De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
08/09/2018 - 08:28
Les superbes Photos du Concours Wildlife Photographer 2018.

Le Natural History Museum de Londres, vient de dévoiler une sélection de photos spectaculaires du concours 2018 Wildlife Photographer. Plus de 45000 candidatures ont été soumises par des photographes amateurs et professionnels de 95 pays. Les images sélectionnées donnent une vue imprenable sur le monde naturel mystérieux, la vie des animaux sauvages et l’impact de l’humanité sur notre planète.  

De la lionne qui se rafraîchit à un point d’eau à une paire de lynx eurasiens se battant dans une forêt de Bavière couverte de neige, beaucoup d’images révèlent de beaux moments intimes de la Nature.
D’autres images documentent la dure réalité du monde naturel, comme la macabre image de deux chiens sauvages africains jouant avec la tête d’un babouin. Et l’image de Greg Lecoeur, intitulée La vie parmi les déchets, capture un poisson nageant parmi des déchets de plastique – une triste réalité pour beaucoup de créatures marines aujourd’hui.

«Nous avons été captivés par la qualité exceptionnelle des images participantau concours de cette année, qui nous a parlé de la passion pour la Nature partagée par des photographes talentueux à travers le monde», a déclaré Ian Owens, directeur scientifique du Natural History Museum du jury. «Je suis impatient de voir la sélection gagnante sur de magnifiques écrans lumineux dans l’exposition. Je suis sûr que les images surprendront et inspireront nos visiteurs et sensibiliseront aux espèces et aux écosystèmes menacés. » Une centaine des meilleures œuvres seront présentées au Musée d’histoire naturelle du 19 octobre 2018 jusqu’à l’été 2019.
Vous pouvez réserver des billets pour l’exposition sur le site Web du Musée d’histoire naturelle . Et si vous êtes un photographe animalier en herbe, vous pouvez participer au concours 2019 du 22 octobre au 13 décembre 2018. 
Natural History Museum
 

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«Cool Cat» par Isak Pretorius , Afrique du Sud / Wildlife Photographer of the Year.

Une lionne boit à un point d’eau dans le parc national de South Luangwa en Zambie. Sheis est l’une des fierté de Mfuwe Lodge – deux mâles, cinq femelles et cinq oursons. Isak les surveillait pendant qu’ils dormaient après un festin d’un buffalokill la nuit précédente. Les lions tuent plus de 95% de leurs proies la nuit et peuvent passer 18 à 20 heures à se reposer. Quand cette femelle s’est levée et est partie, Isak a anticipé qu’elle pourrait aller se désaltérer, alors il s’est dirigé vers le point d’eau le plus proche. Bien que les lions puissent absorberla majeure partie de l’humidité dont ils ont besoin de leurs proies et même des plantes, ils boivent régulièrement lorsque l’eau est disponible. Isak positionna son véhicule du côté opposé du point d’eau, près du bord, stabilisant sa longue lentille dans la lumière faible. Bien sûr, la lionne apparut à travers la grande herbe de la saison des pluies et se pencha pour boire, de temps en temps en levant les yeux ou sur le côté. Avec un timing parfait, Isak attira son regard et sa langue, léchant l’eau, encadrée par le mur de vert luxuriant.
 

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«La foule des suricates» par Tertius A Gous ,Afrique du Sud / Wildlife Photographer of the Year.

Lorsque le cobra d’Anchieta a levé sa tête et s’est dirigé vers deux suricates près de leur terrier sur la montagne de Brandberg, en Namibie, le reste du peloton, à la recherche de nourriture, a réagi presque instantanément. En rentrant, les 20 membres du groupe se sont divisés en deux: un groupe a attrapé les petits et s’est blotti à bonne distance, l’autre s’est occupé du serpent. En gonflant leurs fourrures, les queues levées, la foule se dirigea vers l’avant en grognant. Lorsque le serpent s’est précipité, ils sont revenus en arrière. Cela s’est répété encore et encore pendant environ 10 minutes. Tertius avait un siège à côté de son véhicule et savourait la chance de capturer une interaction aussi intense entre les suricates et le cobra d’Anchieta. Se concentrant sur le profil classique du serpent et sa langue, il a également ressenti des expressions de peur et d’agression parmi les suricates, certaines faisant face à leur agresseur et une autre en fuite.
Finalement, le cobra a abandonné et a disparu dans un terrier.

 

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«Oeil pour oeil» par Emanuele Biggi, Italie / Wildlife Photographer of the Year.

La puanteur était insupportable lorsqu’elle Emanuele cherchait les carcasses pleine de vie. Alimentée par la mer, la côte désertique de la réserve nationale de Paracas au Pérou regorge de vie. La colonie des otaries d’Amérique du Sud alimente les cadavres – conséquence de maladies, de blessures ou de mourants occasionnés par El Niño (lorsque le réchauffement de la mer réduit la disponibilité des proies). La chair en décomposition attire les insectes et les crustacés, attirant à leur tour de plus grands prédateurs. La plupart des carcasses étaient plates ou trop proches de la mer, mais Emanuele a finalement trouvé son sujet.
Un jeune mâle iguane du Pérou (chevron noir distinctif sur sa gorge) avait rejoint la fête à l’intérieur, à l’abri du soleil et du vent. Allongé sur la plage, étouffé par la vile odeur jusqu’à ce que l’iguane se perde dans l’orbite, Emanuele a capturé la dépendance de la vie terrestre à l’Océan.

