12 choses que vous ignorez sûrement sur la Thaïlande
Connaissez-vous le véritable nom de Bangkok ? Saviez-vous que les Thaïlandais s’essayaient tous ou presque à la vie monastique ? Et qu’il y avait une école où les singes pouvaient apprendre à cueillir des noix de coco ? On parie que non ! Voici 12 choses que vous ignorez sûrement sur la Thaïlande !
Bangkok ne s’appelle pas vraiment Bangkok
Bangkok
La prochaine fois que l’on vous parlera de Bangkok, demandez à votre interlocuteur s’il évoque bien la ville de… Krung Thep mahanakhon amon rattanakosin mahintara ayuthaya mahadilok phop noppharat ratchathani burirom udomratchaniwet mahasathan amon piman awatan sathit sakkathattiya witsanukam prast. Il s’agit en effet du nom thaï de la capitale mais aussi du plus long nom de ville au monde ! Allez, pour simplifier, vous avez le droit de dire « Krung Thep Maka Nakhon », ce qui est déjà pas mal !
La terre de la liberté
Et pour rester dans le sens des noms, la Thaïlande est appelée « Prathet Thai » en thaï, ce qui signifie « la terre de la liberté ». La ville était jusqu’en 1939 connue sous le nom de « Royaume de Siam » dont l’origine pourrait venir du sanskrit Śyāma qui signifie « sombre » ou « brun ».
La Thaïlande n’a jamais été colonisée
Coucher de soleil sur Koh Lanta Peut-être est-ce pour cela qu’on la surnomme « la terre de la liberté »! Quoi qu’il en soit, la Thaïlande est le seul pays d’Asie du Sud-Est à n’avoir jamais été colonisé par les Européens.
1400 îles
Maya Bay
La Thaïlande possède plus de 1400 îles, dont la plus fameuse est sûrement celle de Koh Phi Phi, mise en vedette dans le film La Plage avec Leonardo DiCaprio.
La Full Moon Party
Full Moon Party
La plus célèbre des fêtes thaïs se déroule sur l’une des plages paradisiaques deKoh Phangan. Saviez-vous qu’elle était à l’origine fêtée au mois de juillet pour célébrer la pleine lune khmère ? Il s’agit aujourd’hui d’une occasion énorme pour se débaucher entouré d’environ 30 000 fêtards.
La règle des pieds
Gare à vos pieds!
En Thaïlande, les pieds sont considérés comme impurs, il est donc recommandé d’éviter de pointer votre pied vers une personne, ou pire, vers un temple. Pensez-y lorsque vous croiserez vos jambes par exemple, votre pied ne devra jamais être orienté vers quelqu’un.
Et celle de la tête
À l’opposé, la tête est la partie la plus pure du corps. Il faut donc éviter de toucher la tête de quelqu’un d’autre, et particulièrement celle des enfants.
Et les sous-vêtements ?
Sortez couvert!
Dirigeons-nous à présent vers la moitié du corps : il est formellement interdit en Thaïlande de sortir sans sous-vêtement. Voilà, vous êtes prévenu !
Question politique
Le roi défunt Bhumibol Adulyadej, sa femme et son successeur La Thaïlande, en deuil officiel jusqu’en octobre 2017, est une monarchie constitutionnelle. Les Thaïlandais adorent la famille royale et la plupart d’entre eux ont une photo du roi défunt dans leur maison- il est quasiment illégal de parler en mal de la monarchie. Un culte qui interdisait même, dans le passé, que l’on touche les membres de la famille royale. On raconte ainsi que quand une reine tomba à l’eau au 19e siècle, personne ne vint à son secours en respect de cette règle.
Et la religion ?
Jeunes moines bouddhistes La Thaïlande compte 95 % de bouddhistes, ce qui en fait l’un des pays les plus bouddhistes au monde. Il est commun de voir des jeunes hommes partir s’essayer à la vie monastique, bien que la plupart ne deviennent pas moines pour autant.
L’école des singes École buissonnière ?
Gros producteur de noix de coco, la Thaïlande emploie traditionnellement les singes pour la cueillette. Il existe une école, dans le sud du pays, où les singes peuvent apprendre à s’acquitter de leur tâche proprement.
Un festin annuel Un festin pour les singes
Si ces singes sont quelque peu exploités, ils sont également choyés chaque année à l’occasion d’un festin qui se déroule à Lopburi et dans sa province. Ici, le singe tient une place très particulière dans le cœur des bouddhistes.
Le festival de Yi Peng
Connaissez-vous l’un des meilleurs moments pour se rendre en Thaïlande ? C’est le mois de novembre. La météo est généralement agréable et c’est l’occasion d’assister au festival de Yi Peng à Chiang Mai, qui voit, entre autres choses, s’élever des milliers de lanternes éclairées dans le ciel.
Vous voilà à présent incollable sur la Thaïlande et donc prêt à partir explorer ce fabuleux pays !
Ce commentaire a été modifié le 30/07/2018 à 22:21
Le téléscaphe, pour téléphérique et scaphandre, de Callelongue, proche de Marseille, a été construit dans les années 1960 par James Couttet et Denis Creissels, il permettait au touristes de goûter aux joies de la plongée sans se mouiller pour la modique somme de 12 francs. Inauguré en 1967 il était constitué d’un câble métallique de 500m de long plongé sous la mer à 10m de profondeur qui reliait deux pointes rocheuses de la côte et de cabines pesant 3 tonnes dans lesquelles 6 personnes pouvaient s’installer pour profiter de la vue pendant les 10 minutes quedurait la traversée. Tout le parcours sous-marin était surveillé par des plongeurs, peut être pour rassurer les touristes. Malgré les deux millions de francs d’investissement pour sa construction le téléscaphe a fermé un an plus tard par manque d’argent après avoir transporté plus de 30 000 passagers, il ne reste aujourd’hui que les roues du téléphérique attachées au rocher.
Ce commentaire a été modifié le 30/07/2018 à 19:47
FESTIVAL CONSTELLATIONS DE METZ La Cathédrale St Etienne à Metz se pare en ce moment d'effets somptueux par la grâce de LUX ANIMAE : Programmation vidéo: Yann Nguema Musique: Ez3kiel Design Lumière: Arnaud Doucet & Red System
Cent mille dollars pour ce portail interdimentionnel .
Ou cette oeuvre d’art qui en a l’air, au moins. Elle s’intitule Portal Icosahedron, par Anthony James, et elle est composée de vitres avec effet miroir à sens unique et de barrettes de lumière LED très puissantes. Le miroir à sens unique réduit fortement la luminosité de ce qu’on regardeà travers, mais des lumières de forte puissance permettent de rétablir une illusion de transparence sans perte et de pouvoir observer l’effet kaléidoscopique. La profondeur est particulièrement saisissante quand on se déplace autour de l’oeuvre, à apprécier dans cette vidéo.
Ces portails sont disponibles à la vente pour 75 000 à 100 000 dollars, notamment dans le cadre de Art Aspen 2018 chez Melissa Morgan Fine Art.
"L'enfant papillon", dont l'histoire est devenue virale il y a plusieurs années, est mort à 17 ans.
Jonathan Pitre, le garçon atteint d'une maladie rare de la peau, connu sous le nom de l'’enfant papillon’, est décédé mercredi 4 avril. Jonathan a inspiré beaucoup de gens et sa soudaine disparition est une énorme pertepour tous ceux qui connaissaient sa triste histoire.
Jonathan Pitre, un garçon qui a inspiré des millions de gens. Imaginez-vous simplement que vous deviez vivre avec une douleur constante. Que vous vous réveillez avec cette douleur et que vous vous couchiez avec cette douleur tous les jours. C'est affreux, n'est-ce pas ? Jonathan Pitre a vécu avec ce sentiment pendant 17 ans.Jonathan souffrait d'une affection cutanée rare qui provoquait des cloques sur sa peau dues à de légères griffures ou à la chaleur. Sa peau était aussifragile que les ailes d'un papillon, et c’est pour cette raison que ce garçon a reçu le surnom de ‘l’enfant papillon’.
L'histoire de Jonathan est devenue très médiatique au cours des dernières années, car lui et sa mère voulaient sensibiliser le monde à cette maladie rare. La moindre égratignure pouvait entraîner des blessures graves et douloureuses pour le pauvre garçon. Pitre a dit une fois qu'il n'avait jamais vécu un moment sans douleur durant sa vie et son plus grand souhait était d'être comme n'importe quel autre enfant ordinaire.
Repose en paix, 'Enfant papillon'Mercredi, la mère de Jonathan, Tina Boileau, a annoncé une tragique nouvelle : son fils est mort des suites d'un choc septique. Il avait 17 ans. Cette femme désespérée a partagé les nouvelles via une publication Facebook qui disait :
L'histoire de Jonny est devenue très publique au cours des dernières années quand il vous a invités dans sa vie et dans ses combats quotidiens avec l’EB tandis qu'il luttait sans relâche pour sensibiliser le public à cette horrible maladie. Je suis fière de dire tu as réussi, mon petit Jonny !
