(à l’occasion de l’inauguration des crèches de Noël 3 décembre 2015)
Mesdames, Messieurs les élus,
Mesdames, Messieurs les présidents d’associations,
Mesdames, Messieurs,
Je suis très heureux de vous voir si nombreux pour l’inauguration officielle de nos crèches de Noël.
Comme vous le savez, je me suis engagé dès le début de mes fonctions à garantir cette magnifique tradition chrétienne, une tradition profondément ancrée en Provence et plus particulièrement à Fréjus.
Car oui…, Fréjus, n’en déplaise à certains, est une ville chrétienne, forgée par les Romains, elle fut par la suite le siège de l’évêque catholique, elle vit le clocher de Saint-Léonce s’élever vers les cieux,elle accueillit le saint sauveur François de Paule, et désormais elle perpétue presque deux millénaires de foi chrétienne en préservant ses traditions et son histoire.
J’ai aujourd’hui, une pensée toute particulière, alors que nous dévoilons nos crèches de Noël dans la paix et la joie, une pensée émue et sincère envers mes frères chrétiens persécutés au Moyen-Orient et partout là où l’intolérance et le radicalisme religieux règnent.
Ces chrétiens d’Orient, de Syrie et d’Irak, ces coptes d’Egypte, qui chaque jour risquent leurs vies quant ils n’aspirent qu’à la paix et qu’ils ne vivent que pour l’Amour.
En ce moment, mes pensées vont vers eux…
Alors, en ce qui concerne cette inauguration,elle a pris une tournure politique voire polémique lorsque le Président de l’Association des Maires de France, François Baroin, et son vice-président Christian Estrosi, des Républicains, ont décidé au lendemain des attentats de publier un rapport sur la possibilité législative de supprimer l’installation des crèches au sein des Mairies…
Oui ces messieurs, n’ont rien trouvé de mieux, le deuil national à peine achevé de proposer cette mesure insultante et choquante.
Vous le savez peut-être, avec un certain nombre de Maires du Var et de partout en France, nous avons décidé de quitter cette association.
Nous avons aussi décidé, coûte que coûte, malgré les pressions de cette caste inculte et méprisante, de préserver nos traditions…
ici, je le répète, chaque année, chaque début décembre, nous installerons une crèche dans la Mairie !
Nous ne lâcherons rien sur ce point !
Nos valeurs, nos traditions, nos coutumes ne sont pas à vendre, elles ne sont pas un compromis ou une variable, elles font partie de la Nation Française, elles sont en nous, elles sont le ciment, le terreau, les racines de chacun d’entre nous.
C’est ici, en Provence que l’ordre latin et chrétien s’est imposé pour ensuite se diffuser aux quatre coins de tout le pays.
C’est Lazare, premier évêque de Provence, c’est Marie Madeleine, la pécheresse sauvée par le Christ qui finit sa vie ici, sur nos terres, ce sont les fiers clochers de nos villes et de nos villages, ce sont les légendes et les mythes, le pain et l’aumône, la foi et la charité.
Ainsi, les crèches ne sont pas une lubie que nous avons, ce n’est pas une épine dans le pied des biens pensants bobos de Paris.
Les crèches, c’est avant tout une communion ffamiliale, c’est le symbole d’une naissance, la naissance d’un enfant, celle que j’en suis sur, beaucoup d’entre vous mesdames, ont déjà vécu.
C’est l’histoire d’une famille…, des familles, qui n’a pas ici, le souvenir des ces moments partagés lorsque l’Hiver s’annonçait dans les rues et dans les campagnes, ce souvenir d’une famille réunie qui construit, étape par étape la crèche au pied du sapin.
Cette tradition impérissable, nous la transmettons, nous la reproduisons et cela depuis des siècles.
C’est ici la transmission du savoir, de l’héritage de nos pères et de nos mères…
Le passé perdurant, le présent immuable assurent notre futur éternel.
Oui nos traditions sont aussi cela… l’éternité face au doute, l’éternité face aux bouleversements : ce sont ces familles fréjusiennes qui en décembre 1959, meurtries par la rupture du barrage de Malpasset, ont tout de même fêté Noël et ont mis le petit enfant Jésus au creux de leurs crèches lorsque les cloches de minuit sonnèrent.
Ce sont aussi ces familles fréjusiennes endeuillées et massacrées par les invasions barbares, par la grande peste noire, par les deux Guerres mondiales…
Oui ce sont toutes ces familles qui se sont inlassablement réunis dans la foi, les larmes se mêlant aux pensées d’espérance.
Oui de l’Espoir, l’espoir, cette pensée qui ne meurt jamais, tellement bien incarné par la naissance de l’enfant de Bethléem : ce fils, premier né, enveloppé de simples linges et placé dans une crèche.
Cet enfant, entouré d’espoir et de vie qui a durant sa courte existence prêché la vie face à la mort.
La vie à Fréjus a donc toujours vaincu la mort : la Bravade en témoigne, la crèche en témoigne, le soleil couchant sur nos murs millénaires en témoigne !
Mes amis, chers Fréjusiens, Fréjus est espérance, Fréjus est éternelle…
La France est une idée d’espoir, la France est une Nation éternelle !
Que vivent les crèches de Noël, que vive Fréjus et que vive la France !!!
******* Patrick: Bien que Noël 2015 vient juste de finir, je veux publier ce magnifique discours d'un maire de France qui se tient pour ses convictions. Je suis entièrement d'accord avec lui, étant un chrétien moi-même, je ne peux que l'approuver. La France, mon beau pays, est fondé sur des valeurs ancestrales; ces valeurs, nous les chérissons et nous ne voulons pas qu'elles disparaissent! Elles sont notre identité nationale, le sang qui coule dans nos veines, ce pourquoi nous nous sommes battus depuis des siècles. C'est une France chrétienne que nous voulons garder,avec des valeurs chrétiennes; notre héritage!
Claire Chazal: après son licenciement, la reine du JT fait son retour à la télé. Claire Chazal, 58 ans, a présenté le 13 septembre dernier son dernier JT, après 24 ans de règne sur les journaux du week-end de la chaîne
Claire Chazal, 58 ans , évincée du JT de TF1 depuis la rentrée, devrait faire un retour très remarqué à la télévision sur France 5 dès le début de l'année 2016 en présentant «Entrée Libre». La journaliste va remplacer Laurent Goumarre à la présentation du journal culturel de France 5 diffusé de 20 h 15 à 20 h 30 en concurrence directe... avec le JT de TF1.
Pour les inconditionnels de l'ex-reine du JT de TF1 il s'agit d'une très bonne nouvelle comme on peut le constater à travers les nombreux messages postés par les internautes sur les réseaux sociaux.
Un Astronaute Compose Un Faux Numéro: «Bonjour, Est-ce Bien La Terre ? » L'astronaute Tim Peake, photographié le 15 décembre avant son décollage pour l'espace. Photo Dmitry Lovetsky, AP L'astronaute britannique Tim Peake, actuellement à bord de la Station spatiale internationale (ISS), s'est excusé vendredi auprès d'une dame qu'il a appelée par erreur depuis l'espace en demandant : « Bonjour, est-ce bien la Terre ? ». « Ce n'était pas un canular, seulement un faux numéro », a-t-il expliqué sur Twitter. « J'aimerais m'excuser auprès de la dame que je viens juste d'appeler par erreur en lui demandant "Bonjour, est-ce bien la Terre?" », a-t-il ajouté. Ce n'est pas la première fois que « Major Tim », qui a rejoint l'ISS le 15 décembre pour une mission de six mois, galère avec ses coups de fil à la Terre. Lundi, il a raconté comment le téléphone avait sonné dans le vide lorsqu'il avait essayé de joindre ses parents Nigel et Angela. Il leur a laissé un message sur leur répondeur. Tim Peake, 43 ans, fait l'objet d'une attention maximale au Royaume-Uni où les médias rapportent ses moindres faits et gestes dans l'espace. Il faut dire qu'il est le tout premier Britannique à se rendre à bord de l'ISS et seulement le deuxième dans l'espace, après Helen Sharman en 1991. Il a décollé le 15 décembre du cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, en compagnie de l'Américain Tim Kopra et du commandant de bord russe Iouri Malentchenko. Les trois hommes avaient dû s'amarrer manuellement à l'ISS à cause d'un problème technique.
Découvrez 17 des villages les plus charmants de France
Vous cherchez des coins charmants figés dans le temps ? Abritant plus de 36 000 communes (plus que tout autre pays d’Europe), la France abrite tellement de villages pittoresques qu’il serait impossible de tous les nommer. Mais il y en a certains qui sortent du lot malgré tout. Envie de partir au vert ? . 1. Eguisheim, Haut-Rhin Situé dans le Haut-Rhin à deux pas de Colmar, Eguisheim est l’un des plus beaux villages d’Alsace. Vous pourrez explorer les ruelles du pittoresque centre-ville, visiter le château où vivaient autrefois les comtes d’Eguisheim ou encore visiter le château du Hohlandsbourg. Si vous êtes amateur de bons vins, n’hésitez pas à faire un tour le long de la route du vin. En chemin, peut-être rencontrerez-vous Hubert et Heidi Hausherr, deux vignerons indépendants qui produisent du très bon vin d’Alsace. Centre-ville d’Eguisheim
2. Barfleur, Manche Situé au nord-est de la Manche, Barfleur est l’un des plus jolis villages de France. Vous pourrez admirer un pittoresque port, un charmant petit centre-ville ainsi que visiter le phare de Gatteville. Après une fatigante montée de 365 marches, vous atteindrez le sommet du phare et vous pourrez admirer un magnifique panorama. Maison traditionnelle à Barfleur
3. Moustiers-Sainte-Marie, Alpes-de-Haute-Provence Entouré par des champs de lavande, Moustiers-Saint Marie est l’un des plus beaux villages de France. Situé dans les hautes Alpes au cœur du parc régional du Verdon, ce village est réputé pour son étoile suspendue au-dessus du vide. Une fois la visite du village terminée, n’hésitez pas à visiter le musée de la faïence pour en savoir plus sur les produits d’artisanat local. Vue panoramique de Moustiers-Sainte-Marie
4. Pesmes, Haute-Saône Situé au cœur de la Haute-Saône, Pesmes est un gros village (1 099 habitants) considéré comme l’un des plus beaux de France. Le temps semble s’y être arrêté. Vous pourrez admirer une belle enceinte médiévale, des forges ou encore admirer la paisible Ognon - la rivière qui traverse le village. Si vous avez envie d’acheter un souvenir, shopping, rendez-vous à l’atelier d’Oléanne. Vous pourrez trouver un vaste choix d’huiles végétales issues de l’agriculture biologique. Le paisible village de Pesmes
5. Lavardin, Loir-et-Cher Situé au bord du Loir, Lavardin est un très vieux village - il existait déjà au temps des Gaulois sous le doux nom de Labricinum. Comptant 199 habitants, ce petit village abrite une pittoresque église (Eglise Saint Genest) ainsi qu’un impressionnant château en ruines. Prenez le temps de vous promener dans le vieux centre du village. Vous découvrirez des trésors insoupçonnés au détour d’une ruelle. Toit du village et château de Lavardin
6. Roussillon, Vaucluse Situé au cœur du parc naturel du Lubéron, Roussillon - qui compte un peu plus de 1000 habitants - est l’un des plus beaux villages de France. Commencez votre séjour en explorant les ruelles du vieux centre puis promenez-vous le long du sentier des Ocres ou à la chaussée des géants, où vous pourrez admirer des paysages qui vous rappelleront sans doute le Grand Canyon. Ce n’est pas pour rien que ce lieu est surnommé le « Colorado Provençal ». Si toutes ces visites vous ont donné faim, nous vous recommandons de manger chez David ou au P’tit Gourmand, deux des meilleurs restaurants du village. Roussillon, un village connu pour ses ocres
7. Baume-les-Messieurs, Jura Situé au cœur de la nature jurassienne, Baume-les-Messieurs est l’endroit idéal où aller si vous avez envie de partir au vert. Considéré comme l’un des plus beaux villages de France, le village abrite une jolie abbaye impériale qui vous permettra de remonter le cours du temps. Si vous aimez la nature, n’hésitez pas à vous aventurer à l’extérieur du village. Vous pourrez visiter une grotte, admirer la resplendissante cascade des tufs ou encore vous promener au beau milieu de forêts entourées de majestueuses collines. Baume-les-Messieurs, un village pittoresque
8. Piana, Corse du Sud Piana est l’un des plus beaux villages de Corse. Situé dans l’ouest de l’île de Beauté, Piana est réputé pour ses magnifiques calanques qui sont inscrites au patrimoine mondial de l’UNESCO. Une fois la visite du pittoresque village terminée, vous pourrez admirer le joli canyon du Dardo ou le coucher du soleil derrière le mont Capu Rossu. Ne manquez pas d’admirer les calanques de Piana
9. Rocamadour, Lot Niché le long d’une falaise abrupte surplombant l’Alzou, Rocamadour est l’un des plus beaux villages du Lot et de France. Vous pourrez admirer de beaux sanctuaires ainsi que de nombreux édifices qui datent du XIXe siècle. Rocamadour est le paradis des passionnés du moyen-âge : vous pourrez admirer le Durandal - un spectacle avec des comédiens à cheval. Ne manquez pas de visiter la forêt des singes et le rocher des aigles. Si vous avez le temps, n’hésitez pas à faire un tour du côté de la grotte préhistorique des Merveilles. Vous pourrez y admirer quelques peintures rupestres. Rocamadour a été construite sur le flanc d’une colline
10. Castelnou, Pyrénées-Orientales Situé à 20 kilomètres au sud-ouest de Perpignan, Castelnou est un charmant petit village qui abrite un pittoresque château d’où vous pourrez admirer une jolie vue sur le village en contrebas. Si vous disposez d’une voiture, n’hésitez pas à visiter l’abbaye de Saint-Martin du Canigou. Fondée au Xe siècle par des moines bénédictins, cette magnifique abbaye se situe à une heure de route environ de Castelnou. La charmante bourgade de Castelnou
11. Sainte-Enimie, Lozère Situé au beau milieu des gorges du Tarn, Sainte-Enimie est un des plus beaux villages. Prenez le temps d’arpenter les ruelles pavées du vieux centre pour admirer les maisons qui émanent un délicieux parfum d’autrefois. Sainte-Enimie est également le paradis des amateurs de grands espaces. Vous pourrez faire du canoë/kayak dans les gorges du Tarn, faire de la randonnée ou louer un VTT pour explorer la nature environnante. Une ruelle du vieux centre de Sainte-Enimie
12. Saint-Cirq-Lapopie, Lot Situé au cœur du parc régional des Causses, Saint-Cirq-Lapopie a été élu « village préféré des Français » en 2012. Il faut dire que ce village médiéval qui surplombe le Lot du haut d’une falaise de 100 mètres de haut est magnifique. Le village abrite pas moins de 13 monuments historiques. Commencez votre visite par le chemin des Brigands. Vous pourrez admirer d’anciennes maisons, découvrir des boutiques d’artisanat et admirer une jolie vue sur la vallée du Lot. Ne manquez pas d’admirer la pittoresque église ainsi que la grotte du sorcier. Enfin, si vous avez le temps, nous vous recommandons de faire une croisière. Cela vous permettra d’admirer la magnifique vallée du Lot, qui est truffée de petits villages plus beaux les uns que les autres. Saint-Cirq-Lapopie fut élu village préféré des Français en 2012
13. Locronan, Finistère Situé non loin de Douarnenez, Locronan est l’un des plus jolis villages du Finistère et même de France ! Admirez la place de l’Église ainsi que la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle, qui abrite une jolie petite fontaine. Si ces visites vous ont affamées, rendez-vous à Ty Kouign Amann. Vous pourrez déguster de délicieux Kouign Amman - le gâteau traditionnel breton par excellence - mais aussi de délicieux biscuits et chocolats. Bon appétit ! Locronan, un joli village Breton
14. Brousse-le-château, Aveyron Situé au cœur de l’Aveyron, Brousse-le-château est l’un des villages les plus charmants de France. Comme vous pouvez vous en douter, le village abrite... un magnifique château médiéval dont la visite vous permettra de remonter le cours du temps. Ne manquez pas d’explorer les alentours : la région abrite de nombreux trésors cachés qui sauront ravir les voyageurs les plus exigeants. Vue panoramique sur le village de Brousse-le-château
15. Turenne, Corrèze Située au cœur de la Corrèze, Turenne (800 habitants) abrite de nombreux bâtiments notamment la Tour César (construite au XIIe siècle), la maison Livet et la maison Cheyroux, toutes deux construites au cours du XVe siècle. Ne manquez pas d’admirer le château. Vous aurez une magnifique vue sur le village et la campagne alentour. Le village abrite également quelques bons restaurants comme La Vicomte ou le Vieux Séchoir où vous pourrez déguster des spécialités du terroir. Turenne abrite de nombreuses maisons anciennes dont certaines furent construites au XVe siècle
16. Gordes, Vaucluse Situé dans le Lubéron, Gordes est l’un des plus beaux villages de France. Vous pourrez admirer des abbayes anciennes - comme l’abbaye de Sénanque - des moulins à eau et de nombreuses maisons construites il y a des siècles déjà. Ne manquez pas de visiter le village des bories ainsi que le musée du verre et du vitrail, où vous pourrez admirer de nombreuses œuvres en verre. Abbaye de Gordes
17. Mosset, Pyrénées-Orientales Mosset est l’un des plus beaux villages du sud de la France. Entouré de montagnes, ce village abrite de nombreux bâtiments intéressants à visiter, parmi lesquels figurent la tour des Parfums, la tour de Mascarda ou encore de vieux édifices religieux comme l’église Saint-Julien-le-Vieux, aujourd’hui en ruine. Si vous en avez la possibilité, louez un âne à « Les anes de la Licorne ». Cela vous permettra de randonner sans avoir à porter un lourd sac à dos et vos enfants seront ravis de leur nouveau compagnon de route. Le village de Mosset est entouré de montagnes
Nous sommes conscient qu’il existe de nombreux autres villages pittoresques absents dans cette liste et en sommes désolés - nous ne pouvons pas parler de tous les jolis villages de France dans un seul et même article !
La Thaïlande Enregistre Un Nombre Record De Touristes En 2015. Quelque 29,6 millions de visiteurs étrangers se seront rendus en Thaïlande en 2015, contre 24,8 millions en 2014. Photo Adam Ferguson, Archives The New-York TimesYork Times Agence France-PresseBankok
La Thaïlande a accueilli en 2015 près de 30 millions de touristes, établissant un nouveau record, et annonce vouloir se concentrer sur le haut de gamme, alors que ce pays fut longtemps une destination de choix pour les vacanciers peu fortunés. La Thaïlande a accueilli en 2015 près de 30 millions de touristes, établissant un nouveau record, et annonce vouloir se concentrer sur le haut de gamme, alors que ce pays fut longtemps une destination de choix pour les vacanciers peu fortunés.
Le tourisme, qui avait été fortement touché en 2013 et 2014 par les violentes manifestations ayant paralysé la capitale Bangkok pendant six mois, semble avoir tourné la page de cette période noire. Cette année, quelque 29,6 millions de visiteurs étrangers se seront rendus dans le royaume contre 24,8 millions en 2014, a déclaré vendredi la ministre de Tourisme et des Sports Kobkarn Wattanavrangkul. En 2016, l'objectif du gouvernement est d'accueillir 32 millions de touristes. Les militaires au pouvoir depuis le coup d'État de mai 2014 sont très attentifs au secteur touristique, l'un des seuls points forts d'une économie en berne et qui peine à repartir. «Notre objectif est de nous concentrer sur la qualité et de faire en sorte que les touristes restent plus longtemps et dépensent plus d'argent», a déclaré Kobkarn Wattanavrangkul. Cette dernière a ensuite précisé quelles étaient les cibles : les femmes ainsi que les adeptes de vacances de luxe et du tourisme sportif. «Les revenus du tourisme représentent maintenant 14,5% du PIB», a-t-elle ajouté. Dans une note récente, Krystal Tan, analyste pour Capital Economics, estimait que le tourisme en Thaïlande avait bien résisté à l'attentat à la bombe qui a secoué le coeur de Bangkok en août. «En 2015, nous estimons que le tourisme contribuera à hauteur de deux points de pourcentage à la hausse du PIB. Sans ce coup de pouce, l'économie aurait à peine progressé», écrit-elle. Le gouvernement table sur une hausse du PIB située entre 2,7 et 3,2% cette année, soit un peu mieux que l'an dernier mais qui restera l'une des plus mauvaises performances de la région. Certains économistes indépendants tablent plutôt de leur côté sur 2,5%. Depuis le coup d'État de mai 2014, le général Prayut Chan-O-Cha, à la tête de la junte, a mis l'accent sur sa volonté de redresser l'économie, mais la reprise se fait attendre. Source: Temple blanc de Thaïlande est à couper le souffle.
La structure, qui est un temple bouddhiste contemporain, a été construit en 1997 par l'artiste Chalermchai Kositpipat. Son extrême beauté (certains pourraient dire divine) en fait une attraction touristique de premier plan. Malheureusement, le temple a été lourdement endommagé par un séisme en mai 2014, et il est maintenant structurellement défectueux. Cependant Kositpipat a travaillé non-stop pour restaurer le temple. Il dit qu'il va consacrer le reste de sa vie à le remettre à neuf...but qu'il s'est fixer!!! La consommation des ménages et la production manufacturière sont les deux maillons faibles de l'économie du royaume, où le secteur agricole est également en difficulté en raison de la baisse des prix du riz et du caoutchouc.
Le séisme du 26 décembre 2004 dans l'océan Indien s'est produit au large de l'île indonésienne de Sumatra avait une magnitude 9,1 à 9,31,2. L'épicentre se situe à la frontière des plaques tectoniques eurasienne et indo-australienne3. Ce tremblement de terre a eu la quatrième magnitude la plus puissante jamais enregistrée dans le monde4. Il a soulevé jusqu'à 6 mètres de hauteur une bande de plancher océanique longue de 1 600 kilomètres. Le tremblement de terre a provoqué vingt minutes plus tard un tsunami allant jusqu'à plus de 30 mètres de hauteur5 qui a frappé l'Indonésie, les côtes du Sri Lanka et du sud de l'Inde, ainsi que l'ouest de la Thaïlande. Le bilan en pertes humaines est estimé à « au moins 250 000 personnes [...] tuées, dont près de 170 000 en Indonésie, 31 000 au Sri Lanka, 16 400 en Inde et 5 400 en Thaïlande, selon les estimations officielles »6. Sur le plan des pertes humaines, c'est l'un des dix séismes les plus meurtriers et le plus grave tsunami de l'histoire. Il a fait des victimes sur l'ensemble du pourtour de l'océan Indien. La même région a été affectée par un nouveau tremblement de terre le 28 mars 2005. Séisme Le séisme s'est produit à 0 h 58 min 53 s UTC (7 h 58 min 53 s heure locale à Jakarta et Bangkok). Le tremblement de terre a été initialement évalué à une magnitude de 8,5, révisée à 8,9, pour finir à 9,1 selon l'Institut géologique américain (USGS)1. En analysant les données sismologiques, en particulier la façon dont laTerre s'est mise à résonner après le séisme, les sismologues ont même proposé une magnitude allant jusqu'à 122. L'hypocentre fut localisé à 3,3° N, 96° E, soit à 160 kilomètres à l'ouest de Sumatra, à une profondeur de 30 kilomètres.
