Réchauffement Climatique : Saral voit fondre Le Pergélisol . Pergélisol Ou Permafrost
Sous l’effet du réchauffement climatique, les couches profondes du pergélisol, ou permafrost, commencent à fondre pour la première fois depuis 11 000 ans. Le satellite Saral, grâce à son orbite plaire et son nouvel altimètre, peut différencier zones humides et sèches du Canada et de la Russie. Il suit ainsi en détail ce phénomène de fonte du sol, qui cause des glissements de terrain et menace de libérer d’importantes quantités de méthane dans l’atmosphère. SARAL/AltiKa est le premier satellite au monde équipé d'un altimètre utilisant la bande Ka (35.75 GHz) pour mesurer la hauteur des océans.
Le pape a rendu accessibles au public les jardins deCastel Gandolfo.
Jardins de la résidence pontificale de Castel Gandolfo, en novembre 2008.
Les magnifiques jardins de la résidence d'été des papes à Castel Gandolfo, dans les Castelli Romani (sud-est de Rome), sont désormais accessibles au public sur décision de François, ont annoncé lundi 3 mars Radio Vatican et les Musées du Vatican.
Le directeur des Musées, Antonio Paolucci, a expliqué dans un communiqué que le pape avait décidé de rendre accessibles ces jardins « où la splendeur de l'art et la gloire de la nature se marient en un admirable équilibre ». « Il fallait un homme comme François pour rendre ce rêve praticable et accessible à tous. Au printemps 2014, le pape François ne pouvait faire un plus beau cadeau », a-t-il ajouté.
Depuis le 1er mars, des visites guidées d'une durée d'une heure et demie sont possibles du lundi au samedi, en anglais et en italien. Les groupes et les particuliers doivent s'inscrire à l'avance sur Internet.
.Le pape François n’y a jamais séjournéIl faudra toutefois compter un tarif global fixe de 450 € pour un groupe jusqu'à 15 personnes, ont précisé les Musées du Vatican. La propriété, avec une vue imprenable sur le lac d'Albano, comprend notamment les vastes jardins Barberini et une ferme modèle d'une trentaine d'hectares créée de toutes pièces sous le pontificat de Pie vXII. Elle se trouve sur le site d'une ancienne villa construite par Domitien (81-96), dernier empereur de la dynastie des Flaviens. Des ruines d'un théâtre impérial et un portique sont encore visibles. Elle est résidence papale depuis le XVIIe siècle, et Pie XII et Paul VI y sont morts en 1958 et 1978. En vertu des Accords du Latran, signés en 1929, la Villa est demeurée propriété extra-territoriale du Saint-Siège. Depuis un an que François est pape, il n'y a jamais séjourné, contrairement à Benoît XVI, préférant travailler au Vatican plutôt que de risquer d'être isolé dans ce cadre enchanteur. Cette absence a suscité un certain mécontentement dans le village de Castel Gandolf
,,,,Fête des Catherines et des Catherinettes ...En ce 25 novembre nous fêtons Catherine d'Alexandrie , patronne des barbiers , charrons , tailleurs , rémouleurs , notaires , étudiants , plombiers etc et surtout patronne des filles à marier où ce jour du 25 novembre ; les jeunes filles agées de 25 ans sont à l'honneur ... Voici la prière que les filles d'antan faisaient à leur Sainte Patronne: Ste Catherine aidez-moi , ne me laissez pas mourir célibataire , un mari Ste Catherine , un bon , mais plutôt " un " que pas du tout ! C'est à la Ste Catherine que tout bois prend racine ! voici quelques Catherinettes bien jolies ....coiffées pour faire la fête !
les glands de chêne bientôt de retourdans nos assiettes !
Le gland est le fruit du chêne. Sur le plan botanique, le gland est un akène, c'est-à-dire un fruit sec indéhiscent ne contenant qu'une seule graine. Le gland est riche en amidon et fait partie de la nourriture habituelle des sangliers et des écureuils. Ce que l'on oublie souvent, c'est que le gland était largement consommé par nos ancêtres et pas seulement en temps de famine. D'ailleurs le gland, source alimentaire alternative, locale et sans gluten pourrait rapidement reprendre une place de choix dans notre cuisine ! Les " balanophages " (mangeurs de glands) à travers le monde !Si les glands sont rarement au menu aujourd'hui, il n'en était pas de même pour nos ancêtres. Des études sur les chasseurs-cueilleurs du Paléolithique (Maroc) et du néolithique (tribus indiennes de Californie) ont montré qu'ils représentaient une part importante du régime alimentaire. La " balanophagie " (le fait de consommer des glands) a joué un rôle très important dans de nombreuses cultures à travers le monde. En effet, la composition nutritionnelle du gland et sa disponibilité en ont fait un aliment très consommé dans le passé. En Californie, région où le chêne est abondant, les Amérindiens consommaient beaucoup de glands (Quercus alba, Quercus agrifolia, Quercus chrysolepis et Quercus undulata). Selon l'ethnobotaniste Kat Anderson " Pour la plupart des peuples indigènes, le gland était la base de la vie durant des millénaires ". Même si le gland n'est plus au centre de leur alimentation, ils continuent encore aujourd'hui à en consommer de manière traditionnelle. Les glands ne peuvent cependant pas être consommés dans leur forme brute : ils doivent d'abord être débarrassés de leurs tanins amers, grâce à un lessivage. Les Amérindiens enlevaient l'amertume de la farine de glands par un lessivage compliqué à l'eau chaude obtenue par la technique de pierres incandescentes. Aujourd'hui, il est possible de les passer après les avoir décortiqués dans des bains d'eau bouillante. Dès que l'eau vire au brun, on recommence jusqu'à ce que l'eau reste claire, signe que les tanins (hydrosolubles) auront disparu et que les glands seront devenus comestibles (en quantité raisonnable). Le gland, premier fruit cueilli par l'homme !Certains glands ont une teneur en tanins plus faible que les autres, ce qui rend leur saveur plus douce et les rend donc consommables par l'homme : mais le gland est toxique pour l'homme et les ruminants lorsqu'il est consommé en grandes quantités. Ainsi, les glands du chêne-liège (Quercus suber) sont traditionnellement commercialisés et consommés au Maroc et en Algérie. Isidore de Séville, au VIIe siècle de notre ère, dit de l'yeuse que son nom latin, Ilex, signifie " élu ", " choisi " " parce que son fruit est le premier cueilli par l'homme pour sa nourriture " (on sait aujourd'hui que la variété ballota du Q. ilex = Quercus rotundifolia, serait la seule de l'espèce à avoir de gros glands doux toujours très consommés comme des châtaignes notamment en Turquie). Séchés, décortiqués, puis finement moulus, ils fournissaient un pain très pâteux qui fut consommé en Europe jusqu'au XVIIIe lors des périodes de disette. On recense aujourd'hui une vingtaine d'espèces de chênes à glands doux dont notamment les espèces suivantes : Quercus ilex 'ballotta', Quercus macrolepsis (syn. Quercus aegilops), Quercus michauxii, Quercus trojana, Quercus virginiana et certaines variétés de Quercus pyrenaica, Quercus suber. Consommer les fruits du chêne, quels avantages ?Le gland remplit un certain nombre de critères qui correspondent aux nouvelles " exigences " alimentaires : la recherche de nourriture provenant d'une source locale, l'envie de consommer des produits nouveaux et le besoin d'une alimentation sans gluten. De plus, les glands sont faciles à collecter et à stocker (plusieurs années une fois séchés entiers dans leur coquille), idem sous forme de farine. Ils peuvent également être considérés comme un produit alimentaire " écologique " puisque le chêne n'a pas besoin de contribution massive en eau, ni engrais, ni pesticide, ni pratique agricole intensive pour sa culture.
