"Absurde, coûteuse et inutile", c'est en ces termes détonants qu'un bureau d’études parisien dénonce la croisade verte lancée par les grands de ce monde...
Durant la COP21, vous pensiez avoir tout entendu à propos du réchauffement climatique? En fait, les voix discordantes sont restées inaudibles, ne soulignant que davantage l’apparente responsabilité de l'Homme et, entre autres, celle de l'automobile. Et pourtant... La Société de calcul mathématique, un bureau d’études parisien spécialisé en modèles d’aide à la décision pour les entreprises et les institutions publiques, a publié en ligne* un Livre blanc où elle met gravement en cause l'inutilité de cette lutte et ses lourdes conséquences économiques et sociales pour la France. Attention, ça décoiffe ! Tendancieux et malhonnête Selon la SCM, il n'existe "aucun fait, aucune donnée, aucune observation, qui permette de conclure que le climat soit détraqué en quoi que ce soit. Il est variable, comme il l'a toujours été localement". Idem pour la concentration en CO2 : "les chiffres qui sont rapportés sont choisis de manière tendancieuse et malhonnête". L'élévation du niveau des mers ? "Un phénomène normal, lié à la poussée d'Archimède : rien à voir avec un hypothétique réchauffement".
"Aucune civilisation ne peut se développer en économisant l'énergie" Conséquence, les gouvernements soutiennent à coups de milliards d'euros des filières présentées comme "vertueuses" mais dépourvues de rentabilité, l'économie d'énergie étant devenue la priorité absolue. Or,"aucune civilisation ne peut se développer en économisant l'énergie, lanôtre a donc cessé de se développer et la France compte maintenant plus de trois millions de chômeurs". Pas étonnant, les "productions considérées comme coupables sur le plan de l'environnement, ont été délocalisées (...) dans des pays beaucoup moins respectueux de l'environnement".
L'automobile parmi les premières victimes "Il suffit de dire que l'industrie automobile ou la circulation automobile sont mauvaises pour la planète, sans aucune justification" pour que cela se traduise par des réglementations les plus contraignantes et les plus dangereuses pour l'économie : création du coûteux bonus-malus, traque du CO2, aides aux carburants bio ("l'exemple parfait d'une décision imbécile" : puisqu'il fait consommer plus, on paie plus de taxes !), baisse des crédits pour les routes, restrictions de circulation...
Bref, dans ce pamphlet, chacun en prend pour son grade : les experts du Giec, les scientifiques, les journalistes, les gouvernements et leurs décisions politiques (Grenelle environnement,Paquet énergie-climat) et même Airparif ("qui réglemente la circulation en toute impunité au mépris des règles fondamentales de la science et du droit").
Bien sûr, ces accusations n’engagent que leurs auteurs, mais la force de leur conviction et de leur logique scientifique a de quoi troubler. A vous de juger...
Du 21 au 31 décembre, notre nouvelle campagne est visible sur plus de 1 000 panneaux d’affichage dans les grandes villes françaises : à Paris et en Île-de-France, mais aussi à Bordeaux, au Havre, à Lyon, à Marseille,à Montpellier, à Nantes, à Nice, à Rennes, à Strasbourg et à Toulouse. Elle reprend les bases du combat historique de notre présidente contre les dérives de la mode qui sacrifie chaque année 140 millions d’animaux aux caprices d’une société de consommation déconnectée de toute éthique et de tout respect pour l’environnement et les animaux. C’est un engagement essentiel car, à l’heure de la COP21 et de l’engagement grandissant contre les dégâts occasionnés par l’homme à notre planète, il est aussi stupide qu’absurde de sacrifier des ressources naturelles de plus en plus rares à un simple caprice, tout en générant d’effroyables souffrances. Non, la fourrure n’est pas écologique ! Les millions d’animaux élevés ne le sont que pour leurs peaux, leurs carcasses sont détruites. Les déjections de ces élevages engendrent de graves pollutions pour les écosystèmes où ils sont installés. L’énergie nécessaire pour produire un manteau en véritable fourrure à partir d’animaux provenant d’élevages est 20 fois supérieure à celle nécessaire pour produire l’équivalent en synthétique. Les produits utilisés dans les tanneries sont également très toxiques. Oui, la fourrure est cruelle !Les visons, les renards et autres chiens viverins sont élevés dans des cages minuscules exposées aux intempéries. Les cas d’automutilation sont fréquents. Les malheureux sont ensuite gazés, électrocutés ou simplement assommés afin de ne pas abîmer leurs précieuses fourrures lors de l’abattage. Oui, la fourrure est inutile !Depuis le Moyen Âge, qui a encore besoin de fourrure pour se protéger du froid? Il existe par ailleurs des fourrures synthétiques de bonne qualité qui ont en outre l’avantage d’exister dans toutes les couleurs. Oui, des chiens et des chats sont sacrifiés pour leurs peaux ! Bien qu’interdites dans l’Union européenne, ces fourrures importées d’Asie et rebaptisées de noms fantaisistes, sont écoulées sous forme de cols ou de jouets. Oui, l’Union européenne est le premier producteur de visons du monde ! Avec 6 000 fermes d’élevage, l’UE représente 70 % de la production mondiale de fourrures de vison et 63 % de la production de fourrures de renard. 