De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
18/11/2018 - 16:26
Le Désert D’Atacama Au Chili.

Source :  Dailygalaxy
Les chercheurs ont repéré l'emplacement le plus sec sur terre dans le désert d'Atacama, une région au Chili, déjà reconnu comme le plus aride du monde. Ils ont également trouvé des preuves de vie sur le site, une découverte qui pourrait avoir des implications pour la recherche de vie sur Mars.
Le désert d'Atacama est un désert hyperaride situé au Chili en Amérique du Sud. C'est un désert d'abri coincé entre la fosse océanique d'Atacama et la Cordillère des Andes. Il est situé dans le nord du pays, dans la région d'Antofagasta et le nord de la région d'Atacama, non loin de la ville de Calama.
Pays aymara, l'Atacama offre une ligne volcanique, marquant la frontière entre le Chili, la Bolivie et l'Argentine. Tout au long de cette barrière naturelle, il y a des volcans frôlant les 6 000 mètres, entourés par des lagunes turquoise, des geysers et des vallées encaissées.
Plusieurs observatoires astronomiques internationaux sont établis dans ce désert « extraterrestre » où la NASA a testé de petits véhicules avant qu'ils aillent explorer Mars. Le robot sur quatre roues baptisé Zoë (en) a trouvé des colonies de bactéries et des lichens sur deux sites distincts de ce désert qui présente pourtant la plus faible densité d'activité organique de la Terre.
Observatoire Astronomique Cerro Tololo Inter-American Observatory Observatoire de Cerro Pachón Observatoire Gemini Observatoire de La Silla Observatoire de Las Campanas Observatoire du Cerro Paranal Observatoire de Cerro Armazones (European Extremely Large Telescope) (En Projet Pour 2024)  Histoire
La rivalité engendrée pour l'Atacama et surtout le territoire des Charcas entre, d'une part le Chili soutenu par la Grande-Bretagne, relayant en partie les intérêts des grandes puissances européennes, et d'autre part, le Pérou et la Bolivie républiques solidaires par un traité de défense à l'origine, est la cause de la guerre du Pacifique, encore dénommée guerre du salpêtre ou du nitrate, qui dura de 1879 à 1884.
La guerre du désert en 1880 mit aux prises l'armée chilienne et l'armée bolivienne, avec les batailles incertaines dePisagua, Tacna, Tarapaca et Arica.
La prise de Morro de Arica amène la victoire définitive du Chili et le retrait précipité de la Bolivie.

Richesse Minière.

La Minera Escondida
Le désert d'Atacama est riche en minerais, notamment le cuivre et le fer, l'or et l'argent. Antofagasta était au XIXe siècle aussi le port du guano et du salpêtre, sources d'extraction de nitrates cruciales pour l'industrie chimique, en particulier les engrais, la poudre et les explosifs, bien sûr avant l'invention du procédé Haber Bosch.
Le peuplement de cette région hostile était favorisé par les activités minières, qui, dans le cas des importantes sources de nitrates, étaient hautement stratégiques.
Désert d'Atacama, sur Wikimedia Commons


CLIC...........................Atacama Desert, Chile from Arthur Gonoretzky on Vimeo.

18/11/2018 - 10:50
Les plus belles portes d’entrée de Paris.  
Si l’on prête un peu attention à l’architecture parisienne, il n’est pas rare de découvrir des immeubles insolites, inclassables ou simplement issus des courants architecturaux les plus originaux, l’art nouveau et l’art déco pour ne citer qu’eux.
Et puis, parfois, certains immeubles nous apparaissent sans particularité et ce n’est qu’en y regardant de plus près que l’on découvre leurs jolis détails. Des poignées de porte richement décorées, un travail de ferronnerie digne d’une véritable oeuvre d’art,des arcs de porte sculptés à la main qui laissent entrevoir de multiples détails ou des créations en mosaïque à faire pâlir les meilleurs mosaïstes romains. Les architectes, sculpteurs et autres ferronniers de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ont rivalisé d’audace et d’imagination pour créer des portes d’entrée à la hauteur des bâtiments qu’ils ont construits ou les dépassant allègrement. Tour d’horizon des plus jolies portes d’entrées à découvrir dans les rues de
la capitale.

Les chefs-d’oeuvre de Jules Lavirotte.
Les rues de Paris n’auraient sans doute pas le même visage sans les pépites architecturales que nous a laissé cette figure emblématique du mouvement Art nouveau en France. Le travail de cet architecte qui a remporté trois concours de façades de la ville de Paris, et qui a fait du 7e arrondissement son terrain d’expression favori, ravira les amateurs de portes richement décorées, mêlant lignes sinueuses, travail de ferronnerie inspiré du monde végétal et motifs floraux minutieusement sculptés.


Porte du Ceramic Hotel au 34 avenue de Wagram, 75008. Immeuble construit en 1904. © Phil Beard



Porte du 12 rue Sedillot, 75007. Immeuble construit en 1899.



Porte du 29 avenue Rapp, 75007. Immeuble construit en 1901.



Porte du 3 square Rapp, 75007. Immeuble construit en 1899. © Jean-Pierre Dalbera

Les plus belles réussites des autres architectes, sculpteurs et ferronniers
Porte du 2 rue Eugène Manuel, 75016. Immeuble construit par Charles Klein en 1902. © Jean-Pierre Dalbera



Porte de l’Hôtel Guimard, 122 avenue Mozart, 75016. Immeuble construit en 1909 par Hector Guimard.


Porte de l’immeuble Castel-Beranger, 14 rue La-Fontaine, 75016. Immeuble construit entre 1895 et 1898 par Hector Guimard.


