Un chercheur a jeté un pavé dans la mare en affirmant qu’une bonne partie des résultats des études scientifiques étaient biaisés. Il y a quelques années, deux chercheurs ont sélectionné les 50 ingrédientsles plus utilisés dans un livre de recettes et regardé combien avaient été associés à un risque ou à un bénéfice face au cancer, dans diverses études publiées dans les revues scientifiques. La réponse: 40 sur 50, une liste incluant sel, farine, persil et même le sucre. «Tout ce que nous mangeons est-il lié au cancer ?» se sont-ils ensuite demandé, non sans ironie, dans leur article publié en 2013. Leur question touche à un problème connu mais persistant dans le monde de larecherche: trop d’études utilisent des échantillons trop petits pour aboutir à des conclusions généralisables. Mais la pression pesant sur les chercheurs, la concurrence entre les revues et l’appétit insatiable des médias pour des études annonçant révolutions ou découvertes majeures, fait que ces articles continuent d’être publiés. Difficile de généraliser. «La majorité des articles publiés, même dans les revues sérieuses, sont mauvais», dit à l’AFP l’un des auteurs, John Ioannidis, professeur de médecine à Stanford, de facto spécialisé dans l’étude des études. Ce pourfendeur de la mauvaise recherche scientifique a démontré en 2005 dans un article retentissant «Pourquoi la plupart des études publiées sont fausses». Depuis, dit-il, seuls quelques progrès ont été faits. Quelques revues exigent que les auteurs fournissent leurs données brutes et publient préalablement leur protocole. Cette transparence permet d’éviter que les chercheurs triturent leurs méthodes et données afin de trouver un résultat, quel qu’il soit. Elles permettent à d’autres de vérifier ou «répliquer» l’étude. Car lorsqu’elles sont refaites, les expériences aboutissent rarement aux mêmes résultats. Seul un tiers de 100 études publiées dans les trois revues de psychologie les plus prestigieuses ont pu être reproduites par des chercheurs, lors d’une analyse publiée en 2015. La médecine, l’épidémiologie, les essais cliniques de médicaments et… les études sur la nutrition ne font guère mieux, insiste John Ioannidis, notamment lors de réplications. «Dans les sciences biomédicales et ailleurs, les scientifiques n’ont qu’une formation superficielle en statistiques et en méthodologie», ajoute John Ioannidis. Trop d’études portent sur seulement quelques individus, empêchant de généraliser à une population entière, car les participants retenus ont peu de chance d’être représentatifs. Transparence? «Le régime alimentaire est l’un des domaines les plus consternants», continue le professeur Ioannidis, et pas seulement à cause des conflits d’intérêts avec l’industrie agroalimentaire. Les chercheurs partent souvent en quête de corrélations dans d’immenses bases de données, sans hypothèse de départ. En outre, «mesurer un régime alimentaire est extrêmement difficile», explique-t-il. Comment quantifier exactement ce que les gens mangent? Même quand la méthode est bonne, avec une étude où les participants sont choisis aléatoirement, l’exécution laisse parfois à désirer.Une célèbre étude de 2013 sur les bienfaits du régime méditerranéen contre les maladies du coeur a dû être retirée en juin par la plus prestigieusedes revues médicales, le New England Journal of Medicine, car les participants n’avaient pas tous été recrutés aléatoirement; les résultats ont été revus à la baisse. Alors que retenir dans le flot d’études publiées chaque jour? John Ioannidis recommande de se poser les questions suivantes: telle étude est-elle isolée, ou renforce-t-elle des travaux existants ? L’échantillon est-il petit ou grand ? Est-ce une expérience randomisée? Qui l’a financée? Les chercheurs sont-ils transparents? Café et vin rouge. Ces précautions sont fondamentales en médecine, où les mauvaises études contribuent à l’adoption de traitements au mieux inefficaces, et au pirenéfastes. Dans leur livre «Ending Medical Reversal», Vinayak Prasad et Adam Cifu égrènent des exemples terrifiants de pratiques adoptées sur la base d’études qui ont été invalidées des années après, comme la pose de stents (mini prothèses) dans une artère du cerveau pour réduire le risque d’accident vasculaire cérébral. Ce n’est qu’au bout de dix ans qu’une étude rigoureuse a montré que la pratique… augmentait en fait le risque d’AVC. La solution passe par le resserrement collectif des critères de l’ensemble des acteurs de la recherche, et pas seulement les revues: universités, agences de financement public, laboratoires… Mais ces institutions sont toutes soumises à la concurrence.«Le système n’incite pas les gens à aller dans la bonne direction», dit à l’AFP Ivan Oransky, journaliste cofondateur du site Retraction Watch, qui couvre les retraits d’articles scientifiques. «Nous voulons développer une culture où on récompense la transparence». Le problème vient aussi des médias, qui doivent selon lui mieux expliquer à leurs lecteurs les incertitudes inhérentes à la recherche scientifique,et résister au sensationnalisme. «Le problème, c’est la succession sansfin d’études sur le café, le chocolat et le vin rouge», se plaint-il. «Il faut qu’on arrête».
