Le Mexique est un pays qui regorge de paysages insoupçonnés qu’il vous faut absolument découvrir.
Le Mexique regorge de paysages aussi sauvages que merveilleux. Une richesse naturelle qui charme toute personne foulant les sols d’Amérique centrale. Voici quelques endroits incontournables à visiter sans plus attendre.
Un magnifique quetzal dans la forêt de brouillard
La Cenote Samula avec ses racines qui tombe dans l’eau cristalline
Une plongée à Quintana Roo, sur le site Chac Mool Cenote
Des tortues olivâtres dans le golfe du Mexique
Le désert de Sonora
Copper Canyon à l’aube, Chihuahua
Les montagnes Sierra Hornaday
Une plage recouverte de lave séchée, en Basse-Californie du Sud
Une course de dauphins Stenella clymene
La baie de l’île San Francisco, en Basse-Californie du Sud
Un cactus devant la mer de Cortez
Les tortues olivâtres de Kemp, sur la Pesca Beach (plage)
Les peintures rupestres de la Sierra de San Francisco
Un Oréophase cornu dans la réserve de biosphère El Triunfo
Un iguane à cornes et à queue plate dans le désert de Sonora
Les cascades de Aguacero à Chiapas
Quintana Roo, Yucatan
L’Axolotl, une espèce en danger
Une raie Mobula volante, dans la mer de Cortez
Des flamants d’Amérique, dans la réserve de Ria Lagartos
La caverne de Calcehtok, Yucatan
Des cactus en Basse-Californie du Sud
Arbre Boojum dans la réserve de la biosphère El Vizcaino
Des renards nains à Chihuahua
Les cascades d’Aguacero
Le Mexique cache bien des merveilles ! A la rédaction, beaucoup rêvent de s’envoler pour cette destination incroyable qui laisse une grande place à la nature vierge et sublime.
ALBA LULIA (Roumanie) Alba Iulia a toujours été au centre des événements. Pendant deux mille ans, l'histoire a décidé: Alba Iulia est l'autre capitale de la Roumanie! Toutes les photos par Romulus Opriscan.
Bien sûr, la photographie en couleur était pas disponible à l'époque. "Les images sont de rares exemples de processus de photochrom historique, une technique d'impression qui a permis à des photographies en noir et blanc pour être reproduits en couleur»,
Schwerin palais grand-ducal, Mecklembourg
La mairie de Wernigerode
Château de Sigmaringen
La côte autour de Westerland
Chambre, le château de Neuschwanstein, au sud de Munich
Château Heinstein près Trechtingshausen / Guild Hall des Bouchers, Hildesheim Bastei pont
Frederick Bridge et la cathédrale de Berlin Cuisine allemande traditionnelle
De nombreux sans domicile fixe (SDF) sont chaque jour contraints d’abandonner leurs chiens s’ils veulent être acceptés dans les structures d’hébergement d’urgence. Pour la plupart, cette séparation est insupportable, tant le lien qui les unit à leur animal est fort. Beaucoup préfèrent alors rester dehors, même par grand froid, car ce compagnon d’infortune constitue bien souvent leur dernier lien avec la société, et leur seul soutien.
Depuis plus de 10 ans, la péniche « Le Fleuron » amarrée sur les bords de Seine dans le 15ème arrondissement de Paris, accueille chaque jour ces « passagers ». Un lieu unique dans la capitale, au service des plus démunis et de leurs animaux en période de grand froid.
Pour Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d'Amis, « un peu de place et de bonne volonté, c'est tout ce qu'il fallait pour accueillir ensemble des sans-abri et leurs chiens. S'organiser : c'était le seul effort à faire pour ne pas laisser ni l’homme, ni l’animal mourir de froid dans la rue. » Selon elle, « la réussite hors du commun du Fleuron laisse espérer que de nouveaux centres d'hébergement dignes de ce nom verront enfin le jour rapidement partout en France ».
Chaque hiver, « Le Fleuron » fait la démonstration que rien n'est impossible avec un peu de bonne volonté et de solidarité.
Pratique : Accueil des « passagers » - adressés par le Samu Social - 7 jours/7 à partir de 18h30 50 places, dont 25 avec animaux 150 bénévoles au total, 8 à 10 bénévoles chaque soir Permanences médicales assurées 2 fois par semaine par deux médecins bénévoles Permanence vétérinaire assurée par les étudiants volontaires de l’Ecole Vétérinaire de Maisons Alfort (94).
Important : Pour être accueilli à bord du Fleuron, il faut impérativement s'adresser aux services sociaux ou directement au Samu Social.
Si vous croisez des personnes démunies en situation d'urgence, n’hésitez pas : composez le 115 !
L'homme serait il un polleur en série ? si vous aviez des doutes, voici résumé en quelques secondes 58 ans d'exploration spatiale et son résultat ... Il faut vraiment changer nos mauvaises habitudes ...
Le caviar français : un nouveau fleuron du luxe made in France
Saviez-vous que la #France est le deuxième producteur mondial de #caviar derrière l'Italie ? Même si ce mets de luxe est encore associé dans notre imaginaire à la Russie et à l'Iran, l'importation d' #esturgeons sauvages en Europe est désormais interdite. L' #élevage en eau douce a donc pris le relais dans plusieurs régions de l'Hexagone. Mais ne regrettez pas les caviars sauvages d'autrefois : nos caviars tricolores sont à la hauteur et s'invitent à la table des restaurants étoilés...? Audrey Vautherot
Si la tradition de donner des étrennes nous vient des Romains, celle d’envoyer des cartes de voeux à l’occasion du Nouvel An est beaucoup plus récente. Elle s’est développée en France au début du XIXe siècle. Avant cette date, l’usage voulait que l’on rende visite à ses proches en personne.