L'origine du séisme est liée à la rupture de la zone de subduction entre deux plaques, la plaque indienne et la microplaque Andaman, sur une longueur d'environ 1200 kilomètres2,8. La rupture sur cette faille chevauchante, faiblement inclinée vers le nord-est et émergeant en surface au niveau de la fosse de subduction, a pris environ 18 minutes pour se propager du sud (au large de Sumatra) vers le nord (nord des îles Andaman). Aux endroits où le mouvement a été le plus fort sur la faille, les déplacements ont atteint 15 à 20 m. L'énergie totale mise en jeu par le séisme, estimée par le moment sismique, a été de l'ordre de 5.1022 N.m (ou joule, J). La partie de cette énergie dissipée sous forme d'ondes sismiques (énergie sismique ES), environ 2.1018J, est équivalente à l'explosion de 500 mégatonnes de TNT ou plus de 30 000 bombes de Hiroshima. Malgré plusieurs séismes importants ces dernières années dans cette région : 7.9 en 2000 et 7.4 en 2002, il apparaît que le glissement de la plaque indienne sous la microplaque Andaman était bloqué. Ce blocage, du fait de la poussée continue de la plaque indienne, a accumulé des contraintes énormes et lorsque le verrou a fini par céder, le brusque réajustement a permis le déplacement de la plaque supérieure d'une quinzaine de mètres.
Ce mouvement brutal et particulièrement énergique a donné une impulsion à toute la colonne d'eau située au-dessus, donnant naissance à une série d'ondes géantes (peu élevées en pleine mer, mais de grande longueur d'onde - plusieurs dizaines de kilomètres, et très rapides : entre 500 et 800 km/h). La longueur d'onde considérable de ces ondes géantes met en mouvement une masse d'eau colossale par rapport à des vagues ordinaires. Cette masse se déplaçant à très grande vitesse contient une énergie énorme, ce qui explique son pouvoir de destruction lorsqu'elle vient se heurter aux constructions du rivage. La grande longueur d’onde fait que la pente de la vague est très faible surtout lorsque la profondeur d’eau est importante. Ainsi, des pêcheurs au large des côtes n’ont même pas ressenti le tsunami lorsqu’il est passé sous leur navire. De retour à terre ils n’ont pas compris immédiatement ce qui avait pu dévaster la côte. Le séisme proprement dit a été ressenti dans plusieurs pays de la région, dont les îles Maldives, le Sri Lanka, l'Inde, le Bangladesh, Myanmar (l'ex-Birmanie), la Thaïlande, la Malaisie et Singapour. Cependant, au-delà de ces pays, les raz-de-marée (ou « tsunamis » en japonais) qui ont suivi sont à l'origine du plus grand nombre de victimes, car leurs effets se sont fait sentir sur tout le pourtour de l'Océan Indien, jusqu'aux côtes est-africaines de Somalie et l'île française de la Réunion, ou les côtes nord-ouest de l'Australie (voir l'animation et la carte plus haut). Les populations locales auraient pu être prévenues du tsunami par un réseau de surveillance approprié. La propagation de l'onde de tsunami a en effet pris plusieurs heures pour atteindre certains des pays touchés. Le phénomène se déplace à une vitesse importante, de l'ordre de cent à deux cents mètres par seconde, c'est-à-dire parfois jusqu'à 800 km/h.
De plus, à l'approche des côtes, les masses liquides perdent de leur rapidité, mais leur taille augmente, pour atteindre 10, 20, voire 35 mètres de hauteur. Il est né au large de la côte nord-ouest de Sumatra, après une rupture soudaine et sur 1 600 km au fond de la mer, là où la croûte océanique plonge sous l'Indonésie. Ce pays a souffert plus que tout autre, avec près de 170 000 morts. Mais 60 000 autres victimes ont péri au Sri Lanka, en Inde et jusqu'en Afrique. Tsunami Source : tsunami deu 26 décembre 2004 arrivé à Ao Nang en Thaïlade
Le tremblement de terre a engendré un tsunami qui s'est propagé concentriquement, depuis l'épicentre (à la verticale de l'hypocentre sous-marin), vers les côtes des pays de l'océan Indien et jusqu'en Afrique. Ce tsunami, constitué de plusieurs séries de vagues de très grande longueur d'onde, a été le plus meurtrier de ceux jamais relatés. Le dernier tsunami dans cette région du monde a été provoqué par l'éruption du Krakatoa en 1883. La ligne de la faille océanique où s'est produit le séisme est longue de 1 200 kilomètres et orientée nord-sud. De ce fait, la plus grande partie de l'énergie du tsunami s'est répartie dans les directions opposées est-ouest.
Le Bangladesh, à l'extrémité nord de la baie du Bengale, n'a été que très peu affecté, du fait de sa position géographique. À l'inverse, l'île de Sumatra a été frappée de plein fouet par les vagues géantes. Des pays très éloignés, comme la Somalie (à un peu moins de 5 000 kilomètres du séisme, en Afrique), ont été sévèrement touchés. Le Sri Lanka a créé une barrière protectrice pour une petite partie des plages du sud de l'Inde ; toutefois, sur des distances plus longues, les vagues se sont diffractées autour des obstacles puis rejointes, comme un courant d'air autour d'un cylindre. Le bilan catastrophique peut s'expliquer en partie pour deux raisons. D'une part, la population et les autorités locales, n'ayant jamais été préparées à une telle éventualité, ont été prises par surprise — plusieurs personnes rescapées ont rapporté avoir d'abord été à la rencontre de la vague, « par curiosité », en constatant le retrait spectaculaire de la mer, qui annonce l'arrivée imminente de la première vague géante du tsunami. D'autre part, il n'existe pas de dispositif de surveillance des tsunamis dans l'océan Indien. Bien que l'alerte ait été donnée dans quelques régions de l'Inde par les télévisions locales, l'information est majoritairement très mal passée, et semble même avoir été souvent bloquée par crainte du désordre public. Pays touchés Les tsunamis provoqués par le séisme sous-marin ont touché l'Asie du Sud dans les heures qui ont suivi le séisme, plusieurs vagues de 3 à 15 mètres de hauteur ont déferlé suivant les endroits, emportant les personnes qui n'étaient pas du tout prévenues du danger. Les vagues ont aussi atteint l'Afrique de l'Est, où notamment une centaine de pêcheurs somaliens sont morts. Indonésie Le ministre de la Santé indonésien a confirmé l'estimation temporaire de 166 320 morts (le 19 janvier 2005). 9 000 personnes seraient mortes dans la capitale de province Banda Aceh, sur l'île de Sumatra, et ses villes alentour, où les immeubles détruits par le séisme initial se comptent par douzaines. Ce chiffre n'inclut pas les victimes de la côte ouest de Sumatra. Un premier rapport officiel a estimé à 10 000 le nombre de morts pour la seule ville de Meulaboh (Nanggroe Aceh Darussalam), à 160 kilomètres au nord, a réévalué le chiffre à 40 000, soit un tiers de la populationde la ville. Le nord de Sumatra a été particulièrement touché, car le séisme y avait déjà fait des dégâts importants. Des centaines de milliers de personnes y sont sans abri. Les informations sur la myriade de petites îles à l'ouest des côtes de Sumatra sont pour le moment très maigres. Ces îles sont parmi les régions les plus pauvres d'Indonésie, avec Simeulue et Nias. Sur l'île de Nias uniquement, 122 victimes au moins sont à déplorer (source : Media Indonesia Online via le ministère de la Santé) ; il s'agit en fait de 600 morts ou plus, voire 1 000 selon certaines informations. La confirmation ne pourra se faire que lorsque les communications auront été rétablies : les lignes téléphoniques sont toutes coupées, la radio ne fonctionne plus (source : KCM22, mises à jour sur The Jakarta Post). Les derniers rapports ont établi que les îlots au large de l'île de Nias, dans la région du Sirombu, ont été relativement épargnés. Cependant, l'accès à ces îles reste très difficile. La plus grande partie des dégâts résulte des différents tsunamis ayant frappé les régions côtières d'Aceh et du nord de Sumatra. Des vagues de dix mètres de haut ont submergé l'île, allant jusqu'au détroit de Malacca et touchant les côtes les plus au nord vers Bireun. La côte ouest de Sumatra se situe à seulement 100 kilomètres de l'épicentre du séisme initial, c'est donc la première à avoir été touchée et certainement le plus violemment. Au moins cinq villages ont été complètement rasés ; le survol de la région a montré que des milliers de maisons restent sous les eaux. Dans les villes de la province d'Aceh, des personnes ont survécu aux premières heures de l'après catastrophe en se nourrissant de noix de coco et en restant perchées sur les toits des constructions encore debout. Le nombre très important de cadavres représente un défi humanitaire et sanitaire, pour l'identification et l'enterrement rapide des morts. Un des besoins les plus urgents est l'acheminement de sacs en plastique pour envelopper les corps. Au vu des nombreux dégâts, des problèmes juridiques et de propriétés ont vu le jour. De nombreux titres de propriété foncière ont disparu ou ont été endommagés dans la catastrophe. Avec la mort d'un grand nombre de propriétaires légaux, alors que seuls subsistaient, par exemple, des héritiers éloignés vivant dans un village de montagne, il était très difficile de statuer sur la possession de la terre. Les conséquences de telles catastrophes s'inscrivent à la fois sur le court et moyen termes (réorganisation du marché du travail autour des travaux de déblaiement, de tri des déchets et de reconstruction, destruction des structures sanitaires entraînant un risque d'épidémies et de contamination des nappes phréatiques) et sur le long terme (destruction des liens et structures). Thaïlande La Thaïlande est un pays composé de 77 provinces regroupées en 5 régions géographiques : Nord, Isaan, Plaine centrale, Est et Sud. Cette dernière est composée de 13 provinces dont 6 furent les plus touchées par le tsunami, à savoir : Phuket, Krabi, Phang Nga (la plus touchée), Ranong, Trang et Satun. Lorsque le tsunami a frappé les côtes de la Thaïlande, en décembre 2004, les dégâts furent colossaux, que ce soit au niveau matériel ou humain. Près de 400 villages furent rayés de la carte, plus de 3 000 maisons furent démolies et 2 000 endommagées. Il y a eu 5 395 morts, 2 845 disparus et 8 457 blessés, 2.198 millions de dollars de dégâts, ce qui ne représente que 1,4 % du PIB du pays mais 50 % du PIB de la région touchée. Les impacts du tsunami en Thaïlande ne furent pas totalement les mêmes que dans les autres pays touchés, il y a beaucoup de similitudes mais quelques différences sont à soulever. La première grande différence se situe au niveau des victimes.
Les zones touchées par la vague étaient des zones très touristiques et où il y avait donc de nombreux ressortissants étrangers. Le pourcentage de victimes étrangères sur le nombre total de victimes s’élève à 7-10 %. Ces touristes n’ayant pas leur famille sur place pour les identifier, un grand nombre de personnes n’ont pas pu être reconnues. Une autre spécificité thaïlandaise est l’intervention du gouvernement. À cause du manque de moyens de prévention, il ne put presque rien mettre en action avant que la vague ne touche la côte. Après le séisme, le gouvernement a mis en place des politiques de reconstruction et de prévention (zones tampons, etc.).
Source : Le Tsunami de 2004 en Indonésie Des exonérations d’impôts ainsi que des réadaptations professionnelles ont également été mises en place afin d’aider les personnes se retrouvant sans emploi. Un des points faibles du gouvernement fut son manque de visibilité quant aux déplacements de masse de la population fuyant les zones côtières. Il y eut un important manque de coordination, entraînant des erreurs et des retards. Ceci fut accentué par le fait qu’il y avait des concurrences organisationnelles au lieu d’une cohésion au sein du gouvernement. Les multinationales ont également joué un rôle dans tout cela en influençant les politiques internes afin de pouvoir étendre leurs projets[réf. nécessaire]. Le tsunami eut également un impact important sur l’économie du pays. Beaucoup d’emplois furent perdus, entraînant une baisse de la production ainsi que du PIB car les zones les plus touchées furent celles des activités productrices. Les reconstructions ont coûté très cher, entraînant une hausse des prix des matières premières. La pêche fut l'un des secteurs les plus touchés. Bon nombre de bateaux ont été détruits et le nombre de victimes parmi les pêcheurs fut élevé car ils travaillaient à proximité des côtes. De plus, beaucoup d’entre eux eurent leurs habitations détruites, perdant par la même occasion leurs papiers et titres. Sans ceux-ci, ils ont été considérés comme squatteurs car ils n’avaient plus rien pour prouver que les terres endommagées étaient les leurs. Cette situation fut exploitée par les multinationales qui en profitèrent pour venir occuper les terrains qu’elles convoitaient depuis longtemps à proximité de l’océan.
Le deuxième secteur fut celui du tourisme. Il y eut de nombreux dégâts dans les hôtels, diminuant le nombre de chambres disponibles. La médiatisation du tsunami a entraîné une baisse des réservations en destination de la Thaïlande pendant un certain temps et donc une légère diminution du nombre de touristes : 150 000 touristes en moins sur un total de 12 millions, pas de quoi inquiéter à l'échelle nationale. Cependant, l’échelle locale, ces chiffres s’avèrent être beaucoup plus catastrophiques. Phuket, deuxième ville la plus touristique de Thaïlande selon le routard, voit l’occupation de ses hôtels diminuer en flèche : 63 % d’occupation en 2004 pour seulement 27 % en 2005, soit une chute de 36 %. Il en va évidemment de même pour Phang Nga (-45 %) ou Krabi (- 59 %). Inde Les îles Andaman-et-Nicobar, situées non loin de l'épicentre du premier séisme, sont les régions les plus touchées par la catastrophe en Inde. Le premier tsunami y a atteint les côtes sous la forme d'une vague de 15 mètres de haut, au sud des îles Nicobar. On estime à 7 000 le nombre de victimes pour ces deux seules îles et à peu près autant de disparus. Un cinquième de la population des îles Nicobar a donc été touché par la catastrophe, que les personnes soient mortes, blessées ou portées disparues.
L'île Chowra dans les Nicobar a perdu les deux tiers de sa population, soit 500 personnes. Les communications ont été coupées avec l'archipel du Nan Kauri, parmi lequel certaines îles ont été entièrement submergées ; 18 000 personnes y sont portées disparues. La base de l'Armée de l'air indienneà Car Nicobar a été elle aussi sévèrement touchée, ce qui entrave le déploiement des secours dans cette région.
Sur le territoire continental de l'Inde, c'est toute la côte est qui a été touchée par les raz-de-marées : on compte au moins 5 000 morts et des milliers de blessés et sans abris35. Dans l'État du Tamil Nadu, le plus sévèrement touché, il y a au moins 3 200 victimes, dont 487 à Pondichéry. On en compte 89 dans d'État de l'Andhra Pradesh. Dans le Kerala, État du sud de la côte ouest, on dénombre 174 morts et des milliers de sans-abris. La plupart des victimes étaient des pêcheurs. Maldives Située à 2 000 kilomètres de l’épicentre, l’archipel des Maldives a été submergé par une première vague atteignant en moyenne 1,4 mètre de hauteur, enregistrée 3 heures après le séisme par trois marégraphes. Lorsqu'elle s’est enfoncée dans les terres, elle a atteint jusqu’à 3 mètres de haut.
C’est peu comparé aux vagues qu’ont subi les autres pays mais l’altitude maximale des Maldives est de 1,8 mètre donc toutes les îles furent fortement touchées. Le bilan de la catastrophe est de 82 morts et 26 disparus (le 1er avril 2005), 4 000 bâtiments endommagés et 12 000 sans-abris. Lors de la catastrophe, 30 000 des 290 000 habitants ont dû être évacués. Les pertes totales sont estimées à 62 % du PIB des Maldives.
Malaisie
La Malaisie a été protégée par Sumatra, l'île étant dans la ligne droite entre le pays et l'épicentre du séisme, à la verticale duquel le tsunami s'est formé. Les télévisions locales malaisiennes ont également donné l'alerte dans l'heure qui a suivi le séisme. 63 morts sont recensés : soit 49 (2 non identifiées) à Penang, 10 à Kedah, 3 à Perak et une à Selangor. Parmi les victimes de Penang se trouvent des personnes qui pique-niquaient et des enfants qui jouaient sur la plage ; aucun touriste étranger n'est décédé. Le 28 décembre à midi sont recensés 275 blessés et 4 000 sans-abri, principalement des familles établies le long des côtes de Penang, Kuala Muda à Kedah. Pour l'heure, les risques principaux sont liés à l'après catastrophe, du fait des eaux stagnantes et du manque de nourriture.
Le choc du séisme initial avait été ressenti dans les tours jumelles Petronas. Le Premier ministre malaisien Dato' Seri Abdullah Ahmad Badawi a écourté ses vacances en Espagne pour rentrer au pays. Le gouvernement malaisien a annoncé que 1 000 MYR (194 euros environ) seraient attribués aux familles des victimes, tandis que 200 MYR (38,80 euros) seraient donnés aux personnes ayant été blessées par le tsunami. Un dédommagement du même montant sera perçu par les personnes déplacées ; 2 000 MYR (388 euros environ) seront versés par maison endommagée, 5 000 MYR (970 euros environ) par maison détruite, et de 1 000 à 3 000 MYR seront versés aux pêcheurs ayant vu leur bateau détruit dans la catastrophe. Des effondrements côtiers se sont produits pendant les trois jours qui ont suivi le premier tremblement de terre ; ce phénomène est peut-être annonciateur de nouvelles secousses.