 

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«Combat de chatons» de Julius Kramer, Allemagne / Wildlife Photographer of the Year.

Cela faisait plus d’un an que Julius avait installé son piège photographiquedans la forêt de Haute-Bavière en Allemagne et il n’avait eu que deux rencontres avec le lynx d’Eurasie. Il était sur le point d’abandonner lorsqu’un collègue biologiste a insisté sur le fait qu’il s’agissait d’un «endroit vraiment typique pour le lynx». Comme beaucoup de félins solitaires, les mâles ont des domaines vitaux étendus, dans lesquels vivent une ou plusieurs femelles. Les plus actifs sont visibles à l’aube et au crépuscule. Ils sont puissamment charpentés, avec des membres postérieurs légèrement plus longs pour se lancer sur les proies. Ils chassent principalement les herbivores, tels que les cerfs, ce qui les met en conflit avec les chasseurs. Julius a connu des problèmes météorologiques, notamment des batteries défectueuses, de l’humidité, dela neige profonde et des toiles d’araignées. Deux lynx de six mois sontfinalement venus jouer pour affiner leurs compétences de chasse avec une exubérance joyeuse.
 

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«Beauté Simple» de Theo Bosboom , Pays-Bas / Wildlife Photographer of the Year.

Dans un bassin de marée peu profond, un groupe coloré de frondes forme un motif abstrait contre le sable blanc. Ils ont été lavés des roches entourant les sables de Mangersta, sur l’île de Lewis, dans les Hébrides extérieures de l’Écosse. Les vessies remplies d’air de ces algues marines gardent leurs frondes flottantes et exposées à la lumière pour qu’elles puissent activer la photosynthèse. Lorsqu’elles sont très exposées à l’action des vagues, les algues peuvent être dépourvues de vessie, ce qui réduit le risque de se faire emporter si leurs pattes de fixation sont arrachées des roches. En utilisant un filtre polarisant pour éviter les reflets et révéler des détails sous la surface, Theo a expérimenté des distances focales – en attendant que le vent cesse de provoquer des ondulations et de déplacer les algues. Il a finalement opté pour cette composition, pour révéler ce qu’il aime: « La simple beauté des structures et des modèles créés par la nature elle-même. »
 

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«Ahead in the game» par Nicholas Dyer, Royaume-Uni / Wildlife Photographer of the Year.

Un couple de chiens sauvages d’Afrique joue à un jeu macabre avec la tête d’un babouin chacma – les restes de leur petit-déjeuner. Le chien sauvage africain en voie de disparition est surtout connu pour la chasse aux antilopes, comme les impalas et les kudus. Mais au cours des cinq dernières années, dans le parc national de Mana Pools, au nord du
Zimbabwe, Nick a été témoin de trois animaux différents tuant et mangeant régulièrement des babouins, ce qui est très inhabituel, notamment parce que les babouins sont capables de blesser gravement. La technique de chasse a été perfectionnée par Blacktip, la mère des petits et la femelle alpha de la meute Nyakasanga. Ce matin-là, Nick avait suivi à pied sur trois kilomètres deux chasses impala échouées avant que les chiens ne s’emparent d’un babouin. Il s’agissait de satisfaire neuf chiots. Ils s’arrêtèrent juste avant le crâne du babouin, puis le jeu commença. Nick, couché à proximité, a observé plus d’une demi-heure de chasse et de jeu avec les restes.

 

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«Mister Whiskers» de Valter Bernardeschi, Italie / Wildlife Photographer of the Year.

C’est par une nuit d’été brillante que Valter rencontra les morses. Ils se nourrissaient au large d’une île de l’archipel norvégien au large de Svalbard. En Enfilant sa combinaison de plongée et en utilisant deux perches et un flotteur pour étendre sa caméra devant lui, Valter se glissa dans l’eau glacée. Immédiatement, quelques morses curieux –principalement des jeunes – ont commencé à nager vers lui. Maladroits sur terre, ces géants lourds se déplacent avec aisance et rapidité. En restant à une longueur de perche, il a pu prendre ce portrait intime des visages à la moustache distinctifs d’un jeune et de sa mère attentive.
Les morses utilisent leurs moustaches et leur museau très sensibles pour rechercher les mollusques bivalves (tels que les palourdes) et autres petits invertébrés sur le fond de l’océan. Dans l’eau froide, leur épaisse peau protectrice apparaît grise lorsque le flux sanguin se dirige vers sa surface et brun rougeâtre quand ils sont hors de l’eau et qu’ils se réchauffent. Les défenses ne sont pas utilisées pour se nourrir, mais pour être exposées parmi les mâles, pour se défendre contre les ours polaires et pour se déplacer, en particulier sur la glace. 