Découvrez l’histoire de la tour Eiffel, ce symbole d’un Paris qui ne rompt jamais La tour Eiffel est indéniablement le principal emblème de la France. Un constat qui se vérifie d’autant plus à l’heure où le pays fait face à l’une des pires crises qu’il ait vécues. Lorsque Gustave Eiffel remporte le concours lancé par l’Etat français en 1886, et qui consiste à imaginer une tour pour l’exposition universelle de 1889, personne n’imagine que l’édifice sera encore présent plus d’un siècle plus tard. A l’époque, la France a besoin de rêver, de s’évader, et d’imaginer de nouveau que l’Hexagone peut briller.
Gustave Eiffel : A l’époque, les Français sortent à peine d’un meurtrier conflit, qui plus est humiliant. Le 18 janvier 1871, Napoléon III a capitulé, le Second Empire est mort, et la Troisième République oit le jour sans l’Alsace-Lorraine, cédée à l’éternel ennemi allemand. Dans ce contexte, le gouvernement français veut réveiller l’Hexagone et lui redonner l’espoir qu’il semble ne plus avoir. Pour l’exposition universelle, l’Etat veut alors « étudier la possibilité d’élever sur le Champ-de-Mars une tour de fer, à base carrée, de 125 mètres de côté et de 300 mètres de hauteur ». Sur les 107 projets soumis, un seul est retenu : la tour Eiffel. A l’époque, le projet est jugé faisable, mais incroyablement osé : personne n’a jamais tenté de bâtir un tel édifice. L’Histoire montrera qu’« Impossible n’est pas français ». Le 28 janvier 1887, commence l’édification du colosse de fer, de ce futur symbole d’une France qui n’abdique pas. Les attentes sont élevées, mais le potentiel aussi. Deux ans, deux mois et cinq jours après le début des travaux, la tour Eiffel est terminée, et le monde entier regarde l’Hexagone.
La construction de la tour Eiffel, en 1888 : Pendant presque un demi-siècle, la Dame de Fer trône sur l’Europe, et sur le monde. Il faudra ainsi attendre 41 ans pour voir à l’oeuvre le gigantisme américain : en 1930, puis en 1931, deux mastodontes surgissent du sol new-yorkais : le Chrysler Building et l’Empire State Building. Qu’importe, Paris est déjà la Ville Lumière et il lui reste l’Europe.
La construction de l’Empire State Building : Lorsque s’achève la Seconde Guerre mondiale, la tour Eiffel est toujours là, symbole d’une France qui plie mais ne rompt pas. Même Hitler n’a pas pu se résoudre à abattre la Dame de Fer. Tant mieux, elle deviendra le symbole d’une France réunie quand, en 1945, le pays sera libéré. Depuis, la tour Eiffel est un emblème. Le symbole que, malgré les crises, le temps, la guerre, ou même le terrorisme, il est des choses qui ne s’estompent pas et que rienne peut abimer. Parmi ces choses, la détermination et le courage des Français, leur amour de Paris et de leur pays. La tour Eiffel, aussi, est de ces choses inébranlables. La tour Eiffel aux couleurs de la via Shutterstock
La tour Eiffel est notre plus beau et notre plus symbolique monument. Au fil des années, des décennies, elle a revêtu son plus beau costume. A l’époque de sa construction, elle incarnait une France meurtrie mais renaissante. Aujourd’hui, elle est l’emblème d’une France qui n’a pas peur et d’un peuple qui se bat pour sa liberté.
Ce jeune artiste Américain vit dans l'Etat de Washington. Sous les ciseaux de Jeffro Uitto , ce bois flotté et usé se transforme en de spectaculaires et imposantes sculptures et aussi de mobiliers . La sculpture du bois dans le domaine de l'art remonte à la nuit des temps : pourtant la seule technique pratiquée par des artistes reste de travailler un bloc de bois . Rares sont ceux qui taillent ce matériau dans son état brut comme le fait de façon remarquable Jeffro Uitto .Rien ne se perd , tout se récupére et se transforme : artistiquement .
Vogüe Au bord de l'Ardèche, Vogüe est dominé par son château médiéval, qui accueille aujourd'hui des expositions. Des jardins en terrasses dominent le village et la rivière.
Plongez au coeur des calanques, ces superbes criques naturelles qui subliment le littoral français.
Dans le sud-est de la France, plus particulièrement aux abords de Marseille, se trouvent les calanques. Ces formations géologiques qui peuvent être apparentées à des fjords ou aux abers bretons sont propres à la mer Méditerranée, elles sont surtout d’une infinie beauté. Entre roche et eaux turquoises, les superbes clichés de ces paysages subliment le littorale français. Toutes photos via Shutterstock
Ces photographies sont splendides ! Elles nous rappellent à quel point la France peut offrir des paysages plus somptueux les uns que les autres.
Église Notre Dame de la Mer, aux Saintes-Maries-de-la-Mer.