12 millions de visons sont tués chaque année au Danemark. Le reste provient de Russie, du Canada, des États-Unis et de plus en plus de la Chine, où la main-d’oeuvre est très bon marché et les lois pour la protection des animaux sont totalement absentes. Oui, la France est particulièrement concernée ! On trouve dans notre pays une vingtaine d’élevages de visons : 190 000 visons d’Amérique y sont élevés, puis gazés, chaque année. Agrandie illégalement, la ferme d’Emagny et ses 9 000 visons, est dans le collimateur des associations depuis plusieurs années et la Fondation participe régulièrement aux manifestations demandant sa fermeture. En Poitou-Charentes, 55 000 lapins Orylag, une race créée pour la fabrication de fourrure, sont également sacrifiés en 2011. Au total, 40 millions de fourrures de lapin sortent annuellement des abattoirs français. Émagny, l’élevage de la honteOui, il est possible de faire changer les lois ! Le Royaume-Uni a interdit tout élevage d’animaux à fourrure pour des raisons éthiques, depuis le 1er janvier 2003. Aux Pays-Bas, les élevages de renards et de chinchillas sont interdits. Quatre Länder allemands imposent des règles strictes pour les fermes à fourrure. Les provinces d’Autriche ont prohibé l’élevage des animaux à fourrure ou imposé des normes strictes. En Suisse, la législation interdit l’élevage intensif des animaux à fourrure. En Croatie, au 1er janvier 2017, l’élevage des animaux pour leur fourrure sera interdit. Au Danemark, les élevages de renards le seront totalement en 2024
La Voie Lactee Au Coeur Du Massif Du Mont-Blanc Il y a des sorties qui vous marquent d’une manière indélébile. Celle à laquelle j’ai eu droit en ce soir de juillet 2014 restera longtemps gravée dans ma mémoire. Le bassin de Talèfre et les environs du refuge du Couvercle sont un endroit exceptionnel. Au pied de montagnes mythiques telles que l’Aiguille Verte, les Droites, les Courtes ou encore la plus modeste mais belle Aiguille du Moine, on y jouit à mon sens d’un des plus beau panoramas sur le coeur du massif du Mont-Blanc. Mais l’endroit est rare, il se mérite. Après avoir pris le train touristique du Montenvers et rejoint les rives de la Mer de Glace, il faut la remonter pendant plusieurs kilomètres, puis remontrer rive droite du glacier de Léchaux et escalader les impressionnantes échelles des Egralets, avant de rejoindre le refuge du Couvercle, à 2687m d’altitude, après environ 4h de marche et 1000m de dénivelé. C’était la 4ème fois en 9 ans que je me rendais à cet endroit, et la première fois exclusivement en tant que photographe. En 2010, alors que blessé au genou j’avais laissé à mon grand regret mes compagnons gravir l’Aiguille du Moine sans moi, j’ai eu tout le loisir d’explorer les environs. J’avais alors repéré ce beau point de vue sur la Mer de Glace et le Mont-Blanc, à près de 3000m d’altitude. Et me suis dit qu’il faillait absolument que je revienne photographier cet endroit. Entre temps j’avais repris sérieusement la photographie et j’avais découvert une nouvelle discipline, la photographie de nuit, grâce à mon ami photographe Eric Courcier qui m’accompagnait pour l’occasion. J’ai donc eu tout le temps de réfléchir et d’imaginer cette image de voie lactée au dessus du Mont-Blanc avec la Mer de Glace et ses bandes de Forbes en contrebas. Le reste n’est que technique et nuit blanche. Laissons place aux images .
il fait une chute mortelle en s'entraînant pour la descente du père Noël
Un homme de 24 est mort ce dimanche à Douai (Nord) après avoir fait une chute de trente mètres alors qu'il s'entraînait pour la traditionnelle descente en rappel du père Noël, prévue le 20 décembre.
Un homme de 24 ans a fait ce dimanche une chute mortelle du haut du beffroi de Douai (Nord) tandis qu'il s'entraînait en vue de la traditionnelle descente en rappel du père Noël le 20 décembre.
Alors qu'il avait réalisé un tiers de sa descente, le jeune homme a fait une chute d'une trentaine de mètres sous les yeux de la vingtaine de membres de son club, et est mort sur le coup.
Une enquête pour connaître la cause du drame
"Il s'agissait d'une préparation pour les fêtes de Noël. Chaque année, le père Noël descend le beffroi de Douai", a expliqué un représentant du Centre opérationnel d'incendie et de secours du Nord.
L'enquête devra déterminer si le matériel était défectueux, a indiqué la Direction départementale de la sécurité publique . Ce type de matériel est normalement conçu pour bloquer toute chute. Une autopsie sera réalisée pour savoir si le jeune homme a été victime d'un malaise conduisant à sa chute.
23 façons créatives de transformer vos vieilles affaires en décorations très décoratives. vous possédez certainement chez vous tout un tas d’objets dont vous ne vous servez plus. Plutôt que de vous en séparer ou de les laisser prendre la poussière, vous pouvez leur donner une nouvelle vie en les recyclant en meubles et autres accessoires. De quoi faire des économies tout en décorant intelligemment votre domicile !
1. Vielle échelle en étagère à livres
2. Vélo en support pour lavabo
3. Chaises en armoire à vêtements
4. Câbles en Bob Marley
5. Morceaux de CD en assiette mosaïque
6. Cuillères et bouteilles en lampes
7. Piano en étagère
8. Pneu et cordes en pouf
9. Râpes à fromage en lampes
10. Raquettes de tennis en miroirs
11. Morceaux de vélos en lustre
12. Râteau en porte-verres
13. Echelle en étagère
14. Skateboards en guitares
15. Cuillères en lampes
16. Chaises en support à gamelles
17. Batterie en lustre
18. Barque en lit suspendu
19. Guitare en étagère
20. Entonnoirs en chandeliers
21. Fourchettes en portemanteau
22. Valise en chaise
23. Piano en fontaine
Nous avons trouvé tous ces recyclages d’objets très jolis et très bien pensés. A la rédaction, nous avons particulièrement aimé le piano fontaine et le bateau suspendu ; encore faut-il avoir un piano et un jardin sous la main . Cela nous a beaucoup inspirés pour donner une seconde vie à quelques bibelots qui nous encombrent chez nous. Et vous, ces images vous ont-elles donné des idées pour transformer vos vieilleries en accessoires décoratifs ?
Qui n’a jamais rêvé de faire un road trip, entre amis, avec ses frères et soeurs ou en amoureux ? C’est ce qu’a fait Julian pour un voyage inoubliable et passionnant à travers le Sud-Ouest de l’Amérique. Un moment parfait qu’il a su sublimer dans un film utilisant une technique bien particulière : le layer-lapse, consistant à superposer des images de jour et de nuit d’un même endroit et à des vitesses assez variables.
