De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
14/03/2016 - 08:04
Des marins assistent à la naissance d’une île
pendant une éruption volcanique



Alors qu’il naviguait sur l’océan Pacifique, l’équipage d’un navire a assisté
à la naissance d’une île. Un phénomène extrêmement rare provoqué par
une éruption volcanique sous-marine.
Il y a pratiquement 10 ans, en août 2006, Fredrik Fransson et son équipage
ont assisté à un évènement exceptionnel : la naissance d’une île. Une
occasion unique dont le récit complémenté d’images a récemment refait
surface et continue encore aujourd’hui d’étonner.
Ces derniers se trouvaient à bord de leur bateau, le Maiken, et naviguaient
sur l’océan Pacifique à quelques kilomètres au large des îles Tonga
lorsqu’ils sont soudainement tombés sur une vaste étendue de sable
flottant à la surface de l’eau.
Une étendue de sable
Les images de cet incroyable phénomène sont particulièrement
impressionnantes. On peut y voir le navire traverser et laisser sa trace
au milieu de cette gigantesque couverture sableuse. Celle-ci est en
réalité composée de milliards de grains de roche volcanique, résultant
du refroidissement rapide de la lave.
« C’était comme le Sahara, avec des dunes de sables à perte de vue », se souvient
Fredrik Fransson repris par le Daily Mail. Ce que l’équipage ne savait
pas encore, c’est qu’un volcan était entré en éruption à quelques
kilomètres de là. Plus précisément, un volcan sous-marin.
« Nous avons vu une colonne de fumée noire s’élever dans les airs, et nous
avons compris qu’il s’agissait d’une éruption », explique le marin. Il
ajoute : « Nous étions à quelques kilomètres de là et nous pouvions
clairement le voir ».
La naissance d’une nouvelle île
Depuis ce point de vue privilégié, les plaisanciers ont pu observer l’île
grandir à vue d’œil au rythme de chaque nouvelle explosion. Le volcan
sous-marin a été identifié après coup comme celui de Home Reef. Le
cratère avait déjà connu plusieurs éruptions en 1852, 1857 et 1984.
Toutefois jamais celui-ci n’avait encore émergé. L’île, née de cette éruption en
2006 mesurait près d’1,5 kilomètre de longueur pour 0,5 kilomètre de
largeur. Mais l’érosion a largement entamé sa surface depuis l’évènement.


CLIC ICI.........http://dai.ly/x3vszuu
14/03/2016 - 07:59
Les historiens furieux après la restauration du château


La récente restauration d’un monument espagnol a de quoi faire rire.
Ou pleurer, c’est selon. Le château, situé à Cadix en Andalousie, s’est
retrouvé entre les mains « expertes » d’un architecte qui a sans doute
voulu trop en faire.

Depuis sa remise à neuf, les photos « avant-après » d’El Castillo Matrera sont devenues virales
sur les réseaux sociaux, provoquant à la fois l’aberration, la colère et la tristesse.
L’architecte, lui, estime avoirfait du bon travail.
Hérigé au rang de monument national en 1949, la propriété du château est
passée depuis entre des mains privées. Un habitant de la ville de Cadix
exprimait tout son désarroi au micro de la télévision espagnole La Sexta:
« Ils ont donné les clés du château à des constructeurs, certainement pas à des restaurateurs », déplorait-il.
« Ils l’ont complètement ruiné. »
Alternance arabo-espagnole
Le château fut construit au 9ème siècle par Omar Ben Hafsun et ensuite
conquis par San Fernando. Le bâtiment est repassé du côté arabe au début
du 14ème siècle avant d’être finalement repris en 1341 par Alphonse XI
de Castille.
« Pas de mots »
« La restauration est un désastre », constate sur son site internet Hispanianostra, une association chargée de préserver le patrimoine culturel espagnol.
« Il n’y a pas de mots pour décrire cette abomination », ajoute
l’association.
Selon l’architecte responsable, Carlos Quevedo Rojas, le but de cette
restauration était de préserver la ruine dans sa forme la plus
originale. « Le bâtiment est d’une grande valeur historique et
architecturale », a expliqué Quevedo Rojas.
Une « honte »
Des propos qui n’ont convaincu personne, et certainement pas ses
compatriotes qui qualifient son travail de véritable « honte ». Sur les
réseaux sociaux, ils réclament que l’homme ne s’en tire pas à si bon
compte.