Histoire de la carte de voeux La carte de voeux est née en Angleterre au XIXe siècle, avec l'apparition du premier timbre-poste (en 1840) et l’invention de la lithographie. Si le timbre facilita l’envoi du courrier, c’est le procédé de lithographie qui popularisa les cartes voeux. Les premières cartes étaient des cartes de Noël envoyées pendant la période de l'Avent pour souhaiter un Joyeux Noël et présenter ses voeux pour la nouvelle année.
A partir de l’Angleterre, la mode des cartes de Noël s’est répandue dans toute l'Europe. Or, il existait en France une coutume ancienne dont ne subsiste aujourd’hui que la tradition des étrennes : les visites du Nouvel An.
La coutume voulait que l’on rende visite à l’ensemble de son entourage (famille, amis, collègues et patron) dans les quinze jours quisuivaient le 1er janvier. A l’époque, il était courant de s'abstenir d'une visite en laissant, pour preuve de son passage, une carte de visite portant une formule de voeux.
Parallèlement, on échangeait des lettres au moment de la nouvelle année pour présenter ses voeux et renouer des amitiés ou donner des nouvelles à des connaissances éloignées.
La carte de voeux illustrée s’est progressivement imposée en France pour perpétuer ces deux coutumes. Dans les années 1930, elle remplaça définitivement l’usage de la carte de visite ou du papier à lettres. Elle offrait en effet un bon compromis entre le message bref de la carte de visite et la rédaction d’une longue lettre…
De la carte papier à la carte virtuelleAvec l'avènement de l’informatique et des téléphones portables, il est devenu courant de présenter ses voeux par SMS ou par mail.
Vous avez désormais le choix au moment de présenter vos voeux pour la nouvelle année. Et si le courrier électronique ou le SMS vous semblent trop impersonnels, vous pouvez opter pour une carte virtuelle. D'une utilisation simple et pratique, elle a pour avantage d’être joliment illustrée et gratuite !
Mais que les inconditionnels de la carte papier se rassurent, les cartes de voeux sur papier glacé ne sont pas en voie de disparition. Plus durables et précieuses, les cartes écrites à la main ont encore du succès.
Pour rendre l’attention encore plus délicate, certains les fabriquent eux-mêmes avec des dessins, des collages et un texte personnel avant de les envoyer par la Poste avec un joli timbre… Le plaisir est alors partagé : celui de la réaliser pour l’expéditeur et de la recevoir pour le destinataire.
Ecrire une carte de voeux. Pour sacrifier au rituel de la carte de voeux, il ne suffit pas de l’envoyer. Encore faut-il trouver une belle formule, si possible personnalisée, pour exprimer son affection ou se rappeler au souvenir de personnes que l'on ne voit pas souvent.
Certaines personnes en profitent pour donner des nouvelles, par le biais d’un petit texte accompagné de photos des enfants ou petits-enfants.
D'autres optent plutôt pour une citation à portée philosophique ou morale, à méditer pour commencer l’année avec un peu plus de sagesse ou d’espoir. Audrey Vautherot
En parlant des étrennes, on ne peut se dispenser de remonter, non pas aux Grecs, mais du moins aux Romains, inventeurs de cet usage. Le premier endroit de l’histoire romaine nous apprenant cette coutume est de Symmachus, auteur ancien, qui nous rapporte qu’elle fut introduite sous l’autorité du roi Tatius Sabinus, qui reçut le premier la verbène (verveine) du bois sacré de la déesse Strénia, pour le bon augure de la nouvelle année. Soit que les Romains imaginassent quelque chose de divin dans la verbène, soit qu’ils faisaient allusion au nom de cette déesse Strénia, dans le bois de laquelle ils prenaient la verbène, avec le mot de strenuus, qui signifie vaillant et généreux : aussi le mot strena, qui signifie étrenne, se trouve quelquefois écrit strenua chez les Anciens, pour témoigner que c’était proprement aux personnes de valeur et de mérite qu’était destiné ce présent, et à ceux dont l’esprit tout divin promettait plus par la vigilance que par l’instinct d’un heureux augure. Tatius, roi des SabinsAprès ce temps-là, l’on vint à faire des présents de figues, de dattes et de miel, comme pour souhaiter aux amis qu’il n’arrivât rien que d’agréable et de doux pendant le reste de l’année. Ensuite les Romains, quittant leur première simplicité, et changeant leurs dieux de bois en des dieux d’or et d’argent, commencèrent à être aussi plus magnifiques en leurs présents, et à s’en envoyer ce jour-là de différentes sortes, et plus considérables ; mais ils s’envoyaient particulièrement des monnaies et médailles d’argent, trouvant qu’ils avaient été bien simples, dans les siècles précédents, de croire que le miel fût plus doux que l’argent, comme Ovide le fait agréablement dire à Janus. Avec les présents, ils se souhaitaient mutuellement toute sorte de bonheur et de prospérité pour le reste de l’année, et se donnaient des témoignages réciproques d’amitié : et comme ils prenaient autant d’empire dans la religion que dans l’Etat, ils ne manquèrent pas d’établir des lois qui la concernaient, et firent de ce jour-là un jour de fête, qu’ils dédièrent et consacrèrent particulièrement au dieu Janus, qu’on représentait à deux visages, l’un devant et l’autre derrière, comme regardant l’année passée et la prochaine. On lui faisait ce jour des sacrifices, et le peuple allait en foule au mont Tarpée, où Janus avait quelqu’autel, tous