Porte de l’immeuble Deneux au 185 rue Belliard, 75018. Immeuble construit entre 1910 et 1913 par Henri Deneux. © Phil Beard


Porte du 50 avenue Ségur, 75015. Immeuble construit par Gabriel Ruprich-Robert en 1899. © Jacques Lasserre



Porte du 67 boulevard Raspail, 75006. Immeuble construit par Léon Tissier en 1913. © Jacques Lasserre


Porte du 31 rue Campagne-Première, 75014. Immeuble construit en 1911.



Porte du 22 rue Trousseau,75011. Immeuble construit en 1902 par L.Blanc. © Jacques Lasserre


Porte du 8 rue Poirier-de-Narçay, 75014. Immeuble construit par Paul Shroeder en 1904. © Jacques Lasserre


Double-porte de l’Hôtel Baconnier au 3 rue Alfred Dehodencq, 75016. Immeuble construit en 1905.


 

????....si quelquun la reconnait merci de le signaler pour que je le note.


 
18/11/2018 - 10:41
Les plus belles stations du métro parisien.
 
Des couloirs et des voûtes recouverts de petits carreaux de faïence blanche du sol au plafond, le nom de la station inscrit en blanc sur une tôle bleue, des panneaux publicitaires comme seuls motifs de décoration… A priori, les stations du métro parisien se ressemblent toutes ! Pourtant, parmi ces 303 stations si typiques, certaines se distinguent pour leur beauté ou leur originalité.

La station Arts et Métiers (ligne 11)
Le quai de la ligne 11 de la station Arts et Métiers est sans doute le plus original de tout le réseau parisien. Hublots, plaques de cuivre surles murs, grands rouages au plafond… Il n’y a pas de doute, on se trouve bien dans un univers parallèle ! Pour se sentir hors du monde au coeur du métro parisien, c’est dans cette station, à mi-chemin entre un
sous-marin à la Jules Verne et une machine folle sortie de l’imaginationde François Schuiten, qu’il faut aller !


© fredfm

La station Liège.
La station Liège est typique tout en restant unique en son genre. Décorée des emblématiques carreaux de faïence blanche, avec son nom annoncé sur des mosaïques bleues, elle est aussi depuis 1982, revêtue de fresques encéramique de Welkenraedt. Les fresques, installées dans les cadres publicitaires, représentent des paysages et des monuments de Liège. Une façon de rendre un hommage à nos amis belges et d’éviter un peu le matraquage publicitaire du métro !

La station Cité.
Si vous prenez la ligne 4, on vous conseille de faire plus attention à la station Cité ! Cette dernière est en effet étrangement éclairée par une lumière tamisée verdâtre : une lumière que l’on doit aux magnifiques lampadaires qui jalonnent le quai et que l’on ne trouve que dans cette station. Sa profondeur de 20 mètres sous le sol et ses puits d’accès ouverts sur le quai la rendent d’autant plus majestueuse.

© jartco / Instagram

La station Bir Hakeim.
Largement empruntée par les touristes, Bir Hakeim fait partie de la dizaine de stations aériennes présentes dans la capitale. Elle est recouverte d’uneimposante verrière décorée de double-vitraux à chacune de ses extrémités, oeuvres d’une Américaine, Judy Ledgerwood. De Bir Hakeim, letrajet en métro vaut aussi le coup car il offre l’une des plus belles vues de Paris sur la tour Eiffel.

© jumei.liu.23 / Instagram


La station Cluny – La Sorbonne .
Aviez-vous déjà remarqué que la station Cluny-La Sorbonne possède trois voies et non deux ? Cette particularité, due à la présence d’une voie de raccordement avec la ligne 4, ne la rend pas jolie pour autant : c’est surtout grâce à son plafond que la station est connue ! En effet, la voûte de son unique quai est décorée par une vingtaine de mosaïques de Jean Bazaine représentant les signatures de célèbres étudiants de la Sorbonne. De quoi lever un peu la tête !

© zullodon / Instagram


La station Gare de Lyon (ligne 14) .
Comme toutes les stations de la ligne 14, la station de métro Gare de Lyon fait partie des plus modernes : lumineuse, spacieuse… et verdoyante ! Ehoui, c’est bien un jardin exotique qui décore le quai en direction d’Olympiades. À l’origine, il s’agissait simplement de combler l’espace entre la station et la Maison de la RATP située derrière, mais peu importent les
raisons, c’est une bonne chose que la RATP se mette au vert.


© Jean-François Mauboussin

La station Louvre-Rivoli (ligne 1).
Lumière feutrée, reproductions de statues de l’Antiquité ou du Moyen Âge, murs recouverts de grès, plafonds vêtus de noir… Y a pas à dire, depuis sa rénovation et le renouvellement de sa scénographie en 2015, la station Louvre-Rivoli a retrouvé son statut de station la plus culturelle du réseau.

© kayocorico / Instagram


La station Concorde (ligne 12).
Depuis 1991, l’intégralité des voûtes du quai de la ligne 12 de la station Concorde est décorée d’une œuvre en céramique réalisée par l’artiste Françoise Schein. Constitué de lettres bleues sur fond blanc, ce gigantesque tableau reproduit le texte de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. On trouve cela presque impossible à déchiffrer, mais au moins, c’est photogénique et y a de quoi faire passer le temps !

 


18/11/2018 - 10:30
De la campagne italienne aux bidonvilles de Manille.
 
