De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
26/08/2018 - 21:22
Sur les pistes d'Afrique australe.

Photographe amoureux des grands espaces africains, Patrick Galibert sillonne depuisplus de dix ans les pistes d’Afrique. Chaque année, il reprend le volant de son véhicule, équipé pour évoluer de manière autonome, qui lui permet d’approfondir sa découverte des pays d’Afrique australe et de partir à la rencontre des peuples, animaux et paysages de ces régions magnifiques. Dans son livre Africatracks, il dévoile quelques-unes de ses plus belles images dont voici une sélection.

L’Arche du Spitzkoppe au coucher du soleil, dans le désert du Namib, Damaraland, Namibie



Femmes du peuple Arboré, Vallée de l’Omo, Éthiopie



Éléphants au point d’eau, Tanzanie



Rencontre étrange au Malawi



Nous étions arrêtés sur le bord de la piste quand nous avons vu arriver ce jeune homme marchant d’un pas assuré avec ce masque étrange. Voyant mon appareil, il a ralenti sa course et accepté que je puisse prendre la photo. Ce déguisement fait partie d’un rite, c’est le passage à l’âge adulte, coutume encore présente dans les campagnes au Malawi.

Coucher du soleil aux chutes Victoria, Zambie



Les chutes Victoria sont à visiter absolument ! Elles comptent parmi les sept merveilles naturelles du monde. Situées sur le fleuve Zambèze, on peut y accéder du Zimbabwe ou de la Zambie. J’ai réalisé ce cliché lors de ma 3ème visite, en attendant le coucher du soleil et grâce à une longue exposition.
Il est nécessaire à cet endroit de  bien protéger l’appareil photo contre les embruns (j’utilise pour cela des poches plastique de congélation).  Le Nikon D810 avec mon optique grand angle fétiche, le  Nikkor 14/24mm 2,8, est fixé sur un trépied. Pour avoir cet
effet de mouvement de l’eau il est important d’avoir un temps de pose assez long. J’ai également utilisé un filtre dégradé gris neutre pour garder le ciel assez dense.
Les réglages de l’appareil en mode manuel sont : ISO 64 F :14 Temps : 1/6s
Porte-filtre Lucroit pour le 14/24 mm et filtre dégradé ND 0,9 165x200 mm.

Léopard dans le parc d’Etosha, Namibie



Village dans le bush, Tanzanie



Vendeuse de bananes, Malawi



L’accueil dans les campagnes au Malawi est remarquable. Le fait de circuler seul sur les pistes et de prendre son temps dans les villages nous réserve des rencontres inoubliables.

Dune 45 du désert du Namib à Sossusvlei, Namibie



Dune mythique, ce haut lieu touristique est malheureusement victime de son succès, surtout lors des lever et coucher de soleil.

Lessive au point d’eau, Ouganda



La corvée d'eau et la lessive font souvent partie des tâches quotidiennes  pour les femmes et les enfants.

Baobab et voie lactée, Botswana



Réaliser des photos de nuit en Afrique est un vrai plaisir ! Il n’y pas de pollution dans le bush, pas de lumières parasites, le ciel et la voie lactée rayonnent et offrent un vrai spectacle ! ll suffit de prendre un pied et d’utiliser une télécommande à distance pour déclencher l’appareil photo en pose longue.

Stand de poissons séchés au marché, Mozambique



Ces étalages sont ouverts tous les jours. Sur les marchés le poisson est à l’honneur. La proximité avec l’océan Indien est un atout certain.

Océan Atlantique, Afrique du Sud



La côte océanique de l’Afrique du Sud est de toute beauté.

 Cueillette du thé, Kenya




La culture du thé vert s’accommode des pluies régulières et du fort ensoleillement du nord du Kenya. La grande majorité des cueillettes traditionnelles, au cours desquelles seules les feuilles les plus hautessont récoltées, se fait à la main.

Coucher de soleil, Parc National de Chobe, Botswana



Arbre solitaire sous la voie lactée, Namibie



Photo de nuit dans le désert du Namib. Le paysage est éclairé par la lumière de la lune, l’arbre avec une torche. L’appareil photo est sur pied, le temps d’exposition est de  30 secondes à 3200 Iso Diaphragme f5,6.

26/08/2018 - 16:29
A-t-on raison de boire l’eau du robinet à Paris ?
 
“L’eau de Paris est une eau équilibrée, économique et écologique. C’est l’aliment le plus contrôlé et surveillé par les pouvoirs publics”. Ça, c’est l’entreprise publique Eau de Paris qui le dit. Mais l’eau du robinet que nous buvons est-elle vraiment saine?Contient-elle exclusivement de l’eau ?A-t-on raison de la boire ?
L’eau du robinet, une solution bien pratique ! Une chose est sûre, l’eau du robinet est pratique car elle n’impose pas de budget pour les packs de bouteilles, pas de plastique à recycler et surtout pas de sacs ultra-lourds à transporter !
Selon une étude commandée par l’Eau de Paris, presque 80% des habitants de la capitale ne sont pas du tout réticents à ouvrir leur robinet quand ils ont une petite soif, et 85% d’entre eux sont satisfaits, voire très satisfaits, de la qualité de l’eau qu’ils boivent. Un chiffre impressionnant quand on sait que seulement un Français sur deux ose boire l’eau du robinet.
Autre bon point, l’eau de Paris contient des sels minéraux : 90 mg/l de calcium, 10 mg/l de sodium et 6 mg/l de magnésium. Des éléments essentiels à l’équilibre nerveux et musculaire. L’eau parisienne aurait donc tous les avantages de l’eau en bouteille, tout en étant plus écologique et économique. Mais est-elle vraiment si claire et limpide que ça ?