CLIC ICI......http://dai.ly/x3wsnvq
14/03/2016 - 07:50
Cette fosse creusée par l’érosion abrite un écosystème
fascinant préservé de toute intervention humaine  

 
Lorsqu’elle est seule artiste à façonner ses oeuvres, la nature produit de superbes
créations. C’est le cas en Chine, où un écosystème s’est formé par
lui-même au sein d’un immense trou. SooCurious vous présente cet endroit
atypique et magnifique.
Lorsqu’un sol fait de roches solubles s’érode peu à peu, cela engendre parfois un
phénomène pour le moins dangereux : une doline, soit le creusement d’un trou.



En Chine, ce phénomène géologique s’est produit dans la région montagneuse du
comté de Xuan’en, dans la province centrale du Hubei. Là, se cache une
gigantesque doline aux proportions impressionnantes.
Profond de 290 mètres et d’une surface au sol de 6,7 hectares, l’endroit est
longtemps resté préservé des activités humaines. Une caractéristique qui
lui a permis de développer un écosystème naturel. Car le sol argileux
de cet endroit permet une rétention d’eau qui rend propice le
développement d’une végétation riche.



Cette doline et son écosystème sont remarquables, essentiellement par leur
aspect préservé. Mais ce lieu est surtout la parfaite illustration de la
beauté dont la nature est capable lorsqu’on la laisse se développer

14/03/2016 - 07:45
Les paysages paradisiaques de l’archipel de Los Roques.
Ils abritent le plus grand parc marin des Caraïbes  
  Région géographique célèbre pour ses îles paradisiaques et pour avoir été le
berceau de la piraterie, les Caraïbes regorgent de lieux sublimes qui
font rêver. Si certains de ces sites sont très célèbres (comme le Costa
Rica ou les Bahamas), d’autres sont encore relativement peu connus.
C’est le cas de l’archipel vénézuélien de Los Roques, cet ensemble
d’îles aux plages paradisiaques.
Situé à 150 km de la capitale vénézuélienne (Caracas), l’archipel de Los Roques est
un véritable trésor naturel des Caraïbes.
Moins célèbre que le Costa Rica, il n’en demeure pas moins un site privilégié et sauvage.
Juridiquement, l’archipel est une dépendance du Venezuela composée
d’environ 50 petites îles. L’archipel est situé au large des côtes du
Venezuela et compte environ 1 500 habitants, tous regroupés sur l’île
principale, Gran Roque. Les autres îles importantes sont Francisqui,
Nordisqui et Madrisqui y Crasqui.
La superficie totale de l’archipel atteint 41 km2. Le point le plus élevé
du parc se trouve à 130 mètres d’altitude. Au sud de l’archipel, la mer a
une profondeur de plus ou moins 1700 mètres. Vers le nord par contre,
les profondeurs moyennes ne dépassent pas les 15 mètres. Cette oasis
marine d’une extraordinaire beauté, avec ses bancs de sable blanc et une
eau turquoise, a une grande richesse biologique. C’est là le principal
atout de Los Roques.
Depuis 1972, le gouvernement vénézuélien a transformé l’archipel en parc national. Cela
s’explique par la très grande variété d’oiseaux marins et la richesse de
la faune aquatique. Le parc s’étend sur terre comme sur mer sur une
distance de 36 km d’ouest en est et de 24,6 km du nord au sud. La
surface totale du parc est de 2 211,2 km2. Ce parc est une merveille de
nature caractérisé par une grande diversité et une beauté scénique
certaine. Il possède des récifs coralliens très riches et parmi les
mieux conservés de la mer des Caraïbes. La limitation majeure au
développement du tourisme à Los Roques réside dans le fait que le lieu
manque de cours d’eau et de sources d’eau permanentes. Le statut de parc
national empêche aussi une forte exploitation touristique. Pour les
chanceux qui se rendent à Los Roques, ils pourront s’extasier devant une
faune et une flore très riches.