(Photo: petite soeur Annarita avec un jeune garçon)
Patrick intro : Il y a des gens merveilleux dans ce monde, des gens qui se donnent jour etnuit par amour pour les autres. Qui ont sacrifié tout ce qu’ils avaientpour apporter un peu d’espoir, de réconfort, et d’aides à ceux qui sontles plus démunis. Ceci est la merveilleuse histoire de missionnaires qui parcourent le monde, au prix du danger constant, pour apporter l’évangile et la bonne nouvelle aux pauvres ! « Personne n’a un plus grand amour que celui-ci qui donne sa vie pour les amis »
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De la campagne italienne aux bidonvilles de Manille
Domitille Farret d'Astiès | 24 août 2018
Mandaluyong City, au cœur du Grand Manille. C’est là que vit sœur Annarita, italienne, missionnaire aux Philippines depuis 27 ans.
Le Grand Manille, titanesque ensemble de 14 millions d’habitants, abrite 17 villes au total.
Une super-cité pleine de contrastes, marquée par des années de domination espagnole, où se côtoient quartiers d’affaires ultra modernes et immenses bidonvilles.
Sœur Annarita, 62 ans, partage sa vie avec cinq autre sœurs. Une communauté très internationale puisque chacune est originaire d’un pays différent :Sri Lanka, Pakistan, Vietnam, France, Philippines et Italie. Elles font partie de la Fraternité des Petites Sœurs de Jésus, qui vit de la spiritualité de frère Charles de Foucauld, et habitent aujourd’hui dans un quartier simple de Mandaluyong City.

(Photo: les petites soeurs de la Fraternité de Mandaluyong. Une fraternité aux couleurs internationales! De gauche à droite: Maria Huyen (vietnamienne), Gone (sri lankaise), Seraphina Jong Hwa (coréenne), Annarita (italienne), et Gosia (polonaise))
Depuis leur arrivée dans la région en 1976, les religieuses ont logé dans différents quartiers, notamment parmi les gens des bidonvilles, qui représentent près de la moitié de la population de cette grande métropole. Elles ont choisi de vivre au milieu des plus pauvres.
En janvier 1992, trois d’entre elles se sont installées dans une petite baraque à Quezon City, dans le nord de Manille, au milieu de 2.000 familles. Les problèmes rencontrés étaient nombreux (drogue, vol organisé, prostitution) et les conditions de vie très précaires. Pour s’approvisionner en eau, il fallait se rendre au point public, au milieudes baraques et des fosses septiques, pour l’acheter.
De surcroît, elle était disponible à peine deux heures par jour : « Le problème de l’eau était vraiment terrible. Nous en manquions. Il
fallait parfois aller la chercher dans des quartiers voisins mais elle était lourde à transporter, tandis que les terrains de golf à côté étaientabondamment arrosés. Les gens étaient habitués car c’était la conditiondes pauvres, mais moi-même j’étais révoltée », témoigne la religieuse. Sans compter les fréquentes coupures d’électricité et la chaleur pesante de ce pays tropical…

« Tout cela m’a beaucoup appris sur la persévérance de ces personnes que parfois l’on juge paresseuses de l’extérieur. C’est grâce à mes voisins que j’ai appris à vivre ici. Chez eux, j’ai découvert les valeurs qui soutiennent les pauvres : une foi simple en Dieu “qui ne nous oublie pas”, disent-ils, et la solidarité de chaque jour », témoigne la missionnaire. Car dans le bidonville, précise-t-elle, on partage facilement ce qu’on a.
Depuis 2004, les sœurs ont l’eau courante. Un grand progrès.

(Photo: la joie de vivre des enfants, une réalité palpable)
La vie de Nazareth.
Aujourd’hui, les sœurs ont quitté le bidonville et se sont installées à Mandaluyong City, pour répondre à d’autres besoins. Petite sœur Annarita travaille àmi-temps comme femme de ménage : « C’est un travail déprécié. Quand j’ai commencé, les voisines se sont réjouies. En effet, elles se sentent très humiliées de faire la lessive, le repassage et le ménage pour les familles riches car elles sont parfois traitées avec mépris… Cela les a bouleversé car je devenais l’une d’entre elles », raconte-t-elle.
À côté, elle s’occupe de la maison, prend le temps de rencontrer ses voisins (un petit groupe se retrouve chaque semaine pour un partage d’Évangile et de vie), accueille ceux qui frappent à la porte — qu’il s’agisse d’amis ou de gens qui demandent à manger — et entretient les liens avec leur paroisseou d’autres organisations au service des plus humbles.
« C’est la vie simple de la plupart de gens, mais marquée par la prière, qui est au cœur de chaque journée. Nous voulons être contemplatives dans la vie ordinaire des pauvres, où les « semences du Royaume de Dieu » sont déjà présentes. Mais pour les découvrir, nous avons besoin de silence, de prière et d’écoute, afin d’affiner le regard du cœur. Nos fraternités
vivent dans la réalité quotidienne de la plupart des gens, parmi les pauvres. C’est ce que nous appelons la vie de Nazareth, une présence simple, de partage dans l’amitié et la prière, à l’exemple de frère Charles. Il rêvait de petites fraternités qui puissent partager l’amour de Dieu en vivant dans des milieux difficilement accessibles par la pastorale habituelle de l’Église », explique-t-elle.
Si la Fraternité des Petites Sœurs de Jésus était à ses débuts exclusivement consacrée au monde musulman, elle a rapidement gagné différents milieux éloignés de l’Eglise, à commencer par le monde ouvrier, puis par les nomades de tous genres sur les cinq continents. 