habillés de robes neuves. Néanmoins, quoique ce fût une fête, et même une fête solennelle, puisqu’elle était encore dédiée à Junon, qui avait tous les premiers jours de mois sous sa protection, le peuple ne demeurait pas sans rien faire ; chacun commençait à travailler à quelque chose de sa profession, afin de n’être pas paresseux le reste de l’année. Enfin, l’usage des étrennes devint peu à peu si fréquent sous les empereurs, que tout le peuple allait souhaiter la bonne année à l’empereur, et chacun lui portait son présent d’argent, selon son pouvoir. Auguste en recevait en si grande quantité, qu’il avait accoutumé d’en acheter et dédier des idoles d’or et d’argent, comme étant généreux, et ne veillant pas appliquer à son profit particulier les libéralités de ses sujets. Le dieu JanusTibère, son successeur, qui était d’une humeur plus sombre et n’aimait pas les grandes compagnies, s’absentait exprès les premiers jours de l’année, pour éviter l’incommodité des visites du peuple, qui serait accouru en foule pour lui souhaiter la bonne année. Ces cérémonies occupaient même si fort le peuple, les six ou sept premiers jours de l’année, qu’il fut obligé de faire un édit par lequel il défendait les étrennes, passé le premier jour. Caligula, qui posséda l’empire immédiatement après Tibère, fit savoir au peuple, par un édit, qu’il recevrait les étrennes le jour des calendes de janvier, qui avaient été refusées par son prédécesseur ; et pour cet effet il se tint tout le jour dans le vestibule de son palais, où il recevait à pleines mains tout l’argent et les présents qui lui étaient offerts par le peuple. Claude, qui lui succéda, abolit ce que son prédécesseur avait voulu rétablir, et défendit, par arrêt, qu’on n’eût point à lui venir présenter des étrennes, comme on avait fait sous Auguste et Caligula. Depuis ce temps, cette coutume demeura encore parmi le peuple. Les Romains pensaient qu’il y avait quelque chose de divin dans les commencements. Plus tard, le concile d’Auxerre, tenu en 587, défendit de faire, le premier jour de l’an, des sacrifices de génisses ou de biches et d’aller faire des vœux devant les arbres consacrés aux faux dieux. Les étrennes, jointes à des sacrifices, étaient véritablement diaboliques. Lorsqu’en France l’année débutait encore à Pâques, continuait-on de donner des étrennes le premier jour de janvier ? Il semble que oui. Dans les lettres du roi Jean, en date de juillet 1362 et contenant des statuts pour la confrérie des drapiers, il est dit « que ladite confrérie doit seoir le premier dimanche après les estraines, si celle de Notre-Dame n’y eschoit. » Le dimanche dont il est question ici est le premier dimanche de janvier, si l’on s’appuie sur le témoignage de Du Cange qui, dans son Glossaire, prouve, par différents passages, que lorsque l’année ne commençait qu’à Pâques, on ne laissait pas de regarder le premier jour de janvier comme le premier jour de l’année. Jour des étrennes. 1er janvier 1564L’ancienne chronique de Louis, duc de Bourbon, comte de Clermont, grand-chambrier de France conforte ce témoignage. On y lit au chapitre second : « De Clermont partit ledit duc Loys, s’en vint à son duché de Bourbonnois à Souvigny, où il arriva deux jours avant Noël, l’an de grâce 1363 ; et là vindrent par devers luis ses chevaliers et écuyers, et le quart jour des fêtes, dit aux chevaliers, le duc en riant : Je ne vous veux point mercier des biens que vous m’avez faicts, car si maintenant je vous en merciois, vous vous en voudriez aller, et ce me seroit une des grandes déplaisances que je pusse avoir... ; et je vous prie à tous que vous veuillez estre en compagnie le jour de l’an en ma ville de Molins, et là je vous veux étrenner de mon cœur et de ma bonne volonté que je veux avoir avec vous. » Et au troisième chapitre : « L’an qui courait 1363, comme dit est, advint que la veille du jour de l’an fut le duc Loys en sa ville de Molins, et sa chevalerie après lui... ; et le jour de l’an, bien matin, se leva le gentil duc pour recueillir ses chevaliers et nobles hommes pour aller à l’église de Notre-Dame de Molins ; et avant que le duc partist de sa chambre, les vint étrenner d’une belle ordre qu’il avait faicte, qui s’appeloit l’écu d’or. » Au chapitre cinq on lit enfin : « Si les commanda le duc à Dieu, et eux pris congé de lui se partirent... Les gens partis de cour, vint le jour des Rois, où le duc de Bourbon fit grande feste et lye-chère. » Rappelons que si sous les Mérovingiens, l’année commençait le 1er mars dans plusieurs de nos provinces, elle débuta à Noël sous Charlemagne, dans tous les territoires soumis à sa juridiction. Sous les Capétiens, le jour de l’an coïncidait avec la fête de Pâques, usage presque général au Moyen Age. En certains lieux, l’année changeait le 25 mars, fête de l’Annonciation. Le concile de Reims, tenu en 1235, mentionne cette date comme « l’usage de France ». C’est le roi Charles IX qui rendit obligatoire, en 1564, la date du 1er janvier comme origine de l’année. A la fin du XIXe siècle, avec l’apparition du Père Noël dans la publicité des grands magasins, la coutume d’offrir des cadeaux le 1er janvier disparut, le jour des étrennes se confondant dès lors avec celui de Noël : on offrit les cadeaux le 25 décembre. le]
Jéromine Santo Gammaire Mis à jour le 05/01/2015 | 15:58 , publié le 05/01/2014 | 09:10
insoupçonnés qu’il vous faut absolument découvrir.
