Magnifique photographie prise par Torsten Muehlbacher avec un Canon EOS 5D Mark II où l’on découvre le magnifique lac de Gruber en forme de coeur situé dans les Alpes au niveau du Tyrol. Le Tyrol est une région alpine d’Europe centrale. Le Tyrol s’étend sur la chaîne des Alpes. Il est traversé par l’Inn, qui se jette ensuite dans le Danube.
Lorsque les nuages dansent avec les lavandes. Elle a plusieurs couleurs. Elle se colore de bleu, de parme à des teintes améthystes, selon les variétés. Les couleurs peuvent être très intenses.....Cela dépend de la lumière, les nuages, le soleil, l'heure de la journée, la couleur de la terre. En parcourant le plateau de Valensole, du matin au soir, on ne les vois jamais de la même couleur. C'est un renouvellement chaque jour, encore et toujours.
La Lavande Plus d'excuse, avec cette carte des Routes de la Lavande vous saurez tout sur les dates de floraison 2018
les champs de lavande victimes d'incivilités
Il n'est pas interdit de faire des photos dans les champs de lavande, mais il faut veiller à respecter le lieu.
Chaque année, de nombreux touristes viennent admirer les champs de lavandes duplateau de Valensole. Mais les incivilités se multiplient, au grand dam des propriétaires de domaines.
C'est la question de l'été ! Où poser sa serviette en Bretagne pour faire bronzette ou se vider la tête ? Pour vous aider dans ce choix cornélien,nous vous proposons cinq plages réparties sur les côtes nord et sud. Cinq lieux magiques, cinq ambiances différentes qui contenteront tous les goûts.
Agence France-Presse Washington Brûler toutes les réserves disponibles de charbon, de gaz et de pétrole de la planète ferait fondre entièrement les glaces de l'Antarctique et monter le niveau des océans de plus de 50 mètres, selon une étude publiée vendredi. « Si nous brûlions toutes les énergies fossiles exploitables cela ferait disparaître les glaces antarctiques et entraînerait à long terme...Une montée du niveau des océans sans précédent dans l'histoire de l'humanité »,estime Ricarda Winkelmann, une chercheuse du Potsdam Institute for Climate Impact Research en Allemagne, principal auteur de cette étude parue dans la revue américaine. Science Advance
« Un tel scénario ne se produirait pas rapidement mais ces travaux montrent que par nos activités aujourd'hui nous sommes en train de bouleverser notre planète, et ce pour des dizaines de milliers d'années », ajoute-t-elle. « Si nous voulons éviter un tel scénario, nous devons laisser le charbon, legaz naturel et le pétrole dans le sol », insiste la scientifique. Selon elle, le risque à long terme s'accroît avec chaque dixième de degré de réchauffement de la Terre. Si l'on en croit les dernières estimations, la contribution des glaces de l'Antarctique à la montée des océans dans le futur se limitera probablement à quelques mètres si le réchauffement planétaire n'excède pas 2 degrés Celsius par rapport à la période pré-industrielle. Dépasser ce seuil, finirait par déstabiliser les glaces de l'ouest et de l'est de l'Antarctique, ce qui provoquerait une élévation du niveau des océanset dévasterait les régions côtières partout sur le globe et ce pendant des millénaires. Des villes comme Tokyo, Hong Kong, Shanghai, Calcutta, Hambourg ou New York seraient alors affectées. « Le fait d'utiliser de plus en plus d'énergies fossiles accroît le risque de déclencher des changements que nous ne pourrions peut-être pas arrêter ou inverser à l'avenir », met en garde Anders Levermann, de l'Institut Potsdam, co-auteur de ces travaux. « La fonte des glaces de l'Antarctique occidental a peut-être déjà franchi un point de non-retour », selon lui. Brûler toutes les réserves accessibles de charbon, de pétrole et de gaz naturel entraînerait des émissions de CO2 (dioxyde de carbone) d'environ 10 000 milliards de tonnes, ont calculé ces chercheurs. Basé sur les simulations d'émissions carboniques dans cette recherche,l'Antarctique perdrait de la glace pendant au moins les prochains 10 000ans, ce qui ferait monter les océans jusqu'à trois mètres par siècle pendant le premier millénaire. Outre l'impact du réchauffement de l'atmosphère et des océans sur la fonte des glaces de l'Antarctique, ces simulations prennent également en compte d'autres phénomènes, comme un accroissement des chutes de neige dû à la montée de la température du globe, qui pourraient en partie minimiser les pertes de la banquise. Actuellement, l'Antarctique contribue pour moins de 10 % à l'élévation des océans, ce qui en fait un contributeur mineur comparé au phénomène de dilatation thermique des océans sous l'effet du réchauffement ainsi qu'à la fonte des glaciers des montagnes, relèvent les scientifiques.