(Photo: petite soeur Annarita avec un jeune voisin qui a ramassé des noix de coco)
Crier l’Évangile par la vie.
Les sœurs vivent en petites fraternités dans des quartiers pauvres ou marginalisés. Elles ont le même style d’habitat que leurs voisins : roulotte ou tente au milieu des nomades, baraque dans les bidonvilles, cabane parmi les paysans d’Asie, petit appartement dans les quartiers populaires des grandes villes d’Europe…Quelle que soit la taille de leur logis, elles dédient toujours un petit coin àla chapelle car, ainsi que le précise sœur Annarita, « c’est cette présence de Jésus qui donne sens, vigueur, espérance à notre présence. Nous souhaitons vivre dans les mêmes conditions que nos voisins et partager avec eux travail manuel, transport public, fêtes… Nous essayons en particulier d’être au service de ceux et celles qui ne comptent pas dans la société, que ce soit nos compagnons de travail ou nos voisins. Notre présence est une façon de signifier que l’essentiel n’est pas de faire des choses grandes ou petites, mais de crier l’Évangile par la vie avant d’en parler »

(Photo: des voisins du quartier de Diliman "qui signifie 'endroit sombre', à Quezon City)
« Notre plus grand défi est la vie communautaire, car elle touche au commandement de Jésus de nous aimer les uns les autres. Nous sommes de nationalités, cultures, langues, milieux différents… C’est un exercice d’amour quotidien d’intégrer les diversités pour qu’elles soient une richesse et non une source de division », ajoute-t-elle.
L’apprentissage de la confiance.
Née dans une famille modeste de cinq enfants, près de la ville de Trente, au nord de l’Italie, elle a senti dès l’enfance un appel à la vie missionnaire.
« Mes premières années ont été marquées par une certaine pauvreté, mais j’ai reçu un héritage précieux. J’ai bu la foi “avec le lait de maman” et j’ai appris à faire confiance à la Providence amoureuse de Dieu. Mes parents ont redécouvert la beauté de leur vie toute simple quand ils ontréalisé que j’allais moi-même expérimenter une vie finalement pas très
différente de la leur. C’est la plus belle façon de dire que Jésus est venu consacrer la vie telle qu’elle est. L’extraordinaire est caché dans l’ordinaire ».
Quelques années plus tard, en cherchant à nouer des liens avec des missionnaires de son diocèse, la jeune femme découvre une Église vivante sur différents continents. C’est ainsi que se forme son désir d’aller donnersa vie en Asie.
Pour la missionnaire, la grande richesse des Philippins est leur capacité à garder le sourire au milieu des problèmes :
« Ils ne dramatisent pas. Même après une tragédie, ils recommencent toujours »
Elle raconte l’histoire de Fernand, qui vivait de vols dans la rue et qui a été emprisonné, aujourd’hui père de famille. Ou encore de Lerma, qui a découvert que son mari avait une deuxième famille et qui, malgré sa révolte, a silencieusement aidé son autre femme quand elle a eu besoin d’aide. Elle explique que là-bas, les gens aiment célébrer, faire la fête, prendre du temps pour les relations. Elle évoque la « dette de gratitude »(utang na loob, en tagalog), très profondément enracinée :
« C’est le sentiment de reconnaissance profonde qu’untel peut avoir envers celui qui lui a fait du bien. Cette loyauté est très belle, mais peut aussi amener à une dépendance celui qui ne peut pas payer en retour. Certaines personnes puissantes utilisent cela au détriment des plus pauvres »
L’Italienne est marquée par cette culture qui aime profondément la vie et les enfants, par la simplicité de cœur de ceux qu’elle rencontre. Même si parfois, pour éviter de gêner ou d’être gêné, ces qualités deviennent excessives. De plus, la corruption, répandue à de nombreux niveaux, est source de pauvreté, de dépendance et d’asservissement pour beaucoup.

(Photo: petite soeur Annarita avec Fernand et Joy et leur fille, des amis voisins qui ont tout fait pour s'en sortir)
La force du sourire.
Le sens de la vie est très fort. Elle s’exclame :
« En Italie, quand quelqu’un meurt, on est pressé d’en finir, d’apporter le cercueil ou les cendres au cimetière.
Tandis qu’aux Philippines, il y a un sens communautaire de participation au deuil très fort. On prend le temps de partager, de pleurer, de raconter les mémoires, de montrer des photos, de manger ensemble. On garde le cercueil pendant neuf jours. Les uns et les autres se tiennent autour sans jamais le laisser. Après 40 jours, famille, amis et voisins proches
du défunt se retrouvent pour une prière et un repas. C’est un rythme très humain, qui aide chacun à faire le deuil »
Ainsi, la mort fait partie de la vie.
Et elle conclue :
« Il m’est encore difficile d’accepter les injustices, préjudices et mépris qui viennent du décalage entre les milieux. Ici, les classes sociales sont très marquées et le décalage est fort. La corruption dans le pays est difficile à accepter. Mais je me réjouis lorsqu’une personne qui semblait écrasée par les difficultés de la vie peut relever la tête et découvrir à nouveau sa propre dignité. Ou encore quand je découvre le pouvoir du pardon chez quelqu’un qui a beaucoup souffert. La soif de
Dieu éveille mon désir de partager. Nous nous sentons parfois très impuissantes, mais nous nous tournons vers Jésus,
qui s’est fait l’un denous, pour ne pas être découragées. Il nous montre le chemin… »

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Patrick commentaire :
Quel merveilleux témoignage de ces petites gens missionnaires qui aux yeux du monde sont si ridicules.
On discerne des médailles, des honneurs, des titres honorifiques, aux artistes, aux chanteurs, aux comédiens,aux   sportifs, aux hommes politiques, etc. Mais beaucoup de ces petites personnes sont complètement ignorées.
Laissez-moi vous dire, beaucoup de gens parlent du besoin de changer le monde, mais que font-ils vraiment pour que cela arrive ?
Ce n’est pas notre pitié, ni nos paroles qui importe, mais nos actions !
Je crois que ces femmes ont prouvé amplement par leur exemple qu’elles mettent des pieds à leurs prières !
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Quand vous êtes devant cette population pauvre, vous vous sentez tout petit, vraiment humble et insignifiant, et vous réalisez quelle grandeur ils ont en réalité ! Est-ce que cela ne vous rappelle-t-il pas l’histoire de Lazare dans la Bible et l’homme riche ?
 
