De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
10/08/2018 - 08:40
Chiens attelés aux charettes ...

Dans les années 1900 il était courant de voir des chiens attelés à des charrettes pour
le transport de marchandises ou d'hommes...
 


















10/08/2018 - 08:14
Oasis Mortelle Dans Le Désert Du Sahara (Vidéo)
Ces Hirondelles ont un superbe sens de l’ orientation au milieu du désert...
Mais en regardant de plus près, tout n’est pas à ce qu’il paraît...

10/08/2018 - 08:11

 
LE GAU JAL en Inde

est une boisson à base de pipi de vache qui est gazéifiée
Alors.... y a-t-il des amateurs ????
pour ma part, ce sera sans moi


Chez les

le nom de totem de

était "bison égocentrique".


En avril 2010, on avait proposé à Christophe Willem

de représenter la France au concours de

Il aurait accepté  à une seule condition :
que 
lui écrive LA chanson et soit avec lui sur scène.
Mais il s'est frotté à un "non" catégorique pour sa proposition.


Après Paris, c'est la ville de

qui détient, sur internet, le record de l'émoji "grognon"

allez nos ami(e)s auvergnat(e)s, gardez le sourire !!!!


Au départ de chaque rame de métro au Japon,

plutôt qu'une sonnerie banale, les usager(e)s entendent une mélodie au piano

il y en a 170 d'enregistrées.

Chez nous, on devrait proposer à la RATP 

.... LOL

 

 

 
 
 
 
 
10/08/2018 - 07:12
Les plus belles photos de Bretagne de Ronan Follic.

Par Clio Bayle

Fils de marin pêcheur finistérien, Ronan Follic, s’il n’a pas poursuivi le métier, c’est au contact de la mer qu’il a décidé de réaliser des images traduisant un « finis terrae » où l’homme côtoie souvent l’extrême. Regardez ses images comme on part en voyage.


Phare de la Vieille, pointe du Raz (Finistère).

Interview : Ronan Follic, photographe de mer.
Pourquoi la photographie et pourquoi les paysages bretons ?
Brestois, j’ai vécu jusqu’à l’âge de 20 ans sur l’île de Sein, dans une famille de marins pêcheurs. Dès mon plus jeune âge, la mer m’aimantait mais n’ayant pas le pied marin, je n’ai pas eu envie de continuer le métier familial, qui plus est était sur le déclin. Je suis devenu gendarme mobile et pendant 30 ans, j'ai parcouru le monde, vu des paysages superbes, mais loin de mes origines. Je faisais de la photo amateur, un peu comme tout le monde. Une fois à la retraite, je suis retourné vivre dans mon Finistère natal, près de la pointe du Raz et ça a été comme un déclic. J'ai fait un stage d'une journée chez un ami photographe et j'étais lancé.
En Bretagne, les paysages sont d’une telle force que nul besoin d’aller bien loin pour prendre une photo. En ouvrant mes volets le matin, les lumières, les couleurs me fascinent ! Tous les jours, elles sont différentes. Et puis, il y a la mer. Je ne peux pas m'en éloigner pour prendre des photos. J'ai grandi entouré d'hommes passionnés par le grand large. Ils m'ont refilé le virus.

La photo dont vous êtes le plus fier ?

 
J'ai tenté une sortie en hélicoptère lors de la tempête Ruzika, début février. La mer était complètement déchaînée et, avec un ami photographe du collectif Breizhscapes dont je fais partie, nous avons pris des photos magnifiques.
Je suis tout particulièrement fier de celle du phare de la Jument. Du haut de ses 45 mètres, il est presque entièrement englouti sous l'assaut des vagues. Les phares paraissent si frêles et si vulnérables face à la tempête, et pourtant, certains sont debout depuis plus de 100 ans. Nos ancêtres étaient vraiment de grands bâtisseurs.
 
Retrouvez d'autres photos des plus beaux phares de Bretagne.

