Le Jardin Flottant Au Japon (Vidéo) Art japonais collective TeamLab ont créé une installation flottante de fleur dans un jardin incroyable avec plus de 2300 fleurs vivante.
Quand un spectateur se rapproche de cet espace fleuri, les fleurs près du spectateur s’élèvent vers le haut tout à la fois, créant un espace hémisphérique avec le spectateur en son centre. En d’autres termes, bien que l’espace entier est rempli de fleurs, un espace hémisphérique est constamment créé avec le spectateur en son centre et les spectateurs sont libre de se déplacer où ils veulent. Si de nombreux téléspectateurs se rapprocher de l’autre, le dôme espaces peut former un seul espace.
JardinsParc Ritsurin à Takamatsu Le Japon est célèbre pour ses jardins, de par l'esthétique unique de ses jardins paysagers et de ses jardins secs de pierre et de sable. Le pays a désigné une liste des « trois meilleurs jardins », sur la base de leur beauté, leur taille, leur authenticité (ces jardins n'ont pas été radicalement modifiés) et leur importance historique. Ces jardins sont le Kairaku-en à Mito, le Kenroku-en à Kanazawa, et le Koraku-en à Okayama. Le plus grand jardin, et le favori de beaucoup de voyageurs, est en fait le parc Ritsurin à Takamatsu. On trouve généralement les jardins de pierre et de sable dans les temples,en particulier dans ceux du bouddhisme zen. Le plus célèbre d'entre euxest le temple Ryōan-ji à Kyōto, mais on trouve ce type de temple dans tout le Japon. Les jardins de mousse sont aussi très populaires au Japon et Koke-dera, également à Kyōto, a l'un des meilleurs du pays. Les réservations sont obligatoires pour visiter pour s'assurer que la mousse est toujours florissante et pas piétinée. Les jardins de la Terre pure, remontant à l'ère Heian, furent construits pour représenter le paradis bouddhiste. Ils comprennent tous un grand étang central devant un hall d'Amida. Ils sont simplistes aux points que ceux qui ne sont pas au courant pourraient ne pas s'apercevoir que ce sont des jardins. Le temple Byōdō-in à Uji, le temple Mōtsō-ji à Hiraizumi et le temple Jōruri-ji à Kizugawa sont parmi les plus célèbres de ceux qui restent.
- Se faire enterrer un vendredi 13 ? Il faut vraiment ne pas être superstitieux ! (Léo Campion)
- Treize à table n'est à craindre, sauf s'il n'y avait à manger que pour douze ! (Grimod de La Reynière)
Signification du trèfle à quatre feuilles ..trèfle a quatre feuilles Signification du trèfle à quatre feuilles : Chacune d'elles représente un symbole : En allant de droite à gauche, la première représente l'ESPOIR, la seconde LA FOI, la troisième L'AMOUR et la quatrième LA CHANCE !
Coucou Mimit, M-J, Cynthia et Mayyan, pour tout ce que vous nous apprenez !!! c'est bien, moi j'aime. C'est vraiment très joli la Hollande, en particulier ce beau village, au nom imprononçable!!!!
Ce Village Sans Routes Sort Tout Droit D’un Conte De Fées... Si vous avez toujours eu envie de vivre votre propre conte de fées, vous pourriez envisager de déménager dans le village de Giethoorn. Aussi surnommé « la Venise des Pays-Bas », ce village magique, fondé autour de 1230, est le type de village dont la plupart des gens ne pourraient que rêver… Le village Giethoorn N’a Pas De Routes... Mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de voies de transport… Le mode de transport le plus commun est le bateau silencieux, qui possède un moteur électrique silencieux. Village aux Pays-Bas Giethoorn est un village de la province de l'Overijssel, aux Pays-Bas. Il appartient à l'agglomération de Steenwijkerland et compte environ 2620 habitants. Wikipédia Province : Overijssel
Par conséquent, le village est vraiment paisible… Le son le plus bruyant que vous y entendrez sera probablement le cancan des canards (bien sûr, lorsque l’endroit n’est pas envahit par les touristes) et aussi celui des vaches bien sur ! Surnommé « la Venise des Pays-Bas » ce village magique a été fondé autour de 1230. Ses premiers habitants ont trouvé de nombreux dépôts tourbeux et ont creusé beaucoup de trous au fil des ans. Finalement, ces trous sont devenus des étangs. Les îles artificielles ainsi créées ont été connectées grâce à plus de 176 ponts. Ce qui donne à ce village une petite touche douillette et digne d’un conte de fées…
Merci Mimit29: ça devient comliqué.Je suis revenu à mayyan suite à un problème que les techniciens ont résolus et j'ai découvert que j'avais retrouvé mon pseudo des origines???Ça me convient.Par contre mon ordi est devenu trés lent lorsque je clique sur un lien???Bon W.E.
Visite De La Hollande, Le Pays Des Vélos Source La Hollande est une région et une ancienne province des Pays-Bas. En 1840,elle a été divisée en deux entités distinctes : la Hollande-Septentrionale et la Hollande-Méridionale. Wikipédia Superficie : 5 488 km² Population : 6,318 millions (janv. 2015)
La Hollande est la destination par excellence pour faire du vélo grâce à un paysage plat, un climat doux, de courtes distances et une superbe infrastructure... Les routes sont sures, faciles à parcourir : faire du vélo est amusant.
Plus de 32 000 kilomètres de pistes cyclables vous attendent dans tout le pays. Donc si vous voulez voir un peu plus de la Hollande, prenez le vélo. Un paysage plat, un climat doux, des distances courtes et une très bonne infrastructure font que la Hollande est le pays des cyclistes par excellence. Il y a plein de raisons pour découvrir la Hollande en vélo. Nous vous donnons le top 10...
10 Raisons Pour Découvrir La Hollande En Vélo. La Hollande possède 30 000 km de pistes cyclables (réseau cyclable, circuits LF)La signalisation est sans égal, il est quasi impossible que le cycliste se perde.Le pays possède 32 000 km de pistes cyclables, très sures et souvent indépendantes de la routeLes hollandais sont habitués aux cyclistes et en tiennent compte sur la routeLa Hollande est plate, donc même un cycliste débutant peut se régaler. La Hollande a un climat doux, il ne fait donc pas souvent trop chaud ni trop froid pour faire du vélo.Vous visitez des endroits qui sont uniquement accessibles à vélo : le réseau cyclable passe par des chemins et des sentiers qui ne sont pas accessibles aux voitures.Vous faites un geste écologiste et vous contribuez à une société durable. La Hollande est un des 5 pays avec la meilleure sécurité routière ! Faire du vélo est bon pour la santé ! Tour D'IJsselmeer À Vélo. Un des plus beaux circuits longue distance à vélo est le fameux Tour d'IJsselmeer, aussi connu comme le circuit Zuiderzee (mer du Sud). Vous passerez le long des beaux villages de pêcheurs historiques,des réserves naturelles uniques et des polders étendus. Un des circuits longue distance à vélo le plus populaire.
Quatre cents kilomètres de plaisir à vélo pour les vrais amateurs de la petite reine !Un parcours qui vous fera découvrir un paysage unique et typiquement hollandais.