Ce commentaire a été modifié le 18/11/2018 à 10:31
18/11/2018 - 07:48
La Famille Hjertefølgers dans le Cercle Arctique. 
La plupart d’entre nous détestons le froid – porter dix couches de vêtements les plus chauds et avoir constamment peur de glisser sur la glace ne semble certainement pas trop amusant. Mais pas pour les Hjertefølgers. En décembre 2013, cette famille de six personnes a déménagé dans une partie isolée du cercle arctique et vit actuellement dans l’une des maisons les plus originales que vous ayez jamais vues.  
La maison de la famille Hjertefølgers est située sur l’île de Sandhornøya en Norvège. C’est une maison de trois étages entourée d’un dôme géodésique solaire de 10 mètres de haut – si cela ne ressemble pas à un film de science-fiction… La maison est construite avec des matériaux locaux et respectueux de l’environnement, tels que le sable et l’argile.
Le dôme a même un jardin où la famille peut cultiver ses propres légumes. La famille réutilise leurs eaux usées pour fertiliser les plantes et composte les restes de nourriture. Ils utilisent des produitsménagers biodégradables.

La vue est incroyable ! Le dôme offre un panorama majestueux sur les aurores boréales et le désert environnant. Les  Hjertefølgers envisagentd’organiser des ateliers, des classes, des visites et des concerts dansleur dôme unique. Ils prévoient également de construire plus de cabinespour les retraites de yoga et les camps d’été.
Dans une interview avec Inhabitat, Ingrid Hjertefølger a déclaré qu’habiter dans cette maison est quelque chose de différent qu’habiter dans une autre maison. “L’atmosphère y estunique. La maison a un calme; Je peux presque entendre le calme."
Inhabitat
 

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  Il existe en bretagne une maison conçu dans le même esprit.
CLIC.............
https://youtu.be/WoKddOirtPI
  J'en ai révé il y a 20 ans mais j'en avais pas les moyens.

Ce commentaire a été modifié le 18/11/2018 à 07:57
18/11/2018 - 07:18
Cultivons L'optimisme - Éducation, Enfants, Famille - 

Le Conte Chaud & Doux Des Chaudoudoux... Contient La Recette Du Bonheur !

En ce temps-là, tout le monde vit très heureux et échange d’inépuisables chaudoudoux.
Les chaudoudoux symbolisent l’amour, la bienveillance, la confiance, la gentillesse...
L’altruisme et autres émotions agréables. Bref, tout ce qui alimente le bonheur.
Les chaudoudoux s’échangent librement.
Ils sont en quantité illimitée dans cet environnement fertile et chaleureux.
Ils sont indispensables à la bonne santé.
Un manque de chaudoudoux peut déclencher...Des maux, de la déprime et même la mort !
Lorsqu’on a besoin d’un chaudoudoux, il suffit de le demander, tout simplement.
Mais une personne n’est pas contente d’assister...À cette débauche de bonheur : la sorcière Belzépha.
Elle éprouve de la colère car plus personne ne lui achète de philtres ni de potions.
Alors, elle va glisser quelques gouttes de poison verbal dans l’oreille de Thimothée...
« Vois-tu tous les chaudoudoux que Marguerite (sa femme)...donne à Charlotte (sa fille) ?
Tu sais, si elle continue comme cela, il n’en restera plus pour toi ! »






La sorcière distille donc du doute et de la peur dans l’esprit des individus.
Ceux-ci vont entrainer de la suspicion, de l’avarice, de la jalousie, des reproches et des plaintes.
Ces émotions désagréables se répandent peu à peu tant et si bien que les gens...N’échangent bientôt presque plus de chaudoudoux, de crainte d’en manquer.
L’optimisme et l’innocence laissent place au pessimisme et à la tristesse.
Pour compenser et soigner leur mal-être, les habitants achètent des philtres.
La sorcière se frotte les mains : les affaires reprennent !
Cependant, la situation se dégrade progressivement.
L’absence de chaudoudoux provoque de nombreux décès..
Ce qui alarme la machiavélique et vénale Belzépha.
Un mort ne consomme plus rien, en effet… Elle fomente alors un nouveau plan...
Elle distribue à chacun un sac qui ressemble beaucoup à un sac de chaudoudoux...
Mais qui contient en réalité des froids-piquants. Ces froids-piquants ne font plus mourir les gens mais les rendent froids et hargneux.
Pour survivre, certains doivent travailler dur pour payer des chaudoudoux que personne ne leur offre…ils y sacrifient leur liberté.
Mais un jour, une femme gaie et épanouie arrive et se met à distribuer des chaudoudoux sans crainte d’en manquer.
Les enfants l’aiment beaucoup et l’imitent...Les adultes, inquiets de ce gaspillage, votent une loi pour « protéger les enfants ». Mais ceux-ci continuent tout-de-même, n’écoutant que leur coeur et suivant le chemin de leur joie.
Faisons Le Choix De La Bienveillance & De L’amour