Des tas de gens qui connaissaient l'histoire de Jonathan ont honoré 'l'enfant papillon' en lui rendant un émouvant hommage.
Repose en paix, 'Enfant papillon'
Ce commentaire a été modifié le 30/07/2018 à 16:11
Le 10 juillet 2018, la Commission des Finances, de l’Économie générale et du Contrôle budgétaire a déposé son rapport d’information relatif au débat d’orientation des finances publiques, dans lequel figurent les principales mesures affectant les prélèvementsobligatoires en 2018. Ainsi, la hausse de la fiscalité énergétique, quicomprend l’alignement de la fiscalité du diesel sur l’essence, rapportera la coquette somme supplémentaire de 3,4 milliards d’euros à l’État. De quoi combler largement les pertes engendrées par la suppression de l’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF), évaluée à 3,2milliards d’euros. Les taxes sur le diesel à la rescousse des finances de l’État. Les Français s’en doutaient déjà : les promesses du Gouvernement en matière d’allègement des taxes et autres prélèvements obligatoires ne seront pas sans répercussion sur d’autres postes de dépenses. Et ce son taussi les automobilistes qui vont trinquer, à hauteur de 3,4 milliards d’euros supplémentaires, suite à la décision du ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, d’aligner la fiscalité du diesel sur l’essence.Tout juste de quoi compenser, à titre d’exemple, le manque à gagner engendré par la suppression de l’ISF ou celui de la suppression de la taxe d’habitation, comme l’indique ce tableau issu d’un récent rapport de la Cour des Comptes : Le carburant, ce produit ultra-taxé. En plus de la hausse du cours du pétrole qui sévit depuis quelques mois, les taxes imposées sur les carburants continuent de grimper, avec pour conséquence des prix à la pompe toujours plus importants. Chaque année, les taxes sur les carburants rapportent déjà 36 milliards d’euros à l’État, grâce à la TVA d’une part, mais aussi grâce à la Taxe intérieure de Consommation sur les Produits énergétiques (TICPE) imposée par l’Union européenne. Ainsi, les taxes sur les carburants représentaient 64% du prix moyen du litre de SP95 fin janvier 2018, et 60% pour le gazole ! L’association « 40 millions d’automobilistes » rappelle qu’il est possible de réaliser des économies importantes en convertissant son véhicule essence au bioéthanol, grâce à l’installation d’un simple boîtier.(à condition de trouvez une pompe qui assure la distribution!).
Ce commentaire a été modifié le 30/07/2018 à 11:23
10 bonnes raisons de s’envoler vers le PAYS de GALLES !
Visiter la ville de Conwy
Conwy est une jolie petite ville fortifiée du Nord du pays de Galles, connue pour son château au 21 tours et aux 3 énormes portes. Vous pourrez monter sur les remparts et admirer la vue…
Conwy ville fortifiée
Pour déjeuner je vous conseille vivement le Castle Hotel et sa cour intérieure. La cuisine y est divine. Dans l’après-midi, offrez-vous un moment de détente à la Maison Hantée Plas Mawr avec une visite guidée (ou pour les plus courageux une nocturne chaque jeudi soir). Prenez l’apéro, enfin je veux dire, une bière welsh dans le pub au bord du port… Et profitez-en pour rendre visite à la plus petite maison d’Angleterre, située sur le port, et toute peinte de rouge. Vous ne pourrez pas la manquer, même si elle mesure 1,5 mètres de large pour 2,5 mètres de haut. Il parait que son ancien propriétaire était un pêcheur d’1,92 mètres… rien que ça !
Dormir au Groesinn
Sur la route B5106 qui mène du Château de Conwy à la ville de Trefriw, il s’agit là d’un endroit bien agréable pour séjourner dans le nord du Pays de Galles. Constitué d’un hôtel et d’un pub, vous n’aurez pas besoin de vous déplacer pour passer une bonne soirée. Et le matin, la terrasse vous accueille pour savourer le « Full Welsh Breakfast » les pieds dans l’herbe, magique ! Le paysage est remarquable… et le risque c’est de ne plus vouloir en partir ! Le petit plus que les filles noteront, c’est que la maison propose les produits Molton Brown de Londres pour la salle de bain…
Hotel Groes Inn Conwy
Partir en Zodiac à la découverte de la baie de Caernarfon
Depuis l’estuaire de Menai Strait, tout cheveux au vent, vous passerez sous les gigantesques ponts de Menai, en testant les possibilités du Zodiac – je veux dire, sa puissance ! Demandez Tom de ma part… et vous serez sûrs de vivre de belles sensations.
Un bateau échoué au bord du lac de Caernarfon
Balade avec Ribride
Le pont de Menai
Le long de l’estuaire Menai Strait
Château au bord de Menai Strait
Il est également possible de se diriger vers l’île de Llanddwyn, en longeant la Baie de Caernarfon. A ce sujet, Llanddwyn signifie « L’Eglise de St Dwynwen » qui est le Saint patron gallois des amoureux et représente ainsi l’équivalent de notre Saint Valentin – fête qui se célèbre le 25 janvieravec des cartes et des fleurs (comme nous le faisons avec notre 14 février). Une fois arrivé sur l’île, il est possible de prévoir un pic-nic chic ! Le tour que j’ai pu faire allait de Victoria Dock (depuis la ville de Caernarfon) jusqu’à Moel y Don près de Y Felinheli.
Visiter un site historique protégé par le CADW : le Château de Dolbadarn
Construit par Llywelyn ab Lorwerth au début du 13ème siècle, le château était dominé par une tour massive, de plus de 15 mètres de haut.
Tour du château en ruine de Dolbabarn
Le château est aujourd’hui en ruine, mais la tour résiste. Le lieu respire la tranquillité, les moutons sauvages viendront vous saluer, et je vous conseille d’apporter de quoi faire un bon picnic. La vue donne sur une carrière d’ardoise en activité, et un train à vapeur passe en contre-bas. Le temps semble s’être arrêté là-bas !
Carrière d’ardoise en activité
Un train à vapeur
Traverser l’Aqueduc de Pontcysyllte en péniche
Pour les personnes qui ont le vertige, attention, cette traversée est surprenante. Mais il vous sera possible de marcher le long de l’aqueduc et de reprendre la péniche plus loin.
Traversée de l’Aqueduc de Pontcysyllte en péniche
Balade sur le canal après l’Aqueduc
Hauteur de l’Aqueduc de Pontcysyllte
Cet aqueduc a la particularité de pouvoir accueillir une péniche (en alternant toutes les 30 minutes, les aller et retour). En effet, il domine à plus de 40 mètres de haut sur 310 mètres de long et offre aux péniches une voie unique pour continuer sur le canal Llangollen, au piedde Horseshoe Pass. Pontcysyllte est alors l’aqueduc le plus haut et le plus long réalisé en métal moulé (technique de construction) du monde. L’aqueduc est traversé par plus de 1 000 péniches par an, et est classé aux monuments historiques du monde, depuis juin 2009.
Compagnie « Jones The Boat »
Dîner et assister à une chorale d’hommes
Manger un Fish&Chips à l’Hôtel/Restaurant Riversidehotel Pennal. Les propriétaires des lieux, Glyn et Corina ont acheté ce lieu en Mai 2010. Situé face à une jolie Église galloise, ce restaurant possède tous les charmes.
Une Eglise Welsh
La décoration m’a tout de suite séduite, par ses larges tables en bois brut et son style « campagne chic« . Apéro vin blanc et « onion rings » suivi d’un « fish&chips and pees » plus que copieux ! Le temps de digérer, prenez la route de Machynlleth (Pantperthog Village Hall) pour assister à la chorale Cor Meibion Dify, formée en 1980 et composée de 32 membres aujourd’hui.
Le Pays de Galles est célèbre à travers le monde pour ses chants et chanteurs et on qualifie souvent le pays d’être « The Land of Song« . Il m’était alors impossible de vous parler de chorale galloise, sans assister à l’une d’entre-elles. Et je vais même aller jusqu’à vous avouer que j’y ai chanté, moi aussi, et en Welsh, oui oui, l’hymne national du Pays de Galles ! Entendre ses voix a été un grand moment d’émotion…
Emprunter un train à vapeur et revivre des scènes de film
Le Pays de Galles se parcoure à pieds, en voiture, et… en train à vapeur ! Pour l’expérience, j’ai emprunté celui de Rheilffordd Talyllyn au départ de la ville de Tywyn. Une fois en gare, la magie opère… vous montez à bord du train qui déclenchera aussitôt sa sonnerie « tchouiiiiiiin tchouiiiiin » et c’est parti !
