Les nouveaux projets fous de Dubaï. Meydan One : la dernière extravagance
Ce vaste complexe touristique et résidentiel devrait abriter la plus grande station de ski couverte au monde, ainsi qu’une fontaine dont les jets s’élèveront à 420 mètres de haut. Le projet comprend aussi un édifice de 711 mètres de haut, qui battra le record du monde de la plus grande tour résidentielle. Coût estimé de l’ensemble de ce projet, dont l’ouverture est prévue pour 2020 : 6,2 milliards d’euros…
Construire un centre commercial de la taille d’une ville, entièrement climatisé : c’est le défi extravagant que s’est lancé le groupe Dubaï Holding avec le projet « Mall of the World ». Ce temple de la consommation devrait ouvrir dans une dizaine d’années, et espère attirer 180 millions de visiteurs par an, en proposant des commerces sur 700.000 mètres carrées et le plus grand parc de loisirs couvert au monde. Un projet titanesque, dont le budget s’élève à 25 milliards de dirhams, soit plus de 6 milliards d’euros, selon le quotidien Gulf News.
BlueWaters Island : l’île de la démesure
Lancé en 2013 par le promoteur immobilier Meraas Holding, le projet « Bluewaters » ne manque pas d’ambition : il prévoit la construction d’une île artificielle, destinée à devenir un pôle touristique majeur,et qui accueillera la plus grande roue au monde (210 mètres de haut). Budget total : 6 milliards de dirhams, soit1,2 milliard d’euros.
La « ville Aladin » : un conte fait réalité
La construction de cette cité futuriste, inspirée des contes orientaux d’Aladin et de Sinbad, devrait débuter en 2016. Selon le site d’informations Emirates 24/7, le projet devrait compter 3 tours, abritant des commerces et des hôtels. Le budget, qui s’annonce colossal,n’a pas été dévoilé.
Museum of the Future : un musée à l’architecture futuriste L’innovation technologique est au cœur de ce projet de musée lancé en mars dernier, dont le coût est estimé à 136 millions de dollars, soit 125 millions d’euros. D’une forme qui semble défier les lois de la gravité, cet édifice sera situé à proximité du Financial District, Il exposera des robots et des inventions en tous genres, mais se veut aussi un incubateur d’idées : il devrait accueillir des espaces conçus pour réunir des inventeurs, des entrepreneurs, des designers… Ouverture des portes en 2017.
Mohammed Bin Rashid City : une ville dans la ville
C’est l’un des projets les plus ambitieux de Dubaï : une véritable ville dans la ville, dont la construction a débuté en 2012 à l’initiative de l’émir de Dubaï, Mohammed Ben Rashid Al Maktoum. Investissement prévu : 30 milliards de dirhams (7,5 milliards d’euros). La ville s’étendra sur 600 hectares, avec des parcs, des bassins et des plages artificielles. En 2014, un premier quartier, le « District One », a été inauguré. Le projet final devrait s’achever en 2018-2019.
Dream Island : une île dédiée au clubbing
On la surnomme déjà l’ « Ibiza du Golfe Persique ». Cette île 100% artificielle, située à 40 minutes de la ville de Dubaï sur un archipel dont la construction a coûté 1 milliard de dollars, pourra accueillir 20.000 fêtards, avec 6 clubs, 5 hôtels et une centaine de restaurants,selon le magazine Arabian Business. Contrairement aux règles en vigueur dans l’émirat, les visiteurs pourront y consommer librement de l’alcool.
Dubaï Opera : le symbole d’une ambition culturelle monumentale
Cet opéra, dont les courbes sont inspirées des bateaux traditionnels du Golfe Persique, vise à devenir le « hub culturel » de la région. Il comportera une salle de concert de 2.000 places, mais aussi des espaces qui accueilleront des expositions, des représentations théâtrales, et même des événements sportifs. Le chantier, orchestré par le promoteur Emaar Properties devrait se terminer en 2016.
1. Antelope Canyon, ArizonaInondées régulièrement, ces étranges gorges de grès se sont formées au fil des siècles. Les indiens la nomme Navajo, ce qui signifie "le lieu où l'eau coule à travers la roche" . vi 2. Binalong Bay, Bay of Fires, TasmanieLe lichen qui recouvre les rochers de cette baie tranche vivement avec l'eau turquoise.
via 3. Bo-Kaap, Cape Town, Afrique du SudUn quartier pittoresque où vivent "les musulmans du Cap", une population originaire de l'actuelle Malaisie, de l'Inde et d'Indonésie.
via4. Bonn, AllemagneCette rue est célèbre pour ses cerisiers en fleurs, cette ville est l'une des plus ancienne d'Allemagne.
via 5. Burano, Venise, ItalieUne île aux maisons très colorées au nord de la lagune de Venise.
via6. Chamarel, Ile MauriceLes dunes multicolores du village de Chamarel sont l'un des rares endroits dans le monde ou l'on peut observer les 7 couleurs de l'arc en ciel dans la nature, on l'appelle d'ailleurs "la terre des sept couleurs".
via7. Champs de fleurs de colza, Yunnan, ChineOn pourrait croire à un océan d'or à la vue de ces champs de Colza, la vallée fleurie dès le début du printemps.
via 8. Chefchaouen, MarocSitué au Nord-Ouest du Maroc sur la chaîne montagneuse du Rif, la ville est classée au patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'Unesco depuis 2010.
via9. Le lac des cinq fleurs, la vallée de Jiuzhaigou, ChineLa légende raconte que par amour, un dieu offrit un miroir à une déesse, mais celle-ci le laissa tombé créant ainsi de nombreux lacs ou l'eau est si limpide qu'elle semble irréelle.
via10. Les Cinque Terre, ItalieUn ensemble de cinq villages (ici Manarola) tous bâtis sur les falaises abrupt de la côte la Riviera. Aujourd'hui encore, l'accès aux villages semble difficile.
via11. Da Nang, VietnamTous les ponts de cette ville située près de Hué au Vietnam, sont éclairés avec des spots de couleurs tout au long de la nuit.
via12. Daigo-ji, à Kyoto, JaponUn temple bouddhiste classé au patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco
via 13. Dallol, en EthiopieUn cratère au milieu du désert de Danakil au Nord-Est de l'Ethiopie. La région est réputée pour ses formations géologiques particulières: sources chaudes acides, montagnes de souffre, colonnes de sels, geysers gazeux...
via 14. Dendy Street Beach, Melbourne, AustralieConstruites à l'époque de la colonisation, ces cabines de plage sont peintes de 82 manières différentes!