Notre Dame de la Mer . Lorsque l’on va aux Saintes-Maries-de-la-Mer, petite ville de Camargue, impossible de ne pas penser au pèlerinage des gitans, qui viennent chaque année honorer Sainte Sara, dans une église bien particulière, l’Eglise des Saintes-Maries-de-la-Mer, que je vous invite à découvrir. Ce pèlerinage catholique, bien particulier, remonte à des temps immémoriaux, à des temps où les églises n’existaient pas, comme disent les gitans. En tout cas, l’église est bien là, et marque de sa présence toute la ville, avec ses murs imposants et son allure de forteresse médiévale imprenable. Sur les toits de l’église Nous sommes dans une église fortifiée
Eglise Fortifiée C’est la première chose que l’on remarque, en arrivant aux Saintes-Maries-de-la-Mer. Le monument est imposant, face aux autres bâtiments, ne dépassant guère deux étages. Cette église, construite comme une forteresse au XIème et XIIème siècle, se devait de résister aux assauts d’attaquants venus de la mer : la région gardait encore les traumatismes des razzias des Vikings ou des Sarrasins. L’église était donc le lieu de protection des reliques des Saintes, mais également des Saintois, habitants de la ville, ce qui explique l’architecture, plus adaptée à un château fort qu’à un lieu de culte.
Avec ses murs crenelés, l’église a une allure imposante
Les murs sont fortifiés, surmontés de créneaux, du chemin de ronde qui va avec et d’un authentique donjon. J’adore l’atmosphère surréaliste qui se dégage de cette église, et de la ville, souvenez-vous de l’article sur les Saintes-Maries-de-la-Mer, quel fabuleux voyage ! Nous sommes ici au centre de tout, l’âme de la ville. Plusieurs fois par an ont lieu des pèlerinages aux Saintes-Maries-de-la-Mer. Le 24 et 25 mai, ainsi que le 22 octobre, nous avons les pèlerinages aux Saintes Marie Jacobé et Marie Salomé, ainsi que Sainte Sara, leur servante. Ces pèlerinages remonteraient à des temps immémoriaux, mais force est de reconnaître qu’ils prendront surtout de l’ampleur à partir de 1448, quand on y honore des reliques des Saintes pour la première fois. Nef médievale
Légende des Maries . Selon la légende, les deux Maries, expulsées de Palestine, se seraient arrivées aux Saintes-Maries-de-la-Mer, et y seraient resté pour vivre. Tant pis si la ville à l’époque n’existait pas, tant pis si la mer recouvrait toute la zone, c’est ici que les saintes auraient été ensevelies. Sara, leur servante, est quand à elle vénérée par les gitans, qui viennent à ce endroit précisément le 24 mai en pèlerinage depuis le XIXème siècle. C’est le pèlerinage de la Vierge Noire. Sainte Sara la noire Crypte Certains disent que l’origine de ce culte à la Vierge Noire serait un reliquat d’un culte païen, le culte de la déesse indienne Kali. Si l’on considère que le peuple Rom (et par conséquent les Gitans) sont originaires d’Inde, d’où ils ont été chassés il y a de cela 1000 ans, on peut bien croire en ce culte, qui remonte de l’époque où il n’existait pas encore d’églises, comme le disent les gens du voyage. La statue de Sara se trouve d’ailleurs dans la crypte de l’église, ce qui semble être une ancienne coutume hindoue. D’ailleurs, le nom complet de Sainte Sara en langue Rom est « Sara e Kali », Kali voulant dire « noir ». Que de légendes, que d’Histoire dans une si petite ville, qui a l’air si isolée au bout de sa route camarguaise, et pourtant si riche culturellement ! Encore un endroit qu’on oublie pas si facilement… Photos de Notre Dame de la MerPorte Ouest Comme le montre si bien cette crèche de Noël, Jésus est né en Camargue… Les murs sont massifs comme ceux d’un château fort Cette église était une authentique forteresse
Pergélisol Ou Permafrost
Sous l’effet du réchauffement climatique, les couches profondes du
pergélisol, ou permafrost, commencent à fondre pour la première fois
depuis 11 000 ans.
Le satellite Saral, grâce à son orbite plaire et son nouvel altimètre,
peut différencier zones humides et sèches du Canada et de la Russie.
Il suit ainsi en détail ce phénomène de fonte du sol, qui cause des
glissements de terrain et menace de libérer d’importantes quantités de
méthane dans l’atmosphère.
SARAL/AltiKa est le premier satellite au monde équipé d'un altimètre utilisant la bande Ka (35.75 GHz) pour mesurer la hauteur des océans.
Jardins de la résidence pontificale de Castel Gandolfo, en novembre 2008.
Les magnifiques jardins de la résidence d'été des papes à Castel Gandolfo,
dans les Castelli Romani (sud-est de Rome), sont désormais accessibles
au public sur décision de François, ont annoncé lundi 3 mars Radio
Vatican et les Musées du Vatican.
Le directeur des Musées, Antonio Paolucci, a expliqué dans un communiqué que le pape avait décidé de
rendre accessibles ces jardins « où la splendeur de l'art et la gloire de la nature se marient en un admirable équilibre ». « Il fallait un homme comme François pour rendre ce rêve praticable et
accessible à tous. Au printemps 2014, le pape François ne pouvait faire
un plus beau cadeau », a-t-il ajouté.
Depuis le 1er mars, des visites guidées d'une durée d'une heure et demie sont possibles du lundi
au samedi, en anglais et en italien. Les groupes et les particuliers
doivent s'inscrire à l'avance sur Internet.
.Le pape François n’y a jamais séjournéIl faudra toutefois compter un tarif global fixe de 450 € pour un groupe
jusqu'à 15 personnes, ont précisé les Musées du Vatican.
La propriété, avec une vue imprenable sur le lac d'Albano, comprend
notamment les vastes jardins Barberini et une ferme modèle d'une
trentaine d'hectares créée de toutes pièces sous le pontificat de Pie vXII.
Elle se trouve sur le site d'une ancienne villa construite par Domitien (81-96), dernier empereur de la dynastie des Flaviens. Des
ruines d'un théâtre impérial et un portique sont encore visibles.
Elle est résidence papale depuis le XVIIe siècle, et Pie XII et Paul VI y
sont morts en 1958 et 1978. En vertu des Accords du Latran, signés en
1929, la Villa est demeurée propriété extra-territoriale du Saint-Siège.
Depuis un an que François est pape, il n'y a jamais séjourné, contrairement à
Benoît XVI, préférant travailler au Vatican plutôt que de risquer d'être
isolé dans ce cadre enchanteur. Cette absence a suscité un certain
mécontentement dans le village de Castel Gandolf
barbiers , charrons , tailleurs , rémouleurs , notaires , étudiants ,
plombiers etc
et surtout patronne des filles à marier où ce jour du 25 novembre ; les jeunes filles
agées de 25 ans sont à l'honneur ...