Le train à vapeur Talyllyn en gare de Tywyn
Le paysage au niveau de Dolgoch
Sur cette voie de chemin de fer, il y a 4 stops en gare, un ravitaillement en eau, et deux changements de clefs. Une fois arrivé en bout de parcours, le train fait demi-tour et c’est reparti dans l’autre sens. Le paysage est remarquable, les moutons parfois à portée de main, et les sensations mémorables. J’ai même eu l’opportunité de monter dans la locomotive, avec les 2 conducteurs, bénévoles, et de tirer la sonnerie du train ! Le plus fantastique pour moi a été d’assister au remplissage du charbon dans le feu, qui alimente le moteur du train… quelque chose que nous avons tous vu dans les films, mais loin de moi l’idée qu’un jour je puisse vivre ce moment.
Visiter la mine de charbon devenue musée à Blaenafon
La visite est guidée par un ancien mineur (de génération en génération) et vous descendrez directement dans les entrailles de la mine. Équipés de casques et de lampes frontales à batterie, vous n’aurez le droit à aucun matériel électronique (à pile ou batterie), donc pas de montres, pas d’appareil photos, pas de téléphone… Vous emprunterez un ascenseur, et une fois en bas, à quelques 100 mètres de profondeur, l’atmosphère se fait fraîche et humide… de quoi vous plonger dans l’ambiance. La visite dure environ 1h et le guide vous donnera toutes les explications sur le fonctionnement de la mine, en définitif, tout ce que vous avez vu dans certains films (comme Germinal) mais que vous ne pensiez pas voir de vos propres yeux un jour… Cette mine est appelée le Big Pit : non parce qu’elle était très profonde, toutes les mines l’étaient, mais parce qu’elle permettait de remonter jusqu’à 2 charriots plein en même temps.
Le Big Pit à Blaenafon
Le musée est maintenant inscrit au capital historique de l’UNESCO depuis 2000.
Prendre un Afternoon Tea à l’Hôtel/Restaurant
The AngelThe Angel, située dans la petite ville d’Abergavenny, n’est autre que l’Etoilé Michelin qui fête cette année sa 100ème année au guide britannique. The Angel est aussi élu Meilleur « Tea Room« du Pays de Galles et 3ème de l’Angleterre par le Tea Guild 2011, ultime référence dans le milieu.
The Angel – Meilleur Afternoon Tea du Pays de Galles
En savoir plus sur le culte de l’afternoon tea, cliquez-ici.
Séjourner dans un cottage « Brecon Beacons Holiday »
Plus de 300 superbes propriétés, toutes idéalement situées dans la forêt national de Brecon Beacons, dans Black Mountains, et dans Wye Valley. Il y a une maison pour tout type de séjours, de 2 à 5 personnes, de 6 à 9 ou même de plus de 10 personnes ! Certaines maisons sont même classées dans le tourisme écologique. J’ai séjourné dans la maison en photo ci-dessous qui proposait une large cuisine entièrement équipée, une salle à manger, un salon indépendant très cosy, 6 chambres immenses, 3 salles de bain, une énorme salle de jeux avec baby foot, table de ping-pong, jeu arcade, punching ball… un superbe parc boisé avec barbecue qui donne directement sur un lac où il est possible d’aller se baigner, pêcher ou juste bronzer… Et en regardant bien, j’ai même trouvé une cabane construite dans un arbre, idéale pour les enfants ! Un paradis d’où il est difficile de partir… proche de Cardiff.
Filly Farmhouse dans Black Mountains
Boire une bière dans le plus vieux pub du Pays de Galles
Je nomme The Skirrid Inn ! Il existe depuis pas moins de 9 siècles (en service depuis début 1100). Avec des origines qui remontent à 1110, le Skirrid est le plus vieux pub du Pays de Galles. C’est aussi l’un des plus hantés. Des gens se sont fait arracher leurs lunettes, des objets disparaissent et réapparaissent parfois plusieurs semaines plus tard, des visages se montrent aux fenêtres, la température chute d’un seul coup… Le truc avec ce pub, c’est qu’avant, c’était là qu’on condamnait les gens à mort. 180 insurgés de la rébellion de Monmouth en1685 y furent également pendus. Ce qui fait froid dans le dos quand on sait que plusieurs personnes se plaignent de ressentir une pression au niveau du cou quand elles résident entre les murs du Skirrid Inn .
Ce commentaire a été modifié le 29/07/2018 à 22:36
National Geographic Consacre Un Livre Au Québec. Le mont Chaudron, près de la frontière ontarienne, en Abitibi Photo Fournie Par National Geographic Pierre-Marc Durivage La Presse Photographe professionnel depuis 18 ans, Mathieu Dupuis vient de réaliser un rêve d'enfance: signer un livre pour National Geographic. Le réputé éditeur américain l'a choisi pour réaliser un impressionnant recueil photographique du Québec... Qui apparaît ici plus que jamais à la hauteur de sa saisissante beauté. Du nord au sud et d'est en ouest, tout y est, en 272 pages et quelque 230 photos. Quête De Résultat. Mathieu Dupuis a obtenu la confiance de la direction de National Geographic en travaillant sur son projet Villes sublimes... Un essai photo toujours en chantier de 30 grandes villes nord-américaines. Comme le photographe avait déjà signé quelques livres sur le Québec, l'idée de faire un grand ouvrage sur sa province a fait son chemin. «Sur le terrain, il faut être en contact avec le moment magique, peu importele temps qu'il fait, explique l'Abitibien de 36 ans. Parce que si tu arrives à un endroit et qu'il y a trois jours de mauvais temps, tu dois quand même faire des photos selon les standards National Geographic.» Mathieu Dupuis se sentait néanmoins prêt à relever le défi. «À 20 ans, je me serais cassé la gueule, reconnaît-il. Mais il arrive un moment où tu crois avoir atteint une certaine solidité professionnelle et mentale pour supporter une telle quête de résultat.» «Le magazine jaune stimule l'imaginaire de tous les photographes du monde.C'est donc pour moi un très grand privilège de pouvoir faire découvrir le Québec à travers la bannière National Geographic.» Autonomie Complète. Le livre de Mathieu Dupuis est le résultat d'une obsessive quête de lumière. «J'étais toujours au bon endroit, au bon moment», affirme le photographe. Pour ce faire, il faut être sur le terrain, prêt à appuyer sur le déclencheur de l'appareil photo. «Je me suis construit un véritable véhicule d'aventure, nous a-t-il expliqué. Un campeur de l'extrême avec panneaux solaires et tout l'équipement pour passer partout. Été comme hiver, je dormais dans le camion. Sur un coup de tête, je pouvaischanger mes plans pour réagir à une alerte d'aurore boréale, par exemple. J'ai franchi 100 000 km en deux ans avec mon véhicule, je suis allé aux confins de toutes les routes de la province.» La Grave, à Havre-Aubert, aux Îles-de-la-Madeleine Photo Fournie Par National Geographic
Photo Coup De Coeur. Selon Mathieu Dupuis, les photos les plus marquantes sont bien souvent influencées par les circonstances du moment. «Chaque photo est une aventure en soi, chaque photo a son histoire.Alors, si je dois en nommer une, ce serait le portrait de mon guide inuit Adamie Kulula, affirme le photographe abitibien.Il affiche un sourire un peu narquois parce qu'il se moquait de moi ! Il m'a d'ailleurs surnommé "The Southern Weak Man" après cette aventuresur la banquise où je voulais voir la chasse au phoque et faire l'observation des ours polaires... On sautait de bloc de glace en bloc de glace, au mois de mai, sur une banquise complètement disloquée, à 25-30 km de Quaqtaq.J'ai eu peur de partir à la dérive vers le Groenland !» Anecdote De Voyage. Un livre comme celui réalisé par Mathieu Dupuis comporte nécessairement son lot de photos aériennes. L'une de ces séances, au-dessus de la toundra, s'est révélée un peu plus complexe que prévu. «On volait en hélico pour observer la migration de caribous, s'est rappelé Mathieu Dupuis. On a fait énormément de passages et on s'est rendu compte bien tard que l'on n'avait presque plus de carburant. Je pouvais suffisamment décoder les données du tableau de bord pour comprendre que l'autonomie de l'appareil ne permettait pas de revenir à la base. C'est alors que le pilote s'est mis à grimper en altitude de façon à profiter des vents favorables. Il est finalement arrivé, le moteur alimenté par des vapeurs de carburant, avant de se poser en catastrophe. Dans des moments comme ça, tu as le goût d'être affalé dans ton divan en robe de chambre!»