Du plomb dans l’eau de Paris ?
Selon Bernard Barraqué,spécialiste des politiques publiques de gestion de l’environnement, “l’Eau de Paris fait en sorte que la qualité de l’eau doit être garantie non plus à la sortie de l’usine, mais du robinet du consommateur”. Donc logiquement, la tuyauterie de nos immeubles, les branchements ou encore les canalisations ne contiendraient pas de plomb,que l’on sait depuis longtemps nocif pour la santé. Mais ça, c’est la version officielle.

Même si aujourd’hui, la présence du plomb dans les tuyauteries parisiennes est de plus en plus contrôlée, tous les propriétaires et syndics d’immeubles ne sont pas forcément les plus prudents… Il est donc possible d’avoir du plomb dans son verre d’eau, surtout lorsque l’eau provient des tuyaux du réseau privé.
Mais à quelle quantité ? La teneur maximale est aujourd’hui fixée à 10 microgrammes par litre (25 microgrammes avant 2014). Au delà, le plomb représente un danger, puisque c’est un métal toxique qui passe dans le sang et se fixe au système nerveux, au foie, aux reins et dans les os.
Une eau encore plus chlorée à cause… des attentats.
Le premier argument de ceux qui ne veulent pas boire l’eau du robinet est souvent lié à son goût, jugé trop « chloré ». Pourtant, la présence de chlore dans notre eau est inévitable car il garantit sa potabilité et préserve la qualité de l’eau qui parcourt des kilomètres de canalisations.
Et l’on n’est pas prêts d’oublier ce goût si désagréable quand on boit notre grand verre d’eau du matin. Depuis les attentats de novembre 2015 et la mise en place de l’état d’urgence, l’eau de Paris est beaucoup plus surveillée, mais aussi beaucoup plus chlorée. Pourquoi ? Car le chlore est un produit qui peut détecter une éventuelle attaque du réseau par des armes chimiques.
Comme le plomb, le chlore a-t-il des répercussions sur notre santé ? Même si le chlore a un effet “protecteur”, à très forte dose, il peut être très dangereux. Mais rassurez-vous, la dose présente dans notre eau du robinet reste faible (0,1 mg/l à 0.5 mg/l) et n’a aucun risque sur notre santé, ce qui fait, quand même, de l’eau de Paris une eau de qualité.

Bon à savoir : 
– Pour faire disparaître le goût du chlore, il suffit juste de faire couler l’eau un peu plus longtemps avant de la boire.
– Pourquoi notre eau est « calcaire » (ou dure) ? La calcaire est directement lié à la présence du calcium. En effet, le calcium présent dans l’eau froide se transforme en calcaire à partir de 60°C. On peut alors utiliser un adoucisseur d’eau ou alors simplement régler son chauffe-eau en dessous de 60°.
Ce commentaire a été modifié le 26/08/2018 à 16:31
26/08/2018 - 16:16
Petite histoire des fontaines Wallace.
 
Les fontaines Wallace, ces fontaines vertes qui permettent de s’abreuver etque l’on croise régulièrement en se baladant dans les rues de Paris, sont non seulement belles et pratiques, mais également dotées d’une histoire remarquable. 
Chronique d’une invention née sous le signe de la philanthropie.

Richard Wallace, un généreux donateur anglais Nous sommes à la fin de l’année 1871. 
Paris, assiégée entre septembre 1870 et janvier 1871 par les forces prussiennes, vient de vivre son plus rudehiver, suivi de sa période insurrectionnelle la plus violente, la Commune. Pendant plusieurs mois, les Parisiens ont été privés des besoins les plus rudimentaires. Ils ont eu froid – le thermomètre descendait autour de -20°, faim au point de manger les animaux du zoo, mais aussi soif car de nombreux aqueducs ont été détruits pendant la guerre et le prix de l’eau a flambé.

Les indigents ont été les premiers touchés par ces manques et le collectionneur anglais Richard Wallace, installé dans la capitale depuisplusieurs années, en a conscience. Cet éminent donateur se demande ce qu’il pourrait faire afin d’aider les plus démunis et trouve une idée pour le moins géniale : il va offrir à la Ville de Paris des fontaines qui permettront à tous les passants, les plus riches comme les plus pauvres, de se désaltérer.

De jeunes hommes et garçons s’abreuvent à une fontaine Wallace, en 1911.

Mais, pour le philanthrope, la mission de ces points d’eau est double : apporter de l’eau potable en libre-accès et embellir la ville. Les fontaines doivent donc s’ancrer harmonieusement dans l’architecture urbaine de Paris et être conçues comme de véritables œuvres d’art.
Richard Wallace fait appel au sculpteur Charles-Auguste Lebourg, dont il connait les talents pour avoir recouru à ses services à plusieurs reprises. Fondues en Haute-Marne, les fontaines en fonte de fer sont réalisées en quatre modèles.