Les touristes qui viennent profiter du climat très chaud de l’archipel
peuvent aussi bien admirer les fonds marins et la faune aquatique et se
balader le long des plages de sable blanc. Le parc abrite en effet une
faune et une flore extrêmement riches. Il sert en effet de refuge à
plusieurs centaines d’espèces animales (surtout des animaux marins) dont
des tortues, des poissons tropicaux et des pélicans. En outre, les
visiteurs peuvent apprécier le caractère préservé de l’archipel : en
effet, aucune grande construction touristique ne vient dénaturer le site
et les paysages. Chaque année, près de 50 000 personnes viennent
visiter le parc.


L’archipel de Los Roques
 via Shutterstock


L’archipel de Los Roques
 via Shutterstock


Un pélican qui survole Los Roques
 via Shutterstock



Une plage de sable de Los Roques
 via Shutterstock

Vous l’aurez sans doute compris, l’archipel de Los Roques est un petit
paradis terrestre qui doit rester préservé. Si depuis les années 90,
l’activité principale du site est le tourisme (à la place de la pêche),
son statut de parc national le protège d’une surexploitation touristique.
14/03/2016 - 07:28
Nettoyer Les Vitres Avec Du Blanc De Meudon...
Astuce De Grand-mère...

Nettoyage des vitres avec du blanc de Meudon Le blanc de Meudon est un produit naturel qui provient des
carrières de craie situées dans le bassin parisien (Meudon). Il se compose d’une
poudre blanche faible en alcaline, très fine et peu abrasive.

Le blanc de Meudon est composé essentiellement de particules de carbonate
de calcium ; il est utilisé de nombreuses façons, en particulier pour le nettoyage.

En effet, il permet de nettoyer et faire briller des surfaces comme les vitres, sans les abîmer et
de façon 100 % écologique. V
Voici une recette simple à réaliser chez soi pour utiliser le blanc de Meudon dans le nettoyage des vitres.

Recette De Grand-Mère... Faites bouillir la quantité d’un verre d’eau.Verser un demi-verre de paillettes de savon de Marseille dans l’eau bouillante.Ajouter la quantité de 250 grammes de blanc de Meudon.Mélanger les ingrédients
pour qu’il soit homogène.
Imbiber un chiffon du mélange.Frotter les vitres pour procéder au nettoyage.Lustrer les vitres
à l’aide d’une peau de chamois.

Ingrédients Un demi-verre de paillettes de savon de Marseille 250 grammes de Blanc de Meudon De l’eau bouillante Équipement Un bol Un chiffon Une peau de chamois
13/03/2016 - 14:57
Mon Séjour De 4 jours Au Coeur De L'Amazonie
Avec Natura Brasil...

I
l y a quelques semaines, j'ai eu la chance d'être invitée par Natura
Brasil sur leur terre-mère, j'ai nommé le Brésil. Un voyage dépaysant à
souhait, fort en émotions et très instructif sur la politique et
l'action de la marque. Et si je vous racontais tout de mon séjour ?! Je
vous préviens, ça fait rêver !


* Day 1 *
Après une journée complète de voyage (ouiiii, vous avez bien lu), j'arrive
enfin à Bélem - ville de l'estuaire de l'Amazone, dans le nord du Brésil
- lessivée mais happy et légèrement déconnectée, c'est le moins que
l'on puisse dire. Il fait super chaud (30°) et la crème solaire s'impose
d'urgence. Ça change de Paris !