 

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«Looking for love» de Tony Wu, photographe USA / Wildlife Photographer of the Year.

Accentuant son apparence étrange avec des couleurs pastel, des lèvres saillantes et un front rose exceptionnel, ce narguilé asiatique s’efforce d’impressionner les femelles et ses rivaux. Tony a longtemps été fasciné par l’apparence de l’espèce et son histoire. Les individus naissent comme des femelles et lorsqu’ils atteignent un certain âge et une
certaine taille – jusqu’à un mètre de long, ils peuvent se transformer en mâles. Avec une longévité importante et une croissance lente, l’espèce est intrinsèquement vulnérable à la surpêche. Les narguilé asiatiques apprécient les récifs rocheux dans les eaux froides du Pacifique occidental, où ils se nourrissent de crustacés, mais on en sait peu à leur sujet. Dans une fenêtre de calme, au milieu de la haute mer, Tony a atteint l’île de Sado, au large du Japon, pour capturer cette image.

 

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«La vie parmi les déchets» par Greg Lecoeur, France / Wildlife Photographer of the Year.

Ce Poisson-grenouille des sargasses ne pouvait pas se cacher. La fronde voisine des algues était loin des radeaux flottants des algues qui abritent plus généralement ces poissons-grenouilles et de nombreuses autres espèces spécialisées. Avec son camouflage et son prédateur en embuscade, le Poisson-grenouille des sargasses se nourrit de ses griffes à travers les frondes de ces îles flottantes, dissimulées par sa couleur beige et son contour de plumes. Greg a repéré ce sujet à son retour d’une plongée sur les récifs biodiversifiés de l’archipel indonésien de Raja Ampat. C’est une région de l’océan Pacifique occidental où de forts courants convergent, apportant avec eux des
nutriments qui soutiennent la riche biodiversité. Les courants collectent et concentrent également tout ce qui flotte, y compris une partie des millions de tonnes de plastique qui se retrouvent dans les océans chaque année.

 

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«Glass-house guard» par Wayne Jones, Australie / Wildlife Photographer of the Year.

Sur les fonds sableux au large des côtes de Mabini, aux Philippines, un gobie pygmée jaune garde sa maison: une bouteille de verre jetée. Le couple de 4 centimètres de long a choisi cette bouteille comme maison temporaire parfaite. La femelle va déposer plusieurs lots d’œufs, tandis que le mâle effectue la garde à l’entrée. En plaçant son appareil photo à quelques centimètres de l’ouverture étroite de la bouteille, Wayne positionna ses deux flashes à la base de la bouteille pour éclairer l’intérieur et l’autre à l’avant pour éclairer le visage surpris du gobie. En optant pour une faible profondeur de champ, Wayne se concentrasur les yeux bleus gonflés du gobie.
 

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«Tigerland» par Emmanuel Rondeau, France / Wildlife Photographer of the Year.

Dans une forêt éloignée, dans les hauteurs de l’Himalaya du Bhoutan central,un tigre du Bengale fixe son regard sur la caméra. Le chemin qu’il emprunte fait partie d’un réseau reliant les parcs nationaux du pays – des zones essentielles à la conservation de cette sous-espèce en voie dedisparition mais non protégées de l’exploitation forestière et du braconnage. Emmanuel, avec une équipe de rangers, a grimpé sur un terrain accidenté, avec suffisamment de matériel pour installer huit appareils photo et huit caméras vidéos le long d’une même route, dans l’espoir de voir un passage de tigres (103 au Bhoutan). En se concentrant sur les zones où se trouvaient d’anciens tigres, ils ont cherché des preuves d’utilisation récente – des traces, des égratignureset des excréments – et Emmanuel a installé des caméras sur des poteaux de bois aux endroits les plus probables. Après 23 jours (et des centaines de faux déclenchements par les feuilles et les vents violents), il a décroché le gros lot : un tigre mâle magnifique, et son motif distinctif, autrefois inconnu au Bhoutan. Le tigre a inspecté le matériel de très près avant de disparaître dans la forêt, laissant cetteimage rare.
 

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"Visite d’école" d’Adrian Bliss, Royaume-Uni / Wildlife Photographer of the Year.

Adrian était en train d’explorer la salle de classe abandonnée quand ce renard roux est apparu, peut-être curieux à propos de l’humain ou peut-être juste en train d’effectuer sa ronde. Il s’arrêta brièvement sur le tapis de masques à gaz de la taille d’un enfant, juste assez longtemps pour une photo, puis sortit par une fenêtre brisée. L’école de Pripyat, en Ukraine, a été abandonnée en 1986, de même que toute la ville, à la suite de l’explosion catastrophique de la centrale nucléaire de Tchernobyl, à seulement 3 kilomètres de là. Il s’agissait du pire accident nucléaire de l’histoire avec des retombées radioactives en Europe. Les bâtiments de Pripyat sont en train de se détériorer et ont été pillés (les masques à gaz – reliques de la guerre froide – sont restés là, sans valeur). La ville se trouve dans la zone d’exclusion de 30 kilomètres que seules des personnes accréditées peuvent pénétrer et, en l’absence d’êtres humains, la forêt gagne du terrain. Des animaux tels que le sanglier, le cerf, l’orignal et le lynx font leur retour, et on peut même apercevoir des ours bruns et des loups. Bien qu’il ait été recommandé à Adrian de ne pas pénétrer dans certaines zones de ce secteur, les niveaux de rayonnement étant encore trop élevés, et malgré l’effet à long terme des rayonnements sur les animaux, la faune semble
prospérer.