Le grand modèle (gauche), composé de quatre caryatides se tournant le dos et supportant un dôme surmonté de dauphins, mesure près de 2,71 mètres.
Le modèle à colonnes (droite), plus petit de quelques centimètres, est plus simple dans son ornementation, mais moins cher à la fabrication.



Le modèle en applique (gauche) s’accole à un mur. Il ne reste qu’une fontaine de ce type dans Paris, rue de Geoffroy Saint-Hilaire. Les petits modèles à bouton-poussoir (droite) sont souvent installés dans les parcs et jardins publics pour abreuver les promeneurs au gré de leurs balades.


Eugène Belgrand, le père du réseau d’égouts et de la poste pneumatique parisienne, est chargé de définir les emplacements de ces fontaines. Il choisit, encommun accord avec le philanthrope anglais, des lieux stratégiques qui permettent un accès au plus grand nombre. La première de ces fontaines est installée en août 1872 sur le boulevard de la Villette. Plusieurs dizaines d’autres seront installées dans tous les arrondissements de la capitale dans les années qui suivent.
Si elles ne sont plus forcément vertes, une centaine de fontaines Wallace sont encore réparties dans la capitale aujourd’hui et fonctionnent commeau premier jour, c’est-à-dire qu’elles fournissent de l’eau potable de la même qualité que celles des appartements, du 15 mars au 15 novembre.
Bon à savoir pour la prochaine grande soif de cet été !
Ce commentaire a été modifié le 26/08/2018 à 16:18
26/08/2018 - 16:02
Futilités...
Ca y est la fin des vacances approche et je suis revenue dans ma p’tite cuisine ! J’espère que vous avez passé un très bel été et que vous en avez profité à fond. Je ne sais pas si vous avez suivi un petit peu sur mon compte instagram, mais j’ai pas mal bougé ces dernières semaines.
 
 
Nous avons d’abord passé quelques jours en Charente-Maritime, pour profiter de ma famille et de la plage à Ronce les Bains, mais également nous promener à La Rochelle et découvrir un chouette restaurant (c’est ici sur le blog) puis faire du canoé sur la Venise Verte.
 
 
Après nous avons pris la direction des Hautes-Pyrénées pour faire plusieurs randonnées sympa autour de Saint-Lary. J’avoue j’ai moins adoré les Pyrénées que les Alpes ça monte très très vite sur les sentiers et ce n’est pas hyper bien balisé !
Mes cette petite semaine était quand même super agréable, p’tit bonhomme a adoré partir en vacances avec son cousin.
 
 
 
Et pour finir, j’avais un énorme besoin de repos, de glandouille et de soleil, alors nous avons posé nos valises en Sicile dans un Club de Vacances, sur le Sud Ouest de l’Ile. Pas de ménage, ni de courses, de rangement, de machines à vider, de cuisine, juste profiter, et ça c’était parfait !
Nous avons quand même découvert une partie de l’île, y’a du beau et du moinsbeau je vous en reparlerai dans les prochains mois sur mon blog, il me reste encore à terminer mes articles sur les USA, la Corse et la Croatie avant 🙂
 


Côté cuisine, j’ai quand même un peu cuisiné cet été, je vous ai partagé quelques recettes que nous avons adoré, comme le tartare de tomates à l’avocat, les roulés au courgettes et au saumon fumé, ma salade de poivrons grillés mais également deux très belles recettes familiales, les tomates farcies et les moules au chorizo et aux tomates. Et si vous avez loupé mon dessert préféré de l’été, la tarte feuilletée aux pèches, citron vert et romarin profitez de la fin d’été pour la réaliser, elle est plus que parfaite !
Cependant les prochaines recettes seront plus légères. Entre les apéros, l’arrêt du sport et l’abus de pâtes en Sicile ma balance n’est pas vraiment ma copine en cette fin d’été alors j’ai décidé de me reprendre en main avecdes recettes plus légères, en m’inspirant beaucoup de la méthode de Valérie Orsoni. J’espère  que mes nouvelles recettes légères vont vous plaire !
Et en autre nouveauté de rentrée, je vous annonce que mon blog va se faireune p’tite beauté. Ne vous inquiétez pas, tout ne va pas changer mais on va revoir un peu la mise en page du blog, pour qu’il soit plus facile à consulter au quotidien, que ce soit sur ordinateur, mais surtout sur mobile car il n’était pas vraiment ergonomique. Il est possible donc qu’il y ait une petite coupure dans mes publications dans les prochains jours, mais ne vous inquiétez pas très vite je reprends les publicationsquotidiennes.
En attendant je vous souhaite un très bon dimanche et je vous dis à très vite pour de nouveaux articles !

Ce commentaire a été modifié le 26/08/2018 à 16:05
26/08/2018 - 14:44
Jacques Gruber , Peintre verrier français 1870 - 1933

Gruber renouvelle le style et les thèmes du vitrail civil, ses recherches s’inscrivant résolument dans le mouvement de l’Ecole de Nancy. Son succès va de pair avec celui de l’architecture Art Nouveau et il sera associé à la plupart des chantiers importants.
 