Villes Historiques. Quatre cents kilomètres, ce n'est pas rien... mais c'est garanti : vous verrez les plus beaux coins de la Hollande ! Amsterdam bien sûr, mais aussi des villages authentiques comme Volendam, Edam et Marken. Des villages séculaires qui ont bien préservé leurs ruelles médiévales, canaux et ponts à bascule. Sans oublier Enkhuizen avec le musée Zuiderzee où vous pourrez découvrir la vie de l'époque autour de l'ancienne mer du Sud. Les autres endroits uniques que vous traverserez pendant votre Tour d'IJsselmeer sont Spakenburg et Bunschoten. Dans ces villages très religieux, la vie est encore très traditionnelle et le commerce de poisson, pain et gâteaux est le gagne-pain principal des villageois. Des centaines de femmes portent encore le costume authentique au quotidien. Visiter les villes du fameux Tour des Onze Villes en Frise, comme Workum, Hindelopen et Stavoren, est également une expérience à ne pas manquer. Réserves Naturelles Protégées . De plus, ce circuit vous emmène à travers des réserves naturelles magnifiques comme Wieden et Weerribben. Les forêts de la réserve De Veluwe et les beaux polders complètent ce circuit unique. Informations Pratiques. Le Tour d'IJsselmeer comprend les trois circuits en vélo suivants : LF21, LF22 et LF23. Le circuit complet prend 8 jours. Vous pouvez raccourcir le circuit ou l'adapter, par exemple à l'aide des « routes-embranchement». L'itinéraire de la côte hollandaise, c'est 570 kilomètres de plaisir le long des magnifiques dunes et plages, des îles Wadden et des villages côtiers. Enclair, un voyage sans fin, à vélo, à la découverte de la côte.
Faites Du Vélo Le Long De La Côte Hollandaise (570 Km)... L'itinéraire de la côte hollandaise, c'est 570 kilomètres de plaisir le long des magnifiques dunes et plages, des îles Wadden et des villages côtiers. Enclair, un voyage sans fin, à vélo, à la découverte de la côte. Fait partie de l'itinéraire international de la Mer du Nord ou « Noordzeeroute ».Faites du vélo sur des îles Wadden et le long des villages sur terp (surélevés) uniques. L'itinéraire de la côte hollandaise est un itinéraire longue distance et combine les circuits terrestres LF1 de Sluis (Zélande) jusqu'à Den Helder (Noord-Holland) et le LF 10 de Callantsoog (Noord-Holland) jusqu'à Nieuweschans (Groningue). L'itinéraire en Sluis en Den Helder se caractérise par les iles zélandaises et les stations balnéaires nombreuses et très agréables. La partie entre Callantsoog et Nieuweschans est surtout unique par son calme et l'espace qu'offre le paysage. Les villages de terpen historiques et la magnifique ile Wieringa des Wadden font de cet itinéraire un fantastique domaine cyclable. Fait Partie De L'itinéraire International De La Mer Du Nord... Les itinéraires LF sont indiqués par des panneaux LF. Vous suivez les panneaux LF1 et LF10 pour cet itinéraire. En route, vous rencontrerez aussi les panneaux de l'itinéraire North Sea Cycle. Les panneaux LF1 et LF10 forment ensemble la partie hollandaise de l'itinéraire international North Sea Cycle. Cet itinéraire d'environ 6 000 km passe par 8 pays autour de la Mer du Nord. Outre la Hollande, ce sont la Belgique, l'Angleterre, l'Ecosse, la Norvège, la Suède, le Danemark et l'Allemagne. L'itinéraire hollandais n'est pas un circuit et il y a donc un départ et une arrivée différents. Astuce ! Parcourez cet itinéraire à vélo comme des vacances en continu et voyez ici notre grand choix d'hébergements en cours de route. Commencez vos vacances à vélo à Sluis. Passez quelques jours dans ce village pittoresque et profitez de la tranquillité de la Zélande et d'une délicieuse cuisine locale : la préparation parfaite pour votre séjour. Arrêts À Scheveningen. Vous êtes à moitié route de la 1ère étape. Planifiez un arrêt à Scheveningen. Réservez une chambre d'hôte chaleureuse pour vous reposer et séjournez quelques jours et louez un appartement à la mer. Se Faire Plaisir À La Plage De Noordwijk. Prenez le temps et reposez-vous sur les plus belles plages de Hollande. Profitez d'une boisson bien méritée le soleil se coucher dans l'une des paillotes. Réservez un court séjour à...Noordwijk Passez Quelques Jours En Frise. La 2e partie de l'itinéraire à vélo vaut aussi la peine de s'arrêter. Passez quelques jours dans la ville portuaire d'Harlingen et découvrez la culture frisonne. Informations Pratiques Nombre de kilomètres : 570Point de départ et d'arrivée : Sluis (Zélande) – Nieuweschans (Groningue)Vous prenez les itinéraires LF : Itinéraire LF1 de la Mer du Nord (Sluis jusqu'à Den Helder), itinéraire LF10 des Wadden (Callantsoog jusqu'à Nieuweschans)Le Circuit De Westbroek (36 km)
Vous êtes en visite à Utrecht et souhaitez passer la journée au vert ? Enfourchez votre vélo et parcourez la belle route de Westbroek. Partez du syndicat d'initiative de Loosdrecht et roulez sur l'ancienne digue Loosdrechtesedijk. Sur la gauche de la route, vous verrez un beau domaine, conçu par le célèbre architecte Zocher.Rading HollandaisVous poursuivez votre chemin à travers Nieuw Loosdrecht en direction du Rading et passerez le long de jolies petites villes comme Hollandse Rading, St Maartensdijk, Achtienhoven et Westbroek. Juste après Westbroek, vous passez sur la gauche les étangs Maarseveenseplassen. Un peu plus loin, vous verrez le chemin Bert Bospadqui traverse une superbe zone en direction des étangs Tienhoven. Étangs De BreukeleveenEnsuite, vous roulez à travers ce magnifique domaine en direction de Breukeleveen. Vous voyez à gauche le Stille Plas (ou étang de Breukeleveen). Via Muydeveld et le Boomhoek, communes du Wijdemeren, vous arrivez à votre point de départ à Nieuw Loosdrecht. Le circuit fait 2 à 2 h 30 environ. La Grande Route Des Polders (39 km) Vous êtes en visite à Utrecht et souhaitez voir un peu des environs, alors un tour à vélo est idéal. Car autour d'Utrecht, vous pourrez profiter de toute cette belle nature. Par exemple en prenant la grande route des polders, qui vous emmène découvrir de beaux paysages et des monuments. Palais SoestdijkL'itinéraire commence à Amersfoort, où vous partez à vélo en direction de Soest en passant devant le beau Palais Soestdijk de notre ancienne Reine Juliana. Après Soest, vous vous rendez à Baarn pour admirer le polder « tranquille ». Des champs à perte de vue, une nature magnifique : voilà la vue d'Eempolder. Si vous faites du vélo sur l’Eemdijk, vous pourrez même voir Flevoland au loin. Au bout de l’Eemdijk, vous êtes presque la fin du circuit. Sur lesderniers kilomètres, vous traversez les verts pâturages pour retourner à votre point de départ à Amersfoort.
Faire Du Vélo Dans Le Gooi (43 km) Dans les environs d'Utrecht, vous trouverez les villages les plus beaux et les plus chics de la région du Gooi. De magnifiques villas sont nichées entre les belles forêts de conifères et autres essences, entre les landes et les prairies. Un parcours agréable à faire à bicyclette si vous voulez échapper un moment à la ville d'Utrecht. Vieux De 4 000 AnsVous partez de Huizen pour aller en direction de la petite ville d'Eemnes, en longeant la zone marécageuse de Noordpolder Te Veld. Puis vous continuez à travers le Gooise Heide en direction de Laren et de ses belles villas. Contournez Blaricum en direction du nord, où vous pourrez admirer les monticules funéraires de nos ancêtres vieux de 4 000 ans.