« Le conte chaud et doux des chaudoudoux » est inspirant quant aux possibilités que nous avons d’être heureux.
Sachons éviter les pièges et la désinformation médiatique, du matérialisme, pour faire des choix que nous dicte notre coeur dans l’intérêt du plus grand nombre.
Je crois que c’est cela le plus important : comprendre que nous avons le choix et que nous avons une influence sur le monde par nos décisions et nos actions dans un sens ou dans l’autre.
Et puis, les enfants, dans leur innocence et leur absence de jugement nous montrent la voie de cet amour inconditionnel.
Alors, distribuons sans compter des chaudoudoux et demandons-en quand nous en avons besoin.
Voic quelques citations inspirantes qui rejoignent le thème de ce magnifique conte...

« Aimer les autres n’a rien à voir avec eux. Aimer les autres est une qualité de son propre coeur. »
Ayya Khema (nonne bouddhiste de la branche du bouddhisme theravâda / Vipassana. Elle a été très active à promouvoir une pratique du bouddhisme chez les femmes en fondant plusieurs centres bouddhistes autour du monde en Australie, au Sri Lanka et en Allemagne. Vous pouvez
consulter sa biographie complète en anglais sur Wikipedia.)

« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. »
Mère Teresa (canonisée par l'Église catholique comme sainte Teresa de Calcutta, est une religieuse catholique albanaise naturalisée indienne, missionnaire en Inde, prix Nobel de la paix en 1979. Née le 26 août 1910 à Üsküb dans l’Empire ottoman (actuellement Skopje en Macédoine) et morte le 5 septembre 1997 à Calcutta (Inde), elle est surtout connue pour son action personnelle caritative et la fondation d'une congrégation religieuse, les Missionnaires de la Charité qui l'accompagnent et suivent son exemple.Elle est béatifiée le 19 octobre 2003, à Rome, par le pape Jean-Paul II et canonisée le 4 septembre 2016 par le pape François.)

« Je ne suis pas surpris d’entendre que dans les cultures qui pensent en termes de besoins humains...Il y a beaucoup moins de violence que celles où l’on s’entre-étiquette de « bons » ou « mauvais » et où l’on soutient que les « mauvais »
doivent être punis.
La violence-qu’elle soit verbale, psychologique ou physique, qu’elle se manifeste au sein de la famille, entre des tribus ou entre des nations-émane d’un mode de pensée...Qui attribue la cause du conflit aux torts de l’adversaire et d’une incapacité à admettre sa propre vulnérabilité ou celle de l’autre- c’està dire à percevoir ce qu’on peut ressentir, craindre, désirer, etc. »
Marshall B. Rosenberg  (psychologue américain né le 6 octobre 1934 et mort le 7 février 2015)


« Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. »
Paulo Coelho

« Le bonheur, c’est d’être heureux, ce n’est pas de faire croire aux autres qu’on l’est. »
Jules Renard

« On ne voit bien qu’avec le coeur, l’essentiel est invisible pour les yeux. »
Saint Exupery
« Le conte chaud et doux des chaudoudoux » de Claude Steiner est disponible sur...
Amazon.fr
Fnac.com
Chez votre libraire

Ce commentaire a été modifié le 18/11/2018 à 07:29
17/11/2018 - 22:10
Histoire du vernis à ongles: de 1800 à nos jours.



Il était une fois… le vernis à ongles,

1800 
La mode est aux ongles courts, légèrement en forme d’amande. Ils sont de temps en temps colorés grâce à de l’huile rouge parfumée et la brillance est apportée en frottant les ongles avec de petits mouchoirs en cuir.

1830 
En Europe, un médecin nommé Sitts a l’idée de détourner l’ancêtre de notre fil dentaire, autrefois des bâtonnets en bois d’orange, et de l’utiliser pour repousser les cuticules en manucure. Une bénédiction, car à l’époque, les cuticules sont repoussés avec des ciseaux, ou n’importe quel outil en métal, ou bien enlevés à l’acide!

1892
 La nièce du docteur Sitts rend la pratique de son oncle internationalement connue. La tendance se répand jusqu’aux États-Unis, où s’ouvrent des salons de manucure pour les femmes de toutes les classes.

1900 
Les ongles sont coupés avec des ciseaux en métal, et limés avec des limes, en métal également. Pour leur donner un peu de brillance, les personnes de l’époque les coloraient légèrement avec une crème ou une poudre. On était déjà dans une logique de coloration de l’ongle, l’ancêtre de notre actuel vernis, car ces préparations étaient apposées avec un pinceau en poil de chameau, mais les colorations ne duraient que le temps d’une journée.

1910 
L’entreprise “Flowery Manicure Products” voit le jour à New York. Elle produit des limes à ongles métalliques, et invente entre autres la fameuse “Emery Board“, cette lime en carton allongée, recouverte du rugueux papier émeri, incontournable de toute manucure aujourd’hui.

1914 
Anna Kindred du Dakota du nord obtient un brevet pour son vernis de protection pour ongles.

1917 
Une publicité parue dans le VOGUE américain de l’époque déclare “Ne coupez plus vos cuticules” et propose la “Simplex Methode” : un set d’ustensiles de manucure comme on les connaît aujourd’hui. La mode des ongles brillants séduit de plus en plus de femmes et s’impose peu à peu comme la norme.