Les ponts de Google Earth. L’artiste Clément Valla a remarqué que sur le logiciel Google Earth les ponts souffrent d’un petit bug dans la vue 3D, le programme se base sur l’altitude du sol pour créer le relief mais ne repère pas les ponts qui se retrouvent donc à coller au sol. Il s’est donc mis à la recherche de ponts pour réaliser cette série de captures d’écrans, allez sur son site pour en voir plus, ainsi que d’autres expérimentations numériques.
La splendeur du palais de Catherine, à proximité de Saint-Pétersbourg...
Située à 30 km de Saint-Pétersbourg , la petite ville de Pouchkine a été nommée ainsi en l'honneur du célèbre poète et romancier Russe Alexandre Pouchkine [poète et romancier russe 1799-1837.
Appelée jadis "Tsarskoe Selo", Hameau de Tsar, on peut y admirer l'une des plus belles résidences impériales : le palais Ekaterininsky, dédié à Catherine 1ère [1684-1727], épouse de Pierre le Grand, fondateur de Saint-Pétersbourg.
Coupoles de l'église Palatine Le palais de Catherine est surtout lié aux noms de deux impératrices : Catherine la grande, 2ème épouse du tsar Pierre 1er, qui devint impératrice [1725-1727] après la mort de son époux et d'Élisabeth Petrovna, fille de cette dernière et de Pierre le grand [1709-1762], elle fut impératrice de Russie pendant 21 ans [1741-1762]
Catherine 1ère obtint le Hameau de Tsar en 1711; elle y fit construire un petit palais d'été. A la mort de l'impératrice, la résidence d'été revint à sa fille Elisabeth 1ère qui yfit construire un palais plus somptueux que le précédent en l'honneur de sa mère [le palais de Catherine]
Sous le règne d'Elisabeth 1ère [1742-1762] le palais s'améliora considérablement et devint l'un des joyaux de la Russie
La salle de bal L'intérieur du palais est magnifique ; le visiteur est rempli d'une sensation de grandeur et de solennité devant un tel ruissellement de dorures.
Richement décoré avec beaucoup de goût avec ses multiples miroirs et la profusion des éléments dorés, ses rideaux vénitiens, l'intérieur du palais est splendide.
La table des douceurs Au cours du règne de Catherine II [1729-1796] [impératrice de 1762-1796], qui en fit aussi sa principale résidence d'été, des nouveaux embellissements intérieurs apparurent dans le palais
Ce magnifique palais doit sa beauté aux règnes de trois impératrices qui ont su rendre brillante cette résidence d'été.
Le parc du palais vaut aussi le détour.( ce sera pour demain ).