Cliquez une seule fois sur les panoramiques pour les afficher en plein écran, et une deuxième fois pour les agrandir à la résolution maximale et en explorer les détails. La Principauté de Monaco vue de l’est La Principauté de Monaco vue de l’ouest La côte de l’Italie à Cap d’Ail Monaco vue de la Turbie, et un insolite profil de la Tête de Chien Monaco, à gauche, et le Monte-Carlo Golf Club, avec18 trous, situé à 900 m d’altitude Monaco Ville Le profil de Monaco Ville vu du Port Hercule La Place du Palais La Place du Palais Princier le 19 Novembre, à l’occasion de la Fête Nationale La statue de François Grimaldi dit « Malizia », une œuvre de Kess Verkade qui fut inaugurée le 8 janvier 1997 sur la Place du Palais Princier, à l’occasion de la commémoration du 700ème anniversaire de la Dynastie des Grimaldi. Déguisé en moine, il parvint à entrer dans le poste de garde et à conquérir la forteresse qui passa ainsi des Gibelins aux Guelfes. Le Conseil National, le Palais de Justice et la Cathédrale La Cathédrale à l’occasion de la Fête Nationale. A la sortie, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco salue l’Archevêque Monseigneur Bernard Barsi entouré de S.A.R. la Princesse de Hanovre et S.A.S. la Princesse Stéphanie de Monaco. Célébration de l’Eucharistie en présence de l’Archevêque, Monseigneur Bernard Barsi Mosaïque avec la Vierge et l’Enfant Jésus entourés par Saint Pierre et le Prophète Isaïe Le retable de Saint Nicolas, visible dans le déambulatoire de la Cathédrale, fut réalisé en 1500 par Louis Bréa, le maître niçois qui fit école, marquant un point de passage entre la peinture médiévale et celle de la Renaissance.En bas à gauche, à côté de Saint Nicolas, patron de Monaco et évêque de Myre, Saint Michel transperce et foule aux pieds un diable, mi-homme mi-chien, et pèse les âmes pour le jugement dernier, tandis que Saint Etienne, touché par un pierre, en mémoire de sa lapidation, regarde vers le spectateur. À droite, Saint Laurent avec le registre de l’Eglise romaine, relu avant le martyre, et le gril du supplice, et Sainte Marie-Madeleine, avec son vase de parfum pour le Christ. Sur les côtés, à gauche, Sainte Barbe, Saint Bernard, Sainte Claire d’Assise et Sainte Dévote. À droite, Sainte Brigitte, on ne sait pas très bien si c’est celle d’Irlande ou celle de Suède, Saint Blaise de Sébaste, Sainte Marguerite avec en main la croix employée en prison pour chasser le diable, qui avait pris l’apparence d’un dragon, et Sainte Julie, patronne de la Corse avec Sainte Dévote. En haut, près de la sépulture du Christ, Saint Jean-Baptiste, l’Archange Gabriel avec l’Annonciation à la Vierge Marie, et une représentation insolite de Sainte Anne, qui serre idéalement dans ses bras la Madone et l’Enfant Jésus. Retable de Sainte Dévote, entourée par Saint Georges et Sainte Lucie, d’auteur inconnu appartenant à l’école de Ligurie, offert vers 1560-1570 par Isabelle Grimaldi, épouse du Prince Honoré 1er, représentée en miniature, agenouillée, au bas du panneau central. En haut la Vierge de l’Annonciation avec l’Archange Gabriel et la Crucifixion. La Pietà, dite du Curé Antoine Teste. Polyptique commandé à Louis Bréa, par le curé de Saint Nicolas et terminé le 1er avril 1505. Ici encore, on remarque, en bas à gauche, la miniature du commanditaire en prière. La Pietà des Pénitents Blancs réalisée vers 1500-1505 par François Brea Cuve baptismale du XVIIe siècle et Crucifix en bois du 1637 de l’ancienne église de Saint-Nicolas L’entrée latérale de la Cathédrale, le Palais de Justice, et la Place Saint Nicolas Oeuvre de Bassignani, la statue de Saint Nicolas, patron de Monaco avec Sainte Dévote, et protecteur des marins et des enfants surplombe la fontaine de la place homonyme La Place de la Mairie La Place de la Visitation avec le Ministère d’Etat Un détail de la façade du Ministère d’Etat avec les armoires de la Maison Grimaldi Une précieuse mosaïque sur la façade du Ministère d’Etat Monaco-Ville le Palais du Gouvernement La Chapelle de la Visitation Madonne à l’Enfant. Huile sur toile de Simone Cantarini ( 1612-1648) Tapisserie" Le Triomphe de l’Eucharistie " sur les sacrifices païens par Jean Franc Van Den Hecke réalisé autour du 1691 suivant un carton de Rubens du 1625-26 La Chapelle de la Miséricorde, dédiée à Saint Jean Baptiste, construite par Giacomo Taddeo Cantone sous le règne du Prince Honoré II La grande céramique sur la façade représentant les Pénitents Noirs et la décollation de Saint Jean Baptiste, est une œuvre de Erneste Sprega, maître artisan des fameuses terres cuites monégasques Les " Carrugi d’a Roca " à Monaco Ville La " piaçeta Bosio " avec son puit, jadis en activité, nous rappelle François-Joseph Bosio, sculpteur monégasque. Il travailla à Monaco, en Italie et à Paris où il devint célèbre avec son buste de l’Impératrice Joséphine et la statue équestre de Louis XIV. Louis XVIII lui commissionna la quadrige en bronze qui domine l’Arc de Triomphe du Carrousel de Paris. En 1828 il fut nommé Baron de la Couronne de France par Charles X. Dans le Musée du Vieux Monaco à Monaco-Ville, 2 rue Emile de Loth, sont exposées des céramiques de l’ancienne Poterie de Monaco.Les plus remarquables sont celles réalisées par l’artiste Ernesto Sprega (1829-1911) qui en fut le directeur de 1883 à 1889. Originaire de Rome, il sera l’élève du grand maitre Mantovani puis, à Florence, il travaillera pour le célèbre peintre et céramiste Ginori. L’artiste, dont peut voir un autoportrait en-haut à droite de la vitrine d’exposition, réalisera de nombreuses compositions en céramique, des vases mais aussi des tableaux. Il se distinguera par une technique toute personnelle du "cannage" qui donnera aux vases et aux coupes une souplesse et un rendu proche de la réalité d’un tressage en paille ou en jonc. Cette technique alliée à une recherche nouvelle des formes et des couleurs, lui vaudra de nombreuses récompenses lors des Expositions Internationales où il représentait Monaco. Outre ses qualités de céramiste Ernesto Sprega réalisera de nombreuses fresques dans le Palais Princier, pour le Chapelle Palatine et les Appartements Privés. L’ « Œuf de Monaco » de Ernesto Sprega primé à l’Exposition Universelle de Paris en 1889 De 1524 à 1641, pendant 117 anni, la Principauté de Monaco fut sous le protectorat, toujours plus envahissant, de l’Espagne. De cette époque, il ne reste qu’un seul souvenir à Monaco Ville dans le Passage de la Miséricorde. Au-dessus de la porte d’une ancienne demeure, on peu lire en un mélange d’espagnol et d’italien : « Le 15 mars 1548. Deo Juvante. Pietro Carbonero. Toutes les choses du monde passent vite, mis à part la renommée et la gloire ». La statue de S.A.S. le Prince Albert I et le Musée Océanographique Appelé à juste titre le « Temple de la Mer », le Musée Océanographique s’incorpore admirablement dans le paysage du Rocher vu des flots Le Célèbre Musée Océanographique est une œuvre néo-classique de l’architecte Paul Delefortrie. Construit entre 1899 et 1910, sous le règne du Prince Albert I, il a une façade monumentale avec de grandes sculptures de Gustave Dussart. L’entrée du Musée Océanographique La salle de la " baleine " avec squelettes de Balaenoptera physalus, Pseudorca crassidens, et Orcinus orca Ophthalmosaurus anna : un fossile de reptile marin né il y a 150 millions d’années. Sa structure hydrodynamique et morphologique nous rappelle le dauphin, mais il a une queue verticale, de requin, et une mâchoire de crocodile. Long 5,40 m, il pesait 1000 kg et il avait les plus grands yeux du monde animal. Il chassait les calamars géants dans les grandes profondeurs. Reconstruction au Musée Océanographique du laboratoire de l’Hirondelle II, le bateau du Prince Albert I L’aquarium du Musée Océanographique peut se vanter d’un bassin de 400.000 litres et 6 m de hauteur Le Rocher et Fontvieille Le Port de Fontvieille La Tête de Chien et le Rocher vus du port de Fontvieille Fontvieille La zone résidentielle de Fontvieille avec sur la droite le Centre Commercial et le Jardin de l’UNESCO Le Musée des Timbres et des Monnaies La Salle du Canton où se déroule tous les deux ans MonacoPhil, prestigieuse exposition philatélique internationale Lettre chargée à 3.200 F or avec 6 x 1 F Charles III et panneau unique de 25 timbres-poste Pièce de Douze Gros dit " Florino " et " Pistole d’or de 10 livres " représentant le Prince Honoré II Cap d’Ail, Monaco, la Tête de Chien et le Mont Agel L’héliport La Place du Campanin à Fontvieille L’entrée du Stade Louis II et la zone industrielle de Fontvielle Le Stade Louis II avec le match Inter-Monaco Meeting International de Natation de Monte-Carlo Le Seaside Plaza et le Chapiteau de Fontvieille qui accueille chaque année le Festival international du Cirque Le Festival International du Cirque de Monte-Carlo, fortement voulu par S.A.S. le Prince Rainier III, attire 50 000 spectateurs chaque année. Sur la piste, les Otaries de Californie de Pietra et Roland Druss, nées dans leur "ferme aquatique" en Espagne. Kenya, un éléphant africain, entraîné par la famille allemande Frankello, joue de l’harmonique et jongle pour transformer des pommes en bananes. La grâce et le synchronisme du numéro extraordinaire des contorsionnistes mongoliennes Le Groupe Acrobatique de 21 artistes chinois de Shandong, s’exhibe en un incroyable numéro de voltige et de sauts périlleux à partir de formations pyramidales. Martin Lacey Junior, un dompteur moderne qui embrasse ses lions, vraies vedettes du cirque allemand Krone Le Trapèze Volant est une des plus belles disciplines du cirque. Sur la photo, l’exhibition des " Flying Michaels " du Brésil. C’est un numéro qui inclut même des triples sauts périlleux avec les yeux bandés…et la protection d’un filet. Des chevaux au grand galop et les acrobates équestres du Kirghizistan, sous la direction de Manatbek Eshimbekov Les vainqueurs du 34e Festival International du Cirque de Monte-Carlo saluent le public La Condamine Rue Grimaldi et la rue piétonne Princesse Caroline Square Gastaud. Au centre, un kiosque à musique de la Belle Époque, utilisé en été pour des concerts en plein air. Le marché de la Place d’Armes, et les arcades de la Condamine Rue Terrazzani et rue des Açores aux façades ornées de précieuses peintures et céramiques Les surprenantes peintures murales de la rue Terrazzani Céramiques de la Belle Époque sur un coté du Café de Paris et de la rue Terrazzani Une autre décoration de la Belle Époque située en avenue de Grande Bretagne. La « Fabrique des Céramiques Artistiques de Monte-Carlo », créée en 1874 à l’initiative de Marie Blanc qui attira a Monaco le célèbre céramiste Fischer, durera jusqu’en fin 1894 La statue ( par Cyril de La Patellière ) et l’église de Sainte Dévote Chaque année le 27 janvier sur le parvis de l’église on brule une barque en souvenir du vol au Moyen Ages des reliques de la Sainte Patronne. Une violente tempête empêcha au sacrilège de s’enfuir. Il fut arrêté, on lui coupa le nez et les oreilles et son bateau fut mis à feu. Le Vallon Sainte Dévote et à la sortie de la Gare Souterraine La Gare Souterraine Les quais sous une voûte étoilée Partant de la gare souterraine, des tapis roulants, des couloirs en marbre et des ascenseurs publics mènent rapidement à l’autre bout de la ville Monaco : le Port Hercule Le Port Hercule, à l’occasion du Monaco Yacht Show Le Monaco Yacht Show, avec une mer fourmillant de navires jusqu’à Roquebrune-Cap-Martin Monte-Carlo et le Port Hercule, de l’Eglise de Sainte Dévote, en bas à gauche, aux terrasses du Casino, à l’occasion du Monaco Yacht Show. Un joyeux patchwork de divers styles architecturaux et de chantiers en cours, comme celui du futur siège du Yacht Club de Monaco, en bas à droite. Absolument écologique, et avec zéro émissions, grâce aux panneaux solaires placés sur son toit, le Bateau Bus traverse sans arrêt le port de Monaco, complétant ainsi le réseau des bus urbains. Monaco : l’école de voile des enfants Bateaux de croisière et toitures jardins Dans les jardins suspendus des terrasses du Casino, ces grands palmiers poussent dans seulement 60 cm de terre La Principauté de Monaco vue de la digue flottante Les plages de Monte-Carlo Le Grimaldi Forum Le hall d’entrée du Grimaldi Forum Exposition de voitures de luxe au Grimaldi Forum à l’occasion du Top Marques Exposition de montres et bijoux au Grimaldi Forum à l’occasion du Top Marques Adam et Eve sur les Terrasses du Casino, et de la mosaïque "La mer, le ciel et la terre" par Vasarely Remise des prix à l’Exposition Féline Internationale à l’Auditorium Rainier III en présence de S.A.R. la Princesse de Hanover et de Madame Martine Woolf, présidente de l’ Association Féline de Monaco "Concours International de Bouquets" et "Rêveries sur les Jardins" organisés sur les Terrasses par le Garden Club "Concours International de Bouquets" organisé par le Garden Club de Monaco Les Terrasses du Casino Décorations rococo sur la façade côté mer du Casino Statue de la Belle Époque sur la façade mer du Casino L’entrée du Casino, ensoleillée qu’en été, est l’un des lieux les plus photographiés en Principauté L’atrium du Casino de Monte-Carlo La salle de jeux " Europe " du Casino de Monte-Carlo Fresques de la Belle Époque dans le salon « Europa » La Salle Touzet Le plafond avec verrière de la Salle Touzet La salle François Médecin du Casino de Monte-Carlo Les fresques de Armand Ségaud dans la salle François Médecin du Casino de Monte-Carlo représentent les quatres moments de la journée : le matin, midi, le soir et la nuit La Salle Blanche du Casino avec les jeux modernes Le Casino, les Terrasses et le Port Hercule vus da la terrasse du Grill de l’Hôtel de Paris Le Casino et l’Hôtel de Paris L’Hôtel de Paris et l’Entrée des Princes à l’Opéra Décoration de la Belle Époque et « Allégorie de la Danse » réalisée par Henri Cordier, situées près de l’entrée des Princes de l’Opéra L’entrée des Princes de l’Opéra La Salle Garnier de l’Opéra de Monte-Carlo a été construite en 8 mois seulement par 400 ouvriers qui s’alternaient jour et nuit. Depuis 1879, elle accueille des représentations prestigieuses Le plafond de la Salle Garnier Quatre grandes statues de la « Renommée » de Jules Thomas décorent les parois de la Salle Garnier Fresque « La Musique » par Boulanger au-dessus de la scène Fresque « Le Chant et l’Eloquence » de Feyin Perrin au-dessus de la loge princière Fresque « La Comédie » de Lix sur une parois de la Salle Garnier L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Sir John Falstaff vit d’expédients dans la Taverne de la Jarretière. Jadis fameux séducteur, pour se remplir la panse, il n’hésite pas à séduire de riches dames de Windsor. Il charge ses serviteurs Bardolph et Pistol d’apporter deux lettres d’amour identiques, hormis le nom du destinataire, à Meg Pages ( Annunziata Vestri) et Alice Ford ( Aga Mikolaj ), à droite dans la scène, qui sont amies et qui font leur lessive avec Quickly ( Mariana Pentcheva ) et la fille Ford, Nannetta ( Valérie Condoluci ). Ces dernières, à la fois amusées et indignées, décident de donner une bonne leçon à ce scélérat.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Les hommes aussi organisent leur vengeance. A gauche, le Dr. Cajus ( Enrico Facini ), Monsieur Ford ( Fabio Capitanucci ), Bardolph ( Rodolphe Briant ) et Pistol ( Wojtek Smilek ). Le premier avait été dérobé par Falstaff et le second vient d’apprendre par ces derniers, licenciés sans ménage, que leur patron a écrit une lettre d’amour torride à sa femme. Au fonds, les joyeuses commères continuent d’étendre le linge tandis qu’entre en scène, à droite Fenton ( Florian Laconi ), amoureux de Nannetta. L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.A la Taverne de la Jarretière, Sir John Falstaff ( Bryn Terfel ) reçoit d’abord la visite de Quickly qui lui apporte un message d’Alice : elle l’attend à la maison, entre deux heures et trois heures, pendant que son mari n’est pas là. Arrive ensuite Monsieur Ford ( Fabio Capitanucci ) qui se présente sous le faux nom de Maître Fontaine, pour mettre en œuvre la vengeance des hommes. Il lui raconte qu’il est amoureux d’Alice mais qu’il n’arrive pas à la séduire parce qu’elle est un modèle de fidélité. Si en échange d’un sachet de monnaies sonnantes Falstaff parvient à briser sa vertu, il aura ensuite le champs libre. Par une poignée de mains, Falstaff accepte sa proposition, et tandis qu’il va s’habiller pour son rendez-vous galant, il raconte au bienfaiteur qu’il a déjà reçu une invitation à ce sujet par Madame Ford, entre deux heures et trois heures, pendant que son mari n’est pas là. Inutile de préciser que Monsieur Ford, ignorant ce qu’ont tramé les dames, est désespéré, mais ensuite la rage s’empare de lui. Ils se laissent allègrement, mais ce dernier a hâte de surprendre l’adultère chez lui pour étriper le coupable.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Pendant ce temps, à la maison Ford, les commères reçoivent Quickly ( Mariana Pentcheva ), à gauche, qui les invitent à se préparer car Falstaff est tombé dans le piège. Au centre, Nannetta ( Valérie Condoluci ) pleure car son père veut qu’elle épouse le Dr Cajus, alors qu’elle est amoureuse de Fenton. Sa mère Alice Ford ( Aga Mikolaj ), à droite, lui promet son soutien.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Alice Ford ( Aga Mikolaj ) attend au centre de la scène Sir John Falstaff ( Bryn Terfel ) qui sort triomphant du livre de l’histoire. Mais sa court est de courte durée parce que les commères arrivent affolée pour les prévenir que Monsieur Ford est en train d’arriver avec une équipe punitive formée par le Dr. Cajus, Bardolph, Pistol, Fenton et d’autres voisins.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Falstaff ( Bryn Terfel ) se cache derrière un paravent, à gauche, tandis que Monsieur Ford ( Fabio Capitanucci ) le chercher furieux dans le panier du linge sale. Après avoir éparpillé inutilement les vêtements, il court le chercher dans les autres pièces, tandis que Meg, simulant la surprise de le voir, l’invite à se cacher dans le panier déjà exploré, sous le linge malodorant.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Monsieur Ford rentre en scène avec l’équipe. Ils ont exploré toute la maison mais il n’y était pas. Il ne peut être que derrière le paravent. Le Dr Cajus l’ouvre, et à sa grande surprise, il découvre sous le regard du père furieux Nannetta ( Valérie Condoluci ) et Fenton ( Florian Laconi ) enlacés. En effet, profitant de la confusion, ils s’étaient isolés pour s’embrasser. Fenton s’enfuit, et le panier à linge est jeté dans la Tamise.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Sir John Falstaff ( Bryn Terfel ) à demi noyé et sale, se remets de ses émotions en buvant à la taverne, avec encore le souvenir de sa cuisante mésaventure. L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Quickly ( Mariana Pentcheva ) entre de nouveau en scène. En accord avec les commères, elle veut en remettre une couche. Elle lui apporte un autre petit mot d’Alice qui l’attend à minuit dans la forêt de Windsor, près du vieux chêne, habillé en « Chasseur Noir » avec un couvre-chef aux longues cornes sur la tête. Falstaff ( Bryn Terfel ) se fait encore piéger.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Evidemment, tout le monde est au courant. Suivant une légende, Nannetta s’habillera en « Reine des Fées », et les habitants de Windsor s’habilleront en sylphes, elfes, lutins, diablotins et vampires. Monsieur Ford promet au Dr Cajus de profiter de la situation pour lui donner la main de Nannetta, il lui explique comment se déguiser. Il bénira lui-même cette union. Mais Quickly a entendu la conversation et en informe ses amies. Au coucher du soleil, Fenton ( Florian Laconi ) est le premier à arriver au grand chêne, et Nannetta lui répond. Mais Alice les interrompt et leur explique comme ils doivent s’habiller pour contrecarrer les projets de son mari.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Avec ses grandes cornes sur la tête, et un bec d’aigle, Falstaff ( Bryn Terfel ) rencontre Alice ( Aga Mikolaj ), mais un cri retenti et les esprits sortent dans l’obscurité de la nuit. L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Nannetta ( Valérie Condoluci ) entourrée par les figurants, entonne la chanson de la Reine des Fées. Falstaff, terrorisé, se met face à terre pour ne pas voir les esprits. Et tous en profitent pour le piquer et le fouetter avec osier et orties.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Falstaff ( Bryn Terfel ) se repentit et demande pardon. L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Un de ses agresseurs perd sa capuche, et reconnaissant alors son serviteur Bardolph ( Rodolphe Briant ), Falstaff ( Bryn Terfel ) découvre la mise en scène. Tout le monde l’accuse et il accepte sa punition en reconnaissant ses torts. Monsieur Ford ( Fabio Capitanucci ) révèle à Falstaff sa véritable identité et lui crit : « Dis-moi maintenant qui est cocu ».
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Les commères habillent Bardolph ( Rodolphe Briant ) en mariée et le mettent aux côtés du Dr. Cajus ( Enrico Facini ) à la place de Nannetta, et elles informent Monsieur Ford ( Fabio Capitanucci ) qu’il y a un autre couple à marier. En réalité, il s’agit de Nannetta ( Valérie Condoluci ), cachée sous le voile et sa robe, et de son Fenton ( Florian Laconi ). Dans l’obscurité de la nuit, Monsieur Ford ne se rend pas compte de l’échange et les déclarent mari et femme. L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Tous enlèvent alors leur masque, mais il est désormais trop tard : il a marié sa fille à Fenton. A la fin, tous se réconcilient, et même le père bénit cette union. Mais Falstaff ne peut s’empêcher de lui lancer « Cher Monsieur Ford, dites-moi maintenant qui est dupe ? » L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène : Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo.Le livre de l’histoire se referme et Falstaff ( Bryn Terfel ) conclut par « Tout dans le monde est une blague » L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.C’est la veille de Noël. Le peintre Marcello (George Petan) et le poète Rodolfo (Stefano Secco) se réchauffent comme ils le peuvent dans une modeste mansarde. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Arrivent ensuite un ami philosophe, Colline ( Gabor Bretz ), à gauche, et le musicien Schaunard ( Etienne Dupuis ), au centre, avec un panier de vivres, fier d’avoir pu gagner quelques sous. Mais la fête est brève car entre en scène Benoît (Guy Bonfiglio), le propriétaire des lieux, qui assis au centre, réclame le loyer. Les amis le forcent à boire, et ivre, il confesse de tromper sa femme. C’est le prétexte que les locataires recherchaient pour le mettre à la porte, indignés. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Les amis sortent pour aller au Café Momus, mais Rodolfo (Stefano Secco) s’attarde pour finir un article. Seul, il entend frapper à la porte. Il s’agit de sa voisine Mimì (Inva Mula) qui cherche une chandelle pour allumer sa lampe éteinte. Mais ensuite, la jeune femme se sent mal, c’est le premier symptôme de la phtisie qui la conduira jusqu’à la mort. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Elle se lève pour rentrer à la maison, mais elle se rends compte d’avoir perdu sa clé qu’ils cherchent au sol dans lenoir car un coup de vent a éteint les deux flammes. Rodolfo (Stefano Secco) la trouve et la cache dans sa poche. Quand sa main rencontre celle de Mimì (Inva Mula), le poète lui manifeste son amour en chantant « Che gelida manina » (Quelle main gelée) et il lui demander de lui parler d’elle. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Mimì (Inva Mula) raconte qu’elle est couturière. Elle vit seule en créant des fausses fleurs. Et l’acte se referme par le duo des amoureux « O soave fanciulla » (O douce jeune fille). L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Les deux rejoignent les amis au Café Momus. Mimì (Inva Mula) a trouvé l’amour et elle est au comble du bonheur. Rodolfo (Stefano Secco) vient de lui offrir petit chapeau rouge. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Important lieu de rencontres de la ville, le Café Momus est très fréquenté. Rodolfo (Stefano Secco) présente Mimì (Inva Mula) à ses amis. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Tout à coup, entre en scène la séduisante Musetta (Karen Vourc’h), en haut dans la scène, qui se fait entretenir par le riche conseiller d’état Alcidoro (Jean-François Vinciguerra) assis au centre. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.La vielle flamme du peintre Marcello (George Petan), Musetta (Karen Vourc’h), fait de tout pour attirer son attention. Elle entonne une chanson provocante « Quando me’n vo » (Quand je m’en vais) et avec un prétexte, elle se fait enlever sa bottine, en découvrant de façon scandaleuse sa cheville. Les deux vieux amants s’enfuient ensemble en laissant la note à régler à Alcidoro (Jean-François Vinciguerra). L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Il neige fort à la barrière de l’Enfer où Mimì (Inva Mula), désormais gravement malade recherche Marcello qui travaille dans une taverne pour lui dire que Rodolfo l’a quittée « O buon Marcello, aiuto ! » (O bon Marcello, au secours !). L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Marcello (George Petan) lui explique que Rodolfo (Stefano Secco) est en train de dormir dans la taverne. Puis, ce dernier se réveille et sort pour chercher son ami. Mimì (Inva Mula) se cache et écoute sa conversation avec Marcello. Elle apprend qu’il l’a quittée seulement pour qu’elle puisse trouver un autre homme, plus riche, capable de mieux la loger et de la sauver de la tuberculeuse. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Mimì (Inva Mula) entre en scène et affronte Rodolfo (Stefano Secco). Ils aimeraient se quitter amicalement « Donde lieta uscì » mais le souvenir des heures heureuses passées ensemble les conduit à repousser leurs adieux au printemps, à la saison des fleurs. Pendant ce temps, Marcello e Musetta se séparent après une violente dispute. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Les protagonistes, de gauche Marcello (George Petan), Musetta (Karen Vourc’h), Rodoldo (Stefano Secco), Colline (Gabor Bretz) et Schaunard (Etienne Dupuis) se retrouvent dans la mansarde avec Mimì (Inva Mula). Cette dernière vient de quitter un riche protecteur et elle a été retrouvée dans la rue, errante et affaiblie, par Musetta. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Comprenant que sa fin est proche, les amis laissent seuls Mimì (Inva Mula) et Rodoldo (Stefano Secco) qui évoquent dans leur duo « Sono andati ? » (Ils sont partis ?) leur première rencontre et les moments heureux. Et le petit chapeau rouge que Rodolfo avait gardé en souvenir après la séparation, redonne un instant de joie à Mimì. L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini - Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.Mimì (Inva Mula) s’éteint doucement, comme endormie, entourée par les amis qui avaient renoncé à une paire de boucles d’oreilles et à un pardessus pour acheter des médicaments et appeler un médecin. Le grand hall de l’Hôtel de Paris La Salle Empire de l’Hôtel de Paris Le fresque de Paul Gervais dans la Salle Empire de l’Hôtel de Paris Le " Jardin d’Hiver " conçu par Gustave Eiffel à l’Hotel Hermitage Bas-reliefs et fresques de l’Hôtel Hermitage L’Hotel Hermitage, l’Institut Monégasque de Médicine du Sport, et le Centre Cardio-Thoracique de Monaco Le Casino, l’Hôtel de Paris, le Sporting d’Hiver et les essais du Grand Prix Le départ du Grand Prix Grand Prix : le virage le plus célèbre du championnat, le Fairmont Hairpin Voiture de Formule 1 Le Grand Prix vu de Monaco-Ville International Jumping Tournoi international de hockey sur glace Arrivée du Rally de Monte Carlo Avenue de la Costa, Avenue Saint Michel, et Boulevard des Moulins : le " Carré d’Or" de Monte-Carlo La Villa Miraflores est un souvenir intact de la vie de Monaco à la Belle Époque La Villa Girasole, un autre souvenir de la Belle Époque, rénovée avec des critères écologiques pour économiser les énergies, est le siège de la Fondation Prince Albert II de Monaco</a créée par S.A.S. le Prince Albert II de Monaco pour la protection de la biodiversité, et pour résoudre les problèmes liés aux changements climatiques et au manque d’eau. La Direction du Tourisme et des Congrès au sommet des jardins du Casino L’église Saint Charles et le Boulevard des Moulins Monte-Carlo : la statue de Saint Charles à l’entrée de l’eglise L’Eglise Saint Charles Vitraux de l’abside représentant Jésus au temple de Jérusalem, l’église Saint Charles offerte à Saint Charles par Monseigneur Theuret, et la mort de Saint Joseph Les vitraux de l’église Saint Charles ont été réalisés entre 1883 et 1884 par la Maison Lorin de Chartres et ont reçus de nombreuses reconnaissances. Ici Saint Charles Borromée pendant la peste de Milan et le martyre de Saint Laurent sur le gril. Balcon fleuri par Chamaerops humilis et Agave attenuata dans un immeuble Belle Époque au Boulevard des Moulins Le marché de Monte-Carlo Avenue de Grande Bretagne Boulevard d’Italie Le Boulevard du Larvotto avec ses gratte-ciels et, au centre, le Grimaldi Forum Monte-Carlo : la promenade du Larvotto, l’Hôtel Fairmont avec le Casino et la Nibox, et un navire de croisière accosté à la digue semi-flottante du Port Hercule. Ballade le long de la mer du Larvotto. Des touristes comparent la taille de leurs pieds avec ceux imprimés dans le sol de la « Champions Promenade ». Le Sporting et le Larvotto depuis le Monte-Carlo Bay Hôtel Monte-Carlo : Boulevard d’Italie et la Résidence du Parc Saint Roman Monaco : le quartier de Saint Roman et la frontière avec la petite église en France qui porte le même nom. Les champs de tennis du Monte-Carlo Country Club Masters de tennis au Monte-Carlo Country Club Le quartier des Monéghetti avec une demeure de style persan, la Villa Danichgah, construite à la Belle Époque par l’ambassadeur Mirza Riza Khan Le Larvotto Les plages du Larvotto Monaco : vie de plage au Larvotto Tournoi International Féminin de Volley sur la plage du Larvotto La grotte et source Vaulabelle du Larvotto. L’eau de pluie tombe des stalactites et forme un petit lac souterrain, juste au dessus du niveau de la mer. Avant de se mélanger à l’eau saumâtre elle est captée par l’aqueduc de Monaco. Les Grottes de l’Observatoire du Jardin Exotique, ouvertes au public, descendent jusqu’à rejoindre la nappe phréatique qui s’écoule presque au niveau de la mer. Les grandes salles, nées de mouvements tectoniques et éboulements successifs des parois, montrent des stalactites et stalagmites spectaculaires qui donnent souvent origine à des colonnes. Le Jardin Exotique Une caractéristique allée du Jardin Exotique avec ses célèbres sièges de belle-mère( Echinocactus grusonii ) Une salle du Musée d’Anthropologie préhistorique de Monaco au Jardin Exotique. A droite, sépulture double dites des « Négroïdes de Grimaldi » ( Foyers H-G, Grotte des Enfants, Balzi Rossi, Ligurie, Italie ). Des études ultérieures on montré que ces deux sujets appartenaient au groupe des Cro-Magnons.