Je ne peux pas m'éloigner de la mer pour faire des photos. J'en ai besoin. Le matin, quand j'ouvre mes volets, je suis à chaque fois fasciné par la lumière. Tous les jours, c'est une expérience différente.
Un conseil pour d'autres photographes ?
Un conseil ? Je ne suis pas un fin technicien car, comme on dit, j’ai appris seul et "sur le tas". Je crois qu’il est primordial de suivre
son intuition et surtout de photographier ce qui nous passionne. Depuis que je suis gamin, les phares m'émerveillent.

Le port d'Audierne dans le Finistère.



Le phare du Millier, maison-phare sur le cap Sizun (Finistère).

.
Retrouvez les photographies de Ronan Follic sur son site et sur sa page Facebook.



Ronan fait partie du collectif Breizhscapes. Créé en 2012, il compte 5 autres photographes, tous spécialisés dans les photographies de Bretagne. Leur passion, il la partage dans le livre Regards croisés de Bretagne, auto-édité grâce au crowdfunding et disponible en ligne. Un voyage à travers la Bretagne à toutes les saisons, de Saint Malo, à Ploumanach, en passant par Ouessant, la Pointe du Raz, la baie de Quiberon, la forêt de Brocéliande...

Le phare de la Vielle dans la tempête (Finistère).

Le phare de la Vieille vu depuis la pointe du Raz (Finistère).

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Tourisme Finistère
phare
Ce commentaire a été modifié le 10/08/2018 à 07:18
09/08/2018 - 17:30
Le château de Fougères, gardien de Bretagne.

Par Détours en France

Le château de Fougères est une forteresse parmi les plus vastes d’Europe. Elle a été le témoin des guerres incessantes entre le duché de Bretagne et le royaume de France.



La puissance qui se dégage de la forteresse de Fougères a ému les plus grands auteurs français, de Balzac à Julien Gracq, en passant par Chateaubriand ou Victor Hugo.
Château ? Forteresse ? Cité militaire ?« Au pied des enceintes de Fougères, on reste ébahi devant tant de puissance, devant la masse de l’énorme château chevauchant le ressac figé des blocs de schiste », écrivait Julien Gracq. Balzac, Chateaubriand et même Victor Hugo (peut-être parce que Juliette Drouet était fougeraise !) y ont également succombé…
Son histoire.
Nous sommes en 1166. Le premier château en bois vient d’être incendié par le roi d’angleterre. Raoul II, seigneur de Fougères, le fait reconstruire, mais en pierre. Il faut dire que Fougères fait partie des Marches de Bretagne – comme châteaubriant, clisson ou Vitré –, ces forteresses destinées à protéger le duché indépendant des appétits de ses voisins français et anglais.


Avec ses treize tours, ses trois enceintes et ses deux hectares de fortifications, on l’a comparée à Carcassonne.Arrêtons-nous sur le choix du site, plutôt insolite : dans une cuvette, en contrebas de la ville haute, mais sur une petite presqu’île rocheuse, entourée par la rivière Nançon. La forteresse compte trois enceintes successives, ce qui en faisait à l’époque un remarquable site défensif : la garnison pouvait en effet se replier jusqu’au réduit, le dernier carré fortifé protégé par de hautes tours.
Pour aller plus loin: vous avez aimé l’histoire du château de Fougères ? Dans ce cas vous aimerez à coup sûr l’histoire du château de Cormatin que nous vous présentons sur Détours en France.
Des fortifications infranchissables ?Franchissons la première enceinte en contrebas, protégée par trois tours avec archères dont latour La-Haye-Saint-Hilaire, du XIIe siècle. Imaginons un instant l’ennemi : avant d’arriver là, il doit franchir la rivière sur un petit pont de bois et sous les flèches des défenseurs.


Une fois dans la première enceinte, il n’est pas au bout de ses peines : face à lui, la tour de Coëtlogon, ses deux herses et ses
meurtrières. Passage obligé pourtant pour qui veut pénétrer dans l’enceinte principale, encerclée par 320 mètres de courtines : au Moyen Âge, la basse cour est le lieu de vie quotidienne du châteauet sert aussi de refuge à la population en cas d’attaque.