Québec, de Mathieu Dupuis, aux éditions National Geographic Photo Fournie Par National Geographic
Expérience De Vie. Mathieu Dupuis espère que son livre va permettre de démontrer la diversité géographique et la richesse culturelle du Québec. Et encourager les gens à eux-mêmes partir à la découverte de son coin de pays. «C'est une énorme richesse en tant que citoyen d'apprendre à connaître son pays de telle façon, c'est une véritable expérience de vie, soutient-il. Quand je consulte une carte, je suis capable de mettre une image sur le lieu. Et je comprends mieux le style de vie de cet endroit, avec ses pour, ses contre et ses défis. Je comprends aussi pourquoi les gens y vivent, j'arrive à comprendre le lien qui les attache...À leur territoire, comment ça fait partie de leur ADN.» 3000. C'est le nombre de photos soumises à National Geographic par Mathieu Dupuis. «Un livre, c'est un canevas fixe, c'est cruel. J'aurais pu faire plusieurs livres différents, sur plusieurs thèmes différents», nous a avoué le photographe. Lancé en anglais le 3 avril dernier, le livre a été mis en vente en librairie le 1er mai en version française. Distribué aux États-Unis et au Canada anglais par Random House, il occupe déjà une position de choix dans plusieurs librairies...Alors qu'il sera aussi offert chez Costco ou en ligne sur Amazon. À l'étranger, il sera distribué en France alors que des démarches sont en cours pour un lancement en Chine.
La France regorge de jolis paysages et le Pays Basque en fait partie, sans aucun doute ! Et c’est dans le Sud-Ouest de la France, entre collines verdoyantes et océan Atlantique que l’on a décidé de s’arrêter. Nous avons fait le choix de visiter le Pays Basque et plus particulièrement les villes d’Espelette, Saint Jean de Luz et Sare le temps d’un week-end ! On vous donne nos conseils et bons plans pour visiter le Pays Basque !
Jour 1 : Visiter Espelette, le village du piment basque
Le premier jour, notre virée en voiture dans les collines basques nous a menés vers la ville d’Espelette. Très connue pour son marché et ses piments basque, nous découvrons alors ce petit village typique aux jolies maisons aux volets et toits rouge et vert basque.
En flânant dans les petites ruelles, on se retrouve même face à des maisons où des piments sont accrochés à la façade pour sécher au soleil : une spécialité du coin qui attise la curiosité !
On apprend d’ailleurs que le piment basque est beaucoup utilisé en cuisine dans les spécialités locales salées comme sucrées ! On décide alors de rentrer dans une boutique, pour fairequelques emplettes… On ramènera à la maison de notre visite du Pays basque, du sel au piment d’Espelette, ainsi que des piments !
Le midi, impossible de passer à côté d’un déjeuner typique basque ! On décide de goûter les spécialités du restaurant Euzkadi. Et parce que l’on aime tester les spécialités des régions que l’on visite, notre choix se porte sur une « axoa de veau », plat typiquement basque. Tout cela accompagné de petites pommes de terre et d’un verre de vin rouge. Un vrai régal !
Grimper jusqu’au sommet de la Rhune
On a souvent entendu parler du panorama magnifique qu’on retrouvait sur le sommet de la Rhune, montagne du Pays Basque. Ni une, ni deux, on reprend la voiture en direction de Sare, classé parmi les « plus beaux villages de France ». En plus du train de la Rhune, sachez que l’ascension de la Rhune se fait aussi à pied. Il existe 3 randonnées différentes et il faut compter en moyenne entre 2h à 3h de marche pour arriver au sommet !
Mais rassurez-vous, il existe un autre moyen d’y aller : le train de la Rhune ! Et la visite est une vraie expérience à tester ! La locomotive date de 1924 et lorsque nous grimpons le long des sommets, on entend le bois du train qui craque.
C’est parti pour 35 minutes de balade avec des panoramas à couper le souffle ! Le long du trajet, on tombe sur des Pottok, petits poneys basques qui vivent en totale liberté dans les montagnes ! Ouvrez bien les yeux, car on peut aussi croiser quelques brebis et vautours. Lors de la visite de la Rhune, pensez à prendre une petite veste car le train de la Rhune monte à 905 mètres d’altitude et en s’approchant du sommet, la température baisse rapidement.
Mais, c’est en arrivant en haut, au sommet que l’on prend un vrai bol d’air pur ! Le panorama est époustouflant. Depuis le sommet de la Rhune, on peut voir la chaine pyrénéenne, Saint Jean de Luz, Biarritz et l’océan atlantique… On aperçoit d’un côté la vue sur la France et de l’autre côté une vue sur l’Espagne. On se croirait presque sur le toit du monde !
Dormir à l’hôtel Arraya à Sare
Après une bonne journée de balade, nous décidons de nous arrêter àl'hôtel Arraya , situé dans le village de Sare à deux pas de la Rhune. En plus d’être bien situé, c’est une bonne adresse pour visiter le Pays Basque.
Cet hôtel et sa chambre mansardée aux tons rouge et blanc, nous a littéralement charmé…Depuis la fenêtre, on pouvait même admirer la vue sur les collines !
Après un moment de repos, nous avons voulu tester le restaurant de l’hôtel. Après l’axoa de veau à midi, nous n’avons pas voulu en rester là bien entendu ! La cuisine basque en vaut le détour ! Cette fois, nous nous laissons-tenter par la poêlée de chipirons et l’épaule d’agneau. Et comme il faut toujours finir le repas sur une touche de sucré, nous n’avons pas pu refuser la part de gâteau basque en dessert… Un délice !
Le lendemain matin, place à un petit-déjeuner 100% local ! Il est servi à base de produits du coin, comme le jus de pommes basque, les chocolats de Bayonne ou encore le café basque Négro. Des produits basques dans l’assiette, du petit-déjeuner, jusqu’au dîner !
Jour 2 : Découvrir Saint-Jean-de-Luz, sur la côte basque
Après notre escapade à Espelette et Sare, nous quittons l’arrière-pays basque, pour continuer notre visite du Pays Basque et nous rendre à Saint-Jean-de-Luz, sur la côte atlantique.
Entre Anglet, Biarritz et Hendaye, la ville de Saint-Jean-de-Luz est un incontournable lors d’une visite du Pays Basque. A toutes saisons, nous vous conseillons d’arriver assez tôt le matin pour trouver une place de parking facilement. En pleine saison et les week-ends, il est difficile de trouver une place. Même les parkings souterrains sont souvent pleins !
Une fois la voiture garée, on a commencé notre journée par une virée shopping dans la rue Léon Gambetta. On découvre alors une longue rue commerciale aux couleurs basques, avecdes petites boutiques indépendantes et des enseignes plus connues. Si vous avez le temps, ne manquez pas la visite de l’Eglise Saint-Jean-Baptiste. L’intérieur est magnifique et les bateaux accrochés aux murs, nous rappellent qu’on est bien au bord de l’océan. C’est d’ailleurs dans cette petite église que Louis XIV s’est marié en 1660, et pas à Versailles, comme on aurait tendance à le penser !
En sortant de l’Eglise, au bout de la rue Léon Gambetta, on est tombés sur une petite place, rendant hommage au roi se mariant à quelques pas de là : la place Louis XIV. Cette jolie place très animée donne sur le port et est propice à de petites balades. Sur la place, il est toujours agréable de s’arrêter prendre un café en terrasse, pour refaire le monde. C’est ici, que vous pourrez acheter le traditionnel gâteau basque à la cerise (ou sans), à la Maison Adam : le meilleur que nous ayons goûté !
Les sessions shopping ça creuse, donc on décide de partir à la recherche d’un restaurant. En empruntant la rue de la République, en moins de 2 minutes, on se retrouve face à l’océan et à la Grande Plage. Le ciel est bleu et le soleil au rendez-vous : un agréable déjeuner nous attend !
C’est au restaurant le Prado que l’on jette notre dévolu ! En terrasse, avec vue sur la baie, on continue avec des plats typiquement basque. On craque sur un plat de chipirons aussi beau sur l’assiette, qu’en bouche. Et on vous recommande la tarte tatin en dessert, un vrai plaisir !
L’après-midi est plus consacrée au farniente sur la plage. On se balade le long de la baie, puis on étale notre serviette sur la plage, pour profiter de la vue ! N’hésitez pas à faire la promenade des rochers, une balade le long de la côte basque très agréable lorsque le temps le permet ! C’est sûr, on y reviendra en été pour se baigner…
Ce commentaire a été modifié le 28/07/2018 à 22:23
Connaissez-vous le véritable nom de Bangkok ?
Saviez-vous que les Thaïlandais s’essayaient tous ou presque à la vie monastique ?
Et qu’il y avait une école où les singes pouvaient apprendre à cueillir des noix de coco ? On parie que non !
Voici 12 choses que vous ignorez sûrement sur la Thaïlande !
Bangkok ne s’appelle pas vraiment Bangkok
La prochaine fois que l’on vous parlera de Bangkok, demandez à votre interlocuteur s’il évoque bien la ville de… Krung Thep mahanakhon amon rattanakosin mahintara ayuthaya mahadilok phop noppharat ratchathani burirom udomratchaniwet mahasathan amon piman awatan sathit sakkathattiya witsanukam prast. Il s’agit en effet du nom thaï de la capitale mais aussi du plus long nom de ville au monde ! Allez, pour simplifier, vous avez le droit de dire « Krung Thep Maka Nakhon », ce qui est déjà pas mal !