via15. Le jardin des miracles de DubaïAvec ses 45 millions de bulbes, c'est le plus grand jardin de fleurs naturelles du monde!
via16. Le Fly Geyser, Nevada, USAL'origine de ce phénomène est accidentel; il y a quelques années, un fermier a voulu y creuser un puits pour irriguer ses champs, mais l'eau fortement minéralisée et chaude a été délaissée. Depuis un cône s'est formé et ne cesse de grandir grâce au dépôt minéral incessant.
via17. Forêt Noire, AllemagneLa forêt Noire se situe dans un massif montagneux au Sud-Ouest de l'Allemagne. Ici les nombreuses jonquilles d'un jaune vif contrastent nettement avec la forêt sombre.
via18. Grande barrière de corail, Queensland, AustralieLa Grande barrière de corail est classée au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1981 et est le plus grand récif corallien du monde.via19. Les chutes d'Havasupai, Grand Canyon, ArizonaLa chute d'eau se déverse dans une piscine naturelle riche en carbonate de calcium ce lui qui donne sa couleur turquoise intense.
via20. Hitachi Seaside Park, Hitachinaka, Ibaraki, JaponCe parc attire de nombreux visiteurs et les japonais sont ravis de pouvoir de nouveau s'y promener puisqu'il avait été totalement détruit à cause du séisme de 2011.
via21. Holi, à travers le mondeC'est la fête Hindou de l'équinoxe du printemps, célébrant la couleur en diffusant de la poudre colorée ou de la peinture à l'eau.
via22. Installation de parapluie, Agueda, PortugalTous les ans de Juillet à Septembre, the "Umbrella Project Sky" installe dans une rue piétonne un auvent de parapluie aux couleurs "pop" qui en plus d'abriter du soleil, apporte un charme fou au lieu.
via23. Jodhpur, IndeOn pense que la couleur bleue intense qui recouvre les maisons de cette ville vient des prêtres Hindou qui peignaient leur maison pour qu'elle ait l'air plus saine que l'environnement, ce qui serait devenu un effet de mode.
via24. Le jardin de Kawachi-fuji, Kitakyushu, Japon Le top du romantisme: se balader sous une cascade de Glycines à quelques heures de Tokyo.via25. Keukenhof, Lisse, Pays-BasOn peut visiter le jardin de mars à mai et ainsi profiter des 7 millions de tulipes sur 32 hectares!
via26. Kliluk Lake, Canada Lorsque le niveau de l'eau baisse, une épaisse croûte de sel se forme, laissant place à ces cercles ou l'on aperçoit l'eau du lac.
via27. Kobe Luminarie, Japon Le festival des lumières de Kobe se déroule chaque année en décembre pour commémorer le tremblement de terre de 1995, qui causa la mort de plus de 6000 personnes.
via28. Kulusuk, GroenlandUne petite île au Sud-Est du Groenland où toutes les maisons sont en bois et peintes de couleurs vives depuis 1909.
via29. La cathédrale Saint-Basile le Bienheureux, à MoscouLe symbole de l'architecture Russe a été construit en 1555 mais porte ses couleurs depuis le 17 ème siècle.
via30. Lac Retba, SénégalLa couleur du lac est due à la réaction d'un micro-organisme qui fabrique un pigment rose pour se défendre de la forte concentration de sel, de ce lac de 3 km2 près de Dakar.
via 31. Les champs de lavande, Provence, FranceLa lavande est cultivée en Provence depuis le 14 ème siècle, dessinant des chemins violets à travers les champs dès la fin du printemps.
via 32. Les champs de tulipes, Pays-BasLe Pays-Bas est le premier producteur mondial de ces fleurs avec 3 milliards de tulipes cultivées chaque année.
via 33. Longyearbyen, NorvègeC'est la capitale administrative la plus au Nord du monde, tout comme le n°28 au Groenland, les maisons en bois y sont très colorées.
via34. Le temple de Mînâkshî, Madurai, IndeC'est l'un des lieux saints les plus fréquentés de l'Inde ou les pèlerins viennent se marier ou se purifier.
via 35. Les grottes de glace de Mendenhall, Juneau, AlaskaUne merveille de la nature qui risque malheureusement de disparaître, en cause le réchauffement climatique.
via36. Menton, Côte d'Azur, FranceLa "perle de la France" est réputée pour sa fête du Citron qui se déroule chaque année en Février.
via 37. Le bassin du Morning Glory Pool, Parc national de Yellowstone, WyomingLes magnifiques couleurs de cette source d'eau chaude varient selon la température de l'eau.
via38. Nyhavn, Copenhague, DanemarkDepuis 1661 les nombreux bars et restaurants de ce port fournissent des couvertures aux clients afin qu'ils puissent profiter de cet environnement coloré même par temps froid.
via39. Palais des Congrès, Montréal, CanadaDès que le soleil est présent, tout le bâtiment se teinte de couleurs vives grâce aux vitraux.
via40. Pelourinho, Salvador, BrésilTout le quartier a été repeint pour devenir le centre culturel de Salvador de Bahia au Brésil.
via41. La grotte de la flûte de roseau, Guilin, ChineC'est l'une des plus grandes grottes du monde, les éclairages artificiels peuvent surprendre...
via 42. Les sources de Rotorua , Nouvelle-ZélandeToute la région est connue pour son activité géothermique, mais l'odeur de souffre y est très forte.
via43. Sagano, la forêt de Bambou, Arashiyama, JaponLes bambous y mesurent plus de 30 mètres et laissent difficilement passer le soleil, baignant ainsi le visiteur dans une atmosphère verte très apaisante.
via 44. Saint-Jean, Terre-Neuve, CanadaConsidérée comme la première colonie anglaise, une grande partie de la ville est classée Monument Historique.
via45. Salar de Uyuni, en BolivieLe vaste désert de sel blanc et lisse reflète le ciel au coucher du soleil.
via 46. Santa Marta, à Rio de Janeiro, BrésilGrâce à une opération de finance participative, une partie des favelas de Santa Marta a été repeinte par les jeunes du quartier afin d'être embelli.
via47. Santorin, GrèceC'est une île située en mer Égée où les maisons sont blanches et les coupoles bleues, c'est un endroit réputé pour y voir des couchers de soleils somptueux!
via48. Selangor, MalaisieDes LED recouvrent chacune des ramifications de ces arbres tout au long de l'année
via49. Shibuya, Tokyo, JaponConnue pour être la ville de la mode au Japon, les rues commerçantes de Shibuya sont particulièrement lumineuses et colorées.