Ce commentaire a été modifié le 10/07/2018 à 19:15
John Snow a révolutionné la médecine avec cette carte Jusqu’au milieu des années 1800 la médecine était dominée d’abord par la théorie des théories des humeurs, puis, par celle des miasmes, l’idée que les maladies sont propagées par un mystérieux « mauvais air » nocif. Si quelques indices auraient pu mettre les scientifiques sur la bonne voieplus tôt, c’est à partir de 1847 que des découvertes s’enchaînent très rapidement pour amener à la compréhension du fonctionnement des microbes. Le docteur John Snow, inspiré par son expérience clinique, évoque dès 1849 l’idée que les maladies se transmettraient par l’ingestion d’un « poison » et soupçonnel’eau de jouer un rôle important. En 1854, alors qu’une épidémie de Choléra fait rage à Londres dans le quartier de Soho, il a l’idée révolutionnaire d’en faire une analyse statistique en prenant un plan et en notant dessus le lieu de résidence ou de travail des 578 victimes grâce à des barres noires perpendiculaires aux rues. En regardant le plan, il s’est aperçu que le nombre de décès augmentait au fur et à mesure qu’on se rapprochait d’une pompe à eau publique située dans la Broad Street², identifiant ainsi la source de la contamination. Une fois cette découverte faite il a enlevé le manche de la pompe et l’épidémie s’est éteinte dans la foulée. Pendant longtemps on a cru que cette intervention en était la cause, mais avec les connaissances modernes on pense que la maladie avait de toute façon déjà atteint son pic et qu’elle aurait décliné naturellement de toute façon. Le révérend Henry Whitehead confirma par la suite malgré lui que la pompe était la source de la contamination. Persuadé que la théorie des miasmes était vraie il voulait prouver l’erreur de John Snow, mais ses investigations prouvèrent au contraire que le forage de la pompe passait à moins d’un mètre d’un puisard dans lequel on avait jeté l’eau sale ayant servie à laver la couche d’un bébé qui avait attrapé le Choléra ailleurs. Avec ces travaux John Snow est un grand contributeur à la compréhension des microbes et est le père fondateur de l’épidémiologie. Cette technique de cartographie statistique est encore utilisée de nos jours pour identifier le point d’origine des épidémies comme celle d’Ebola en Afrique ou du Choléra à Haïti. Une anecdote amusante est que si vous regardez la carte attentivement vous pourrez constater une anomalie. Juste à côté de la fameuse pompe se trouve une brasserie où il n’y a eu aucune victime. C’est dû au fait que les travailleurs avaient droit tous les jours à une ration de bière gratuite donc ils n’avaient pas besoin de boire de l’eau de la pompe à côté et en plus le processus de fermentation tue lesbactéries de Choléra. En hommage à John Snow il y a de nos jours une statue de pompe sans mancheet un pub qui porte son nom à l’emplacement² original. 2- Les nom des rues a changé, maintenant elle serait à l’intersection de Broadwick Street et Lexington Street.
Source - Bangalore Est Le Silicon Valley De L' Inde Bangalore, à la fois la « ville aux jardins » et la « Silicon Valley indienne », et appelée officiellement Negaluru, abrite la plus forte concentration d'entreprises informatiques du pays. C'est le paradis des geeks. Lorsque vous n'aurez plus les yeux rivés sur les écrans d'ordinateur, ne manquez pas ses jardins, nombreux musées, merveilles naturelles palaces et temples. Partez ensuite à la découverte de Vidhana Soudha, du parc Cubbon et du lac Ulsoor de Bangalore, réputé pour son cadre magique et ses installations de navigation... Bangalore est aussi un haut lieu des musiques et danses indiennes. Et vous pourrez apprécier une vie nocturne pleine d'effervescence ! Source - Mumbai, Ville De La côte Ouest De L'Inde -
Mumbai (anciennement Bombay) est une ville densément peuplée qui se trouve surla côte ouest de l'Inde. Ce centre financier est la plus grande ville du pays.
Sur le front de mer du port de Mumbai, la Porte de l'Inde est une arche en pierre emblématique qui a été construite en 1924, sous le Raj britannique.
Au large, l'île voisine d'Éléphanta comporte des temples anciens creusés dans la roche et dédiés au dieu hindou Shiva.
La ville est également célèbre en tant que centre de l'industrie cinématographique du pays avec Bollywood.