 

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«Flight» de Sue Forbes, Royaume-Uni / Wildlife Photographer of the Year.

Pendant des jours, Sue a sillonné une mer agitée dans l’océan Indien. «Nous voyions souvent des poissons volants», dit-elle, «mais de temps en temps, il y aurait des fous». Puis, un matin, au nord-est de l’île de D’Arros, dans les îles périphériques des Seychelles, elle s’est réveillée en découvrant une eau tranquille et un seul jeune fou à pattes rouges. Ces oiseaux océaniques, les plus petites espèces de fous, avec une envergure d’un mètre de large, passent le plus clair de leur temps en mer, volant facilement sur de longues distances. Grâce à leurs yeux vifs, ils se précipitent pour saisir leurs proies, principalement des calmars et des poissons volants. Leurs corps sont profilés pour plonger en profondeur et ils sont assez agiles pour attraper des poissons volants dans les airs. Avant de casser la surface pour échapper aux prédateurs tels que le thon et le marlin, les poissons volants se déplacent à grande vitesse sous l’eau, pour se glisser, en suspension dans l’air, sur leurs nageoires pectorales raides. Sue gardait l’œil sur l’oiseau. Elle ne savait pas quand et où une poursuite pourrait avoir lieu. «Tout à coup, un poisson a sauté», dit-elle, «et alors sont venus les fous». Avec des réactions rapides, Sue a capturé le moment fugace de la poursuite. Le fou a manqué sa tentative, et le poisson s’est échappé.
 

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« Trailblazer » de Christian Wappl, Autriche / Wildlife Photographer of the Year.

À 1 heure du matin, la forêt du jardin botanique de la péninsule de Thaïlande était calme, mais sur le sol,  sa vie nocturne brille toujours. Le clou du spectacle était une grande larve de luciole, d’environ 8 centimètres  de long, qui émettait une lueur continue de quatre organes lumineux à l’arrière. Les lucioles passent la majeure partie de leur vie en larves, se nourrissant principalement de limaces et d’escargots. Celui-ci peut même lutter contre les escargots de terre africains plusieurs fois sa propre taille. Son éclat – résultat d’une réaction chimique dans ses organes lumineux – est probablement un avertissement aux prédateurs (tandis que les feux clignotants des lucioles adultes sont destinés à la cour). Encadrant sa composition dansl’obscurité presque complète, devinant la direction que prendrait la larve, Christian utilisa une longue exposition (33 secondes), avec un éclat de flash à la fin.

 
Ce commentaire a été modifié le 08/09/2018 à 08:42
07/09/2018 - 15:00
Affiches de Voyage anciennes .

Incitation au voyage

     




07/09/2018 - 12:34
Barbizon, Une Palette De Talents
Par Dominique Roger...
Parmi Les Plus Beaux Villages De Nos Régions...

En lisière de la forêt de Fontainebleau, Barbizon était un hameau à la vie simple et tranquille, jusqu’à l’arrivée, au début des années 1820, d’artistes peintres venus pour « surprendre la nature chez elle ».
Il est aujourd'hui l'un des plus beaux villages de Seine-et-Marne en Ile-de-France.


La petite chapelle de Barbizon arbore un clocher-beffroi tout de bois.C’est l’œuvre de Charles-Louis Millet, fils du peintre. 
Les Origines.
Des précurseurs, ayant pour noms Adam-François van der Meulen ou Jean-Baptiste Oudry, étaient attirés pour composer leurs scènes de chasse royale par le massif forestier de Fontainebleau, 25 000 hectares à l'écosystème original et proche de la capitale.

L'harmonie est parfaite entre l'architecture de la bâtisse et les couleurs des fleurs et de la végétation.
L'influence des peintres paysagistes anglais tels Turner ou Constable font s'enthousiasmer de jeunes peintres...
Camille Corot, Théodore Rousseau et Narcisse Diaz de la Pena qui quittent, dès  le début des années 1820, leurs ateliers parisiens pour rejoindre le modeste village de Barbizon.

La Bohème, Le Restaurant Culte Du Village.