via 50. Le parc Takinoue, Hokkaido, JaponCe parc de 2,5 hectares est célèbre pour sa "mousse rose" (Shibazakura) qui attire de nombreux visiteurs lors de sa floraison au mois de mai et juin.
via51. Le Tunnel de l'Amour, Klevan, UkraineCe tunnel romantique suit une ancienne ligne de chemin de fer, depuis son abandon les arbres s'y entrelacent pour le plus grand bonheur des touristes.
via 52. Vallée des fleurs, Uttarakhand, en IndeGrâce à son inaccessibilité, la Vallée des Fleurs reste totalement vierge et abrite plus de 500 espèces florales différentes .
via53. Le Vieux San Juan, Porto RicoC'est une île au Nord de la capitale qui est reliée au territoire par des ponts, les bâtisses coloniales sont intactes et donne beaucoup de charme à la vieille ville.
via54. Les grottes de Waitomo, Nouvelle-ZélandeDes milliers de vers luisants ont envahi les parois de ces caves nous donnant l'impression d'un ciel étoilé.
via55. Willemstad, CuraçaoCette capitale se trouve aux Antilles sur l'île de Curaçao. On peut y admirer une architecture néerlandaise unique et très colorée.
via 56. Yi Peng, Chiang Mai, ThaïlandeLe festival traditionnel des lanternes a lieu tous les ans en novembre lors de la pleine lune, et habille toute la ville de lumières.
via57. Zhangye Danxia, ??Sud-Ouest de la ChineInscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2010, les couleurs des monts Danxia sont absolument uniques.
via58. Les eucalyptus Arc-en-ciel de Mindanao, PhilippinesLe tronc de cet arbre original présente diverses couleurs en fonction de son âge, l'écorce est d'abord verte, puis bleue, violette, orange...
via 59. Les escaliers Arc-en-ciel, Istanbul, TurquieHüeyin Cetinel un retraité de 64 ans habitant près de ces marches, a décidé un beau jour de les repeindre à son goût. Une plainte d'un voisin a suffi à ce que la municipalité redonne la couleur grise originelle des escaliers. Mais quelques jours plus tard, les avis positif relatif à cette démarche artistique ont permis de redonner de la couleur à la ville, en colorant d'autres escaliers.
via 60. Rivière Caño Cristales, ColombiePlusieurs variétés de plantes aquatique et de coraux donnent ces couleurs à la rivière Caño Cristales
via61. La Boca, Buenos Aires, ArgentineL'un des quartiers les plus vivant de Buenos Aires aborde des teintes vives à l'image du Tango qui vibre encore dans les rues de la Boca.
via62. La ville de Guanajuato, Guanajuato, MexiqueC'est l'une des villes les plus riche en couleurs du Mexique et est réputée pour ses poteries. La ville est classée à l'Unesco depuis 1988.
via63. Lac Hillier, Middle Island, AustralieLa science n'explique pas encore clairement la couleur rose vif de l'eau du Lac Hillier, mais elle admet l'hypothèse de la présence d'une bactérie au piment rouge comme le lac Retba du Sénégal.
via64. Lacs de cratère Kelimutu, IndonésieCes trois lacs de cratère ont la particularité de changer de couleurs selon l'exposition du soleil. L'un est noir, un autre passe du vert pastel au bleu turquoise, et le dernier du rouge jusqu'au marron.
via65. Laguna Colorada, BolivieDes algues donnent cette couleur orangée à cette"lagune colorée" située à la frontière du Chili en Bolivie.
via66. Le Rainbow Village, Taichung, TaiwanHuang Yung-Fu, est un taïwanais dont on allait détruire la maison qui se trouvait dans une zone militaire. L'homme entreprit de repeindre le village à sa manière et réussi ainsi à sauver sa maison, protégée depuis le coup de tête artistique du "Rainbow grand-papa".
via67. Motisons Tower, Jaipur, IndeFaîte de vitraux, la structure change de teintes selon l'inclinaison du soleil.
via68. Plage Panjin, ChineCe sont des algues qui rougissent à l'automne qui donnent cette couleur rouge presque irréelle à cette plage.
via69. Rio Tinto, EspagneD'importants gisements de fer qui se dissolvent dans l'eau de cette rivière expliquent la couleur rouge de l'eau.
via70. Rizières en terrasses, Guilin Longji, ChineJuste avant la récolte, les rizières changent leur vert intense pour un jaune sec et chaud.
via71. Valparaiso, ChiliC'est l'une des villes les plus colorées du monde, appelée aussi le petit "San Francisco" ou le "joyau du Pacifique".
via72. Wroclaw, PologneWroclaw est élue capitale européenne de la culture de 2016, son architecture est unique et grandiose.
via73. Busan, Corée du SudEn l'honneur de Bouddha des milliers de lanternes à souhaits sont allumées et diffusent des dizaines de couleurs et de lumières.
L'énorme désastre écologique du pétrole bitumeux. La forêt boréale est la première victime de la ruée vers l’or noir
Certains sables bitumineux reposent à seulement quelques mètres sous terre. Des millions de sapins, mélèzes et thuyas sont abattus avant l’arrivée des pelleteuses, qui creuseront de gigantesques carrières pour récupérer les sables gorgés d’hydrocarbures. Les gisements de l’Alberta s’étendent sur 142.000 kilomètres carrés, une surface supérieure à celle de l’Angleterre.
2 tonnes de schiste pour obtenir un baril de 159 litres de pétrole
A l’état brut, le sable bitumineux a la forme d’une galette dure. Pour séparer les hydrocarbures du sable et de l’argile, on les chauffe à 500?°C dans une enceinte privée d’air. La vapeur, distillée, devient un pétrole, dit «non conventionnel», très visqueux. Pour le transporter,on ajoute de l’hydrogène ou des sous-produits du raffinage. Ainsi pour sortir l’équivalent de cinq barils de pétrole, il faut consommer 159 litres de pétrole, 10 tonnes de schiste et environ 5.000 litres d’eau.
D'énormes grues récoltent les hydrocarbures
Avec son godet capable d’arracher d’un coup jusqu’à 100 tonnes de sables bitumineux, cette grue charge en quelques pelletés les camions Caterpillar. En Alberta, la moitié des hydrocarbures sont récupérés de la sorte, comme dans une mine à ciel ouvert.
La valse des énormes camions Caterpillar
Les énormes camions Caterpillar, capable de transporter jusqu’à 400 tonnes de matières premières dans leur bennes, attendent d’être chargés dans une carrière de sables bitumineux. En arrière fond, un bassin de décantation où stagnent les résidus boueux de l’exploitation des hydrocarbures.