District : Mumbai-Ville; Mumbai-Banlieue 15 millions d’habitants, peut-être 20… Bombay, aujourd’hui Mumbai, est une ville-monstre, la plus grande mégalopole indienne, mais aussi la capitale commerciale, industrielle et financière du pays. En perpétuelle croissance, cette ville à la circulation infernale offre un saisissant instantané des réalités de l’Inde contemporaine... Dans toute sa diversité et ses contrastes, notamment sociaux. Ici, la richesse la plus rutilante côtoie la misère des plus grands bidonvilles d’Asie. Une ville hors norme, un choc permanent et un maelström déroutant : fascinante ou effrayante, Mumbai reste une expérience marquante d’un voyage en Inde. Une « ville maximum », comme l’a si bien surnommée l’écrivain Suketu Mehta dans son chef-d’œuvre Bombay Maximum City Sommaire Intro Mumbai, en perpétuel mouvement Ville de contrastes extrêmes Colaba, où tout a commencé Or et poussière Victoria Station, un palais ferroviaire et populaire Bombay, plus Bollywood que Bénarès ! Fiche pratique Bombay ou Mumbai (marathi : मुंबई (mumbaī)) est la capitale de l'État indien du Maharashtra. La métropole compte 12 478 447 habitants en 2011. Ville d'Inde la plus peuplée, elle forme avec ses villes satellites de Navi Mumbai, Bhiwandi, Kalyan, Ulhasnagar et Thane, une agglomération de 18 414 288 habitants, soit la cinquième plus peuplée au monde. Bombay est la capitale commerciale de l'Inde. Elle produit 5 % du PIB5 et son activité représente 25 % de la production industrielle, 40 % du commerce maritime et 70 % des transactions de capitaux de l'économie indienne. Mumbai compte parmi les dix plus importantes plates-formes financières mondiales par l'importance des flux de capitaux6; elle abrite la Banque de réserve indienne, la Bourse de Bombay, la Bourse nationale d'Inde et les sièges sociaux de nombreuses sociétés indiennes et multinationales. L’importance économique de Mumbai ainsi que son haut niveau de vie en comparaison avec le reste de l’Inde attirent des migrants de toutes les régions du pays, qui assurent à la ville une intense diversité sociale et culturelle. Bombay abrite en outre une des plus grandes industries cinématographiques du monde, appelée Bollywood, en référence au cinéma hindi.
Ce commentaire a été modifié le 10/07/2018 à 15:09
Tour de France : découvrez nos plus belles photos vintage de 1930 à 1955. ( 1/2 suite demain ) Replongez-vous dans l’histoire du Tour d’antan, ses joies, ses souffrances et ses champions au travers de nos images d’archives.
Le peloton quitte Bordeaux en direction des Charentes dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Les coureurs traversent la plaine de la Crau en direction de Nîmes dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Le peloton sur les routes de Provence dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Ascension d’une route de montagne dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Ascension d’une route de montagne dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Coureur au milieu de la foule à l’approche d’un col dans les années 1930. Photo Sud Ouest
Ascension d’une route de montagne dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Le peloton à l’assaut du massif de l’Isoard dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Ascension en solitaire d’une route de montagne enneigée dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Roger Lapébie (en 2ème position avec des lunettes noires) en 1937. Archives Sud Ouest
Roger Lapébie en tête dans le Tour de France 1937. Archives Sud Ouest
Portrait du champion Roger Lapébie en 1937. Archives Sud Ouest
L’Italien Gino Bartali, maillot jaune, gravit le Tourmalet devant le Belge Félicien Vervaecke en 1938. Archives Sud Ouest
Gino Bartali dans le Tour en 1938. Notez l’inscription "ne poussez-pas" à destination du public sur la voiture ! Archives Sud Ouest
Gino Bartali franchit le col du Tourmalet en tête en 1938. Archives Sud Ouest
Le Belge Félicien Vervaecke vient d’être lâché par Bartali sur les pentes du Tourmalet en 1938. Archives Sud Ouest
1/2 , suite demain .
Ce commentaire a été modifié le 10/07/2018 à 14:57
Magnifique photographie prise par Torsten Muehlbacher avec un Canon EOS 5D Mark II où l’on découvre le magnifique lac de Gruber en forme de coeur situé dans les Alpes au niveau du Tyrol.
Le Tyrol est une région alpine d’Europe centrale.
Le Tyrol s’étend sur la chaîne des Alpes. Il est traversé par l’Inn, qui se jette ensuite dans le Danube.
Lorsque les nuages dansent avec les lavandes. Elle a plusieurs couleurs. Elle se colore de bleu, de parme à des teintes améthystes, selon les variétés. Les couleurs peuvent être très intenses.....Cela dépend de la lumière, les nuages, le soleil, l'heure de la journée, la couleur de la terre.
En parcourant le plateau de Valensole, du matin au soir, on ne les vois jamais de la même couleur. C'est un renouvellement chaque jour, encore et toujours.
La Lavande
Plus d'excuse, avec cette carte des Routes de la Lavande vous saurez tout sur les dates de floraison 2018
les champs de lavande victimes d'incivilités
Il n'est pas interdit de faire des photos dans les champs de lavande, mais il faut veiller à respecter le lieu.