1920
 Les stars de cinéma de l’époque arboraient un maquillage dit “enfantin”: de grands yeux, une large bouche, un petit nez. L’effet était encore accentué avec une coupe de cheveux courte.
Pour les ongles, encore aucun véritable vernis en vue, mais l’industrie automobile est en plein essor et fait déjà des avancées spectaculaires en matière de vernis.

1925 
À cette époque, il est encore mal vu que les femmes arborent des couleurs voyantes en guise de manucure, la fameuse “étiquette”. Un vernis rouge rosé transparent fait cependant son apparution sur le marché. On ne le porte qu’au milieu de l’ongle, la base et le bout des ongles restent naturels.
Beatrice Kaye est responsable de la manucure au sein de MGM dans les années 20 et 30, et elle illustre la phase de la “manucure-lune”. Les cuticules sont retirés, et l’ongle ainsi plus long est taillé en pointe. Le vernis est appliqué sauf à la base. Parfois, le bout de l’ongle n’est lui non plus pas vernis.


et voici un tutos “Nailvasion” pour réaliser une manucure demi-lune.

1930 
Hollywood voit naître les étoiles légendaires du grand écran comme Jean Harlow, Gloria Swanson ou Rita Hayworth et celles-ci seront le moteur d’une nouvelle tendance: le vernis à ongles fait enfin son coming-out.
Son look est de plus en plus travaillé, élégant, la “mancure-lune” est revisitée via des teintes de rouge plus prononcées. Gena Laboratories mettent au point un dissolvant, une huile pour ongles et un repousse-cuticules.

1932 
Charles Revson accompagné de son frère Joseph, chimiste, met au point avec l’aide de Charles Lachman un vernis à onglesà la couleur et la couvrance intenses.Il n’est pas fabriqué à partir de colorants mais d’une nouvelle technique de pigments, qui se dissout mieux et permet un plus grand choix de couleurs.
La marque Revlon est ainsi née. La marque met au point des tonalités de rouge allant du rouge pâle au pourpre. La marque développe pour la 1ère fois dans les années 30 la tendance d’assortir rouge à lèvres et vernis à ongles.

1934 
Anna Hamburg de Californie fait breveter une couleur artificielle, facile à appliquer et à enlever, et qui n’endommage pas l’ongle. Maxwell Lappe, un dentiste de Chicago, invente le “Nu Nails“, une manucure artificelle pour celles qui se rongent les ongles.

1937 
Harriet Fliegenbaum du Minnesota reçoit un brevet pour son ongle articiel, mis au point pour recréer le bout de l’ongle ou l’allonger.

1940 
Rita Hayworth met au point pour un tout nouveau look: ses longs ongles rouges sont limés en ovale et sont entièrement vernis. Fini la base de l’ongle naturelle! Des couleurs fortes font leurapparation dans les magasins, comme par exemple le “Schoolhouse Red” d‘Elisabeth Arden, qui coûtait autrefois 0,75 centimes.



1945 
À la fin de la guerre, le maquillage retrouve sa légitimité, et les ongles ne seront pas en reste, avec non plus seulement du rouge mais aussi du rose et un large éventail de couleurs.
Max Factor crée par exemple son Satin Smooth Nail Polish.

1950 
L’univers du vernis à ongles ne cesse de se parer de nouvelles couleurs, et les tendances en matière de manucure se succèdent: couleurs plus sombres, formes d’ongles pointues ou looks plusnaturels aux couleurs nudes et formes ovales.
Dans les années 50 apparaissent les premiers cours de manucure, prédecesseurs de nos salons d’onglerie actuels. La marque Revlon propose en ce sens un kit d’entraînement avec un équipement de base en vue de manucures professionnelles.

1957 
Thomas Slack reçoit un brevet pour son modèle, qui se place en dessous de la pointe de l’ongle et qui aide l’esthéticienne à allonger l’ongle naturel avec de l’acrylique. Cette méthode est appelée “Pattinail” et sera produite et commercialisée par Thomas Slack sous cette appellation.

1970 
Le centenaire de l’ongle artificiel est définitivement amorcé. Les ongles en acrylique et en gel en sont désormais beaucoup plus souples et sont faciles à porter. Il devient difficile de pouvoir les distinguer des ongles naturels. La tendance est à l’ongle limé droit et la demande est belle et bien présente.
Les techniques de manucure ne cessent de progresser et les ongles de plus en plus longs rencontrent une forte popularité. Aux États-Unis, ils sont même considérés comme sexy.

1972 
Apparition de vernis métalliques: bleu, vert… ils comportent des particules pailletées et dès leur entrée sur le marché, c’est le carton immédiat. Se développe ainsi la culture de couleurs plus osées pour mains et pieds en été.

1980 
L’acrylique cède son tour à la fibre de verre, qui s’impose comme LA technique du moment. Strass et autres accessoires font leur apparition également sur les manucures. Des concours de manucure sont organisés et le métier de manucure s’établit progressivement.

1990 
Cette nouvelle décennie s’annonce sous le signe de la créativité grâce à Margaret Astor, qui met au point un stylo de vernis. La marque Manhattan invente également le premier “vernis à ongles parfumé”: plusieurs senteurs sont disponibles comme les fruits rouges, la vanille ou le lilas.

1991 
Élaboré à base d’eau, le vernis peel-off de la marque Manhattan a une durée d’environ 2 jours.

1995

 Année du légendaire film “Pulp Fiction” avec Uma Thurman, où celle-ci porte le “Rouge Noir” de Chanel, lancé la même année.