 





Jacques Gruber, artiste plastique, peintre et verrier français, né le 25 janvier 1870 à Sundhausen (Allemagne) - Décédé le 15 décembre 1936 à Paris.
C'est une bourse de la ville de Nancy qui lui a permis de suivre les cours de Gustave Moreau à Paris.

Il est revenu à Nancy en 1893 où il enseigne à l'Ecole des Beaux-arts avant de réaliser des décorations de vases pour Daum, des meubles pour Majorelle et des couvertures de livres pour René Wierner.

Il monte son propre atelier en 1897 et se spécialise rapidement dans le verre et le vitrail.
Il fut, en 1901, l'un des fondateurs de l'École de Nancy.
Il s'intéresse à toutes les techniques des arts décoratifs avant de se consacrer au vitrail vers 1900.
En 1901, il fait partie du comité directeur de l'Ecole de Nancy.
En 1914, il s'installe à Paris.
Il participera à la décoration du paquebot transatlantique " L'Ile de France ", pour lequel il fut chargé de l'éclairage.
 
             
26/08/2018 - 14:36
LE CRATERE NYIRAGONGO






 
Le Nyiragongo est un stratovolcan des montagnes des Virunga qui font partie de la vallée du Rift.
 
Il est situé en République démocratique du Congo, à une vingtaine de kilomètres au nord de la ville de Goma et du lac Kivu et à l'ouest de la frontière avec le Rwanda.
 
De par sa proximité avec des zones densément peuplées, ses éruptions fréquentes dont la dernière débutée le 17 mai 2002 et la présence d'un lac de lave pouvant se déverser sur ses pentes en de longues coulées de lave, considérées comme les plus rapides au monde, le Nyiragongo est un des volcans les plus actifs et dangereux d'Afrique.
 
La montagne culmine à 3 470 mètres d'altitude au sommet formé par un cratère de 1,2 kilomètre de diamètre.
 
Ses pentes prononcées caractéristiques d'un stratovolcan sont interrompues par la présence de deux anciens volcans, le Baruta au nord et le Shaheruau sud, ainsi que par une chaîne de bouches éruptives ayant formé une centaine de cônes volcaniques s'étirant selon un axe nord-est-sud-ouest depuis l'est du sommet jusqu'au lac Kivu.
 




26/08/2018 - 08:45
Randonnée Sur La Couronne Solaire De L'Himalaya...


L'Himalaya  Écouter (sanskrit : de hima (neige) et ālaya (demeure), littéralement « demeure des neiges »1, népalais : , hindi :  ourdou : ou chaîne de l'Himalaya, est un ensemble de chaînes de montagnes s'étirant sur plus de 2 400 km de long et large de 250 à 400 km, qui sépare le sous-continent indien du plateau tibétain dans le sud de l'Asie.

Il débute à l'ouest au Nanga Parbat au Pakistan et se termine à l'est au Namche Barwa au Tibet.

Cet ensemble montagneux, délimité à l'ouest par la vallée du fleuve Indus et à l'est par la vallée du fleuve Brahmapoutre, couvre une aire d'environ 600 000 km2.
L'Himalaya abrite les plus hautes montagnes du monde, soit les 14 sommets qui culminent à plus de 8 000 mètres d'altitude, dont le mont Everest, le plus haut de tous. Ces hauts sommets ont donné lieu à de nombreuses expéditions d'alpinistes renommés et ont tous été conquis.

La limite supérieure des forêts se situe à 3 900 m et la limite inférieure des neiges éternelles vers 5 000 m2.
L'Himalaya fait partie d'un ensemble montagneux plus vaste encore que l'on désigne par « Aire Hindu Kush-Himalaya » (HKH), laquelle comprend outre les chaînes de l'Hindu-Kush et du Pamir, celles du Karakoram qui prolonge la chaîne himalayenne à l'ouest.
Ce vaste ensemble chevauche huit pays et abrite plus de 140 millions de personnes.
La couronne solaire est la partie de l'atmosphère du Soleil située au-delà de la chromosphère et qui s'étend sur plusieurs millions de kilomètres en se diluant dans l'espace.

Propriétés Physiques.
La température de la couronne est extrêmement élevée : en contraste avec les 5 770 K de la surface solaire et les 7 000 K de la chromosphère (une fine couche qui sépare la photosphère de la couronne), elle atteint de un à trois millions de degrés.

Les mécanismes nécessaires pour chauffer la couronne solaire ont été longtemps attribués à la présence de boucles de champ magnétique, appelées « boucles coronales ». Ces boucles passent par les pôles du Soleil et s'étirent à travers la couronne solaire.
Elles ont la capacité de libérer de grandes quantités d’énergie, ce qui fait qu'elles jouent un certain rôle dans le chauffage de la couronne solaire.

Au début des années 2010, des observations obtenues par le satellite japonais Hinode démontrent que le rôle des boucles coronales dans le chauffage de la couronne solaire n'est pas déterminant.
Selon une publication d'astrophysiciens de l'université Columbia, le chauffage de la couronne solaire serait le résultat des ondes d’Alfvén, d'autres ondes électromagnétiques émises par le Soleil.


D'autre part, la couronne solaire est constituée de gaz fortement ionisé, ou plasma, d'une densité extrêmement faible (environ 1012 fois moins dense que la photosphère).
Du fait de sa température élevée, ce plasma émet notamment du rayonnement dans l'extrême-ultraviolet.