En mai 2015, Julian Tryba a voyagé avec son ami Michael Sutton et sa petite amie Grace dans le Sud-Ouest américain. Ils ont ainsi roulé près de 4800 kilomètres entre l’Utah, l’Arizona, le Nevada ou même la Californie pour découvrir d’incroyables paysages. « Nous avons filmé des endroits géniaux. Chaque nuit nous prenions le coucher du soleil et une fois la nuit arrivée, nous trouvions un endroit sûr pour filmer les étoiles et dormir quelques heures avant que le soleil se lève. Nous avons vu quelques endroits incroyables, et vécu des expériences intéressantes, comme lorsque Mike a été piqué par un scorpion, ou quand nous avons eu un pneu à plat. Nous avons été frappés par des tempêtes de neige, des températures glaciales et quelques vents intenses. » On remarque aussi certaines images qu’il est bien moins possible de prendre depuis la terre (1’20), et qui viennent quant à elles de la NASA. Une belle parenthèse qui vient sublimer un film déjà magnifique. Pour immortaliser ces moments exceptionnels, ils ont donc filmé de jour comme de nuit des endroits merveilleux qu’ils ont pu visiter. C’est ensuite grâce à une toute nouvelle technique appelée layer-lapse, que Julian a réalisé ce film fascinant. Cette technique presque inédite consiste à assembler plusieurs prises (filmées de jour et de nuit) et de les faire défiler à différentes vitesses. Au final, le rendu est fascinant et donne l’impression que différents endroits d’une même scène se révèlent à différents moments : jour et nuit dans un même instant. Cette technique sublime donc Timeless Dreams, cette vidéo en 4k avec les images capturées par Julian et Michael. Fabuleux ! Cette vidéo nous emmène dans un voyage exceptionnel à travers le Sud-Ouest américain. Merci à Julian etMichael de nous faire partager leur voyage.
A Paris, les embouteillages ont été transformés en dégustations gastronomiques A Paris, Badoit s’est offert les services du Chef doublement étoilé Thierry Marx pour transformer les embouteillages franciliens en dégustations gastronomiques. Un coup de communication des plus habiles. Si vous étiez à Paris jeudi, c’est à une drôle de scène que vous avez pu assister le long de la rue de Rivoli. Une centaine de maîtres d’hôtel longeait la route sur près de 3 kilomètres, habillés aux couleurs de Badoit et servant plats et boissons aux automobilistes embouteillés. Derrière cette initiative insolite et réjouissante, réalisée à l’occasion de la Fête de la Gastronomie, se cache une belle opération de communication menée tambour battant par la marque d’eau gazeuse. Des embouteillages gastronomiques Il s’agissait ici de transformer un contexte pénible de la morosité quotidienne en un moment de détente et de gastronomie : les embouteillages. C’est le défi que la marque a décidé de relever avec Thierry Marx, chef français doublement étoilé, appuyé par le déploiement d’une véritable armada de maîtres d’hôtels. Dans un premier temps, ces derniers attendent l’arrêt des véhicules à un feu rouge pour leur délivrer une bouteille de Badoit. Une fois les voitures ayant franchi ce premier feu, cette livraison surprenante se poursuit jusqu’aux abords de la place de la Concorde. Tous les plats ont été optimisés par le Chef pour être mangés en voiture : salade César roulée, longuet d’osso bucco de veau, pressé de pastrami de boeuf, avant de finir par un Paris-Brest revisité en longueur. En tout, 1 000 plats et 700 bouteilles de Badoit ont été distribuées. Une opération de communication pétillante Finalement, si cette opération a ravi quelques automobilistes franciliens, elle s’avère surtout être un coup de communication particulièrement bien pensé. En allant de la sorte vers les automobilistes, Badoit renforce son image de proximité envers les consommateurs, une logique qu’elle poursuit par la logique de don ainsi que par le suivi des automobilistes tout au long de leur trajet. Enfin, en offrant avant toute chose une bouteille d’eau pétillante aux franciliens, cela accentue l’image d’une boisson « au service de tous les repas » tout en martelant bien quelle marque est à l’origine de ce service exceptionnel.
Thierry Marx transforme le Rer C en restaurant gastronomique Après le célèbre Orient Express, découvrez le Badoit Express ! Ou comment transformer le Rer C en véritable restaurant gastronomique. On doit cette expérience au chef Thierry Marx, en association avec Badoit et la SNCF. « J’y étais » pourront dire les quelques 400 voyageurs du Rer C qui étaient présents vendredi soir entre les stations de Neuilly Porte Maillot et Bibliothèque François Mitterrand. À l’occasion de la fête de la gastronomie qui se tenait ce week-end, Badoit et le chef Thierry Marx, ont concocté un dîner haut de gamme aux personnes présentes dans le train. Pour cette occasion, il aura fallu 32 maîtres d’hôtel qui assuraient le service, 3 plats et 135 litres d’eau pétillante, rien que ça ! Au menu de ce dîner sûrement parfait : pressé de veau, lentilles et foie gras de canard pour l’entrée, agneau du bout des doigts avec petits légumes niçois pour le plat principal et enfin, œuf à la neige en feuille de sucre coulant vanille.
Après avoir annoncé au micro du conducteur le déroulement des festivités, le chef de l’émission Top Chef pris le temps de voyager d’une voiture à une autre afin de recueillir les avis des voyageurs qu’il recevait dans son restaurant mobile, peu habitués on imagine à manger aussi bien dans les transports en commun. Toute l’opération a été orchestrée par les agences Elan et Ubi Bene. Après ce dîner digne des grands restaurants étoilés, qui durera 25 minutes, on imagine bien qu’il fût difficile pour les usagers de revenir à la réalité.
TRAIL DE NUIT SUR NEIGE Si le trail est la version extrême du running, que dire du trail sur neige… de nuit ? De jour, on profite des sentiers enneigés pour un parcours de course nature à Morzine, Praz de Lys Sommand, le Mont Dore, la Clusaz… chaussures crantées aux pieds et chaudement équipé. De nuit, aux Saisies, c’est à la frontale qu’on se lance à la découverte d’une nature différente : quand la lune rayonne doucement sur la neige, chaque bruit de la vie nocturne prend une nouvelle dimension. On trouve désormais des itinéraires de trail balisés et damés dans tous les massifs, avec topos et tracés GPX. Pour les plus sportifs, 25 courses sont organisées dans la saison, dont la Night Snow Trail, qui se déroulera le 23 janvier 2016 aux 2 Alpes.