Sépulture dite du « Grand Cro-Magnon » datée de – 25.000 ans environs ( culture gravettienne ). Fouille L. de Villeneuve, 1902 ( Foyer G, Grotte des Enfants, Balzi Rossi, Ligurie, Italie ). Le sujet est de très grand taille ( environs 1,9 m ). Plusieurs objets lui sont associés : quelques lames de silex d’assez grande taille, un andouiller de cerf, un galet percuté et une roche plate enduite d’ocre. Ce mobilier a été placé là intentionnellement et indique, sans ambigüité, une préoccupation métaphysique ou religieuse de ces peuples du Paléolithique supérieur. Petit jardin de plantes succulentes au croisement de l’Avenue de Grande-Bretagne et du Boulevard du Larvotto Le Jardin Japonais Le Jardin Japonais Monaco-Ville : Jardins de Saint Martin. Statue « Maryse au miroir ou Le temps inaltérable » de Cyril de la Patellière. Au centre la statue du Prince Albert I. Monaco-Ville : cette fontaine à été restauré et placée dans le Jardin de Saint Martin en 1987.Elle est composée de motifs du XVIIIe siècle et d’un vasque d’époque Renaissance provenant d’une fontaine plus ancienne.La plaque de marbre porte l’inscription : Louis Ier étant Prince de Monaco, fit instaurer pour l’usage public cette fontaine qui commença à jaillir l’an 1662. Les consuls étant : Phelippo Ferreiro, Francesco-Antonio Gastaldo, Emanuele Frias et Joanne Terrazzano. Les Jardins Saint Martin à Monaco-Ville Les Jardins Saint Martin, le Pavillon Bosio, et la Chapelle Saint-Honoré où reposent les collatéraux du Prince Le Jardin de l’UNESCO à Fontvieille Monaco : le jardin Princesse Antoinette, avec sa petite ferme, héberge des moutons, des chèvres, des lapins et une poule. La proximité avec les animaux est très instructive pour les enfants des écoles élémentaires ; on y cultive aussi un petit potager sous des oliviers centenaires. A droite, à coté d’un épouvantail, poussent des aubergines et des oignons. La Roseraie Princesse Grace de Monaco La Roseraie Princesse Grace de Monaco Les jardins du Casino, avec la statue de S.A.S. le Prince Charles III qui créa le quartier de Monte-Carlo La « Petite Afrique » dans les Jardins du Casino La lune apparaît au-dessus des montagnes La " Rampe Major " avec la Tour de l’Oreillon, importante fortification construite au XVII siècle pendant le règne du Prince Antoine Ier Monaco-Ville : porte dite « La Major », construite le 10 janvier 1533 sous le règne de Honoré I, fils de Lucien Grimaldi, succédé à Augustin Grimaldi en 1532. A sa mort, il avait à peine 10 ans et la régence fut confiée à Etienne Grimaldi dit « Le Gubernant », d’où les initiales H et G sur le linteau. Le Bastion de Serravalle et la Tour de Tous les Saints, avec leurs nombreuses casemates, furent à partir du XVIe siècle des fortifications essentielles pour assurer la défense de la péninsule monégasque Les anciens immeubles de Monaco Ville et le Palais Princier Inauguré en 1930, sous le règne du Prince Louis II, le Palais de Justice, construit en tuf marin, s’inspire des palais gothiques florentins Coucher de soleil magique à Monaco Au crépuscule la ville s’illumine Le Musée des Timbres et des Monnaies et le Centre commercial de Fontvieille La Place du Casino avec son caractéristique parterre circulaire, universalement connu comme « Camembert » Lumières de Monte-Carlo Monte-Carlo : charme crépusculaire de la « voie rapide » Le Monte-Carlo Bay Hotel et le Roccabella La Place d’Armes avec sa fontaine est le cœur du quartier de la Condamine Vision nocturne par le Mont Agel La « Petite Afrique » de nuit avec une grande Chorisia speciosa et des Chamaerops humilis Vision nocturne de la place du Casino Le Square Beaumarchais avec un singulier palmier dattier à plusieurs têtes et l’Hôtel Hermitage Construit en 1889 par une société anglaise, l’Hôtel Métropole a été démoli pour cause de vétusté, et reconstruit fidèlement suivant les dessins de l’époque Le centre commercial du Métropole Jeu de lumières magiques au Grimaldi Forum La Salle des Princes du Grimaldi Forum. En présence de la Famille Souveraine, le public s’est levé pour écouter l’Hymne monegasque. Hymne Monégasque joué par la Fanfare des Carabiniers du Prince
S’ensuit l’opéra Turandot, de Giacomo Puccini, à l’occasion de la Fête Nationale Monégasque Représentation au Grimaldi Forum du ballet "Les Noces", chorégraphie de Jiri Kylian Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg. Au centre Mimoza Koike. Les Ballets de Monte-Carlo. Les danseuses de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Les Ballets de Monte-Carlo. Les danseuses de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike e Chris Roelandt. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike e Chris Roelandt. Les Ballets de Monte-Carlo. Finale au Grimaldi Forum de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike e Chris Roelandt Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen. Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Spectre " d’après " Le Spectre de la Rose " par le chorégraphe Olivier Dubois. Fréderic Carré, Leart Duraku, Ediz Erguc, Ramon Gomes Reis, Rodolphe Lucas, Jérôme Marchand, Alvaro Prieto, Bruno Roque Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Spectre " d’après " Le Spectre de la Rose " par le chorégraphe Olivier Dubois. Fréderic Carré, Leart Duraku, Ediz Erguc, Ramon Gomes Reis, Rodolphe Lucas, Jérôme Marchand, Alvaro Prieto, Bruno Roque Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Spectre " d’après " Le Spectre de la Rose " par le chorégraphe Olivier Dubois. Fréderic Carré, Leart Duraku, Ediz Erguc, Ramon Gomes Reis, Rodolphe Lucas, Jérôme Marchand, Alvaro Prieto, Bruno Roque Le Theatre Princesse Grace et le Centre de rencontres internationales La salle du Théâtre Princesse Grace lors des Monte-Carlo Magic Stars Monte-Carlo Magic Stars : ils faut deux heures pour préparer le costume de Ma Yanyan, spécialiste en manipulation, qui dégaine en dansant fleurs, bouquets de papiers, rubans, petits parapluies et jusque à deux drapeaux. Monte-Carlo Magic Stars : le grand illusionniste italien Alberto Giorgi fait disparaître dans un cube incandescent la tête de sa splendide assistante. Monte-Carlo Magic Stars : le grand illusionniste Allemand Julius Frack dans un spectaculaire exercice de lévitation Monte-Carlo Magic Stars : Philippart, maître exubérant de magie générale présente une apparition. Il enferme une poupée dans une cage, il la couvre avec un manteau, la cage se soulève et apparaît Anja, sa sympathique assistante. Monte-Carlo Magic Stars : Philippart choisi un spectateur dans le public, et il lui transperce en souriant la gorge avec une épée sans même le blesser. Mont-Carlo Magic Stars : Laurent Beretta, grand expert en magie générale, sort d’un tableau et y emprisonne une voleuse qui c’était introduite dans son atelier. Monte-Carlo Magic Stars : il y a aussi la magie comique. Charlie Frye présente plusieurs numéros différents dont les anneaux chinois à sa manière. Monte-Carlo Magic Stars : le grand illusionniste français Dani Lary fait naître un cascade de fleurs d’un vieux journal enroulé, et il disparaît pour réapparaître sur le côte opposé de la scène à plusieurs reprises. L’animateur musical Frank Wilson, a gauche, et les artistes Dani Lary, Philippart & Anja, Laurent Beretta & Cécile Medour, Cindy Keller, Roxanne, Julius Frack, Topas, Soma, Alberto Giorgi & Carolina, Ma Yanyan, Charlie Frye & Diana, Julien Manry, Senzo e La Cie de l’Escadrille du 25° Monte-Carlo Magic Stars qui saluent le public. L’émotion d’un voilier dans le décor magique du Port Hercule Concours International de feux d’artifice Palais Princier et ville étincelants à l’occasion de la Fête Nationale La traditionnelle Foire de la Fête Nationale Vision magique du Palais Princier à Noël Le siège de Photomazza à Monte-Carlo
Le quatrième lundi de novembre, la vieille ville de Berne se transforme entre la gare et la Bundesplatz (Place du Palais fédéral) en un grand marché avec des centaines de stands. Les paysans des environs, principalement du district fribourgeois du Lac, viennent vendre plus de 100 tonnes d'oignons, présentés sous forme de tresses, mais aussi des légumes, des fruits et des noix.
Quant aux camelots, ils proposent leurs articles habituels. L'après-midi et le soir, surtout après l'école et le travail, des éléments carnavalesques, telles que batailles aux confettis, apparition de personnages déguisés, se mêlent à l'animation marchande. Le soir, dans les auberges, des groupes récitent des couplets ironiques sur les événements de l'année écoulée. Des journaux satiriques sont aussi publiés ce jour-là.
Le marché aux oignons est un vestige d'un marché automnal de la Saint-Martin qui durait quinze jours et qui est connu dès le 15e siècle. Selon une légende toujours entendue, son origine remonterait à l'incendie de la ville de 1405. Les paysans des environs auraient activement aidé aux travaux de remise en état et ainsi reçu le droit de vendre leurs produits en ville. Cependant, ce n'est qu'en 1439, qu'un marché automnal est apparu, mais de toute façon, les légumes pouvaient être mis en vente sur les marchés hebdomadaires. Les documents mentionnent les oignons seulement à partir du milieu du 19e siècle, époque à laquelle des lignes ferroviaires ont été construites entre les régions agricoles et la ville.
********************************************************************************************************** En Bretagne les Johnniesétaient des marchands d'oignonsroscovites, qui, à partir du XIXe siècle, partaient chaque année en août, de l'autre côté de la Manche pour vendre leurs oignons.
Le colportage de légumes a commencé au départ de Roscoff par voie de terre vers l'ouest de la France à la fin du XVIIIe siècle au cours de la crise économique qui a précédé la Révolution. Un demi siècle plus tard, en 1828, un cultivateur roscovite, Henri Ollivier, affrèta une gabarre, la chargea d'oignons et avec trois compagnons se dirigea vers l'Angleterre. Tel fut l'initiateur et le fondateur du commerce d'oignons en Grande-Bretagne. Là-bas, les vendeurs furent appelés en anglais Johnnies (« les petits Jean ») ou Johnnies Onions, et en gallois Sioni Wynwns (translittération en gallois de "Johnny Onions")1. Le terme est passé en breton : ar Johnniged. Ils ont été surnommés ainsi car, à cette époque, ils emmenaient avec eux leurs enfants, âgés d'une dizaine d'années et petits par la taille, Yann, équivalent de John, et Yannick, équivalent de Johnny, étant en breton, des prénoms très usuels. Un Johnny, Daniel Tanguy, à vélo à Llanycil(cy) le 23 janvier 1958.
Les vendeurs d'oignons faisaient du porte-à-porte portant leurs marchandises tressées sur leurs épaules puis, quand la bicyclette est apparue, sur leurs vélos. Souvent les clients gardaient d'une année sur l'autre « leur » Johnny. L'activité restait cependant spéculative. Le succès de l'opération dépendait de l'absence d'avarie et du prix d'achat auprès du producteur. Jusqu'après la seconde guerre mondiale, les oignons étaient achetés en terre, donc à un prix sur lequel le Johnny faisait le pari qu'il serait suffisamment inférieur au futur prix de vente moyen pour que sa marge soit suffisante. Or ce prix de vente variait selon le succès de la récolte. Cependant le climat dans la Ceinture dorée est suffisamment doux et régulier pour que le pari ne fut pas trop téméraire. L'émigration saisonnière augmenta d'année en année. D'un millier autour de la Grande Guerre, leur effectif atteint 1 400 en 1929, année de leur maximum. La région était surpeuplée, et les fermes suffisamment rentables pour nourrir les familles. Au début du XXe siècle, les légumes étaient livrés aux coopératives agricoles. Mais l'automne, morte saison, devait être rentabilisé. Roscoff : l'arrivée des voitures d'oignons au port vers 1920 (carte postale)
Roscoff : l'embarquement des oignons pour l'Angleterre (vers 1920)
Arrivée des voitures d'oignons
Avant la Première Guerre mondiale, les Johnnies s'étaient organisés en « compagnies », associations saisonnières comprenant de quinze à trente membres. Certaines, comme celles de ar Bouteger, ar Broc'h, ar Pabor, Per-Hir, ar Pen-Polis, comptaient jusqu'à soixante membres. Après la Deuxième Guerre mondiale, les compagnies disparurent peu à peu. La traversée vers la côte sud (Penzance, Cowes sur l'île de Wight, Southampton, Portsmouth, Brighton, Douvres) durait de dix-huit à quarante-huit heures selon les vents ; vers la côte est : Hull, Sunderland et Newcastle, ou encore le Pays de Galles ou l'Écosse. On trouve des Johnnies à Roscoff et aux environs : Santec, Saint-Pol, Plougoulm, Sibiril, Cléder…La vie des Johnnies a été mise en musique par le groupe "Tonnerre de Brest" dans une de leurs chansons Les Johnnies et également par le groupe nantais Tri Yann dans la chanson "vivre johnnie,vivre"
De GRANIT54 Modification de la Constitution sur le code de la Nationalité : Hypocrisie de la classe politique Française de droite comme de gauche sur la révision de la constitution en vue de modifier le code de Nationalité alors que cette loi existe par l'Article 25 de la Constitution : Que nous cachetons derriere cette modification? Art.25 ( L . no 98-170 du 16 mars 1998) ( L.no 73-42 du 9 janvier 1973 ) L'individu qui a acquis la qualité de Français peut , par décret pris aprés avis conforme du Conseil d'Etat être déchu de la nationalité française sauf si la déchéance a pour résultat de le rendre apatride. 1 . Est condamné pour un acte qualifié (Lno 93-933 du 22 juillet 1993 ) de crime ou délit constituant une atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation (L. no96-647 du 22 juillet 1996 art 12 ) ou pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme. 2 . est condamné pour un acte qualifié (L.no93-933 du 22 juillet 1993 ) de crime ou délit prévu et réprimé par le chapitre II du titre III du livre IV du code pénal . 3 .est condamné pour s'être soustrait aux obligations résultant pour lui du Code du service national . 4 . s'est livré au profit d'un Etat étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France . Je pense qu'il y a matière à réflèchir car il y a dans cet Art 25 tout l'arsenal pour éliminer les racines du mal . Et puis vaudrait il pas mieux de supprimer cette double nationalité car personnellement je conteste le fait qu'une personne avec une double nationalité gouverne la France .
Discours du Sénateur-Maire David RACHLINE
(à l’occasion de l’inauguration des crèches
de Noël 3 décembre 2015)
Mesdames, Messieurs les élus,
Mesdames, Messieurs les présidents
d’associations,
Mesdames, Messieurs,
Je suis très heureux de vous voir si nombreux pour l’inauguration officielle de nos crèches de Noël.
Comme vous le savez, je me suis engagé dès le début de mes fonctions à garantir cette magnifique tradition chrétienne,
une tradition profondément ancrée en Provence et plus particulièrement à Fréjus.
Car oui…, Fréjus, n’en déplaise à certains, est une ville chrétienne, forgée par les Romains, elle fut par la suite le siège
de l’évêque catholique, elle vit le clocher de Saint-Léonce s’élever vers les cieux,elle accueillit le saint sauveur François de
Paule, et désormais elle perpétue presque deux millénaires de foi chrétienne en préservant ses traditions et son histoire.
J’ai aujourd’hui, une pensée toute particulière, alors que nous dévoilons nos crèches de Noël dans la paix et la joie, une pensée émue et sincère envers mes frères chrétiens persécutés au Moyen-Orient et partout là où l’intolérance et le radicalisme religieux règnent.
Ces chrétiens d’Orient, de Syrie et d’Irak, ces coptes d’Egypte, qui chaque jour risquent leurs vies quant ils n’aspirent qu’à la
paix et qu’ils ne vivent que pour l’Amour.
En ce moment, mes pensées vont vers eux…
Alors, en ce qui concerne cette inauguration,elle a pris une tournure politique voire polémique lorsque le Président de l’Association des Maires de France, François Baroin, et son vice-président Christian Estrosi, des Républicains, ont décidé au lendemain des attentats de publier un rapport sur la possibilité législative de supprimer l’installation des crèches au sein des Mairies…
Oui ces messieurs, n’ont rien trouvé de mieux, le deuil national à peine achevé de proposer cette mesure insultante et choquante.
Vous le savez peut-être, avec un certain nombre de Maires du Var et de partout en France, nous avons décidé de quitter cette association.
Nous avons aussi décidé, coûte que coûte, malgré les pressions de cette caste inculte et méprisante, de préserver nos traditions…
ici, je le répète, chaque année, chaque début décembre, nous installerons une crèche dans la Mairie !
Nous ne lâcherons rien sur ce point !
Nos valeurs, nos traditions, nos coutumes ne sont pas à vendre, elles ne sont pas un compromis ou une variable, elles font partie de la Nation Française, elles sont en nous, elles sont le ciment, le terreau, les racines de chacun d’entre nous.
C’est ici, en Provence que l’ordre latin et chrétien s’est imposé pour ensuite se diffuser aux quatre coins de tout le pays.
C’est Lazare, premier évêque de Provence, c’est Marie Madeleine, la pécheresse sauvée par le Christ qui finit sa vie ici, sur nos terres, ce sont les fiers clochers de nos villes et de nos villages,
ce sont les légendes et les mythes, le pain et l’aumône, la foi et la charité.
Ainsi, les crèches ne sont pas une lubie que nous avons, ce n’est pas une épine dans le pied des biens pensants bobos de Paris.
Les crèches, c’est avant tout une communion ffamiliale, c’est le symbole d’une naissance, la naissance d’un enfant, celle que j’en suis sur, beaucoup d’entre vous mesdames, ont déjà vécu.
C’est l’histoire d’une famille…, des familles, qui n’a pas ici, le souvenir des ces moments partagés lorsque l’Hiver s’annonçait dans les rues et dans les campagnes, ce souvenir d’une famille réunie qui construit, étape par étape la crèche au pied du sapin.
Cette tradition impérissable, nous la transmettons, nous la reproduisons et cela depuis des siècles.
C’est ici la transmission du savoir, de l’héritage de nos pères et de nos mères…
Le passé perdurant, le présent immuable assurent notre futur éternel.
Oui nos traditions sont aussi cela… l’éternité face au doute, l’éternité face aux bouleversements : ce sont ces familles fréjusiennes qui en décembre 1959, meurtries par la rupture du barrage de Malpasset, ont tout de même fêté Noël et ont mis le petit enfant
Jésus au creux de leurs crèches lorsque les cloches de minuit sonnèrent.
Ce sont aussi ces familles fréjusiennes endeuillées et massacrées par les invasions barbares, par la grande peste noire,
par les deux Guerres mondiales…
Oui ce sont toutes ces familles qui se sont inlassablement réunis dans la foi, les larmes se mêlant aux pensées d’espérance.
Oui de l’Espoir, l’espoir, cette pensée qui ne meurt jamais, tellement bien incarné par la naissance de l’enfant de Bethléem :
ce fils, premier né, enveloppé de simples linges et placé dans une crèche.
Cet enfant, entouré d’espoir et de vie qui a durant sa courte existence prêché la vie face à la mort.
La vie à Fréjus a donc toujours vaincu la mort : la Bravade en témoigne, la crèche en témoigne, le soleil couchant sur nos murs millénaires en témoigne !