Cette couronne est divisée en deux couches : la couronne K et la couronne F. La couronne K pour kontinuierliche Korona (couronne continue) tient sa luminosité de la diffusion Thomson.

La couronne F pour couronne Fraunhofer est principalement éclairée selon le spectre des raies de Fraunhofer.

Comme la luminosité de la couronne K diminue avec l'élongation, la luminosité de la couronne F devient dominante à partir d'une élongation d'environ quatre rayons solaires.

La lumière zodiacale est une manifestation aisément observable de la couronne F.

CLIC.....................Nepal : Mustang view by drone (#01 Trailer) from Tonio Nicolazzi on Vimeo.

Coronographie
Région de transition solaire
Couronne solaire, sur Wikimedia Commons
L'Himalaya, sur Wikimedia Commons
Ajoutée Le 5 Janv. 2017.....
Au Tibet dans l'ouest de la Chine se trouve l'Everest, la montagne la plus haute de la planète. Du haut de ses 8 848 m, il est le point culminant de la Terre, c'est pour cette raison qu'il est aussi surnommé le toit dumonde.
Dans ces régions vivent des chinois qui ont appris à respecter la nature et ainsi vivre en parfaite harmonie avec elle. Les animaux font partis du paysage de leur vie quotidienne, leur entente réciproque est un modèle pour le reste du monde.

Venez découvrir cette vidéo que nous diffusons pour la première fois en 1080p, pour ainsi vous permettre d'admirer au mieux les paysages splendides qui s’offrent à vous.
Bon voyage !

CLIC.......................My drone shots from a himalayan motocycle trip. From Manali do Lech. India 2016 from BOSO on Vimeo.

Actualités et politique

CLIC.....................Off to Lithuania by drone (Back home) from Danulis Off To Somewhere on Vimeo.

Ajoutée Le 10 Févr. 2017......
Pour le peuple Sherpa, les plus haut sommets de l’Himalaya sont depuis toujours la demeure des dieux.
En 1953, le Sherpa Tensing Norgay commet le premier un sacrilège en se hissant avec Edmund Hillary au sommet de L’Everest.
25 ans Plus tard, j’offense à mon tour les divinités, avec Pierre Mazeaud et Nicolas Jaeger, nous sommes les premiers Français sur le Toit du Monde.
Cette fois-ci, je décide de partir à leur rencontre et d’emprunter le chemin qu’ils ont suivi pour devenir les vrais héros de l’Everest.


CLIC..............................ENTRE CIEL ET TERRE - La Palma in 4K astrolapse from Adrien Mauduit Films on Vimeo.

CLIC............................HIMALAYA from Berta Tilmantaitė on Vimeo.

CLIC...........................Parklands 4K from Νeftali on Vimeo.

CLIC.........................NAMASTE - Himalaya Timelapse #2 [4K] from THIRD POLE on Vimeo.

Bon Visionnement !
Ce commentaire a été modifié le 26/08/2018 à 09:05
25/08/2018 - 21:14
Le Cirque de Gavarnie, site grandiose .

Au cœur du Parc National des Pyrénées, à cheval sur la frontière franco-espagnole, le massif du Mont-Perdu dépasse les 3000 m d’altitude.
Au sud, des canyons extraordinaires, Ordesa, Aniscle et Pineta. 
Au nord, le pays des cirques, Gavarnie, le plus majestueux, Troumouse le plus vaste de tous et Estaube, le plus sauvage. 
Depuis 1997, cet ensemble de plus de 30 000 hectares est inscrit au patrimoinemondial par l’Unesco, tant pour ses richesse naturelles que culturelles. 

Seuls 27 sites au monde bénéficient aujourd’hui d’une telle reconnaissance. 
Gavarnie doit sa renommée en premier lieu à Victor Hugo qui dans son poème « Dieu » le dépeint comme un « objet impossible et extraordinaire », « un colosseum de la nature ». 

Gavarnie doit également sa renommée aux explorations et visites qu’il a suscitées de la part de  botanistes,scientifiques, romantiques, peintres, poètes, montagnards en faisant ainsi le berceau du « Pyrénéïsme ». 

Gavarnie, c’est une extraordinaire muraille de 1700 m de hauteur et de 14 km de circonférence, encadrée par plusieurs « géants », le Mont Perdu (3352m),le Pic de Marboré (3248m), Taillon (3144m) et la très réputée Brèche de Rolland, haut lieu légendaire. 

C’est à Gavarnie que vous pourrez observer la plus grande cascade d’Europe, 413m de chute libre. La visite peut se faire à pied mais aussi à cheval ou à poney .

Elle peut se poursuivre par celles des cirques d’Estaube ou de Troumouse, de la Brèche de Roland.
Sans oublier le musée-découverte Millaris à Gèdre.
A ne pas manquer également le Festival de Gavarnie, la deuxième quinzaine de juillet.
 