Bagages déposés à l'hôtel et après une petite douche, il est l'heure de vivre à
la brésilienne. Ma première sortie sera un tour à l'Oficina de Joias :
une ancienne prison devenue un magnifique musée de pierres précieuses.
Un très bel endroit, paisible à souhait...






Après cette escapade, direction l'Estacao das Docas...une sorte de grande
place et surtout l'un des plus beaux endroits de Belem où des hangars
ont été magnifiquement rénovés pour donner naissance à un lieu très
vivant avec une belle architecture. C'est the place to be pour se
restaurer, boire un verre et admirer de sublimes couchers de soleil...





D'ailleurs, si je peux vous donner un conseil, il faut absolument goûter aux glaces
Cairu (reconnues mondialement), je n'ai jamais mangé de glaces aussi
délicieuses et atypiques.




Pour finir la soirée, nous avons dîné chez Benjamin. Un restaurant
spécialisé dans le poisson et les fruits de mer.  Service parfait, la
nourriture y est délicieuse et les cocktails "maison" à tomber...

* Day 2 *
Après une bonne nuit de sommeil, ce deuxième jour s'annonce très
studieux. En effet, nous devons nous rendre à l'Ecoparc de Natura Brasil
situé au coeur de l'Amazonie. Ce parc industriel de 172 hectares - qui
regroupe la production de savons et d'huiles de Natura - est le premier
endroit de ce type au Brésil.


L'Ecoparc - écologiquement respectueuse des principes du développement
durable - est un exemple de symbiose industrielle : connecter des
entreprises diverses ayant des intérêts communs afin de mettre en place
un système d’exploitation partagé, dans lequel elles peuvent échanger
leurs ressources et mettre en place ensemble des alternatives afin de
créer des activités durables dans la région.

Mais aussi et surtout contribuer à l'utilisation raisonnée des ressources
naturelles tout en préservant l'Amazonie et en faisant de ce dernier un
facteur clé du développement du pays. La marque va de l'idée très sensée
que la forêt est plus intéressante vivante que morte...





Il faut savoir que Natura Brasil travaille avec plus de 2000 communautés
depuis 15 ans. Un partenariat win-win pour les communautés comme pour
Natura Brasil qui a pour but ultime de créer des chaînes
d'approvisionnement robustes, contribuer au développement durable mais
aussi et surtout entretenir les relations entre Natura Brasil, les
communautés et les partenaires tout en respectant la diversité
environnementale et culturelle...

Durant cette journée, nous avons notamment appris que Natura Brasil est la
plus grande entreprise de cosmétiques au Brésil - d'ailleurs, ils ont
racheté la marque Aesop en 2012 - ce qui ne m'a guère étonnée. La marque
est présente partout et connue de tous, c'est le L'Oréal du Brésil.  

Son succès repose sur 3 modèles de vente  : La vente directe avec les
conseillères, la vente en boutique et Internet. Au brésil, c'est la
vente directe qui marche le mieux. D'ailleurs, elle est la 6ème
entreprise de vente directe au monde.





*Day 3 *

Ce troisième jour fut le moment le plus mémorable de ce voyage et surtout
celui que j'attendais le plus à savoir rencontrer l'une des communautés
amazoniennes avec qui Natura travaille et découvrir "in real life"
l'Amazonie dans toute sa splendeur. J'avais hâte de rencontrer ces gens
de l'ombre, savoir comment ils vivaient, ce que ce partenariat avec
Natura Brasil leur avait apporté...et je n'ai pas été déçue.




Après plus de 3h de car à l'aller - et 4h de bateau au retour - pour arriver
au coeur même de l'Amazonie, nous y sommes. Accueillie par la communauté
de Jauari qui est d'une gentillesse et d'une amabilité incroyables,
nous contemplons tout cet extraordinaire espace vert. Au risque d'être
banale, l'Amazonie c'est vraiment sublimissime (oui ce mot vient d'être
créé par moi).