Mes amis, chers Fréjusiens, Fréjus est espérance,
Fréjus est éternelle…
La France est une idée d’espoir, la France est une Nation éternelle !
Que vivent les crèches de Noël, que vive Fréjus et que vive la France !!!
*******
Patrick:
Bien que Noël 2015 vient juste de finir, je veux publier ce magnifique discours d'un maire de France qui se tient pour ses convictions.
Je suis entièrement d'accord avec lui, étant un chrétien moi-même, je ne peux que l'approuver.
La France, mon beau pays, est fondé sur des valeurs ancestrales; ces valeurs, nous les chérissons et nous ne voulons pas qu'elles disparaissent!
Elles sont notre identité nationale, le sang qui coule dans nos veines, ce pourquoi nous nous sommes battus depuis des siècles.
C'est une France chrétienne que nous voulons garder,avec des valeurs chrétiennes; notre héritage!
Claire Chazal, 58 ans, a présenté le 13 septembre dernier son dernier JT, après 24 ans de règne sur les journaux du week-end de la chaîne
Claire Chazal, 58 ans , évincée du JT de TF1 depuis la rentrée, devrait faire un retour très remarqué à la télévision sur France 5 dès le début de l'année 2016 en présentant «Entrée Libre». La journaliste va remplacer Laurent Goumarre à la présentation du journal culturel de France 5 diffusé de 20 h 15 à 20 h 30 en concurrence directe... avec le JT de TF1.
Pour les inconditionnels de l'ex-reine du JT de TF1 il s'agit d'une très bonne nouvelle comme on peut le constater à travers les nombreux
messages postés par les internautes sur les réseaux sociaux.
«Bonjour, Est-ce Bien La Terre ? »
L'astronaute Tim Peake, photographié le 15 décembre avant son décollage pour l'espace.
Photo Dmitry Lovetsky, AP
L'astronaute britannique Tim Peake, actuellement à bord de la Station spatiale
internationale (ISS), s'est excusé vendredi auprès d'une dame qu'il a
appelée par erreur depuis l'espace en demandant : « Bonjour, est-ce bien
la Terre ? ».
« Ce n'était pas un canular, seulement un faux numéro », a-t-il expliqué sur
Twitter. « J'aimerais m'excuser auprès de la dame que je viens juste
d'appeler par erreur en lui demandant "Bonjour, est-ce bien la
Terre?" », a-t-il ajouté.
Ce n'est pas la première fois que « Major Tim », qui a rejoint l'ISS le 15
décembre pour une mission de six mois, galère avec ses coups de fil à
la Terre. Lundi, il a raconté comment le téléphone avait sonné dans le
vide lorsqu'il avait essayé de joindre ses parents Nigel et Angela. Il
leur a laissé un message sur leur répondeur.
Tim Peake, 43 ans, fait l'objet d'une attention maximale au Royaume-Uni où
les médias rapportent ses moindres faits et gestes dans l'espace. Il
faut dire qu'il est le tout premier Britannique à se rendre à bord de
l'ISS et seulement le deuxième dans l'espace, après Helen Sharman en
1991.
Il a décollé le 15 décembre du cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, en
compagnie de l'Américain Tim Kopra et du commandant de bord russe
Iouri Malentchenko.
Les trois hommes avaient dû s'amarrer manuellement à l'ISS à cause d'un problème technique.
Découvrez 17 des villages les plus charmants de France
Vous cherchez des coins charmants figés dans le temps ? Abritant plus de 36 000 communes (plus que tout autre pays d’Europe), la France abrite tellement de villages pittoresques qu’il serait impossible de tous les nommer. Mais il y en a certains qui sortent du lot malgré tout. Envie de partir au vert ?
.
1. Eguisheim, Haut-Rhin
Situé dans le Haut-Rhin à deux pas de Colmar, Eguisheim est l’un des plus beaux villages d’Alsace. Vous pourrez explorer les ruelles du pittoresque centre-ville, visiter le château où vivaient autrefois les comtes d’Eguisheim ou encore visiter le château du Hohlandsbourg. Si vous êtes amateur de bons vins, n’hésitez pas à faire un tour le long de la route du vin. En chemin, peut-être rencontrerez-vous Hubert et Heidi Hausherr, deux vignerons indépendants qui produisent du très bon vin d’Alsace.
Centre-ville d’Eguisheim
2. Barfleur, Manche
Situé au nord-est de la Manche, Barfleur est l’un des plus jolis villages de France. Vous pourrez admirer un pittoresque port, un charmant petit centre-ville ainsi que visiter le phare de Gatteville. Après une fatigante montée de 365 marches, vous atteindrez le sommet du phare et vous pourrez admirer un magnifique panorama.
Maison traditionnelle à Barfleur
3. Moustiers-Sainte-Marie, Alpes-de-Haute-Provence
Entouré par des champs de lavande, Moustiers-Saint Marie est l’un des plus beaux villages de France. Situé dans les hautes Alpes au cœur du parc régional du Verdon, ce village est réputé pour son étoile suspendue au-dessus du vide. Une fois la visite du village terminée, n’hésitez pas à visiter le musée de la faïence pour en savoir plus sur les produits d’artisanat local.
Vue panoramique de Moustiers-Sainte-Marie
4. Pesmes, Haute-Saône
Situé au cœur de la Haute-Saône, Pesmes est un gros village (1 099 habitants) considéré comme l’un des plus beaux de France. Le temps semble s’y être arrêté. Vous pourrez admirer une belle enceinte médiévale, des forges ou encore admirer la paisible Ognon - la rivière qui traverse le village. Si vous avez envie d’acheter un souvenir, shopping, rendez-vous à l’atelier d’Oléanne. Vous pourrez trouver un vaste choix d’huiles végétales issues de l’agriculture biologique.
Le paisible village de Pesmes
5. Lavardin, Loir-et-Cher
Situé au bord du Loir, Lavardin est un très vieux village - il existait déjà au temps des Gaulois sous le doux nom de Labricinum. Comptant 199 habitants, ce petit village abrite une pittoresque église (Eglise Saint Genest) ainsi qu’un impressionnant château en ruines. Prenez le temps de vous promener dans le vieux centre du village. Vous découvrirez des trésors insoupçonnés au détour d’une ruelle.
Toit du village et château de Lavardin
6. Roussillon, Vaucluse
Situé au cœur du parc naturel du Lubéron, Roussillon - qui compte un peu plus de 1000 habitants - est l’un des plus beaux villages de France. Commencez votre séjour en explorant les ruelles du vieux centre puis promenez-vous le long du sentier des Ocres ou à la chaussée des géants, où vous pourrez admirer des paysages qui vous rappelleront sans doute le Grand Canyon. Ce n’est pas pour rien que ce lieu est surnommé le « Colorado Provençal ». Si toutes ces visites vous ont donné faim, nous vous recommandons de manger chez David ou au P’tit Gourmand, deux des meilleurs restaurants du village.
Roussillon, un village connu pour ses ocres
7. Baume-les-Messieurs, Jura
Situé au cœur de la nature jurassienne, Baume-les-Messieurs est l’endroit idéal où aller si vous avez envie de partir au vert. Considéré comme l’un des plus beaux villages de France, le village abrite une jolie abbaye impériale qui vous permettra de remonter le cours du temps. Si vous aimez la nature, n’hésitez pas à vous aventurer à l’extérieur du village. Vous pourrez visiter une grotte, admirer la resplendissante cascade des tufs ou encore vous promener au beau milieu de forêts entourées de majestueuses collines.
Baume-les-Messieurs, un village pittoresque
8. Piana, Corse du Sud
Piana est l’un des plus beaux villages de Corse. Situé dans l’ouest de l’île de Beauté, Piana est réputé pour ses magnifiques calanques qui sont inscrites au patrimoine mondial de l’UNESCO. Une fois la visite du pittoresque village terminée, vous pourrez admirer le joli canyon du Dardo ou le coucher du soleil derrière le mont Capu Rossu.
Ne manquez pas d’admirer les calanques de Piana
9. Rocamadour, Lot
Niché le long d’une falaise abrupte surplombant l’Alzou, Rocamadour est l’un des plus beaux villages du Lot et de France. Vous pourrez admirer de beaux sanctuaires ainsi que de nombreux édifices qui datent du XIXe siècle. Rocamadour est le paradis des passionnés du moyen-âge : vous pourrez admirer le Durandal - un spectacle avec des comédiens à cheval. Ne manquez pas de visiter la forêt des singes et le rocher des aigles. Si vous avez le temps, n’hésitez pas à faire un tour du côté de la grotte préhistorique des Merveilles. Vous pourrez y admirer quelques peintures rupestres.
Rocamadour a été construite sur le flanc d’une colline
10. Castelnou, Pyrénées-Orientales
Situé à 20 kilomètres au sud-ouest de Perpignan, Castelnou est un charmant petit village qui abrite un pittoresque château d’où vous pourrez admirer une jolie vue sur le village en contrebas. Si vous disposez d’une voiture, n’hésitez pas à visiter l’abbaye de Saint-Martin du Canigou. Fondée au Xe siècle par des moines bénédictins, cette magnifique abbaye se situe à une heure de route environ de Castelnou.
La charmante bourgade de Castelnou
11. Sainte-Enimie, Lozère
Situé au beau milieu des gorges du Tarn, Sainte-Enimie est un des plus beaux villages. Prenez le temps d’arpenter les ruelles pavées du vieux centre pour admirer les maisons qui émanent un délicieux parfum d’autrefois. Sainte-Enimie est également le paradis des amateurs de grands espaces. Vous pourrez faire du canoë/kayak dans les gorges du Tarn, faire de la randonnée ou louer un VTT pour explorer la nature environnante.
Une ruelle du vieux centre de Sainte-Enimie
12. Saint-Cirq-Lapopie, Lot
Situé au cœur du parc régional des Causses, Saint-Cirq-Lapopie a été élu « village préféré des Français » en 2012. Il faut dire que ce village médiéval qui surplombe le Lot du haut d’une falaise de 100 mètres de haut est magnifique. Le village abrite pas moins de 13 monuments historiques. Commencez votre visite par le chemin des Brigands. Vous pourrez admirer d’anciennes maisons, découvrir des boutiques d’artisanat et admirer une jolie vue sur la vallée du Lot. Ne manquez pas d’admirer la pittoresque église ainsi que la grotte du sorcier. Enfin, si vous avez le temps, nous vous recommandons de faire une croisière. Cela vous permettra d’admirer la magnifique vallée du Lot, qui est truffée de petits villages plus beaux les uns que les autres.
Saint-Cirq-Lapopie fut élu village préféré des Français en 2012
13. Locronan, Finistère
Situé non loin de Douarnenez, Locronan est l’un des plus jolis villages du Finistère et même de France ! Admirez la place de l’Église ainsi que la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle, qui abrite une jolie petite fontaine. Si ces visites vous ont affamées, rendez-vous à Ty Kouign Amann. Vous pourrez déguster de délicieux Kouign Amman - le gâteau traditionnel breton par excellence - mais aussi de délicieux biscuits et chocolats. Bon appétit !
Locronan, un joli village Breton
14. Brousse-le-château, Aveyron
Situé au cœur de l’Aveyron, Brousse-le-château est l’un des villages les plus charmants de France. Comme vous pouvez vous en douter, le village abrite... un magnifique château médiéval dont la visite vous permettra de remonter le cours du temps. Ne manquez pas d’explorer les alentours : la région abrite de nombreux trésors cachés qui sauront ravir les voyageurs les plus exigeants.
Vue panoramique sur le village de Brousse-le-château
15. Turenne, Corrèze
Située au cœur de la Corrèze, Turenne (800 habitants) abrite de nombreux bâtiments notamment la Tour César (construite au XIIe siècle), la maison Livet et la maison Cheyroux, toutes deux construites au cours du XVe siècle. Ne manquez pas d’admirer le château. Vous aurez une magnifique vue sur le village et la campagne alentour. Le village abrite également quelques bons restaurants comme La Vicomte ou le Vieux Séchoir où vous pourrez déguster des spécialités du terroir.
Turenne abrite de nombreuses maisons anciennes dont certaines furent construites au XVe siècle
16. Gordes, Vaucluse
Situé dans le Lubéron, Gordes est l’un des plus beaux villages de France. Vous pourrez admirer des abbayes anciennes - comme l’abbaye de Sénanque - des moulins à eau et de nombreuses maisons construites il y a des siècles déjà. Ne manquez pas de visiter le village des bories ainsi que le musée du verre et du vitrail, où vous pourrez admirer de nombreuses œuvres en verre.
Abbaye de Gordes
17. Mosset, Pyrénées-Orientales
Mosset est l’un des plus beaux villages du sud de la France. Entouré de montagnes, ce village abrite de nombreux bâtiments intéressants à visiter, parmi lesquels figurent la tour des Parfums, la tour de Mascarda ou encore de vieux édifices religieux comme l’église Saint-Julien-le-Vieux, aujourd’hui en ruine. Si vous en avez la possibilité, louez un âne à « Les anes de la Licorne ». Cela vous permettra de randonner sans avoir à porter un lourd sac à dos et vos enfants seront ravis de leur nouveau compagnon de route.
Le village de Mosset est entouré de montagnes
Nous sommes conscient qu’il existe de nombreux autres villages pittoresques absents dans cette liste et en sommes désolés - nous ne pouvons pas parler de tous les jolis villages de France dans un seul et même article !
Quelque 29,6 millions de visiteurs étrangers se seront rendus en Thaïlande en 2015, contre 24,8 millions en 2014.
Photo Adam Ferguson, Archives The New-York TimesYork Times
Agence France-PresseBankok
La Thaïlande a accueilli en 2015 près de 30 millions de touristes,
établissant un nouveau record, et annonce vouloir se concentrer sur le
haut de gamme, alors que ce pays fut longtemps une destination de choix
pour les vacanciers peu fortunés.
La Thaïlande a accueilli en 2015 près de 30 millions de touristes,
établissant un nouveau record, et annonce vouloir se concentrer sur le
haut de gamme, alors que ce pays fut longtemps une destination de choix
pour les vacanciers peu fortunés.
Le tourisme, qui avait été fortement touché en 2013 et 2014 par les
violentes manifestations ayant paralysé la capitale Bangkok pendant six
mois, semble avoir tourné la page de cette période noire.
Cette année, quelque 29,6 millions de visiteurs étrangers se seront rendus
dans le royaume contre 24,8 millions en 2014, a déclaré vendredi la
ministre de Tourisme et des Sports Kobkarn Wattanavrangkul.
En 2016, l'objectif du gouvernement est d'accueillir 32 millions de
touristes. Les militaires au pouvoir depuis le coup d'État de mai 2014
sont très attentifs au secteur touristique, l'un des seuls points forts
d'une économie en berne et qui peine à repartir.
«Notre objectif est de nous concentrer sur la qualité et de faire en sorte que
les touristes restent plus longtemps et dépensent plus d'argent», a
déclaré Kobkarn Wattanavrangkul.
Cette dernière a ensuite précisé quelles étaient les cibles : les femmes
ainsi que les adeptes de vacances de luxe et du tourisme sportif.
«Les revenus du tourisme représentent maintenant 14,5% du PIB», a-t-elle ajouté.
Dans une note récente, Krystal Tan, analyste pour Capital Economics,
estimait que le tourisme en Thaïlande avait bien résisté à l'attentat à
la bombe qui a secoué le coeur de Bangkok en août.
«En 2015, nous estimons que le tourisme contribuera à hauteur de deux
points de pourcentage à la hausse du PIB. Sans ce coup de pouce,
l'économie aurait à peine progressé», écrit-elle.
Le gouvernement table sur une hausse du PIB située entre 2,7 et 3,2% cette
année, soit un peu mieux que l'an dernier mais qui restera l'une des
plus mauvaises performances de la région.
Certains économistes indépendants tablent plutôt de leur côté sur 2,5%.
Depuis le coup d'État de mai 2014, le général Prayut Chan-O-Cha, à la tête de
la junte, a mis l'accent sur sa volonté de redresser l'économie, mais la
reprise se fait attendre.
Source: Temple blanc de Thaïlande est à couper le souffle.
La structure, qui est un temple bouddhiste contemporain, a été construit en 1997 par l'artiste Chalermchai Kositpipat. Son extrême beauté (certains pourraient dire divine) en fait une attraction touristique de premier plan.
Malheureusement, le temple a été lourdement endommagé par un séisme en mai 2014, et il
est maintenant structurellement défectueux. Cependant Kositpipat a travaillé non-stop pour restaurer le temple. Il dit qu'il va consacrer le reste de sa vie à le remettre à neuf...but qu'il s'est fixer!!!
La consommation des ménages et la production manufacturière sont les deux
maillons faibles de l'économie du royaume, où le secteur agricole est
également en difficulté en raison de la baisse des prix du riz et du
caoutchouc.
s'est produit au large de l'île indonésienne de Sumatra avait une magnitude 9,1 à 9,31,2.
L'épicentre se situe à la frontière des plaques tectoniques eurasienne et indo-australienne3. Ce tremblement de terre a eu la quatrième magnitude la plus puissante jamais enregistrée dans le monde4.
Il a soulevé jusqu'à 6 mètres de hauteur une bande de plancher océanique longue de 1 600 kilomètres.
Le tremblement de terre a provoqué vingt minutes plus tard un tsunami allant jusqu'à plus de 30 mètres de hauteur5 qui a frappé l'Indonésie, les côtes du Sri Lanka et du sud de l'Inde, ainsi que l'ouest de la Thaïlande. Le bilan en pertes humaines est estimé à « au moins 250 000 personnes [...] tuées, dont près de 170 000 en Indonésie,
31 000 au Sri Lanka, 16 400 en Inde et 5 400 en Thaïlande, selon les estimations officielles »6.
Sur le plan des pertes humaines, c'est l'un des dix séismes les plus meurtriers et le plus grave tsunami de l'histoire. Il a fait des victimes sur l'ensemble du pourtour de l'océan Indien. La même région a été affectée par un nouveau tremblement de terre le 28 mars 2005.
Séisme
Le séisme s'est produit à 0 h 58 min 53 s UTC (7 h 58 min 53 s heure locale à Jakarta et Bangkok). Le tremblement de terre a été initialement évalué à une magnitude de 8,5, révisée à 8,9, pour finir à 9,1 selon l'Institut géologique américain (USGS)1. En analysant les données sismologiques, en particulier la façon dont laTerre s'est mise à résonner après le séisme, les sismologues ont même proposé une magnitude allant jusqu'à 122. L'hypocentre fut localisé à 3,3° N, 96° E, soit à 160 kilomètres à l'ouest de Sumatra, à une profondeur de 30 kilomètres.
L'origine du séisme est liée à la rupture de la zone de subduction entre deux plaques, la plaque indienne et la microplaque Andaman, sur une longueur d'environ 1200 kilomètres2,8. La rupture sur cette faille chevauchante, faiblement inclinée vers le nord-est et émergeant en
surface au niveau de la fosse de subduction, a pris environ 18 minutes
pour se propager du sud (au large de Sumatra) vers le nord (nord des
îles Andaman). Aux endroits où le mouvement a été le plus fort sur la faille, les déplacements ont atteint 15 à 20 m.
L'énergie totale mise en jeu par le séisme, estimée par le moment sismique, a été de l'ordre de 5.1022 N.m (ou joule, J). La partie de cette énergie dissipée sous forme d'ondes sismiques (énergie sismique ES), environ 2.1018J, est équivalente à l'explosion de 500 mégatonnes de TNT ou plus de 30 000 bombes de Hiroshima.
Malgré plusieurs séismes importants ces dernières années dans cette région :
7.9 en 2000 et 7.4 en 2002, il apparaît que le glissement de la plaque
indienne sous la microplaque Andaman était bloqué. Ce blocage, du fait
de la poussée continue de la plaque indienne, a accumulé des contraintes
énormes et lorsque le verrou a fini par céder, le brusque réajustement a
permis le déplacement de la plaque supérieure d'une quinzaine de
mètres.
Ce mouvement brutal et particulièrement énergique a donné une impulsion à
toute la colonne d'eau située au-dessus, donnant naissance à une série
d'ondes géantes (peu élevées en pleine mer, mais de grande longueur d'onde - plusieurs dizaines de kilomètres, et très rapides : entre 500 et 800 km/h). La longueur d'onde considérable de ces ondes géantes met en mouvement
une masse d'eau colossale par rapport à des vagues ordinaires. Cette
masse se déplaçant à très grande vitesse contient une énergie énorme, ce
qui explique son pouvoir de destruction lorsqu'elle vient se heurter
aux constructions du rivage.
La grande longueur d’onde fait que la pente de la vague est très faible
surtout lorsque la profondeur d’eau est importante. Ainsi, des pêcheurs
au large des côtes n’ont même pas ressenti le tsunami lorsqu’il est passé sous leur navire. De retour à terre ils n’ont pas compris immédiatement ce qui avait pu dévaster la côte.
Le séisme proprement dit a été ressenti dans plusieurs pays de la région, dont les îles Maldives, le Sri Lanka, l'Inde, le Bangladesh, Myanmar (l'ex-Birmanie), la Thaïlande, la Malaisie et Singapour. Cependant, au-delà de ces pays, les raz-de-marée (ou « tsunamis » en japonais) qui ont suivi sont à l'origine du plus grand nombre de victimes, car leurs effets se sont fait sentir sur tout le pourtour de
l'Océan Indien, jusqu'aux côtes est-africaines de Somalie et l'île française de la Réunion, ou les côtes nord-ouest de l'Australie (voir l'animation et la carte plus haut). Les populations locales
auraient pu être prévenues du tsunami par un réseau de surveillance approprié.
La propagation de l'onde de tsunami a en effet pris plusieurs heures pour atteindre certains des pays touchés. Le phénomène se déplace à une vitesse importante, de l'ordre de cent à
deux cents mètres par seconde, c'est-à-dire parfois jusqu'à 800 km/h.
De plus, à l'approche des côtes, les masses liquides perdent de leur
rapidité, mais leur taille augmente, pour atteindre 10, 20, voire 35 mètres de hauteur. Il est né au large de la côte nord-ouest de Sumatra, après une rupture
soudaine et sur 1 600 km au fond de la mer, là où la croûte océanique
plonge sous l'Indonésie. Ce pays a souffert plus que tout autre, avec
près de 170 000 morts. Mais 60 000 autres victimes ont péri au Sri
Lanka, en Inde et jusqu'en Afrique.
Tsunami
Source : tsunami deu 26 décembre 2004 arrivé à Ao Nang en Thaïlade
Le tremblement de terre a engendré un tsunami qui s'est propagé concentriquement, depuis l'épicentre (à la verticale de l'hypocentre sous-marin), vers les côtes des pays de l'océan Indien et jusqu'en Afrique. Ce tsunami, constitué de plusieurs séries de vagues de très grande longueur d'onde, a été le plus meurtrier de ceux jamais relatés. Le dernier tsunami dans cette région du monde a été
provoqué par l'éruption du Krakatoa en 1883. La ligne de la faille océanique où s'est produit le séisme est longue de 1 200 kilomètres et orientée nord-sud. De ce fait, la plus grande partie de l'énergie du
tsunami s'est répartie dans les directions opposées est-ouest.