Ce commentaire a été modifié le 25/08/2018 à 21:15
25/08/2018 - 18:43
A la découverte du quartier du Bouchon de Champagne à Troyes.
Par Marlène .
Impossible de visiter Troyes sans explorer le centre historique : le quartier du Bouchon de Champagne. Il y a tellement de choses à raconter sur ces rues anciennes que j’ai décidé d’y consacrer un article entier et de vous emmener (par la lecture, du moins !) les visiter avec moi.
Au programme : un tour du quartier plein de belles façades… et quelques découvertes insolites !
Pourquoi parle-t-on du « Bouchon de Champagne » ?
Le quartier doit tout simplement son nom à sa forme qui évoque un bouchon de champagne, avec un corps et une « tête » entourée de canaux. Les esprits taquins yverront peut-être autre chose, d’ailleurs, j’ai plusieurs fois entendu la blague


Le quartier du Bouchon de Champagne.
Il faut savoir que la ville a engagé d’énormes travaux de restauration pour préserver ce patrimoine magnifique… donc on a la chance de pouvoir profiter d’une architecture ancienne ET en bon état, ce qui ne gâche rien au plaisir
On voit d’ailleurs sur plusieurs maisons un petit « macaron » qui indique qu’elles ont été rénovées comme ici, à gauche de la photo.

Troyes – La réhabilitation du Centre historique.

Le quartier du Bouchon de Champagne à Troyes a été très marqué par un épisode ancien : un gigantesque incendie en 1524. Si vous vous renseignez un peu sur la ville ou que vous faites un tour du quartier du Bouchon de Champagne avec un guide, vous en entendrez sans arrêt parler… tout simplement parce que cet incendie a détruit de très nombreux bâtiments.
D’origine criminelle, l’incendie s’est très vite propagé dans les rues étroites, d’une maison à une autre… si bien qu’il a duré 28 heures au total et a été très dévastateur sur le plan matériel. On sait peu de choses sur le nombre de victimes mais il a détruit plusieurs milliers demaisons ainsi que des bâtiments importants de la ville.
Tous ces endroits ont dû être reconstruits et la majeure partie du centre historique est concernée.
J’ai concocté pour vous une carte qui vous aidera à repérer facilement les principaux lieux à voir dans le quartier du Bouchon de Champagne.
Visite du quartier du Bouchon de Champagne : le « corps » du bouchon.
J’ai vraiment adoré ce quartier : ses ruelles étroites, ses façades pleines d’histoire, ses petits cafés… Le mieux, c’est de se perdre dans les rues au hasard mais si vous avez envie d’en savoir un peu plus sur quelques bâtiments particuliers, voici ceux qui ont retenu mon attention… en commençant parle « corps » du bouchon de Champagne.
La Ruelle des Chats et la Cour du Mortier d’Or.
La Ruelle des Chats est une ruelle très, très étroite… qui a un jour porté un autre nom mais était tellement surnommée « ruelle des Chats » que ça a fini par devenir son nom officiel !


Une tête de chat sculptée à l’entrée de la ruelle des Chats – Troyes.
Les habitants de Troyes lui ont donné ce petit nom car les chats pouvaient facilement passer d’un côté à l’autre de la rue en sautant entre les toits ou les greniers. Les maisons sont tellement proches que si vous levez la tête, vous verrez des étais qui les
empêchent de se coller





On voit encore la rigole centrale de la rue, qui servait à évacuer les eaux de pluie et les eaux sales. C’est de là que vient l’expression « tenir le haut du pavé » (qui désigne les gens qui ont une bonne position sociale) : en effet, à l’époque, les riches et
privilégiés marchaient « en haut du pavé », loin de la rigole des eaux usées, pour ne pas se salir.
La Ruelle des Chats débouche sur la Cour du Mortier d’Or, pleine de charme elle aussi.


Cour du Mortier d’Or – Troyes

Cour du Mortier d’Or – Troyes.

La Maison du Boulanger et la Maison de l’Orfèvre.
Parmi les incontournables du quartier, il y a la Maison du Boulanger. Elle a été construite au 16e siècle à l’angle des rues Champeaux et Paillot-de-Montabert… et elle a toujours accueilli des boulangers ou despâtissiers, jusqu’au 20e siècle où la maison se dégrade peu à peu.
La Maison du Boulanger (à gauche ci-dessous) a failli être détruite mais ça a déclenché un tollé chez les Troyens, faisant prendre
conscience à la ville de l’importance de préserver son patrimoine. On a alors complètement restauré la maison (et lancé un vaste chantier de rénovation des quartiers historiques de Troyes !)… et elle abrite aujourd’hui le Centre culturel de Troyes.
Juste en face de la Maison du Boulanger se trouve la Maison de l’Orfèvre, au 9 rue Champeaux (à droite ci-dessous).



A l’époque, c’était le quartier des orfèvres et c’est l’un d’entre eux qui l’a construite, ajoutant une tourelle pour profiter au maximum de l’espace. Elle semble comme suspendue dans les airs.

La tourelle de la Maison de l’Orfèvre – Troyes.

A l’époque des Comtes de Champagne, tout ce quartier servait au commerce et chaque rue avait plus ou moins sa spécialité : volailles, draperie, etc. On ne pouvait faire des achats qu’en ayant des pièces « officielles » des Comtes de Champagne… si bien qu’il y avait sur la Place du Marché au Pain voisine des « changeurs », dont le rôle était de convertir les monnaies des marchands venus de toute l’Europe en pièces utilisables sur place.
Par la suite, la place est devenue « Place du Marché aux Herbes », accueillant des herboristes et horticulteurs… avant d’être occupée par les boulangers au 17e siècle, prenant le nom de « Place du Marché au Pain ».
La rue Champeaux et l’Hôtel Juvénal des Ursins.
La rue Champeaux est très vivante avec ses petites boutiques et ses cafés… Au n°26, ne ratez pas l’Hôtel Juvénal des Ursins.
Il appartenait à une famille de magistrats qui s’appelait « Jouvenel » et a pris ce nom à particule après avoir été anoblie. Le bâtiment, avec sa façade blanche, tranche un peu avec l’architecture troyenne mais ne vous y trompez pas : il a lui aussi plusieurs siècles d’histoire !