FAT BIKE : LE VTT DES NEIGES Apparu la saison dernière, ce sera incontestablement la star de l’hiver. Avec ses jantes et ses pneus larges, ce VTT est spécialement conçu pour dévaler les pistes enneigées. En mode découverte, on apprend à maîtriser le dénivelé sur neige avec l’aide d’un moniteur aux Saisies ou à Montgenèvre. On pourra ensuite s’aventurer seul sur les sentiers balisés. A la Plagne on profite de belles descentes après le ski en nocturne, avec accès réservé à certaines remontées mécaniques. Certainesstations, comme le Grand-Bornand, proposent également le Fat Bike électrique, pour de belles balades en fond de vallée. A partir de 25 euros.
ESCALADE SUR GLACE : GRIMPE GIVRÉE Un piolet, des crampons adaptés et un casque : vous voilà prêt pour vous lancer à l’assaut d’un torrent immobilisé par la glace, comme aux Contamines-Montjoie ou à Bonneval-sur-Arc. Ce site offre deux parcours de 60 m, à découvrir en sortie à la demi-journée avec un guide de haute montagne (dès 8 ans). Sur la Tour de Glace de Champagny-en-Vanoise (La Plagne), tout le monde peut se faire plaisir, du débutant au grimpeur confirmé. Manier le piolet, planter ses crampons et bien positionner son corps, ça s’apprend. Des sessions de deux heures sont organisées le soir à partir de 18h pour acquérir les bases de l’escalade sur glace (40 euros).
RAFT SUR NEIGE ET BOUÉES : GLISSE LUDIQUE Dans la famille « glisse ludique », le raft sur neige n’est pas en reste. Dérivé du rafting, discipline d’eaux vives qui consiste à dévaler les rapides des cours d’eau de montagne en été, le raft sur neige se pratique sur des pistes aménagées (de la piste verte à la piste noire). A découvrir à Orcières Merlette 1850, où depuis l’hiver dernier, on embarque depuis le plateau de Rocherousse pour une « descente infernale » à bord d’une bouée individuelle ou d’un radeau gonflable 8 places, spécialement conçu pour la neige. Adrénaline, secousses et fous rires garantis.
SNOWKITE : FREE GLISSE A LA ROSIÈRE Les vents d’Italie et de France se rencontrent au Col du Petit Saint-Bernard, offrant à la station de la Rosière l’un des spots de snowkite les plus réputés des Alpes. Le snowkite est l’équivalent du kite surf, en version poudreuse. On se laisse glisser sur la neige, tracté par un cerf-volant, pour remonter les pentes au gré des vents. Une activité de glisse pure (on ne vole pas !), qui permet de s’affranchir des remontées mécaniques, du bruit et de la foule sur les pistes. Seule condition pour se lancer : être capable de skier sur une piste rouge. (A partir de 50 € pour 1h30 de cours).
SPEEDRIDING : S'ENVOLER SKI AU PIED Avant de s’envoler ski aux pieds depuis le sommet de faces vierges de toute trace, vous pourrez toujours vous entraîner sur les pentes écoles des 2 Alpes, des Arcs, de Chamonix ou de Val d’Isère. Cette discipline requiert un bon niveau de ski, mais aucune connaissance préalable de vol libre. Le principe : muni d’une voile légère, on s’élance dans la pente et… on s’envole, pour rebondir et s’envoler encore. Pour les speed riders confirmés, la balade démarre par une ascension avec des peaux de phoques pour une expérience de glisse inégalable sur des faces vierges. A partir de 95 euros la journée.
AIRBOARD SUR NEIGE : LE BODYBOARD DES NEIGES Là encore les fans de glisse sur l’eau vont retrouver leurs repères : l’airboard leur rappelera immanquablement le bodyboard. L’Airboard est une sorte de luge, sur laquelle on s’installe à plat ventre. La tête dans le sens de la pente on prend de la vitesse et … mieux vaut ne pas avoir froid aux yeux. Pas de panique cependant, l’Airboard est docile et se pilote au doigt et à l’œil, ce qui le rend accessible en toute sécurité dès 10 ans. On le pratique dans les stations de la Grave (35 euros pour une séance de 2 heures), ou encore à la Plagne, après la fermeture des pistes, pour une dernière trace.
LE PARET : LA LUGE VINTAGE A LA COTE Cette luge en bois savoyarde traditionnelle n’a pas dit son dernier mot. Au début du siècle dernier, les enfants l’utilisaient pour aller à l’école. Aujourd’hui, le Paret fait un retour fracassant. A la Clusaz, les artisans ont recommencé à le fabriquer à la main (comptez environ 150 euros). On privatise les pistes certains soirs de la semaine pour des aficionados de plus en plus nombreux, comme à la Rosière ou à Manigod, où se tient le championnat du monde de Paret. Sa variante moderne, le Yooner (on pratique le mardi soir à la Clusaz) donne lieu à quelques savoureuses customisations.
SKI JOËRING On connaît les chiens de traineaux, qui emmènent dans leur sillage tout un monde à la Jack London, mais on connaît moins bien le ski joëring. Cette discipline de ski attelé ancestrale est une expérience de glisse unique et un moment de communion entre l’homme, le cheval et la nature le temps d’une superbe balade. Accessible dès que l’on sait tenir sur ses skis, c’est à dire tout petit, elle se pratique sur piste damée. Une discipline discrète mais assez répandue, que l’on pourra découvrir notamment à l’Alpe d’Huez, la Clusaz, les Gets, Méribel ou Chamonix. Comptez environ 60 euros pour une balade d’une heure (skis fournis).
KART SUR GLACE : ÇA GLISSE ! Sur glace, ça glisse ! Equipés de pneus cloutés, le kart sur glace réserve quelques surprises et des sensations fortes. Glissades, contre-braquages, dérapages et virages inopinés, les adeptes de pilotage sportif vont apprendre à se méfier de la patinoire sur laquelle ils vont devoir manœuvrer leur véhicule. A découvrir dans les stations de Verbier, de Tignes, Valmorel ou de Serre Chevalier. Val Thorens, qui accueille le Trophée Andros, offre également la possibilité de piloter son propre véhicule sur circuit. Une excellente occasion de tester ses réflexes en conditions extrêmes. A noter, pour la troisième année consécutive, la Clusaz propose des sessions de conduite sur glace de nuit, 100% silencieuses et écolos, en Twizy.