Une fondation met aux enchères une nuit dans la cellule de Mandela (vidéo) Pour financer un poramed’aide aux détenus, rien de plus logique que de mettre aux enchères une nuit dans l’une des plus célèbres cellules du monde… celle qu’a occupé l’icône sud-africaine de la lutte contre l’apartheid Nelson Mandela. C’est le pari qu’a lancé le mouvement CEO Sleepout, qui s’est fait un nom en vendant aux plus offrants des PDG et milliardaires de la planète des nuits dans des endroits insolites pour financer des bonnes œuvres au profit des plus pauvres. « Aucune enchère de ce type n’a jamais eu lieu en Afrique du Sud », trompette la fondation sur son site internet. « Le plus offrant gagnera l’honneur de passer une nuit à l’intérieur de l’historique cellule numéro 7, où Mandela a passé dix-huit ans », poursuit fièrement CEE Sleepout. Situé sur l’île de Robben Island, au large de la ville du Cap, ce carré de béton froid de 2,4 sur 2,1 m où a croupi le premier président noir de l’histoire de l’Afrique du Sud (1994-1999) est l’une des geôles les pluscélèbres du monde. Classée au patrimoine mondial de l’Unesco, la prison-musée est visitée chaque année par plus de 300.000 personnes. Après avoir fait dormi en 2016 des patrons sous un pont de Johannesburg en faveur des sans-abris, la fondation a choisi cette année de créer l’événement autour du 100e anniversaire de la naissance de Nelson Mandela, le 18 juillet prochain. La nuit dans son fameux cachot – le 18 donc – a été mise à prix à 250.000 dollars et, selon CEO Sleepout, les enchères sur internet sont déjà montées à 300.000 dollars. Le nom de l’heureux pensionnaire doit être annoncé à leur clôture le 16 juillet. Les fonds collectés lors de cette opération serviront à « financer le projet +de la prison à l’université+ (…) qui permet d’améliorer l’éducation des détenus sud-africains », a expliqué une porte-parole de la fondation, Liane McGowan. La direction du musée de Robben Island n’a pu être jointe. La fondation Nelson Mandela a quant à elle indiqué à l’AFP être étrangère à l’initiative de CEO Sleepout et qu’elle ne pouvait être tenue pour responsable de l’utilisation de la cellule. (Source : AFP)
Ce commentaire a été modifié le 06/07/2018 à 10:38
IASI : prévoir la météo mais aussi améliorer l’étude du climat (vidéo) Le dispositif IASI (Interféromètre Atmosphérique de Sondage Infrarouge) est un ensemble de trois instruments de sondage embarqués à bord de satellites météorologiques. METOP A lancé en octobre 2006, METOP B, lancé en septembre 2012 puis METOP C,dont le lancement est prévu pour octobre 2018. Fruit de la coopération entre le CNES et Eumetsat, IASI combine la mesure de la température et de l’humidité deux fois par jour en tous points du globe et la mesure dela présence et des concentrations d’une vingtaine de gaz. Ces données permettent la vérification et l’amélioration des modèles de prévision climatiques et météorologiques, une meilleure compréhension denombreux phénomènes climatiques et atmosphériques (réchauffement, état de la couche d’ozone…), l’étude et la gestion des émissions de polluants(d’origine agricole ou industrielle) et le lancement d’alertes adaptéesen cas de fortes concentrations de gaz (éruptions volcaniques, catastrophes, pollution…)
Une cité des morts près du village de Dargavs en Ossétie du Nord. Située en bordure du village de Dargavs, dans la république d’Ossétie du Nord, en Russie , se trouve un cimetière (ou une nécropole) antique. Dargavs est souvent appelée la « cité des morts ». Celle-ci est impressionnante en raison du grand nombre de mausolées et de son cadre absolument magnifique. Le cimetière est situé sur le versant d’une colline surplombant la vallée verdoyante de la rivière Fiagdon, avec plusieurs falaises et des pics à 4000 mètres qui se profilent au-dessus.
Le cimetière compte près de 100 anciennes cryptes de pierre (99 pour être précis) dans lesquelles les gens qui vivaient dans la vallée ont enterrés leurs proches ainsi que leurs vêtements et effets personnels. Les tombes sont en forme de huttes aux toits incurvés vers l’intérieur en plusieurs couches, avec un pic pointu au sommet, typique de l’architecture Nakh. Certaines de ces cryptes sont hautes de 2 à 4 étages.
Les petites cryptes présentent des façades plates sur le devant et l’arrière mais les côtés sont courbés vers l’intérieur et les plus petites d’entre elles n’ont pas du tout de toiture. Les murs sont en pierre et cimentés le plus sauvent à la chaux. Les murs possèdent une ouverture carrée permettant d’y faire passer les cadavres.
Les premières traces de la Cité des Morts remonte au début du 14ème siècle. Les ancêtres des Ossètes se sont installés sur les cinq chaînes de montagnes, mais la terre était si chère qu’ils ont été obligés de choisir l’endroit le plus venteux et le plus escarpé pour construire leur cimetière.
Il y a beaucoup de mythes et de légendes entourant le lieu. Dans le passé, les locaux essayaient d’éviter d’aller dans la cité des morts car on croyait que toute personne qui osait marcher là n’en sortirait jamais vivant. Même aujourd’hui, il n’y a presque pas de touristes dans les environs, bien que cela soit dû à la difficulté d’y venir plutôt qu’à la malédiction.
Selon une légende, la peste a ravagé l’Ossétie au 17ème siècle. Pour s’isoler du village, les victimes se sont volontairement mises en quarantaine à l’intérieur des murs de ces huttes en attendant patiemment leur sort. Ils ont survécu grâce à de maigres rations de pain apportées par les sympathiques habitants. Quand ils sont morts, leurs cadavres ont été laissés là à pourrir à l’intérieur des huttes.
Il est assez difficile de se rendre à Dargavs. Cela prend 3h depuis Vladikavkaz pour s’y rendre sur des routes étroites et escarpées. Le village se trouve juste au nord de la frontière entre la Russie et la Géorgie.