L’Hôtel Juvénal des Ursins – Troyes.

La ville de Troyes a créé récemment (en 2017) un joli petit jardin, le Jardin Juvénal des Ursins, 500m² de verdure et un bassin en plein cœur de la ville. Évidemment, c’est en été qu’il doit être le plus agréable mais ça reste un lieu trèssympathique à traverser. Il est ouvert toute la journée jusqu’à 18h ou 19h selon la saison.

Le jardin Juvénal des Ursins – Troyes.

La Rue de la Monnaie.
Comme d’autres villes, Troyes a sa « Rue de la Monnaie ». Elle a commencé par être dans la « tête » du quartier du Bouchon de Champagne (actuelle rue Boucherat) puis a été déplacée à son emplacement actuel.
C’est là que l’on trouvait les ateliers de fabrication de la monnaie mais aussi, au n°26 rue de la Monnaie, la Maison de l’Élection qui s’occupait de percevoir les impôts jusqu’à la Révolution française.

Rue de la Monnaie à Troyes.

Le quartier juif de Troyes.
Comme beaucoup de villes, Troyes avait un quartier juif bien défini autrefois… et a même son rabbin célèbre, Rachi, extrêmement connu pour son commentaire de textes religieux. On peut d’ailleurs faire une visite guidée de la Synagogue de Troyes, qui explique toute l’histoire de la communauté juive locale…Elle a lieu de manière ponctuelle et pour ma part, j’étais déjà dans le train du retour à l’horaire proposé donc je n’ai pas pu y participer.
La façade de la synagogue vaut quand même le détour.

Synagogue de Troyes.

L’Hôtel de Vauluisant.
Il abrite aujourd’hui deux musées : le musée de la Bonneterie, sur l’époque où Troyes vivait de l’industrie textile… et le musée d’Art Champenois (peintures, sculptures et vitraux de la région).C’est un bâtiment en pierre avec deux jolies tourelles.

Hôtel de Vauluisant à Troyes.

L’Hôtel du Moïse.
Sa façade se remarque tout de suite car elle est construite en « appareillage champenois » : c’est une alternance entre de la brique et de la craie… On remarque un puits et une statue de Moïse, qui a donné au bâtiment son nom !

Hôtel du Moïse à Troyes.

Les Halles de Troyes.
Impossible de résister à l’envie d’entrer dans ce temple de la gourmandise. Ces Halles ont été construites en s’inspirant du Pavillon
Baltard en région parisienne… et on peut y acheter tous les bons produits locaux : champagne, andouillette, fromage…
Les Halles sont ouvertes tous les jours et même le dimanche matin, on peut donc facilement aller faire un peu de shopping gastronomique avant de quitter Troyes.

Halles de Troyes – La verrière sur le côté du Marché.

La rue Emile Zola.
La rue Emile Zola est sans doute la principale rue commerçante de Troyes. Il y a une partie relativement moderne mais aussi de très belles façades à pans de bois colorés. Ces maisons ont été construites au 16e siècle.

Rue Emile Zola à Troyes.
Regardez tout particulièrement les n°51 et 53 ; le n°107, avec ses verrières (lebâtiment est occupé par un magasin H&M) ; le n°108 (boutique Free) ;le n°111 (Hôtel du Lion Noir) ; le n°117 (boutique Armand Thiery), avecses pilastres sculptés en losange au rez-de-chaussée.


Rue Emile Zola à Troyes

Rue Emile Zola à Troyes.

Au Moyen-Age, on organisait dans la région les « Foires de Champagne » : elles se déroulaient dans 4 villes (deux fois par an à Provins, deux fois par an à Troyes et une fois par an à Lagny-sur-Marne et à Bar-sur-Aube). Pourquoi là ? Tout simplement parce que c’était facile d’accès pour les marchands de Flandres, de France et d’Italie…
A Troyes, la rue Emile Zola s’appelait à l’époque la Rue de l’Epicerie et était LA grande rue des échanges entre marchands du Sud
(italiens, provençaux) et marchands d’Europe du Nord, notamment pour le commerce des épices (poivre, cannelle, muscade, gingembre). Au 16e siècle, la rue est devenue le fief des imprimeurs troyens.
Autres découvertes dans le Bouchon de Champagne.
Entre le « corps » et la « tête » du bouchon de Champagne, on trouve une place très moderne, la place de la Libération.
Sous ses petits airs anodins, cette place a en réalité vécu une foule de péripéties : elle a été un lieu mal famé au début du 19e siècle, a accueilli une Halle aux Grains, puis une caserne de pompiers, puis un jardin, détruit le temps de construire un parking souterrain (avec, au passage, des fouilles archéologiques !)… jusqu’à la place actuelle !

