De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
21/02/2019 - 07:14
L’image Magique & Fascinante Du Jeudi matin -

Belle-île-en Mer En Bretagne...

Source: David Keochkerian

Belle-Île-en-Mer est une île française de l’océan Atlantique située dans le département du Morbihan, dans le Sud de la Bretagne. Les habitants de l’île se nomment les Bellilois et les Belliloises.
Toponymie C’est dans les écrits du géographe Ptolémée qu'apparaît pour la première fois le nom de Vindilis pour désigner Belle-Île. En gaulois, vindo veut dire « blanc », ou métaphoriquement « beau, brillant », et illis signifie « île ».
Comme l'île n'apparaît pas comme blanche avec ses falaises de schiste noir, le sens de Vindilis est donc déjà celui de « belle île ».

Pline l’Ancien désignait quant à lui l’ensemble des îles de Groix, Belle-Île, Houat et Hoëdic sous le nom d’Insulae Veneticae, c'est-à-dire îles des Vénètes, peuple celte de navigateurs qui a également laissé son nom à la ville de Vannes.
En vieux breton, Belle-Île est nommée Guedel ou Guadel (1029, Charte d’Alain Canhiart Comte de Cornouaille). Les désignations sous les formes grecques de kalos nésos (c’est-à-dire « belle île ») ou latines Calonessus apparaissent sur quelques cartes ou descriptions à partir du XVIe siècle.
À la fin du Moyen Âge, le nom de Belle-Isle est désormais utilisé en français. Avec la construction au XVIe siècle du fort de Palais, elle va être désignée en breton comme Enez ar Kêr veur, « île du grand fort », plus simplement Ar Gerveur.
Temporairement,sous la Révolution française, l’île fut appelée « île de l'Unité »,mais ce nom ne fut jamais confirmé par décret.
Quinze ans plus tard, sous Napoléon Ier, la municipalité proposa la nouvelle dénomination de Belle-Isle Joséphine, mais, divorce de Napoléon oblige, cette appellation ne fut jamais acceptée.
L’île gardera alors ses noms de Belle-Île-en-Mer en français, l’extension « en Mer » apparaissant sur les cartes du début XVIIIe siècle, et d’Enez ar Gerveur en breton.
Au nom de Belle-Île, on ajoute parfois « la bien nommée », formule trouvée par la poétesse belliloise Éva Jouan, dans son recueil de poèmes De la grève, paru en 1896.

 Navigation
Les parages de Belle-île en haute mer sont réputés favorables et accueillants comme l'attestent deux versions de la tétralogie d'Ouessant:
*Il est dit par les marins, comme le rapporte Chateaubriand...
« Celui qui voit Belle-Isle, voit son île ; […] Celui qui voit Ouessant, voit son sang. »
-Pour les navires de guerre qui partent de Brest, le dicton devient...
« Qui voit Ouessant voit son sang.
Qui voit Sein voit sa fin.
Qui voit Groix voit sa joie.
Qui voit Belle-Île, cingle sans péril. »

                Écueils, Naufrages.
De nombreux naufrages ont eu lieu dans les parages de Belle-île en raison des tempêtes, d'avaries ou d'écueils. Le plus terribles parmi les derniers est celui du pétrolier Erika en 1999 qui a provoqué une marée noire et la pollution de trente kilomètres de côtes.
Ports.
Belle-île a deux principaux ports, celui de Palais et celui de Sauzon, ainsi qu'une une vingtaine de ports naturels permettant de mettre un bateau à l'abri.
Phares, Balises, Sémaphores.
Belle-île est balisée par trois phares...
Le Phare de Goulphar, le phare des Poulains et le phare de Kerdonis.
Le Grand Phare de Belle-île peut être visité.
Secours En Mer.
La Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) possède un canot nommé Ville de Palais.

Belle-Île-en-Mer
Îles du Ponant
Phare de Goulphar (ou grand phare de Kervilaouen)
Phare de la pointe des Poulains
Citadelle Vauban
Bataille des Cardinaux
Gazette de Belle-Île-en-Mer

Louis Charles Garan
Belle-Île-en-Mer
Sur Wikimedia Commons
Belle-Île-en-Mer
Sur le Wiktionnaire










Ce commentaire a été modifié le 21/02/2019 à 07:18
21/02/2019 - 06:40
Éphéméride du 52ème jour de l’année : 21 février.

Saint du jour :
Saint-Pierre Damien
, né à Ravenne en 1007, mort à Faenza en 1072 entra à 28 ans chez les Camaldules. Ecrivain né, on retient de son œuvre le « livre de Gomorrhe » (1051), l’ouvrage le plus scabreux qui soit sorti sous la plume d’un Saint, écrivent ses biographes.
                                                                       
Saint Pierre Damien (à droite) avec Sainte Anne et Sainte Elisabeth

Étymologie :
Damien, du grec damatês, « dompteur » ou damia, du nom de la déesse de la fertilité et des moissons.
Pépin, du germanique « bib », trembler, qui fait trembler.

Patron(nes) :
Saint-Pierre-Damien est invoqué contre les maux de tête (migraines)

Dictons :
À la Saint-Pierre Damien, l’hiver reprend ou s’éteint.
À la Saint-Pierre-Damien, des espaliers vérifie les liens.
À la Saint-Pierre-Damien, l’hiver est souvent bohémien.
À la Saint-Pierre-Damien, taille ta vigne et lave ton chien.
Framboisier taillé à la Saint-Pierre-Damien, récoltes assurées à la Saint-Maximien (21 août)
Il est trop tard à la Saint-Pierre Damien, pour planter des arbres à pépins.
Traitement à Saint-Pierre-Damien, adieu les acariens !

À la Saint-Pépin, l’hiver reprend ou s’éteint.
Douceur à la Saint-Pépin, plante un sapin.
Il est trop tard à la Saint-Pépin, pour planter les arbres à pépins.
Soleil de Saint-Pépin, réveille l’aubépin. (Arbre de la famille des rosacées)

20/02/2019 - 16:59
Vacances en famille en Bretagne : les destinations idéales.

Par Aurélie Tiercin

Envie de passer des vacances en famille en Bretagne ? Suivez le guide des tours en France. Mer, montagnes, châteaux, forêts… Vous l’aurez compris, cette région de l’Ouest de la France propose de nombreux panoramas tous plus sublimes les uns que les autres. En choisissant comme destination la Bretagne, vous pourrez vous baigner dans le lac de Guerlédan, pêcher dans le Golfedu Morbihan ou encore visiter la légendaire Forêt de Brocéliande.
Suivez nos conseils et vous découvrirez où vous loger, quoi visiter et quelles activités faire sur place lors de vos prochaines vacances en famille en Bretagne.

Destination Bretagne : La Côte de Granit Rose comme terrain de jeu.