Peindre « sur le motif » face au paysage forestier, voilà leur unique but, leurseule obsession artistique, leur dévotion créatrice.
Bientôt, cette liberté d’expression, qu’ils traquent jusque dans les sous-bois, les ravins, les chaos de rochers et autres platières tapissées de bruyère...Va être encore facilitée par l’invention du tube de couleur. 
Un Pépinière De Futurs Génies.
L’estancot du village devient vite un quartier général, tout comme l’auberge Ravoux à Auvers-sur-Oise ou la pension Gloanec à Pont-Aven, pépinière de futurs génies de l’histoire de l’art du XIXe et du début du XXe siècle.
La réputation de Barbizon se répand comme une traînée de poudre dans les milieux artistiques.

L'amité entre les deux grands peintres a été retranscrite dans ce médaillon en bronze qui se situe à l'entrée de la forêt.
Des noms connus, Théodore Rousseau et Jean-François Millet, rejoignent le groupe.
Ils seront les pierres angulaires de ce qu’on appellera bientôt, en 1880 en Angleterre et en 1905 en France, l’école de Barbizon.

Les bâtiments, tous plus beaux les uns que les autres. Ici, le lierre épouse parfaitement la bâtisse en pierre.
Les impressionnistes, comme Claude Monet, Auguste Renoir et Alfred Sisley, de même que Félix Ziem, Paul Cézanne, Adrien Rousseau ou Georges Seurat réalisèrent de belles toiles, fascinés à leur tour par la forêt bellifontaine. 
La Forêt Peinte & Photographiée.
Moins connues sont les œuvres photographiques réalisées à cette même période.
Charles Marville, qui deviendra le premier « photographe de la Ville deParis » avant les grands travaux du baron Haussmann, s’aventure en forêt le 28 août 1848.

Gustave Le Gray, le futur chef de file de la Mission héliographique (recensement des monuments du territoire national), lui emboîte le pas.

La forêt de Fontainebleau est ainsi probablement l’un des premiers espaces naturels photographiés au monde.
De la centaine de peintres ayant posé leurs chevalets à Barbizon jusqu’à la fin du mouvement en 1870, l’histoire n’en a retenu qu’une poignée...Que Barbizon a immortalisée sur les façades des maisons briardes rurales traditionnelles, qui se coudoient le long de la Grande-Rue.

Dans la forêt de Fontainebleau, les peintres de Barbizon affluent pour capturer la beauté de ces lieux. 
Elle constitue l’artère principale de votre visite. Aux ateliers de l’époque ont succédé aujourd’hui les galeries d’art.
Pour plus d’authenticité, il faut pousser les portes de l’atelier qu’occupait Jean-François Millet (1814-1875).
Sa période Barbizon lui inspira de grands tableaux comme Scieurs de bois dans une forêt (musée d’Orsay), La Fileuse (Musée d’Orsay), Les Botteleurs de foin (musée du Louvre) et, bien sûr, L’Angelus (musée d’Orsay).

La façade de cette maison-souvenir est restée la même que lorsqu’il la quitta définitivement en 1875. 

Voyez également dans la même rue, les maisons-ateliers de Díaz de la Peña (numéro 28), à deux pas de l’hôtellerie du Bas-Bréau, de Charles-François Daubigny au numéro 21 (où il était voisin de l’auteur de L’Île au trésor).
Pour se remémorer l’histoire du village et de l’école de Barbizon, faites une halte prolongée à l’auberge Ganne, devenue depuis 1995 le Musée départemental des peintres de Barbizon.
Office de tourisme de Barbizon - Voir la fiche


06/09/2018 - 22:47
Voitures  année   50..60..70..80..90


Une Amilcar (constructeur français)
 

Cette rencontre avec des vieilles anglaises fait un drôle d'effet
 

Une vieille Simca très bien entretenue
 

Une Jaguar type MK Cabriolet toute en rondeurs et chromes
 

Course de voitures anciennes de compétition
 

Voitures exceptionnelles
 

rolls
 

Véritable mythe automobile américain, la Corvette offre un rapport prix / prestation quasi imbattable. Si au fil des années son design a évolué, le bolide a toujours conservé sa signature visuelle arrière avec ses quatres optiques de phares (excepté la première génération). Espérons que la future Corvette C7 perpétue la tradition, car elle est désormais l'identité visuelle de la sportive américaine
 

Avec son look de hot-rod des années 1950, ce cabriolet 2 places a été produit par Plymouth (Groupe Chrysler) de 1997 à 2002. Développé à la base pour redorer le blason de la marque qui s'effritait, la Powler n'a pas eu le succès escompté. Néanmoins, l'Américaine affiche un détail des plus originaux.
A l'image d'une Formule 1 ou d'une Caterham Seven, la Prowler dévoile une architecture rare pour un modèle de série : l'essieu
avant est apparant et se dote de suspensions avec double triangulations. A défaut d'aller au paradis, vous aurez au moins vu
l'essieu
 

28 avril 1985, le chanteur Sacha Distel et l'actrice de Châteauvallon, Chantal Nobel, rentre de l'enregistrement de l'émission Champs-Elysées. A bord de la Porsche 924 Carrera GT, les deux personnalités sont victimes d'un accident de voiture très violent, dans le département de la Nièvre. Si de nombreuses hypothèses planent sur les causes de l'accident, Chantal Nobel blessée et handicapée à vie, restera tout de même 40 jours dans le coma. Sacha Distel sera, lui, condamné à un an de prison pour blessures involontaires
.
06/09/2018 - 15:27
La récolte de jasmin a commencé à Grasse

La récolte du jasmin a commencé depuis le début du mois d’août dans le pays grassois. Au Domaine de Manon, on produit du jasmin grandiflorum. L’intégralité des fleurs serviront exclusivement à la maison Dior.