 

Durant une journée entière et totalement magique, nous avons pu discuter avec
ces gens, découvrir leurs traditions, en savoir plus sur leur manière de
travailler avec Natura Brasil (ils nous ont expliqué que ce partenariat
était une aubaine pour eux car cela leur permettait de gagner leur vie
honnêtement tout en préservant leur lieu de vie.

Autre chose et pas des moindres, apparemment le gouvernement brésilien
se soucie très peu de l'Amazonie et de ses habitants, ce que je trouve
tellement triste et dommage) mais aussi passer du temps avec les enfants
(mon moment favori), goûter la cuisine locale...et s'imprégner de tout
ça. Un moment magique dont je me souviendrai toute ma vie.






* Day 4 *

C'est le dernier jour ! Des souvenirs plein la tête, il va falloir reprendre
l'avion pour retrouver mes habitudes - qui me paraissent tout d'un coup
si banales - mais avant, nous avons pu faire un tour au célèbre marché
Ver-O-Peso de Belem. Ce marché en plein air - le plus grand d'amérique
latine - construit sur le port de Belem Do Para est aussi animé
qu'éclectique. Poissons, nourriture, vêtements, hamacs, médecine
traditionnelle, potions magiques...difficile de ne pas trouver son
bonheur




Ce fut un très beau séjour !! Cela m'a permis de découvrir le Brésil - et
plus précisément la ville de Belem, typique et pleine de charme ainsi
que l'Amazonie, qui restera l'un de mes plus beaux souvenirs "voyage" -
mais aussi d'en savoir plus sur Natura Brasil.

Marque que j'affectionne depuis toujours et que je respecte encore plus après
ce voyage. L'essence même de Natura Brasil "Bem Estar Bem" (le bien-être
/ l'être bien) n'a jamais autant pris tout son sens qu'après ce
magnifique voyage...




Connaissez-vous les produits Natura Brasil ? Qu'en pensez-vous ???






13/03/2016 - 09:43

SOUVENIRS DE VOYAGE....

ALICE

5 personnes qui partagent une passion égale pour leVoyage
et la photographie.

Monolithos, côte ouest de l'île de Rhodes, en Grèce


Lionne et son petit, l'Afrique


ferroviaire Jungfraujoch, Suiss
e

Gondola à Venise


pont Trift, Suisse

 
Thun lac, Suisse
 

Pobiti Kamani, Bulgarie


Stansenhorn, Suisse
 

lac de Thoune vu de Speiz château, Suisse

Rainbow over cascade Rheinfall, Suisse

Elephant douche à Pinnawala Elephant Orphanage, Sri Lanka

Schynige Platte ferroviaire, Suisse

Pilatusbahn, Suiss
 

Pamukkale, Turquie


téléphérique du Schilthorn, Suisse

Palmiers ombres à Palma de Mallorca, Espagne

Himalaya vu du Népal


Toucher la lune, Montreux Suisse

Camel safari, Maroc
 

bateaux Luzzu à Malte


Lunuganwehera Reservoir, Sri Lanka

détail Statue à Florence, Italie


Santorin du village de Fira, Grèce

ruines Didyma, Turquie
 

joueur de guitare Street, Cuba
 

Les palmiers sur les nuages, Crète Grèce

village de Plakias, Crète Grèce
 

Plage dans l'île de Corfou, Grèce

Bâtiments réflexion, Copenhague Danemark

en Italie village Bellagio, Lac de Côme


Kaliakra Cap, Bulgarie
 

Parrot baiser


Transport à La Canée, Grèce
 

village mignon de Firostefani, Santorini Grèce

chutes du Niagara

 
13/03/2016 - 08:10
“Le voyage en taxi que je n’oublierai jamais”

Témoignage bouleversant d’une ultime rencontre. 
 