La Côte de Granit Rose : une curiosité naturelle..
La Côte de Granit Rose et ses rochers inimitables sont un vrai terrain de jeu pour les grands et les petits, qui s’amuseront des formes atypiques que le temps a su leur donner. Sur terre, en suivant les sentiers de douaniers, ou sur mer, lors d’une sortie en bateau à la découverte des 7 îles ou en kayak pour les plus sportifs, cette côte unique séduira toute la famille.
Le Parc du Radôme allie loisirs et découvertes.
Le Parc du Radôme, situé à Pleumeur-Bodou, propose un parc de loisirs et de découvertes axé autour de 3 univers : la Cité des Télécoms, le Planétarium de Bretagne et le Village Gaulois. Chaque pôle propose de nombreuses activités, expositions et spectacles qui permettent d’apprendre tout en s’amusant. Un billet Pass offre des tarifs réduits pour accéder aux 3 sites. 
Idéal pour satisfaire tout le monde lors de vos vacances en famille en Bretagne.

Lac de Guerlédan : baignades au cœur de la Bretagne.


En centre Bretagne le Lac de Guerlédan, lac artificiel formé par la construction du barrage hydroélectrique, est parfait pour un tourisme vert. Des plages et des bases nautiques permettent de profiter du calme de ses eaux douces, en toute tranquillité. Point de départ de nombreuses randonnées, le lac permet également d’aller à la rencontre du patrimoine avec par exemple la visite des anciennes Forges des Salles.
Destination Bretagne avec la Vélodyssée et ses pistes cyclables.
Une vingtaine de sentiers cyclistes serpentent autour du lac. Balisée et sécurisé, la Vélodyssée est une voie verte interdite aux véhicules motorisés qui permet de partir à la découverte des lieux en toute tranquillité, sur d’anciennes voies ferrées ou encore des chemins de halage.

Le Finistère : escapades entre mer et "montagnes".

Les Monts d'Arrée : montagnes légendaires.
Les Monts d’Arrée,les montagnes bretonnes en plein cœur du Parc Naturel Régional d'Armorique,offrent des paysages hors-normes dans le centre de cette région au patrimoine religieux très riche. Aux alentours, de nombreux enclos paroissiaux et retables valent la visite, comme notamment la chapelle Saint-Michel-de-Braspart qui culmine à 381 m. Une étape incontournable de vos vacances en famille en Bretagne.
L'Association Addès entraine petits et grands à la rencontre des korrigans.
L’association Addès (Arrée-Rando) propose de partir à la rencontre les secrets des Monts d’Arrée avec des sorties originales qui allient sensibilisation à l’environnement et imaginaire, accompagnées par des conteurs qui entraînent toute la famille dans des découvertes magiques.

La Cornouaille : au rythme de la pêche.

Retour de pêche au port du Guilvinec.
De nombreux ports jalonnent la côte de la Cornouaille. Le ballet des départs et des retours de pêche rythme la vie locale avec comme point d’orgue les criées quotidiennes, pendant que les plus courageux parcourent, à marée basse, les environs pour une partie de pêche à pied. Et pour ceux qui souhaitent tout connaître de cette activité portuaire, de nombreux musées (le Musée de la pêche de Concarneau, le Port-Musée de Douarnenez ou encore la Cité de la pêche Haliotika du Guilvinec) permettent d’en apprendre plus sur ce métier et son histoire.
A proximité : le Phare d'Eckmühl, sentinelle de la Cornouaille.
Au cœur du pays Bigouden, le Phare de d’Eckmühl offre une échappée belle à plus de 60 m de hauteur, ouvrant un panorama splendide sur la côte environnante. L’intérieur n’est pas en reste avec sa décoration luxueuse tout en plaques d’opaline.Juste à côté,l’ancien phare renferme quant à lui l’histoire des phares du Finistère et de nombreux documents d’archives.

L'Ille-et-Vilaine : un voyage dans l'Histoire.


Le château de Fougères : gardien de l'Histoire bretonne.
Fougères, l’une des portes de Bretagne, et son château du XI° siècle permettent aux visiteurs de replonger au Moyen-Âge en quelques pas. Le vieux bourg qui ceint la forteresse et ses maisons à pans de bois, rappellent la richesse de l’artisanat de la ville. Les ruines du château expriment à elles seules la grandeur passée, à travers un parcours scénographique et ludique accessible aux plus jeunes.
Destination Bretagne : le geocaching, de vraies chasses au trésor.
Comme toute la région, le département d’Ille-et-Vilaine offre de nombreux sites de geocaching.  Cette chasse au trésor géante, qui utilise le géo-positionnement satellite, permet grâce à une application de résoudre des énigmes et d’accéder ainsi à une cache. Trésors de Haute-Bretagne met à la disposition des petits aventuriers 90 caches, dont une se trouve à proximité du château de Fougères et de nombreuses autres dans les environs.

Saint-Malo : la cité aux mille passés.

La ville de fortifiée de Saint-Malo est un site idéal pour profiter de la richesse historique de la ville tout en profitant des plages situées aux pieds des remparts. Les corsaires en herbe pourront conquérir les îlots de Grand Bé, Petit Bé ou encore du Fort National, accessibles uniquement à marée basse.
A proximité : Cathédraloscope, le temps des bâtisseurs.
Pour vos vacances en famille en Bretagne, ne passez pas à côté de la ville de Dol-de-Bretagne. Elle offre une plongée dans le temps avec Cathédraloscope en partant à la découverte du travail des bâtisseurs qui durant des siècles ont œuvré sur des chantiers exceptionnels. La visite permet aux plus jeunes de suivre les traces desouvriers tout en découvrant l’art gothique de façon ludique.

Le Morbihan : l'aventure en plein air.
Forêt de Brocéliande : à la rencontre des légendes.
La Forêt de Brocéliande recèle de nombreuses légendes. Merlin, la fée Morgan, les chevaliers dela Table Ronde hantent encore ces lieux fascinants, peuplés de korrigans. Riches de ce passé fantasmagorique, des cités de caractères permettent de revenir à la réalité le temps de balades dans le temps comme avec La Gacilly, Josselin ou Malestroit. Dans un registre un peu similaire, la forêt d'Huelgoat renferme elle aussi de nombreuses légendes.
Destination Bretagne : place aux jeux dans l'Auberge des Voyajoueurs.
A l’orée de la forêt, à Monteneuf, l’Auberge des Voyajoueurs accueille toute la famille dans un cadre unique et ludique tourné autour du jeu.
Jeux de plateau, jeux d’ambiance ou jeux en bois, on y joue seul ou en famille. L’auberge propose également une dizaine de chambres, le tout dans un cadre écoresponsable qui se marie à merveille avec les lieux environnants.

Golfe du Morbihan : un écrin d'exception.
Lors de vos vacances en famille en Bretagne, le Golfe du Morbihan est un site à découvrir de par son climat et son patrimoine d’exception. Les îles qui composent le Golfe sauront ravir les petits mousses, tout comme la proximité des sites mégalithiques de Carnac, une merveille pour les archéologues en herbe.
Le Haras d'Hennebont, le musée vivant du cheval et de l'homme.
Le Haras National d’Hennebont est un haut lieu de l’histoire équestre bretonne. Une visite des écuries réhabilitées permet de partir à la rencontre des chevaux et de leur évolution auprès des hommes, et d’assister à de nombreuses animations tels que des spectacles ou encore des balades à poney


Parc du Radôme - Activités - Voir la fiche
Phare d'Eckmühl - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Cathédraloscope - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Auberge des Voyajoueurs - Chambre d'hôtes/Gîte/Refuge - Voir la fiche
Haras d'Hennebont - Musée/Monument/Site - Voir la fiche

Ce commentaire a été modifié le 20/02/2019 à 17:09
20/02/2019 - 09:58
Éphéméride du 51ème jour de l’année : 20 février.