Le Mexique regorge de paysages aussi sauvages que merveilleux. Une
richesse naturelle qui charme toute personne foulant les sols d’Amérique
centrale. Voici quelques endroits incontournables à visiter sans plus attendre.
Un magnifique quetzal dans la forêt de brouillard
La Cenote Samula avec ses racines qui tombe dans l’eau cristalline
Une plongée à Quintana Roo, sur le site Chac Mool Cenote
Des tortues olivâtres dans le golfe du Mexique
Le désert de Sonora
Copper Canyon à l’aube, Chihuahua
Les montagnes Sierra Hornaday
Une plage recouverte de lave séchée, en Basse-Californie du Sud
Une course de dauphins Stenella clymene
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Un cactus devant la mer de Cortez
Les tortues olivâtres de Kemp, sur la Pesca Beach (plage)
Les peintures rupestres de la Sierra de San Francisco
Un Oréophase cornu dans la réserve de biosphère El Triunfo
Un iguane à cornes et à queue plate dans le désert de Sonora
Les cascades de Aguacero à Chiapas
Quintana Roo, Yucatan
L’Axolotl, une espèce en danger
Une raie Mobula volante, dans la mer de Cortez
Des flamants d’Amérique, dans la réserve de Ria Lagartos
La caverne de Calcehtok, Yucatan
Des cactus en Basse-Californie du Sud
Arbre Boojum dans la réserve de la biosphère El Vizcaino
Des renards nains à Chihuahua
Les cascades d’Aguacero
Le Mexique cache bien des merveilles ! A la rédaction, beaucoup rêvent de
s’envoler pour cette destination incroyable qui laisse une grande place à
la nature vierge et sublime.
Alba Iulia a toujours été au centre des événements. Pendant deux mille ans,
l'histoire a décidé: Alba Iulia est l'autre capitale de la Roumanie!
Toutes les photos par Romulus Opriscan.
Bien sûr, la photographie en couleur était pas disponible à l'époque. "Les
images sont de rares exemples de processus de photochrom historique, une
technique d'impression qui a permis à des photographies en noir et
blanc pour être reproduits en couleur»,
Schwerin palais grand-ducal, Mecklembourg
La mairie de Wernigerode
Château de Sigmaringen
La côte autour de Westerland
Chambre, le château de Neuschwanstein, au sud de Munich
Château Heinstein près Trechtingshausen / Guild Hall des Bouchers, Hildesheim
Bastei pont
Frederick Bridge et la cathédrale de Berlin
Cuisine allemande traditionnelle
De nombreux sans domicile fixe (SDF) sont chaque jour contraints d’abandonner leurs chiens s’ils veulent être acceptés dans les structures d’hébergement d’urgence. Pour la plupart, cette
séparation est insupportable, tant le lien qui les unit à leur animal
est fort. Beaucoup préfèrent alors rester dehors, même par grand froid,
car ce compagnon d’infortune constitue bien souvent leur dernier lien
avec la société, et leur seul soutien.
Depuis plus de 10 ans, la péniche « Le Fleuron » amarrée sur les bords de Seine dans le 15ème arrondissement de Paris,
accueille chaque jour ces « passagers ». Un lieu unique dans la
capitale, au service des plus démunis et de leurs animaux en période de grand froid.
Pour Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d'Amis, « un peu de place et de bonne volonté, c'est tout ce qu'il fallait pour
accueillir ensemble des sans-abri et leurs chiens. S'organiser : c'était
le seul effort à faire pour ne pas laisser ni l’homme, ni l’animal
mourir de froid dans la rue. » Selon elle, « la réussite hors du commun du Fleuron laisse espérer que de nouveaux centres
d'hébergement dignes de ce nom verront enfin le jour rapidement partout
en France ».
Chaque hiver, « Le Fleuron » fait la démonstration que rien n'est impossible avec un peu de bonne volonté et de solidarité.
Pratique : Accueil des « passagers » - adressés par le Samu Social - 7 jours/7 à partir de 18h30
50 places, dont 25 avec animaux
150 bénévoles au total, 8 à 10 bénévoles chaque soir
Permanences médicales assurées 2 fois par semaine par deux médecins bénévoles
Permanence vétérinaire assurée par les étudiants volontaires de l’Ecole Vétérinaire de Maisons Alfort (94).
Important : Pour être accueilli à bord du Fleuron, il faut impérativement s'adresser aux services sociaux ou directement au Samu Social.
Si vous croisez des personnes démunies en situation d'urgence, n’hésitez pas : composez le 115 !
L'homme serait il un polleur en série ? si vous aviez des doutes, voici résumé en quelques secondes 58 ans
d'exploration spatiale et son résultat ... Il faut vraiment changer nos mauvaises habitudes ...
À la fin des années 80, Joan Lerma, alors président de la Generalitat Valenciana, a adopté l'idée de construire un scientifique et culturel
servir l'ensemble de la communauté. L'idée était rien de moins qu'un
professeur d'histoire des sciences à l'Université de Valence, José María
López Piñero.
Cette idée vise à donner à la ville un centre où ils pourraient acquérir des connaissances et de divertissement. Un lieu pour apprendre,
explorer et apprécier. Un espace à prévoir pour les habitants de
Valence, mais aussi peut être visité par des gens de partout dans le
monde.