Ensuite vous passez par le centre de Blaricum, où se trouvent encore de nombreuses fermes anciennes et des tableaux champêtres idylliques pour repartir vers Huizen. Et si maintenant vous avez une petite faim ou soif, alors vous pouvez vous reposer au « De Haven van Huizen ».
L'inimitable fabuliste, né à Château-Thierry le 8 juillet 1621 d'un Maître des Eaux et Forêts, ne se fit remarquer, jusqu'à l'âge de 19 ans, que par une extrême insouciance. Son éducation, d'abord confiée d'abord à de simples maîtres de village, ne lui inspira que le plus grand mépris pour les pédants, et ne fit pas soupçonner son génie. On croit généralement qu'il acheva ses études à Reims, et on a lieu de penser qu'il s'y livra autant au plaisir qu'à l'étude. Ne sachant alors qu'un peu de latin, sa paresse et son insouciance naturelle le laissaient indécis sur le choix d'une carrière, lorsque un de ses parents le fit entrer chez les oratoriens, le 27 avril 1641. Après y avoir passé dix-huit mois, il fut ramené sous le toit paternel par le même instinct d'indépendance qui l'en avait d'abord éloigné, et plusieurs mois s'écoulèrent encore avant qu'il songeât sérieusement à se vouer au culte des muses. Durant cette époque, il acquit une célébrité de petite ville par ses distractions et ses galanteries. A 22 ans Jean de La Fontaine avait, il est vrai, produit quelques pièces de vers ; mais ces essais furent loin d'annoncer son génie, qui se révéla tout à coup à la lecture de la belle Ode de Malherbe sur l'assassinat de Henri IV. Toutefois chez lui l'enthousiasme dut être de courte durée, et l'on peut croire que ce grand poète ne lui emprunta jamais ses inspirations : il les trouva dans sa douce oisiveté, dans la méditation des auteurs classiques de l'antiquité — et notamment Térence, Horace, Virgile, Quintilien —, dans la lecture de nos vieux écrivains, où il puisa aussi ce goût gracieux et naïf que l'on admirera toujours dans ses compositions. Pour mieux s'instruire à l'école des auteurs antiques, il ne dédaigna point le travail servile, mais utile, de la traduction ; et celle de l'Eunuque de Térence, qu'il fit imprimer à Reims en 1654, est le premier ouvrage qu'il ait publié. Il raconte lui-même une anecdote qui prouve tout le charme que lui faisait éprouver la lecture de ces grands écrivains de l'antiquité. Il voyageait dans une voiture publique : on s'arrête pour dîner ; pendant qu'on apprête le repas et qu'on sert, La Fontaine s'éloigne de l'auberge, tire un Tite-Live de sa poche, se met à lire, et captivé par l'attrait de cette lecture, il oublie de dîner, malgré son appétit ordinairement fort grand ; enfin averti par un valet d'auberge, il rejoint ses compagnons de voyage, prêts à remonter en voiture. « J'arrivai, dit-il plaisamment, assez à temps pour compter. » Nous ne saurions, dit-il dans une note de ses fables, aller plus avant que les anciens ; ils ne nous ont laissé que la gloire de les bien suivre. » On voit que si son humeur pacifique l'a empêché de prendre part à la vive querelle qui s'éleva de son temps sur la prééminence des anciens ou des modernes, il pendait néanmoins sur cette question comme Boileau et Racine : lui-même se croyait très inférieur à Phèdre, et l'on sait que Fontenelle disait que c'était par bêtise que La Fontaine se jugeait ainsi.
En 1647, le père du jeune poète, consultant moins ses inclinations et son goût que sa propre sollicitude, se démit en sa faveur de la charge de Maître des Eaux et Forêts et le maria (10 novembre 1647). Dans ses Historiettes, Tallemant des Réaux écrit : « Sa femme dit qu'il resve tellement qu'il est quelque fois trois semaines sans croire estre marié. C'est une coquette qui s'est assez mal gouvernée depuis quelque temps : il ne s'en tourmente point. On luy dit : mais un tel cajolle vostre femme — Ma foy ! répond-il, qu'il fasse ce qu'il pourra ; je ne m'en soucie point. Il s'en lassera comme j'ay fait. Cette indifférence a fait enrager cette femme, elle seiche de chagrin. »
Bientôt, en effet, les soins du ménage et les fonctions administratives rendant à La Fontaine le séjour de sa maison insupportable, il quitta sa femme qu'il ne vint plus visiter que de temps à autre, se démit de ses fonctions et chercha au dehors des distractions. Racine le fils raconte cependant un singulier trait de jalousie de ce mari si insouciant, si indifférent. Un capitaine de dragons, nommé Poignant, vieux militaire, voyait assidûment Mme de La Fontaine. Notre poète ne s'en apercevait point ; mais on l'en fit apercevoir, on lui persuada même que son honneur exigeait qu'il lui demandât raison de sa conduite. Préoccupé de cette idée, le bon La Fontaine, qui aimait tant à dormir, se lève de grand matin, va trouver Poignant, le presse de s'habiller, de prendre son épée, et de le suivre ; ils sortent, et ne sont pas plutôt hors de la ville, que La Fontaine dit à Poignant, déjà fort étonné, et dont l'étonnement dut redoubler sans doute : « Il faut que je me batte avec vous ; on m'a assuré que je ne pourrais m'en dispenser. » Il lui en explique succinctement le motif ; et sans lui donner le temps de répliquer, il met l'épée à la main.
Poignant, forcé de se défendre, fait sauter d'un coup l'épée de La Fontaine, et profite de l'instant où son adversaire est désarmé et interdit pour entrer en explication avec lui, et lui faire sentir le ridicule de sa conduite. Il proteste au surplus que puisqu'il a pu troubler ainsi sa tranquillité, il ne remettra plus les pieds chez lui. « Au contraire, lui dit vivement La Fontaine, j'ai fait ce qu'on a exigé de moi ; mais actuellement je veux que vous soyez plus que jamais assidu chez moi, sans quoi je me battrai encore. » La réconciliation fut entière et parfaite.