Saint du jour :
Sainte-Aimée, nièce de Sainte-Claire et sœur de RUFIN, elle appartenait à une illustre famille d’Assise, les OFFREDUCCIO. Se convertit après une visite à sa tante et décida de se faire immédiatement religieuse sans même prendre congé des siens (1200-1252)
     
                     
     Le cloître du monastère Saint-Damien à Assise.

Étymologie :
Aimée, féminin d’Aimé, du latin amata, « aimée » - (Masculin Aimé : Le 13 septembre)

Patron(nes) :
Saint-Eucher est invoqué pour trouver des matériaux pour se chauffer.

Dictons :
Souvent à la Sainte-Aimée, on est bien enrhumé.
Souvent, à la Sainte-Aimée, la campagne est enneigée.

En février, si au soleil ton chat tend sa peau, en mars, il l’exposera au fourneau.
Pluie de février, emplit les greniers.

20/02/2019 - 09:17
Editoriaux -Sport -19 février 2019
Yoann Gourcuff s’en va… quelle tristesse !


Quelle tristesse ! Yoann Gourcuff, six mois après avoir passé contrat avec le club de football de Bourgogne, quitte le terrain. À cause de blessures à répétition. Mais pour son entraîneur, il y a plus grave encore : « Le mal qui le ronge, c’est son esprit. » Esprit, en effet, tellement aux antipodes de nombre de tristement célèbres joueurs, en équipe de France en particulier, qu’ils
l’« ont détesté » !
Jeune (32 ans),beau, talentueux, breton,il était « le futur Zidane »,« la nouvelle star du football français »,un homme « charismatique et sincère ». Cela faisait déjà beaucoup à encaisser, pour certains de ses équipiers, alors comme, en plus, Yohann Gourcuff a toujours refusé de rentrer dans leur monde
En effet, lucre et stupre, grosses bagnoles, steaks à la feuille d’or (Ribéry) et autres affaires de sextape ? Pas le genre de la maison. « C’est un mec bien avec du cœur, un type simple et droit », Yoann, dit de lui un ami suisse. Entouré de sa femme (l’animatrice Karine Ferri) et de ses enfants, sentimentalement, il est comblé. « C’est un gars très intelligent et très conscient des efforts à faire pour ce métier » : Laurent Blanc aussi ne tarit pas d’éloge pour ce joueur « très facile à entraîner » qui, contrairement à d’autres chez qui « c’est très limité », se montre très calé « en échanges footballistiques ».
En outre, porté par une ambition qualitative et non quantitative – « la célébrité ne [l’] intéresse pas » -, dans un long entretien accordé chez lui, son fils assis sur ses genoux, à Ouest France, en juin 2018, il se confie. Sur « les vraies valeurs du sport et du foot »« sincérité, spontanéité, sens du collectif », sur ses motivations ancrées depuis toujours –, se « donner à fond pour tous les coachs » et avec « un supplément d’âme » quand le coach en question était son père, sur son « envie d’apprendre, de progresser, de toucher le plus haut ». Y a pas à dire : Gurcouff est aussi agréable à écouter qu’à regarder, ça change !
Surtout, on comprend que pour donner le meilleur de lui-même, pour « se sentir bien, à l’aise » dans un « groupe », il a besoin de « qualité humaine » avec « de bons mecs », de la qualité humaine aussi indispensable que les compétences « footballistiques ».
Ou encore que les « egos surdimensionnés » le hérissent. Bref, Yohann Gourcuff plébiscite « un groupe facile à vivre »avec le sens du « collectif » chevillé au corps et à l’âme. Tout l’inverse des grévistes de l’entraînement, Malouda, Ribéry, Evra et autre Anelka !
Souvenez-vous, en 2010, en Afrique du Sud, ces grandes âmes patriotes décrétaient vouloir bien « défendre pour Zidane mais pas pour Gourcuff »! Ce qui avait provoqué les retentissants « C’est du racisme anti-Blanc » et « belle bande de connards » de Pierre Ménès, ulcéré de la voir boycotter un équipier en pleine Coupe du monde !
C’est sûr : Gourcuff, lui, est d’une autre trempe ! Et ça, certains ne le lui pardonnent pas. Étonnant, alors, que dans les ambiances délétères où il est arrivé, on ne lui passe quasiment plus la balle, que ce jeune Breton, victime de blessures à répétition, ait fini par avoir « peur de se blesser de nouveau » ? S’il était, à son corps défendant, entré dans un cercle vicieux ?
Les pessimistes prédisent que jamais il ne rejouera à un haut niveau (son entraîneur en Bourgogne). Les optimistes (son ancien agent) incrimine, à l’origine des malheurs de Gourcuff, la standardisation des entraînements. Peut-être que les personnaliser en fonction de son physique hors normes lui permettrait de remonter la pente, à Yoahnn ?

Les réalistes, eux, aimeraient bien, dans toutes les équipes, que cessent de sévir les « bandes de connards » !
Ce commentaire a été modifié le 20/02/2019 à 09:31
20/02/2019 - 08:34
Petites histoires insolites et inspirantes.

Note : voici quelques histoires que j’ai rassemblées pour votre inspiration personnelle. Certaines de ces histoires, sont des histoires vécues, et qui pourraient vous arriver personnellement. La vie est pleine de mystères et de surprises, n’est-ce pas ? Et nous avons chacun des choses insolites qui nous sont arrivées… ! Bonne lecture !
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Des plumes dans le vent.
Dans un petit village allemand, une femme en désaccord avec son pasteur se fâcha et se mit à propager des calomnies à son sujet dans toute la ville. Un jour, accablée par le remords, elle alla lui demander pardon.
« Et s’il vous plaît, pasteur, dites-moi comment je peux réparer mes torts »
Le pasteur soupira : « Prenez un oreiller et venez avec moi en haut du beffroi » Arrivés là-haut, il lui demanda de déchirer l’oreiller et de le secouerdans l’air. Le vent transporta rapidement toutes les plumes ici et là, sur les toits, dans les parcs, les jardins, et même jusqu’à l’autoroute.
Ensuite il sourit d’un air triste et lui dit : « Maintenant, pour que vous réalisiez bien tout le tort que vous m’avez fait à cause de vos
commérages, je vous demande de bien vouloir aller ramasser toutes vos plumes »