Les champs de jasmin au Domaine de Manon Grasse, France

 Depuis trois semaines, au Domaine de Manon, le même rituel se répète, tous les matins : les saisonniers arrivent dès 6h et aux premiers rayons de soleil, ils attaquent la cueillette du jasmin jusqu’à 11h. Ensuite, les petites fleurs blanches sont transportées jusqu’à l’usine, pour y être immédiatement transformées. Lerésultat, l’essence de jasmin finale, s’appelle un "absolu", c’est la base du parfum.

"Le geste n’est pas très compliqué, mais il faut faire attention à ne pas prendre les petits boutons roses, ce sont les fleurs qui ne sont
pas encore sorties"
, précise Alexandra, qui travaille au domaine d’août à octobre.

Pendant cinq heures, les saisonniers déposent les pétales blancs dans des paniers en osier. Dans la matinée, ils en récupéreront entre 10 et 20 kilos quand 700 kilos de fleurs permettent de produire un kilo d’absolu.


Récolte de jasmin au Domaine de Manon

-Un domaine familial"C’est une histoire de famille », explique Carole Biancalana, à la tête du Domaine de Manon. Ses grands-parents sont propriétaires de l’exploitation. Comme de nombreuses familles grassoises, ils cultivent des plantes à parfum depuis les années 1930.
"Les fleurs à parfums sont différentes des fleurs ornementales, pour lesquelles le visuel compte le plus. Chez nous, on prête surtout
attention à l’olfactif."


Grasse est depuis longtemps, la capitale des parfums : 10% du chiffre d’affaire mondial de la filière y est réalisé. Au début du XXe siècle, la ville jouit même d’un quasi-monopole.
Fragornard, Molinard, Galimard… Les grandes maisons y sont présentes depuis la Belle Époque et contribuent à l’image d’élégance et de classe que la France donne dans le reste du monde. Une tradition que les cultivateurs de fleurs à parfum perpétuent. La totalité du jasmin du Domaine de Manon est ainsi réservée exclusivement à la maison Dior.


Récolte de jasmin au Domaine de Manon

Un argument touristique

Le parfum est devenu pour la ville un argument touristique : il attire 2 millions de visiteurs chaque année. Musée du parfum, visite d’usine, découverte des fragrances… En période de récolte, d’août à octobre, le Domaine de Manon ouvre par exemple ses portes aux touristes, tous les mardis matin.
Molinard propose des ateliers de création pour repartir avec une odeur sur-mesure.
Galimard propose un "orgue à flaveurs" pour apprendre à distinguer les senteurs.

Les savoir-faire grassois apparaissent même sur la liste du patrimoine immatériel en France. Logiquement, Grasse accueille le centre de formation des professionnels de la parfumerie.
Pour Carole Biancalana, Grasse est tout simplement une terre bénie des dieux du parfum :
"Nous avons la chance d’avoir un terroir exceptionnel, coincé entre la montagne et la mer, avec ses influences salines. Ce corridor, avec
son climat particulier, va conférer aux fleurs quelque chose
d’exceptionnel et d’inimitable. Tout comme le terroir influe sur le gout
du vin, il donne une empreinte à l’odeur."

Récolte de jasmin au Domaine de Manon
06/09/2018 - 12:04
Le Saint Exupéry, le plus grand porte-conteneurs français inauguré aujourd'hui.


Des géants des mers toujours plus grands.
Ce matin, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire et la ministre des Transports Élisabeth Borne,viennent inaugurer au Havre Le Saint-Exupéry, dernier né de l'armateur français CMA-CGM.
Ce navire, qui porte le nom de l'aviateur et écrivain français a été mis en service en février dernier sur la liaison entre l'Europe et l'Asie.
Il est aujourd'hui le plus gros porte-conteneurs au monde battant pavillon français et le troisième mondial de part sa dimension et sa capacité de transport de conteneurs. La preuve en chiffres de son gigantissime.
•400 mètres de long.
C'est l'équivalent d'un peu plus de la longueur de quatre terrains de footballmis bout à bout ou plus de plus de cinq Airbus A380. Il dépasse ainsi de deux mètres le Bougainville, autre porte-conteneurs géant, propriété de la CMA-CGM mise en service en 2015.
• 59 mètres de large.
Là encore il détrône le Bougainville (54 mètres). Le «Saint-Ex'» est plus gros que l'Empire State Building ou la Tour Eiffel,
précise le groupe CMA-CGM.
• 20.600 EVP (équivalent vingt pieds).
C'est le nombre de conteneurs qu'il peut transporter sur les mers et les océans. Si on met ces «boîtes» bout à bout, cela représente une chaîne de 123 kilomètres de long.