Voici la prière que les filles d'antan faisaient à leur Sainte Patronne:
Ste Catherine aidez-moi , ne me laissez pas mourir célibataire , un
mari Ste Catherine , un bon , mais plutôt " un " que pas
du tout !
C'est à la Ste Catherine que tout bois prend racine !
voici quelques Catherinettes bien jolies ....coiffées pour faire la fête !
akène, c'est-à-dire un fruit sec indéhiscent ne contenant qu'une seule
graine. Le gland est riche en amidon et fait partie de la nourriture
habituelle des sangliers et des écureuils. Ce que l'on oublie souvent,
c'est que le gland était largement consommé par nos ancêtres et pas
seulement en temps de famine. D'ailleurs le gland, source alimentaire
alternative, locale et sans gluten pourrait rapidement reprendre une
place de choix dans notre cuisine !
Les " balanophages " (mangeurs de glands) à travers le monde !Si les glands sont rarement au menu aujourd'hui, il n'en était pas de même pour nos ancêtres. Des études sur les chasseurs-cueilleurs du
Paléolithique (Maroc) et du néolithique (tribus indiennes de Californie)
ont montré qu'ils représentaient une part importante du régime
alimentaire. La " balanophagie " (le fait de consommer des glands) a
joué un rôle très important dans de nombreuses cultures à travers le
monde.
En effet, la composition nutritionnelle du gland et sa disponibilité en ont fait un aliment très consommé dans le passé. En Californie,
région où le chêne est abondant, les Amérindiens consommaient beaucoup
de glands (Quercus alba, Quercus agrifolia, Quercus chrysolepis et
Quercus undulata). Selon l'ethnobotaniste Kat Anderson " Pour la plupart
des peuples indigènes, le gland était la base de la vie durant des
millénaires ". Même si le gland n'est plus au centre de leur
alimentation, ils continuent encore aujourd'hui à en consommer de
manière traditionnelle.
Les glands ne peuvent cependant pas être consommés dans leur forme brute : ils doivent d'abord être débarrassés de leurs tanins amers,
grâce à un lessivage. Les Amérindiens enlevaient l'amertume de la farine
de glands par un lessivage compliqué à l'eau chaude obtenue par la
technique de pierres incandescentes. Aujourd'hui, il est possible de les
passer après les avoir décortiqués dans des bains d'eau bouillante. Dès
que l'eau vire au brun, on recommence jusqu'à ce que l'eau reste
claire, signe que les tanins (hydrosolubles) auront disparu et que les
glands seront devenus comestibles (en quantité raisonnable).
Le gland, premier fruit cueilli par l'homme !Certains glands ont une teneur en tanins plus faible que les autres, ce qui rend leur saveur plus douce et les rend donc consommables par
l'homme : mais le gland est toxique pour l'homme et les ruminants
lorsqu'il est consommé en grandes quantités. Ainsi, les glands du
chêne-liège (Quercus suber) sont traditionnellement commercialisés et
consommés au Maroc et en Algérie. Isidore de Séville, au VIIe siècle de
notre ère, dit de l'yeuse que son nom latin, Ilex, signifie " élu ", "
choisi " " parce que son fruit est le premier cueilli par l'homme pour
sa nourriture " (on sait aujourd'hui que la variété ballota du Q. ilex =
Quercus rotundifolia, serait la seule de l'espèce à avoir de gros
glands doux toujours très consommés comme des châtaignes notamment en
Turquie). Séchés, décortiqués, puis finement moulus, ils fournissaient
un pain très pâteux qui fut consommé en Europe jusqu'au XVIIIe lors des
périodes de disette.
On recense aujourd'hui une vingtaine d'espèces de chênes à glands doux dont notamment les espèces suivantes : Quercus ilex 'ballotta',
Quercus macrolepsis (syn. Quercus aegilops), Quercus michauxii, Quercus
trojana, Quercus virginiana et certaines variétés de Quercus pyrenaica,
Quercus suber.
Consommer les fruits du chêne, quels avantages ?Le gland remplit un certain nombre de critères qui correspondent aux nouvelles " exigences " alimentaires : la recherche de nourriture
provenant d'une source locale, l'envie de consommer des produits
nouveaux et le besoin d'une alimentation sans gluten.
De plus, les glands sont faciles à collecter et à stocker (plusieurs années une fois séchés entiers dans leur coquille), idem sous forme de
farine. Ils peuvent également être considérés comme un produit
alimentaire " écologique " puisque le chêne n'a pas besoin de
contribution massive en eau, ni engrais, ni pesticide, ni pratique
agricole intensive pour sa culture.
Par l’artiste Ed Fairburn
Avec un crayon, il intègre des visages sur les contours des reliefs, lacs et
routes en parvenant à créer une symbiose entre l’homme et la planète.
ce symbole d’un Paris qui ne rompt jamais
La tour Eiffel est indéniablement le principal emblème de la France. Un
constat qui se vérifie d’autant plus à l’heure où le pays fait face à
l’une des pires crises qu’il ait vécues.
Lorsque Gustave Eiffel remporte le concours lancé par l’Etat français en 1886, et qui consiste à
imaginer une tour pour l’exposition universelle de 1889, personne
n’imagine que l’édifice sera encore présent plus d’un siècle plus tard. A
l’époque, la France a besoin de rêver, de s’évader, et d’imaginer de
nouveau que l’Hexagone peut briller.
Gustave Eiffel :
A l’époque, les Français sortent à peine d’un meurtrier conflit, qui plus est humiliant.
Le 18 janvier 1871, Napoléon III a capitulé, le Second Empire est mort, et la Troisième République
oit le jour sans l’Alsace-Lorraine, cédée à l’éternel ennemi allemand. Dans
ce contexte, le gouvernement français veut réveiller l’Hexagone et lui
redonner l’espoir qu’il semble ne plus avoir.
Pour l’exposition universelle, l’Etat veut alors « étudier la possibilité
d’élever sur le Champ-de-Mars une tour de fer, à base carrée, de 125
mètres de côté et de 300 mètres de hauteur ». Sur les 107 projets
soumis, un seul est retenu : la tour Eiffel. A l’époque, le projet est
jugé faisable, mais incroyablement osé : personne n’a jamais tenté de
bâtir un tel édifice. L’Histoire montrera qu’« Impossible n’est pas français ».