La terre de la liberté
Et pour rester dans le sens des noms, la Thaïlande est appelée « Prathet Thai » en thaï, ce qui signifie « la terre de la liberté ». La ville était jusqu’en 1939 connue sous le nom de « Royaume de Siam » dont l’origine pourrait venir du sanskrit Śyāma qui signifie « sombre » ou « brun ».
La Thaïlande n’a jamais été colonisée
Coucher de soleil sur Koh Lanta
Peut-être est-ce pour cela qu’on la surnomme « la terre de la liberté »! Quoi qu’il en soit, la Thaïlande est le seul pays d’Asie du Sud-Est à n’avoir jamais été colonisé par les Européens.
1400 îles
La Thaïlande possède plus de 1400 îles, dont la plus fameuse est sûrement celle de Koh Phi Phi, mise en vedette dans le film La Plage avec Leonardo DiCaprio.
La Full Moon Party
La plus célèbre des fêtes thaïs se déroule sur l’une des plages paradisiaques deKoh Phangan. Saviez-vous qu’elle était à l’origine fêtée au mois de juillet pour célébrer la pleine lune khmère ? Il s’agit aujourd’hui d’une occasion énorme pour se débaucher entouré d’environ 30 000 fêtards.
La règle des pieds
En Thaïlande, les pieds sont considérés comme impurs, il est donc recommandé d’éviter de pointer votre pied vers une personne, ou pire, vers un temple. Pensez-y lorsque vous croiserez vos jambes par exemple, votre pied ne devra jamais être orienté vers quelqu’un.
Et celle de la tête
À l’opposé, la tête est la partie la plus pure du corps. Il faut donc éviter de toucher la tête de quelqu’un d’autre, et particulièrement celle des enfants.
Et les sous-vêtements ?
Dirigeons-nous à présent vers la moitié du corps : il est formellement interdit en Thaïlande de sortir sans sous-vêtement. Voilà, vous êtes prévenu !
Question politique
Le roi défunt Bhumibol Adulyadej, sa femme et son successeur
La Thaïlande, en deuil officiel jusqu’en octobre 2017, est une monarchie constitutionnelle.
Les Thaïlandais adorent la famille royale et la plupart d’entre eux ont une photo du roi défunt dans leur maison- il est quasiment illégal de parler en mal de la monarchie.
Un culte qui interdisait même, dans le passé, que l’on touche les membres de la famille royale. On raconte ainsi que quand une reine tomba à l’eau au 19e siècle, personne ne vint à son secours en respect de cette règle.
Et la religion ?
Jeunes moines bouddhistes
La Thaïlande compte 95 % de bouddhistes, ce qui en fait l’un des pays les plus bouddhistes au monde. Il est commun de voir des jeunes hommes partir s’essayer à la vie monastique, bien que la plupart ne deviennent pas moines pour autant.
L’école des singes
Gros producteur de noix de coco, la Thaïlande emploie traditionnellement les singes pour la cueillette. Il existe une école, dans le sud du pays, où les singes peuvent apprendre à s’acquitter de leur tâche proprement.
Un festin annuel
Si ces singes sont quelque peu exploités, ils sont également choyés chaque année à l’occasion d’un festin qui se déroule à Lopburi et dans sa province. Ici, le singe tient une place très particulière dans le cœur des bouddhistes.
Le festival de Yi Peng
Connaissez-vous l’un des meilleurs moments pour se rendre en Thaïlande ?
C’est le mois de novembre. La météo est généralement agréable et c’est l’occasion d’assister au festival de Yi Peng à Chiang Mai, qui voit, entre autres choses, s’élever des milliers de lanternes éclairées dans le ciel.
Vous voilà à présent incollable sur la Thaïlande et donc prêt à partir explorer ce fabuleux pays !
Le téléscaphe, pour téléphérique et scaphandre, de Callelongue, proche de Marseille, a été construit dans les années 1960 par James Couttet et Denis Creissels, il permettait au touristes de goûter aux joies de la plongée sans se mouiller pour la modique somme de 12 francs.
Inauguré en 1967 il était constitué d’un câble métallique de 500m de long plongé sous la mer à 10m de profondeur qui reliait deux pointes rocheuses de la côte et de cabines pesant 3 tonnes dans lesquelles 6 personnes pouvaient s’installer pour profiter de la vue pendant les 10 minutes quedurait la traversée.
Tout le parcours sous-marin était surveillé par des plongeurs, peut être pour rassurer les touristes.
Malgré les deux millions de francs d’investissement pour sa construction le téléscaphe a fermé un an plus tard par manque d’argent après avoir transporté plus de 30 000 passagers, il ne reste aujourd’hui que les roues du téléphérique attachées au rocher.
FESTIVAL CONSTELLATIONS DE METZ
La Cathédrale St Etienne à Metz se pare en ce moment d'effets somptueux par la grâce de LUX ANIMAE :
Programmation vidéo: Yann Nguema
Musique: Ez3kiel
Design Lumière: Arnaud Doucet & Red System
Vigilance Orange Canicule dans l’Hérault.
Les services de Météo France viennent de placer le
département de l’Hérault en vigilance orange pour la
canicule.
Dans la nuit de lundi à mardi :
les températures minimales ne descendront généralement pas en dessous de 20 à 23 °C,
et guère en dessous de 25 °C sur le littoral des Alpes Maritimes
Mardi :
les températures maximales atteindront 31 à 33°C en bord de mer,
34 à 36 °C dans l'intérieur des Pyrénées-Orientales et des Alpes-Maritimes.
Sur le Vaucluse :
l'intérieur du Gard et de l'Hérault,
les températures maximales seront comprises entre 36 et 39°C.
Au cours des jours suivants, les températures minimales et maximales resteront très élevées avec
même une légère hausse attendue.
Le Ministère des Solidarités et de la Santé a mis en place un
N° Vert Canicule Info Service : 0800 06 66 66
(appel gratuit entre 9h00 et 19h00 depuis un poste fixe)
pour obtenir des conseils pour vous et votre entourage en particulier les plus fragiles.
Des gestes simples permettent d’éviter les accidents.
Il faut se préparer AVANT les premiers signes de souffrance corporelle
même si ces signes paraissent insignifiants
Il est important de veiller sur les populations :
spécifiques considérées comme sensibles quant au risque sanitaire potentiel.
Il s’agit tout d’abord :
- des personnes en situation de handicap,
- des personnes âgées dépendantes
- des très jeunes enfants qui ne peuvent se soustraire seuls à la chaleur,
- des personnes enceintes mais également
- celles ayant une activité physique en lien avec une activité sportive ou professionnelle les exposant à la chaleur
Conseils :
- Boire régulièrement de l’eau sans attendre d’avoir soif
- Se rafraîchir et se mouiller le corps plusieurs fois par jour
- Manger en quantité suffisante et éviter les boissons alcoolisées
- Éviter de sortir aux heures les plus chaudes
- passer plusieurs heures par jour dans un lieu frais
(cinéma, médiathèque…)
- Maintenir le logement frais en fermant les volets et fenêtres le jour
- et en les ouvrant la nuit
- Pour les plus fragiles,
donner régulièrement des nouvelles aux proches
et oser demander de l’aide dès que nécessaire
Numéros :
si Urgence
SAMU 15
POMPIERS 18
et Consultez régulièrement le site de Météo France
Ou cette oeuvre d’art qui en a l’air, au moins. Elle s’intitule Portal Icosahedron, par Anthony James, et elle est composée de vitres avec effet miroir à sens unique et de barrettes de lumière LED très puissantes.
Le miroir à sens unique réduit fortement la luminosité de ce qu’on regardeà travers, mais des lumières de forte puissance permettent de rétablir une illusion de transparence sans perte et de pouvoir observer l’effet kaléidoscopique.
La profondeur est particulièrement saisissante quand on se déplace autour de l’oeuvre, à apprécier dans cette vidéo.
Ces portails sont disponibles à la vente pour 75 000 à 100 000 dollars, notamment dans le cadre de Art Aspen 2018 chez Melissa Morgan Fine Art.
Jonathan Pitre, le garçon atteint d'une maladie rare de la peau, connu sous le nom de l'’enfant papillon’, est décédé mercredi 4 avril. Jonathan a inspiré beaucoup de gens et sa soudaine disparition est une énorme pertepour tous ceux qui connaissaient sa triste histoire.
Jonathan Pitre, un garçon qui a inspiré des millions de gens.