Ce commentaire a été modifié le 05/07/2018 à 21:10
A l'origine, c'est un gâteau Le gâteau à la crème Chantilly, nommé « meringue », a été crée en 1720, à Mehringhen, petite ville du Duché de Saxe-Cobourg-Gotha, par un nommé CASPARINI, d'origine suisse et qui lui donna le nom de cette ville. On les appela Mehringhen jusqu'en 1804, ou l'Académie enleva les deux «hh» Les premières meringues à la crème furent servies en France (après avoir parcouru l'Allemagne), au Roi Stanislas, à Nancy. Plus tard, on fit des vacherins au château de Versailles, et la Reine Marie Antoinette, habillée en paysanne, fouettait la crème ; les meringues montées, couchées à la cuillère et collées l'une contre l'autre, comme aujourd'hui, étant garnies Sous l'Empire, Carême imagina les grosses meringues montées, couchées en couronne au sac en papier, et vers 1845, époque ou les douilles, poches et cornes parurent, la Maison PICHE ET THOMAS-MAGNAN se mirent à faire la meringue suisse et en gardèrent le secret quelques années, car c'était bien trouvé et difficile à faire. C'était un nommé Louis TRUTTE, chef, Maison PICHE, qui les faisait. Que d'essais a-t-il fallu pour commencer à réussir ce gâteau, le coucher, le poudrer, le cuire, sécher, creuser, recoller, masquer, décorer et ressécher, nous faisons cela sans penser à ce que ces gâteaux ont donné de mal à ces chercheurs. L'on commença à faire les fouets avec des tiges de bruyère, bien avant TAILLEVENT, car les anciens fouettaient de la crème qu'ils mélangeant avec le miel, au temps de Périclès ; après on les fit avec des genets, puis l'osier ; le tout blanchi, et le règne de LOUIS XIV trouva le buis, dont on faisait bouillir les branches que l'on épluchait ; cela dura jusqu'en 1860, époque ou on les délaissa pour se servir des fouets en fil de fer, mais c'est encore le buis qui a donné le plus beaux blancs sans les assommer comme le font nos fouets en fil de fer
Un bulletin météorologique a été télédiffusé pour la première fois en France le mardi 17 décembre 1946 au cours du Téléjournal. Il était présenté par Paul Douchy, prévisionniste à la Météorologie Nationale La France était l'un des premiers pays au monde à utiliser la télévision de façon régulière pour montrer et expliquer au public une situation météorologique. Les Etats-Unis le faisaient certes depuis 1941, mais sur la BBC anglaise, la météo n'est apparue qu'en 1954. Ces bulletins télévisés sont devenus quotidiens en 1958 et n'ont cessé, depuis, de se moderniser et de gagner en audience. Ils étaient systématiquement présentés par des ingénieurs de la Météorologie Nationale, dont le célèbre Guy Larivière, photographié ci-dessous devant sa carte sur l'ORTF en 1973. Le 15 juin 1978, pour la première fois, les prévisions ont été présentées par un jeune journaliste à la fin du journal de Patrick Poivre d'Arvor sur Antenne 2 : Laurent Broomead. A partir de 1981, Alain Gillot-Pétré lui succédera avec talent et contribuera grandement à moderniser et à vulgariser les bulletins. Toutes les chaînes historiques suivirent le mouvement et TF1 proposa même une émission quotidienne entièrement consacrée à la météo : Météo Première.
Même si elle n'assurait plus la présentation, la Météorologie Nationale, devenue "Météo-France", est restée l'unique prestataire des grandes chaînes nationales historiques jusqu'en 2013. Il faut dire qu'en France comme en Europe, les instituts météorologiques nationaux bénéficiaient d'une situation de monopole jusqu'en 1987, année à partir de laquelle s'est développée la première entreprise privée aux Pays-Bas (Meteo-consult, devenu Meteogroup) et en France (société du même nom mais n'ayant rien à voir avec la précédente). Dans les années 90, la météorologie privée s'est exportée dans d'autres pays (en Allemagne, Belgique, Suisse et au Royaume-Uni), ces entreprises gagnant notamment des parts de marché substantielles dans le domaine de la météo marine. Notez également que Chaîne météo émet sur le câble et le satellite depuis le 21 juin 1995.
Les années 2000 ont amplifié le mouvement et de grands groupes ont progressivement ouvert des bureaux en France ces dernières années, gagnant de nouveaux marchés en presse écrite. C'est auprès de ces derniers que France-Télévisions, contraint de faire des économies, recueillera ses informations météo à partir du 1er janvier 2014. Seuls les bulletins météo régionaux et d'Outre-Mer seront encore établis à partir des informations de Météo-France. Une page se tourne pour les grands médias.
Sinon, le fait que Météo-France n'aie plus le monopole des prévisions météo dans les médias ne date pas d'aujourd'hui. D'autres chaînes comme M6 et Canal+ se fournissent auprès de prestataires privés depuis longtemps. Et les bulletins météo de la presse-papier sont au moins pour la moitié d'entre-eux réalisés par des entreprises privées.
Les filles des Ziegfeld Follies dans les années 1920 Les Ziegfield Follies c'est l'équivalent des Folies Bergères mais à New York, ce cabaret a vu passer de nombreux acteurs et danseuses, appelées les Ziegfeld Girls, qui deviendront parfois par la suite des stars. L'histoire de ce cabaret a été adapté au cinéma en 1936 avec le film « Le Grand Ziegfeld » qui remportât plusieurs oscars ainsi qu'en 1946 avec « Ziegfeld Follies Les Follies étaient des revues somptueuses, un mélange des futurs spectacles de Broadway et un spectacle-variété de Vaudeville plus raffiné. Plusieurs des meilleurs comédiens de l'époque (incluant Eddie Cantor, Fanny Brice, Bert Williams, Will Rogers, Ruth Etting, Helen Morgan, Marilyn Miller, W.C. Fields, Ed Wynn, Nora Bayes, et d'autres) sont apparus dans le spectacle. Les Ziegfeld Follies sont aussi réputées pour leurs magnifiques danseuses de cabaret connues sous le nom de Ziegfeld girls (qui, au fil des années, a vu dans ses rangs de futures stars comme Marilyn Miller, Marion Davies, Mae Murray, Paulette Goddard, Joan Blondell, Nita Naldi, Dorothy Mackaill, Eve Arden, Billie Dove, Gilda Gray, Barbara Stanwyck, Cyd Charisse et Louise Brooks. (Norma Shearer and Alice Faye furent refusées, n'étant pas "à niveau"). Les filles portaient habituellement des costumes raffinés du styliste Erté, qui pouvaient devenir le sujet de conversation principal du théâtre de Broadway les jours qui suivaient. Après la mort de Ziegfeld, sa veuve Billie Burke autorisa l'usage de son nom pour les Ziegfeld Follies en 1934 et en 1936. Le nom fut, plus tard, utilisé par des promoteurs de New York, Philadelphie et encore à Broadway, mais sans relations précises avec les Follies originales. Ces derniers efforts furent un désastre. Quand plus tard elle voyagea, l'édition de 1934 fut enregistrée dans sa totalité, depuis l'ouverture jusqu'à sa clôture, sur des disques 78 tours, qui furent édités par le producteur David Cunard afin de former un album des meilleurs moments de la production. Cet album est sorti en 1997 sur CD. Le vainqueur de l'oscar du meilleur film en 1936 était Le Grand Ziegfeld, avec William Powell en premier rôle et Myrna Loy à ses côtés (en tant que seconde femme de Ziegfeld, Billie Burke), Luise Rainer (Anna Held, qui gagna l'oscar de la meilleure actrice) et Frank Morgan (le rival). Le film donne un aperçu de ce que les Follies étaient réellement. Il y a eu aussi en 1946 un film intitulé Ziegfeld Follies, avec notamment Fred Astaire, Judy Garland, Lena Horne, William Powell, Gene Kelly, Fanny Brice, Red Skelton, Esther Williams, Cyd Charisse, Lucille Ball et Kathryn Grayson, qui montre des chansons et des spectacles similaires à ceux des Follies
Robert Mickelsen Maitre Verrier et Perles au chalumeau Automatique ...