Construction d’une unité de traitement du bitume
Une fois nettoyés et séparés du sable et de l’argile, les hydrocarbures y sont chauffés à 500°C dans une enceinte privée d’air. La vapeur distillées, devient une pétrole dit “non conventionnel” très visqueux. Pour le rendre plus fluide afin de le transporter, on y ajoute de l’hydrogène ou des sous produits du raffinage.
Des bassins de décantation stockent les boues résiduelles
Les boues résiduelles issues de la transformation du bitume sont stockées dans des bassins de décantation. L’eau y présente une salinité très élevée et contient de nombreuses substances toxiques (acides, métaux lourds, dilluants…) visibles en surface, sous forme d’inquiétantes taches de couleur. Ces réservoirs insalubres couvrent déjà plus de 170 kilomètres carrés de l’Alberta. Dans certains cas, comme ici, ils finissent par être comblés.
> Une barge tente de récupérer les boues d'hydrocarbures
Cette barge est équipée de pompes qui tentent de récupérer une partie des hydrocabures dans les boues issues du traitement des sables bitumineux. Mais, ce genre d’intervention ne permet nullement de lutter contre la pollution qui atteint des niveaux phénoménaux. Il aurait ainsi plus de 1.000 milliards de mètres cubes de boues nausébondes dans la province del’Alberta.
Les boues résiduelles
Les boues résiduelles issues de la transformation du bitume sont stockées dans des bassins de décantation. L’eau y présente une salinité très élevée et contient de nombreuses substances toxiques (acides, métaux lourds, dilluants…) visibles en surface, sous forme d’inquiétantes taches de couleur.
Les réservoirs insalubres
Les réservoirs insalubres, grands comme de véritables lacs, couvrent plus de 170 kilomètres carrés de l’Alberta. Dans certains cas, comme ici, ilsfinissent par être comblés. Le coût de la remise en état de l’ensemble des surfaces souillés dépasserait les 10 milliards de dollars selon le ministère de l’Environnement de l’Alberta.
Et si montrer des solutions, raconter une histoire qui fait du bien, était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales, que traversent nos pays ? Suite à la publication d’une étude qui annonce la possible disparition d’une partie de l’humanité d’ici 2100, Cyril Dion et Mélanie Laurent partent avec une équipe de quatre personnes enquêter dans dix pays pour comprendre ce qui pourrait provoquer cette catastrophe et surtout comment l’éviter. Durant leur voyage, ils rencontrent les pionniers qui réinventent l’agriculture, l’énergie, l’économie, la démocratie et l’éducation. En mettant bout à bout ces initiatives positives et concrètes qui fonctionnent déjà, ils commencent à voir émerger ce que pourrait être le monde de demain… Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des personnages et intervenants rencontrés au gré du voyage de l’équipe de DEMAIN dans 10 pays.
Parmi ceux qui ne sont pas cités on trouve : le mouvement d’agriculture urbaine de Détroit, les mouvement des Incroyables comestibles à Todmorden, les habitants et élus de Copenhague, Eric Scotto, PDG d’Akuo Energie, Guðni Jóhannesson, directeur général de l’autorité nationale de l’énergie islandaise, l’équipe du Bristol Pound, Hervé Dubois, porte-parole de la Banque WIR à Bâle, Michael Shuman, économiste, les membres du réseau BALLE (Business Alliance for Local Living Economies), les participants à la révolution des casseroles en Islande… En salles depuis le 2 décembre 2015 Toutes les séances près de chez vous en cliquant ici
"La liberté du prisonnier" de l'artiste napolitain Franschesko Kvirolo (1757) est la plus renommée de ses oeuvres pour son habileté à sculpter un filet.
Cette sculpture de Lorenzo Berdini représente l'enlèvement de Persefone. Appréciez la texture et la pression des doigts sur la peau.
Ce maraîcher a découvert dans son verger en Suisse un trésor vieux de 1,700 ans. Une découverte historique a été faite en suisse. Un trésor vieux de 1,700 ans, voici la trouvaille de ce maraîcher qui a remarqué que quelques pièces jonchaient le sol à l'entrée d'un terrier de taupe dans son verger. Il s'en est directement allé prévenir l'archéologue cantonal qui est l'autorité administrative compétente en la matière. C'est alors qu'une fouille générale a été organisée et s'achèvera sur le bilan suivant : 4,166 pièces de bronze, pour un poids total de 15 kilos. Le trésor a été caché un peu après l'an 294 et le propriétaire pour des raisons mystérieuses n'est jamais revenu sur les lieux reprendre son butin. Regardez !
Encore une « Venise du nord » me direz-vous ? Mais c’est sans doute celle qui a le plus de charme. Avec ses 342 ponts qui se relèvent la nuit pour laisser passer les bateaux sur la Neva, ce fleuve russe qui se jette dans la Mer Baltique, Saint-Pétersbourg est une destination de choix en Russie, très prisée par les touristes de tous les pays. L’histoire a cruellement marqué la ville de multiples drames, mais celle-ci s’est toujours relevée, et offre aujourd’hui au regard des curieux le visage d’une superbe métropole du 21ème siècle. Partons ensemble à la découverte de cette ville au patrimoine impressionnant. Un peu d’histoireC’est sur l’ordre du Tsar Pierre-le-Grand que Saint Pétersbourg fut créée au tout début du 18ème siècle et nommée ainsi en son hommage. Elle restera la capitale de la Russie impériale de 1712 à 1918. 40000 serfs ont participé à la réalisation de ce chef d’œuvre architectural et le Tsar a émis une interdiction de construire en pierre dans le pays pendant toute la durée de l’édification de sa capitale. Celle-ci deviendra le plus important centre culturel du pays. C’est à Saint-Pétersbourg qu’a eu lieu la révolution de 1905, et c’est aussi là que le Tsar et sa famille cherchèrent un refuge lors de la Révolution de 1917. Ils connurent une triste fin qui sonna le glas de la Russie en faveur de l’URSS. Rebaptisée Leningrad en 1924 après la mort de Lénine, la ville connu un terrible siège de plus de deux ans pendant la seconde guerre mondiale. Mais rien ne semble pouvoir écraser Saint-Pétersbourg qui se relève éternellement. C’est suite à un référendum en 1991, après la chute du bloc soviétique, que les habitants votèrent pour récupérer le nom de Saint-Pétersbourg. La ville est aujourd’hui la deuxième de Russie avec 4,5 millions d’habitants. Des musées célèbres