Imaginez-vous simplement que vous deviez vivre avec une douleur constante. Que vous vous réveillez avec cette douleur et que vous vous couchiez avec cette douleur tous les jours. C'est affreux, n'est-ce pas ? Jonathan Pitre a vécu avec ce sentiment pendant 17 ans.Jonathan souffrait d'une affection cutanée rare qui provoquait des cloques sur sa peau dues à de légères griffures ou à la chaleur. Sa peau était aussifragile que les ailes d'un papillon, et c’est pour cette raison que ce
garçon a reçu le surnom de ‘l’enfant papillon’.
L'histoire de Jonathan est devenue très médiatique au cours des dernières années, car lui et sa mère voulaient sensibiliser le monde à cette maladie rare.
La moindre égratignure pouvait entraîner des blessures graves et douloureuses pour le pauvre garçon. Pitre a dit une fois qu'il n'avait jamais vécu un moment sans douleur durant sa vie et son plus grand souhait était d'être comme n'importe quel autre enfant ordinaire.
Repose en paix, 'Enfant papillon' Mercredi, la mère de Jonathan, Tina Boileau, a annoncé une tragique nouvelle : son fils est mort des suites d'un choc septique. Il avait 17 ans. Cette femme désespérée a partagé les nouvelles via une publication Facebook qui disait :
Des tas de gens qui connaissaient l'histoire de Jonathan ont honoré 'l'enfant papillon' en lui rendant un émouvant hommage.
Repose en paix, 'Enfant papillon'
Comment la suppression de l’ISF va être (en partie) supportée par les automobilistes .
Le 10 juillet 2018, la Commission des Finances, de l’Économie générale et du Contrôle budgétaire a déposé son rapport d’information relatif au débat d’orientation des finances publiques, dans lequel figurent les principales mesures affectant les prélèvementsobligatoires en 2018. Ainsi, la hausse de la fiscalité énergétique, quicomprend l’alignement de la fiscalité du diesel sur l’essence, rapportera la coquette somme supplémentaire de 3,4 milliards d’euros à l’État. De quoi combler largement les pertes engendrées par la suppression de l’Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF), évaluée à 3,2milliards d’euros.
Les taxes sur le diesel à la rescousse des finances de l’État.
Les Français s’en doutaient déjà : les promesses du Gouvernement en matière d’allègement des taxes et autres prélèvements obligatoires ne seront pas sans répercussion sur d’autres postes de dépenses. Et ce son taussi les automobilistes qui vont trinquer, à hauteur de 3,4 milliards d’euros supplémentaires, suite à la décision du ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, d’aligner la fiscalité du diesel sur l’essence.Tout juste de quoi compenser, à titre d’exemple, le manque à gagner engendré par la suppression de l’ISF ou celui de la suppression de la taxe d’habitation, comme l’indique ce tableau issu d’un récent rapport de la Cour des Comptes :
Le carburant, ce produit ultra-taxé.
En plus de la hausse du cours du pétrole qui sévit depuis quelques mois, les taxes imposées sur les carburants continuent de grimper, avec pour conséquence des prix à la pompe toujours plus importants.
Chaque année, les taxes sur les carburants rapportent déjà 36 milliards d’euros à l’État, grâce à la TVA d’une part, mais aussi grâce à la Taxe intérieure de Consommation sur les Produits énergétiques (TICPE) imposée par l’Union européenne. Ainsi, les taxes sur les carburants représentaient 64% du prix moyen du litre de SP95 fin janvier 2018, et 60% pour le gazole !
L’association « 40 millions d’automobilistes » rappelle qu’il est possible de réaliser des économies importantes en convertissant son véhicule essence au bioéthanol, grâce à l’installation d’un simple boîtier.(à condition de trouvez une pompe qui assure la distribution!).
Visiter la ville de Conwy
Conwy est une jolie petite ville fortifiée du Nord du pays de Galles, connue pour son château au 21 tours et aux 3 énormes portes. Vous pourrez monter sur les remparts et admirer la vue…
Pour déjeuner je vous conseille vivement le Castle Hotel et sa cour intérieure. La cuisine y est divine.
Dans l’après-midi, offrez-vous un moment de détente à la Maison Hantée Plas Mawr avec une visite guidée (ou pour les plus courageux une nocturne chaque jeudi soir).
Prenez l’apéro, enfin je veux dire, une bière welsh dans le pub au bord du port…
Et profitez-en pour rendre visite à la plus petite maison d’Angleterre, située sur le port, et toute peinte de rouge. Vous ne pourrez pas la manquer, même si elle mesure 1,5 mètres de large pour 2,5 mètres de haut. Il parait que son ancien propriétaire était un pêcheur d’1,92 mètres… rien que ça !
Dormir au Groesinn
Sur la route B5106 qui mène du Château de Conwy à la ville de Trefriw, il s’agit là d’un endroit bien agréable pour séjourner dans le nord du Pays de Galles.
Constitué d’un hôtel et d’un pub, vous n’aurez pas besoin de vous déplacer pour passer une bonne soirée. Et le matin, la terrasse vous accueille pour savourer le « Full Welsh Breakfast » les pieds dans l’herbe, magique ! Le paysage est remarquable… et le risque c’est de ne plus vouloir en partir !
Le petit plus que les filles noteront, c’est que la maison propose les produits Molton Brown de Londres pour la salle de bain…
Partir en Zodiac à la découverte de la baie de Caernarfon
Depuis l’estuaire de Menai Strait, tout cheveux au vent, vous passerez sous les gigantesques ponts de Menai, en testant les possibilités du Zodiac – je veux dire, sa puissance ! Demandez Tom de ma part… et vous serez sûrs de vivre de belles sensations.
Un bateau échoué au bord du lac de Caernarfon
Le long de l’estuaire Menai Strait
Château au bord de Menai Strait
Il est également possible de se diriger vers l’île de Llanddwyn, en longeant la Baie de Caernarfon.
A ce sujet, Llanddwyn signifie « L’Eglise de St Dwynwen » qui est le Saint patron gallois des amoureux et représente ainsi l’équivalent de notre Saint Valentin – fête qui se célèbre le 25 janvieravec des cartes et des fleurs (comme nous le faisons avec notre 14 février).
Une fois arrivé sur l’île, il est possible de prévoir un pic-nic chic !
Le tour que j’ai pu faire allait de Victoria Dock (depuis la ville de Caernarfon) jusqu’à Moel y Don près de Y Felinheli.
Visiter un site historique protégé par le CADW : le Château de Dolbadarn
Construit par Llywelyn ab Lorwerth au début du 13ème siècle, le château était dominé par une tour massive, de plus de 15 mètres de haut.
Tour du château en ruine de Dolbabarn
Le château est aujourd’hui en ruine, mais la tour résiste. Le lieu respire la tranquillité, les moutons sauvages viendront vous saluer, et je vous conseille d’apporter de quoi faire un bon picnic. La vue donne sur une carrière d’ardoise en activité, et un train à vapeur passe en contre-bas. Le temps semble s’être arrêté là-bas !
Carrière d’ardoise en activité
Traverser l’Aqueduc de Pontcysyllte en péniche
Pour les personnes qui ont le vertige, attention, cette traversée est surprenante. Mais il vous sera possible de marcher le long de l’aqueduc et de reprendre la péniche plus loin.
Traversée de l’Aqueduc de Pontcysyllte en péniche
Balade sur le canal après l’Aqueduc
Cet aqueduc a la particularité de pouvoir accueillir une péniche (en alternant toutes les 30 minutes, les aller et retour). En effet, il
domine à plus de 40 mètres de haut sur 310 mètres de long et offre aux péniches une voie unique pour continuer sur le canal Llangollen, au piedde Horseshoe Pass.
Pontcysyllte est alors l’aqueduc le plus haut et le plus long réalisé en métal moulé (technique de construction) du monde. L’aqueduc est traversé par plus de 1 000 péniches par an, et est classé aux monuments historiques du monde, depuis juin 2009.
Compagnie « Jones The Boat »
Dîner et assister à une chorale d’hommes
Manger un Fish&Chips à l’Hôtel/Restaurant Riversidehotel Pennal.
Les propriétaires des lieux, Glyn et Corina ont acheté ce lieu en Mai 2010. Situé face à une jolie Église galloise, ce restaurant possède tous les charmes.
La décoration m’a tout de suite séduite, par ses larges tables en bois brut et son style « campagne chic« . Apéro vin blanc et « onion rings » suivi d’un « fish&chips and pees » plus que copieux !
Le temps de digérer, prenez la route de Machynlleth (Pantperthog Village Hall) pour assister à la chorale Cor Meibion Dify, formée en 1980 et composée de 32 membres aujourd’hui.