Robert Mickelsen est né en 1951 à Fort Belvoir, en Virginie et a grandi à Honolulu, Hawaii. Il fait son apprentissage avec un professionnel du verre pendant deux ans dans le milieu des années soixante. Il a ensuite vendu ses propres oeuvres dans des foires d'artisanat en plein air pendant dix ans.
De nos jours, le verre est partout : pourtant l’art de le sublimer se fait beaucoup plus rare et discret, alors lorsque l’on croise les remarquables sculptures de Robert Mickelson, on ne peut s’empêcher de les contempler tant elles fascinent par leur présence invisible !
Passé maître dans l’art de “modeler” le verre, cet artiste pas comme les autres basé en Floride travaille depuis presque toujours avec autant de patience et de minutie cette matière noble et millénaire. Depuis sa plus tendre enfance, il n’a eu besoin que d’un peu de souffle et d’un “ordinaire” chalumeau pour imaginer et réaliser toutes sortes d’objets avec beaucoup de talent et une incroyable légèreté.
Un concentré de Patience, de Finesse et de Poésie...
Ses sculptures de glace au rendu presque vaporeux sont d’une complexité rarement égalée, elles ont dans leur majorité nécessité l’emploi de techniques particulières afin de rendre le verre malléable à souhait et de pouvoir le colorer tout en finesse et en dégradé par un procédé à froid comme Robert Mickelson le décrit et l’enseigne dans ses nombreux DVD de formation.
Il fait son apprentissage avec un professionnel du verre pendant deux ans dans le milieu des années soixante.
Robert Mickelsen est sans aucun doute l'un des artistes les plus doués dans son domaine. Spécialisé dans le verre, ce pps nous permet de découvrir certaines de ces plus belles oeuvres d'art. La finesse dans la découpe du verre et la beauté qui résulte de son travail sont un vrai régal pour les yeux. Robert Mickelsen, cet Artiste Maître verrier et son travail est comparable en finesse à celui d'une dentelière. Un artiste à découvrir absolument pour la finesse et la beauté de ses oeuvres. Il réalise des sculptures d'objets mais il s'inspire aussi du monde végétal, animal ou humain.
Réalisées par un véritable orfèvre, ces délicates et fragiles sculptures ont été finement taillées par ce maître verrier qui parvient à donner à la matière "verre" des allures de dentelles cristallines.
Un travail remarquable qui ne laissera personne de glace !
Nous allons découvrir cette belle Île au travers de belles images! Île de Murano la patrie du verre.
Le verre de Murano
Venise est réputé pour son verre, fabriqué sur l'île de Murano. C'est sur l'île qu'il vous faudra l'acheter, car une fois placé dans les vitrines vénitiennes, les prix du verre atteignent des sommets. De plus,en l'achetant à Murano, vous aurez sans doute l'occasion de voir un souffleur de verre en plein action. Vous verrez la pâte se mouvoir et changer de forme selon la volonté du Maître verrier.
ci-dessous le canal Murano
Murano est l'une des plus grandes îles de la lagune de Venise. Elle est célèbre pour son industrie verrière qui remonte au XIe siècle. Les verres de Murano ont servi à décorer la basilique Saint-Marc.
ci-dessous rue commerçante
Aujourd'hui, la verrerie est une industrie plutôt touristique. Certains objets sont très beaux mais aussi très chers. L'île de Murano mérite le détour pour admirer le travail des artisans verriers et déambuler dans ses ruelles, surtout le soir quand elle retrouve son calme.
ci-dessous exposition de verre Murano
ci-dessous vitrine de Murano
Ce commentaire a été modifié le 05/07/2018 à 14:46
Un chercheur a jeté un pavé dans la mare en affirmant qu’une bonne partie des résultats des études scientifiques étaient biaisés.
Il y a quelques années, deux chercheurs ont sélectionné les 50 ingrédientsles plus utilisés dans un livre de recettes et regardé combien avaient été associés à un risque ou à un bénéfice face au cancer, dans diverses études publiées dans les revues scientifiques. La réponse: 40 sur 50, une liste incluant sel, farine, persil et même le sucre.
«Tout ce que nous mangeons est-il lié au cancer ?» se sont-ils ensuite demandé, non sans ironie, dans leur article publié en 2013.
Leur question touche à un problème connu mais persistant dans le monde de larecherche: trop d’études utilisent des échantillons trop petits pour aboutir à des conclusions généralisables. Mais la pression pesant sur les chercheurs, la concurrence entre les revues et l’appétit insatiable des médias pour des études annonçant révolutions ou découvertes
majeures, fait que ces articles continuent d’être publiés.
Difficile de généraliser.