Vendredi 18 décembre 2015 -
"Absurde, coûteuse et inutile", c'est en ces termes détonants qu'un bureau d’études parisien dénonce la croisade verte
lancée par les grands de ce monde...
Durant la COP21, vous pensiez avoir tout entendu à propos du réchauffement climatique? En fait, les voix discordantes sont restées
inaudibles, ne soulignant que davantage l’apparente responsabilité de
l'Homme et, entre autres, celle de l'automobile. Et pourtant... La Société de calcul mathématique, un bureau d’études parisien spécialisé en modèles d’aide à la décision pour les entreprises et les institutions publiques, a publié en ligne* un Livre blanc où elle met gravement en cause l'inutilité de cette lutte et ses
lourdes conséquences économiques et sociales pour la France. Attention, ça décoiffe !
Tendancieux et malhonnête Selon la SCM, il n'existe "aucun fait, aucune donnée, aucune observation, qui permette de conclure que le climat soit détraqué en quoi que ce soit. Il est variable, comme il l'a toujours été localement". Idem pour la concentration en CO2 : "les chiffres qui sont rapportés sont choisis de manière tendancieuse et malhonnête".
L'élévation du niveau des mers ? "Un phénomène normal, lié à la poussée d'Archimède : rien à voir avec un hypothétique réchauffement".
"Aucune civilisation ne peut se développer en économisant l'énergie"
Conséquence, les gouvernements soutiennent à coups de milliards d'euros des filières présentées comme "vertueuses"
mais dépourvues de rentabilité, l'économie d'énergie étant devenue la priorité absolue. Or,"aucune civilisation ne peut se
développer en économisant l'énergie, lanôtre a donc cessé de se développer et la France compte maintenant plus
de trois millions de chômeurs". Pas étonnant, les "productions considérées comme coupables sur le plan de l'environnement,
ont été délocalisées (...) dans des pays beaucoup moins respectueux de l'environnement".
L'automobile parmi les premières victimes
"Il suffit de dire que l'industrie automobile ou la circulation automobile sont mauvaises pour la planète, sans aucune justification"
pour que cela se traduise par des réglementations les plus contraignantes et les plus dangereuses pour l'économie : création du
coûteux bonus-malus, traque du CO2, aides aux carburants bio ("l'exemple parfait d'une décision imbécile" : puisqu'il fait consommer plus, on paie plus de taxes !), baisse des crédits pour les routes, restrictions de circulation...
Bref, dans ce pamphlet, chacun en prend pour son grade : les experts du Giec, les scientifiques, les journalistes, les gouvernements et leurs décisions politiques (Grenelle environnement,Paquet énergie-climat) et même Airparif ("qui réglemente la circulation
en toute impunité au mépris des règles fondamentales de la science et du droit").
Bien sûr, ces accusations n’engagent que leurs auteurs, mais la force de leur conviction et de leur logique
scientifique a de quoi troubler. A vous de juger...
Éruption du volcan Holuhraun dans toute sa splendeur volcanique
photo prise par Erez MAROM depuis un hélicoptère au crépuscule.
Du 21 au 31 décembre, notre nouvelle campagne est visible sur plus de 1 000 panneaux
d’affichage dans les grandes villes françaises : à Paris et en Île-de-France, mais aussi
à Bordeaux, au Havre, à Lyon, à Marseille,à Montpellier, à Nantes, à Nice, à Rennes,
à Strasbourg et à Toulouse.
Elle reprend les bases du combat historique de notre présidente contre les
dérives de la mode qui sacrifie chaque année 140 millions d’animaux aux
caprices d’une société de consommation déconnectée de toute éthique et
de tout respect pour l’environnement et les animaux.
C’est un engagement essentiel car, à l’heure de la COP21 et de l’engagement
grandissant contre les dégâts occasionnés par l’homme à
notre planète, il est aussi stupide qu’absurde de sacrifier des ressources
naturelles de plus en plus rares à un simple caprice, tout en générant
d’effroyables souffrances. Non, la fourrure n’est pas écologique ! Les
millions d’animaux élevés ne le sont que pour leurs
peaux, leurs carcasses sont détruites. Les déjections de ces élevages
engendrent de graves pollutions pour les écosystèmes où ils sont
installés. L’énergie nécessaire pour produire un manteau en véritable
fourrure à partir d’animaux provenant d’élevages est 20 fois supérieure à
celle nécessaire pour produire l’équivalent en synthétique. Les
produits utilisés dans les tanneries sont également très toxiques.
Oui, la fourrure est cruelle ! Les visons, les renards et autres chiens viverins sont élevés
dans des cages minuscules exposées aux intempéries. Les cas d’automutilation sont
fréquents. Les malheureux sont ensuite gazés, électrocutés ou simplement assommés
afin de ne pas abîmer leurs précieuses fourrures lors de l’abattage.
Oui, la fourrure est inutile ! Depuis le Moyen Âge, qui a encore besoin de fourrure pour
se protéger du froid? Il existe par ailleurs des fourrures synthétiques de
bonne qualité qui ont en outre l’avantage d’exister dans toutes les couleurs.
Oui, des chiens et des chats sont sacrifiés pour leurs peaux !
Bien qu’interdites dans l’Union européenne, ces fourrures importées d’Asie
et rebaptisées de noms fantaisistes, sont écoulées sous forme de cols ou
de jouets. Oui, l’Union européenne est le premier producteur de visons du monde !
Avec 6 000 fermes d’élevage, l’UE représente 70 % de la production mondiale
de fourrures de vison et 63 % de la production de fourrures de renard.
12 millions de visons sont tués chaque année au Danemark. Le reste
provient de Russie, du Canada, des États-Unis et de plus en plus de la
Chine, où la main-d’oeuvre est très bon marché et les lois pour la
protection des animaux sont totalement absentes.
Oui, la France est particulièrement concernée !
On trouve dans notre pays une vingtaine d’élevages de visons : 190 000
visons d’Amérique y sont élevés, puis gazés, chaque année. Agrandie
illégalement, la ferme d’Emagny et ses 9 000 visons, est dans le
collimateur des associations depuis plusieurs années et la Fondation
participe régulièrement aux manifestations demandant sa fermeture. En
Poitou-Charentes, 55 000 lapins Orylag, une race créée pour la fabrication
de fourrure, sont également sacrifiés en 2011.