Le 28 janvier 1887, commence l’édification du colosse de fer, de ce futur
symbole d’une France qui n’abdique pas. Les attentes sont élevées, mais
le potentiel aussi. Deux ans, deux mois et cinq jours après le début des
travaux, la tour Eiffel est terminée, et le monde entier regarde
l’Hexagone.
La construction de la tour Eiffel, en 1888 :
Pendant presque un demi-siècle, la Dame de Fer trône sur l’Europe, et sur le monde.
Il faudra ainsi attendre 41 ans pour voir à l’oeuvre le gigantisme américain : en 1930, puis en 1931,
deux mastodontes surgissent du sol new-yorkais : le Chrysler Building et l’Empire State Building.
Qu’importe, Paris est déjà la Ville Lumière et il lui reste l’Europe.
La construction de l’Empire State Building :
Lorsque s’achève la Seconde Guerre mondiale, la tour Eiffel est toujours là,
symbole d’une France qui plie mais ne rompt pas. Même Hitler n’a pas pu se résoudre à abattre la Dame de Fer.
Tant mieux, elle deviendra le symbole d’une France réunie quand, en 1945, le pays sera libéré.
Depuis, la tour Eiffel est un emblème. Le symbole que, malgré les crises, le temps, la guerre, ou
même le terrorisme, il est des choses qui ne s’estompent pas et que rienne peut abimer.
Parmi ces choses, la détermination et le courage des Français, leur amour de Paris et de leur pays.
La tour Eiffel, aussi, est de ces choses inébranlables.
La tour Eiffel aux couleurs de la
La tour Eiffel est notre plus beau et notre plus symbolique monument.
Au fil des années, des décennies, elle a revêtu son plus beau costume.
A l’époque de sa construction, elle incarnait une France meurtrie mais
renaissante. Aujourd’hui, elle est l’emblème d’une France qui n’a pas
peur et d’un peuple qui se bat pour sa liberté.
Ce jeune artiste Américain vit dans l'Etat de Washington.
Sous les ciseaux de Jeffro Uitto , ce bois flotté et usé se transforme en de
spectaculaires et imposantes sculptures et aussi de mobiliers .
La sculpture du bois dans le domaine de l'art remonte à la nuit des temps :
pourtant la seule technique pratiquée par des artistes reste de
travailler un bloc de bois .
Rares sont ceux qui taillent ce matériau dans son état brut comme le fait de
façon remarquable Jeffro Uitto .Rien ne se perd , tout se récupére et se
transforme : artistiquement .
Ces villages entre ciel et terre
Accroché aux flancs du plateau de Vaucluse, le village de Gordes domine la vallée d'Apt
et la plaine de Cavaillon.
Ce village provençal coiffé d'un puissant château et d'une église massive offre un patrimoine
historique remarquable rendu célèbre pour son architecture en pierres sèches.
© lamio - Fotolia.com
Rocamadour
On ne présente plus Rocamadour. Sur les hauteurs du canyon de l'Alzou, dans le
Parc régional des Causses du Quercy, cette cité médiévale défie les lois de la pesanteur.
Depuis le XIIe siècle, tours, maisons et chapelles taillées dans le roc
composent le vertigineux tableau de ce haut-lieu spirituel.
© Jacques BACHELOT
Corte
A 70 kilomètres de Bastia et à 85 kilomètres d'Ajaccio, Corte domine les paysages
de la Haute-Corse. Sa citadelle, construite au XVe siècle, et surnommée le "Nid d'aigle",
offre une très belle vue panoramique sur les paysages de l'île de Beauté.
© Ghyslaine Vallée
Tourrettes-sur-Loup
Les rues du village de Tourrettes-sur-Loup, perché sur un éperon rocheux,
ont conservé leur atmosphère médiévale.
La "cité des violettes" mérite que l'on s'y arrête pour découvrir le charme de ses vieilles pierres.
© Uolir - Fotolia.com
Eze
Entre Nice et Monaco, le pittoresque village d'Eze accroché aux falaises est l'un des
plus beaux villages de Provence. On ydispose d'un magnifique point de vue, où le
regard porte sur la Côte d'Azur jusqu'à Nice.
© jm - Fotolia.com
Gorbio
Dans le département des Alpes-Maritimes, Gorbio est perché au-dessus de Menton et
Roquebrune. On aperçoit la façade du château des Malaussène, édifié entre le XVe et le XVIIe siècle.
© Jacques Dufrenoy
Beynac-et-Cazenac
Fièrement planté sur son piton rocheux, Beynac-et-Cazenac domine la Dordogne.
Ne manquez pas la visite de son château du XIIe siècle car il fait partie des édifices
les mieux préservés de la région.
Profitez-en également pour vous balader dans les petites ruelles du village.
© Yvann K - Fotolia.com
Le Mont-Saint-Michel
Construite au VIIIe siècle sur un rocher de granit entouré de marécages et de sables
mouvants, l'abbaye du Mont-Saint-Michel offre au visiteur un décor grandiose.
© Jessica PERALTA
Roussillon
Situé entre le Lubéron et le plateau des Monts de Vaucluse, Roussillon est un village
exceptionnel couronnant un piton rocheux entouré de falaises.
Considéré comme l'un des plus beaux villages de France, il tient sa particularité de
son emplacement au cœur du plus grand gisement d'ocre du monde.
© LianeM - Fotolia.com
Le Broc
Dans les Alpes-Maritimes, Le Broc est perché entre mer et montagne.
A 460 mètres d'altitude, il domine les vallées du Var et de l'Esteron.
© Jacqueline Joly
Saint-Saturnin-lès-Apt
Adossé à l'un des flancs des Monts de Vaucluse, dans le Luberon, Saint-Saturnin-lès-Apt
est situé à une cinquantaine de kilomètres d'Avignon.
© Maryse ALEXIS
Roquebrune-Cap-Martin
Située entre Menton et Nice, sur la route de la Grande Corniche, Roquebrune-Cap-Martin
est un lieu de villégiature apprécié. Son atout principal réside dans
son vieux village perché à flanc de montagne qui abrite le seul vestige
de château carolingien en France.
© nfoto - Fotolia.com
Aurel
Dans la Drôme, à une vingtaine de kilomètres de Die, Aurel est perché sur une
colline et entouré par un massif montagneux.