Chaque année, de nombreux touristes viennent admirer les champs de lavandes duplateau de Valensole. Mais les incivilités se multiplient, au grand dam des propriétaires de domaines.
les plages bretonnes : un goût de paradis / © Tourismebretagne
C'est la question de l'été ! Où poser sa serviette en Bretagne pour faire bronzette ou se vider la tête ?
Pour vous aider dans ce choix cornélien,nous vous proposons cinq plages réparties sur les côtes nord et sud.
Cinq lieux magiques, cinq ambiances différentes qui contenteront tous les goûts.
Par Robin Durand Publié le 10/07/2018.
La plus romantique
Vous êtes un adepte des couchers de soleil alors n'hésitez pas. La plage de Guerzido sur l'île de Bréhat est faite pour vous. Une des seules plages costarmoricaines exposée sud. Devant un archipel d'îlots roses, bordée d'agapanthes, elle offre un cadre très romantique. Pour rester seul(e) en bonne compagnie après le départ des bateaux touristiques.
plage de Guerzido à Bréhat (22) / © tourismebretagne
La plus insolite.
Si vous faites escale sur l'île de Groix dans le Morbihan, la plage des Grands Sables vaut le détour. Accessible par le sentier côtier, immense, elle a la particularité d'être la seule plage convexe d'Europe. Elle se déplace également vers le nord d’environ 10 mètres par an ! Ce qui fait que vousne reviendrez pas tout à fait au même endroit l’année suivante.
plage des Grands Sables à Groix (56) / © tourismebretagne
La plus écolo-sportive.
Une fois passé le Conquet, prolongez vers la côte nord du Finistère et arrêtez vous sur la plage des Blancs Sablons. Exposée aux vents, cette immense plage s'étend sur 2,5 kilomètres. Bien fournie en vagues, c'est un excellent spot pour s'initier ou se
perfectionner au surf. Sauvage, le lieu est aussi propice à la baignade et à la pêche à pied.
plage des Blancs Sablons au Conquet (29), un formidable spot pour la glisse / © tourismebretagne
La plus exotique.
Vous avez envie de sable blond, fin et d'eaux turquoises. La Polynésie vous tend les bras à quelques encablures de Concarneau et de Fouesnant. Il suffit de rejoindre l’archipel des Glénan, et de fouler sa plage de Saint-Nicolas. Vous y trouverez un goût de paradis. A une différence près : la température de l'eau.
le sable blond et l'eau turquoise des Glénan (29) / © tourismebretagne
La plus chic.
La plage de la petite Salinette de Saint-Briac-sur Mer est l’une des plages les plus authentiques de la Côte d’Émeraude. Bordée par des cabines de bains blanches et le château de Nessay, elle garantit une petite ambiance rétro. Un lieu prisée par les familles où
flotte le charme discret de la " Bourgeoisie".
plage de la petite Salinette à Saint-Briac-sur-mer (35) / © tourisme bretagne
Toutes Les Glaces...En Antarctique...
Dossiers >
Environnement
Changements climatiques Tout sur les changements climatiques »
Agence France-Presse Washington
Brûler toutes les réserves disponibles de charbon, de gaz et de pétrole de la planète ferait fondre entièrement les glaces de l'Antarctique et monter le niveau des océans de plus de 50 mètres, selon une étude publiée vendredi.
« Si nous brûlions toutes les énergies fossiles exploitables cela ferait disparaître les glaces antarctiques et entraînerait à long terme...Une montée du niveau des océans sans précédent dans l'histoire de l'humanité »,estime Ricarda Winkelmann, une chercheuse du Potsdam Institute for Climate Impact Research en Allemagne, principal auteur de cette étude parue dans la revue américaine.
Science Advance
« Un tel scénario ne se produirait pas rapidement mais ces travaux montrent que par nos activités aujourd'hui nous sommes en train de bouleverser notre planète, et ce pour des dizaines de milliers d'années », ajoute-t-elle.
« Si nous voulons éviter un tel scénario, nous devons laisser le charbon, legaz naturel et le pétrole dans le sol », insiste la scientifique.
Selon elle, le risque à long terme s'accroît avec chaque dixième de degré de réchauffement de la Terre.
Si l'on en croit les dernières estimations, la contribution des glaces de l'Antarctique à la montée des océans dans le futur se limitera probablement à quelques mètres si le réchauffement planétaire n'excède pas 2 degrés Celsius par rapport à la période pré-industrielle.