dans le monde entierLe musée le plus célèbre de Saint-Pétersbourg est l’Ermitage. C’est avec le Louvre, le British Museum et le Metropolitan Museum of Arts de New York, l’un des musées les plus visités au monde. Et avec ses 60000 œuvres présentées sur ses murs et les 3 millions d’autres retenues dans ses caves, c’est le plus grand musée du monde. Vous y admirerez aussi bien les tableaux de Rembrandt que ceux de Gauguin ou Picasso. La visite de cet ancien palais permet aussi de découvrir les diverses pièces habitées par la famille impériale, les Romanov. De nombreux autres musées jouissent d’une place de choix à Saint-Pétersbourg. Par exemple, le musée Russe ou le musée de l’Académie des Beaux-Arts sont dédiés aux arts sous toutes leurs formes, tandis que les musées historiques, comme le musée de l’Histoire Politique ou celui de La Défense vous apprendront des milliers de choses sur la Russie. Si vous n’en avez pas encore assez, de nombreux musée thématiques ont fleuri dans la ville, tels que le musée de la Vodka, le musée Zoologique ou encore la Grande Maquette de la Russie qui s’étend sur 800 m². Vous l’aurez compris, Saint-Pétersbourg est une ville de culture et nous ne pouvons malheureusement pas citer ici l’invraisemblable quantité de musées qui font sa gloire. A voir et à faire sur place : se promener dans ses rues tracées au cordeau en sera une. Vous ne pourrez pas éviter la perspective Nevski, la plus grande avenue de la ville avec ses 4,5 km de long. Elle est constellée de palais colorés, d’églises et de magasins à visiter. Pour une « vraie » expérience de la Russie historique, entrez volontiers dans les églises orthodoxes où les dorures et la décoration baroque ne manqueront pas de vous éblouir. Grimpez sur la coupole dorée de la cathédrale Saint-Isaac pour admirer le plus beau panorama sur les principales merveilles de la ville. Il y a tant de palais à Saint-Pétersbourg que vous aurez l’embarras du choix pour faire un petit voyage dans le temps, direction le 18ème siècle. Une expérience à tenter : aller voir un ballet ou un opéra au théâtre Marinsky durant votre séjour qui sera, décidément, culturel. D’ailleurs, la ville s’enorgueillit d’avoir abrité deux grands génies de la littérature russe : Dostoïevski et Pouchkine. Les dernières demeures de ces deux géants se visitent pour les nostalgiques de l’immense culture russe. Les amateurs d’espaces seront servis dans les nombreux parcs de la ville, et les couples prendront plaisir à une croisière sur les canaux qui sillonnent Saint-Pétersbourg. Vous le constaterez, les russes aiment sortir et faire la fête. Ne soyez pas en reste et profitez de votre séjour pour découvrir les Nuits Blanches. Vers la mi-juin, le soleil ne se couche quasiment pas, créant une ambiance étrange et féerique dans la ville. C’est l’occasion d’un festival réputé qui fait sortir tous les saint-pétersbourgeois au cours de ces jours sans fin. Les spécialités localesLa cuisine russe n’est pas réputée pour sa finesse mais les gastronomes y trouveront leur bonheur. A Saint-Pétersbourg, on savoure des Zakouski (entrées) comme le caviar, la star des tables russes. Le caviar noir bien sûr, le plus cher, mais aussi le caviar rouge aux œufs de saumon ou le caviar de légumes comme l’aubergine. Les pirojki sont des petits chaussons à la viande et aux légumes tout à fait savoureux et très emblématiques de la cuisine russe. Le borchtch, très célèbre lui aussi, est une soupe de betteraves à la viande tout à fait délicieuse. Le chou est un aliment vedette en Russie,il est souvent servi grillé sur les tables des ménagères russes. Le goloubtsi est un plat de chou farci très réputé. Difficile d’oublier la spécialité russe qui s’est le plus exportée à l’étranger, le bœuf Stroganov, qui consiste en un plat de lamelles de bœuf cuites dans une sauce à la crème et aux oignons. Vous l’aurez compris, pour pallier aux rigueurs du climat, la gastronomie russe est copieuse et consistante, mais non moins délicieuse.
Meydan One : la dernière extravagance
Ce vaste complexe touristique et résidentiel devrait abriter la plus grande station de ski couverte au monde, ainsi qu’une fontaine dont les jets s’élèveront à 420 mètres de haut. Le projet comprend aussi un édifice de 711 mètres de haut, qui battra le record du monde de la plus grande tour résidentielle. Coût estimé de l’ensemble de ce projet, dont l’ouverture est prévue pour 2020 : 6,2 milliards d’euros…
Dubaï Frame : un regard audacieux sur la villePhoto 2/9© DR
La construction de ce spectaculaire bâtiment en forme de cadre, au cœur du
Zabeel Park, est déjà bien avancée, puisqu’elle devrait s’achever d’ici
la fin de l’année. L’objectif de ce chantier pharaonique, qui aura
coûté plus de 120 millions de dirhams (28,5 millions d’euros) est
ambitieux : attirer deux millions de visiteurs par an. Ils pourront
visiter le musée sur l’histoire de la ville qui se situera au pied de
l’édifice, puis se hisser au sommet pour jouir d’une vue panoramique.
Mall of the World : le plus grand centre commercial au monde
Construire un centre commercial de la taille d’une ville, entièrement climatisé : c’est le défi extravagant que s’est lancé le groupe Dubaï Holding avec le projet « Mall of the World ». Ce temple de la consommation devrait ouvrir dans une dizaine d’années, et espère attirer 180 millions de visiteurs par an, en proposant des commerces sur 700.000 mètres carrées et le plus grand parc de loisirs couvert au monde. Un projet titanesque, dont le budget s’élève à 25 milliards de dirhams, soit plus de 6 milliards d’euros, selon le quotidien Gulf News.
BlueWaters Island : l’île de la démesure
Lancé en 2013 par le promoteur immobilier Meraas Holding, le projet « Bluewaters » ne manque pas d’ambition : il prévoit la construction d’une île artificielle, destinée à devenir un pôle touristique majeur,et qui accueillera la plus grande roue au monde (210 mètres de haut). Budget total : 6 milliards de dirhams, soit1,2 milliard d’euros.
La « ville Aladin » : un conte fait réalité
La construction de cette cité futuriste, inspirée des contes orientaux d’Aladin et de Sinbad, devrait débuter en 2016. Selon le site
d’informations Emirates 24/7, le projet devrait compter 3 tours, abritant des commerces et des hôtels. Le budget, qui s’annonce colossal,n’a pas été dévoilé.