Le Bangladesh, à l'extrémité nord de la baie du Bengale, n'a été que très peu affecté, du fait de sa position géographique.
À l'inverse, l'île de Sumatra a été frappée de plein fouet par les vagues géantes. Des pays très éloignés, comme la Somalie (à un peu moins de 5 000 kilomètres du séisme, en Afrique), ont été sévèrement touchés.
Le Sri Lanka a créé une barrière protectrice pour une petite partie des
plages du sud de l'Inde ; toutefois, sur des distances plus longues,
les vagues se sont diffractées autour des obstacles puis rejointes,
comme un courant d'air autour d'un cylindre.
Le bilan catastrophique peut s'expliquer en partie pour deux raisons.
D'une part, la population et les autorités locales, n'ayant jamais été
préparées à une telle éventualité, ont été prises par surprise —
plusieurs personnes rescapées ont rapporté avoir d'abord été à la
rencontre de la vague, « par curiosité », en constatant le retrait spectaculaire de la mer,
qui annonce l'arrivée imminente de la première vague géante du tsunami.
D'autre part, il n'existe pas de dispositif de surveillance des tsunamis dans
l'océan Indien. Bien que l'alerte ait été donnée dans quelques régions
de l'Inde par les télévisions locales, l'information est majoritairement
très mal passée, et semble même avoir été souvent bloquée par crainte
du désordre public.
Pays touchés
Les tsunamis provoqués par le séisme sous-marin ont touché l'Asie du Sud dans les heures qui ont suivi le séisme, plusieurs vagues de 3 à 15 mètres de hauteur ont déferlé suivant les endroits, emportant les personnes qui n'étaient pas du tout prévenues du danger. Les vagues ont aussi atteint l'Afrique de l'Est, où notamment une centaine de pêcheurs somaliens sont morts.
Indonésie
Le ministre de la Santé indonésien a confirmé l'estimation temporaire de 166 320 morts (le 19 janvier
2005). 9 000 personnes seraient mortes dans la capitale de province Banda Aceh, sur l'île de Sumatra, et ses villes alentour, où les immeubles détruits par le séisme initial se comptent par douzaines.
Ce chiffre n'inclut pas les victimes de la côte ouest de Sumatra. Un premier rapport officiel a estimé à 10 000 le nombre de morts pour la seule ville de Meulaboh (Nanggroe Aceh Darussalam), à 160 kilomètres au nord, a réévalué le chiffre à 40 000, soit un tiers de la populationde la ville.
Le nord de Sumatra a été particulièrement touché, car le séisme y avait déjà fait des dégâts importants.
Des centaines de milliers de personnes y sont sans abri.
Les informations sur la myriade de petites îles à l'ouest des côtes de
Sumatra sont pour le moment très maigres. Ces îles sont parmi les
régions les plus pauvres d'Indonésie, avec Simeulue et Nias. Sur l'île de Nias uniquement, 122 victimes au moins sont à déplorer (source : Media Indonesia Online via le ministère de la Santé) ; il s'agit en fait de 600 morts ou plus, voire 1 000 selon certaines informations. La confirmation ne pourra se faire que lorsque les communications auront été rétablies : les lignes téléphoniques sont
toutes coupées, la radio ne fonctionne plus (source : KCM22, mises à jour sur The Jakarta Post).
Les derniers rapports ont établi que les îlots au large de l'île de Nias, dans la région du Sirombu, ont été relativement épargnés. Cependant, l'accès à ces îles reste très difficile.
La plus grande partie des dégâts résulte des différents tsunamis ayant
frappé les régions côtières d'Aceh et du nord de Sumatra. Des vagues de
dix mètres de haut ont submergé l'île, allant jusqu'au détroit de Malacca et touchant les côtes les plus au nord vers Bireun.
La côte ouest de Sumatra se situe à seulement 100 kilomètres de l'épicentre du séisme
initial, c'est donc la première à avoir été touchée et certainement le
plus violemment. Au moins cinq villages ont été complètement rasés ; le survol de la région a
montré que des milliers de maisons restent sous les eaux.
Dans les villes de la province d'Aceh, des personnes ont survécu aux
premières heures de l'après catastrophe en se nourrissant de noix de coco et en restant perchées
sur les toits des constructions encore debout.
Le nombre très important de cadavres représente un défi humanitaire et
sanitaire, pour l'identification et l'enterrement rapide des morts. Un
des besoins les plus urgents est l'acheminement de sacs en plastique
pour envelopper les corps.
Au vu des nombreux dégâts, des problèmes juridiques et de propriétés ont
vu le jour. De nombreux titres de propriété foncière ont disparu ou ont
été endommagés dans la catastrophe. Avec la mort d'un grand nombre de
propriétaires légaux, alors que seuls subsistaient, par exemple, des
héritiers éloignés vivant dans un village de montagne, il était très
difficile de statuer sur la possession de la terre.
Les conséquences de telles catastrophes s'inscrivent à la fois sur le court et moyen termes (réorganisation du marché du travail autour des travaux de déblaiement,
de tri des déchets et de reconstruction, destruction des structures
sanitaires entraînant un risque d'épidémies et de contamination des
nappes phréatiques) et sur le long terme (destruction des liens et structures).
Thaïlande
La Thaïlande est un pays composé de 77 provinces regroupées en 5 régions
géographiques : Nord, Isaan, Plaine centrale, Est et Sud. Cette dernière
est composée de 13 provinces dont 6 furent les plus touchées par le
tsunami, à savoir : Phuket, Krabi, Phang Nga (la plus touchée), Ranong, Trang et Satun.
Lorsque le tsunami a frappé les côtes de la Thaïlande, en décembre 2004, les dégâts furent colossaux, que ce soit au niveau matériel ou humain. Près de 400 villages furent rayés de la carte, plus
de 3 000 maisons furent démolies et 2 000 endommagées. Il y a eu 5 395 morts, 2 845 disparus et 8 457 blessés, 2.198 millions de dollars de dégâts, ce qui ne représente que 1,4 % du PIB du pays mais 50 % du PIB de la région touchée.
Les impacts du tsunami en Thaïlande ne furent pas totalement les mêmes que
dans les autres pays touchés, il y a beaucoup de similitudes mais
quelques différences sont à soulever. La première grande différence se
situe au niveau des victimes.
Les zones touchées par la vague étaient des zones très touristiques et où
il y avait donc de nombreux ressortissants étrangers. Le pourcentage de
victimes étrangères sur le nombre total de victimes s’élève à 7-10 %.
Ces touristes n’ayant pas leur famille sur place pour les identifier, un
grand nombre de personnes n’ont pas pu être reconnues. Une autre
spécificité thaïlandaise est l’intervention du gouvernement. À cause du
manque de moyens de prévention, il ne put presque rien mettre en action
avant que la vague ne touche la côte. Après le séisme, le gouvernement a
mis en place des politiques de reconstruction et de prévention (zones
tampons, etc.).
Source : Le Tsunami de 2004 en Indonésie
Des exonérations d’impôts ainsi que des réadaptations professionnelles ont
également été mises en place afin d’aider les personnes se retrouvant
sans emploi. Un des points faibles du gouvernement fut son manque de
visibilité quant aux déplacements de masse de la population fuyant les
zones côtières.
Il y eut un important manque de coordination, entraînant des erreurs et
des retards. Ceci fut accentué par le fait qu’il y avait des
concurrences organisationnelles au lieu d’une cohésion au sein du
gouvernement. Les multinationales ont également joué un rôle dans tout
cela en influençant les politiques internes afin de pouvoir étendre
leurs projets[réf. nécessaire].
Le tsunami eut également un impact important sur l’économie du pays.
Beaucoup d’emplois furent perdus, entraînant une baisse de la production
ainsi que du PIB car les zones les plus touchées furent celles des
activités productrices. Les reconstructions ont coûté très cher,
entraînant une hausse des prix des matières premières. La pêche fut l'un
des secteurs les plus touchés.
Bon nombre de bateaux ont été détruits et le nombre de victimes parmi
les pêcheurs fut élevé car ils travaillaient à proximité des côtes. De
plus, beaucoup d’entre eux eurent leurs habitations détruites, perdant
par la même occasion leurs papiers et titres. Sans ceux-ci, ils ont été
considérés comme squatteurs car ils n’avaient plus rien pour prouver que
les terres endommagées étaient les leurs.
Cette situation fut exploitée par les multinationales qui en profitèrent pour
venir occuper les terrains qu’elles convoitaient depuis longtemps à
proximité de l’océan.
Le deuxième secteur fut celui du tourisme. Il y eut de nombreux dégâts dans les hôtels,
diminuant le nombre de chambres disponibles. La médiatisation du tsunami a entraîné une baisse
des réservations en destination de la Thaïlande pendant un certain temps
et donc une légère diminution du nombre de touristes :
150 000 touristes en moins sur un total de 12 millions, pas de quoi
inquiéter à l'échelle nationale. Cependant, l’échelle locale, ces
chiffres s’avèrent être beaucoup plus catastrophiques. Phuket, deuxième
ville la plus touristique de Thaïlande selon le routard, voit
l’occupation de ses hôtels diminuer en flèche : 63 % d’occupation en
2004 pour seulement 27 % en 2005, soit une chute de 36 %. Il en va
évidemment de même pour Phang Nga (-45 %) ou Krabi (- 59 %).
Inde
Les îles Andaman-et-Nicobar, situées non loin de l'épicentre du premier séisme, sont les régions les plus touchées par la catastrophe en Inde. Le premier tsunami y a atteint les côtes sous la forme d'une vague de 15 mètres de haut, au sud des îles Nicobar. On estime à 7 000 le nombre de
victimes pour ces deux seules îles et à peu près autant de disparus.
Un cinquième de la population des îles Nicobar a donc été touché par la
catastrophe, que les personnes soient mortes, blessées ou portées disparues.
L'île Chowra dans les Nicobar a perdu les deux tiers de sa population, soit 500 personnes. Les communications ont été coupées avec l'archipel du Nan Kauri, parmi lequel certaines îles ont été entièrement submergées ; 18 000 personnes y sont portées disparues. La base de l'Armée de l'air indienneà Car Nicobar a été elle aussi sévèrement touchée, ce qui entrave le déploiement des secours dans cette région.
Sur le territoire continental de l'Inde, c'est toute la côte est qui a
été touchée par les raz-de-marées : on compte au moins 5 000 morts et
des milliers de blessés et sans abris35. Dans l'État du Tamil Nadu, le plus sévèrement touché, il y a au moins 3 200 victimes, dont 487 à Pondichéry. On en compte 89 dans d'État de l'Andhra Pradesh. Dans le Kerala, État du sud de la côte ouest, on dénombre 174 morts et des milliers de sans-abris. La plupart des victimes étaient des pêcheurs.
Maldives
Située à 2 000 kilomètres de l’épicentre, l’archipel des Maldives a été submergé par une première vague atteignant en moyenne 1,4 mètre de hauteur, enregistrée 3 heures après le séisme par trois marégraphes. Lorsqu'elle s’est enfoncée dans les terres, elle a atteint jusqu’à 3 mètres de haut.
C’est peu comparé aux vagues qu’ont subi les autres pays mais l’altitude maximale des Maldives
est de 1,8 mètre donc toutes les îles furent fortement touchées. Le bilan de la catastrophe est de 82 morts et 26 disparus (le 1er avril 2005), 4 000 bâtiments endommagés et 12 000 sans-abris. Lors de la catastrophe, 30 000 des 290 000 habitants ont dû être évacués. Les pertes totales sont estimées à
62 % du PIB des Maldives.
Malaisie
La Malaisie a été protégée par Sumatra, l'île étant dans la ligne droite entre le pays et l'épicentre du
séisme, à la verticale duquel le tsunami s'est formé. Les télévisions locales malaisiennes ont également donné l'alerte dans l'heure qui a suivi le séisme. 63 morts sont recensés : soit 49 (2 non identifiées) à Penang, 10 à Kedah, 3 à Perak et une à Selangor.
Parmi les victimes de Penang se trouvent des personnes qui pique-niquaient et des enfants qui
jouaient sur la plage ; aucun touriste étranger n'est décédé. Le 28 décembre à midi sont recensés 275 blessés et 4 000 sans-abri, principalement des familles établies le long des côtes de Penang, Kuala Muda à Kedah. Pour l'heure, les risques principaux sont liés à l'après catastrophe, du fait des eaux stagnantes et du manque de nourriture.
Le choc du séisme initial avait été ressenti dans les tours jumelles Petronas. Le Premier ministre malaisien Dato' Seri Abdullah Ahmad Badawi a écourté ses vacances en Espagne pour rentrer au pays. Le gouvernement malaisien a annoncé que 1 000 MYR (194 euros environ) seraient attribués aux familles des victimes, tandis que 200 MYR (38,80 euros) seraient donnés aux personnes ayant été blessées par le tsunami.
Un dédommagement du même montant sera perçu par les personnes déplacées ; 2 000 MYR (388 euros environ) seront versés par maison endommagée, 5 000 MYR (970 euros environ) par maison détruite, et de 1 000 à 3 000 MYR seront versés aux pêcheurs ayant vu leur bateau détruit dans la catastrophe.
Des effondrements côtiers se sont produits pendant les trois jours qui ont suivi le premier tremblement de terre ; ce phénomène est peut-être annonciateur de nouvelles secousses.
Merci de me l'avoir communiqué.Cordiales amitiés.
Photos visibles en 3 niveaux d’agrandissement © Giuseppe Mazza La reproduction, même partielle, des photos est interdite sans autorisation écrite de l’auteur
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci J’ai voulu consacrer à ma patrie, la Principauté de Monaco, le premier lien de ce site.Monaco est un point minuscule sur le globe terrestre, mais sa renommée et sa
notoriété s’étendent bien au-delà de ses frontières politiques. Comme le
disait un ambassadeur de Venise à un confrère qui ironisait sur la
petite taille de la Sérénissime, « Les États ne se mesurent pas, mais ils se pèsent. » De fait, de par sa position stratégique et depuis l’Antiquité, le Rocher de Monaco pèse ‘lourd.’
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci Dès le cinquième siècle avant Jésus Christ, Monaco était connu des Grecs ?
de même que l’île d’Elbe, Ventimiglia, Marseille et Narbonne ? pour son
port abrité des vents, étape obligée sur la route de l’Espagne.
Hécatée de Milet, géographe et historien de l’Antiquité, parle dans son "Periegesis" de " Monoïkon poilis Ligustiké ", c’est-à-dire de Monaco, cité de la Ligurie. La présence d’un temple dédié à Hercule est à l’origine du nom latin de “ Portus Herculis Monoici .”
À partir de 1297, l’Histoire de Monaco se confond avec celle des Grimaldi.
Cherchant asile en Provence après avoir perdu une bataille contre les Guelfes, François Grimaldi, dit Malizia, réussit à s’emparer par la ruse du Rocher de Monaco, en se déguisant en moine franciscain.
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci Désormais, et avec des fortunes diverses, les Grimaldi réussiront à se maintenir
sur le Rocher en négociant leurs alliances politiques et en mettant en
concurrence leurs puissants voisins qui voulaient tous avoir une base
dans le port, sans que les autres le fassent.
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci Pour préserver leur indépendance, ils se rapprocheront successivement des
comtes de Provence, des ducs de Savoie, de Gênes et de la France, qui
garantira finalement l’autonomie et la défense de la Principauté par le
traité de Péronne, signé le 14 septembre 1641 par le Prince Honoré II.
De 1793 à 1814, Monaco est occupée par les troupes révolutionnaires
françaises, annexée au Département des Alpes Maritimes et “laïcisée” en
recevant le nom de Fort Hercule.
À leur retour, les Grimaldi trouvent un palais saccagé et des caisses
vides.
Le Prince Honoré V essaie de redresser l’économie en développant de petites activités industrielles et artisanales.
Il vend le monopole du blé et de la farine à des concessionnaires sans
scrupule qui sèmeront le mécon- tentement dans la population.
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci Son successeur, le Prince Florestan I, abolit le monopole, mais le mal est fait.
Par un référendum orchestré par la Savoie et la France, les villes de
Menton et Roquebrune, qui faisaient partie de la Principauté, font
sécession.
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci À son accession au trône, le Prince Charles III se retrouve avec un État réduit de neuf dixièmes et seulement 1 143 habitants.
En compensation, il obtient de Napoléon III quatre millions de francs, une
route carrossable entre Nice et Monaco et le passage de la voie ferrée
Nice-Gênes, avec gare, sur le territoire de la Principauté, afin de
permettre aux touristes fortunés de se rendre facilement sur le nouveau
quartier de Monte Carlo, où sont édifiés en un temps record villas,
jardins et Casino.
Monte-Carlo devient rapidement synonyme d’élégance, de fêtes, spectacles, rencontres sportives et culturelles.
L’impôt direct est supprimé, Monaco bat sa propre monnaie or et imprime
ses premiers timbres poste.
L’histoire récente de la Principauté est bien connue, avec les extraordinaires découvertes scientifiques du Prince Albert I et le développement culturel, économique et social voulu par le Prince Louis II, qui lancera la station de Radio Monte Carlo et le Grand Prix automobile de Monaco.
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci Le règne du Prince Rainier III sera l’un des plus longs de l’Histoire de Monaco.
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci Surnommé le « Prince Constructeur, » il agrandit le territoire d’un cinquième par des terres prises sur la mer.
Il crée, entre autres, la plage du Larvotto, le quartier moderne de
Fontvielle, la jetée flottante du port, et toute une série de bâtiments
destinés aux spectacles, congrès et rencontres internationales, comme le
récent Grimaldi Forum.
Par sa personnalité, son charisme et la fascination qu’elle exerce, la Princesse Grace sera une véritable « ambassadrice extraordinaire » de la Principauté.
Toujours aux côtés du Prince, et sans jamais négliger son rôle de mère
attentive, elle encouragera les œuvres humanitaires et charitables.
Monaco est désormais représentée dans toutes les grandes organisations
internationales et, parallèlement au tourisme et aux activités
hôtelières, les secteurs de la finance et de l’immobilier connaissent un
fort taux de croissance.
Associé depuis 1984 à la gestion des affaires de l’État et monté sur le trône le 6 avril 2005, Son Altesse Sérénissime le Prince Albert II continue l’œuvre de son père.
Archives du Palais Princier de Monaco - Photo G.Luci Tout comme son aïeul le Prince Albert I, il milite active- ment pour le développement durable de la planète.
Outre de nombreuses missions humanitaires, il s’est personnellement rendu aux
pôles pour témoigner des dégâts causés par l’augmentation de la
température, par la déforestation et la pollution en général.
En 2006 il a créé la Fondation Prince Albert II de Monaco pour la protection de la biodiversité et contre les problèmes engendrés
par les changements climatiques et la raréfaction de l’eau.
Sur les photos qui suivent, parallèlement à la géographie de la Principauté,
vous découvrirez divers aspects de notre histoire, de la vie locale, du
patrimoine culturel et artistique de la Principauté.
Il s’agit très souvent de prises de vue panoramiques insolites, avec un angle de
vue de plus de 180°, qu’on obtient en assemblant à l’ordinateur jusqu’à
33 photos.
Des originaux très lourds, qui en haute résolution remplissent avec seulement deux clichés un DVD, et que j’ai donc dû
malheureusement compresser et réduire de taille pour les mettre sur le
net.
Certaines perspectives peuvent paraîtres surprenantes, car pour aplanir une surface courbée il faut accepter des compromis. J’ai dû
très souvent réajuster des lignes aberrantes ou cassées, et redessiner
des détails perdus.
Deux jours de travail en moyenne pour chaque image, avec des défis à première vue impossibles, mais il est bien là,
dans la conception de la prise de vue avant, et dans le travail à
l’ordinateur après, la joie de la création artistique.
Hymne Monégasque joué par la Fanfare des Carabiniers du Prince
Cliquez une seule fois sur les panoramiques pour les afficher en plein écran,
et une deuxième fois pour les agrandir à la résolution maximale et en
explorer les détails.
La Principauté de Monaco vue de l’est
La Principauté de Monaco vue de l’ouest
La côte de l’Italie à Cap d’Ail
Monaco vue de la Turbie, et un insolite profil de la Tête de Chien
Monaco, à gauche, et le Monte-Carlo Golf Club, avec18 trous, situé à 900 m d’altitude
Monaco Ville
Le profil de Monaco Ville vu du Port Hercule
La Place du Palais
La Place du Palais Princier le 19 Novembre, à l’occasion de la Fête Nationale
La statue de François Grimaldi dit « Malizia », une œuvre de Kess Verkade
qui fut inaugurée le 8 janvier 1997 sur la Place du Palais Princier, à
l’occasion de la commémoration du 700ème anniversaire de la Dynastie
des Grimaldi. Déguisé en moine, il parvint à entrer dans le poste de
garde et à conquérir la forteresse qui passa ainsi des Gibelins aux
Guelfes.
Le Conseil National, le Palais de Justice et la Cathédrale
La Cathédrale à l’occasion de la Fête Nationale. A la sortie, S.A.S. le
Prince Albert II de Monaco salue l’Archevêque Monseigneur Bernard Barsi
entouré de S.A.R. la Princesse de Hanovre et S.A.S. la Princesse
Stéphanie de Monaco.
Célébration de l’Eucharistie en présence de l’Archevêque, Monseigneur Bernard Barsi
Mosaïque avec la Vierge et l’Enfant Jésus entourés par Saint Pierre et le Prophète Isaïe
Le retable de Saint Nicolas, visible dans le déambulatoire de la
Cathédrale, fut réalisé en 1500 par Louis Bréa, le maître niçois qui
fit école, marquant un point de passage entre la peinture médiévale et
celle de la Renaissance.En bas à gauche, à côté de Saint Nicolas, patron de Monaco et évêque de Myre, Saint Michel transperce et foule aux
pieds un diable, mi-homme mi-chien, et pèse les âmes pour le jugement
dernier, tandis que Saint Etienne, touché par un pierre, en mémoire de
sa lapidation, regarde vers le spectateur. À droite, Saint Laurent avec
le registre de l’Eglise romaine, relu avant le martyre, et le gril du
supplice, et Sainte Marie-Madeleine, avec son vase de parfum pour le
Christ.
Sur les côtés, à gauche, Sainte Barbe, Saint Bernard, Sainte Claire d’Assise et Sainte Dévote. À droite, Sainte Brigitte, on
ne sait pas très bien si c’est celle d’Irlande ou celle de Suède, Saint
Blaise de Sébaste, Sainte Marguerite avec en main la croix employée en
prison pour chasser le diable, qui avait pris l’apparence d’un dragon,
et Sainte Julie, patronne de la Corse avec Sainte Dévote.
En haut, près de la sépulture du Christ, Saint Jean-Baptiste, l’Archange
Gabriel avec l’Annonciation à la Vierge Marie, et une représentation
insolite de Sainte Anne, qui serre idéalement dans ses bras la Madone
et l’Enfant Jésus.