Les remparts de la ville : aux XIe et XIIIe siècles, ils se sont développés à partir de l'enceinte fortifiée du châteauÀ gauche en entrant, on découvre d’ailleurs les vestiges du logis du XIVe et les souvenirs d’une chapelle. Sur le chemin de ronde, les tours Raoul et Surienne sont en fer à cheval : une forme caractéristique au XVe siècle, qui permet de tirer à l’arme à feu ou au canon. Et des murs de 7mètres d’épaisseur, qui laissent rêveur ! Elles ont été construites à une époque où le duché de Bretagne craignait l’affrontement avec le royaume de France.


Encore un effort et voici la troisième enceinte, ultime refuge pour le seigneur en cas d’attaque. elle s’appuie sur les deux plus hautes
tours : des Gobelins et Mélusine. Celle-ci fut édifée par Jeanne, fille de Raoul III, seigneur de Fougères et compagnon de Saint-Louis. Femme de poigne, elle a aussi fortifé la ville au XIIIe siècle.


Aux abords du village, un éperon rocheux adjacent à un bassin profond, appelé la carrière du rocher coupé.On peut s’attarder sur l’architecture de la tour Mélusine : 30 mètres de haut, 13 de diamètre, des murs épais de 3,50 mètres, des archères et une plate-forme pour les vigies ; quatre étages avec escalier à vis, salles de garde, cheminées et latrines. C’était à l’époque ce qu’on pouvait faire de mieux en matière d’architecture militaire. Entre les deux tours subsistent encore les soubassements de l’ancien donjon de Raoul II, aux proportions respectables : 20 mètres de diamètre et desmurs de 5 mètres.
Robuste mais pas insurmontable.Malgré son système de défense remarquable, Fougères a été pris plusieurs fois au cours de son histoire ; la plus importante en 1488 quand les armées de Bretagne sont décimées par les troupes de Charles VIII, suite à la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier.

Une défaite qui sonne le début du rattachement du duché à la France. Fougères s’en est tiré sans trop de mal et a traversé tous les conflits sans dommages. Voilà qui explique son remarquable état de conservation.
Ce qui avait fait dire à Lawrence d’Arabie, qui en avait pourtant vu d’autres :
Il n’y a pas d’extérieur plus beau, j’en suis certain.
                                                    ***********************************

09/08/2018 - 17:12
L'Auvergne, le pays nature.

Par Sophie Bogrow

Des crêtes des puys menant au toit d’une Auvergne lunaire aux hauts plateaux steppiques du Cézallier, de cours d’eau torrentueux en halliers légendaires, en Auvergne, la nature vous entoure et vous happe. Sitôt sorti des villes aux austères architectures de lave basaltique – comme pour mieux y conserver à l’abri des convoitises chefs-d’œuvre et trésors –, l’Auvergne peut vite ressembler à un parcours initiatique, à une échappée belle au contact d’une vraie nature.



Sur les flancs occidentaux de Clermont-Ferrand,
 les monts Dôme (ou chaîne des Puys) forment,
 sur une  trentaine de kilomètres et plus de cent volcans datant de l’ère quaternaire, un musée grandeur nature des paysages volcaniques. Le sommet massif du puy de Dôme reste le plus courtisé. Le plus menacé aussi de désaffection touristique, d’où un « train vert » pour vous hisser à son sommet. Quant au puy de Sancy, indiscutable toit de l’Auvergne (1 886 m), ses crêtes et ses aiguilles esquissent un décor quasi alpin qui a conquis de tout temps les amoureux de pleine nature... et depuis peu des artistes adeptes du land art.

Dans le massif du Sancy.


Tout au nord du puy de Sancy (1 885 mètres),
 se profilent deux immenses monolithes, les roches Tuilière et Sanadoire. Telles deux Arvernes rebelles, elles ont inscrit dans leurs gènes une histoire volcanique. La roche Tuilière (à gauche) témoigne de la cheminée d’un volcan ruiné ; ses flancs éclatent en gerbes de colonnes prismatiques de trachyte, pierre utilisée pour produire la lauze couvrant les toits. La roche Sanadoire (à droite), reste très érodé d’un cône, est constituée de phonolithe, cette
 « pierre sonnante » qui résonne quand 
on la frappe. 
Jusqu’au XVe siècle, un château couronna le sommet
 de cette éminence.
On dit même qu’il fut le repaire de sanguinaires

« routiers » durant
 la guerre de Cent Ans.