Museum of the Future : un musée à l’architecture futuriste
L’innovation technologique est au cœur de ce projet de musée lancé en mars dernier, dont le coût est estimé à 136 millions de dollars, soit 125 millions d’euros. D’une forme qui semble défier les lois de la gravité, cet édifice sera situé à proximité du Financial District,
Il exposera des robots et des inventions en tous genres, mais se veut aussi un incubateur d’idées : il devrait accueillir des espaces conçus pour réunir des inventeurs, des entrepreneurs, des designers… Ouverture des portes en 2017.
Mohammed Bin Rashid City : une ville dans la ville
C’est l’un des projets les plus ambitieux de Dubaï : une véritable ville dans la ville, dont la construction a débuté en 2012 à l’initiative de l’émir de Dubaï, Mohammed Ben Rashid Al Maktoum. Investissement prévu : 30 milliards de dirhams (7,5 milliards d’euros). La ville s’étendra sur 600 hectares, avec des parcs, des bassins et des plages artificielles. En 2014, un premier quartier, le « District One », a été inauguré. Le projet final devrait s’achever en 2018-2019.
Dream Island : une île dédiée au clubbing
On la surnomme déjà l’ « Ibiza du Golfe Persique ». Cette île 100% artificielle, située à 40 minutes de la ville de Dubaï sur un archipel
dont la construction a coûté 1 milliard de dollars, pourra accueillir 20.000 fêtards, avec 6 clubs, 5 hôtels et une centaine de restaurants,selon le magazine Arabian Business. Contrairement aux règles en vigueur dans l’émirat, les visiteurs pourront y consommer librement de l’alcool.
Dubaï Opera : le symbole d’une ambition culturelle monumentale
Cet opéra, dont les courbes sont inspirées des bateaux traditionnels du Golfe Persique, vise à devenir le « hub culturel » de la région. Il comportera une salle de concert de 2.000 places, mais aussi des espaces qui accueilleront des expositions, des représentations théâtrales, et même des événements sportifs. Le chantier, orchestré par le promoteur Emaar Properties devrait se terminer en 2016.
LES ENDROITS LES PLUS COLORÉS AU MONDE
1. Antelope Canyon, ArizonaInondées régulièrement, ces étranges gorges de grès se sont formées au
fil des siècles. Les indiens la nomme Navajo, ce qui signifie "le lieu
où l'eau coule à travers la roche"
.
vi 2. Binalong Bay, Bay of Fires, TasmanieLe lichen qui recouvre les rochers de cette baie tranche vivement avec l'eau turquoise.
originaire de l'actuelle Malaisie, de l'Inde et d'Indonésie.
endroits dans le monde ou l'on peut observer les 7 couleurs de l'arc en
ciel dans la nature, on l'appelle d'ailleurs "la terre des sept
couleurs".
est classée au patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'Unesco
depuis 2010.
mais celle-ci le laissa tombé créant ainsi de nombreux lacs ou l'eau
est si limpide qu'elle semble irréelle.
abrupt de la côte la Riviera. Aujourd'hui encore, l'accès aux villages
semble difficile.
région est réputée pour ses formations géologiques particulières:
sources chaudes acides, montagnes de souffre, colonnes de sels, geysers
gazeux...
fermier a voulu y creuser un puits pour irriguer ses champs, mais l'eau
fortement minéralisée et chaude a été délaissée. Depuis un cône s'est
formé et ne cesse de grandir grâce au dépôt minéral incessant.
l'Allemagne. Ici les nombreuses jonquilles d'un jaune vif contrastent
nettement avec la forêt sombre.
de calcium ce lui qui donne sa couleur turquoise intense.
pouvoir de nouveau s'y promener puisqu'il avait été totalement détruit à
cause du séisme de 2011.
diffusant de la poudre colorée ou de la peinture à l'eau.
dans une rue piétonne un auvent de parapluie aux couleurs "pop" qui en
plus d'abriter du soleil, apporte un charme fou au lieu.
ville vient des prêtres Hindou qui peignaient leur maison pour qu'elle
ait l'air plus saine que l'environnement, ce qui serait devenu un effet
de mode.
ou l'on aperçoit l'eau du lac.
de terre de 1995, qui causa la mort de plus de 6000 personnes.
fabrique un pigment rose pour se défendre de la forte concentration de
sel, de ce lac de 3 km2 près de Dakar.
des chemins violets à travers les champs dès la fin du printemps.
32. Les champs de tulipes, Pays-BasLe Pays-Bas est le premier producteur mondial de ces fleurs avec 3 milliards de tulipes cultivées chaque année.
n°28 au Groenland, les maisons en bois y sont très colorées.
couvertures aux clients afin qu'ils puissent profiter de cet
environnement coloré même par temps froid.
passer le soleil, baignant ainsi le visiteur dans une atmosphère verte
très apaisante.
de Santa Marta a été repeinte par les jeunes du quartier afin d'être
embelli.
coupoles bleues, c'est un endroit réputé pour y voir des couchers de
soleils somptueux!
50. Le parc Takinoue, Hokkaido, JaponCe parc de 2,5 hectares est célèbre pour sa "mousse rose" (Shibazakura)
qui attire de nombreux visiteurs lors de sa floraison au mois de mai et
juin.
son abandon les arbres s'y entrelacent pour le plus grand bonheur des
touristes.
des ponts, les bâtisses coloniales sont intactes et donne beaucoup de
charme à la vieille ville.
admirer une architecture néerlandaise unique et très colorée.
lors de la pleine lune, et habille toute la ville de lumières.
son âge, l'écorce est d'abord verte, puis bleue, violette, orange...
décidé un beau jour de les repeindre à son goût. Une plainte d'un voisin
a suffi à ce que la municipalité redonne la couleur grise originelle
des escaliers. Mais quelques jours plus tard, les avis positif relatif à
cette démarche artistique ont permis de redonner de la couleur à la
ville, en colorant d'autres escaliers.
60. Rivière Caño Cristales, ColombiePlusieurs variétés de plantes aquatique et de coraux donnent ces couleurs à la rivière Caño Cristales
vives à l'image du Tango qui vibre encore dans les rues de la Boca.
réputée pour ses poteries. La ville est classée à l'Unesco depuis 1988.
du Lac Hillier, mais elle admet l'hypothèse de la présence d'une
bactérie au piment rouge comme le lac Retba du Sénégal.
selon l'exposition du soleil. L'un est noir, un autre passe du vert
pastel au bleu turquoise, et le dernier du rouge jusqu'au marron.
trouvait dans une zone militaire. L'homme entreprit de repeindre le
village à sa manière et réussi ainsi à sauver sa maison, protégée depuis
le coup de tête artistique du "Rainbow grand-papa".