Ce commentaire a été modifié le 06/09/2018 à 12:14
06/09/2018 - 11:18
Les villes les plus romantiques du Monde.   
                                               [url=https://tv5.ca/blogue/liste?query[author_id]
     Bien que le mois de février soit terminé, l’amour est au rendez-vous à l’année!
Notre équipe s’est donc amusé à vous présenter son top 10 des villes les plus romantiques du monde.
Des idées pour une prochaine destination voyage en amoureux?
    

 Venise, Italie.                                   [/url]


Évidemment, la ville la plus romantique du monde est certainement Venise. Pour un voyage surprenant, n’hésitez pas à réserver une chambre au Gritti Palace, un endroit au style unique et élégant.

 Paris, France.

Pas de véritable surprise ici, la « Ville Lumière » est sans aucun doute l’une des villes romantiques par excellence.

Carmel-By-Sea En Californie, États-Unis

D’après les visiteurs, l’une des meilleures parties du voyage serait le voyage en lui-même...
Conduire sur les falaises ou encore déambuler à travers les vignobles de la vallée à proximité.

Florence, Italie

Comme l’art et l’amour se combine naturellement, cette destination italienne est sans contredit un incontournable. Véritable musée à ciel ouvert, lesamateurs d’art seront conquis.

 Honolulu À Hawaï, États-Unis

Destination idéale pour les couples à la recherche d’une escapade tropicale, cette ville offre tout ce que l’on peut vouloir...
D’un séjour entre amoureux : moment à la plage et détente au soleil !
Il s’agit d’un lieu très prisé par les Américains pour leur lune de miel.

Bruges, Belgique.

Surnommée « la Venise de Belgique », Bruges est certainement l’une des villes les plus romantiques d’Europe.
Si vous décidez de vous y arrêter, passez par le café le Vlissinghe dont la décoration remonte aux années 1870.

Victoria En Colombie britannique, Canada.

Surnommée « la ville des jardins », Victoria possède une multitude d’espaces verts et une architecture victorienne à couper le souffle.
Si vous y faites escale quelques jours en amoureux, réservez une chambre au Wickaninnish Inn.
Lorsque le soleil se lève, rendez vous au restaurant The Pointe qui offre une vue panoramique sur le Pacifique.

Barcelone, Espagne.

Difficile de ne pas sentir le romantisme dans une ville dont l’été est sans fin et dont les bâtiments gothiques y côtoient l’art moderne.
Elle possède également le plus grand parc urbain du monde, le parc Callserola.

 Aix-en-Provence, France.

Ancienne capitale de la Provence, Aix-en-Provence est particulièrement connue pour son patrimoine culturel.
La ville est notamment associée à Émile Zola et Paul Cézanne, qui y sont nés...Et elle accueille chaque année un festival international d’art lyrique.
Arrêtez-vous aux marchés pour acheter de l’huile d’olive fraîche et du bon vin!

Buenos Aires, Argentine.

Quoi de mieux que la capitale du tango pour terminer ce classement !
Aujourd’hui déclaré patrimoine immatériel de l’humanité par l’Unesco...
Le tango argentin est né dans les quartiers populaires de Buenos Aires à la fin du 19e siècle.
Un détour dans le quartier La Boca est un passage obligé!
Photos : © iStockphoto


Ce commentaire a été modifié le 06/09/2018 à 11:32
06/09/2018 - 10:52
La place centrale du feu en Namibie (vidéo)

En Namibie, le feu est central chez le peuple Himba. Il y brûle sans relâche depuis plusieurs générations.
Dans le désert tourmenté du Kaokoland, les pasteurs himba ont bien du mal à préserver leur mode de vie ancestral, menacé par une longue guérilla. Ils ne sont plus que quelques milliers à perpétuer une morale rude et frugale fondée sur la présence éternelle des morts, incarnés dans leurs troupeaux. Leur passion pour la beauté corporelle en fait aussi d’admirables témoins d’une Afrique australe qui, désormais, s’efface.
Les maisons des Himbas ont une forme conique et sont fabriquées et réparées uniquement par les femmes avec des branches, de la terre grasse et des excréments de vache mélangés à du sable.
Dans une famille, ce sont les enfants de la sœur qui héritent du bétail, alors que les enfants reçoivent le bétail de l’oncle maternel. Seuls le « troupeau sacré » et la responsabilité du feu sacré sont laissés au fils.
Le feu ne doit jamais s’éteindre, puisqu’il maintient la relation entre les vivants et les morts.

source
Ce commentaire a été modifié le 06/09/2018 à 11:12
06/09/2018 - 10:48
L’astuce insolite des Parisiens pour un corps musclé et fin


On revient de vacances, on s’est regardé sous tous les angles dans notre maillot de bain et clairement, dès qu’on pouvait enfiler un t-shirt ample par-dessus, on le faisait.