« Mais c’est impossible ! » s’écria-t-elle. « Le vent les a toutes emportées ! »
« C’est exactement la même chose pour vos paroles » rétorqua le pasteur, « même si je vous ai pardonné, n’oubliez pas que vous ne pourrez jamais réparer les dégâts causés par votre médisance »
Une fois que les plumes des commérages sont éparpillées par le vent, il est impossible de toutes les récupérer. Le tort est fait et la cicatrice restera.
Comme un incendie, les ragots peuvent se propager rapidement et atteindre beaucoup de gens en peu de temps, que ces rumeurs soient vraies ou non. 
Définition de commérage : Rumeur ou discussion d’une nature intime, d’ordre personnel et sensationnel. Bavardage malveillant, divulgué par une personne qui a l’habitude de diffuser des rumeurs ou des faits d’ordre intime et privé.
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Un homme, son fils et l’âne !
Vous arrive-t-il parfois de vous sentir découragé devant l’incompréhension de ceux qui vous entourent ? Vous essayez de votre mieux de faire les bonnes choses, mais peu importe ce que vous essayez de faire, il semble que votre mieux ne plaise jamais assez ! Voici une simple histoire avec une grande leçon à l’intérieur :
Dans les montagnes du Mexique, vivait un homme appelé Pablo. Pablo était pauvre et il devait travailler dur dans sa petite ferme pour gagner sa vie. Pendant de longs mois, il avait économisé tout ce qu’il pouvait, et maintenant, il avait assez d’argent pour acheter un âne qui l’aiderait àtirer la charrue et transporter de lourdes charges.
Par une chaude journée de printemps, il partit sur la route poussiéreuse avec son fils Juan, pour acheter un âne au village. Leur choix s’arrêta finalement sur un âne gris qui semblait robuste, docile  et en parfaite santé.
Pablo et Juan avaient maintenant une longue route à faire pour rentrer chez eux avant la nuit, et ils décidèrent de prendre le chemin du retour pendant que le soleil était encore haut.
« Papa, est-ce que je peux monter l’âne ? » demanda Juan. « Bien sûr » répondit le père en aidant le jeune garçon à s’asseoir sur l’âne, « en fait un bon âne devrait pouvoir nous porter tous les deux ! » Et en disant cela, il s’assit sur l’âne avec son fils.
Tout allait bien, quand soudain, après quelques centaines de mètres, des villageois les prirent à partie en disant avec colère : « Quelle honte ! Comme c’est cruel de la part de cet homme de s’asseoir avec son fils sur ce pauvre âne ! De telles choses ne devraient pas exister ! »
Le papa de Juan fut blessé et embarrassé, mais il voulait savoir si l’âne était capable de faire le travail pénible de la ferme.
Alors il dit à Juan : « Veux-tu descendre de l’âne et le conduire, parce que je veux voir si cet âne sera assez fort pour porter de lourdes charges »
Mais bientôt ils passèrent devant les femmes qui lavaient leur linge. Tout à coup, une femme arrêta son travail pour les regarder et dit d’une voix chargée de reproches : « Oh que vous êtes dur de laisser marcher votre petit garçon sous le soleil ! » Toutes les femmes s’arrêtèrent pour les regarder. Pablo descendit de l’âne et y fit monter Juan. Juan avait perdu sa joie ; apparemment, ils
ne pouvaient rien faire de bien pour satisfaire les gens ! 
Peu de temps après, ils croisèrent un groupe d’écolier conduit par une femme à l’air sévère. Soudain, elle s’arrêta et dit de façon à ce que tout le monde puisse l’entendre : « Regardez comme ce gamin est cruel de laisser marcher son pauvre vieux père ! »
Cette fois-ci, ce fut au tour de Juan d’être blessé, il descendit rapidement de l’âne et marcha sagement à côté. Juan et son père n’osaient plus lever les yeux. Ils voulaient juste rentrer chez eux le plus vite possible !
Un peu plus loin, des hommes se mirent à rire aux éclats en les voyants passés. Ils portaient de lourds quartiers de viande suspendus à une barre de bois longue et solide qu’ils tenaient entre eux sur l’épaule.
« Regarde comme ils sont ridicules, dit le premier, ils ont un âne, mais ils marchent tous les deux à pied ! » Le second cria à Pablo pour se moquer : « Tant qu’à faire, pour éviter de fatiguer votre âne, vous devriez le porter ! » Et ils éclatèrent de rire.
Juan n’avait jamais vu son père en colère, mais cette fois-ci, c’était trop.
Le papa de Juan se dirigea vers les hommes qui cessèrent de rire. L’un d’entre eux tenait encore dans les mains la perche avec  laquelle ils venaient de porter la viande, et Pablo la lui arracha des mains. « Quelle bonne idée ! » dit-il, « on dirait qu’il y a toujours des gens pour critiquer et se plaindre, peu importe ce qu’on fait pour leur plaire ! Alors je vais devoir apprendre à porter mon âne si je veux vivre ma vie en suivant l’opinion des autres ! »
Là-dessus, il attacha l’âne à la perche, et à l’étonnement général, avec l’aide deJuan, il porta l’âne jusqu’à la sortie du village. Puis il déposa l’âneet le détacha. Alors ils se mirent à rire des gens du village qui les regardaient interloquer.
Pablo donna une tape sur le dos de Juan, gratta les oreilles de l’âne, et ensemble, ils reprirent joyeusement le chemin de la maison.
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Prix de l'Amour
Un agriculteur avait des chiots qu'il avait besoin de vendre.
Il a peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à un poteau sur  le côté de sa cour.
Comme il plantait le dernier clou dans le poteau, il sentit un tirage sur sa salopette.
Il tomba dans les yeux d'un petit garçon.
  - Monsieur, dit-il, je veux acheter un de vos chiots.
  - Eh bien, dit le fermier, en frottant la sueur à l'arrière de son cou, ces chiots viennent des parents très racés et coûtent beaucoup
d'argent.
Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément dans sa poche, il sortit une poignée de monnaie et la tendit à l'agriculteur.
  - J'ai trente-neuf cents. Est- ce suffisant pour jeter un œil ?
  - Bien sûr dit le fermier et il laissa échapper un sifflement.
  - Ici, Dolly! 
Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient  de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture, le petit garçon remarqua quelque chose d'autre qui remuait à l'intérieur de la niche.
Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa. Ensuite, de manière un peu maladroite, le petit chiot rejoint les autres, faisant de son mieux pour ne pas tomber.
  - Je veux celui-là, dit le petit garçon, pointant l'avorton.
L'agriculteur s'agenouilla à côté du garçon et lui dit :
  - Mon enfant, tu ne veux pas ce chiot. Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec  toi comme ces autres chiens le feraient.
Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à rouler une jambière de son pantalon.
Ce faisant, il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue ...
En regardant en l'air vers l'agriculteur, il dit :
 - Vous voyez, monsieur,  je ne cours pas très bien moi-même, et il aura besoin de quelqu'un qui le  comprenne.
Avec des larmes dans les yeux, l'agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot.
Le tenant délicatement,  il le tendit au petit garçon.
Combien? demanda le petit garçon ... Rien, répondit le paysan... il n'y a pas de prix pour l'amour...
Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelqu’un qui les comprenne !
Combien évaluons-nous l’amour dans notre vie ?
Mère Térésa a dit :
« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux ! »
Cette belle histoire illustre ce principe !
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Les Biscuits
Une nuit, une femme attend son vol de nuit à l'aéroport pour rentrer chez elle. Sachant qu'elle a plusieurs heures devant elle, elle achète un livre pour lire, un paquet de biscuits et s'installe confortablement dans un café de l'aéroport en attendant l'arrivée de son avion.   
Très prise par son livre, sans interrompre sa lecture, elle s'aperçoit qu'un homme assis près d'elle commence tout naturellement à piocher un ou deux biscuits dans son paquet. Elle préfère ignorer le sans-gêne de cet inconnu pour éviter une scène.
En grignotant ses biscuits tout en jetant un œil à sa montre de temps en temps, elle s'aperçoit que son paquet de biscuits diminue au fur et à mesure que ce voleur se sert.
De plus en plus irritée par les mauvaises manières de cet homme, elle se met à penser que si elle n'avait pas de retenue, elle se ferait un plaisir de lui mettre un œil au beurre noir.
Pour chaque biscuit qu'elle pioche dans le sachet, lui de son côté  s'en sert un aussi.
Au dernier biscuit, elle se demande ce que ce rustre va faire.
D'un sourire un peu gêné, après avoir coupé le biscuit en deux, il lui propose avec gentillesse l'autre moitié.
Il m'offre la moitié pendant que lui-même mange l'autre?!
De mauvaise humeur elle attrape le morceau de biscuit en pensant:
« Cet homme manque pas de culot,  il a tellement de mauvaises manières, il ne sait même pas dire merci ! »
Elle a du mal à se rappeler la dernière fois qu'elle a été aussi remontée contre quelqu'un.
Avec soulagement, elle entend que son avion est arrivé et que les passagers sont attendus à la porte d'embarquement.
Pressée de quitter la table, elle rassemble avec empressement ses affaires refusant même de jeter un regard vers ce malotru.
Une fois montée à bord de son avion et installée confortablement dans son siège, elle cherche le livre qu'elle a acheté et qu'elle voudrait  bien finir de lire.
En ouvrant son sac de voyage, avec stupéfaction, elle découvre le sachet de biscuits qu'elle a acheté à l'aéroport quelques heures auparavant.
Honteuse de sa conduite, elle se dit: « Si mon sachet de biscuits est ici, cela veut dire que l'autre appartenait àcet  homme et qu'il essayait de les partager avec moi ! »
Trop tard pour s'excuser, elle s'aperçoit que c'est elle qui a manqué de bonnes manières dans cette histoire.
Combien de fois avons-nous pensé que certaines choses sont d'une certaine façonalors qu'elles sont autrement, parfois même complètement à l'inverse.
Alors... « Gardez votre esprit et votre cœur ouvert, il se peut que vous mangiez les biscuits de quelqu'un d'autre ! »
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« La maladie n’a jamais atteint mon cœur ! »
Catherine Bevis raconte que parmi les étudiants d’un collège bien connu, il y avait un jeune homme qui se déplaçait avec des béquilles. Il avait le talent exceptionnel d’être  amical et optimiste et grâce à cela avait gagné le respect de ses camarades de classe. Un jour, l’un d’entre eux lui demanda ce qui avait causé ses déformations. « Paralysie infantile »
répondit-il brièvement, ne souhaitant pas s’étendre sur ses difficultés. « Avec une malchance pareille, comment peux-tu affronter la vie aussi joyeusement ? » demanda son copain. « Oh tu sais, répliqua lejeune handicapé en souriant, la maladie n’a jamais atteint mon cœur ! »