Dans un effort pour développer un tel projet, Lerma a formé une équipe spéciale qui a chargé. Cette équipe se rendra dans différentes
régions du monde où de tels projets ont déjà été réalisés, afin de mieux
comprendre les besoins et apporter des réponses.
Le projet initial consistait en une tour de communications (il serait le troisième plus élevé à l'époque), un planétarium et un musée
des sciences.
Mais cette idée avait détracteurs dès le début. Les partis d'opposition suscité la controverse en disant que c'était un «travail
pharaonique" vise uniquement à fournir un échantillon de la puissance du
gouvernement de l'époque.
Cependant, malgré les obstacles, Lerma réussi à l'architecte espagnol
Santiago Calatrava à prendre en charge une grande partie de la
conception, et que les travaux pourraient commencer quelques mois plus
tard.
Cela n'a pas empêché l'opposition, qui a soulevé des plaintes et des griefs, et a réussi à arrêter la construction, de présenter un autre
projet "plus cohérente à l'échelle et de l'investissement."
Après des affrontements difficiles entre les parties, il a été décidé de procéder à la Cité des Arts et des Sciences, dans un projet
qui permettrait de maintenir deux des bâtiments principaux, remplacer la
tour de communication, et d'ajouter un nouvel élément au projet (y
compris l'architecte Félix Candela dans la conception). Après deux ans,
les travaux commencent de nouveau à façonner cet énorme investissement.
SituationLe projet fait partie d'une ville avec une longue histoire en Espagne. Appelés à être non seulement une contribution scientifique et
culturel, mais aussi un nouvel axe urbain qui articule la ville, le
projet s'étend sur une large bande de dégradé Valence.
En 1957, une forte hausse de la rivière Turia provoqué une catastrophe dans la ville de Valence. Après cette tragédie, il a été
décidé de détourner le fleuve au sud de la ville, et dans le lit de
rivière asséché et de construire une flotte de dix kilomètres de long
qui traverse la ville. La topographie dans lequel le projet est mis en
œuvre est plat et se trouve sur le côté droit du dernier tronçon de
l'ancien fleuve Turia. L'idée est de récupérer l'ancienne zone urbaine
entre le fleuve et l'autoroute Saler.
En raison de l'importance de cette route qui se termine sur la côte valencienne, et alimenté par le nouveau projet Calatrava a été
projeté également un coup de celui-ci. Cette nouvelle a déjà été
approuvé et attribué à deux grands cabinets d'architectes qui
travaillent ensemble: Ateliers Jean Nouvel (avec la collaboration de
José María Tomás Valencia), et GMP. Le principe est de créer un lien
entre la ville et la mer, de la dernière partie de la Cité des Arts et
des Sciences sur le même port, la restauration de plages et de générer
des espaces verts avec quelques tours.
ConceptL'idée du projet était de récupérer secteur prédominant de Valence reporté et donner du caractère au parc linéaire qui traverse la ville.
Le projet serait un maillon d'une chaîne qui était destiné à faire un
saut dans le troisième millénaire.
La série de cinq bâtiments conçus pour cette ville culturelle adhérer à l'axe linéaire. Accompagner le sens de celui-ci et fournir des
espaces ouverts et publics. En outre, les éléments caractéristiques de
Valence ajouté.
Sur près de deux kilomètres, et a une superficie de 350.000 mètres carrés, le projet porte le sceau inégalée Calatrava. Souvent
désigné comme «une ville dans la ville», la création de l'étonnement
cause de l'architecte valencien et de surprise.
Le respect de la tradition de la mer Méditerranée et de la lumière, le mélange bleu et blanc avec des pseudo-futuriste architecture
de l'auteur. La tradition ancienne de la ville et donnent lieu à ces
sculptures monumentales modernistes.
Chacun des bâtiments a projeté son propre concept et répond à différentes fonctions. Cependant, tous sont fabriqués avec les mêmes
matériaux et les mêmes couleurs, afin que vous puissiez comprendre le
projet comme un «tout». En outre, l'eau à grande unir toutes les parties
et donner une idée de l'œuvre.
EspacesPalais des Arts Reine SophieIl est le bâtiment principal du complexe. Il est situé sur la bordure occidentale de l'arbre et est un symbole de la ville majestueuse. Cette
composante représente l'engagement pour l'art, la diffusion de musique,
de danse et de théâtre. Leurs formes suggestives reportez-vous à la
navigation de plaisance et sont presque comme une métaphore d'un navire
qui s'était échoué dans le chenal de la rivière Turia ancienne.
Le bâtiment dispose de 37.000 mètres carrés et plus de 70 mètres de haut. A l'intérieur, il ya quatre grandes chambres: la salle
principale, l'Aula Magistral, un amphithéâtre, et Théâtre de Chambre. Et
à cela s'ajoute une salle d'exposition. Les places sont multiples et
variées. Dalles en porte à faux voler à des hauteurs différentes et sont
reliés par des escaliers cachés entre le côté du boîtier métallique, en
plus des ascenseurs avec vue panoramique sur la ville.
L'OmbraculeIl s'agit d'une structure allongée qui forme un espace en plein air. Par des portes de quai flottant et génère un endroit où il peut être vu
partout dans la ville des arts. Il abrite toute la végétation dans la
région de Valence (jara, le lentisque, le romarin, la lavande, le
chèvrefeuille, bougainvilliers, palmiers), ainsi que la visite des
sculptures contemporaines.