Plutôt que de planquer le tout sous des grands pulls et de remettre le problème à l’année prochaine, on a plutôt décidé de nous prendre en main, rien que pour nous, rien que pour notre bien-être.
Pas envie de courir dans une salle de sport moche et remplie que types bodybuildés buvant des boissons fluo et pas envie non plus de nous réabonner à la piscine (on n’y est allé deux fois l’année dernière, et juste pour le bain à remous…)
Donc notre cœur a balancé vers un nouveau concept de salle de remise en forme, qui prend soin de notre corps, de notre silhouette, de nos muscles mais aussi de notre mental. Il s’agit de MyBigBang qui propose de reprendre le contrôle sur son corps grâce à un coach-confident qui fait en fonction de nos besoins et de nos attentes, et grâce à l’aide d’une machine d’électrostimulation globale.
Une nouvelle philosophie.
Lorsque les kilos se sont installés, pas facile de savoir par quoi commencer… Se démoraliser et continuer de tartiner de la pâte aux noisettes sur sonpain devient souvent la seule solution…Le concept MyBigBang est très différent d’un coaching classique qui a tendance à nous effrayer… Ici, personne ne vous hurlera dessus pour vousfaire « transpirer » et vous « dépasser » (sauf si vous le demandez !)
L’entreprise a développé des offres sur-mesure pour chaque client aux noms sympas : Eau, Terre, Air, Feu.
Cela correspond à vos besoins, vos envies et vos attentes (eh oui, on n’est quand même pas venu là pour enfiler des perles !)
On enfile une combinaison pleine d’électrodes qui enverra des petites décharges différentes selon chaque profil. Le coach nous guidera dans chaque exercice complémentaire à réaliser pour atteindre ses objectifs et solutionner ses problèmes : cellulite, rétention d’eau, élimination, manque de fermeté etc…

Une rapidité friendly-planning.
Ne nous mentons pas : on n’a pas le temps de faire du sport ! Donc, on se démotive, on abandonne, on tente une séance d’une heure tous les deux mois et ça ne sert à rien. On se sent fatigué, on ne va pas au sport et donc on se sent encore plus fatigué…
Pour casser ce cercle vicieux, MyBigBang a imaginé une remise en forme au rythme de chacun et lors de séances très rapides.
Associer mouvements corporels et électrostimulation permet d’avoir des résultatsrapidement et en peu de temps. Une séance dure une vingtaine de minuteset l’on peut ainsi facilement caler sa séance hebdomadaire dans son planning.

Des résultats visibles rapidement.
Bien sûr, même si la déco est top et les coaches ultra sympas, on veut évidemment voir disparaître cette bouée goût barbecue-rosé qui entoure nos abdos…
D’abord on apprécie que le fondateur de MyBigBang y soit passé (et pas qu’un peu) pour tester l’efficacité du concept. Déjà existant depuis une dizaine d’années en Allemagne (d’où il est originaire), il a su tester, évaluer et proposer une réelle expertise en la matière.
Ensuite, parce que les client(e)s sont extrêmement contents et prennent généralement un abonnement à l’année pour entretenir leur corps et le remettre au centre de leur vie. Jeunes mamans, femmes plus matures, hommes, personnes en surpoids : les profils sont variés et chaque type de morphologie peut trouver une réponse adéquate à ses besoins.
Allez, on cale notre séance entre deux dej’ et hop, on a un corps tout beau tout neuf dans deux mois !

 
 Studio My Big Bang ETOILE 12 rue Paul Valéry, Paris 16ème
etoile@my-big-bang.fr

Studio My Big Bang VAUGIRARD 6 rue des Favorites, Paris 15ème
vaugirard@my-big-bang.fr

Studio My Big Bang SENTIER 4 rue des Jeûneurs, Paris 2ème
sentier@my-big-bang.fr

Plus d’infos sur le site de MyBigBang : www.my-big-bang.fr

06/09/2018 - 10:39
Des amendes pour être sur les pistes cyclables à Paris.  
Mardi 4 septembre, une horde de défenseurs des cyclistes parisiens a créé unechaîne humaine autour de la piste cyclable du pont de la Concorde pour la protéger.
Leur slogan : «  Piste cyclable sans scooter, c’est le bonheur ! »
L’association Paris en selle dénonce l’emprunt des pistes cyclables – ayant fait perdre la vie à une assistante parlementaire qui se rendait au travail –par ceux qui n’ont rien à y faire.
D’ailleurs, la Mairie de Paris affirme avoir récupéré une partie de ses agents de la préfecture pour verbaliser les automobilistes ou utilisateurs de deux roues roulant sur les pistes cyclables.

On risque donc 135 euros d’amende si l’on circule sur une voie de bus ou de vélo. Mais ce n’est pas tout : des caméras vont être installées pour verbaliser ceux qui empruntent les voies réservées aux bus et aux cyclistes sans avoir à y être.
Le plus gros du travail sera un changement des mentalités : le respect des pistes cyclables pour un Paris réellement plus vert et respectueux.