Kent Nerburn est un écrivain américain né en 1946. Dans l’un de ses livres,
il nous conte une puissante histoire. Lorsqu’il était chauffeur de taxi à
Minneapolis, Kent a effectué une course qui a bouleversé sa vie.
Découvrez “The Cab Ride I’ll Never Forget” (“Le voyage en taxi que je n’oublierai jamais”).
« Il y a vingt ans, je conduisais un taxi pour gagner ma vie. C’était une
vie de cowboy, de joueur, destinée à quelqu’un qui refusait d’être
dirigé, le mouvement constant, un frémissement similaire à un lancer de
dés lorsqu’un nouveau passager pénétrait dans mon taxi.

Ce que j’ignorais quand j’ai choisi ce travail, c’est qu’il s’apparentait à
un ministère. Parce que j’exerçais de nuit, mon taxi est devenu un
confessionnal roulant. Les passagers embarquaient, s’asseyaient derrière
moi de façon totalement anonyme et me racontaient leur vie.

Nous étions comme deux étrangers dans un train, le passager et moi,
baroudant dans la nuit, nous nous révélions des histoires intimes que
nous n’aurions jamais imaginé partager à la lumière du jour. J’ai
rencontré des gens aux vies fascinantes, anoblissantes, des vies qui
m’ont fait rire et qui m’ont fait pleurer. Mais aucune de ces vies ne
m’a plus touché que celle de cette femme que j’ai transportée lors d’une
chaude nuit d’août.

Je répondais à un appel venu d’un petit quadruplex en briques situé dans une partie calme
de la ville. Je pensais que j’allais chercher des fêtards, ou quelqu’un
qui venait d’avoir une dispute amoureuse, ou encore une personne qui
devait travailler tôt dans une usine de la zone industrielle de la ville.