L'HemisfériqueCette création de Calatrava est devenu peut-être un des plus représentatifs de la Cité des Arts et des Sciences. Son apparence
particulière et clairement comme un globe oculaire ont mis au centre de
la scène. Face à l'L'Umbracle, est flanqué de deux bassins
rectangulaires au nord et au sud.
L'Hemisfèric dispose d'un espace technologique et pédagogique, avec des salles de cinéma IMAX, les médias audiovisuels, les dernières
technologies, et un planétarium. Il peut être commandé cours, des
présentations ou encore des spectacles de divertissement.
Museé des Sciences Prince PhillipA 40.000 pieds carrés sur trois étages. Son image à l'étranger semble être le squelette d'un animal préhistorique ou peut-être une énorme
baleine. La particularité d'être un musée scientifique interactif en
fait un lieu privilégié pour les jeunes et les enfants. Contrairement à
d'autres musée traditionnel, disparaître les marques de "toucher
interdit» et chaque échantillon invités à venir y participer,
d'apprendre dans chacune des interventions. Son enjouement et
descontracturado frappante autant que ces énormes «os» que pièces de
monnaie.
L'océanographiqueAvec un volume de 110.000m ² est devenu plus grands océanographiques européens dans le monde et troisième. Leurs 45.000 espèces du monde
entier font le visiter une connaissance approfondie de la mer profonde.
Votre lily-forme de couverture est l'œuvre de l'architecte Félix
Candela, avec la collaboration de Ingenieros CMD.
Structure et signification 'Musée des Sciences Prince Felipe et:' La conception est basée sur des nervures en forme de répétition structure asymétrique. Ces
nervures en métal blanc sont fixés par l'intermédiaire éléments
longitudinaux horizontaux qui entourent la façade en verre. Comme le
répète souvent Calatrava dans ses desseins, la structure est le
protagoniste et est toujours en vue.
'L'Oceanogràfic:' L'emblème bâtiment océanographique consiste construite en paraboloïde hyperbolique en béton, et simule une
forme nénuphar. Cette coquille entoure les parois de verre sont enceinte
à volume.
'L'Hemisfèric:' Le bâtiment se compose d'une structure en béton armé qui est couvert, sauf le métal, fixé sur un écran de
fondation des dalles à base de chant et grande. La numérotation est
faite de béton projeté sur la structure métallique formée par des
méridiens. La rigidité de la structure est réalisée en murs de béton
armé qui entourent le terrain dans le domaine de l'accès, et à travers
les planchers des diverses plantes et des terrasses poutres en pente.
L'enveloppe métallique est composée de cinq arcs extrémités tronçon de tiroir sont supportés sur des trépieds béton armé, à ses
extrémités. Les arcs sont reliés entre eux grâce à des profils laminés
et caissons courbes.
Les matériaux de revêtement utilisés en recherchant un équilibre entre les surfaces en béton et l'utilisation de l'immeuble: sol en
granit avec des formes différentes et des traitements, de la moquette
dans les murs du salon et des étangs, "Trincadis» dans la voûte en béton
et des étangs, et Acier inoxydable de structure.
'Palau de les Arts Reina Sofia:' Le couvercle ou la «plume» est l'élément structurel le plus spectaculaire de 230 mètres de
long et plus de 70 m. hauteur que les deux «coquilles» qui embrassent
l'extérieur du bâtiment, sont en acier laminé à un poids d'environ 3.000
tonnes. En dehors de tuile enduite. Les dimensions maximales de
l'enveloppe du bâtiment en tenant compte des formes courbes qui se
forment sont de 163 m. de long et 87 m. de largeur.
Utilisés dans sa construction:
Plus de 77.000 mètres cubes de béton. Avec plus de 275.000 mètres cubes de terrassements À propos de 1.750 mètres de pieux 38500 pieds carrés de granit Plus de 20.000 pieds carrés de trencadís Plus de 1.450 unités de portes 3360 mètres carrés de verre. Près de 20 millions de livres de tôle ondulée structurelle Plus de 10 millions de livres de l'acier de construction 'L'Umbracle:' Calatrava a conçu dès le départ en béton blanc, comme le reste de la série, avec des pièces de métaux lourds. Sa
structure est semblable à un treillis, avec une succession de 55 et fixe
54 arches flottantes métalliques. La hauteur maximale du pied des
arceaux fixés à la clé variable, est de 18 mètres. La visite couvre le
plancher en teck, un bois tropical adapté pour l'extérieur, car il
supporte les agressions du vent et de la pluie avec un minimum d'usure.
Saviez-vous que la #France est le deuxième producteur mondial de #caviar derrière l'Italie ?
Même si ce mets de luxe est encore associé dans notre imaginaire à la Russie et à l'Iran,
l'importation d' #esturgeons sauvages en Europe est désormais interdite.
L' #élevage en eau douce a donc pris le relais dans plusieurs régions de l'Hexagone.
Mais ne regrettez pas les caviars sauvages d'autrefois : nos caviars tricolores sont à la hauteur et
s'invitent à la table des restaurants étoilés...?
Si la tradition de donner des étrennes nous vient des Romains, celle d’envoyer des cartes de voeux
à l’occasion du Nouvel An est beaucoup plus récente. Elle s’est développée en France au début
du XIXe siècle. Avant cette date, l’usage voulait que l’on rende visite à ses proches en personne.
Histoire de la carte de voeux La carte de voeux est née en Angleterre au XIXe siècle,
avec l'apparition du premier timbre-poste (en 1840) et l’invention de la lithographie.
Si le timbre facilita l’envoi du courrier, c’est le procédé de lithographie qui popularisa les cartes voeux.