© Alain Unvoas
Najac
Surplombant les méandres de l'Aveyron, la forteresse de Najac se dresse fièrement
avec son château, ses maisons traditionnelles (dont certaines datent du XIVe siècle) et ses fontaines.
© fabien mangio
Peille
Perché sur les hauteurs de Nice, Peille domine le ravin du Faquin. Ce village des
Alpes-Maritimes, gorgé de soleil, se visite aussi pour les grottes des Grimaldi, d'origine
préhistorique et situées à flanc de montagne.
© André Oustric
Cordes-sur-Ciel
Située au carrefour de Quercy, du Rouergue et de l'Albigeois, Cordes-sur-Ciel
ne manque pas d'impressionner par sa prestance et son allure. Dominant
la vallée du Cérou, elle se dresse fièrement sur son piton rocheux qui
donne l'impression de la porter au plus haut des cieux.
© ALCE - Fotolia.com
Eus
Installé en terrasses au cœur de la garrigue, dominant le bassin du Conflent, Eus
est une ancienne citadelle défensive.
L'église Saint-Vincent remplace aujourd'hui les fortifications.
Eus fait partie des "Plus beaux villages de France".
© Robert Blanc
Sainte-Agnès
Dans les Alpes-Maritimes, Sainte-Agnès est un village accroché au flanc d'un éperon
rocheux qui culmine à prèsde 800 mètres d'altitude. La vue qu'on peut y admirer sur la
Méditerranée est exceptionnelle. Saint-Agnès fait partie des "Plus beaux villages de France".
© Annie Barbotte
Speloncato
Accroché sur son piton rocheux, Speloncato est le point de départ idéal pour de
nombreuses randonnées. Si vous n'êtes pas un grand marcheur, vous pourrez tout de
même vous promener à travers les ruelles sinueuses, bordées de vieilles maisons aux
murs de granit.
© joningall1 - Fotolia.com
Ilonse
Dans le département des Alpes-Maritimes, Ilonse est un village médiéval remarquablement
conservé, rallié à la vallée depuis seulement 1948. Perché à 1 200 mètres d'altitude, il est
caractérisé par des maisons édifiées en escaliers.
© Annie-France Perez
Lantosque
Lantosque, dans les Alpes-Maritimes, a été édifié au bord de la rivière, au centre
de la vallée de la Vésubie. La commune compte une dizaine de chapelles
et une très belle église, construite en 1668.
© richard matéo - Fotolia.com
Saint-Paul-de-Vence
Le village de Saint-Paul, situé dans l'arrière-pays niçois, doit sa réputation à la fois à ses
vieilles pierres bien restaurées, à son cadre provençal et aux artistes
(Matisse, Chagall ou encore Giono) qui ont largement contribué à sa
renommée.
© gianliguori - Fotolia.com
Peillon
Peillon est un minuscule village médiéval, à quelques kilomètres de Nice. Ne
manquez pas sa visite lors de votre passage sur la Côte d'Azur :
architecture étonnante, village accroché à la montagne... Les murs des
hautes maisons, collées les unes aux autres, semblent former une
véritable forteresse.
© Michel Apfeld
Lumio
Lumio est un village célèbre : il a vu grandir l'actrice et
mannequin Laëtitia Casta. Il est également très intéressant par la
présence de sa grande église baroque et son belvédère qui ouvre une vue
incomparable sur le golfe de Calvi.
© gege2812 - Fotolia.com
Roubion
Aux portes du Parc national du Mercantour, Roubion dispose d'une vue panoramique
exceptionnelle sur les environs.
Ce village médiéval accroché à sa falaise est situé à 1 300 mètres d'altitude.
© Franck Bermon
Gourdon
Le village de Gourdon surplombe le Loup de plusieurs centaines de mètres.
Se promener dans ses ruelles,visiter son château, profiter de son panorama exceptionnel, autant
d'activités qui vous feront passer un moment agréable dans ce village,
classé parmi les "Plus beaux villages de France".
© vouvraysan - Fotolia.com
Vogüe
Au bord de l'Ardèche, Vogüe est dominé par son château médiéval, qui accueille aujourd'hui
des expositions. Des jardins en terrasses dominent le village et la rivière.
© Serge Agombart
Castelnou
Lové au pied de l'Aspre, Castelnou incarne l'architecture rurale catalane.
Ce village à l'atmosphère intemporelle compte parmi les "Plus beaux villages de France".
Le château vicomtal et la tour de gué dominent cette paisible cité construite à flanc de colline.
© Serge Ramelli - Fotolia.com
Moustiers-Sainte-Marie
A 634 mètres d'altitude, construit en amphithéâtre au creux des collines provençales,
Moustiers-Sainte-Marie est un petit village situé sur un site remarquable où se côtoient lac,
montagnes et champs de lavande.
© LianeM - Fotolia.com
Ménerbes
Au cœur du Luberon, Ménerbes a conservé de nombreux témoignages de son
passé historique. Haut-lieu de la vigne et de la truffe, elle est dotée d'une citadelle,
d'un castelRenaissance et d'une église datant du XIVe siècle.
© Gérard Despalles
Montbrun-les-Bains
Au milieu des champs de lavande, Montbrun-les-Bains est un petit village de la
Drôme provençale, construit sur une colline.
On y visite son beffroi et son château Renaissance au sommet.
© Jacques Bury
Sant'Antonino
Perché à 500 mètres d'altitude sur les pentes de Balagne, Sant'Antonino est un très
beau village qui attire chaque année de nombreux touristes.
Les métiers artisanaux traditionnels de la région sont à découvrir dans
les boutiques de ce village de Haute-Corse.
© Ghislaine Girardot
Saint-Jeannet
Dans les Alpes-Maritimes, Saint-Jeannet est un village perché au pied du Baou de
Saint-Jeannet, falaise prisée des randonneurs. A seulement vingt kilomètres de Nice,
ce site offre un point de vue privilégié sur la Méditerranée.
© Claudine Crevola
Saint-Cirq-Lapopie
Saint-Cirq-Lapopie est un tout petit village niché sur les hauteurs du département du Lot.
Cette ancienne place forte, devenue par la suite village d'artisans,
est aujourd'hui le paradis d'un petit nombre d'artistes qui y ont élu
domicile.
© thieury - Fotolia.com
Saorge
Saorge est un petit village médiéval, à 70 kilomètres de Nice, surplombant les
gorges de la Roya. Son architecture originale a su être préservée, au
fil des siècles, pour le plus grand bonheur des promeneurs.