Dans Humble Drame, une nouvelle de Guy de Maupassant, le héros 
erre dans les monts d’Auvergne : « À la nuit tombante, j’arrivai au château de Murol. La vieille forteresse (...) surprend plus qu’aucune autre ruine par son énormité simple, sa majesté, son air antique puissant et grave. Elle est là, seule, haute comme une montagne, reine morte, mais toujours la reine des vallées couchées sous elle. On y monte par une pente plantée de sapins, on y pénètre par une porte étroite,
on s’arrête au pied des murs, dans la première enceinte au-dessus
 du pays entier. » Contrairement à l’écrivain, la forteresse (XIIe-XVIe siècles) ne vous réservera nulle mauvaise rencontre. Vos compagnons seront les Paladins du Sancy qui, en costumes médiévaux, font vivre le château.

Rochegude, le Gévaudan droit devant.


Château rocher » de Rochegude.
En surplomb des gorges de l’Allier, entre Saint-Privat-d’Allier d’un côté
 et Monistrol-d’Allier, situé sur la rive opposée, le « château rocher » de Rochegude avait pour fonction de verrouiller des voies de passage. Attenant au donjon ruiniforme, la chapelle castrale Saint-Jacques est une étape connue des pèlerins marchant sur la via Podiensis (GR 65®) en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle depuis Le Puy-en-Velay.Chevet arrondi orienté
 vers l’est, donc faisant face à la Margeride, clocher-peigne à deux cloches,
 nef unique et chœur en cul-de-four, le sanctuaire pour être de toute simplicité dégage une grande force, certainement de par son imbrication dans le roc 
et sa situation topographique en équilibre à 300 mètres au-dessus de l’Allier.

Château de Val, l’île perdue.
Vous n’êtes jamais allé dans ce coin du Cantal, l’Artense, et ce château vous donne malgré tout l’impression de « déjà-vu » ? L’amateur de films de cape et d’épée aura sans nul doute reconnu les tours du château de Val prises d’assaut par Jean Marais dans Le Capitan !
Cet édifice monumental, avec six tours coiffées en poivrière, mâchicoulis, chemin de ronde courant sous les combles, a été érigé entre la fin du XIVe et le début du XVe siècle par Guillaume IV d’Estaing, chambellan
 du roi Charles VII, gouverneur et sénéchal du Rouergue.
La destinée topographique du Val changea brutalement au début des années 1950. La construction du barrage hydroélectrique de Bort sur le cours
supérieur de la Dordogne le transforma en effet en un château 
quasi insulaire (relié à la terre ferme par une simple digue en période 
de hautes eaux), lui qui, depuis le Moyen Âge, dominait la vallée.

Tags 
Puy-de-Dôme


09/08/2018 - 16:51
Fruit And Food - Récupérez Les Fruits & Les Légumes De Vos Voisins.
Le gaspillage alimentaire n'a pas lieu que dans les supermarchés et dans le réfrigérateur, cela se passe également dans les jardins.
Par
Raphaëlle Dormieu
Du Magazine Positivr
 
Si vous avez un jardin, vous êtes chanceux. Et s’il abrite un potager et des arbres fruitiers, alors vous l’êtes d’autant plus.
Peut-être même au point de déborder de fruits et de légumes à ne savoir qu’en faire ? Cette plateforme d’échange entre particuliers a la solution.
La lutte contre le gaspillage alimentaire fait régulièrement l’actualité. C’est pourquoi Benjamin Guibert, un Toulousain...
  A décidé d’apporter sa pierre à l’édifice en fondant Fruit and Food.
Cette plateforme entre particuliers permet de donner, de troquer ou de vendre sa production personnelle de fruits et légumes.


Le but ? Mieux exploiter ce que la terre met à notre disposition en évitant de laisser périr les denrées non consommées.