Au total, 40 millions de fourrures de lapin sortent annuellement des
abattoirs français.
Émagny, l’élevage de la honte Oui, il est possible de faire changer les lois !
Le Royaume-Uni a interdit tout élevage d’animaux à fourrure pour des
raisons éthiques, depuis le 1er janvier 2003. Aux Pays-Bas, les élevages
de renards et de chinchillas sont interdits. Quatre Länder allemands
imposent des règles strictes pour les fermes à fourrure. Les provinces
d’Autriche ont prohibé l’élevage des animaux à fourrure ou imposé des
normes strictes. En Suisse, la législation interdit l’élevage intensif
des animaux à fourrure. En Croatie, au 1er janvier 2017, l’élevage des
animaux pour leur fourrure sera interdit. Au Danemark, les élevages de
renards le seront totalement en 2024
Lettre de Brigitte Bardot à Karl Lagerfeld.
Il y a des sorties qui vous marquent d’une manière indélébile. Celle à
laquelle j’ai eu droit en ce soir de juillet 2014 restera longtemps
gravée dans ma mémoire.
Le bassin de Talèfre et les environs du refuge du Couvercle sont un
endroit exceptionnel. Au pied de montagnes mythiques telles que
l’Aiguille Verte, les Droites, les Courtes ou encore la plus modeste
mais belle Aiguille du Moine, on y jouit à mon sens d’un des plus beau
panoramas sur le coeur du massif du Mont-Blanc.
Mais l’endroit est rare, il se mérite. Après avoir pris le train touristique
du Montenvers et rejoint les rives de la Mer de Glace, il faut la
remonter pendant plusieurs kilomètres, puis remontrer rive droite du
glacier de Léchaux et escalader les impressionnantes échelles des
Egralets, avant de rejoindre le refuge du Couvercle, à 2687m d’altitude,
après environ 4h de marche et 1000m de dénivelé.
C’était la 4ème fois en 9 ans que je me rendais à cet endroit, et la première
fois exclusivement en tant que photographe. En 2010, alors que blessé au
genou j’avais laissé à mon grand regret mes compagnons gravir
l’Aiguille du Moine sans moi, j’ai eu tout le loisir d’explorer les
environs. J’avais alors repéré ce beau point de vue sur la Mer de Glace
et le Mont-Blanc, à près de 3000m d’altitude. Et me suis dit qu’il
faillait absolument que je revienne photographier cet endroit.
Entre temps j’avais repris sérieusement la photographie et j’avais découvert
une nouvelle discipline, la photographie de nuit, grâce à mon ami
photographe Eric Courcier qui m’accompagnait pour l’occasion. J’ai donc
eu tout le temps de réfléchir et d’imaginer cette image de voie lactée
au dessus du Mont-Blanc avec la Mer de Glace et ses bandes de Forbes en
contrebas.
Le reste n’est que technique et nuit blanche. Laissons place aux images .
pour la descente du père Noël
Un homme de 24 est mort ce dimanche à Douai (Nord) après avoir fait une
chute de trente mètres alors qu'il s'entraînait pour la traditionnelle
descente en rappel du père Noël, prévue le 20 décembre.
Un homme de 24 ans a fait ce dimanche une chute mortelle du haut du
beffroi de Douai (Nord) tandis qu'il s'entraînait en vue de la
traditionnelle descente en rappel du père Noël le 20 décembre.
Alors qu'il avait réalisé un tiers de sa descente, le jeune homme a fait une
chute d'une trentaine de mètres sous les yeux de la vingtaine de membres
de son club, et est mort sur le coup.
Une enquête pour connaître la cause du drame
"Il s'agissait d'une préparation pour les fêtes de Noël. Chaque année, le
père Noël descend le beffroi de Douai", a expliqué un représentant du
Centre opérationnel d'incendie et de secours du Nord.
L'enquête devra déterminer si le matériel était défectueux, a indiqué la
Direction départementale de la sécurité publique . Ce type de matériel
est normalement conçu pour bloquer toute chute. Une autopsie sera
réalisée pour savoir si le jeune homme a été victime d'un malaise
conduisant à sa chute.
vous possédez certainement chez vous tout un tas d’objets dont vous ne vous
servez plus. Plutôt que de vous en séparer ou de les laisser prendre la poussière, vous pouvez leur donner une nouvelle vie en les recyclant en meubles et autres accessoires. De quoi faire des économies tout en
décorant intelligemment votre domicile !
1. Vielle échelle en étagère à livres
2. Vélo en support pour lavabo
3. Chaises en armoire à vêtements
4. Câbles en Bob Marley
5. Morceaux de CD en assiette mosaïque
6. Cuillères et bouteilles en lampes
7. Piano en étagère
8. Pneu et cordes en pouf
9. Râpes à fromage en lampes
10. Raquettes de tennis en miroirs
11. Morceaux de vélos en lustre
12. Râteau en porte-verres
13. Echelle en étagère
14. Skateboards en guitares
15. Cuillères en lampes
16. Chaises en support à gamelles
17. Batterie en lustre
18. Barque en lit suspendu
19. Guitare en étagère
20. Entonnoirs en chandeliers
21. Fourchettes en portemanteau
22. Valise en chaise
23. Piano en fontaine
Nous avons trouvé tous ces recyclages d’objets très jolis et très bien pensés. A la rédaction, nous avons particulièrement aimé le piano fontaine et le bateau suspendu ; encore faut-il avoir un piano et un jardin sous la main
pour réaliser ce film enivrant de féerie.
Cliquez ici...........https://vimeo.com/141371464
Qui n’a jamais rêvé de faire un road trip, entre amis, avec ses frères et
soeurs ou en amoureux ? C’est ce qu’a fait Julian pour un voyage
inoubliable et passionnant à travers le Sud-Ouest de l’Amérique. Un
moment parfait qu’il a su sublimer dans un film utilisant une technique
bien particulière : le layer-lapse, consistant à superposer des images
de jour et de nuit d’un même endroit et à des vitesses assez variables.