Dépasser ce seuil, finirait par déstabiliser les glaces de l'ouest et de l'est de l'Antarctique, ce qui provoquerait une élévation du niveau des océanset dévasterait les régions côtières partout sur le globe et ce pendant des millénaires.
Des villes comme Tokyo, Hong Kong, Shanghai, Calcutta, Hambourg ou New York seraient alors affectées.
« Le fait d'utiliser de plus en plus d'énergies fossiles accroît le risque de déclencher des changements que nous ne pourrions peut-être pas arrêter ou inverser à l'avenir », met en garde Anders Levermann, de l'Institut Potsdam, co-auteur de ces travaux.
« La fonte des glaces de l'Antarctique occidental a peut-être déjà franchi un point de non-retour », selon lui.
Brûler toutes les réserves accessibles de charbon, de pétrole et de gaz naturel entraînerait des émissions de CO2 (dioxyde de carbone) d'environ 10 000 milliards de tonnes, ont calculé ces chercheurs.
Basé sur les simulations d'émissions carboniques dans cette recherche,l'Antarctique perdrait de la glace pendant au moins les prochains 10 000ans, ce qui ferait monter les océans jusqu'à trois mètres par siècle pendant le premier millénaire.
Outre l'impact du réchauffement de l'atmosphère et des océans sur la fonte des glaces de l'Antarctique, ces simulations prennent également en compte d'autres phénomènes, comme un accroissement des chutes de neige dû à la montée de la température du globe, qui pourraient en partie minimiser les pertes de la banquise.
Actuellement, l'Antarctique contribue pour moins de 10 % à l'élévation des océans, ce qui en fait un contributeur mineur comparé au phénomène de dilatation thermique des océans sous l'effet du réchauffement ainsi qu'à la fonte des glaciers des montagnes, relèvent les scientifiques.
L’artiste Clément Valla a remarqué que sur le logiciel Google Earth les ponts souffrent d’un petit bug dans la vue 3D, le programme se base sur l’altitude du sol pour créer le relief mais ne repère pas les ponts qui se retrouvent donc
à coller au sol.
Il s’est donc mis à la recherche de ponts pour réaliser cette série de captures d’écrans, allez sur son site pour en voir plus, ainsi que d’autres expérimentations numériques.
Située à 30 km de Saint-Pétersbourg , la petite ville de Pouchkine a été nommée ainsi en l'honneur du célèbre poète et romancier Russe Alexandre Pouchkine [poète et romancier russe 1799-1837.
Appelée jadis "Tsarskoe Selo", Hameau de Tsar, on peut y admirer l'une des plus belles résidences impériales : le palais Ekaterininsky, dédié à Catherine 1ère [1684-1727], épouse de Pierre le Grand, fondateur de Saint-Pétersbourg.
Coupoles de l'église Palatine
Le palais de Catherine est surtout lié aux noms de deux impératrices : Catherine la grande, 2ème épouse du tsar Pierre 1er, qui devint impératrice [1725-1727] après la mort de son époux et d'Élisabeth Petrovna, fille de cette dernière et de Pierre le grand [1709-1762], elle fut impératrice de Russie pendant 21 ans [1741-1762]
Catherine 1ère obtint le Hameau de Tsar en 1711; elle y fit construire un petit palais d'été. A la mort de l'impératrice, la résidence d'été revint à sa fille Elisabeth 1ère qui yfit construire un palais plus somptueux que le précédent en l'honneur de sa mère [le palais de Catherine]
Sous le règne d'Elisabeth 1ère [1742-1762] le palais s'améliora considérablement et devint l'un des joyaux de la Russie
La salle de bal
L'intérieur du palais est magnifique ; le visiteur est rempli d'une sensation de grandeur et de solennité devant un tel ruissellement de dorures.
Richement décoré avec beaucoup de goût avec ses multiples miroirs et la profusion des éléments dorés, ses rideaux vénitiens, l'intérieur du palais est splendide.
La table des douceurs
Au cours du règne de Catherine II [1729-1796] [impératrice de 1762-1796], qui en fit aussi sa principale résidence d'été, des nouveaux embellissements intérieurs apparurent dans le palais
Ce magnifique palais doit sa beauté aux règnes de trois impératrices qui ont su rendre brillante cette résidence d'été.