«La majorité des articles publiés, même dans les revues sérieuses, sont mauvais», dit à l’AFP l’un des auteurs, John Ioannidis, professeur de médecine à Stanford, de facto spécialisé dans l’étude des études. Ce pourfendeur de la mauvaise recherche scientifique a démontré en 2005 dans un article retentissant «Pourquoi la plupart des études publiées sont fausses». Depuis, dit-il, seuls quelques progrès ont été faits.
Quelques revues exigent que les auteurs fournissent leurs données brutes et publient préalablement leur protocole. Cette transparence permet d’éviter que les chercheurs triturent leurs méthodes et données afin de trouver un résultat, quel qu’il soit. Elles permettent à d’autres de vérifier ou «répliquer» l’étude.
Car lorsqu’elles sont refaites, les expériences aboutissent rarement aux mêmes résultats. Seul un tiers de 100 études publiées dans les trois revues de psychologie les plus prestigieuses ont pu être reproduites par des chercheurs, lors d’une analyse publiée en 2015.
La médecine, l’épidémiologie, les essais cliniques de médicaments et… les études sur la nutrition ne font guère mieux, insiste John Ioannidis, notamment lors de réplications. «Dans les sciences biomédicales et ailleurs, les scientifiques n’ont qu’une formation superficielle en statistiques et en méthodologie», ajoute John Ioannidis. Trop d’études portent sur seulement quelques individus, empêchant de généraliser à une population entière, car les participants retenus ont peu de chance d’être représentatifs.
Transparence?
«Le régime alimentaire est l’un des domaines les plus consternants», continue le professeur Ioannidis, et pas seulement à cause des conflits d’intérêts avec l’industrie agroalimentaire. Les chercheurs partent souvent en quête de corrélations dans d’immenses bases de données, sans hypothèse de départ.
En outre, «mesurer un régime alimentaire est extrêmement difficile», explique-t-il. Comment quantifier exactement ce que les gens mangent?
Même quand la méthode est bonne, avec une étude où les participants sont choisis aléatoirement, l’exécution laisse parfois à désirer.Une célèbre étude de 2013 sur les bienfaits du régime méditerranéen contre les maladies du coeur a dû être retirée en juin par la plus prestigieusedes revues médicales, le New England Journal of Medicine, car les participants n’avaient pas tous été recrutés aléatoirement; les résultats ont été revus à la baisse.
Alors que retenir dans le flot d’études publiées chaque jour? John Ioannidis recommande de se poser les questions suivantes: telle étude est-elle isolée, ou renforce-t-elle des travaux existants ? L’échantillon est-il petit ou grand ? Est-ce une expérience randomisée? Qui l’a financée? Les chercheurs sont-ils transparents?
Café et vin rouge.
Ces précautions sont fondamentales en médecine, où les mauvaises études contribuent à l’adoption de traitements au mieux inefficaces, et au pirenéfastes.
Dans leur livre «Ending Medical Reversal», Vinayak Prasad et Adam Cifu égrènent des exemples terrifiants de pratiques adoptées sur la base d’études qui ont été invalidées des années après, comme la pose de stents (mini prothèses) dans une artère du cerveau pour réduire le risque d’accident vasculaire cérébral. Ce n’est qu’au bout de dix ans qu’une étude rigoureuse a montré que la pratique… augmentait en fait le risque d’AVC.
La solution passe par le resserrement collectif des critères de l’ensemble des acteurs de la recherche, et pas seulement les revues: universités, agences de financement public, laboratoires… Mais ces institutions sont toutes soumises à la concurrence.«Le système n’incite pas les gens à aller dans la bonne direction», dit à l’AFP Ivan Oransky, journaliste cofondateur du site Retraction Watch, qui couvre les retraits d’articles scientifiques. «Nous voulons développer une culture où on récompense la transparence».
Le problème vient aussi des médias, qui doivent selon lui mieux expliquer à leurs lecteurs les incertitudes inhérentes à la recherche scientifique,et résister au sensationnalisme. «Le problème, c’est la succession sansfin d’études sur le café, le chocolat et le vin rouge», se plaint-il.
«Il faut qu’on arrête».
Pour financer un poramed’aide aux détenus, rien de plus logique que de mettre aux enchères une nuit dans l’une des plus célèbres cellules du monde… celle qu’a occupé l’icône sud-africaine de la lutte contre l’apartheid Nelson Mandela.
C’est le pari qu’a lancé le mouvement CEO Sleepout, qui s’est fait un nom en vendant aux plus offrants des PDG et milliardaires de la planète des nuits dans des endroits insolites pour financer des bonnes œuvres au profit des plus pauvres.
« Aucune enchère de ce type n’a jamais eu lieu en Afrique du Sud », trompette la fondation sur son site internet.
« Le plus offrant gagnera l’honneur de passer une nuit à l’intérieur de l’historique cellule numéro 7, où Mandela a passé dix-huit ans », poursuit fièrement CEE Sleepout.
Situé sur l’île de Robben Island, au large de la ville du Cap, ce carré de béton froid de 2,4 sur 2,1 m où a croupi le premier président noir de l’histoire de l’Afrique du Sud (1994-1999) est l’une des geôles les pluscélèbres du monde.
Classée au patrimoine mondial de l’Unesco, la prison-musée est visitée chaque année par plus de 300.000 personnes.
Après avoir fait dormi en 2016 des patrons sous un pont de Johannesburg en faveur des sans-abris, la fondation a choisi cette année de créer l’événement autour du 100e anniversaire de la naissance de Nelson Mandela, le 18 juillet prochain.
La nuit dans son fameux cachot – le 18 donc – a été mise à prix à 250.000 dollars et, selon CEO Sleepout, les enchères sur internet sont déjà montées à 300.000 dollars.
Le nom de l’heureux pensionnaire doit être annoncé à leur clôture le 16 juillet.
Les fonds collectés lors de cette opération serviront à « financer le projet +de la prison à l’université+ (…) qui permet d’améliorer l’éducation des détenus sud-africains », a expliqué une porte-parole de la fondation, Liane McGowan.
La direction du musée de Robben Island n’a pu être jointe.
La fondation Nelson Mandela a quant à elle indiqué à l’AFP être étrangère à l’initiative de CEO Sleepout et qu’elle ne pouvait être tenue pour responsable de l’utilisation de la cellule.