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La photo dans le cadre
Une femme mourante, atteinte du sida, a demandé à un de ses amis qui était chrétien, de venir la voir pour la réconforter, bien que cela semblât sans espoir.
« Je suis perdu » dit-elle. « J’ai ruiné ma vie et de tous ceux qui m’entouraient. Je vais aller en enfer. Il n’y a plus d’espoir pour moi »
Son ami, alors, voit une photo d’une jolie fille, dans un cadre, posait sur sa table de nuit et lui demande :
« Qui est cette jolie fille sur cette photo ? »
Le visage de la femme s’éclaircit  et lui répond :
« C’est ma fille, la plus belle chose de ma vie »
Alors, l’homme lui répond : « Est-ce que vous l’aideriez si elle avait des problèmes, peu importe combien d’erreurs, elle a fait ? Est-ce que vous lui pardonneriez, si elle vous le demandait ? »
« Bien sûr, pourquoi lui refuserais-je ? » La femme s’exclame « Pourquoi me demander une question comme cela ? »
« Parce que, je veux que vous compreniez une chose très importante » lui explique son ami,« Dieu a une photo de vous sur sa table de nuit aussi »
(Contribution de Marty Watson)
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Vous êtes important
Un jour, alors que j’étais en classe de première, je me suis rendu dans une salle de cours pour y attendre l’un de mes amis. Au moment même où j’entrais, je suis tombé sur le professeur, Monsieur Washington, qui me demanda d’aller faire un exercice au tableau noir. Je lui fis remarquer que cela n’était pas possible.
― Et pourquoi pas ? S’enquit-il.
― Parce que je n’appartiens pas à votre classe.
― Ce n’est pas grave. Allez-y quand même.
― Je… je ne peux pas, fis-je.
― Et pour quelle bonne raison ? reprit-il.
Je marquai une pause, embarrassé.
― C’est que… je fais partie de la classe des… « retardés »
Il quitta son bureau et me regarda droit dans les yeux :
―Ne répétez jamais une chose pareille.
N’acceptez jamais comme un fait établi l’opinion que quelqu’un se fait de vous.
Je ressentis à cet instant une grande libération. D’un côté, j’étais humilié parce que les élèves se moquaient de moi ; ils savaient que je suivais le cours spécial. Mais de l’autre, j’étais libéré, car cette remarque m’avait ouvert les yeux : je réalisai soudain que rien ne
m’obligeait à accepter le jugement qu’on portait sur moi.
Et c’est ainsi que monsieur Washington devint mon mentor. À cette époque, j’avais déjà essuyé deux échecs scolaires. Dès la septième, on m’avait placé dans le « cours spécial » avant de me remettre en huitième. Et puis en quatrième, à nouveau, j’avais dû redoubler. C’est dire combien ce monsieur Washington transforma mon existence.
Je dis souvent qu’il opérait dans la ligne de Goethe, lequel écrivait : « Considère l’homme tel qu’il est, et il ne fera qu’empirer. Mais considère-le comme étant ce qu’il pourrait être, et alors il deviendra ce qu’il devrait être »
Monsieur Washington était persuadé qu’il faut viser haut et se montrer exigeant.
Cet homme faisait sentir à ses étudiants qu’il attendait beaucoup de leur part, et nous nous efforcions ― tous les étudiants sans exception― de répondre à son attente.
 