© Maryse Rozerot
Bonnieux
Perché sur le versant nord du Massif du Luberon, Bonnieux est un village pentu
entouré d'une forêt de cèdres plantés sous Napoléon III. Un cadre idéal pour une belle promenade.
© José LUQUE
Lautrec
Dans le département du Tard, Lautrec, berceau de la famille de l'illustre peintre,
est une remarquable cité médiévale perchée sur un éperon rocheux.
Vous disposerez d'une vue magnifique sur la vallée de l'Agoût, la Montagne Noire et les Pyrénées.
© Claude Montagné
La-Roque-sur-Cèze
Village perché sur un éperon rocheux, La Roque-sur-Cèze donne sur les vignobles
du Gard et les cascades du Sautadet.
Vous pourrez entre deux promenades admirer les vestiges du château et la
chapelle.
© Denis MARRAGOU
Olargues
Superbe village médiéval du XIe siècle, situé au pied du haut massif de l'Espinouse,
Olargues se distingue par ses ruelles escarpées et les champs de cerisiers qui l'entourent.
© Denis Marragou
Gassin
Perché à 200 mètres d'altitude sur un promontoire rocheux, Gassin domine un paysage de vignobles,
d'étendues boisées, ainsi que le golfe de Saint-Tropez. Situées à moins de 4 kilomètres du rivage,
ses ruelles tortueuses et ses maisons pittoresques en font un joyau de charme et d'authenticité.
© Caroline Southon
Balazuc
Bâti à flanc de roche, Balazuc surplombe la vallée de l'Ardèche dans un cadre verdoyant.
Ses ruelles sinueuses et ses constructions romanes nous replongent dans l'époque
médiévale. Balazuc fait partie des "Plus beaux villages de France".
© Philippe Vellemans - Fotolia.com
Mirmande
Entre Valence et Montélimar, Mirmande, dominée par son église romane, ses maisons
en pierre aux portes anciennes et aux fenêtres Renaissance bordées de petits jardinets, est
certainement l'un des plus charmants villages de la Drôme.
© Odette Lefebvre
Les Baux-de-Provence
Située au sommet d'un éperon rocheux au cœur de la chaîne des Alpilles, la commune
des Baux-de-Provence est une cité médiévale miraculeusement préservée. La beauté et
l'emplacement exceptionnel du site en font l'un des lieux les plus visités de Provence.
© Rachel Laviolette
Callian
Perché sur l'Esterel et le lac de Saint-Cassien, Callian se visite également pour son dédale
de ruelles, qui en font un village très pittoresque.
© Pascal06 - Fotolia.com
Talmont-sur-Gironde
Ancienne bastide fondée au XIIIe siècle, Talmont-sur-Gironde s'étend sur un promontoire
dominant l'estuaire de la Gironde. Son église romane, perchée au bord de la falaise,
a contribué à faire sa réputation.
© Picturenick - Fotolia.com
Fayence
Dans le Var, Fayence est un village dominant les paysages provençaux. Vous pourrez
y admirerla chapelle des Pénitents, la Tour de guet, le rocher de la Roque ou
encore la tour de l'horloge.
© Bernard ENRICI
La Fare-les-Oliviers
Dans le département des Bouches-du-Rhône, La Fare-les-Oliviers est dominé sur
ses hauteurs par le Castellas, ruine d'un castrum hérité du Moyen-âge.
© Serge Vasseur
Venasque
A une dizaine de kilomètres au sud de Carpentras, Venasque est situé sur un éperon
rocheux dominant les gorges de la Nesque.
Le village est également réputé pour son patrimoine religieux.
© Jean-Pierre Maillard
Belvès
Perchée sur son éperon au-dessus de la vallée de la Nauze, dans le Périgord Noir,
Belvès est connue pour ses habitations troglodytiques.
© elodie bailly - Fotolia.com
Ansouis
Village vauclusien perché couronné par un château construit au Xe siècle, Ansouis domine
la plaine de la Durance.
© Claude Garnier
La-Garde-Adhémar
Dans la Drôme, La-Garde-Adhémar a été bâti sur une crête rocheuse dominant la vallée du Rhône.
L'église paroissiale Saint-Michel, que l'on voit sur cette photo, date du XIIe
siècle.
© Serge Agombart
Sigoyer
Dans les Alpes-de-Haute-Provence, Sigoyer est situé sur un petit col, à environ 820 mètres d'altitude.
© Martine Falsetti
Sainte-Croix-de-Verdon
Dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, Sainte-Croix-de-Verdon domine
le lac du même nom à une altitude de 513 mètres.
© Philippe Maza
Limeuil
Au confluent de la Dordogne et de la Vézère, en Périgord noir, Limeuil est un joli village
faisant partie des "Plus beaux villages de France".
© Food photo - Fotolia.com
Minerve
Dans l'Hérault, ce village médiéval, capitale historique du Minervois, est
niché dans les canyons creusés par la Cesse et le Brian. Minerve fait également partie des
"Plus beaux villages de France".
© Pierre Lastennet
Montpeyroux
Dans le Puy-de-Dôme, Montpeyroux est un village perché situé à une vingtaine de kilomètres de
Clermont-Ferrand. Dominée par un donjon datant du XIIIe siècle, cette
petite commune est caractérisée par de nombreux édifices en arkose, une
pierre blonde autrefois extraite dans la région.
© Marjorie Cognet
Richerenches
Dans le Vaucluse, Richerenches est la plus ancienne Commanderie des Templiers de Provence et
aujourd'hui la mieux conservée. Les vestiges templiers sont enserrés par
quatre tours et des remparts d'une étonnante beauté.
© Serge Agombart
Bairols
Dans les Alpes-Maritimes, Bairols se mérite. Vous y accèderez après avoir emprunté
une route étroite le long de la vallée de la Tinée.
© Annie-France Perez
Saint-Véran
Plus haute commune d'Europe, nichée à 2 040 mètres d'altitude, Saint-Véran est aussi
l'une des plus anciennes stations de ski en France. Ce village situé dans les Hautes-Alpes
compte de nombreux chalets typiques de la région.
© Françoise Grandjean
Le Barroux
Dans le Vaucluse, entre Carpentras et Malaucène, Le Barroux est perché sur un piton calcaire.
Ses visiteurs disposent d'une belle vue sur le Mont Ventoux, les Dentelles de Montmirail et
les Monts du Vaucluse.
© Marie-Anne GERBE
Lurs
En Provence, Lurs, "village et cité de caractère", est perché à 628 mètres d'altitude
au-dessus de la Durance sur un éperon de verdure.