En mai 2015, Julian Tryba a voyagé avec son ami Michael Sutton et sa
petite amie Grace dans le Sud-Ouest américain. Ils ont ainsi roulé près
de 4800 kilomètres entre l’Utah, l’Arizona, le Nevada ou même la
Californie pour découvrir d’incroyables paysages. « Nous avons filmé des
endroits géniaux. Chaque nuit nous prenions le coucher du soleil et une
fois la nuit arrivée, nous trouvions un endroit sûr pour filmer les
étoiles et dormir quelques heures avant que le soleil se lève. Nous
avons vu quelques endroits incroyables, et vécu des expériences
intéressantes, comme lorsque Mike a été piqué par un scorpion, ou quand
nous avons eu un pneu à plat. Nous avons été frappés par des tempêtes de
neige, des températures glaciales et quelques vents intenses. »
On remarque aussi certaines images qu’il est bien moins possible de
prendre depuis la terre (1’20), et qui viennent quant à elles de la
NASA. Une belle parenthèse qui vient sublimer un film déjà magnifique.
Pour immortaliser ces moments exceptionnels, ils ont donc filmé de jour
comme de nuit des endroits merveilleux qu’ils ont pu visiter. C’est
ensuite grâce à une toute nouvelle technique appelée layer-lapse,
que Julian a réalisé ce film fascinant. Cette technique presque inédite
consiste à assembler plusieurs prises (filmées de jour et de nuit) et de
les faire défiler à différentes vitesses. Au final, le rendu est
fascinant et donne l’impression que différents endroits d’une même scène
se révèlent à différents moments : jour et nuit dans un même instant.
Cette technique sublime donc Timeless Dreams, cette vidéo en 4k avec les
images capturées par Julian et Michael.
Fabuleux ! Cette vidéo nous emmène dans un voyage exceptionnel à travers le Sud-Ouest américain.
Merci à Julian etMichael de nous faire partager leur voyage.
en dégustations gastronomiques
A Paris, Badoit s’est offert les services du Chef doublement étoilé
Thierry Marx pour transformer les embouteillages franciliens en
dégustations gastronomiques. Un coup de communication des plus habiles.
Si vous étiez à Paris jeudi, c’est à une drôle de scène que vous avez pu
assister le long de la rue de Rivoli. Une centaine de maîtres d’hôtel
longeait la route sur près de 3 kilomètres, habillés aux couleurs de
Badoit et servant plats et boissons aux automobilistes embouteillés.
Derrière cette initiative insolite et réjouissante, réalisée à
l’occasion de la Fête de la Gastronomie, se cache une belle opération de
communication menée tambour battant par la marque d’eau gazeuse.
Des embouteillages gastronomiques
Il s’agissait ici de transformer un contexte pénible de la morosité
quotidienne en un moment de détente et de gastronomie : les
embouteillages. C’est le défi que la marque a décidé de relever avec
Thierry Marx, chef français doublement étoilé, appuyé par le déploiement
d’une véritable armada de maîtres d’hôtels.
Dans un premier temps, ces derniers attendent l’arrêt des véhicules à un feu
rouge pour leur délivrer une bouteille de Badoit. Une fois les voitures
ayant franchi ce premier feu, cette livraison surprenante se poursuit
jusqu’aux abords de la place de la Concorde. Tous les plats ont été
optimisés par le Chef pour être mangés en voiture : salade César roulée,
longuet d’osso bucco de veau, pressé de pastrami de boeuf, avant de
finir par un Paris-Brest revisité en longueur. En tout, 1 000 plats et
700 bouteilles de Badoit ont été distribuées.
Une opération de communication pétillante
Finalement, si cette opération a ravi quelques automobilistes franciliens, elle
s’avère surtout être un coup de communication particulièrement bien
pensé. En allant de la sorte vers les automobilistes, Badoit renforce
son image de proximité envers les consommateurs, une logique qu’elle
poursuit par la logique de don ainsi que par le suivi des automobilistes
tout au long de leur trajet. Enfin, en offrant avant toute chose une
bouteille d’eau pétillante aux franciliens, cela accentue l’image d’une
boisson « au service de tous les repas » tout en martelant bien quelle
marque est à l’origine de ce service exceptionnel.
Après le célèbre Orient Express, découvrez le Badoit Express ! Ou comment
transformer le Rer C en véritable restaurant gastronomique. On doit
cette expérience au chef Thierry Marx, en association avec Badoit et la
SNCF. « J’y étais » pourront dire les quelques 400 voyageurs du Rer C qui étaient présents
vendredi soir entre les stations de Neuilly Porte Maillot et
Bibliothèque François Mitterrand. À l’occasion de la fête de la
gastronomie qui se tenait ce week-end, Badoit et le chef Thierry Marx,
ont concocté un dîner haut de gamme aux personnes présentes dans le
train. Pour cette occasion, il aura fallu 32 maîtres d’hôtel qui
assuraient le service, 3 plats et 135 litres d’eau pétillante, rien que
ça ! Au menu de ce dîner sûrement parfait : pressé de veau, lentilles et
foie gras de canard pour l’entrée, agneau du bout des doigts avec
petits légumes niçois pour le plat principal et enfin, œuf à la neige en
feuille de sucre coulant vanille.
Après avoir annoncé au micro du conducteur le déroulement des festivités, le chef
de l’émission Top Chef pris le temps de voyager d’une voiture à une autre afin de
recueillir les avis des voyageurs qu’il recevait dans son restaurant
mobile, peu habitués on imagine à manger aussi bien dans les transports
en commun. Toute l’opération a été orchestrée par les agences Elan et Ubi Bene.
Après ce dîner digne des grands restaurants étoilés, qui durera 25 minutes, on
imagine bien qu’il fût difficile pour les usagers de revenir à la réalité.
Les sports de neige, ce n'est pas seulement le ski. Voici notre sélection
d'activités tendances pour la famille... ou les casse-cous !
©OT La Grave
Si le trail est la version extrême du running, que dire du trail sur
neige… de nuit ? De jour, on profite des sentiers enneigés pour un
parcours de course nature à Morzine, Praz de Lys Sommand, le Mont Dore,
la Clusaz… chaussures crantées aux pieds et chaudement équipé. De nuit,
aux Saisies, c’est à la frontale qu’on se lance à la découverte d’une
nature différente : quand la lune rayonne doucement sur la neige, chaque
bruit de la vie nocturne prend une nouvelle dimension. On trouve
désormais des itinéraires de trail balisés et damés dans tous les
massifs, avec topos et tracés GPX. Pour les plus sportifs, 25 courses
sont organisées dans la saison, dont la Night Snow Trail, qui se
déroulera le 23 janvier 2016 aux 2 Alpes.