Le parc du palais vaut aussi le détour.( ce sera pour demain ).
Jusqu’au milieu des années 1800 la médecine était dominée d’abord par la théorie des théories des humeurs, puis, par celle des miasmes, l’idée que les maladies sont propagées par un mystérieux « mauvais air » nocif.
Si quelques indices auraient pu mettre les scientifiques sur la bonne voieplus tôt, c’est à partir de 1847 que des découvertes s’enchaînent très rapidement pour amener à la compréhension du fonctionnement des microbes.
Le docteur John Snow, inspiré par son expérience clinique, évoque dès 1849 l’idée que les maladies se transmettraient par l’ingestion d’un « poison » et soupçonnel’eau de jouer un rôle important.
En 1854, alors qu’une épidémie de Choléra fait rage à Londres dans le quartier de Soho, il a l’idée révolutionnaire d’en faire une analyse statistique en prenant un plan et en notant dessus le lieu de résidence ou de travail des 578 victimes grâce à des barres noires perpendiculaires aux rues.
En regardant le plan, il s’est aperçu que le nombre de décès augmentait au fur et à mesure qu’on se rapprochait d’une pompe à eau publique située dans la Broad Street², identifiant ainsi la source de la contamination.
Une fois cette découverte faite il a enlevé le manche de la pompe et l’épidémie s’est éteinte dans la foulée.
Pendant longtemps on a cru que cette intervention en était la cause, mais avec les connaissances modernes on pense que la maladie avait de toute façon déjà atteint son pic et qu’elle aurait décliné naturellement de toute façon.
Le révérend Henry Whitehead confirma par la suite malgré lui que la pompe était la source de la contamination.
Persuadé que la théorie des miasmes était vraie il voulait prouver l’erreur de John Snow, mais ses investigations prouvèrent au contraire que le forage de la pompe passait à moins d’un mètre d’un puisard dans lequel on avait jeté l’eau sale ayant servie à laver la couche d’un bébé qui avait attrapé le Choléra ailleurs.
Avec ces travaux John Snow est un grand contributeur à la compréhension des microbes et est le père fondateur de l’épidémiologie.
Cette technique de cartographie statistique est encore utilisée de nos jours pour identifier le point d’origine des épidémies comme celle d’Ebola en Afrique ou du Choléra à Haïti.
Une anecdote amusante est que si vous regardez la carte attentivement vous pourrez constater une anomalie. Juste à côté de la fameuse pompe se trouve une brasserie où il n’y a eu aucune victime.
C’est dû au fait que les travailleurs avaient droit tous les jours à une ration de bière gratuite donc ils n’avaient pas besoin de boire de l’eau de la pompe à côté et en plus le processus de fermentation tue lesbactéries de Choléra.
En hommage à John Snow il y a de nos jours une statue de pompe sans mancheet un pub qui porte son nom à l’emplacement² original.
2- Les nom des rues a changé, maintenant elle serait à l’intersection de Broadwick Street et Lexington Street.
CLIC.....................[TIMELAPSE] India within - Mumbai & Bangalore from Pierre OGERON on Vimeo.
Source - Bangalore Est Le Silicon Valley De L' Inde
Bangalore, à la fois la « ville aux jardins » et la « Silicon Valley indienne », et appelée officiellement Negaluru, abrite la plus forte concentration d'entreprises informatiques du pays.
C'est le paradis des geeks. Lorsque vous n'aurez plus les yeux rivés sur les écrans d'ordinateur, ne manquez pas ses jardins, nombreux musées, merveilles naturelles palaces et temples.
Partez ensuite à la découverte de Vidhana Soudha, du parc Cubbon et du lac Ulsoor de Bangalore, réputé pour son cadre magique et ses installations de navigation...
Bangalore est aussi un haut lieu des musiques et danses indiennes. Et vous pourrez apprécier une vie nocturne pleine d'effervescence !
Source - Mumbai, Ville De La côte Ouest De L'Inde -
Mumbai (anciennement Bombay) est une ville densément peuplée qui se trouve surla côte ouest de l'Inde. Ce centre financier est la plus grande ville du pays.
Sur le front de mer du port de Mumbai, la Porte de l'Inde est une arche en pierre emblématique qui a été construite en 1924, sous le Raj britannique.