Le Pays de Galles est célèbre à travers le monde pour ses chants et chanteurs et on qualifie souvent le pays d’être « The Land of Song« . Il m’était alors impossible de vous parler de chorale galloise, sans assister à l’une d’entre-elles. Et je vais même aller jusqu’à vous avouer que j’y ai chanté, moi aussi, et en Welsh, oui oui, l’hymne national du Pays de Galles ! Entendre ses voix a été un grand moment d’émotion…
Emprunter un train à vapeur et revivre des scènes de film
Le Pays de Galles se parcoure à pieds, en voiture, et… en train à vapeur ! Pour l’expérience, j’ai emprunté celui de Rheilffordd Talyllyn au départ de la ville de Tywyn. Une fois en gare, la magie opère… vous montez à bord du train qui déclenchera aussitôt sa sonnerie « tchouiiiiiiin tchouiiiiin » et c’est parti !
Le train à vapeur Talyllyn en gare de Tywyn
Le paysage au niveau de Dolgoch
Sur cette voie de chemin de fer, il y a 4 stops en gare, un ravitaillement en eau, et deux changements de clefs. Une fois arrivé en bout de parcours, le train fait demi-tour et c’est reparti dans l’autre sens. Le paysage est remarquable, les moutons parfois à portée de main, et les sensations mémorables. J’ai même eu l’opportunité de monter dans la locomotive, avec les 2 conducteurs, bénévoles, et de tirer la sonnerie du train !
Le plus fantastique pour moi a été d’assister au remplissage du charbon dans le feu, qui alimente le moteur du train… quelque chose que nous avons tous vu dans les films, mais loin de moi l’idée qu’un jour je puisse vivre ce moment.
Visiter la mine de charbon devenue musée à Blaenafon
La visite est guidée par un ancien mineur (de génération en génération) et vous descendrez directement dans les entrailles de la mine. Équipés de casques et de lampes frontales à batterie, vous n’aurez le droit à aucun matériel électronique (à pile ou batterie), donc pas de montres, pas d’appareil photos, pas de téléphone…
Vous emprunterez un ascenseur, et une fois en bas, à quelques 100 mètres de profondeur, l’atmosphère se fait fraîche et humide… de quoi vous plonger dans l’ambiance. La visite dure environ 1h et le guide vous donnera toutes les explications sur le fonctionnement de la mine, en définitif, tout ce que vous avez vu dans certains films (comme Germinal) mais que vous ne pensiez pas voir de vos propres yeux un jour…
Cette mine est appelée le Big Pit : non parce qu’elle était très profonde, toutes les mines l’étaient, mais parce qu’elle permettait de remonter jusqu’à 2 charriots plein en même temps.
Le musée est maintenant inscrit au capital historique de l’UNESCO depuis 2000.
Prendre un Afternoon Tea à l’Hôtel/Restaurant
The AngelThe Angel, située dans la petite ville d’Abergavenny, n’est autre que l’Etoilé Michelin qui fête cette année sa 100ème année au guide britannique.
The Angel est aussi élu Meilleur « Tea Room« du Pays de Galles et 3ème de l’Angleterre par le Tea Guild 2011, ultime référence dans le milieu.
The Angel – Meilleur Afternoon Tea du Pays de Galles
En savoir plus sur le culte de l’afternoon tea, cliquez-ici.
Séjourner dans un cottage « Brecon Beacons Holiday »
Plus de 300 superbes propriétés, toutes idéalement situées dans la forêt national de Brecon Beacons, dans Black Mountains, et dans Wye Valley. Il y a une maison pour tout type de séjours, de 2 à 5 personnes, de 6 à 9 ou même de plus de 10 personnes !
Certaines maisons sont même classées dans le tourisme écologique.
J’ai séjourné dans la maison en photo ci-dessous qui proposait une large cuisine entièrement équipée, une salle à manger, un salon indépendant très cosy, 6 chambres immenses, 3 salles de bain, une énorme salle de jeux avec baby foot, table de ping-pong, jeu arcade, punching ball… un superbe parc boisé avec barbecue qui donne directement sur un lac où il est possible d’aller se baigner, pêcher ou juste bronzer…
Et en regardant bien, j’ai même trouvé une cabane construite dans un arbre, idéale pour les enfants !
Un paradis d’où il est difficile de partir… proche de Cardiff.
Filly Farmhouse dans Black Mountains
Boire une bière dans le plus vieux pub du Pays de Galles
Je nomme The Skirrid Inn ! Il existe depuis pas moins de 9 siècles (en service depuis début 1100).
Avec des origines qui remontent à 1110, le Skirrid est le plus vieux pub du Pays de Galles. C’est aussi l’un des plus hantés. Des gens se sont fait arracher leurs lunettes, des objets disparaissent et réapparaissent parfois plusieurs semaines plus tard, des visages se montrent aux fenêtres, la température chute d’un seul coup…
Le truc avec ce pub, c’est qu’avant, c’était là qu’on condamnait les gens à mort.
180 insurgés de la rébellion de Monmouth en1685 y furent également pendus. Ce qui fait froid dans le dos quand on sait que plusieurs personnes se plaignent de ressentir une pression au niveau du cou quand elles résident entre les murs du Skirrid Inn .
Le mont Chaudron, près de la frontière ontarienne, en Abitibi
Photo Fournie Par National Geographic
Pierre-Marc Durivage La Presse
Photographe professionnel depuis 18 ans, Mathieu Dupuis vient de réaliser un rêve d'enfance: signer un livre pour
National Geographic.
Le réputé éditeur américain l'a choisi pour réaliser un impressionnant recueil photographique du Québec...
Qui apparaît ici plus que jamais à la hauteur de sa saisissante beauté.
Du nord au sud et d'est en ouest, tout y est, en 272 pages et quelque 230 photos.
Quête De Résultat.
Mathieu Dupuis a obtenu la confiance de la direction de National Geographic en travaillant sur son projet Villes sublimes...
Un essai photo toujours en chantier de 30 grandes villes nord-américaines.
Comme le photographe avait déjà signé quelques livres sur le Québec, l'idée de faire un grand ouvrage sur sa province a fait son chemin.
«Sur le terrain, il faut être en contact avec le moment magique, peu importele temps qu'il fait, explique l'Abitibien de 36 ans.
Parce que si tu arrives à un endroit et qu'il y a trois jours de mauvais temps, tu dois quand même faire des photos selon les standards National Geographic.»
Mathieu Dupuis se sentait néanmoins prêt à relever le défi. «À 20 ans, je me serais cassé la gueule, reconnaît-il.
Mais il arrive un moment où tu crois avoir atteint une certaine solidité professionnelle et mentale pour supporter une telle quête de résultat.»
«Le magazine jaune stimule l'imaginaire de tous les photographes du monde.C'est donc pour moi un très grand privilège de pouvoir faire découvrir le Québec à travers la bannière National Geographic.»
Autonomie Complète.
Le livre de Mathieu Dupuis est le résultat d'une obsessive quête de lumière.
«J'étais toujours au bon endroit, au bon moment», affirme le photographe.
Pour ce faire, il faut être sur le terrain, prêt à appuyer sur le déclencheur de l'appareil photo.
«Je me suis construit un véritable véhicule d'aventure, nous a-t-il expliqué. Un campeur de l'extrême avec panneaux solaires et tout l'équipement pour passer partout.
Été comme hiver, je dormais dans le camion. Sur un coup de tête, je pouvaischanger mes plans pour réagir à une alerte d'aurore boréale, par exemple.
J'ai franchi 100 000 km en deux ans avec mon véhicule, je suis allé aux confins de toutes les routes de la province.»
La Grave, à Havre-Aubert, aux Îles-de-la-Madeleine
Photo Fournie Par National Geographic
Photo Coup De Coeur.
Selon Mathieu Dupuis, les photos les plus marquantes sont bien souvent influencées par les circonstances du moment.
«Chaque photo est une aventure en soi, chaque photo a son histoire.Alors, si je dois en nommer une, ce serait le portrait de mon guide inuit Adamie Kulula, affirme le photographe abitibien.Il affiche un sourire un peu narquois parce qu'il se moquait de moi ! Il m'a d'ailleurs surnommé "The Southern Weak Man" après cette aventuresur la banquise où je voulais voir la chasse au phoque et faire l'observation des ours polaires...
On sautait de bloc de glace en bloc de glace, au mois de mai, sur une banquise complètement disloquée, à 25-30 km de Quaqtaq.J'ai eu peur de partir à la dérive vers le Groenland !»
Anecdote De Voyage.
Un livre comme celui réalisé par Mathieu Dupuis comporte nécessairement son lot de photos aériennes.
L'une de ces séances, au-dessus de la toundra, s'est révélée un peu plus complexe que prévu.
«On volait en hélico pour observer la migration de caribous, s'est rappelé Mathieu Dupuis. On a fait énormément de passages et on s'est rendu compte bien tard que l'on n'avait presque plus de carburant. Je pouvais suffisamment décoder les données du tableau de bord pour comprendre que l'autonomie de l'appareil ne permettait pas de revenir à la base.
C'est alors que le pilote s'est mis à grimper en altitude de façon à profiter des vents favorables.