En 1664, La Fontaine fut accueilli dans la société de la duchesse de Bouillon, alors exilée à Château-Thierry. La piquante ingénuité de ses premiers contes, qu'il écrivit à cette époque, attira sur lui l'intérêt de l'aimable duchesse ; et, rappelée à Paris, elle lui fit accepter un asile dans sa maison Dès lors La Fontaine eut l'occasion de se lier avec les grands écrivains de son époque, et trouva des appuis dans les personnages du plus haut rang, dont la plupart ne craignirent pas de s'avouer aussi ses admirateurs : au nombre on distingue Mme Henriette d'Angleterre, le grand Condé, le prince de Conti, le duc de Vendôme, le grand-prieur, et particulièrement le jeune duc de Bourgogne. C'est donc, comme on peut en juger, sans nul fondement qu'on a reproché au siècle de Louis XIV d'avoir méconnu le mérite de La Fontaine. Toutefois, les libéralités de ces illustres mécènes eussent encore été insuffisantes. Aussi mauvais économe de leurs dons qu'il l'avait été de son fonds et de son revenu, Jean de La Fontaine n'en réglait pas mieux l'emploi, les dissipait avec la même facilité, et retombait sans cesse dans les mêmes embarras. Une femme aimable et généreuse, Mme de la Sablière, le mit à l'abri de ces tristes embarras, du moins pendant vingt années, sans doute les plus heureuses de sa vie, puisque, dégagé de toute inquiétude, il les passa au sein de l'amitié et dans le doux commerce des muses, qui, durant cette époque tranquille et fortunée, lui inspirèrent ses plus beaux ouvrages, et assurèrent sa gloire et son immortalité. Elle l'accueillit chez elle (1673), prévint tous ses besoins, et le dispensa de tous soins ; c'était assurément le plus grand service qu'elle pût rendre à un homme de son caractère. Rien n'exprime mieux l'extrême insouciance et la profonde incurie de ce caractère qu'un mot plaisant de Mme de la Sablière. Elle venait de congédier à la fois tous ses domestiques : « Je n'ai gardé avec moi, dit-elle, que mes trois animaux, mon chien, mon chat et La Fontaine. » Le fabuliste songeait sans doute à l'amitié de Mme de la Sablière, lorsque dans une de ses fables il s'écriait avec un accent si tendre et si vrai Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur. « Elle s'était chargée de son bonheur, a dit un de nos écrivains ; il se chargea de sa gloire. » Il composa auprès d'elle la plupart de ses chefs-d'œuvre ; il l'y nomma plusieurs fois, lui en dédia ou lui en adressa quelques-uns. Ce fut chez cette dame, amie éclairée des lettres et de la philosophie, que La Fontaine connut Bernier. Il puisa dans les conversations de ce philosophe, disciple de Gassendi, des notions sur les sciences naturelles et physiques, aussi étendues qu'en avaient les personnes les plus instruites de son temps qui ne faisaient pas de ces objets leur principale ou seule étude. Il trouva dans son génie l'art de les exprimer en beaux vers, ainsi que l'attestent plusieurs de ses fables et son poème sur le Quinquina.
Quels motifs ont pu porter Boileau à garder le silence sur l'apologue dans son Art poétique ? Rivaux dans leur candidature pour l'Académie française, ces deux grands poètes n'y entrèrent que difficilement, commun obstacle qu'on explique par l'esprit satirique de l'un et par la fidélité obstinée de l'autre pour son bienfaiteur en disgrâce, le surintendant Fouquet, auquel il a élevé dans ses vers un si honorable monument de reconnaissance : mais n'est-il point permis de penser que les Contes de La Fontaine, dont le meilleur n'est pas celui que Boileau a tant loué (voir sa Dissertation sur Joconde), et peut-être aussi ses admirables apologues, où si souvent la satire frappe plus haut que ne l'eût osé faire l'auteur du Lutrin, durent contribuer pour quelque part à la défaveur de l'émule du poète favori ? Louis XIV n'agréa le choix de l'Académie qui appelait La Fontaine à remplacer le grand Colbert (2 mai 1684), que lorsqu'à son tour Despréaux y dut succéder à M. de Bezons. Quelque méritées que fussent les louanges prodiguées avec candeur par La Fontaine à son prédécesseur, dans le discours d'étiquette, on ne peut se défendre d'une admiration profonde quand on songe qu'il les adressait aux mânes de ce même ministre, puissant dispensateur des grâces du monarque, et dont il n'avait reçu jamais que les dédains d'une injuste rigueur. La Fontaine mourut à Paris le 13 avril 1695, dans la maison de M. et Mme d'Hervart — Maître des Requêtes au Parlement de Paris marié à Françoise de Bretonvilliers —, dernier asile que lui offrit l'amitié après qu'il eut perdu Mme de la Sablière, chez qui, durant vingt années, il avait également reçu la plus délicate et la plus généreuse hospitalité. Il faut bien avouer que la conduite privée du poète philosophe n'a pas toujours répondu à la pureté de ses principes ; mais en faveur de sa bonté naturelle, de sa rare constance en amitié, et plus encore peut-être, pour la beauté de ses ouvrages, précieux fruits de son insouciance même, la postérité lui pardonne volontiers les écarts de sa vie, et jusqu'à la singulière négligence de ses devoirs de père de famille.
Dans ses dernières années, cédant, non sans combattre, aux pressantes sollicitations de l'abbé Pouget — La Fontaine avait demandé un prêtre, et le curé de l'église Saint-Roch lui avait envoyé le jeune abbé Pouget, qui venait d'obtenir son doctorat de théologie —, il parut regretter les atteintes que ses Contes, trop libres (et pourtant imprimés avec privilège) avaient pu porter aux mœurs et à la religion, et il finit par se soumettre aux réparations qu'on lui prescrivit. Toutefois ces réparations qu'on imposa au bon vieillard lui durent être pénibles, quelle que fut sa repentance, si l'on en juge par l'apostrophe suivante qu'adressa (si l'on en croit la tradition) la servante de La Fontaine au jeune ecclésiastique attaché à le convaincre : « Eh ! ne le tourmentez pas tant ! il est plus bête que méchant ; Dieu n'aura jamais le courage de le damner. »
Aujourd’hui, c’est vendredi 13 ! Bonne ou mauvaise nouvelle ? Voici quelques infos et astuces sur ce sujet très controversé.
Que faire un vendredi 13 ? Quand on est superstitieux, il est de bon ton d’éviter les chats noirs et les échelles, surtout un vendredi 13. Si vous n’avez ni patte de lapin, ni brin de muguet, pensez à toucher du bois et à porter du vert pour conjurer le sort. Vous pouvez aussi vous tenir loin des miroirs pour éviter 7 ans de malheur et jeter du sel par dessus votre épaule.
A faire avec les enfants un vendredi 13, après l’école : Partir à la chasse au trèfle à quatre feuilles, au bois ou au parc municipal.Aller à la ferme pédagogique et rencontrer le maréchal ferrand, pour lui demander un fer à cheval.
Mais surtout, voici une bonne raison de ne rien entreprendre : passez une journée « normale » (pourquoi pas en télétravail) ), profitez des bons moments avec les collègues ou du calme de la maison, et laissez-vous aller sans changer vos habitudes. Bref : vendredi 13, on reste zen ! Mais n’oubliez pas qu’il faut souvent provoquer la chance… Osez : lancez-vous !
Mais connaissez-vous les origines du vendredi 13 et pourquoi il pose tant questionnement ? Nous vous aidons à mieux le comprendre à travers ces quelques exemples…
Les origines du vendredi 13 A l’origine : le vendredi 13 porte-bonheur Dans la mythologie grecque, le 13 est un chiffre valorisé. C’est le symbole de la toute puissance de Zeus. En échos, Ulysse est le 13ème homme a échapper au cyclope, et symbolise le courage et l’esprit. Dans l’Antiquité, le vendredi était le jour d’exécution des criminels. C’était aussi un jour de liesse pour les grecs qui célébraient la déesse Aphrodite.
Evolution vers un vendredi 13 porte-malheur Tandis que pendant l’Antiquité, le 13, par son indivisibilité est un chiffre fort, il perd de sa superbe dans les temps chrétiens. Le 12 est porté aux nues et devient symbole d’unité et de stabilité. Dorénavant, le 13 est une rupture, symbolisé par la carte de la mort dans le tarot. Lorsque les chrétiens ont évangélisé les peuples du Nord de l’Europe, on dit que Frigga, reine des dieux dite « déesse au chat noir », fut chassée. Considérée comme sorcière, elle comploterait de mauvais sorts tous les vendredi, avec 11 sorcières et le diable. 13 présences « maléfiques », réunies un vendredi.
Dans la Bible, le vendredi n’est jamais cité autrement que comme « sixième jour » et serait associé à un certain nombre de malheurs : le jour où le diable tenta Ève, où Caïn tua son frère Abel, où le déluge de Noé s’abattit sur Terre, etc… Le 13 rappelle surtout la Cène. Lors de ce repas, 13 convives étaient à table, dont un traître : Judas.