Les premières cartes étaient des cartes de Noël envoyées pendant la période de l'Avent pour
souhaiter un Joyeux Noël et présenter ses voeux pour la nouvelle année.
A partir de l’Angleterre, la mode des cartes de Noël s’est répandue dans toute l'Europe.
Or, il existait en France une coutume ancienne dont ne subsiste aujourd’hui que la tradition
des étrennes : les visites du Nouvel An.
La coutume voulait que l’on rende visite à l’ensemble de son entourage (famille, amis, collègues et patron)
dans les quinze jours quisuivaient le 1er janvier. A l’époque, il était courant de s'abstenir
d'une visite en laissant, pour preuve de son passage, une carte de visite portant une formule de voeux.
Parallèlement, on échangeait des lettres au moment de la nouvelle année pour présenter ses voeux et
renouer des amitiés ou donner des nouvelles à des connaissances éloignées.
La carte de voeux illustrée s’est progressivement imposée en France pour perpétuer ces deux coutumes.
Dans les années 1930, elle remplaça définitivement l’usage de la carte de visite ou du papier à lettres.
Elle offrait en effet un bon compromis entre le message bref de la carte de visite et la rédaction d’une longue lettre…
De la carte papier à la carte virtuelleAvec l'avènement de l’informatique et des téléphones portables, il est
devenu courant de présenter ses voeux par SMS ou par mail.
Vous avez désormais le choix au moment de présenter vos voeux pour la nouvelle année.
Et si le courrier électronique ou le SMS vous semblent trop impersonnels, vous pouvez opter pour une carte virtuelle.
D'une utilisation simple et pratique, elle a pour avantage d’être joliment illustrée et gratuite !
Mais que les inconditionnels de la carte papier se rassurent, les cartes de voeux sur papier glacé ne sont pas en voie de disparition.
Plus durables et précieuses, les cartes écrites à la main ont encore du succès.
Pour rendre l’attention encore plus délicate, certains les fabriquent eux-mêmes avec des dessins,
des collages et un texte personnel avant de les envoyer par la Poste avec un joli timbre…
Le plaisir est alors partagé : celui de la réaliser pour l’expéditeur et de la recevoir pour le destinataire.
Ecrire une carte de voeux.
Pour sacrifier au rituel de la carte de voeux, il ne suffit pas de l’envoyer. Encore faut-il trouver une belle formule, si possible personnalisée, pour exprimer son affection ou se rappeler au souvenir de personnes que l'on ne voit pas souvent.
Certaines personnes en profitent pour donner des nouvelles, par le biais d’un petit texte accompagné de photos des enfants ou
petits-enfants.
D'autres optent plutôt pour une citation à portée philosophique ou morale, à méditer pour commencer l’année avec un peu plus de sagesse ou d’espoir.
Audrey Vautherot
En parlant des étrennes, on ne peut se dispenser de remonter, non pas aux Grecs, mais du moins aux Romains, inventeurs de cet usage. Le premier endroit de l’histoire romaine nous apprenant cette coutume
est de Symmachus, auteur ancien, qui nous rapporte qu’elle fut
introduite sous l’autorité du roi Tatius Sabinus, qui reçut le premier la verbène (verveine) du bois sacré de la déesse Strénia, pour le bon augure de la nouvelle année.
Soit que les Romains imaginassent quelque chose de divin dans la verbène, soit qu’ils faisaient allusion au nom de cette
déesse Strénia, dans le bois de laquelle ils prenaient la verbène, avec
le mot de strenuus, qui signifie vaillant et généreux : aussi le mot strena, qui signifie étrenne, se trouve quelquefois écrit strenua chez les Anciens, pour témoigner que c’était proprement aux personnes
de valeur et de mérite qu’était destiné ce présent, et à ceux dont
l’esprit tout divin promettait plus par la vigilance que par l’instinct
d’un heureux augure.
Tatius, roi des SabinsAprès ce temps-là, l’on vint à faire des présents de figues, de dattes et de
miel, comme pour souhaiter aux amis qu’il n’arrivât rien que d’agréable
et de doux pendant le reste de l’année. Ensuite les Romains, quittant
leur première simplicité, et changeant leurs dieux de bois en des dieux
d’or et d’argent, commencèrent à être aussi plus magnifiques en leurs
présents, et à s’en envoyer ce jour-là de différentes sortes, et plus
considérables ; mais ils s’envoyaient particulièrement des monnaies et
médailles d’argent, trouvant qu’ils avaient été bien simples, dans les
siècles précédents, de croire que le miel fût plus doux que l’argent,
comme Ovide le fait agréablement dire à Janus.
Avec les présents, ils se souhaitaient mutuellement toute sorte de bonheur et de prospérité pour le reste de l’année, et se donnaient des
témoignages réciproques d’amitié : et comme ils prenaient autant
d’empire dans la religion que dans l’Etat, ils ne manquèrent pas
d’établir des lois qui la concernaient, et firent de ce jour-là un jour
de fête, qu’ils dédièrent et consacrèrent particulièrement au dieu
Janus, qu’on représentait à deux visages, l’un devant et l’autre
derrière, comme regardant l’année passée et la prochaine. On lui faisait
ce jour des sacrifices, et le peuple allait en foule au mont Tarpée, où
Janus avait quelqu’autel, tous habillés de robes neuves.
Néanmoins, quoique ce fût une fête, et même une fête solennelle, puisqu’elle était encore dédiée à Junon, qui avait tous les premiers
jours de mois sous sa protection, le peuple ne demeurait pas sans rien
faire ; chacun commençait à travailler à quelque chose de sa profession,
afin de n’être pas paresseux le reste de l’année.