Vous êtes important (2ème partie)
Un jour, alors que j’étais encore en première, j’entendis son discours de fin d’année à ses élèves de terminale qui venaient de réussir leurs examens. Il leur disait entre autre :
― Vous avez en vous quelque chose de grand, quelque chose d’unique. N’y aurait-il qu’un seul parmi vous à entrevoir ce qu’il est vraiment, ce qu’il doit apporter à cette planète et ce qu’il a de spécial, le monde et l’histoire en seraient à tout jamais changés. Vous pouvez faire la fierté de vos parents, de votre école, de votre communauté. Vous pouvez influencer la vie de millions de gens.
Il s’adressait aux élèves de terminale, mais on aurait dit que c’était à moi qu’il parlait. Je me rappelle que tout le monde se leva pour lui faire une ovation enthousiaste. Après quoi je le rattrapai sur le parking pour l’interpeller :
―M. Washington, vous vous souvenez de moi ? J’étais dans l’auditorium quand vous parliez aux terminales. 
― Qu’est-ce que vous faisiez là ? Vous êtes en première.
― Je sais bien. Mais j’ai entendu votre voix à travers les portes. Ce discours, c’était pour moi, monsieur. Vous leur avez dit qu’ils avaient en eux quelque chose de grand, d’unique. Mais j’étais là moi aussi. Y a-t-il en moi quelque chose de grand, monsieur ?
― Oui, monsieur Brown, me répondit-il.
― Mais alors pourquoi est-ce que j’ai échoué en anglais, en maths et en histoire, et que je vais devoir suivre des cours d’été ? Qu’est-ce que vous dites de tout ça, monsieur ? Je suis plus lent que les autres. Je ne suis pas aussi brillant que mon frère, ou que ma sœur qui va entrer àl’Université .
― Peut importe. Il vous suffira de travailler plus dur.
Ce ne sont pas les diplômes qui décident de ce que vous êtes, ni de ce que vous accomplirez dans votre vie.
― Je veux acheter une maison à ma mère.
― C’est possible, M. Brown. Vous pouvez y arriver.
Sur ce, il reprit sa marche.
― M. Washington ?
― Qu’est-ce que vous voulez encore ?
― Euh… c’est de moi que vous parliez, monsieur. Rappelez-vous de moi, de mon nom. Un de ces jours vous l’entendrez. Je vous rendrai fier, monsieur.
L’école fut pour moi un véritable calvaire. On me faisait passer en classe supérieure parce que, après tout, je n’étais pas un mauvais élément.
J’étais un bon garçon. J’étais drôle, je faisais rire mon monde. J’étais poli, j’étais respectueux. Alors les profs me laissaient passer, ce qui n’était pas à mon avantage. Mais M. Washington,lui, se montra exigeant à mon égard.Il me mit en face de mes responsabilités et sut me convaincre que j’étais capable d’y arriver.
Il devint mon professeur en terminale. Normalement, les élèves des « classes spéciales » ne sont pas admis aux cours d’expression orale et d’art dramatique, mais le principal m’avait accordé une dérogation. En effet, comme j’avais commencé à faire de réels progrès, il avait réalisé que M. Washington avait eu un impact sur moi et qu’il existait une sorte de lien entre nous. Pour la première fois de ma vie, j’avais figuré au palmarès. En plus, grâce à ces bonnes notes, je pus réaliser mon rêve, qui était de participer à un voyage d’études avec la classe d’art dramatique. Pour moi, c’était un pur miracle.
Je me construisis une toute nouvelle image de moi-même. Monsieur Washington me fit dépasser la vision étriquée que j’avais de ma personne en me libérant de mes limites mentales et des circonstances.
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La femme et le mendiant.
Une belle histoire…Le juste retour des choses !
Un jour, une femme  aperçoit un mendiant, assis sur un trottoir, dans la rue ...Elle s'est approchée de lui et comme le pauvre est déjà habitué à être humilié par tous, il l'a ignorée ...Un policier, observant la scène, s'est approché :
- Il vous importune Madame ?
Elle a répondu :
- D'aucune façon, j'essaye de l'emmener jusqu'à ce restaurant, parce que je vois qu'il a faim et il n'a même plus la force de se lever. Vous Monsieur le policier,  m'aideriez-vous à l'emmener jusqu' au restaurant à côté ?
Rapidement, le policier a aidé le pauvre homme, même comme ça, il ne voulait pas croire que cela pouvait arriver ! 
En arrivant au restaurant, le serveur qui est allé les accueillir, dit, sans aucune délicatesse :
- Excuser moi Madame, mais il ne peut pas rester ici. Il va faire peur à mes clients !
La femme vexée, a soulevé les yeux et dit :
- Vous savez que l'énorme entreprise là en face, trois fois par semaine, leurs directeurs viennent ici avec des clients, et qu'ils
viennent aussi pour faire des réunions dans ce restaurant ! Et je sais combien d'argent ils vous laissent, et c'est essentiellement ce qui fait vivre ce restaurant. Et je le sais, parce que je suis le patron de cette entreprise. Alors je peux prendre le repas ici, avec mon ami ou non ?
Le serveur a fait un signe positif de la tête, le policier qui observait la scène a été stupéfié, et le pauvre homme très ému, à ce moment précis, laissa couler une larme de ses yeux.
Quand le serveur, a reculé, l'homme a demandé :
- Merci Madame, mais je ne comprends pas ce geste de bonté.
Elle lui prit les mains et lui dit :
- Tu ne te rappelles pas de moi, Jean ?
- votre visage me dit quelque chose, a-t-il répondu timidement, mais je ne me souviens plus d'où.
Elle, les larmes aux yeux, lui dit :
- Il y a un certain temps, jeune et sans expérience, je suis arrivée dans cette ville ... Sans aucun argent en poche ... j'avais très faim, je me suis assise à cette place où je vous ai trouvé, car j'avais un entretien d'embauche dans cette entreprise, qui aujourd'hui est la
mienne ... 
Quand un homme, s'est approché de moi, avec un regard généreux. Tu te rappelles maintenant Jean ?
En larmes, il affirma que oui.
- À ce moment-là, vous travailliez ici même, dans ce restaurant. Ce jour-là, j'ai fait le meilleur repas de ma vie, parce que j'étais très
affamée et quasiment sans forces. Chaque minute, je vous regardais, parce que j'avais peur de vous nuire, parce que j'étais là à manger gratuitement.  Quand j'ai vu que vous preniez de l'argent de votre poche et que vous le mettiez dans la caisse du restaurant, j'ai été bouleversée ... Et j'espérais qu'un jour je pourrais vous rendre la pareille. J'ai mangé et puis je suis allée avec plus de confiance,  à mon entretien.
À ce moment-là, l'entreprise était toute petite ... j'ai été acceptée à l'entretien, je me suis spécialisée, j'ai gagné beaucoup d'argent, puis j'ai fini par acheter quelques actions de l'entreprise, et finalement, j'en suis devenue la patronne ... J'ai fait de l'entreprise ce qu'elle est aujourd'hui.
J'ai vous ai recherché, mais je n'ai jamais réussi à vous retrouver ... Jusqu'à aujourd'hui, et je vous vois dans cette situation. A partir
d'aujourd'hui, vous ne dormirez plus dans la rue Jean ! Vous venez avec moi, chez moi ... Demain, nous vous achèterons de nouveaux vêtements et vous travaillerez avec moi !
Ils se sont pris dans les bras,  en pleurs.
Le policier, le serveur et les autres personnes, qui ont vu la scène, ont été ébahies en raison de la grande leçon de vie, dont ils venaient d'être témoins.
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« Une fin heureuse dépend où vous avez arrêté votre histoire » (Orson Wells)                                                                        
19/02/2019 - 16:44
Bretagne-Ille-et-Vilaine.
Pollution en mer : des macarons sur la côte d'Émeraude pour éduquer.