Quand je suis arrivé, l’immeuble était sombre, mis à part une petite lumière qui illuminait une pièce du rez-de-chaussée. Dans ces circonstances, de nombreux chauffeurs auraient
klaxonné une ou deux fois, attendu une petite minute, puis se seraient
enfuis. De nombreuses options négatives se présentent à un chauffeur qui
se rend près d’un immeuble sombre à 2h20 du matin.
Mais j’avais déjà vu trop de gens prisonniers d’une vie de pauvreté qui
dépendaient d’un taxi, leur seul moyen de transport. À part si une
situation représentait un véritable danger, je me rendais toujours à la
porte pour trouver le passager. Cette personne pourrait avoir grandement
besoin de mon assistance. Ne voudrais-je pas qu’un chauffeur fasse la
même chose si mon père ou ma mère l’avait appelé ?
Alors j’ai marché jusqu’à la porte puis j’ai toqué.
“Juste une minute”, a répondu une voix frêle et âgée. Je pouvais entendre le
son de quelque chose qui était traîné au sol. Après une longue pause, la
porte s’est ouverte. Une petite femme d’environ 80 ans se tenait devant
moi. Elle portait une robe imprimée et une toque munie d’un voile,
comme on pourrait en trouver dans un magasin de costumes, un magasin de
seconde main ou dans un film des années 40. À côté d’elle se trouvait
une petite valise en nylon. Le son que j’avais entendu auparavant,
c’était elle qui la tirait sur le sol.
On aurait dit que personne n’avait vécu dans l’appartement depuis des
années. Tous les meubles étaient recouverts de draps. Il n’y avait
aucune horloge au mur, aucune décoration et aucun ustensile sur les
comptoirs. Une boîte en carton remplie de photographies et de verres
était placée dans un coin.
“Pouvez-vous porter mon sac jusqu’à la voiture ?”, m’a-t-elle dit, “J’aimerais avoir
un petit moment seule, pouvez-vous ensuite revenir pour m’aider ? Je ne
suis pas très forte.”
J’ai emporté la valise dans la voiture puis j’ai été l’aider. Elle m’a pris par le bras
et nous avons marché lentement en direction du trottoir. Elle n’arrêtait
pas de me remercier pour ma gentillesse.
“Ce n’est rien”, lui ai-je dit. “J’essaye juste de traiter mes passagers comme j’aimerais que l’on s’occupe de ma mère.”
“Oh, vous êtes un si bon garçon”, m’a-t-elle dit. Tant de louanges et d’appréciation m’auraient presque embarrassé.  
Lorsque nous sommes montés dans le taxi, elle m’a donné une adresse puis m’a
demandé : “Pouvez-vous passer par le centre-ville ?”
“Ce n’est pas le chemin le plus court”, lui ai-je répondu.
“Oh ce n’est pas grave, a-t-elle dit, je ne suis pas pressée, je me rends dans une maison de retraite.”
J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux étaient luisants. “Je n’ai plus de famille”, elle continua.
“Le médecin a dit que je devrais aller à l’hospice. Il dit qu’il ne me reste pas beaucoup de temps.”
J’ai doucement éteint le taximètre. “Quelle route aimeriez-vous emprunter ?”, je lui ai demandé.
Pendant les deux heures suivantes, nous avons roulé dans la ville. Elle m’a
montré l’immeuble où elle avait travaillé en tant qu’opérateur
d’ascenseur. Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient
vécu lorsqu’ils venaient juste de se marier. Elle m’a demandé de
m’arrêter devant un entrepôt de meubles qui étaient auparavant une salle
de bal où elle avait dansé durant sa jeunesse.
Parfois, elle voulait que je ralentisse devant un immeuble ou un coin de rue
particulier, puis elle fixait l’obscurité dans un silence profond.
Lorsque les premiers rayons de soleil sont apparus à l’horizon, elle a
soudainement dit : “Je suis fatiguée, nous pouvons y aller maintenant.”
Nous avons roulé en silence jusqu’à l’adresse qu’elle m’avait donnée.
C’était un bâtiment assez bas, ressemblant à une petite maison de
convalescence avec un passage sous un portique. Deux agents hospitaliers
se sont dirigés vers le taxi dès que nous nous sommes garés. Sans
m’attendre, ils ont ouvert la porte pour aider la femme. Ils étaient
pleins de sollicitude et attentifs, ils surveillaient tous ses
mouvements. Ils l’attendaient sûrement ; elle les avait peut-être
appelés juste avant que nous partions de chez elle.
J’ai ouvert le coffre puis j’ai emporté la petite valise jusqu’à la porte.
La femme avait déjà été installée dans un fauteuil roulant.
“Combien est-ce que je vous dois ?”, m’a-t-elle demandé en fouillant dans son sac à main.
“Rien”, lui ai-je dit.
“Il faut bien que vous gagniez votre vie”, m’a-t-elle répondu.
Sans réfléchir, je me suis baissé pour la prendre dans mes bras. “Vous avez
donné un petit moment de bonheur à une vieille dame, m’a-t-elle dit, merci.”
Tout était dit. J’ai serré sa main, puis j’ai marché dans la lumière tamisée du matin. J’ai pu
entendre la porte se fermer derrière moi. C’était le même son que la fin
d’une vie.
Je n’ai transporté aucun autre passager ce jour-là. J’ai conduit sans but, perdu dans mes
pensées. Le reste de la journée, j’ai eu beaucoup de mal à parler. Et si
un chauffeur énervé avait récupéré cette femme, s’il avait été
impatient de terminer sa journée ? Et si j’avais refusé cette course, ou
si je n’avais klaxonné qu’une fois avant de m’enfuir ? Et si j’avais
été de mauvaise humeur et que j’avais refusé d’engager une conversation
avec elle ? Combien de moments similaires avais-je manqués, ou tout
simplement n’avais-je pas réussi à saisir ?
Nous sommes conditionnés à penser que notre vie gravite autour d’instants
magiques. Mais les instants magiques nous capturent souvent lorsque nous
nous y attendons le moins. Quand cette femme m’a enlacé et m’a dit que
je lui avais apporté un moment de bonheur, c’était possible de croire
que j’avais été mis sur Terre dans le seul but de lui offrir cette
dernière virée.
Je ne pense pas avoir fait quelque chose dans ma vie de plus important. »
 
Véritable leçon de vie, ce témoignage pousse à la réflexion et nous apprend à saisir chaque instant de joie.