Enfin, l’usage des étrennes devint peu à peu si fréquent sous les empereurs, que tout le peuple allait souhaiter la bonne année à
l’empereur, et chacun lui portait son présent d’argent, selon son
pouvoir. Auguste en recevait en si grande quantité, qu’il avait
accoutumé d’en acheter et dédier des idoles d’or et d’argent, comme
étant généreux, et ne veillant pas appliquer à son profit particulier
les libéralités de ses sujets.
Le dieu JanusTibère, son successeur, qui était d’une humeur plus sombre et n’aimait pas les
grandes compagnies, s’absentait exprès les premiers jours de l’année,
pour éviter l’incommodité des visites du peuple, qui serait accouru en
foule pour lui souhaiter la bonne année. Ces cérémonies occupaient même
si fort le peuple, les six ou sept premiers jours de l’année, qu’il fut
obligé de faire un édit par lequel il défendait les étrennes, passé le
premier jour. Caligula, qui posséda l’empire immédiatement après Tibère,
fit savoir au peuple, par un édit, qu’il recevrait les étrennes le jour
des calendes de janvier, qui avaient été refusées par son
prédécesseur ; et pour cet effet il se tint tout le jour dans le
vestibule de son palais, où il recevait à pleines mains tout l’argent et
les présents qui lui étaient offerts par le peuple.
Claude, qui lui succéda, abolit ce que son prédécesseur avait voulu rétablir, et défendit, par arrêt, qu’on n’eût point à lui venir
présenter des étrennes, comme on avait fait sous Auguste et Caligula.
Depuis ce temps, cette coutume demeura encore parmi le peuple. Les
Romains pensaient qu’il y avait quelque chose de divin dans les
commencements.
Plus tard, le concile d’Auxerre, tenu en 587, défendit de faire, le premier jour de l’an, des sacrifices de génisses ou de biches et d’aller
faire des vœux devant les arbres consacrés aux faux dieux. Les
étrennes, jointes à des sacrifices, étaient véritablement diaboliques.
Lorsqu’en France l’année débutait encore à Pâques, continuait-on de donner des étrennes le premier jour de janvier ? Il semble que oui. Dans
les lettres du roi Jean, en date de juillet 1362 et contenant des
statuts pour la confrérie des drapiers, il est dit « que ladite
confrérie doit seoir le premier dimanche après les estraines, si celle
de Notre-Dame n’y eschoit. » Le dimanche dont il est question ici est le
premier dimanche de janvier, si l’on s’appuie sur le témoignage de Du
Cange qui, dans son Glossaire, prouve, par différents passages, que
lorsque l’année ne commençait qu’à Pâques, on ne laissait pas de
regarder le premier jour de janvier comme le premier jour de l’année.
Jour des étrennes. 1er janvier 1564L’ancienne chronique de Louis, duc de Bourbon, comte de Clermont, grand-chambrier
de France conforte ce témoignage. On y lit au chapitre second : « De
Clermont partit ledit duc Loys, s’en vint à son duché de Bourbonnois à
Souvigny, où il arriva deux jours avant Noël, l’an de grâce 1363 ; et là
vindrent par devers luis ses chevaliers et écuyers, et le quart jour
des fêtes, dit aux chevaliers, le duc en riant : Je ne vous veux point
mercier des biens que vous m’avez faicts, car si maintenant je vous en
merciois, vous vous en voudriez aller, et ce me seroit une des grandes
déplaisances que je pusse avoir... ; et je vous prie à tous que vous
veuillez estre en compagnie le jour de l’an en ma ville de Molins, et là
je vous veux étrenner de mon cœur et de ma bonne volonté que je veux
avoir avec vous. »
Et au troisième chapitre : « L’an qui courait 1363, comme dit est, advint que la veille du jour de l’an fut le duc Loys en sa ville de
Molins, et sa chevalerie après lui... ; et le jour de l’an, bien matin,
se leva le gentil duc pour recueillir ses chevaliers et nobles hommes
pour aller à l’église de Notre-Dame de Molins ; et avant que le duc
partist de sa chambre, les vint étrenner d’une belle ordre qu’il avait
faicte, qui s’appeloit l’écu d’or. » Au chapitre cinq on lit enfin :
« Si les commanda le duc à Dieu, et eux pris congé de lui se
partirent... Les gens partis de cour, vint le jour des Rois, où le duc
de Bourbon fit grande feste et lye-chère. »
Rappelons que si sous les Mérovingiens, l’année commençait le 1er mars dans plusieurs de nos provinces, elle débuta à Noël sous
Charlemagne, dans tous les territoires soumis à sa juridiction. Sous les
Capétiens, le jour de l’an coïncidait avec la fête de Pâques, usage
presque général au Moyen Age. En certains lieux, l’année changeait le 25
mars, fête de l’Annonciation. Le concile de Reims, tenu en 1235,
mentionne cette date comme « l’usage de France ». C’est le roi
Charles IX qui rendit obligatoire, en 1564, la date du 1er janvier comme origine de l’année.
A la fin du XIXe siècle, avec l’apparition du Père Noël dans la publicité des grands magasins, la coutume d’offrir des cadeaux le 1er
janvier disparut, le jour des étrennes se confondant dès lors avec celui
de Noël : on offrit les cadeaux le 25 décembre.
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Jéromine Santo Gammaire Mis à jour le 05/01/2015 | 15:58 , publié le 05/01/2014 | 09:10
Par Parth KOTHEKARartiste de Ahmedabad (Inde)