(Source : AFP)
80 Km/h : un nouvel impôt scandaleux !
Le dispositif IASI (Interféromètre Atmosphérique de Sondage Infrarouge) est un ensemble de trois instruments de sondage embarqués à bord de satellites météorologiques.
METOP A lancé en octobre 2006, METOP B, lancé en septembre 2012 puis METOP C,dont le lancement est prévu pour octobre 2018. Fruit de la coopération entre le CNES et Eumetsat, IASI combine la mesure de la température et de l’humidité deux fois par jour en tous points du globe et la mesure dela présence et des concentrations d’une vingtaine de gaz.
Ces données permettent la vérification et l’amélioration des modèles de prévision climatiques et météorologiques, une meilleure compréhension denombreux phénomènes climatiques et atmosphériques (réchauffement, état de la couche d’ozone…), l’étude et la gestion des émissions de polluants(d’origine agricole ou industrielle) et le lancement d’alertes adaptéesen cas de fortes concentrations de gaz (éruptions volcaniques, catastrophes, pollution…)
Une cité des morts près du village de Dargavs en Ossétie du Nord.
Située en bordure du village de Dargavs, dans la république d’Ossétie du Nord, en Russie , se trouve un cimetière (ou une nécropole) antique. Dargavs est souvent appelée la « cité des morts ». Celle-ci est impressionnante en raison du grand nombre de mausolées et de son cadre absolument magnifique. Le cimetière est situé sur le versant d’une colline surplombant la vallée verdoyante de la rivière Fiagdon, avec plusieurs falaises et des pics à 4000 mètres qui se profilent au-dessus.
Le cimetière compte près de 100 anciennes cryptes de pierre (99 pour être précis) dans lesquelles les gens qui vivaient dans la vallée ont enterrés leurs proches ainsi que leurs vêtements et effets personnels.
Les tombes sont en forme de huttes aux toits incurvés vers l’intérieur en plusieurs couches, avec un pic pointu au sommet, typique de l’architecture Nakh. Certaines de ces cryptes sont hautes de 2 à 4 étages.
Les petites cryptes présentent des façades plates sur le devant et l’arrière mais les côtés sont courbés vers l’intérieur et les plus petites d’entre elles n’ont pas du tout de toiture. Les murs sont en pierre et cimentés le plus sauvent à la chaux. Les murs possèdent une ouverture carrée permettant d’y faire passer les cadavres.
Les premières traces de la Cité des Morts remonte au début du 14ème siècle. Les ancêtres des Ossètes se sont installés sur les cinq chaînes de montagnes, mais la terre était si chère qu’ils ont été obligés de choisir l’endroit le plus venteux et le plus escarpé pour construire leur cimetière.
Il y a beaucoup de mythes et de légendes entourant le lieu. Dans le passé, les locaux essayaient d’éviter d’aller dans la cité des morts car on croyait que toute personne qui osait marcher là n’en sortirait jamais vivant. Même aujourd’hui, il n’y a presque pas de touristes dans les environs, bien que cela soit dû à la difficulté d’y venir plutôt qu’à la malédiction.
Selon une légende, la peste a ravagé l’Ossétie au 17ème siècle. Pour s’isoler du village, les victimes se sont volontairement mises en quarantaine à l’intérieur des murs de ces huttes en attendant patiemment leur sort. Ils ont survécu grâce à de maigres rations de pain apportées par les sympathiques habitants. Quand ils sont morts, leurs cadavres ont été laissés là à pourrir à l’intérieur des huttes.
Il est assez difficile de se rendre à Dargavs. Cela prend 3h depuis Vladikavkaz pour s’y rendre sur des routes étroites et escarpées. Le village se trouve juste au nord de la frontière entre la Russie et la Géorgie.
A l'origine, c'est un gâteau
Le gâteau à la crème Chantilly, nommé « meringue », a été crée en 1720, à
Mehringhen, petite ville du Duché de Saxe-Cobourg-Gotha, par un nommé
CASPARINI, d'origine suisse et qui lui donna le nom de cette ville.
On les appela Mehringhen jusqu'en 1804, ou l'Académie enleva les deux «hh»
Les premières meringues à la crème furent servies en France (après avoir parcouru l'Allemagne), au Roi Stanislas, à Nancy.
Plus tard, on fit des vacherins au château de Versailles, et la Reine Marie
Antoinette, habillée en paysanne, fouettait la crème ; les meringues
montées, couchées à la cuillère et collées l'une contre l'autre, comme
aujourd'hui, étant garnies
Sous l'Empire, Carême imagina les grosses meringues montées, couchées en couronne au sac en papier, et vers 1845,
époque ou les douilles, poches et cornes parurent, la Maison PICHE ET
THOMAS-MAGNAN se mirent à faire la meringue suisse et en gardèrent le
secret quelques années, car c'était bien trouvé et difficile à faire.
C'était un nommé Louis TRUTTE, chef, Maison PICHE, qui les faisait. Que
d'essais a-t-il fallu pour commencer à réussir ce gâteau, le coucher, le
poudrer, le cuire, sécher, creuser, recoller, masquer, décorer et
ressécher, nous faisons cela sans penser à ce que ces gâteaux ont donné
de mal à ces chercheurs.
L'on commença à faire les fouets avec des tiges de bruyère, bien avant TAILLEVENT, car les anciens fouettaient de
la crème qu'ils mélangeant avec le miel, au temps de Périclès ; après on
les fit avec des genets, puis l'osier ; le tout blanchi, et le règne de
LOUIS XIV trouva le buis, dont on faisait bouillir les branches que
l'on épluchait ; cela dura jusqu'en 1860, époque ou on les délaissa pour
se servir des fouets en fil de fer, mais c'est encore le buis qui a
donné le plus beaux blancs sans les assommer comme le font nos fouets en
fil de fer
Un bulletin météorologique a été
télédiffusé pour la première fois en France le mardi 17 décembre 1946 au
cours du Téléjournal. Il était présenté par Paul Douchy, prévisionniste
à la Météorologie Nationale
La France était l'un des premiers pays au monde à utiliser la télévision
de façon régulière pour montrer et expliquer au public une situation
météorologique. Les Etats-Unis le faisaient certes depuis 1941, mais sur
la BBC anglaise, la météo n'est apparue qu'en 1954.