Dans l’Histoire de France, vendredi 13 est notamment le jour de l’arrestation de Jacques de Molay qui énonça la prophétie des rois maudits.
Le saviez-vous ? La phobie du chiffre 13 s’appelle la paraskevidékatriaphobie.
Ce commentaire a été modifié le 13/04/2018 à 14:37
Des remèdes naturels pour les gencives et les dents
Les gencives qui saignent sont un problème tout aussi banal que gênant, tout comme les dents qui se déchaussent. Dans cet article, nous vous expliquons comment vous pouvez améliorer ces deux conditions.
Les gencives qui saignent et les dents qui se déchaussent sont deux desproblèmes bucco-dentaires les plus communs. Bien que leurs causes soient diverses, ils sont habituellement dus à un manque d’hygiène qui finit par entraîner l’apparition de maladies telles que la gingivite. Voilà pourquoi nous vous présentons aujourd’hui quelques remèdes naturels pour traiter des symptômes comme le saignement des gencives et le déchaussement des dents.
Évidemment, ces recommandations ou ces remèdes ne sont utiles que dans les cas peu sévères. Par contre, si vous avez des problèmes graves, il vous faudra consulter un dentiste. Vous ferez ainsi l’objet d’une attention spécialisée afin de résoudre votre problème de la façon la plus appropriée !
L’eau tiède salée pour les gencives Un excellent remède naturel pour traiter les gencives qui saignent est de faire un bain de bouche avec de l’eau tiède et du sel. Comme tout le monde sait, les solutions salées ont un effet antiseptique, et dans un cas comme celui-ci elles améliorent la circulation du sang au niveau des gencives, leur évitant ainsi de s’enflammer et de saigner.
De l’eau et du péroxyde Un autre remède naturel pour traiter le saignement des gencives, également efficace pour soigner les dents qui tendent à se déchausser, consiste à préparer une solution à base d’eau avec un péroxyde. Dans ce cas, mélanger de l’eau à du péroxyde d’hydrogène (eau oxygénée) et faire un bain de bouche pendant 30 secondes ; il est très important de ne pas avaler cette solution, car cela peut être dangereux pour la santé. L’idéal est de faire un bain de bouche trois fois par semaine.
Masser et brosser les gencives Il existe un remède très simple et efficace, mais que bien des gens ont oublié, qui consiste à se masser les gencives à l’aide de la brosse à dents. Nous leur éviterons ainsi de s’enflammer et d’occasionner la chute de nos dents, et elles deviendront donc plus toniques. Il existe actuellement dans le commerce des brosses à dents avec un masseur de gencives intégré, ce qui nous permet d’en prendre soin plus aisément. Massez-les tous les jours, à chaque fois que vous vous lavez les dents.
Le bicarbonate de soude Le bicarbonate de soude est un remède naturel très efficace pour éviter le saignement et l’inflammation des gencives. Il suffit de mélanger un peu de bicarbonate de soude à de l’eau et de l’appliquer sur les gencives avec le doigt. Brossez ensuite vos dents comme d’habitude et rincez-vous bien la bouche.
Le thym L’utilisation du thym comme remède naturel pour traiter les problèmes des dents qui se déchaussent est très connue. Depuis très longtemps, le thym a été employé pour fortifier et pour protéger les dents. On peut réaliser des bains de bouche avec un mélange d’eau et de racine de thym !
L’avocat Pour traiter les dents qui bougent, nous vous recommandons également de frotter les feuilles de cet arbre sur toute la gencive. On peut également les mâcher afin d’obtenir de meilleurs résultats. L’avocat rend les gencives plus toniques et consolide la denture. Il évite la formation de caries ainsi que d’autres problèmes dentaires comme la pyorrhée.
Ce commentaire a été modifié le 13/04/2018 à 14:23
Bonjour Mayyan1 ou Mayyan j'espère vous voir ce message. pour le "signaler ce commentaire" Regarder sur le page Accueil de ordissinaute, voir le Fiche Pratique....."Les dernières nouveautes du site Ordissinaute" toute est expliquer là.
Art japonais collective TeamLab ont créé une installation flottante de fleur dans un jardin incroyable avec plus de 2300 fleurs vivante.
L’exposition d’art interactif est actuellement exposé au Musée national des sciences émergeantes et de l’innovation à Tokyo jusqu’au 10 mai 2015...
Pour plus d’informations présentent visite ici .
Pour voir les projets les plus intéressants de TeamLab vérifier sur leur site officiel ici .
(Source : Colossal)
CLIC...........Floating Flower Garden from Zuri Camille de Souza on Vimeo.
Évaluez ceci...
CLIC..........Floret Farm's Cut Flower Garden from Spencer MacDonald on Vimeo
JardinsParc Ritsurin à Takamatsu
Le Japon est célèbre pour ses jardins, de par l'esthétique unique de ses jardins paysagers et de ses jardins secs de pierre et de sable.
Le pays a désigné une liste des « trois meilleurs jardins », sur la base de leur beauté, leur taille, leur authenticité (ces jardins n'ont pas été radicalement modifiés) et leur importance historique.
Ces jardins sont le Kairaku-en à Mito, le Kenroku-en à Kanazawa, et le Koraku-en à Okayama. Le plus grand jardin, et le favori de beaucoup de voyageurs, est en fait le parc Ritsurin à Takamatsu.
On trouve généralement les jardins de pierre et de sable dans les temples,en particulier dans ceux du bouddhisme zen. Le plus célèbre d'entre euxest le temple Ryōan-ji à Kyōto, mais on trouve ce type de temple dans tout le Japon.
Les jardins de mousse sont aussi très populaires au Japon et Koke-dera, également à Kyōto, a l'un des meilleurs du pays.
Les réservations sont obligatoires pour visiter pour s'assurer que la mousse est toujours florissante et pas piétinée.
Les jardins de la Terre pure, remontant à l'ère Heian, furent construits pour représenter le paradis bouddhiste.
Ils comprennent tous un grand étang central devant un hall d'Amida.
Ils sont simplistes aux points que ceux qui ne sont pas au courant pourraient ne pas s'apercevoir que ce sont des jardins.
Le temple Byōdō-in à Uji, le temple Mōtsō-ji à Hiraizumi et le temple Jōruri-ji à Kizugawa sont parmi les plus célèbres de ceux qui restent.
Etes-vous triskaidekaphobe ?!!
Etes-vous triskaidekaphobe ?
En clair, avez-vous peur du
nombre 13 ?
- Se faire enterrer un vendredi 13 ? Il faut vraiment ne pas être superstitieux ! (Léo Campion)
- Treize à table n'est à craindre, sauf s'il n'y avait à manger que pour douze ! (Grimod de La Reynière)
Signification du trèfle à quatre feuilles ..trèfle a quatre feuilles
Signification du trèfle à quatre feuilles :
Chacune d'elles représente un symbole : En allant de droite à gauche, la
première représente l'ESPOIR, la seconde LA FOI, la troisième L'AMOUR et
la quatrième LA CHANCE !
Si vous avez toujours eu envie de vivre votre propre conte de fées, vous pourriez envisager de déménager dans le village de Giethoorn. Aussi surnommé « la Venise des Pays-Bas », ce village magique, fondé autour de 1230, est le type de village dont la plupart des gens ne pourraient que rêver…
Le village Giethoorn N’a Pas De Routes...
Mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de voies de transport…
Le mode de transport le plus commun est le bateau silencieux, qui possède un moteur électrique silencieux.
Village aux Pays-Bas
Giethoorn est un village de la province de l'Overijssel, aux Pays-Bas. Il appartient à l'agglomération de Steenwijkerland et compte environ 2620 habitants.
Wikipédia
Province : Overijssel
Par conséquent, le village est vraiment paisible…
Le son le plus bruyant que vous y entendrez sera probablement le cancan des canards (bien sûr, lorsque l’endroit n’est pas envahit par les touristes) et aussi celui des vaches bien sur !
Surnommé « la Venise des Pays-Bas » ce village magique a été fondé autour de 1230.
Ses premiers habitants ont trouvé de nombreux dépôts tourbeux et ont creusé beaucoup de trous au fil des ans.
Finalement, ces trous sont devenus des étangs.
Les îles artificielles ainsi créées ont été connectées grâce à plus de 176 ponts.
Ce qui donne à ce village une petite touche douillette et digne d’un conte de fées…
Source
La Hollande est une région et une ancienne province des Pays-Bas. En 1840,elle a été divisée en deux entités distinctes : la
Hollande-Septentrionale et la Hollande-Méridionale.
Wikipédia
Superficie : 5 488 km²
Population : 6,318 millions (janv. 2015)
La Hollande est la destination par excellence pour faire du vélo grâce à un paysage plat, un climat doux, de courtes distances et une superbe infrastructure...
Les routes sont sures, faciles à parcourir : faire du vélo est amusant.
Plus de 32 000 kilomètres de pistes cyclables vous attendent dans tout le pays. Donc si vous voulez voir un peu plus de la Hollande, prenez le vélo.
Un paysage plat, un climat doux, des distances courtes et une très bonne infrastructure font que la Hollande est le pays des cyclistes par excellence.
Il y a plein de raisons pour découvrir la Hollande en vélo. Nous vous donnons le top 10...
10 Raisons Pour Découvrir La Hollande En Vélo.
La Hollande possède 30 000 km de pistes cyclables (réseau cyclable, circuits LF) La signalisation est sans égal, il est quasi impossible que le cycliste se perde. Le pays possède 32 000 km de pistes cyclables, très sures et souvent indépendantes de la route Les hollandais sont habitués aux cyclistes et en tiennent compte sur la route La Hollande est plate, donc même un cycliste débutant peut se régaler. La Hollande a un climat doux, il ne fait donc pas souvent trop chaud ni trop froid pour faire du vélo. Vous visitez des endroits qui sont uniquement accessibles à vélo : le réseau cyclable passe par des chemins et des sentiers qui ne sont pas accessibles aux voitures. Vous faites un geste écologiste et vous contribuez à une société durable. La Hollande est un des 5 pays avec la meilleure sécurité routière !
Faire du vélo est bon pour la santé !
Tour D'IJsselmeer À Vélo.
Un des plus beaux circuits longue distance à vélo est le fameux Tour d'IJsselmeer, aussi connu comme le circuit Zuiderzee (mer du Sud).
Vous passerez le long des beaux villages de pêcheurs historiques,des réserves naturelles uniques et des polders étendus.
Un des circuits longue distance à vélo le plus populaire.
Quatre cents kilomètres de plaisir à vélo pour les vrais amateurs de la petite reine ! Un parcours qui vous fera découvrir un paysage unique et typiquement hollandais.
Villes Historiques.
Quatre cents kilomètres, ce n'est pas rien... mais c'est garanti : vous verrez les plus beaux coins de la Hollande !
Amsterdam bien sûr, mais aussi des villages authentiques comme Volendam, Edam et Marken.
Des villages séculaires qui ont bien préservé leurs ruelles médiévales, canaux et ponts à bascule.
Sans oublier Enkhuizen avec le musée Zuiderzee où vous pourrez découvrir la vie de l'époque autour de l'ancienne mer du Sud.
Les autres endroits uniques que vous traverserez pendant votre Tour d'IJsselmeer sont Spakenburg et Bunschoten.
Dans ces villages très religieux, la vie est encore très traditionnelle et le commerce de poisson, pain et gâteaux est le gagne-pain principal des villageois.
Des centaines de femmes portent encore le costume authentique au quotidien.
Visiter les villes du fameux Tour des Onze Villes en Frise, comme Workum, Hindelopen et Stavoren, est également une expérience à ne pas manquer.
Réserves Naturelles Protégées .
De plus, ce circuit vous emmène à travers des réserves naturelles magnifiques comme Wieden et Weerribben. Les forêts de la réserve De Veluwe et les beaux polders complètent ce circuit unique.
Informations Pratiques.
Le Tour d'IJsselmeer comprend les trois circuits en vélo suivants : LF21, LF22 et LF23. Le circuit complet prend 8 jours. Vous pouvez raccourcir le circuit ou l'adapter, par exemple à l'aide des « routes-embranchement».
L'itinéraire de la côte hollandaise, c'est 570 kilomètres de plaisir le long des magnifiques dunes et plages, des îles Wadden et des villages côtiers. Enclair, un voyage sans fin, à vélo, à la découverte de la côte.
Faites Du Vélo Le Long De La Côte Hollandaise (570 Km)...
L'itinéraire de la côte hollandaise, c'est 570 kilomètres de plaisir le long des magnifiques dunes et plages, des îles Wadden et des villages côtiers. Enclair, un voyage sans fin, à vélo, à la découverte de la côte.
Fait partie de l'itinéraire international de la Mer du Nord ou « Noordzeeroute ». Faites du vélo sur des îles Wadden et le long des villages sur terp (surélevés) uniques.
L'itinéraire de la côte hollandaise est un itinéraire longue distance et combine les circuits terrestres LF1 de Sluis (Zélande) jusqu'à Den Helder (Noord-Holland) et le LF 10 de Callantsoog (Noord-Holland) jusqu'à Nieuweschans (Groningue).
L'itinéraire en Sluis en Den Helder se caractérise par les iles zélandaises et les stations balnéaires nombreuses et très agréables.
La partie entre Callantsoog et Nieuweschans est surtout unique par son calme et l'espace qu'offre le paysage.
Les villages de terpen historiques et la magnifique ile Wieringa des Wadden font de cet itinéraire un fantastique domaine cyclable.
Fait Partie De L'itinéraire International De La Mer Du Nord...
Les itinéraires LF sont indiqués par des panneaux LF. Vous suivez les panneaux LF1 et LF10 pour cet itinéraire. En route, vous rencontrerez aussi les panneaux de l'itinéraire North Sea Cycle.
Les panneaux LF1 et LF10 forment ensemble la partie hollandaise de l'itinéraire international North Sea Cycle. Cet itinéraire d'environ 6 000 km passe par 8 pays autour de la Mer du Nord.
Outre la Hollande, ce sont la Belgique, l'Angleterre, l'Ecosse, la Norvège, la Suède, le Danemark et l'Allemagne.
L'itinéraire hollandais n'est pas un circuit et il y a donc un départ et une arrivée différents.
Astuce ! Parcourez cet itinéraire à vélo comme des vacances en continu et voyez ici notre grand choix d'hébergements en cours de route.
Commencez vos vacances à vélo à Sluis. Passez quelques jours dans ce village pittoresque et profitez de la tranquillité de la Zélande et d'une délicieuse cuisine locale : la préparation parfaite pour votre séjour.
Arrêts À Scheveningen.
Vous êtes à moitié route de la 1ère étape. Planifiez un arrêt à Scheveningen. Réservez une chambre d'hôte chaleureuse pour vous reposer et séjournez quelques jours et louez un appartement à la mer.