Retable de Sainte Dévote, entourée par Saint Georges et Sainte Lucie, d’auteur
inconnu appartenant à l’école de Ligurie, offert vers 1560-1570 par
Isabelle Grimaldi, épouse du Prince Honoré 1er, représentée en
miniature, agenouillée, au bas du panneau central. En haut la Vierge de
l’Annonciation avec l’Archange Gabriel et la Crucifixion.
La Pietà, dite du Curé Antoine Teste. Polyptique commandé à Louis Bréa,
par le curé de Saint Nicolas et terminé le 1er avril 1505. Ici encore,
on remarque, en bas à gauche, la miniature du commanditaire en prière.
La Pietà des Pénitents Blancs réalisée vers 1500-1505 par François Brea
Cuve baptismale du XVIIe siècle et Crucifix en bois du 1637 de l’ancienne église de Saint-Nicolas
L’entrée latérale de la Cathédrale, le Palais de Justice, et la Place Saint Nicolas
Oeuvre de Bassignani, la statue de Saint Nicolas, patron de Monaco avec Sainte
Dévote, et protecteur des marins et des enfants surplombe la fontaine
de la place homonyme
La Place de la Mairie
La Place de la Visitation avec le Ministère d’Etat
Un détail de la façade du Ministère d’Etat avec les armoires de la Maison Grimaldi
Une précieuse mosaïque sur la façade du Ministère d’Etat
Monaco-Ville le Palais du Gouvernement
La Chapelle de la Visitation
Madonne à l’Enfant. Huile sur toile de Simone Cantarini ( 1612-1648)
Tapisserie" Le Triomphe de l’Eucharistie " sur les sacrifices païens par Jean Franc
Van Den Hecke réalisé autour du 1691 suivant un carton de Rubens du
1625-26
La Chapelle de la Miséricorde, dédiée à Saint Jean Baptiste, construite
par Giacomo Taddeo Cantone sous le règne du Prince Honoré II
La grande céramique sur la façade représentant les Pénitents Noirs et la
décollation de Saint Jean Baptiste, est une œuvre de Erneste Sprega,
maître artisan des fameuses terres cuites monégasques
Les " Carrugi d’a Roca " à Monaco Ville
La " piaçeta Bosio " avec son puit, jadis en activité, nous rappelle
François-Joseph Bosio, sculpteur monégasque. Il travailla à Monaco, en
Italie et à Paris où il devint célèbre avec son buste de l’Impératrice
Joséphine et la statue équestre de Louis XIV. Louis XVIII lui
commissionna la quadrige en bronze qui domine l’Arc de Triomphe du
Carrousel de Paris. En 1828 il fut nommé Baron de la Couronne de France
par Charles X.
Dans le Musée du Vieux Monaco à Monaco-Ville, 2 rue Emile de Loth, sont exposées des céramiques de l’ancienne Poterie de Monaco.Les plus remarquables sont celles réalisées par l’artiste Ernesto Sprega
(1829-1911) qui en fut le directeur de 1883 à 1889. Originaire de Rome,
il sera l’élève du grand maitre Mantovani puis, à Florence, il
travaillera pour le célèbre peintre et céramiste Ginori.
L’artiste, dont peut voir un autoportrait en-haut à droite de la vitrine
d’exposition, réalisera de nombreuses compositions en céramique, des
vases mais aussi des tableaux. Il se distinguera par une technique toute
personnelle du "cannage" qui donnera aux vases et aux coupes une
souplesse et un rendu proche de la réalité d’un tressage en paille ou en
jonc. Cette technique alliée à une recherche nouvelle des formes et des
couleurs, lui vaudra de nombreuses récompenses lors des Expositions
Internationales où il représentait Monaco.
Outre ses qualités de céramiste Ernesto Sprega réalisera de nombreuses
fresques dans le Palais Princier, pour le Chapelle Palatine et les
Appartements Privés.
L’ « Œuf de Monaco » de Ernesto Sprega primé à l’Exposition Universelle de Paris en 1889
De 1524 à 1641, pendant 117 anni, la Principauté de Monaco fut sous le
protectorat, toujours plus envahissant, de l’Espagne. De cette époque,
il ne reste qu’un seul souvenir à Monaco Ville dans le Passage de la
Miséricorde. Au-dessus de la porte d’une ancienne demeure, on peu lire
en un mélange d’espagnol et d’italien : « Le 15 mars 1548. Deo Juvante.
Pietro Carbonero. Toutes les choses du monde passent vite, mis à part la
renommée et la gloire ».
La statue de S.A.S. le Prince Albert I et le Musée Océanographique
Appelé à juste titre le « Temple de la Mer », le Musée Océanographique
s’incorpore admirablement dans le paysage du Rocher vu des flots
Le Célèbre Musée Océanographique est une œuvre néo-classique de
l’architecte Paul Delefortrie. Construit entre 1899 et 1910, sous le
règne du Prince Albert I, il a une façade monumentale avec de grandes
sculptures de Gustave Dussart.
L’entrée du Musée Océanographique
Ophthalmosaurus anna : un fossile de reptile marin né il y a 150 millions d’années. Sa
structure hydrodynamique et morphologique nous rappelle le dauphin, mais
il a une queue verticale, de requin, et une mâchoire de crocodile. Long
5,40 m, il pesait 1000 kg et il avait les plus grands yeux du monde
animal. Il chassait les calamars géants dans les grandes profondeurs.
Reconstruction au Musée Océanographique du laboratoire de l’Hirondelle II, le bateau du Prince Albert I
L’aquarium du Musée Océanographique peut se vanter d’un bassin de 400.000 litres et 6 m de hauteur
Le Rocher et Fontvieille
Le Port de Fontvieille
La Tête de Chien et le Rocher vus du port de Fontvieille
Fontvieille
La zone résidentielle de Fontvieille avec sur la droite le Centre Commercial et le Jardin de l’UNESCO
Le Musée des Timbres et des Monnaies
La Salle du Canton où se déroule tous les deux ans MonacoPhil, prestigieuse exposition philatélique internationale
Lettre chargée à 3.200 F or avec 6 x 1 F Charles III et panneau unique de 25 timbres-poste
Pièce de Douze Gros dit " Florino " et " Pistole d’or de 10 livres " représentant le Prince Honoré II
Cap d’Ail, Monaco, la Tête de Chien et le Mont Agel
L’héliport
La Place du Campanin à Fontvieille
L’entrée du Stade Louis II et la zone industrielle de Fontvielle
Le Stade Louis II avec le match Inter-Monaco
Meeting International de Natation de Monte-Carlo
Le Seaside Plaza et le Chapiteau de Fontvieille qui accueille chaque année le Festival international du Cirque
Le Festival International du Cirque de Monte-Carlo, fortement voulu par
S.A.S. le Prince Rainier III, attire 50 000 spectateurs chaque année.
Sur la piste, les Otaries de Californie de Pietra et Roland Druss, nées
dans leur "ferme aquatique" en Espagne.
Kenya, un éléphant africain, entraîné par la famille allemande Frankello, joue
de l’harmonique et jongle pour transformer des pommes en bananes.
La grâce et le synchronisme du numéro extraordinaire des contorsionnistes mongoliennes
Le Groupe Acrobatique de 21 artistes chinois de Shandong, s’exhibe en un
incroyable numéro de voltige et de sauts périlleux à partir de
formations pyramidales.
Martin Lacey Junior, un dompteur moderne qui embrasse ses lions, vraies vedettes du cirque allemand Krone
Le Trapèze Volant est une des plus belles disciplines du cirque. Sur la
photo, l’exhibition des " Flying Michaels " du Brésil. C’est un numéro
qui inclut même des triples sauts périlleux avec les yeux bandés…et la
protection d’un filet.
Des chevaux au grand galop et les acrobates équestres du Kirghizistan, sous la direction de Manatbek Eshimbekov
Les vainqueurs du 34e Festival International du Cirque de Monte-Carlo saluent le public
La Condamine
Rue Grimaldi et la rue piétonne Princesse Caroline
Square Gastaud. Au centre, un kiosque à musique de la Belle Époque, utilisé en été pour des concerts en plein air.
Le marché de la Place d’Armes, et les arcades de la Condamine
Rue Terrazzani et rue des Açores aux façades ornées de précieuses peintures et céramiques
Les surprenantes peintures murales de la rue Terrazzani
Céramiques de la Belle Époque sur un coté du Café de Paris et de la rue Terrazzani
Une autre décoration de la Belle Époque située en avenue de Grande
Bretagne. La « Fabrique des Céramiques Artistiques de Monte-Carlo »,
créée en 1874 à l’initiative de Marie Blanc qui attira a Monaco le
célèbre céramiste Fischer, durera jusqu’en fin 1894
La statue ( par Cyril de La Patellière ) et l’église de Sainte Dévote
Chaque année le 27 janvier sur le parvis de l’église on brule une barque en
souvenir du vol au Moyen Ages des reliques de la Sainte Patronne. Une
violente tempête empêcha au sacrilège de s’enfuir. Il fut arrêté, on lui
coupa le nez et les oreilles et son bateau fut mis à feu.
Le Vallon Sainte Dévote et à la sortie de la Gare Souterraine
La Gare Souterraine
Les quais sous une voûte étoilée
Partant de la gare souterraine, des tapis roulants, des couloirs en marbre et
des ascenseurs publics mènent rapidement à l’autre bout de la ville
Monaco : le Port Hercule
Le Port Hercule, à l’occasion du Monaco Yacht Show
Le Monaco Yacht Show, avec une mer fourmillant de navires jusqu’à Roquebrune-Cap-Martin
Monte-Carlo et le Port Hercule, de l’Eglise de Sainte Dévote, en bas à gauche, aux
terrasses du Casino, à l’occasion du Monaco Yacht Show. Un joyeux
patchwork de divers styles architecturaux et de chantiers en cours,
comme celui du futur siège du Yacht Club de Monaco, en bas à droite.
Absolument écologique, et avec zéro émissions, grâce aux panneaux solaires placés
sur son toit, le Bateau Bus traverse sans arrêt le port de Monaco,
complétant ainsi le réseau des bus urbains.
Monaco : l’école de voile des enfants
Bateaux de croisière et toitures jardins
Dans les jardins suspendus des terrasses du Casino, ces grands palmiers poussent dans seulement 60 cm de terre
La Principauté de Monaco vue de la digue flottante
Les plages de Monte-Carlo
Le Grimaldi Forum
Le hall d’entrée du Grimaldi Forum
Exposition de voitures de luxe au Grimaldi Forum à l’occasion du Top Marques
Exposition de montres et bijoux au Grimaldi Forum à l’occasion du Top Marques
Adam et Eve sur les Terrasses du Casino, et de la mosaïque "La mer, le ciel et la terre" par Vasarely
Remise des prix à l’Exposition Féline Internationale à l’Auditorium Rainier
III en présence de S.A.R. la Princesse de Hanover et de Madame Martine
Woolf, présidente de l’ Association Féline de Monaco
"Concours International de Bouquets" et "Rêveries sur les Jardins" organisés sur les Terrasses par le Garden Club
"Concours International de Bouquets" organisé par le Garden Club de Monaco
Les Terrasses du Casino
Décorations rococo sur la façade côté mer du Casino
Statue de la Belle Époque sur la façade mer du Casino
L’entrée du Casino, ensoleillée qu’en été, est l’un des lieux les plus photographiés en Principauté
L’atrium du Casino de Monte-Carlo
La salle de jeux " Europe " du Casino de Monte-Carlo
Fresques de la Belle Époque dans le salon « Europa »
La Salle Touzet
Le plafond avec verrière de la Salle Touzet
La salle François Médecin du Casino de Monte-Carlo
Les fresques de Armand Ségaud dans la salle François Médecin du Casino de
Monte-Carlo représentent les quatres moments de la journée : le matin,
midi, le soir et la nuit
La Salle Blanche du Casino avec les jeux modernes
Le Casino, les Terrasses et le Port Hercule vus da la terrasse du Grill de l’Hôtel de Paris
Le Casino et l’Hôtel de Paris
L’Hôtel de Paris et l’Entrée des Princes à l’Opéra
Décoration de la Belle Époque et « Allégorie de la Danse » réalisée par Henri
Cordier, situées près de l’entrée des Princes de l’Opéra
L’entrée des Princes de l’Opéra
La Salle Garnier de l’Opéra de Monte-Carlo a été construite en 8 mois
seulement par 400 ouvriers qui s’alternaient jour et nuit. Depuis 1879,
elle accueille des représentations prestigieuses
Le plafond de la Salle Garnier
Quatre grandes statues de la « Renommée » de Jules Thomas décorent les parois de la Salle Garnier
Fresque « La Musique » par Boulanger au-dessus de la scène
Fresque « Le Chant et l’Eloquence » de Feyin Perrin au-dessus de la loge princière
Fresque « La Comédie » de Lix sur une parois de la Salle Garnier
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Sir John Falstaff vit d’expédients dans la Taverne de la Jarretière. Jadis fameux séducteur, pour se remplir la panse, il
n’hésite pas à séduire de riches dames de Windsor.
Il charge ses serviteurs Bardolph et Pistol d’apporter deux lettres
d’amour identiques, hormis le nom du destinataire, à Meg Pages (
Annunziata Vestri) et Alice Ford ( Aga Mikolaj ), à droite dans la
scène, qui sont amies et qui font leur lessive avec Quickly ( Mariana
Pentcheva ) et la fille Ford, Nannetta ( Valérie Condoluci ). Ces
dernières, à la fois amusées et indignées, décident de donner une bonne
leçon à ce scélérat.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Les hommes aussi organisent leur vengeance. A gauche, le Dr. Cajus ( Enrico Facini ), Monsieur Ford (
Fabio Capitanucci ), Bardolph ( Rodolphe Briant ) et Pistol ( Wojtek
Smilek ). Le premier avait été dérobé par Falstaff et le second vient
d’apprendre par ces derniers, licenciés sans ménage, que leur patron a
écrit une lettre d’amour torride à sa femme. Au fonds, les joyeuses
commères continuent d’étendre le linge tandis qu’entre en scène, à
droite Fenton ( Florian Laconi ), amoureux de Nannetta.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.A la Taverne de la Jarretière, Sir John Falstaff ( Bryn Terfel ) reçoit d’abord la visite de Quickly qui lui apporte un message
d’Alice : elle l’attend à la maison, entre deux heures et trois heures,
pendant que son mari n’est pas là. Arrive ensuite Monsieur Ford ( Fabio
Capitanucci ) qui se présente sous le faux nom de Maître Fontaine, pour
mettre en œuvre la vengeance des hommes.
Il lui raconte qu’il est amoureux d’Alice mais qu’il n’arrive pas à la séduire parce qu’elle est
un modèle de fidélité. Si en échange d’un sachet de monnaies sonnantes
Falstaff parvient à briser sa vertu, il aura ensuite le champs libre.
Par une poignée de mains, Falstaff accepte sa proposition, et tandis qu’il
va s’habiller pour son rendez-vous galant, il raconte au bienfaiteur
qu’il a déjà reçu une invitation à ce sujet par Madame Ford, entre deux
heures et trois heures, pendant que son mari n’est pas là.
Inutile de préciser que Monsieur Ford, ignorant ce qu’ont tramé les dames, est
désespéré, mais ensuite la rage s’empare de lui. Ils se laissent
allègrement, mais ce dernier a hâte de surprendre l’adultère chez lui
pour étriper le coupable.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Pendant ce temps, à la maison Ford, les commères reçoivent Quickly ( Mariana Pentcheva ), à gauche, qui les invitent à se
préparer car Falstaff est tombé dans le piège.
Au centre, Nannetta ( Valérie Condoluci ) pleure car son père veut qu’elle
épouse le Dr Cajus, alors qu’elle est amoureuse de Fenton. Sa mère
Alice Ford ( Aga Mikolaj ), à droite, lui promet son soutien.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Alice Ford ( Aga Mikolaj ) attend au centre de la scène Sir John Falstaff ( Bryn Terfel ) qui sort triomphant du livre de
l’histoire.
Mais sa court est de courte durée parce que les commères arrivent affolée pour les prévenir que Monsieur
Ford est en train d’arriver avec une équipe punitive formée par le Dr.
Cajus, Bardolph, Pistol, Fenton et d’autres voisins.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Falstaff ( Bryn Terfel ) se cache derrière un paravent, à gauche, tandis que Monsieur Ford ( Fabio Capitanucci ) le chercher
furieux dans le panier du linge sale.
Après avoir éparpillé inutilement les vêtements, il court le chercher dans les
autres pièces, tandis que Meg, simulant la surprise de le voir, l’invite
à se cacher dans le panier déjà exploré, sous le linge malodorant.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Monsieur Ford rentre en scène avec l’équipe. Ils ont exploré toute la maison mais il n’y était pas. Il ne
peut être que derrière le paravent.
Le Dr Cajus l’ouvre, et à sa grande surprise, il découvre sous le regard
du père furieux Nannetta ( Valérie Condoluci ) et Fenton ( Florian
Laconi ) enlacés.
En effet, profitant de la confusion, ils s’étaient isolés pour
s’embrasser.
Fenton s’enfuit, et le panier à linge est jeté dans la Tamise.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Sir John Falstaff ( Bryn Terfel ) à demi noyé et sale, se remets de ses émotions en buvant à la taverne,
avec encore le souvenir de sa cuisante mésaventure.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Quickly ( Mariana Pentcheva ) entre de nouveau en scène. En accord avec les commères, elle veut en remettre une
couche.
Elle lui apporte un autre petit mot d’Alice qui l’attend à minuit dans
la forêt de Windsor, près du vieux chêne, habillé en « Chasseur Noir »
avec un couvre-chef aux longues cornes sur la tête.
Falstaff ( Bryn Terfel ) se fait encore piéger.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Evidemment, tout le monde est au courant. Suivant une légende, Nannetta s’habillera en « Reine des
Fées », et les habitants de Windsor s’habilleront en sylphes, elfes,
lutins, diablotins et vampires. Monsieur Ford promet au Dr Cajus de
profiter de la situation pour lui donner la main de Nannetta, il lui
explique comment se déguiser. Il bénira lui-même cette union. Mais
Quickly a entendu la conversation et en informe ses amies.
Au coucher du soleil, Fenton ( Florian Laconi ) est le premier à arriver
au grand chêne, et Nannetta lui répond. Mais Alice les interrompt et
leur explique comme ils doivent s’habiller pour contrecarrer les projets
de son mari.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
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Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Avec ses grandes cornes sur la tête, et un bec d’aigle, Falstaff ( Bryn Terfel ) rencontre Alice ( Aga Mikolaj
), mais un cri retenti et les esprits sortent dans l’obscurité de la
nuit.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Nannetta ( Valérie Condoluci ) entourrée par les figurants, entonne la chanson de la Reine des
Fées.
Falstaff, terrorisé, se met face à terre pour ne pas voir les esprits.
Et tous en profitent pour le piquer et le fouetter avec osier et orties.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Falstaff ( Bryn Terfel ) se repentit et demande pardon.
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Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Un de ses agresseurs perd sa capuche, et reconnaissant alors son serviteur Bardolph ( Rodolphe Briant ),
Falstaff ( Bryn Terfel ) découvre la mise en scène. Tout le monde
l’accuse et il accepte sa punition en reconnaissant ses torts.
Monsieur Ford ( Fabio Capitanucci ) révèle à Falstaff sa véritable
identité et lui crit : « Dis-moi maintenant qui est cocu ».
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Les commères habillent Bardolph ( Rodolphe Briant ) en mariée et le mettent aux côtés du Dr. Cajus (
Enrico Facini ) à la place de Nannetta, et elles informent Monsieur Ford
( Fabio Capitanucci ) qu’il y a un autre couple à marier. En réalité,
il s’agit de Nannetta ( Valérie Condoluci ), cachée sous le voile et sa
robe, et de son Fenton ( Florian Laconi ).
Dans l’obscurité de la nuit, Monsieur Ford ne se rend pas compte de
l’échange et les déclarent mari et femme.
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Tous enlèvent alors leur masque, mais il est désormais trop tard : il a marié sa fille à Fenton.
A la fin, tous se réconcilient, et même le père bénit cette union. Mais
Falstaff ne peut s’empêcher de lui lancer « Cher Monsieur Ford,
dites-moi maintenant qui est dupe ? »
L’Opéra de Monte-Carlo : Falstaff de Giuseppe Verdi. Livret d’Arrigo
Boito d’après « Les Joyeuses Commères de Windsor » et « Henry IV » de
Shakespeare - Direction musicale : Gianluigi Gelmetti - Mise en scène :
Jean-Louis Grinda - Décors : Rudy Sabounghi - Orchestre Philarmonique de
Monte-Carlo.Le livre de l’histoire se referme et Falstaff ( Bryn Terfel ) conclut par « Tout dans le monde est une blague »
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.C’est la veille de Noël. Le peintre Marcello (George Petan) et le poète Rodolfo (Stefano Secco) se
réchauffent comme ils le peuvent dans une modeste mansarde.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Arrivent ensuite un ami philosophe, Colline ( Gabor Bretz ), à gauche, et le musicien Schaunard ( Etienne
Dupuis ), au centre, avec un panier de vivres, fier d’avoir pu gagner
quelques sous. Mais la fête est brève car entre en scène Benoît (Guy
Bonfiglio), le propriétaire des lieux, qui assis au centre, réclame le
loyer. Les amis le forcent à boire, et ivre, il confesse de tromper sa
femme. C’est le prétexte que les locataires recherchaient pour le mettre
à la porte, indignés.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Les amis sortent pour aller au Café Momus, mais Rodolfo (Stefano Secco) s’attarde pour finir un article.
Seul, il entend frapper à la porte. Il s’agit de sa voisine Mimì (Inva
Mula) qui cherche une chandelle pour allumer sa lampe éteinte. Mais
ensuite, la jeune femme se sent mal, c’est le premier symptôme de la
phtisie qui la conduira jusqu’à la mort.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Elle se lève pour rentrer à la maison, mais elle se rends compte d’avoir perdu sa clé qu’ils cherchent au sol
dans lenoir car un coup de vent a éteint les deux flammes. Rodolfo
(Stefano Secco) la trouve et la cache dans sa poche. Quand sa main
rencontre celle de Mimì (Inva Mula), le poète lui manifeste son amour en
chantant « Che gelida manina » (Quelle main gelée) et il lui demander
de lui parler d’elle.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Mimì (Inva Mula) raconte qu’elle est couturière. Elle vit seule en créant des fausses fleurs. Et l’acte se
referme par le duo des amoureux « O soave fanciulla » (O douce jeune
fille).
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Les deux rejoignent les amis au Café Momus. Mimì (Inva Mula) a trouvé l’amour et elle est au comble du
bonheur. Rodolfo (Stefano Secco) vient de lui offrir petit chapeau
rouge.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Important lieu de rencontres de la ville, le Café Momus est très fréquenté. Rodolfo (Stefano Secco)
présente Mimì (Inva Mula) à ses amis.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Tout à coup, entre en scène la séduisante Musetta (Karen Vourc’h), en haut dans la scène, qui se fait
entretenir par le riche conseiller d’état Alcidoro (Jean-François
Vinciguerra) assis au centre.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.La vielle flamme du peintre Marcello (George Petan), Musetta (Karen Vourc’h), fait de tout pour attirer son
attention. Elle entonne une chanson provocante « Quando me’n vo » (Quand
je m’en vais) et avec un prétexte, elle se fait enlever sa bottine, en
découvrant de façon scandaleuse sa cheville. Les deux vieux amants
s’enfuient ensemble en laissant la note à régler à Alcidoro
(Jean-François Vinciguerra).