Il est finalement arrivé, le moteur alimenté par des vapeurs de carburant, avant de se poser en catastrophe.
Dans des moments comme ça, tu as le goût d'être affalé dans ton divan en robe de chambre!»
Québec, de Mathieu Dupuis, aux éditions National Geographic
Photo Fournie Par National Geographic
Expérience De Vie.
Mathieu Dupuis espère que son livre va permettre de démontrer la diversité géographique et la richesse culturelle du Québec.
Et encourager les gens à eux-mêmes partir à la découverte de son coin de pays.
«C'est une énorme richesse en tant que citoyen d'apprendre à connaître son pays de telle façon, c'est une véritable expérience de vie, soutient-il.
Quand je consulte une carte, je suis capable de mettre une image sur le lieu.
Et je comprends mieux le style de vie de cet endroit, avec ses pour, ses contre et ses défis.
Je comprends aussi pourquoi les gens y vivent, j'arrive à comprendre le lien qui les attache...À leur territoire, comment ça fait partie de leur ADN.»
3000.
C'est le nombre de photos soumises à National Geographic par Mathieu Dupuis.
«Un livre, c'est un canevas fixe, c'est cruel.
J'aurais pu faire plusieurs livres différents, sur plusieurs thèmes différents», nous a avoué le photographe.
Lancé en anglais le 3 avril dernier, le livre a été mis en vente en librairie le 1er mai en version française.
Distribué aux États-Unis et au Canada anglais par Random House, il occupe déjà une position de choix dans plusieurs librairies...Alors qu'il sera aussi offert chez Costco ou en ligne sur Amazon.
À l'étranger, il sera distribué en France alors que des démarches sont en cours pour un lancement en Chine.
Québec. Mathieu Dupuis. Éditions National Geographic. 272 pages, 40 $.(environ 35€)
La France regorge de jolis paysages et le Pays Basque en fait partie, sans aucun doute ! Et c’est dans le Sud-Ouest de la France, entre collines verdoyantes et océan Atlantique que l’on a décidé de s’arrêter.
Nous avons fait le choix de visiter le Pays Basque et plus particulièrement les villes d’Espelette, Saint Jean de Luz et Sare le temps d’un week-end ! On vous donne nos conseils et bons plans pour visiter le Pays Basque !
Jour 1 : Visiter Espelette, le village du piment basque
Le premier jour, notre virée en voiture dans les collines basques nous a menés vers la ville d’Espelette. Très connue pour son marché et ses piments basque, nous découvrons alors ce petit village typique aux jolies maisons aux volets et toits rouge et vert basque.
En flânant dans les petites ruelles, on se retrouve même face à des maisons où des piments sont accrochés à la façade pour sécher au soleil : une spécialité du coin qui attise la curiosité !
On apprend d’ailleurs que le piment basque est beaucoup utilisé en cuisine dans les spécialités locales salées comme sucrées ! On décide alors de rentrer dans une boutique, pour fairequelques emplettes… On ramènera à la maison de notre visite du Pays basque, du sel au piment d’Espelette, ainsi que des piments !
Le midi, impossible de passer à côté d’un déjeuner typique basque ! On décide de goûter les spécialités du restaurant Euzkadi.
Et parce que l’on aime tester les spécialités des régions que l’on visite, notre choix se porte sur une « axoa de veau », plat typiquement basque. Tout cela accompagné de petites pommes de terre et d’un verre de vin rouge. Un vrai régal !
Grimper jusqu’au sommet de la Rhune
On a souvent entendu parler du panorama magnifique qu’on retrouvait sur le sommet de la Rhune, montagne du Pays Basque.
Ni une, ni deux, on reprend la voiture en direction de Sare, classé parmi les « plus beaux villages de France ». En plus du train de la Rhune, sachez que l’ascension de la Rhune se fait aussi à pied. Il existe 3 randonnées différentes et il faut compter en moyenne entre 2h à 3h de marche pour arriver au sommet !
Mais rassurez-vous, il existe un autre moyen d’y aller : le train de la Rhune ! Et la visite est une vraie expérience à tester ! La locomotive date de 1924 et lorsque nous grimpons le long des sommets, on entend le bois du train qui craque.
C’est parti pour 35 minutes de balade avec des panoramas à couper le souffle ! Le long du trajet, on tombe sur des Pottok, petits poneys basques qui vivent en totale liberté dans les montagnes ! Ouvrez bien les yeux, car on peut aussi croiser quelques brebis et vautours.
Lors de la visite de la Rhune, pensez à prendre une petite veste car le train de la Rhune monte à 905 mètres d’altitude et en s’approchant du sommet, la température baisse rapidement.
Mais, c’est en arrivant en haut, au sommet que l’on prend un vrai bol d’air pur ! Le panorama est époustouflant. Depuis le sommet de la Rhune, on peut voir la chaine pyrénéenne, Saint Jean de Luz, Biarritz et l’océan atlantique…
On aperçoit d’un côté la vue sur la France et de l’autre côté une vue sur l’Espagne. On se croirait presque sur le toit du monde !
Dormir à l’hôtel Arraya à Sare
Après une bonne journée de balade, nous décidons de nous arrêter àl'hôtel Arraya , situé dans le village de Sare à deux pas de la Rhune. En plus d’être bien situé, c’est une bonne adresse pour visiter le Pays Basque.
Cet hôtel et sa chambre mansardée aux tons rouge et blanc, nous a littéralement charmé…Depuis la fenêtre, on pouvait même admirer la vue sur les collines !
Après un moment de repos, nous avons voulu tester le restaurant de l’hôtel.
Après l’axoa de veau à midi, nous n’avons pas voulu en rester là bien entendu ! La cuisine basque en vaut le détour !
Cette fois, nous nous laissons-tenter par la poêlée de chipirons et l’épaule d’agneau. Et comme il faut toujours finir le repas sur une touche de sucré, nous n’avons pas pu refuser la part de gâteau basque en dessert… Un délice !
Le lendemain matin, place à un petit-déjeuner 100% local ! Il est servi à base de produits du coin, comme le jus de pommes basque, les chocolats de Bayonne ou encore le café basque Négro. Des produits basques dans l’assiette, du petit-déjeuner, jusqu’au dîner !
Jour 2 : Découvrir Saint-Jean-de-Luz, sur la côte basque
Après notre escapade à Espelette et Sare, nous quittons l’arrière-pays basque, pour continuer notre visite du Pays Basque et nous rendre à Saint-Jean-de-Luz, sur la côte atlantique.
Entre Anglet, Biarritz et Hendaye, la ville de Saint-Jean-de-Luz est un incontournable lors d’une visite du Pays Basque. A toutes saisons, nous vous conseillons d’arriver assez tôt le matin pour trouver une place de parking facilement. En pleine saison et les week-ends, il est difficile de trouver une place. Même les parkings souterrains sont souvent pleins !
Une fois la voiture garée, on a commencé notre journée par une virée shopping dans la rue Léon Gambetta. On découvre alors une longue rue commerciale aux couleurs basques, avecdes petites boutiques indépendantes et des enseignes plus connues.
Si vous avez le temps, ne manquez pas la visite de l’Eglise Saint-Jean-Baptiste. L’intérieur est magnifique et les bateaux accrochés aux murs, nous rappellent qu’on est bien au bord de l’océan. C’est d’ailleurs dans cette petite église que Louis XIV s’est marié en 1660, et pas à Versailles , comme on aurait tendance à le penser !
En sortant de l’Eglise, au bout de la rue Léon Gambetta, on est tombés sur une petite place, rendant hommage au roi se mariant à quelques pas de là : la place Louis XIV. Cette jolie place très animée donne sur le port et est propice à de petites balades.
Sur la place, il est toujours agréable de s’arrêter prendre un café en terrasse, pour refaire le monde. C’est ici, que vous pourrez acheter le traditionnel gâteau basque à la cerise (ou sans), à la Maison Adam : le meilleur que nous ayons goûté !
Les sessions shopping ça creuse, donc on décide de partir à la recherche d’un restaurant.
En empruntant la rue de la République, en moins de 2 minutes, on se retrouve face à l’océan et à la Grande Plage. Le ciel est bleu et le soleil au rendez-vous : un agréable déjeuner nous attend !
C’est au restaurant le Prado que l’on jette notre dévolu ! En terrasse, avec vue sur la baie, on continue avec des plats typiquement basque. On craque sur un plat de chipirons aussi beau sur l’assiette, qu’en bouche. Et on vous recommande la tarte tatin en dessert, un vrai plaisir !
L’après-midi est plus consacrée au farniente sur la plage. On se balade le long de la baie, puis on étale notre serviette sur la plage, pour profiter de la vue !
N’hésitez pas à faire la promenade des rochers, une balade le long de la côte basque très agréable lorsque le temps le permet !
C’est sûr, on y reviendra en été pour se baigner…