Le photographe Joni Niemelä nous revient dans une série de photos d’aurores boréales prises en Ostrobotnie du Sud, Finlande.
Voici donc des aurores boréales de Finlande par Joni Niemelä, des images prises entre 2013 et 2015:
Écoutez l'ancien adjoint de Valls, il propose une méthode pour rendre notre classe politique un peu plus digne
Très édifiant ...!
https://www.youtube.com/watch_popup?v=7nfwR4wJX9A&feature=player_embedded
La forêt boréale est la première victime de la ruée vers l’or noir
Certains sables bitumineux reposent à seulement quelques mètres sous terre. Des millions de sapins, mélèzes et thuyas sont abattus avant l’arrivée des pelleteuses, qui creuseront de gigantesques carrières pour récupérer les
sables gorgés d’hydrocarbures. Les gisements de l’Alberta s’étendent
sur 142.000 kilomètres carrés, une surface supérieure à celle de l’Angleterre.
2 tonnes de schiste pour obtenir un baril de 159 litres de pétrole
A l’état brut, le sable bitumineux a la forme d’une galette dure. Pour séparer les hydrocarbures du sable et de l’argile, on les chauffe à
500?°C dans une enceinte privée d’air. La vapeur, distillée, devient un pétrole, dit «non conventionnel», très visqueux. Pour le transporter,on ajoute de l’hydrogène ou des sous-produits du raffinage. Ainsi pour sortir l’équivalent de cinq barils de pétrole, il faut consommer 159 litres de pétrole, 10 tonnes de schiste et environ 5.000 litres d’eau.
D'énormes grues récoltent les hydrocarbures
Avec son godet capable d’arracher d’un coup jusqu’à 100 tonnes de sables bitumineux, cette grue charge en quelques pelletés les camions Caterpillar. En Alberta, la moitié des hydrocarbures sont récupérés de la sorte, comme dans une mine à ciel ouvert.
La valse des énormes camions Caterpillar
Les énormes camions Caterpillar, capable de transporter jusqu’à 400 tonnes de matières premières dans leur bennes, attendent d’être chargés dans une carrière de sables bitumineux. En arrière fond, un bassin de décantation où stagnent les résidus boueux de l’exploitation des hydrocarbures.
Construction d’une unité de traitement du bitume
Une fois nettoyés et séparés du sable et de l’argile, les hydrocarbures y sont chauffés à 500°C dans une enceinte privée d’air. La vapeur distillées, devient une pétrole dit “non conventionnel” très visqueux. Pour le rendre plus fluide afin de le transporter, on y ajoute de l’hydrogène ou des sous produits du raffinage.
Des bassins de décantation stockent les boues résiduelles
Les boues résiduelles issues de la transformation du bitume sont stockées dans des bassins de décantation. L’eau y présente une salinité très élevée et contient de nombreuses substances toxiques (acides, métaux lourds, dilluants…) visibles en surface, sous forme d’inquiétantes taches de couleur. Ces réservoirs insalubres couvrent déjà plus de 170 kilomètres carrés de l’Alberta. Dans certains cas, comme ici, ils finissent par être comblés.
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Une barge tente de récupérer les boues d'hydrocarbures
Cette barge est équipée de pompes qui tentent de récupérer une partie des hydrocabures dans les boues issues du traitement des sables bitumineux. Mais, ce genre d’intervention ne permet nullement de lutter contre la pollution qui atteint des niveaux phénoménaux. Il aurait ainsi plus de 1.000 milliards de mètres cubes de boues nausébondes dans la province del’Alberta.
Les boues résiduelles
Les boues résiduelles issues de la transformation du bitume sont stockées dans des bassins de décantation. L’eau y présente une salinité très élevée et contient de nombreuses substances toxiques (acides, métaux lourds, dilluants…) visibles en surface, sous forme d’inquiétantes taches de couleur.
Les réservoirs insalubres
Les réservoirs insalubres, grands comme de véritables lacs, couvrent plus de 170 kilomètres carrés de l’Alberta. Dans certains cas, comme ici, ilsfinissent par être comblés. Le coût de la remise en état de l’ensemble des surfaces souillés dépasserait les 10 milliards de dollars selon le ministère de l’Environnement de l’Alberta.
Et si montrer des solutions, raconter une histoire qui fait du bien, était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques
et sociales, que traversent nos pays ?
Suite à la publication d’une étude qui annonce la possible disparition d’une partie de l’humanité d’ici 2100, Cyril Dion et Mélanie
Laurent partent avec une équipe de quatre personnes enquêter dans dix
pays pour comprendre ce qui pourrait provoquer cette catastrophe et
surtout comment l’éviter.
Durant leur voyage, ils rencontrent les pionniers qui réinventent l’agriculture, l’énergie, l’économie, la démocratie et l’éducation. En
mettant bout à bout ces initiatives positives et concrètes qui
fonctionnent déjà, ils commencent à voir émerger ce que pourrait être le
monde de demain…
Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des personnages et intervenants rencontrés au gré du voyage de l’équipe de DEMAIN dans 10 pays.
Parmi ceux qui ne sont pas cités on trouve :
le mouvement d’agriculture urbaine de Détroit, les mouvement des Incroyables
comestibles à Todmorden, les habitants et élus de Copenhague, Eric
Scotto, PDG d’Akuo Energie, Guðni Jóhannesson, directeur général de l’autorité
nationale de l’énergie islandaise, l’équipe du Bristol Pound, Hervé Dubois, porte-parole
de la Banque WIR à Bâle, Michael Shuman, économiste, les membres du
réseau BALLE (Business Alliance for Local Living Economies), les participants à
la révolution des casseroles en Islande…
En salles depuis le 2 décembre 2015
Toutes les séances près de chez vous
en cliquant ici
Voici d'autres sculptures de voiles sur marbre
"La liberté du prisonnier" de l'artiste napolitain Franschesko Kvirolo (1757) est la plus renommée de
ses oeuvres pour son habileté à sculpter un filet.
Cette sculpture de Lorenzo Berdini représente l'enlèvement de Persefone.
Appréciez la texture et la pression des doigts sur la peau.
un trésor vieux de 1,700 ans.
Une découverte historique a été faite en suisse. Un trésor vieux de 1,700 ans, voici la trouvaille de ce maraîcher qui a remarqué que quelques pièces
jonchaient le sol à l'entrée d'un terrier de taupe dans son verger. Il s'en est directement allé prévenir l'archéologue cantonal qui est l'autorité administrative compétente en la matière. C'est alors qu'une fouille générale a été organisée et s'achèvera sur le bilan suivant : 4,166 pièces de bronze, pour un poids total de 15 kilos. Le trésor a été caché un peu après l'an 294 et le propriétaire pour des
raisons mystérieuses n'est jamais revenu sur les lieux reprendre son
butin. Regardez !