Se Faire Plaisir À La Plage De Noordwijk.
Prenez le temps et reposez-vous sur les plus belles plages de Hollande.
Profitez d'une boisson bien méritée le soleil se coucher dans l'une des paillotes. Réservez un court séjour à...Noordwijk
Passez Quelques Jours En Frise.
La 2e partie de l'itinéraire à vélo vaut aussi la peine de s'arrêter. Passez quelques jours dans la ville portuaire d'Harlingen et découvrez la culture frisonne.
Informations Pratiques Nombre de kilomètres : 570 Point de départ et d'arrivée : Sluis (Zélande) – Nieuweschans (Groningue) Vous prenez les itinéraires LF : Itinéraire LF1 de la Mer du Nord (Sluis jusqu'à Den Helder), itinéraire LF10 des Wadden (Callantsoog jusqu'à Nieuweschans) Le Circuit De Westbroek (36 km)
Vous êtes en visite à Utrecht et souhaitez passer la journée au vert ?
Enfourchez votre vélo et parcourez la belle route de Westbroek.
Partez du syndicat d'initiative de Loosdrecht et roulez sur l'ancienne digue Loosdrechtesedijk. Sur la gauche de la route, vous verrez un beau domaine, conçu par le célèbre architecte Zocher. Rading Hollandais Vous poursuivez votre chemin à travers Nieuw Loosdrecht en direction du Rading et passerez le long de jolies petites villes comme Hollandse Rading,
St Maartensdijk, Achtienhoven et Westbroek.
Juste après Westbroek, vous passez sur la gauche les étangs Maarseveenseplassen. Un peu plus loin, vous verrez le chemin Bert Bospadqui traverse une superbe zone en direction des étangs Tienhoven.
Étangs De Breukeleveen Ensuite, vous roulez à travers ce magnifique domaine en direction de Breukeleveen. Vous voyez à gauche le Stille Plas (ou étang de Breukeleveen).
Via Muydeveld et le Boomhoek, communes du Wijdemeren, vous arrivez à votre point de départ à Nieuw Loosdrecht. Le circuit fait 2 à 2 h 30 environ.
La Grande Route Des Polders (39 km)
Vous êtes en visite à Utrecht et souhaitez voir un peu des environs, alors un tour à vélo est idéal. Car autour d'Utrecht, vous pourrez profiter de toute cette belle nature.
Par exemple en prenant la grande route des polders, qui vous emmène découvrir de beaux paysages et des monuments.
Palais Soestdijk L'itinéraire commence à Amersfoort, où vous partez à vélo en direction de Soest en passant devant le beau Palais Soestdijk de notre ancienne Reine Juliana.
Après Soest, vous vous rendez à Baarn pour admirer le polder « tranquille ».
Des champs à perte de vue, une nature magnifique : voilà la vue d'Eempolder.
Si vous faites du vélo sur l’Eemdijk, vous pourrez même voir Flevoland au loin. Au bout de l’Eemdijk, vous êtes presque la fin du circuit. Sur lesderniers kilomètres, vous traversez les verts pâturages pour retourner à votre point de départ à Amersfoort.
Faire Du Vélo Dans Le Gooi (43 km)
Dans les environs d'Utrecht, vous trouverez les villages les plus beaux et les plus chics de la région du Gooi. De magnifiques villas sont nichées entre les belles forêts de conifères et autres essences, entre les landes et les prairies.
Un parcours agréable à faire à bicyclette si vous voulez échapper un moment à la ville d'Utrecht.
Vieux De 4 000 Ans Vous partez de Huizen pour aller en direction de la petite ville d'Eemnes, en longeant la zone marécageuse de Noordpolder Te Veld.
Puis vous continuez à travers le Gooise Heide en direction de Laren et de ses belles villas. Contournez Blaricum en direction du nord, où vous pourrez admirer les monticules funéraires de nos ancêtres vieux de 4 000 ans.
Ensuite vous passez par le centre de Blaricum, où se trouvent encore de nombreuses fermes anciennes et des tableaux champêtres idylliques pour repartir vers Huizen.
Et si maintenant vous avez une petite faim ou soif, alors vous pouvez vous reposer au « De Haven van Huizen ».
Les Pays-Bas, en forme longue le Royaume des Pays-Bas, en néerlandais Nederland et Koninkrijk der Nederlanden, sont un pays d'Europe de l'Ouest, frontalier avec la Belgique au sud et l'Allemagne à ...
Wikipédia
Capitale : Amsterdam
Indicatif téléphonique : +31
Population : 16,8 millions (2013)
Banque mondiale
Devise : Euro
Langues officielles : Néerlandais, Frison, Papiamento
Avec une vue magnifique sur l'eau, vous pourrez vraiment profiter de la vie sur l'une des terrasses.
Source Montage De Mon Ami : Pierre Duteau
JEAN DE LA FONTAINE
L'inimitable fabuliste, né à
Château-Thierry le 8 juillet 1621 d'un Maître des Eaux et Forêts, ne se
fit remarquer, jusqu'à l'âge de 19 ans, que par une extrême insouciance.
Son éducation, d'abord confiée d'abord à de simples maîtres de village,
ne lui inspira que le plus grand mépris pour les pédants, et ne fit pas
soupçonner son génie. On croit généralement qu'il acheva ses études à
Reims, et on a lieu de penser qu'il s'y livra autant au plaisir qu'à
l'étude.
Ne sachant alors qu'un peu de latin, sa paresse et son insouciance
naturelle le laissaient indécis sur le choix d'une carrière, lorsque un
de ses parents le fit entrer chez les oratoriens, le 27 avril 1641.
Après y avoir passé dix-huit mois, il fut ramené sous le toit paternel
par le même instinct d'indépendance qui l'en avait d'abord éloigné, et
plusieurs mois s'écoulèrent encore avant qu'il songeât sérieusement à se
vouer au culte des muses. Durant cette époque, il acquit une célébrité
de petite ville par ses distractions et ses galanteries.
A 22 ans Jean de La Fontaine avait, il est vrai, produit quelques pièces de vers ;
mais ces essais furent loin d'annoncer son génie, qui se révéla tout à
coup à la lecture de la belle Ode de Malherbe sur l'assassinat de Henri
IV. Toutefois chez lui l'enthousiasme dut être de courte durée, et l'on
peut croire que ce grand poète ne lui emprunta jamais ses inspirations :
il les trouva dans sa douce oisiveté, dans la méditation des auteurs
classiques de l'antiquité — et notamment Térence, Horace, Virgile,
Quintilien —, dans la lecture de nos vieux écrivains, où il puisa aussi
ce goût gracieux et naïf que l'on admirera toujours dans ses
compositions.
Pour mieux s'instruire à l'école des auteurs antiques, il ne dédaigna point le travail servile, mais utile, de la traduction ;
et celle de l'Eunuque de Térence, qu'il fit imprimer à Reims en 1654,
est le premier ouvrage qu'il ait publié. Il raconte lui-même une
anecdote qui prouve tout le charme que lui faisait éprouver la lecture
de ces grands écrivains de l'antiquité. Il voyageait dans une voiture
publique : on s'arrête pour dîner ; pendant qu'on apprête le repas et
qu'on sert, La Fontaine s'éloigne de l'auberge, tire un Tite-Live de sa
poche, se met à lire, et captivé par l'attrait de cette lecture, il
oublie de dîner, malgré son appétit ordinairement fort grand ; enfin
averti par un valet d'auberge, il rejoint ses compagnons de voyage,
prêts à remonter en voiture. « J'arrivai, dit-il plaisamment, assez à
temps pour compter. »
Nous ne saurions, dit-il dans une note de ses fables, aller plus avant que les anciens ; ils ne nous ont laissé que la
gloire de les bien suivre. » On voit que si son humeur pacifique l'a
empêché de prendre part à la vive querelle qui s'éleva de son temps sur
la prééminence des anciens ou des modernes, il pendait néanmoins sur
cette question comme Boileau et Racine : lui-même se croyait très
inférieur à Phèdre, et l'on sait que Fontenelle disait que c'était par
bêtise que La Fontaine se jugeait ainsi.