13/03/2016 - 08:07
Contemplez le somptueux Bouddha de Leshan.

Ce colosse de pierre qui trône majestueusement sur une falaise chinoise  


La foi est souvent source de prouesses extraordinaires. C’est ce que
prouve l’histoire d’une statue chinoise, un gigantesque Bouddha de plus
de 70 mètres de hauteur. SooCurious vous présente cet édifice
remarquable.
En Chine, dans la province du Sichuan, se trouve un gigantesque Bouddha, le plus
grand du monde. Haut de 71 mètres et large de 28 mètres, l’édifice est
inscrit au patrimoine mondiale de l’UNESCO depuis 1996. Mais plus que
son extraordinaire aspect, le Grand Bouddha de Leshanimpressionne aussi
par une histoire exceptionnelle.

L’édification de la statue commença approximativement en 713 lorsqu’un moine
bouddhiste, le Maître Haitong, entreprit sa construction dans la falaise
du mont Linguyn afin de protéger les marins empruntant le fleuve local
et de prévenir les inondations dans la région.
Plus tard, alors que le financement du projet se trouvait menacé, Haitong se
serait arraché les yeux pour prouver sa foi et sa sincérité, avant de
passer le reste de sa vie dans une caverne.

Le Bouddha de Leshan via Shutterstock

Le Bouddha de Leshan via Shutterstock

Le Bouddha de Leshan via Shutterstock






Après la mort du moine, et en l’absence de financement, la construction fut
interrompue avant d’être reprise 70 ans plus tard grâce à un gouverneur
miliaire. Celui-ci sponsorisa le projet, qui fut achevé par les
disciples d’Haitong en 803.
Cette statue est incroyable. Par ses dimensions et sa conservation exceptionnelle,
mais aussi par son histoire, qui semble tout droit sortie d’un conte.

13/03/2016 - 08:06
Contemplez le somptueux Bouddha de Leshan.

Ce colosse de pierre qui trône majestueusement sur une falaise chinoise  


La foi est souvent source de prouesses extraordinaires. C’est ce que
prouve l’histoire d’une statue chinoise, un gigantesque Bouddha de plus
de 70 mètres de hauteur. SooCurious vous présente cet édifice
remarquable.
En Chine, dans la province du Sichuan, se trouve un gigantesque Bouddha, le plus
grand du monde. Haut de 71 mètres et large de 28 mètres, l’édifice est
inscrit au patrimoine mondiale de l’UNESCO depuis 1996. Mais plus que
son extraordinaire aspect, le Grand Bouddha de Leshanimpressionne aussi
par une histoire exceptionnelle.

L’édification de la statue commença approximativement en 713 lorsqu’un moine
bouddhiste, le Maître Haitong, entreprit sa construction dans la falaise
du mont Linguyn afin de protéger les marins empruntant le fleuve local
et de prévenir les inondations dans la région.
Plus tard, alors que le financement du projet se trouvait menacé, Haitong se
serait arraché les yeux pour prouver sa foi et sa sincérité, avant de
passer le reste de sa vie dans une caverne.

Le Bouddha de Leshan via Shutterstock

Le Bouddha de Leshan via Shutterstock

Le Bouddha de Leshan via Shutterstock






Après la mort du moine, et en l’absence de financement, la construction fut
interrompue avant d’être reprise 70 ans plus tard grâce à un gouverneur
miliaire. Celui-ci sponsorisa le projet, qui fut achevé par les
disciples d’Haitong en 803.
Cette statue est incroyable. Par ses dimensions et sa conservation exceptionnelle,
mais aussi par son histoire, qui semble tout droit sortie d’un conte.