Apparu la saison dernière, ce sera incontestablement la star de l’hiver. Avec
ses jantes et ses pneus larges, ce VTT est spécialement conçu pour
dévaler les pistes enneigées. En mode découverte, on apprend à maîtriser
le dénivelé sur neige avec l’aide d’un moniteur aux Saisies ou à
Montgenèvre. On pourra ensuite s’aventurer seul sur les sentiers
balisés.
A la Plagne on profite de belles descentes après le ski en nocturne, avec accès réservé
à certaines remontées mécaniques.
Certainesstations, comme le Grand-Bornand, proposent également le Fat Bike
électrique, pour de belles balades en fond de vallée. A partir de 25 euros.
Un piolet, des crampons adaptés et un casque : vous voilà prêt pour vous
lancer à l’assaut d’un torrent immobilisé par la glace, comme aux
Contamines-Montjoie ou à Bonneval-sur-Arc. Ce site offre deux parcours
de 60 m, à découvrir en sortie à la demi-journée avec un guide de haute
montagne (dès 8 ans). Sur la Tour de Glace de Champagny-en-Vanoise (La
Plagne), tout le monde peut se faire plaisir, du débutant au grimpeur
confirmé. Manier le piolet, planter ses crampons et bien positionner son
corps, ça s’apprend. Des sessions de deux heures sont organisées le
soir à partir de 18h pour acquérir les bases de l’escalade sur glace (40 euros).
Dans la famille « glisse ludique », le raft sur neige n’est pas en reste.
Dérivé du rafting, discipline d’eaux vives qui consiste à dévaler les
rapides des cours d’eau de montagne en été, le raft sur neige se
pratique sur des pistes aménagées (de la piste verte à la piste noire). A
découvrir à Orcières Merlette 1850, où depuis l’hiver dernier, on
embarque depuis le plateau de Rocherousse pour une « descente infernale »
à bord d’une bouée individuelle ou d’un radeau gonflable 8 places,
spécialement conçu pour la neige. Adrénaline, secousses et fous rires garantis.
Les vents d’Italie et de France se rencontrent au Col du Petit
Saint-Bernard, offrant à la station de la Rosière l’un des spots de
snowkite les plus réputés des Alpes. Le snowkite est l’équivalent du
kite surf, en version poudreuse. On se laisse glisser sur la neige,
tracté par un cerf-volant, pour remonter les pentes au gré des vents.
Une activité de glisse pure (on ne vole pas !), qui permet de
s’affranchir des remontées mécaniques, du bruit et de la foule sur les
pistes. Seule condition pour se lancer : être capable de skier sur une
piste rouge. (A partir de 50 € pour 1h30 de cours).
Avant de s’envoler ski aux pieds depuis le sommet de faces vierges de toute
trace, vous pourrez toujours vous entraîner sur les pentes écoles des 2
Alpes, des Arcs, de Chamonix ou de Val d’Isère. Cette discipline
requiert un bon niveau de ski, mais aucune connaissance préalable de vol
libre. Le principe : muni d’une voile légère, on s’élance dans la pente
et… on s’envole, pour rebondir et s’envoler encore. Pour les speed
riders confirmés, la balade démarre par une ascension avec des peaux de
phoques pour une expérience de glisse inégalable sur des faces vierges. A
partir de 95 euros la journée.
Là encore les fans de glisse sur l’eau vont retrouver leurs repères :
l’airboard leur rappelera immanquablement le bodyboard. L’Airboard est
une sorte de luge, sur laquelle on s’installe à plat ventre. La tête
dans le sens de la pente on prend de la vitesse et … mieux vaut ne pas
avoir froid aux yeux. Pas de panique cependant, l’Airboard est docile et
se pilote au doigt et à l’œil, ce qui le rend accessible en toute
sécurité dès 10 ans. On le pratique dans les stations de la Grave (35
euros pour une séance de 2 heures), ou encore à la Plagne, après la
fermeture des pistes, pour une dernière trace.
Cette luge en bois savoyarde traditionnelle n’a pas dit son dernier mot. Au
début du siècle dernier, les enfants l’utilisaient pour aller à l’école.
Aujourd’hui, le Paret fait un retour fracassant. A la Clusaz, les
artisans ont recommencé à le fabriquer à la main (comptez environ 150
euros). On privatise les pistes certains soirs de la semaine pour des
aficionados de plus en plus nombreux, comme à la Rosière ou à Manigod,
où se tient le championnat du monde de Paret. Sa variante moderne, le
Yooner (on pratique le mardi soir à la Clusaz) donne lieu à quelques
savoureuses customisations.
On connaît les chiens de traineaux, qui emmènent dans leur sillage tout un
monde à la Jack London, mais on connaît moins bien le ski joëring.
Cette discipline de ski attelé ancestrale est une expérience de glisse
unique et un moment de communion entre l’homme, le cheval et la nature
le temps d’une superbe balade. Accessible dès que l’on sait tenir sur
ses skis, c’est à dire tout petit, elle se pratique sur piste damée. Une
discipline discrète mais assez répandue, que l’on pourra découvrir
notamment à l’Alpe d’Huez, la Clusaz, les Gets, Méribel ou Chamonix.
Comptez environ 60 euros pour une balade d’une heure (skis fournis).
Sur glace, ça glisse ! Equipés de pneus cloutés, le kart sur glace réserve
quelques surprises et des sensations fortes. Glissades,
contre-braquages, dérapages et virages inopinés, les adeptes de pilotage
sportif vont apprendre à se méfier de la patinoire sur laquelle ils
vont devoir manœuvrer leur véhicule. A découvrir dans les stations de
Verbier, de Tignes, Valmorel ou de Serre Chevalier. Val Thorens, qui
accueille le Trophée Andros, offre également la possibilité de piloter
son propre véhicule sur circuit. Une excellente occasion de tester ses
réflexes en conditions extrêmes. A noter, pour la troisième année
consécutive, la Clusaz propose des sessions de conduite sur glace de
nuit, 100% silencieuses et écolos, en Twizy.