Place de La Libération et Basilique Saint-Urbain.
Je vous conseille vivement d’aller voir de plus près le Parking de la place de la Libération, alias le « Parking Cathédrale ».

Parking Cathédrale à Troyes.
Ça vous paraît peut-être insolite, ça ne ressemble pas à un incontournabletouristique… mais ce parking a une particularité unique : on y trouve 106 ogives avec 87 vitraux colorés, une référence à la tradition du vitrail locale, avec une déclinaison basée sur les 4 points cardinaux. Leur nom est d’ailleurs inscrit dans une langue différente à chaque étage.
C’est un endroit vraiment inhabituel, avec un puits de lumière au centre et j’adore ce genre de découverte insolite !
Sur cette même place, on trouve aussi la sculpture de « Lili », une dame au chapeau assise sur un banc, imaginée par un sculpteur hongrois, Andras Lapis.

Lili de Troyes contemple la neige sur son banc.

Découvertes dans la « tête » du Bouchon de Champagne.

L’Hôtel-Dieu-Le-Comte de Troyes.
Il accueillait autrefois des pélerins et des femmes qui venaient d’accoucher. Aujourd’hui, on y trouve deux petits musées (Musées de l’Apothicairerie et du Musée du Vitrail) qui font partie des plus appréciés de Troyes !
C’est un bâtiment en forme de U, avec une grille aux dimensions vraiment impressionnantes et des cadrans solaires sur la façade.
La Rue Linard-Gonthier.
C’est une petite rue pleine de charme, datant du Moyen-Age, où l’on trouve deux hôtels extrêmement réputés à Troyes :
Le Champ des Oiseaux, entièrement restauré par les Compagnons du Devoir ; avec une cour intérieure et 14 chambres avec poutres apparentes ;La Maison de Rhodes, un hôtel 5 étoiles avec piscine, seulement 11 chambres… et une histoire fascinante : propriété des chevaliers de l’Ordre du Malte, il est installé dans un bâtiment dont les fondations datent du 12ème siècle et qui a notamment accueilli un couvent et des chanoines.Au bout de la rue se trouve l’Hôtel du Petit Louvre (13e siècle), avec sa tourelle. On aperçoit sur le côté les vestiges del’ancien rempart qui protégeait Troyes. A une période, cet endroit a servi de relais pour les diligences qui ralliaient Paris. Il fallait entre 24 et 30h pour aller de Troyes à la capitale !





Le Square des 3 Godets.
Situé au pied de la cathédrale de Troyes, on peut y voir de belles façades du 17e siècle… La neige lui donnait un côté encore plus charmant lors de ma visite.

Square des 3 Godets – Troyes.

La Maison du Dauphin (Hôtel du Dauphin).
C’est un hôtel particulier qui aurait été construit autour de 1472… ce qui fait de la Maison du Dauphin l’une des plus vieilles maisons de Troyes ! Elle se situe à l’angle de la rue Célestin-Philbois et de la rue Kléber et on la reconnaît à sa façade jaune.

Hôtel du Dauphin à Troyes.
On peut apercevoir des fleurs de lys gravées dans le bois de la façade, témoignage de la nature « royale » de la maison.

Façade de la Maison du Dauphin.

D’autres façades du quartier du Bouchon de Champagne.
Parmi les autres façades intéressantes, il y a celle de l’Hôtel de Marisy avec sa tourelle d’angle. Comme beaucoup de maisons, celle-ci a été entièrement reconstruite après le grand incendie qui a ravagé Troyes en 1524.

Hôtel de Marisy à Troyes.
Ou encore l’Hôtel des Angoiselles, rue du Général Saussier, à l’architecture très originale. Ou l’énorme Hôtel de Ville de Troyes
Il y a littéralement une foule de rues que vous pouvez arpenter et où vous vous laisserez surprendre par des façades superbes.

Les jolies façades du centre historique de Troyes.

















Au croisement entre la rue Passerat et la rue Hennequin se trouve une grosse sculpture en forme de Cœur, installée là en 2013. Le « Coeur de Troyes » vient compléter le corps et la tête du Bouchon de Champagne, une jolie symbolique imaginée par
l’artiste locale Michèle Caillaud-Houël.

Sculpture Le Coeur de Troyes.

Impossible de faire une liste exhaustive mais vous trouverez à coup sûr votre bonheur si vous aimez ce genre d’ambiance
J’espère que cette balade dans le quartier du Bouchon de Champagne à Troyes vous aura donné envie de découvrir la ville. Vous pouvez cliquer sur le bouton ci-dessous pour voir le prix des hébergements de qualité à Troyes ou lire mon autre article sur la ville, avec plein de conseils pour organiser un week-end sur place !
25/08/2018 - 15:44
L’Ile d’Oléron vue du ciel, France (vidéo).

Découvrez la deuxième plus grande île française après la Corse. Surtout connu pour le célèbre Fort Boyard, ses huitres et son fameux pinot, l’île d’Oléron regorge de biens d’autres merveilles sauvages ou architecturales. Voyage aérien du phare de Chassiron aux plages sauvagesde la côte atlantique en passant par les marais salants, les ports de pêche et les nombreuses fortifications du 17ème siècle.



Ce commentaire a été modifié le 25/08/2018 à 15:47