Le slogan devant les bouches d'égoût : "La mer commence ici, ne rien jeter"
/ © Catherine Jauneau - France 3 Bretagne

"La mer commence ici, ne rien jeter", c'est un message au pied des bouches d'égoût. L'association coeur Emeraude lance une action de sensibilisation auprès du public pour lutter contre  la pollution en merdans les communes du littoral d'Ille-et-Vilaine et des bords de Rance.
Par Krystell Veillard Publié le 19/02/2019.
Les premiers macarons sont installés près des bouches d'égoût, en bord de mer. Il s'agit avec ce message " la mer commence ici, ne rien jeter" de sensibiliser le public à ne jeter ni mégots, ni aucun détritus en général par terre ou dans ces bouches d'égoût. "À l’heure, précise l'association Coeur Emeraude, environ 80% des détritus retrouvés dans les océans sont d’origine terrestre, cette campagne de sensibilisation est le moyen de rappeler qu’un déchet, liquide ou solide, jeté dans les égouts est un déchet retrouvé sur la plage ou en mer".  C'est en effet parfois depuis les avaloirs d'eaux pluviales et les canalisations, que les déchets arrivent dans la mer ou sur la plage. 
 Dix-sept communes mobilisées pour la qualité de l'eau.
Dix-sept communes qui bordent l’estuaire de la Rance et le littoral d’Ille-et-Vilaine participent donc à cette opération menée par l’association Cœur Emeraude. L'idée étant plus d'éduquer la population que de sévir. "Faire prendre conscience aux gens qu'ils sont tous citoyens pour la qualité de l'eau !" précise Jean-Francis Richeux, Vice-Président de l'association. Dans ces communes littorales, on ne peut pas se permettre de fermer une plage, c'est à la fois un enjeu écologique, économique et touristique ! rappelle le maire de Dinard.
Une nouvelle action de l'association Cœur Emeraude, qui prépare la naissance d'un futur Parc naturel régional Rance-Emeraude, dont le classement est attendu pour 2020 ! 

 Le reportage à Dinard (35) de Catherine Jauneau, Jean-Michel Piron et David Mérie
ux.
Ce commentaire a été modifié le 19/02/2019 à 16:47
19/02/2019 - 08:49
TV5 Vous Offre Un Regard Inédit. Par Jessica Gauthier-Tetreault .


TV5 explore les moments déterminants de l’aventure humaine et propose des portraits saisissants de personnages qui ont changé le cours de l’Histoire. Partez à l’aventure aux quatre coins de la planète, jetez un nouveau regard sur la diversité et la beauté du monde!
Vous êtes curieux d’en apprendre sur le contexte des belles images de notre campagne du printemps ?
Voici la série de 5 histoires coups de coeur, qui englobe notre mission de projeter les choses… autrement!

« Sois Le Changement Que Tu Veux Voir Dans Le Monde » – Gandhi Maha.
Shivaratri est l’une des principales fêtes religieuses en Inde. Elle débute chaque année la nuit précédant la nouvelle lune du 11e ou du 12e mois du calendrier hindou.

La célébration est marquée par une journée de jeûne qui se clôt par un repas de dattes, fruits, noix, patates douces et riz pilé.
La nuit est dédiée à la prière dans laquelle on rend hommage au seigneur Shiva, la force à l’origine de la transformation et de la croissance, par le biais de méditation pour invoquer la présence de Shiva dans nos cœurs.
La cérémonie consiste principalement en la récitation de mantra, qui permet d’acquérir la force nécessaire pour relever un défi, atteindre unobjectif ou surmonter un blocage pouvant nuire à notre bien-être.
Les participants viennent à tour de rôle en groupe de trois personnes s’asseoir au hoven, foyer cérémonial, pour jeter des offrandes d’herbes sacrées (ahutis) dans le feu.
Cette étape symbolise qu’on élimine des traits négatifs de notre tempérament, de notre caractère et de notre comportement.

« Délaissez Les Grandes Routes, Osez Les Sentiers »– Pythagore .
L’Alaska, c’est 3 800 km d’est en ouest, 2 300 km du nord au sud, soit 3 fois la France pour bien moins d’un million d’habitants, mais aussi 150 000 orignaux, 110 000 ours noirs, 100 000 glaciers et 35 000 grizzlys.

Ce sont les Aléoutes qui ont donné son nom à l’Alaska, un nom à sa mesure,signifiant
« grande terre ». De l’emblématique mont McKinley aux glaciers bleutés, c’est la nature que l’on vient rencontrer en Alaska.
Une nature où s’évanouissent tous les bruits du monde.

Explorez, rêvez, découvrez. Il n’y a de plus belle aventure sur terre que de vivre la vie de vos rêves !

« La Pluie Mouille Le Zèbre, Mais N’efface Pas Ses Rayures » – Proverbe Masaï.
D’eux, on connaît leur longue silhouette au port altier drapée de rouge. Ils ont une démarche princière et fière. Ils ont une beauté mystérieuse.
Les Masaï sont une population d’éleveurs et de guerriers semi-nomades d’Afrique de l’Est, vivant principalement dans le centre et le sud-ouestdu Kenya, ainsi que dans le nord de la Tanzanie.
Leur vie traditionnelle s’organise autour du bétail, qui constitue leur principale source de nourriture. La richesse d’un Masaï est donc déterminée par le nombre de vaches que possède sa famille.
Ils peuvent prélever le sang des jeunes bovins sans les tuer, en incisant la veine jugulaire au niveau du cou, à l’aide d’une flèche.
Un bol de sang mélangé à du lait représente l’aliment de base. La viande est réservée aux cérémonies.
Les Masaï transmettent de génération en génération une spiritualité riche, qui conçoit l’homme comme le cocréateur de l’univers aux côtés de leur dieu unique, En-Kai.
Leur goût pour les vêtements rouges s’explique par l’utilisation traditionnelle d’ocre; les morane se tressent les cheveux et les teignent en rouge et tous aiment porter des bijoux.
Le rouge et le noir sont les deux couleurs fondamentales dans la culture Masaï : elles symbolisent les deux principaux états d’âme de Dieu, la colère et la bienveillance.

« Entre Le Ciel & La Mer, Un Monde S’installe » Le marché Damnoen Saduak .
C'est certainement l’un des marchés flottants les plus reconnus, et généralement celui figurant sur les cartes postales dela Thaïlande.

Les fruits et légumes, en passant par les textiles, tout se vend… sur l’eau!
Il est situé dans la province de Ratchaburi, à environ 80 km au sud-ouest de Bangkok. Des centaines de paysans y échangent les produits de leurs champs dès le lever du jour. Les vendeurs de la région sont en général issus d’une lignée de marchands depuis des générations.
Ce sont surtout des femmes qui mènent les transactions; vêtues de robes colorées et de chapeaux coniques, elles prennent place dans les bateaux àfond plat débordant de produits soigneusement alignés selon leur couleur et leur grosseur.
La notion du « vivre ensemble » est très forte en ce village aquatique où les sourires abondent.