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Il neige fort à la barrière de l’Enfer où Mimì (Inva Mula), désormais gravement malade recherche Marcello qui
travaille dans une taverne pour lui dire que Rodolfo l’a quittée « O
buon Marcello, aiuto ! » (O bon Marcello, au secours !).
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Marcello (George Petan) lui explique que Rodolfo (Stefano Secco) est en train de dormir dans la taverne. Puis,
ce dernier se réveille et sort pour chercher son ami. Mimì (Inva Mula)
se cache et écoute sa conversation avec Marcello.
Elle apprend qu’il l’a quittée seulement pour qu’elle puisse trouver un
autre homme, plus riche, capable de mieux la loger et de la sauver de la
tuberculeuse.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Mimì (Inva Mula) entre en scène et affronte Rodolfo (Stefano Secco). Ils aimeraient se quitter amicalement
« Donde lieta uscì » mais le souvenir des heures heureuses passées
ensemble les conduit à repousser leurs adieux au printemps, à la saison
des fleurs. Pendant ce temps, Marcello e Musetta se séparent après une
violente dispute.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Les protagonistes, de gauche Marcello (George Petan), Musetta (Karen Vourc’h), Rodoldo (Stefano Secco),
Colline (Gabor Bretz) et Schaunard (Etienne Dupuis) se retrouvent dans
la mansarde avec Mimì (Inva Mula). Cette dernière vient de quitter un
riche protecteur et elle a été retrouvée dans la rue, errante et
affaiblie, par Musetta.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Comprenant que sa fin est proche, les amis laissent seuls Mimì (Inva Mula) et Rodoldo (Stefano Secco) qui
évoquent dans leur duo « Sono andati ? » (Ils sont partis ?) leur
première rencontre et les moments heureux. Et le petit chapeau rouge
que Rodolfo avait gardé en souvenir après la séparation, redonne un
instant de joie à Mimì.
L’Opéra de Monte-Carlo : La Bohème de Giacomo Puccini -
Direction musicale : Antonio Fogliani - Mise en scène : Jean-Louis
Pichon - Décors : Alexandre Heyraud - Orchestre Philharmonique de
Monte-Carlo.Mimì (Inva Mula) s’éteint doucement, comme endormie, entourée par les amis qui avaient renoncé à une paire de
boucles d’oreilles et à un pardessus pour acheter des médicaments et
appeler un médecin.
Le grand hall de l’Hôtel de Paris
La Salle Empire de l’Hôtel de Paris
Le fresque de Paul Gervais dans la Salle Empire de l’Hôtel de Paris
Le " Jardin d’Hiver " conçu par Gustave Eiffel à l’Hotel Hermitage
Bas-reliefs et fresques de l’Hôtel Hermitage
L’Hotel Hermitage, l’Institut Monégasque de Médicine du Sport, et le Centre Cardio-Thoracique de Monaco
Le Casino, l’Hôtel de Paris, le Sporting d’Hiver et les essais du Grand Prix
Le départ du Grand Prix
Grand Prix : le virage le plus célèbre du championnat, le Fairmont Hairpin
Voiture de Formule 1
Le Grand Prix vu de Monaco-Ville
International Jumping
Tournoi international de hockey sur glace
Arrivée du Rally de Monte Carlo
Avenue de la Costa, Avenue Saint Michel, et Boulevard des Moulins : le " Carré d’Or" de Monte-Carlo
La Villa Miraflores est un souvenir intact de la vie de Monaco à la Belle Époque
La Villa Girasole, un autre souvenir de la Belle Époque, rénovée avec des
critères écologiques pour économiser les énergies, est le siège de la Fondation Prince Albert II de Monaco</a créée par S.A.S. le Prince Albert II de Monaco pour la protection de la
biodiversité, et pour résoudre les problèmes liés aux changements
climatiques et au manque d’eau.
L’église Saint Charles et le Boulevard des Moulins
Monte-Carlo : la statue de Saint Charles à l’entrée de l’eglise
L’Eglise Saint Charles
Vitraux de l’abside représentant Jésus au temple de Jérusalem, l’église Saint
Charles offerte à Saint Charles par Monseigneur Theuret, et la mort de
Saint Joseph
Les vitraux de l’église Saint Charles ont été réalisés entre 1883 et 1884
par la Maison Lorin de Chartres et ont reçus de nombreuses
reconnaissances. Ici Saint Charles Borromée pendant la peste de Milan et
le martyre de Saint Laurent sur le gril.
Balcon fleuri par Chamaerops humilis et Agave attenuata dans un immeuble Belle Époque au Boulevard des Moulins
Le marché de Monte-Carlo
Avenue de Grande Bretagne
Boulevard d’Italie
Le Boulevard du Larvotto avec ses gratte-ciels et, au centre, le Grimaldi Forum
Monte-Carlo : la promenade du Larvotto, l’Hôtel Fairmont avec le Casino et la Nibox,
et un navire de croisière accosté à la digue semi-flottante du Port
Hercule.
Ballade le long de la mer du Larvotto. Des touristes comparent la taille de
leurs pieds avec ceux imprimés dans le sol de la « Champions
Promenade ».
Le Sporting et le Larvotto depuis le Monte-Carlo Bay Hôtel
Monte-Carlo : Boulevard d’Italie et la Résidence du Parc Saint Roman
Monaco : le quartier de Saint Roman et la frontière avec la petite église en France qui porte le même nom.
Les champs de tennis du Monte-Carlo Country Club
Masters de tennis au Monte-Carlo Country Club
Le quartier des Monéghetti avec une demeure de style persan, la Villa
Danichgah, construite à la Belle Époque par l’ambassadeur Mirza Riza
Khan
Le Larvotto
Les plages du Larvotto
Monaco : vie de plage au Larvotto
Tournoi International Féminin de Volley sur la plage du Larvotto
La grotte et source Vaulabelle du Larvotto. L’eau de pluie tombe des
stalactites et forme un petit lac souterrain, juste au dessus du niveau
de la mer. Avant de se mélanger à l’eau saumâtre elle est captée par
l’aqueduc de Monaco.
Les Grottes de l’Observatoire du Jardin Exotique, ouvertes au public,
descendent jusqu’à rejoindre la nappe phréatique qui s’écoule presque au
niveau de la mer. Les grandes salles, nées de mouvements tectoniques et
éboulements successifs des parois, montrent des stalactites et
stalagmites spectaculaires qui donnent souvent origine à des colonnes.
Le Jardin Exotique
Une caractéristique allée du Jardin Exotique avec ses célèbres sièges de belle-mère( Echinocactus grusonii )
Une salle du Musée d’Anthropologie préhistorique de Monaco au Jardin
Exotique.
A droite, sépulture double dites des « Négroïdes de Grimaldi » ( Foyers
H-G, Grotte des Enfants, Balzi Rossi, Ligurie, Italie ). Des études
ultérieures on montré que ces deux sujets appartenaient au groupe des
Cro-Magnons.
Sépulture dite du « Grand Cro-Magnon » datée de – 25.000 ans environs ( culture
gravettienne ). Fouille L. de Villeneuve, 1902 ( Foyer G, Grotte des
Enfants, Balzi Rossi, Ligurie, Italie ). Le sujet est de très grand
taille ( environs 1,9 m ). Plusieurs objets lui sont associés : quelques
lames de silex d’assez grande taille, un andouiller de cerf, un galet
percuté et une roche plate enduite d’ocre. Ce mobilier a été placé là
intentionnellement et indique, sans ambigüité, une préoccupation
métaphysique ou religieuse de ces peuples du Paléolithique supérieur.
Petit jardin de plantes succulentes au croisement de l’Avenue de Grande-Bretagne et du Boulevard du Larvotto
Le Jardin Japonais
Le Jardin Japonais
Monaco-Ville : Jardins de Saint Martin. Statue « Maryse au miroir ou Le temps
inaltérable » de Cyril de la Patellière. Au centre la statue du Prince
Albert I.
Monaco-Ville : cette fontaine à été restauré et placée dans le Jardin de Saint Martin en 1987.Elle est composée de motifs du XVIIIe siècle et d’un vasque d’époque Renaissance provenant d’une fontaine plus ancienne.La plaque de marbre porte l’inscription : Louis Ier étant Prince de
Monaco, fit instaurer pour l’usage public cette fontaine qui commença à
jaillir l’an 1662.
Les consuls étant : Phelippo Ferreiro, Francesco-Antonio Gastaldo,
Emanuele Frias et Joanne Terrazzano.
Les Jardins Saint Martin à Monaco-Ville
Les Jardins Saint Martin, le Pavillon Bosio, et la Chapelle Saint-Honoré où reposent les collatéraux du Prince
Le Jardin de l’UNESCO à Fontvieille
Monaco : le jardin Princesse Antoinette, avec sa petite ferme, héberge des
moutons, des chèvres, des lapins et une poule. La proximité avec les
animaux est très instructive pour les enfants des écoles élémentaires ;
on y cultive aussi un petit potager sous des oliviers centenaires. A
droite, à coté d’un épouvantail, poussent des aubergines et des oignons.
La Roseraie Princesse Grace de Monaco
La Roseraie Princesse Grace de Monaco
Les jardins du Casino, avec la statue de S.A.S. le Prince Charles III qui créa le quartier de Monte-Carlo
La « Petite Afrique » dans les Jardins du Casino
La lune apparaît au-dessus des montagnes
La " Rampe Major " avec la Tour de l’Oreillon, importante fortification
construite au XVII siècle pendant le règne du Prince Antoine Ier
Monaco-Ville : porte dite « La Major », construite le 10 janvier 1533 sous le règne de
Honoré I, fils de Lucien Grimaldi, succédé à Augustin Grimaldi en 1532.
A sa mort, il avait à peine 10 ans et la régence fut confiée à Etienne
Grimaldi dit « Le Gubernant », d’où les initiales H et G sur le linteau.
Le Bastion de Serravalle et la Tour de Tous les Saints, avec leurs
nombreuses casemates, furent à partir du XVIe siècle des fortifications
essentielles pour assurer la défense de la péninsule monégasque
Les anciens immeubles de Monaco Ville et le Palais Princier
Inauguré en 1930, sous le règne du Prince Louis II, le Palais de Justice,
construit en tuf marin, s’inspire des palais gothiques florentins
Coucher de soleil magique à Monaco
Au crépuscule la ville s’illumine
Le Musée des Timbres et des Monnaies et le Centre commercial de Fontvieille
La Place du Casino avec son caractéristique parterre circulaire, universalement connu comme « Camembert »
Lumières de Monte-Carlo
Monte-Carlo : charme crépusculaire de la « voie rapide »
Le Monte-Carlo Bay Hotel et le Roccabella
La Place d’Armes avec sa fontaine est le cœur du quartier de la Condamine
Vision nocturne par le Mont Agel
La « Petite Afrique » de nuit avec une grande Chorisia speciosa et des Chamaerops humilis
Vision nocturne de la place du Casino
Le Square Beaumarchais avec un singulier palmier dattier à plusieurs têtes et l’Hôtel Hermitage
Construit en 1889 par une société anglaise, l’Hôtel Métropole a été démoli pour
cause de vétusté, et reconstruit fidèlement suivant les dessins de
l’époque
Le centre commercial du Métropole
Jeu de lumières magiques au Grimaldi Forum
La Salle des Princes du Grimaldi Forum. En présence de la Famille
Souveraine, le public s’est levé pour écouter l’Hymne monegasque.
Hymne Monégasque joué par la Fanfare des Carabiniers du Prince
S’ensuit l’opéra Turandot, de Giacomo Puccini, à l’occasion de la Fête Nationale Monégasque
Représentation au Grimaldi Forum du ballet "Les Noces", chorégraphie de Jiri Kylian
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre
Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre
Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre
Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. En bas l’Orchestre
Philarmonique de Monte-Carlo dirigée par Yakov Kreizberg. Au centre
Mimoza Koike.
Les Ballets de Monte-Carlo. Les danseuses de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart.
Les Ballets de Monte-Carlo. Les danseuses de " La Sacre du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza
Koike.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza
Koike.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike
e Chris Roelandt.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " La Sacre
du Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike
e Chris Roelandt.
Les Ballets de Monte-Carlo. Finale au Grimaldi Forum de " La Sacre du
Printemps " par le chorégraphe Maurice Béjart. Au centre Mimoza Koike e
Chris Roelandt
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis
et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Anjara
Ballesteros et Jeroen Verbruggen.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis
et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice
Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis
et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice
Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis
et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice
Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Daphnis
et Chloé " par le chorégraphe Jean-Christophe Maillot. Bernice
Coppieters et Gaëtan Morlotti - Anjara Ballesteros et Jeroen Verbruggen.
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Spectre "
d’après " Le Spectre de la Rose " par le chorégraphe Olivier Dubois.
Fréderic Carré, Leart Duraku, Ediz Erguc, Ramon Gomes Reis, Rodolphe
Lucas, Jérôme Marchand, Alvaro Prieto, Bruno Roque
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Spectre "
d’après " Le Spectre de la Rose " par le chorégraphe Olivier Dubois.
Fréderic Carré, Leart Duraku, Ediz Erguc, Ramon Gomes Reis, Rodolphe
Lucas, Jérôme Marchand, Alvaro Prieto, Bruno Roque
Les Ballets de Monte-Carlo. Représentation au Grimaldi Forum de " Spectre "
d’après " Le Spectre de la Rose " par le chorégraphe Olivier Dubois.
Fréderic Carré, Leart Duraku, Ediz Erguc, Ramon Gomes Reis, Rodolphe
Lucas, Jérôme Marchand, Alvaro Prieto, Bruno Roque
Le Theatre Princesse Grace et le Centre de rencontres internationales
La salle du Théâtre Princesse Grace lors des Monte-Carlo Magic Stars
Monte-Carlo Magic Stars : ils faut deux heures pour préparer le costume de Ma
Yanyan, spécialiste en manipulation, qui dégaine en dansant fleurs,
bouquets de papiers, rubans, petits parapluies et jusque à deux
drapeaux.
Monte-Carlo Magic Stars : le grand illusionniste italien Alberto Giorgi fait
disparaître dans un cube incandescent la tête de sa splendide
assistante.
Monte-Carlo Magic Stars : le grand illusionniste Allemand Julius Frack dans un spectaculaire exercice de lévitation
Monte-Carlo Magic Stars : Philippart, maître exubérant de magie générale présente
une apparition. Il enferme une poupée dans une cage, il la couvre avec
un manteau, la cage se soulève et apparaît Anja, sa sympathique
assistante.
Monte-Carlo Magic Stars : Philippart choisi un spectateur dans le public, et il
lui transperce en souriant la gorge avec une épée sans même le blesser.
Mont-Carlo Magic Stars : Laurent Beretta, grand expert en magie générale, sort
d’un tableau et y emprisonne une voleuse qui c’était introduite dans son
atelier.
Monte-Carlo Magic Stars : il y a aussi la magie comique. Charlie Frye présente
plusieurs numéros différents dont les anneaux chinois à sa manière.
Monte-Carlo Magic Stars : le grand illusionniste français Dani Lary fait naître un
cascade de fleurs d’un vieux journal enroulé, et il disparaît pour
réapparaître sur le côte opposé de la scène à plusieurs reprises.
L’animateur musical Frank Wilson, a gauche, et les artistes Dani Lary, Philippart
& Anja, Laurent Beretta & Cécile Medour, Cindy Keller,
Roxanne, Julius Frack, Topas, Soma, Alberto Giorgi & Carolina, Ma
Yanyan, Charlie Frye & Diana, Julien Manry, Senzo e La Cie de
l’Escadrille du 25° Monte-Carlo Magic Stars qui saluent le public.
L’émotion d’un voilier dans le décor magique du Port Hercule
Concours International de feux d’artifice
Palais Princier et ville étincelants à l’occasion de la Fête Nationale
La traditionnelle Foire de la Fête Nationale
Vision magique du Palais Princier à Noël
Le siège de Photomazza à Monte-Carlo
© PHOTOMAZZA - Giuseppe MAZZA | All rights reserved
Le quatrième lundi de novembre, la vieille ville de Berne se transforme
entre la gare et la Bundesplatz (Place du Palais fédéral) en un grand
marché avec des centaines de stands. Les paysans des environs,
principalement du district fribourgeois du Lac, viennent vendre plus de
100 tonnes d'oignons, présentés sous forme de tresses, mais aussi des
légumes, des fruits et des noix.
Quant aux camelots, ils proposent leurs articles habituels. L'après-midi et
le soir, surtout après l'école et le travail, des éléments
carnavalesques, telles que batailles aux confettis, apparition de
personnages déguisés, se mêlent à l'animation marchande. Le soir, dans
les auberges, des groupes récitent des couplets ironiques sur les
événements de l'année écoulée. Des journaux satiriques sont aussi
publiés ce jour-là.
Le marché aux oignons est un vestige d'un marché automnal de la
Saint-Martin qui durait quinze jours et qui est connu dès le 15e siècle.
Selon une légende toujours entendue, son origine remonterait à
l'incendie de la ville de 1405. Les paysans des environs auraient
activement aidé aux travaux de remise en état et ainsi reçu le droit de
vendre leurs produits en ville. Cependant, ce n'est qu'en 1439, qu'un
marché automnal est apparu, mais de toute façon, les légumes pouvaient
être mis en vente sur les marchés hebdomadaires.
Les documents mentionnent les oignons seulement à partir du milieu du 19e
siècle, époque à laquelle des lignes ferroviaires ont été construites entre les régions agricoles et la ville.
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En Bretagne les Johnnies étaient des marchands d'oignons roscovites, qui, à partir du XIXe siècle, partaient chaque année en août, de l'autre côté de la Manche pour vendre leurs oignons.
Le colportage de légumes a commencé au départ de Roscoff par voie de terre vers l'ouest de la France à la fin du XVIIIe siècle au cours de la crise économique qui a précédé la Révolution. Un demi siècle plus tard, en 1828, un cultivateur roscovite, Henri Ollivier, affrèta une gabarre, la chargea d'oignons et avec trois compagnons se dirigea vers l'Angleterre.
Tel fut l'initiateur et le fondateur du commerce d'oignons en Grande-Bretagne. Là-bas, les vendeurs furent appelés en anglais Johnnies (« les petits Jean ») ou Johnnies Onions, et en gallois Sioni Wynwns (translittération en gallois de "Johnny Onions")1. Le terme est passé en breton : ar Johnniged. Ils ont été surnommés ainsi car, à cette époque, ils emmenaient avec
eux leurs enfants, âgés d'une dizaine d'années et petits par la taille, Yann, équivalent de John, et Yannick, équivalent de Johnny, étant en breton, des prénoms très usuels.
Un Johnny, Daniel Tanguy, à vélo à Llanycil (cy) le 23 janvier 1958.
Les vendeurs d'oignons faisaient du porte-à-porte portant leurs marchandises tressées
sur leurs épaules puis, quand la bicyclette est apparue, sur leurs vélos.
Souvent les clients gardaient d'une année sur l'autre « leur » Johnny.
L'activité restait cependant spéculative.
Le succès de l'opération dépendait de l'absence d'avarie et du prix d'achat
auprès du producteur. Jusqu'après la seconde guerre mondiale, les
oignons étaient achetés en terre, donc à un prix sur lequel le Johnny
faisait le pari qu'il serait suffisamment inférieur au futur prix de
vente moyen pour que sa marge soit suffisante. Or ce prix de vente
variait selon le succès de la récolte. Cependant le climat dans la Ceinture dorée est
suffisamment doux et régulier pour que le pari ne fut pas trop téméraire.
L'émigration saisonnière augmenta d'année en année. D'un millier autour de la Grande Guerre, leur effectif atteint 1 400 en 1929, année de leur maximum.
La région était surpeuplée, et les fermes suffisamment rentables pour nourrir les familles.
Au début du XXe siècle, les légumes étaient livrés aux coopératives agricoles. Mais l'automne, morte saison, devait être rentabilisé.
Roscoff : l'arrivée des voitures d'oignons au port vers 1920 (carte postale)
Roscoff : l'embarquement des oignons pour l'Angleterre (vers 1920)
Arrivée des voitures d'oignons
Avant la Première Guerre mondiale, les Johnnies s'étaient organisés en « compagnies », associations saisonnières comprenant de quinze à trente membres. Certaines, comme
celles de ar Bouteger, ar Broc'h, ar Pabor, Per-Hir, ar Pen-Polis, comptaient jusqu'à soixante membres. Après la Deuxième Guerre mondiale, les compagnies disparurent peu à peu.
La traversée vers la côte sud (Penzance, Cowes sur l'île de Wight, Southampton, Portsmouth, Brighton, Douvres) durait de dix-huit à quarante-huit heures selon les vents ; vers la côte est : Hull, Sunderland et Newcastle, ou encore le Pays de Galles ou l'Écosse.
On trouve des Johnnies à Roscoff et aux environs : Santec, Saint-Pol, Plougoulm, Sibiril, Cléder…La vie des Johnnies a été mise en musique par le groupe "Tonnerre de Brest" dans une de leurs chansons Les Johnnies et également par le groupe nantais Tri Yann dans la chanson "vivre johnnie,vivre"
Modification de la Constitution sur le code de la Nationalité :
Hypocrisie de la classe politique Française de droite comme de gauche sur la
révision de la constitution en vue de modifier le code de Nationalité
alors que cette loi existe par l'Article 25 de la Constitution : Que
nous cachetons derriere cette modification?
Art.25
( L . no 98-170 du 16 mars 1998) ( L.no 73-42 du 9 janvier 1973 )
L'individu qui a acquis la qualité de Français peut , par décret pris
aprés avis conforme du Conseil d'Etat être déchu de la nationalité
française sauf si la déchéance a pour résultat de le rendre apatride.
1 . Est condamné pour un acte qualifié (Lno 93-933 du 22 juillet 1993 )
de crime ou délit constituant une atteinte aux intérêts fondamentaux de
la Nation (L. no96-647 du 22 juillet 1996 art 12 ) ou pour un crime ou
un délit constituant un acte de terrorisme.
2 . est condamné pour un acte qualifié (L.no93-933 du 22 juillet 1993 )
de crime ou délit prévu et réprimé par le chapitre II du titre III du
livre IV du code pénal .
3 .est condamné pour s'être soustrait aux obligations résultant pour lui du Code du service national .
4 . s'est livré au profit d'un Etat étranger à des actes incompatibles
avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France .
Je pense qu'il y a matière à réflèchir car il y a dans cet Art 25 tout l'arsenal pour éliminer les racines du mal .
Et puis vaudrait il pas mieux de supprimer cette double nationalité car
personnellement je conteste le fait qu'une personne avec une double
nationalité gouverne la France .