Cliquez ici.......http://dai.ly/x3f5puw
Encore une « Venise du nord » me direz-vous ? Mais c’est sans doute celle qui a le plus de charme.
Avec ses 342 ponts qui se relèvent la nuit pour laisser passer les bateaux sur la Neva, ce fleuve russe qui se jette dans la Mer Baltique, Saint-Pétersbourg est une destination de choix en Russie, très prisée par les touristes de tous les pays.
L’histoire a cruellement marqué la ville de multiples drames, mais celle-ci s’est toujours relevée, et offre aujourd’hui au regard des
curieux le visage d’une superbe métropole du 21ème siècle.
Partons ensemble à la découverte de cette ville au patrimoine impressionnant.
Un peu d’histoireC’est sur l’ordre du Tsar Pierre-le-Grand que Saint Pétersbourg fut créée au tout début du 18ème siècle et nommée ainsi en son hommage.
Elle restera la capitale de la Russie impériale de 1712 à 1918. 40000 serfs ont participé à la réalisation de ce chef d’œuvre architectural et le Tsar a émis une interdiction de construire en pierre dans le pays
pendant toute la durée de l’édification de sa capitale. Celle-ci
deviendra le plus important centre culturel du pays. C’est à
Saint-Pétersbourg qu’a eu lieu la révolution de 1905, et c’est aussi là
que le Tsar et sa famille cherchèrent un refuge lors de la Révolution de 1917.
Ils connurent une triste fin qui sonna le glas de la Russie en faveur de l’URSS. Rebaptisée Leningrad en 1924 après la mort de Lénine, la ville connu un terrible siège de plus de deux ans pendant la seconde
guerre mondiale. Mais rien ne semble pouvoir écraser Saint-Pétersbourg
qui se relève éternellement.
C’est suite à un référendum en 1991, après la chute du bloc soviétique, que les habitants votèrent pour récupérer le nom de
Saint-Pétersbourg. La ville est aujourd’hui la deuxième de Russie avec
4,5 millions d’habitants.
Des musées célèbres dans le monde entierLe musée le plus célèbre de Saint-Pétersbourg est l’Ermitage. C’est avec le Louvre, le British Museum et le Metropolitan Museum of Arts de
New York, l’un des musées les plus visités au monde. Et avec ses 60000
œuvres présentées sur ses murs et les 3 millions d’autres retenues dans
ses caves, c’est le plus grand musée du monde. Vous y admirerez aussi
bien les tableaux de Rembrandt que ceux de Gauguin ou Picasso. La visite
de cet ancien palais permet aussi de découvrir les diverses pièces habitées par la famille impériale, les Romanov.
De nombreux autres musées jouissent d’une place de choix à Saint-Pétersbourg. Par exemple, le musée Russe ou le musée de l’Académie des Beaux-Arts sont dédiés aux arts sous toutes leurs formes, tandis
que les musées historiques, comme le musée de l’Histoire Politique ou
celui de La Défense vous apprendront des milliers de choses sur la Russie.
Si vous n’en avez pas encore assez, de nombreux musée thématiques ont fleuri dans la ville, tels que le musée de la Vodka, le musée
Zoologique ou encore la Grande Maquette de la Russie qui s’étend sur 800
m². Vous l’aurez compris, Saint-Pétersbourg est une ville de culture et
nous ne pouvons malheureusement pas citer ici l’invraisemblable quantité de musées qui font sa gloire.
A voir et à faire sur place : se promener dans ses rues tracées au cordeau en sera une. Vous ne pourrez pas éviter la perspective Nevski, la plus grande avenue de la ville avec ses 4,5 km de long. Elle est constellée de palais colorés,
d’églises et de magasins à visiter.
Pour une « vraie » expérience de la Russie historique, entrez volontiers dans les églises orthodoxes où les dorures et la décoration
baroque ne manqueront pas de vous éblouir.
Grimpez sur la coupole dorée de la cathédrale Saint-Isaac pour admirer le plus beau panorama sur les principales merveilles de la
ville. Il y a tant de palais à Saint-Pétersbourg que vous aurez
l’embarras du choix pour faire un petit voyage dans le temps, direction le 18ème siècle.
Une expérience à tenter : aller voir un ballet ou un opéra au théâtre Marinsky durant votre séjour qui sera, décidément, culturel.
D’ailleurs, la ville s’enorgueillit d’avoir abrité deux grands génies de
la littérature russe : Dostoïevski et Pouchkine. Les dernières demeures
de ces deux géants se visitent pour les nostalgiques de l’immense culture russe.
Les amateurs d’espaces seront servis dans les nombreux parcs de la ville, et les couples prendront plaisir à une croisière sur les canaux qui sillonnent Saint-Pétersbourg.
Vous le constaterez, les russes aiment sortir et faire la fête. Ne soyez pas en reste et profitez de votre séjour pour découvrir les Nuits
Blanches. Vers la mi-juin, le soleil ne se couche quasiment pas, créant
une ambiance étrange et féerique dans la ville. C’est l’occasion d’un
festival réputé qui fait sortir tous les saint-pétersbourgeois au cours de ces jours sans fin.
Les spécialités localesLa cuisine russe n’est pas réputée pour sa finesse mais les gastronomes y trouveront leur bonheur.
A Saint-Pétersbourg, on savoure des Zakouski (entrées) comme le caviar, la star des tables russes. Le caviar noir bien sûr, le plus
cher, mais aussi le caviar rouge aux œufs de saumon ou le caviar de
légumes comme l’aubergine.
Les pirojki sont des petits chaussons à la viande et aux légumes tout à fait savoureux et très emblématiques de la cuisine russe. Le
borchtch, très célèbre lui aussi, est une soupe de betteraves à la viande tout à fait délicieuse. Le chou est un aliment vedette en Russie,il est souvent servi grillé sur les tables des ménagères russes. Le goloubtsi est un plat de chou farci très réputé.
Difficile d’oublier la spécialité russe qui s’est le plus exportée à l’étranger, le bœuf Stroganov, qui consiste en un plat de lamelles de
bœuf cuites dans une sauce à la crème et aux oignons.
Vous l’aurez compris, pour pallier aux rigueurs du climat, la gastronomie russe est copieuse et consistante, mais non moins
délicieuse.