départ, ce jour célèbre Saint-Patrick, l’évangélisateur de l’Irlande.
Ledit Saint aurait expliqué la Sainte-Trinité au peuple irlandais grâce à
un trèfle au Roc de Cashel en 432. Le trèfle est devenu dès lors le symbole du pays
(le symbole officiel était la harpe celtique). Une légende raconte aussi que
Saint-Patrick a chassé ce jour-là tous les serpents du pays (le récit
symbolise la conversion du peuple irlandais). Chaque année, les
Irlandais célèbrent ce jour et portent un trèfle à la boutonnière.

Elle est célébrée depuis le IXe siècle et le 17 mars a été inscrit au
calendrier liturgique catholique en 1600. A partir de cette époque, la
fête de Saint-Patrick devient une fête d’obligation pour tous les
catholiques d’Irlande et se déroule pendant le Carême (période de
jeûne). Aujourd’hui, le 17 mars est avant tout l’occasion de célébrer
l’appartenance à l’Irlande et mettre en avant la culture du pays.

Une statue de Saint-Patrick en pierre via Shutterstock

De nos jours, la Saint-Patrick se résume en trois mots : bière, musique et
danse. Les Irlandais profitent de ce jour pour clamer haut et fort
leurs origines tout en faisant la fête. Tout se déroule principalement
dans les rues avec des parades et dans les pubs (fameux bars). Célèbre
dans le monde entier, la bière Guinness y coule à flot. Chaque jour de
l’année, 5,5 millions de pintes de Guinness sont consommés. Lors de la
Saint-Patrick, ce chiffre monte à 13 millions.
Les festivités se déroulent un peu partout dans le pays, avec de nombreuses
parades (la première date de 1931 à Dublin). L’État irlandais a vu dans
cette fête une occasion de promouvoir la culture du pays. La réussite a
été telle, que la Saint-Patrick est connue presque partout. Tous les
expatriés, et même les autres, profitent de ce jour pour boire des
bières, chanter tout en portant un vêtement de couleur verte (couleur del’Irlande).
La ville de Chicago, par exemple, teint la rivière Chicago
en vert le jour de la Saint-Patrick.





Bien que cela puisse prêter à confusion, la Saint-Patrick n’est pas la fête
nationale irlandaise. En réalité, le pays n’en a pas. Les médias ont
tendance à mélanger le caractère religieux ancien de cette fête et le
caractère festif du 17 mars. Il s’agit en réalité d’une fête religieuse,
devenue très populaire. Pour apprécier la Saint-Patrick, il est
possible de se rendre dans un pub irlandais le soir du 17 mars. Pour les
plus chanceux, rien ne vaut un séjour sur place.

17/03/2016 - 07:35
12 petits villages coupés du monde dans lesquels vous rêverez
de vous évader. 


Aujourd’hui dans le monde, plus de 3,9 milliards de personnes vivent en ville.
Et, selon les Nations Unies, ce chiffre devrait augmenter de 2,5 milliards
d’ici 2050. Pour autant, de nombreuses personnes préfèrent vivre dans
des petits villages, souvent isolés, et dont le charme n’a rien à envier
aux plus grandes villes de la planète. 
La vie urbaine ne convient pas à tout le monde. Et pour cause, beaucoup
d’individus passent leur vie dans des villages souvent construits par
eux-mêmes. On voit dès lors l’ingéniosité de ces petites colonies qui
parviennent à créer des endroits splendides. De l’île de Mykines, qui ne
compte que 13 habitants permanents, aux îles flottantes d’Uros au
Pérou, ces villages isolés valent le coup d’oeil.

Bandiagara (Mali)


 
Huacachina (Pérou)

 
Isortoq (Groenland)

 
Monemvasia (Grèce)

 
Mykines (Iles Féroé)

 
Phuktal Gompa (Inde)

 
Sa Pa (Viêt Nam)

 
Tristan de Cunha (Atlantique Sud)

 
Undredal (Norvège)

 
Iles flottantes d’Uros (Pérou)

 
Vallone di Furore (Italie)

 
Les gorges du Verdon (France)

Ces petits villages sont tout simplement charmants. Isolés de l’agitation
des villes et nichés dans un cadre sublime, on adorerait y passer
quelques jours pour se reposer un peu. Et vous, êtes-vous plutôt citadin
ou préférez-vous vous évader dans de petits villages ?

17/03/2016 - 07:15
La cascade du voile de la mariée.

Au cœur de l’île de la Réunion, non loin de la commune de Salazie, se
cache le voile de la mariée. Le nom de cette superbe cascade, composée
de plusieurs chutes d’eau, est inspiré d’une légende locale. Celle-ci
raconte l’histoire d’amour tragique entre un riche jardinier et une
belle jeune femme dont le père refusait le mariage.
 La triste légende de cette cascade unique.
 
A un kilomètre de Salazie, sur la route d’Hell-Bourg, il est possible
d’observer le voile de la mariée. La cascade ressemblant au tulle d’un
voile de mariée descend des hauteurs souvent cachées par les nuages. Par
jour de pluie et quand le débit est important, le spectacle est encore
plus impressionnant.


La légende du voile de la mariée raconte l’histoire de M. Armand, un petit
propriétaire qui, après la fin de l’esclavage en 1848, décida de
s’installer et de cultiver ses terres dans les Hauts à Salazie. M.
Armand était fou amoureux de sa belle et douce femme Amélia. Ensemble,
ils eurent une fille qu’ils aimaient très fort, Amanda. Hélas, sa femme
était atteinte d’une grave maladie et, juste avant de mourir, elle fit
promettre à son époux de prendre soin de leur fille. Anéanti et triste,
M. Armand tint toutefois sa promesse. Plus les années passaient, et plus
Amanda ressemblait à sa mère. Son père l’adorait et il repoussait
toujours les prétendants de la jeune fille.
Un jour, un homme appelé Henrio se présenta chez M. Armand pour
travailler. Le propriétaire l’engagea comme jardinier et lui offrit même
de s’installer dans une petite dépendance au fond du jardin. Intriguée
par le jeune homme, Amanda l’espionna. Un soir, les deux jeunes gens se
donnèrent finalement rendez-vous sous un arbre. Henrio lui fit la cour
et lui apprit qu’il était en fait un riche propriétaire. Les deux
amoureux commencèrent alors à vivre une véritable idylle.


 

 
17/03/2016 - 07:11
Le BOUTAN
Le pays le plus respectueux de la nature vient de planter 108 000 arbres pour honorer la naissance du 
premier enfant royal de Sa Majesté le Roi Jigme Khesar Namgyel Wangchuck et Sa Majesté la reine Jetsun Pema.