© André Pommiès
Tourtour
Dans le Var, Tourtour est situé en haut d'une colline, ce qui lui a valu le surnom de
"village dans le ciel". On y dispose d'une vue imprenable sur la
montagne Sainte-Victoire.
© Stéphanie LÉVÊQUE
Lauris
Dans le département du Vaucluse, Lauris est perché sur une colline surplombant la vallée
de la Durance et le Luberon.
© Alain Paul Andre Picq
Vaison-la-Romaine
Logée dans un écrin de vignes du Haut Vaucluse, non loin du Mont Ventoux et des
Dentelles de Montmirail, Vaison-la-Romaine porte fièrement son nom.
© Martine Ramel
Château-Chalon
Village viticole du Jura, Château-Chalon est connu pour son vin jaune. La bourgade de
Franche-Comté, perchée surla vallée de la Haute-Seille, présente aussi un intérêt architectural
de par son donjon et son église romane.
© Rémy BLANG
Bassoues
Dominé par un impressionnant donjon datant du XIVe siècle et mesurant 43 mètres de haut,
le village de Bassoues est le lieu idéal pour disposer d'une vue imprenable sur les cimes enneigées des Pyrénées.
© Sylvie Louit
Coursegoules
Dans les Alpes-Maritimes, Coursegoules est un village entre ciel et mer, à près de 1 000 mètres d'altitude.
© Ascension Garcia
La Bollène-Vésubie
Situé à 700 mètres d'altitude, à une cinquantaine de kilomètres de Nice, le très ancien village de
La Bollène-Vésubie constitue une étape pour les randonneurs amoureux du Mercantour.
© Brigitte Miloni
Lourmarin
Au pied du Luberon, Lourmarin possède tout le charme provençal d'un village parsemé de fontaines et
de maisons du XVIIe et XVIIIe siècles. Son château Renaissance est un
haut-lieu culturel où se déroulent de nombreuses manifestations.
© Lucien DORLET
Mosset
Dans les Pyrénées-Orientales, ce petit village s'étend sur un dénivelé de près de 2 000 mètres.
Mosset fait partie des "Plus beaux villages de France".
© André Pommiès
criques naturelles qui subliment le littoral français.
Dans le sud-est de la France, plus particulièrement aux abords de Marseille,
se trouvent les calanques. Ces formations géologiques qui peuvent être
apparentées à des fjords ou aux abers bretons sont propres à la mer
Méditerranée, elles sont surtout d’une infinie beauté. Entre roche et
eaux turquoises, les superbes clichés de ces paysages subliment le littorale français.
Toutes photos via Shutterstock
Ces photographies sont splendides ! Elles nous rappellent à quel point la
France peut offrir des paysages plus somptueux les uns que les autres.
Notre Dame de la Mer .
Lorsque l’on va aux Saintes-Maries-de-la-Mer, petite ville de Camargue, impossible de ne pas penser au pèlerinage des gitans, qui viennent chaque année honorer Sainte Sara, dans une église bien particulière, l’Eglise des
Saintes-Maries-de-la-Mer, que je vous invite à découvrir. Ce pèlerinage
catholique, bien particulier, remonte à des temps immémoriaux, à des
temps où les églises n’existaient pas, comme disent les gitans. En tout
cas, l’église est bien là, et marque de sa présence toute la ville, avec
ses murs imposants et son allure de forteresse médiévale imprenable.
Eglise Fortifiée
C’est la première chose que l’on remarque, en arrivant aux
Saintes-Maries-de-la-Mer. Le monument est imposant, face aux autres
bâtiments, ne dépassant guère deux étages. Cette église, construite
comme une forteresse au XIème et XIIème siècle, se devait de résister
aux assauts d’attaquants venus de la mer : la région gardait encore les
traumatismes des razzias des Vikings ou des Sarrasins. L’église était
donc le lieu de protection des reliques des Saintes, mais également des
Saintois, habitants de la ville, ce qui explique l’architecture, plus
adaptée à un château fort qu’à un lieu de culte.
Les murs sont fortifiés, surmontés de créneaux, du chemin de ronde qui va
avec et d’un authentique donjon. J’adore l’atmosphère surréaliste qui se
dégage de cette église, et de la ville, souvenez-vous de l’article sur
les Saintes-Maries-de-la-Mer, quel fabuleux voyage ! Nous sommes ici au centre de tout, l’âme de la
ville. Plusieurs fois par an ont lieu des pèlerinages aux
Saintes-Maries-de-la-Mer. Le 24 et 25 mai, ainsi que le 22 octobre, nous
avons les pèlerinages aux Saintes Marie Jacobé et Marie Salomé, ainsi que Sainte Sara, leur servante. Ces pèlerinages remonteraient à des temps immémoriaux,
mais force est de reconnaître qu’ils prendront surtout de l’ampleur à
partir de 1448, quand on y honore des reliques des Saintes pour la
première fois.
Légende des Maries .
Selon la légende, les deux Maries, expulsées de Palestine, se seraient
arrivées aux Saintes-Maries-de-la-Mer, et y seraient resté pour vivre.
Tant pis si la ville à l’époque n’existait pas, tant pis si la mer
recouvrait toute la zone, c’est ici que les saintes auraient été
ensevelies. Sara, leur servante, est quand à elle vénérée par les gitans, qui viennent à ce endroit précisément le 24 mai
en pèlerinage depuis le XIXème siècle. C’est le pèlerinage de la Vierge Noire.
Certains disent que l’origine de ce culte à la Vierge Noire serait un reliquat d’un culte païen, le culte de la déesse indienne Kali. Si l’on considère que le peuple Rom (et par conséquent les Gitans) sont
originaires d’Inde, d’où ils ont été chassés il y a de cela 1000 ans,
on peut bien croire en ce culte, qui remonte de l’époque où il
n’existait pas encore d’églises, comme le disent les gens du voyage. La
statue de Sara se trouve d’ailleurs dans la crypte de l’église, ce qui
semble être une ancienne coutume hindoue. D’ailleurs, le nom complet de
Sainte Sara en langue Rom est « Sara e Kali », Kali voulant dire
« noir ». Que de légendes, que d’Histoire dans une si petite ville, qui a
l’air si isolée au bout de sa route camarguaise, et pourtant si riche
culturellement ! Encore un endroit qu’on oublie pas si facilement…
Photos de Notre Dame de la Mer