Ces bulletins télévisés sont devenus quotidiens en 1958 et n'ont cessé, depuis, de se
moderniser et de gagner en audience. Ils étaient systématiquement
présentés par des ingénieurs de la Météorologie Nationale, dont le
célèbre Guy Larivière, photographié ci-dessous devant sa carte sur
l'ORTF en 1973.
Le 15 juin 1978, pour la première fois, les prévisions ont été présentées
par un jeune journaliste à la fin du journal de Patrick Poivre d'Arvor
sur Antenne 2 : Laurent Broomead. A partir de 1981, Alain Gillot-Pétré
lui succédera avec talent et contribuera grandement à moderniser et à
vulgariser les bulletins. Toutes les chaînes historiques suivirent le
mouvement et TF1 proposa même une émission quotidienne entièrement
consacrée à la météo : Météo Première.
Même si elle n'assurait plus la présentation, la Météorologie Nationale,
devenue "Météo-France", est restée l'unique prestataire des grandes
chaînes nationales historiques jusqu'en 2013. Il faut dire qu'en France
comme en Europe, les instituts météorologiques nationaux bénéficiaient
d'une situation de monopole jusqu'en 1987, année à partir de laquelle
s'est développée la première entreprise privée aux Pays-Bas
(Meteo-consult, devenu Meteogroup) et en France (société du même nom
mais n'ayant rien à voir avec la précédente). Dans les années 90, la
météorologie privée s'est exportée dans d'autres pays (en Allemagne,
Belgique, Suisse et au Royaume-Uni), ces entreprises gagnant notamment
des parts de marché substantielles dans le domaine de la météo marine.
Notez également que Chaîne météo émet sur le câble et le satellite
depuis le 21 juin 1995.
Les années 2000 ont amplifié le mouvement et de grands groupes ont progressivement ouvert des bureaux en France
ces dernières années, gagnant de nouveaux marchés en presse écrite.
C'est auprès de ces derniers que France-Télévisions, contraint de faire
des économies, recueillera ses informations météo à partir du 1er
janvier 2014. Seuls les bulletins météo régionaux et d'Outre-Mer seront
encore établis à partir des informations de Météo-France. Une page se
tourne pour les grands médias.
Sinon, le fait que Météo-France n'aie plus le monopole des prévisions météo dans les médias ne date pas
d'aujourd'hui. D'autres chaînes comme M6 et Canal+ se fournissent auprès
de prestataires privés depuis longtemps. Et les bulletins météo de la
presse-papier sont au moins pour la moitié d'entre-eux réalisés par des
entreprises privées.
Les filles des Ziegfeld Follies dans les années 1920
Les Ziegfield Follies c'est l'équivalent des Folies Bergères mais à New
York, ce cabaret a vu passer de nombreux acteurs et danseuses, appelées
les Ziegfeld Girls, qui deviendront parfois par la suite des stars.
L'histoire de ce cabaret a été adapté au cinéma en 1936 avec le film « Le Grand
Ziegfeld » qui remportât plusieurs oscars ainsi qu'en 1946 avec «
Ziegfeld Follies
Les Follies étaient des revues somptueuses, un mélange des futurs
spectacles de Broadway et un spectacle-variété de Vaudeville plus
raffiné. Plusieurs des meilleurs comédiens de l'époque (incluant Eddie
Cantor, Fanny Brice, Bert Williams, Will Rogers, Ruth Etting, Helen
Morgan, Marilyn Miller, W.C. Fields, Ed Wynn, Nora Bayes, et d'autres)
sont apparus dans le spectacle. Les Ziegfeld Follies sont aussi réputées
pour leurs magnifiques danseuses de cabaret connues sous le nom de
Ziegfeld girls (qui, au fil des années, a vu dans ses rangs de futures
stars comme Marilyn Miller, Marion Davies, Mae Murray, Paulette Goddard,
Joan Blondell, Nita Naldi, Dorothy Mackaill, Eve Arden, Billie Dove,
Gilda Gray, Barbara Stanwyck, Cyd Charisse et Louise Brooks. (Norma
Shearer and Alice Faye furent refusées, n'étant pas "à niveau"). Les
filles portaient habituellement des costumes raffinés du styliste Erté,
qui pouvaient devenir le sujet de conversation principal du théâtre de
Broadway les jours qui suivaient.
Après la mort de Ziegfeld, sa veuve Billie Burke autorisa l'usage de son nom
pour les Ziegfeld Follies en 1934 et en 1936. Le nom fut, plus tard,
utilisé par des promoteurs de New York, Philadelphie et encore à
Broadway, mais sans relations précises avec les Follies originales. Ces
derniers efforts furent un désastre. Quand plus tard elle voyagea,
l'édition de 1934 fut enregistrée dans sa totalité, depuis l'ouverture
jusqu'à sa clôture, sur des disques 78 tours, qui furent édités par le
producteur David Cunard afin de former un album des meilleurs moments de
la production. Cet album est sorti en 1997 sur CD.
Le vainqueur de l'oscar du meilleur film en 1936 était Le Grand Ziegfeld,
avec William Powell en premier rôle et Myrna Loy à ses côtés (en tant
que seconde femme de Ziegfeld, Billie Burke), Luise Rainer (Anna Held,
qui gagna l'oscar de la meilleure actrice) et Frank Morgan (le rival).
Le film donne un aperçu de ce que les Follies étaient réellement. Il y a
eu aussi en 1946 un film intitulé Ziegfeld Follies, avec notamment Fred
Astaire, Judy Garland, Lena Horne, William Powell, Gene Kelly, Fanny
Brice, Red Skelton, Esther Williams, Cyd Charisse, Lucille Ball et
Kathryn Grayson, qui montre des chansons et des spectacles similaires à
ceux des Follies
Robert Mickelsen Maitre Verrier et Perles au chalumeau Automatique ...