2000 
C’est le boom de la french manucure. Elle s’impose comme une norme de par son rendu naturel et discret.


2009 
Lors de la Fashion Week parisienne, Karl Lagerfeld accorde le vernis aux tenues défilé et ouvre la voie à la couleur “407 jade“, un vert pomme. Armani contre-attaque avec son vernis “greige“, mélange de gris et de beige, qui devient LA couleur 2010, rejointe par la suite avec la célébre “505 Particulière” de Chanel, combinant violet et gris.

2011
 
alessandro, avec son Lac Sensation, lance le 1er vernis à ongles capable de tenir jusqu’à 3 semaines et ayant la même résistance qu’un gel UV. Il se pose comme un vernis standart et sèche en à peine 60 secondes sous une lampe UV.



Et depuis 2011?
Il y a eu la tendance des manucures caviar et bijoux, des ongles stilettos et de la manucure métallique réalisée à l’aide d’un aimant…Pour des idées de nail-art inspirées de looks de créateurs et à réaliser soi-même, rendez-vous sur le compte instagram de la Nailvasion.
Ce commentaire a été modifié le 17/11/2018 à 22:12
17/11/2018 - 18:10
Balade Dans Les Montagnes Suisses La Nuit...

Superbe et exclusif des images à 360 ° des montagnes suisses la nuit.
Emplacements: Creux du Van , Brienzer Rothorn , Rifugio al Legn , glacier du Rhône , Zermatt , 
Dent de Jaman , Pilatus , Bischofszell .

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CLIC....................HELVETIA BY NIGHT 360° from Christian Mülhauser on Vimeo.



Ce commentaire a été modifié le 17/11/2018 à 18:31
17/11/2018 - 14:50
Hommage à Katherine MacGregor .

Comme beaucoup d'entre nous, j'ai regardé cette sérieà l'époque à la télé... mais je ne l'ai pas revu bien qu'elle est rediffusée depuis quelques temps sur une chaine télé.
Reposez en Paix Madame .

  L'actrice qui incarnait Harriet Oleson dans la série culte "La petite maison dans la prairie" est décédée à l'âge de 93 ans.
Née le 10 janvier 1925, Katherine MacGregor avait démarré sa carrière d'actrice dans les années 1950. Et c'est en 1974 qu'elle a décroché son rôle dans "La Petite maison dans la prairie".
 

 
C'est Melissa Gilbert qui a annoncé sa mort sur Instagram : "J'ai tout juste appris que Katherine MacGregor est décédée hier. Cette femme m'a tant appris sur la comédie... les bijoux vintage... la vie. Elle était franche et incroyablement drôle. Une actrice vraiment douée tant elle savait jouer un personnage épouvantable avec tellement de cœur.", a-t-elle écrit.
 
Avant d'ajouter: "Son Harriet Oleson était la femme que nos fans adoraient détester. Une parfaite antagoniste. Ce que les gens en dehors de notre famille ne savaient pas, c'était à quel point elle était aimante et maternelle avec les plus jeunes du cast. Je l'aimais vraiment et je suisheureuse de savoir qu'elle est en paix et selon ses croyances, que son âme s'est réincarnée.
17/11/2018 - 14:33
Semaine européenne de réduction des déchets .



Réduire la production de déchets de chaque citoyen, tel est l'enjeu de cette "semaine européenne" initiée en France par l'ADEME et le ministère du développement durable.

Se poser les bonnes questions
Pourquoi jeter 40 kg de déchets de cuisine par personne, alors qu'il serait si simple d'en faire du compost pour les plantes ?
Pourquoi utiliser 365 bouteilles d'eau par an, alors que l'on pourrait utiliser une carafe et un robinet ?
Pourquoi accepter de recevoir 35 kg de publicité imprimée que l'on ne lira jamais, plutôt que d'appser un "stop pub" sur sa boîte aux lettres ?
Pourquoi jeter un appareil en panne alors qu'une seule pièce est à changer ?

Eviter les discours simplistes
Au delà des réponses souvent simplistes fournies par le discours officiel et les écolos "pur et dur", ces questions méritent réflexion et modification de nos habitudes.

Comme de nombreux citadins, vous n'aurez jamais l'utilité d'un bac à compost... mais vous pourrez au minimum favoriser lors de l'achat les produits utilisant le moins d'emballage.

Vous n'aurez pas non plus souvent l'occasion pratique de réparer votre appareil électro-ménager défectueux car le constructeur se sera bien gardé de rendre accessible la pièce cassée... mais vous aurez toujours la possibilité d'acheter mieux et plus durable voire laisser au magasin le bataillon d'appareils inutiles qui vous y est proposé !

Chaque citoyen produit chaque jour 1 kg d'ordures ménagères. Imaginez, àl'échelle du pays, ce que représenterait une simple réduction de 20 % !

Cette réduction est possible, au prix des efforts quotidiens de chacun.
La  Semaine Européenne de Réduction des Déchets nous invite à nous poser ces questions afin que chacun, à son échelle, puisse réduire effectivement la quantité de déchets qu'il produit au quotidien.



Une mobilisation européenne
La Semaine européenne de la réduction des déchets est pilotée par l'ADEME et le Ministère du Développement Durable. Elle concerne aussi bien les associations engagées dans le développement durable que les entreprises, les administrations, les écoles et les particuliers. Donc vous et moi.

2018, une année exceptionnelle
Cette année, la semaine européenne de la réduction des déchets se déroule du 17 au 25 novembre. Elle durera donc 8 jours. Longue semaine... mais qu'on se rassure, il n'y aura pas déchet !
Ce commentaire a été modifié le 17/11/2018 à 14:34