Quoi de plus désolant que de voir le sol de son jardin jonché de pommes mûres qui, si elles font le bonheur des oiseaux et des insectes, pourraient également servir à nourrir ses voisins ?
Benjamin Guibert explique ...

« Plutôt que de laisser mourir ses fruits sur un arbre ou que le petit oiseau vienne les picorer..
Fruit and Food est là pour proposer à tous ceux qui n’ont pas de cerisiers ou de pommiers de venir aussi en profiter.
Le concept est simple, facile et utile...Je peux en profiter en tant que consommateur et en faire profiter si je suis un jardinier ! »

Vous avez un surplus de production et vous aimeriez en faire profiter votre voisinage ?

Rendez-vous sans plus tarder sur le site internet de Fruit and Food.

09/08/2018 - 16:47
Mer D'Aral : Une Renaissance Aussi Belle Que Spectaculaire & Inattendue !

Presque sèche et quasiment sans vie, la mer d'Aral ressuscite enfin ! Gros plan sur une nouvelle inespérée qui redonne espoir en l'avenir.
Par
Axel Leclercq  Du Magazine Positivr

En matière d’écologie, l’homme est capable du pire… mais aussi du meilleur! Un drôle de paradoxe illustré à merveille par la mer d’Aral...Alors qu’on pensait ce joyau perdu à tout jamais, le voici qui refait enfin surface !
Une véritable résurrection qui a tout du petit miracle. Explications.
La mer d’Aral a souvent fait la une des mauvaises nouvelles.
 Dans les années 1960, pour intensifier la culture du coton, les Soviétiques avaient privé cette mer des deux rivières qui l’alimentaient. Résultat : l’eau s’y est fait rare et la vie… quasiment inexistante !

On a tous en tête ces images de bateaux échoués au milieu de nulle part mais...

Heureusement, elles pourraient rapidement être reléguées au rayon des mauvais souvenirs…

Grâce à la construction d’un barrage, la mer d’Aral est en effet en train de connaître un spectaculaire retour à la vie...
L’eau y est de plus en plus abondante, et la faune, comme la flore, y coulent à nouveau des jours heureux ! L’émission Thalassa, qui suit l’évolution de la mer d’Aral depuis 25 ans, a récemment consacré une vidéo à cette grande nouvelle.
 Résultat, des images magnifiques qui redonnent espoir : non, tout n’est pas perdu ! Regardez :
 
Si l’homme est capable de réparer ses erreurs, c’est qu’il existe encore de bonnes raisons d’espérer !
Une formidable nouvelle pour l’avenir.

09/08/2018 - 14:11
Art Asiatique , par Miharu Yokota
 









 
Miharu Yokota est un artiste de Tokyo, au Japon.
Elle a commencé à l'auto-étude de la peinture quand elle était à l'école primaire.
Elle a créé les fées et fantaisie peintures lunatiques pour les enfants fusionnés avec des éléments traditionnels japonais, ce qui est absolument magnifique.
Ce commentaire a été modifié le 09/08/2018 à 14:12
09/08/2018 - 14:06
Buste de Juliette Récamier .
 


Joseph Chinard
[Lyon, 1756 - Lyon, 1813]
 
"De face, c'est une réserve pudique d'accord avec l'attitude gracieuse est presque enfantine ; de profil, avec des nuances diverses, le nez mutin aux narines un peu relevées, le léger sourire qui flotte sur les lèvres,ont un je ne sais quoi de piquant sinon de provocant, qu'accentuent l'écharpe transparente, la gorge et le sein dénudé".

Édouard Herriot décrivait ainsi le charme ambigu mais bien réel de l'œuvre la plus célèbre de Joseph Chinard, qui est en même temps l'un des meilleurs portraits de Juliette Récamier à l'apogée de sa beauté, réalisé quelques années avant le non moins célèbre tableau du baron Gérard (1805) conservé au musée Carnavalet.
 
C'est vraisemblablement au cours d'un de ses séjours à Paris en 1801 ou 1802,quand il logeait chez les Récamier, que Chinard éxécuta le modèle en terre d'après lequel il sculpta ensuite à Carrare en 1805 ou 1806, le marbre du musée de Lyon.