Au large, l'île voisine d'Éléphanta comporte des temples anciens creusés dans la roche et dédiés au dieu hindou Shiva.
La ville est également célèbre en tant que centre de l'industrie cinématographique du pays avec Bollywood.
District : Mumbai-Ville; Mumbai-Banlieue
15 millions d’habitants, peut-être 20… Bombay, aujourd’hui Mumbai, est une ville-monstre, la plus grande mégalopole indienne, mais aussi la capitale commerciale, industrielle et financière du pays.
En perpétuelle croissance, cette ville à la circulation infernale offre un saisissant instantané des réalités de l’Inde contemporaine...
Dans toute sa diversité et ses contrastes, notamment sociaux. Ici, la richesse la plus rutilante côtoie la misère des plus grands bidonvilles d’Asie.
Une ville hors norme, un choc permanent et un maelström déroutant : fascinante ou effrayante, Mumbai reste une expérience marquante d’un voyage en Inde.
Une « ville maximum », comme l’a si bien surnommée l’écrivain Suketu Mehta dans son chef-d’œuvre
Bombay Maximum City
Sommaire
Intro
Mumbai, en perpétuel mouvement
Ville de contrastes extrêmes
Colaba, où tout a commencé
Or et poussière
Victoria Station, un palais ferroviaire et populaire
Bombay, plus Bollywood que Bénarès !
Fiche pratique
Bombay ou Mumbai (marathi : मुंबई (mumbaī)) est la capitale de l'État indien du Maharashtra. La métropole compte 12 478 447 habitants en 2011.
Ville d'Inde la plus peuplée, elle forme avec ses villes satellites de Navi Mumbai, Bhiwandi, Kalyan, Ulhasnagar et Thane, une agglomération de 18 414 288 habitants, soit la cinquième plus peuplée au monde.
Bombay est la capitale commerciale de l'Inde. Elle produit 5 % du PIB5 et son activité représente 25 % de la production industrielle, 40 % du commerce maritime et 70 % des transactions de capitaux de l'économie indienne.
Mumbai compte parmi les dix plus importantes plates-formes financières mondiales par l'importance des flux de capitaux6; elle abrite la Banque de réserve indienne, la Bourse de Bombay, la Bourse nationale d'Inde et les sièges sociaux de nombreuses sociétés indiennes et multinationales.
L’importance économique de Mumbai ainsi que son haut niveau de vie en comparaison avec le reste de l’Inde attirent des migrants de toutes les régions du pays, qui assurent à la ville une intense diversité sociale et culturelle.
Bombay abrite en outre une des plus grandes industries cinématographiques du monde, appelée Bollywood, en référence au cinéma hindi.
Tous les enfants et leur coach sont sortis de la grotte.
Replongez-vous dans l’histoire du Tour d’antan, ses joies, ses souffrances et ses champions au travers de nos images d’archives.
Le peloton quitte Bordeaux en direction des Charentes dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Les coureurs traversent la plaine de la Crau en direction de Nîmes dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Le peloton sur les routes de Provence dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Ascension d’une route de montagne dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Ascension d’une route de montagne dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Coureur au milieu de la foule à l’approche d’un col dans les années 1930. Photo Sud Ouest
Ascension d’une route de montagne dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Le peloton à l’assaut du massif de l’Isoard dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Ascension en solitaire d’une route de montagne enneigée dans les années 1930. Archives Sud Ouest
Roger Lapébie (en 2ème position avec des lunettes noires) en 1937. Archives Sud Ouest
Roger Lapébie en tête dans le Tour de France 1937. Archives Sud Ouest
Portrait du champion Roger Lapébie en 1937. Archives Sud Ouest
L’Italien Gino Bartali, maillot jaune, gravit le Tourmalet devant le Belge Félicien Vervaecke en 1938. Archives Sud Ouest
Gino Bartali dans le Tour en 1938. Notez l’inscription "ne poussez-pas" à destination du public sur la voiture ! Archives Sud Ouest
Gino Bartali franchit le col du Tourmalet en tête en 1938. Archives Sud Ouest
Le Belge Félicien Vervaecke vient d’être lâché par Bartali sur les pentes du Tourmalet en 1938. Archives Sud Ouest
1/2 , suite demain .