Ce commentaire a été modifié le 19/02/2019 à 09:29
19/02/2019 - 07:28
Temple De Poséidon À Sounion En Grèce...


Cap Sounion
Le cap Sounion (en grec ancien Ἄκρον Σούνιον / Ákron Soúnion ; en grec moderne Aκρωτήριο Σούνιο / Akrotírio Súnio ou Κάβο κολώνες / Kávo kolónes ou Καβοκολώνες / Kavokolones ; en latin Sunium promontorium, en vénitien Capo Colonne ;
Appelé cap Colonna avant le XXe siècle) est un cap de Grèce qui s'avance à 45 kilomètres au sud-est d’Athènes dans la mer Égée et qui constitue l'extrémité de l'Attique. Il est surtout renommé pour les ruines d'un temple dédié à Poséidon. Il est classé parmi les parcs nationaux de Grèce.
La première mention du cap dans la littérature antique remonte à l’Odyssée (III, 278), qui parle du « Sounion, le saint cap d'Athènes » (Σούνιον ἱρὸν […] ἄκρον Ἀθηνέων / Soúnion hiròn […] ákron Athênéôn).
Les esclaves fugitifs, venant des mines du Laurion, s’y réfugient dès le VIIIe siècle av. J.-C. Le cap est fortifié en 413 av. J.-C. pour protéger l’approvisionnement en blé d’Athènes.
À quelques centaines de mètres du temple de Poséidon, se trouvent les ruines d'un sanctuaire dédié à Athéna, dont les ruines ont été réutilisées dès l'époque antique.
Sommaire Temple de Poséidon  Légende Dans la culture populaire  Références

                           Temple de Poséidon au cap Sounion.

Le Temple De Poséidon En Grèce 
Grèce > Environs d'Athènes > Cap Sounion > Temple de Poséidon
Le temple de Poséidon se dresse majestueusement à l'extrême pointe du cap. Ne pas se faire d'illusions, le coin est très touristique. Le temple, du IVe siècle av. J.-C., vaut surtout pour son emplacement exceptionnel, en surplomb de la mer. De là, merveilleux coucher de soleil.
Les ruines du temple de Poséidon, bâti au milieu du Ve siècle av. J.-C., surplombent la mer d'une hauteur de près de 60 mètres. Les colonnes du temple mesurent 6,10 mètres de haut, pour un diamètre de 1 mètre à la base et 79 centimètres au sommet.
Leurs cannelures, moins nombreuses que d’habitude (16 au lieu de 20), ont étéétudiées pour résister à l’action de l’air salin. Le poète anglais Lord Byron grava son nom sur l’une de ces colonnes.
Homère appelait le temple de Poséidon le promontoire sacré et les marins y invoquaient le dieu de la Mer.
Selon la légende, le cap Sounion est le lieu d’où Égée se serait jeté à la mer. Son fils Thésée avait convenu avec lui que s’il sortait victorieux de son combat avec le Minotaure, il hisserait des voiles blanches sur son bateau, alors que s’il était tué, l’équipage devrait laisser au bateau ses voiles noires.
Égée vit arriver au loin le bateau arborant de grandes voiles noires, car Thésée avait oublié de hisser les blanches, et de désespoir se jeta du haut des rochers dans la mer. D'où le nom de la mer Égée.
Légende.
Lors d'une fête à Athènes, les dieux organisèrent un concours pour savoir lequel d'entre eux serait le protecteur de la ville. Poséïdon, dieu des mers, frappa un rocher de son trident.

De cette faille, jaillit l'eau salée. Athéna créa l'olivier, symbole de paix qui plus tard deviendra son emblème. Toutes les femmes athéniennes votèrent pour Athéna et tous les hommes pour Poséïdon.
Les femmes étant plus nombreuses que les hommes, ce fut Athéna qui devint la protectrice d'Athènes.
Alors Poséidon inonda la campagne environnante sous le coup de la fureur, jusqu'à ce que Zeus trouve un arrangement : Poséïdon obtint ainsi un temple au cap Sounion.
Dans La Culture Populaire.
Le lieu apparaît dans le manga Saint Seiya : une première fois dans l'arc Poséidon une seconde fois dans l'arc Omega - Pallas. Le lieu désigne une prison fictive au niveau de la mer ou sont enfermés les saints n'ayant pas juré fidélité à Athéna, ou les ennemis de cette dernière ;

Pour se sortir de cette prison soumise aux marées, la légende relate que seul le pouvoir d'un dieu le permet. Actuellement seul les identités de deux prisonniers ont été révélées :
Kanon des Gémeaux, enfermé par son propre frère Saga des Gémeaux, ayant décelé en lui une part d'ombre incompatible avec les devoirs d'un saint d'Athéna, son séjour à Sounion, lui révélera l'une des entrée d'Atlantis...

Le royaume de Poséidon, en effet caché derrière l'une des parois de la cellule-caverne était dissimulé le trident de Poséidon, scellé par un des sceaux d'Athéna ;Sceaux que seuls peuvent briser avant l'heure les saints : cette action
permettra à Kanon de révéler involontairement l'une des entrées du royaume sous-marin.

Le sceau levé, Kanon est aspiré par un tourbillon jusqu'au parvis du temple en ruine de Poséidon en Atlantis, sa seconde action, dans la salle des Ecailles, lèvera le second sceau d'Athéna apposé sur l'urne contenant l'âme de Poséidon, réveillant le dieu endormi depuis des siècles et donnant lieu a la première guerre divine contemporaine de l'univers saint Seiya.
Paradox des Gémeaux : elle y fut enfermée pour ne pas avoir juré fidélité à Athéna, à la suite de la bataille contre Mars et Abzu.
Elle n'en sera délivrée que par Gallia, l'un des quatre pallasites de premier rang, possédant l'épée du dieu de la guerre.
Cap de la Grèce
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Cap de la mer Égée
Cap Sounion, sur Wikimedia Commons
Le Parc National de Sounion
 [archive] sur le site de l'ambassade de Grèce.





 


19/02/2019 - 06:41
Éphéméride du 50ème jour de l’année : 19 février.

Saint du jour :
Saint-Gabin
, sénateur romain et frère du pape CAÏUS (Mort en 296) selon les uns, prêtre romain jamais persécuté selon les autres, il fut enterré dans la basilique Sainte-Suzanne d’où son renom de Sainteté.
                                  
   

Étymologie :
Gabin, du latin Gabinus, nom d’une famille romaine, de Gabies, ancienne ville du Latium.


Patron(nes) :
Saint-Boniface de Lausanne est invoqué pour soulager les douleurs causées par les rhumatismes.
Saint-Conrad de Plaisance est invoqué pour obtenir la guérison des hernies.
Sainte-Philotée est la patronne d’Athènes.


Dictons :
À la Saint-Gabin, chauffe le four et plante le grain.
Février trop doux, printemps en courroux.
La nouvelle lune de février, sert, pour l’année, de calendrier.
Saint-Boniface brise la glace.