Robert Mickelsen est né en 1951 à
Fort Belvoir, en Virginie et a grandi à Honolulu, Hawaii. Il fait son
apprentissage avec un professionnel du verre pendant deux ans dans le
milieu des années soixante. Il a ensuite vendu ses propres oeuvres dans
des foires d'artisanat en plein air pendant dix ans.
De nos jours, le verre est partout : pourtant l’art
de le sublimer se fait beaucoup plus rare et discret, alors lorsque l’on
croise les remarquables sculptures de Robert Mickelson, on ne peut
s’empêcher de les contempler tant elles fascinent par leur présence
invisible !
Passé maître dans l’art de “modeler” le verre, cet artiste pas comme les
autres basé en Floride travaille depuis presque toujours avec autant de
patience et de minutie cette matière noble et millénaire. Depuis sa plus
tendre enfance, il n’a eu besoin que d’un peu de souffle et d’un
“ordinaire” chalumeau pour imaginer et réaliser toutes sortes d’objets
avec beaucoup de talent et une incroyable légèreté.
Un concentré de Patience, de Finesse et de Poésie...
Ses sculptures de glace au rendu presque vaporeux sont
d’une complexité rarement égalée, elles ont dans leur majorité nécessité
l’emploi de techniques particulières afin de rendre le verre malléable à
souhait et de pouvoir le colorer tout en finesse et en dégradé par un
procédé à froid comme Robert Mickelson le décrit et l’enseigne dans ses
nombreux DVD de formation.
Il fait son apprentissage avec un professionnel du
verre pendant deux ans dans le milieu des années soixante.
Robert Mickelsen est sans
aucun doute l'un des artistes les plus doués dans son domaine.
Spécialisé dans le verre, ce pps nous permet de découvrir certaines de
ces plus belles oeuvres d'art. La finesse dans la découpe du verre et la beauté qui résulte de son travail sont un vrai régal pour les yeux.
Robert Mickelsen, cet Artiste Maître verrier et son travail
est comparable en finesse à celui d'une dentelière. Un artiste à
découvrir absolument pour la finesse et la beauté de ses oeuvres. Il
réalise des sculptures d'objets mais il s'inspire aussi du monde
végétal, animal ou humain.
Réalisées par un véritable orfèvre, ces délicates et fragiles
sculptures ont été finement taillées par ce maître verrier qui parvient à
donner à la matière "verre" des allures de dentelles cristallines.
Un travail remarquable qui ne laissera personne de glace !
Crédit images : Robert Mickelson.
Nous allons découvrir cette belle Île au travers de belles images!
Île de Murano la patrie du verre.
Le verre de Murano
Venise est réputé pour son verre, fabriqué sur l'île de Murano. C'est sur l'île qu'il vous faudra l'acheter, car une fois placé dans les vitrines vénitiennes, les prix du verre atteignent des sommets. De plus,en l'achetant à Murano, vous aurez sans doute l'occasion de voir un souffleur de verre en plein action. Vous verrez la pâte se mouvoir et changer de forme selon la volonté du Maître verrier.
ci-dessous le canal Murano
Murano est l'une des plus grandes îles de la lagune de Venise. Elle est célèbre pour son industrie verrière qui remonte au XIe siècle. Les verres de Murano ont servi à décorer la basilique Saint-Marc.
ci-dessous rue commerçante
Aujourd'hui, la verrerie est une industrie plutôt touristique. Certains objets sont très beaux mais aussi très chers. L'île de Murano mérite le détour pour admirer le travail des artisans verriers et déambuler dans ses ruelles, surtout le soir quand elle retrouve son calme.
ci-dessous exposition de verre Murano
ci-dessous vitrine de Murano
Une escapade à deux pas de Paris : l’Abbaye de Royaumont ...
Pour les passionnés d’histoire, il n’y a rien de mieux que de visiter un
édifice historique… A moins de pouvoir dormir dedans. Cela tombe bien,
il est désormais possible de dormir dans une abbaye typique du 13èmesiècle et il faut pour cela se rendre à 30km de Paris, dans le petit village
d’Asnières-sur-Oise. On y découvre alors l’étonnante Abbaye de
Royaumont !
Construite au 13ème siècle, l’abbaye de Royaumont est la plus grande abbaye cistercienne d’Île-de-France. L’édifice a été bâti sous Louis IX et a toujours été très apprécié des rois. Louis XIII venait notamment y danser le ballet.
Déclarée «bien national» en 1790, l’abbaye de Royaumont a traversé bon nombre
d’épreuves au cours des siècles. Elle abritait notamment une filature de
coton au 18ème siècle, avant de devenir une résidence de campagne. Dans les années 1930, son propriétaire, Henry Goüin, invite
régulièrement des artistes et intellectuels nécessiteux, pour leur
offrir le « loisir de méditer et éventuellement de créer ».
Depuis 1964, la Fondation Royaumont préserve aussi ce patrimoine et convie le
public à des événements culturels lors de festivals de musique et de
danse.
Un calme cistercien pour bercer nos nuits :
Plus de 50 chambres sont à disposition pour le week-end et toutes offrent
une vue imprenable sur le jardin du cloître ou le canal. Situé au cœur
de l’abbaye, ce jardin d’inspiration médiévale regorge de plantes
anciennes. En plus de ces chambres, on trouve désormais 8 studios à
l’apparence plus moderne. Malgré ce design contemporain et la modernité
des installations, impossible de ne pas se laisser bercer par le calme
et l’authenticité des lieux.
Au réveil, il ne reste plus qu’à profiter des nombreuses visites ou
balades qu’offre l’abbaye. Surtout, impossible de passer la journée sans
une halte à La Table de Royaumont. Dans l’une des plus belles salles
voûtées de l’abbaye, on peut alors profiter de plats créatifs, de saison
et qui s’inscrivent dans la tradition culinaire française.
Abbaye de Royaumont – 95270 Asnières-sur-Oise