En 1647, le père du jeune poète, consultant moins ses inclinations et son goût que sa propre
sollicitude, se démit en sa faveur de la charge de Maître des Eaux et
Forêts et le maria (10 novembre 1647). Dans ses Historiettes, Tallemant
des Réaux écrit : « Sa femme dit qu'il resve tellement qu'il est quelque
fois trois semaines sans croire estre marié. C'est une coquette qui
s'est assez mal gouvernée depuis quelque temps : il ne s'en tourmente
point. On luy dit : mais un tel cajolle vostre femme — Ma foy !
répond-il, qu'il fasse ce qu'il pourra ; je ne m'en soucie point. Il
s'en lassera comme j'ay fait. Cette indifférence a fait enrager cette
femme, elle seiche de chagrin. »
Bientôt, en effet, les soins du ménage et les fonctions administratives rendant à La Fontaine le séjour
de sa maison insupportable, il quitta sa femme qu'il ne vint plus
visiter que de temps à autre, se démit de ses fonctions et chercha au
dehors des distractions. Racine le fils raconte cependant un singulier
trait de jalousie de ce mari si insouciant, si indifférent. Un capitaine
de dragons, nommé Poignant, vieux militaire, voyait assidûment Mme de
La Fontaine.
Notre poète ne s'en apercevait point ; mais on l'en fit apercevoir, on lui persuada même que son honneur exigeait qu'il lui
demandât raison de sa conduite. Préoccupé de cette idée, le bon La
Fontaine, qui aimait tant à dormir, se lève de grand matin, va trouver
Poignant, le presse de s'habiller, de prendre son épée, et de le suivre ;
ils sortent, et ne sont pas plutôt hors de la ville, que La Fontaine
dit à Poignant, déjà fort étonné, et dont l'étonnement dut redoubler
sans doute : « Il faut que je me batte avec vous ; on m'a assuré que je
ne pourrais m'en dispenser. » Il lui en explique succinctement le motif ;
et sans lui donner le temps de répliquer, il met l'épée à la main.
Poignant, forcé de se défendre, fait sauter d'un coup l'épée de La Fontaine, et
profite de l'instant où son adversaire est désarmé et interdit pour
entrer en explication avec lui, et lui faire sentir le ridicule de sa
conduite. Il proteste au surplus que puisqu'il a pu troubler ainsi sa
tranquillité, il ne remettra plus les pieds chez lui. « Au contraire,
lui dit vivement La Fontaine, j'ai fait ce qu'on a exigé de moi ; mais
actuellement je veux que vous soyez plus que jamais assidu chez moi,
sans quoi je me battrai encore. » La réconciliation fut entière et
parfaite.
En 1664, La Fontaine fut accueilli dans la société de la duchesse de Bouillon, alors exilée à Château-Thierry. La piquante
ingénuité de ses premiers contes, qu'il écrivit à cette époque, attira
sur lui l'intérêt de l'aimable duchesse ; et, rappelée à Paris, elle lui
fit accepter un asile dans sa maison
Dès lors La Fontaine eut l'occasion de se lier avec les grands écrivains de son époque, et trouva
des appuis dans les personnages du plus haut rang, dont la plupart ne
craignirent pas de s'avouer aussi ses admirateurs : au nombre on
distingue Mme Henriette d'Angleterre, le grand Condé, le prince de
Conti, le duc de Vendôme, le grand-prieur, et particulièrement le jeune
duc de Bourgogne. C'est donc, comme on peut en juger, sans nul fondement
qu'on a reproché au siècle de Louis XIV d'avoir méconnu le mérite de La
Fontaine.
Toutefois, les libéralités de ces illustres mécènes eussent encore été insuffisantes. Aussi mauvais économe de leurs dons
qu'il l'avait été de son fonds et de son revenu, Jean de La Fontaine
n'en réglait pas mieux l'emploi, les dissipait avec la même facilité, et
retombait sans cesse dans les mêmes embarras. Une femme aimable et
généreuse, Mme de la Sablière, le mit à l'abri de ces tristes embarras,
du moins pendant vingt années, sans doute les plus heureuses de sa vie,
puisque, dégagé de toute inquiétude, il les passa au sein de l'amitié et
dans le doux commerce des muses, qui, durant cette époque tranquille et
fortunée, lui inspirèrent ses plus beaux ouvrages, et assurèrent sa
gloire et son immortalité.
Elle l'accueillit chez elle (1673), prévint tous ses besoins, et le dispensa
de tous soins ; c'était assurément le plus grand service qu'elle pût
rendre à un homme de son caractère. Rien n'exprime mieux l'extrême
insouciance et la profonde incurie de ce caractère qu'un mot plaisant de
Mme de la Sablière. Elle venait de congédier à la fois tous ses
domestiques : « Je n'ai gardé avec moi, dit-elle, que mes trois animaux,
mon chien, mon chat et La Fontaine. » Le fabuliste songeait sans doute à
l'amitié de Mme de la Sablière, lorsque dans une de ses fables il
s'écriait avec un accent si tendre et si vrai
Qu'un ami véritable est une douce chose !
Il cherche vos besoins au fond de votre cœur.
« Elle s'était chargée de son bonheur, a dit un de nos écrivains ; il se
chargea de sa gloire. » Il composa auprès d'elle la plupart de ses
chefs-d'œuvre ; il l'y nomma plusieurs fois, lui en dédia ou lui en
adressa quelques-uns. Ce fut chez cette dame, amie éclairée des lettres
et de la philosophie, que La Fontaine connut Bernier. Il puisa dans les
conversations de ce philosophe, disciple de Gassendi, des notions sur
les sciences naturelles et physiques, aussi étendues qu'en avaient les
personnes les plus instruites de son temps qui ne faisaient pas de ces
objets leur principale ou seule étude. Il trouva dans son génie l'art de
les exprimer en beaux vers, ainsi que l'attestent plusieurs de ses
fables et son poème sur le Quinquina.
Quels motifs ont pu porter Boileau à garder le silence sur l'apologue dans son Art poétique ?
Rivaux dans leur candidature pour l'Académie française, ces deux grands
poètes n'y entrèrent que difficilement, commun obstacle qu'on explique
par l'esprit satirique de l'un et par la fidélité obstinée de l'autre
pour son bienfaiteur en disgrâce, le surintendant Fouquet, auquel il a
élevé dans ses vers un si honorable monument de reconnaissance : mais
n'est-il point permis de penser que les Contes de La Fontaine, dont le
meilleur n'est pas celui que Boileau a tant loué (voir sa Dissertation
sur Joconde), et peut-être aussi ses admirables apologues, où si souvent
la satire frappe plus haut que ne l'eût osé faire l'auteur du Lutrin,
durent contribuer pour quelque part à la défaveur de l'émule du poète
favori ?
Louis XIV n'agréa le choix de l'Académie qui appelait La Fontaine à remplacer le grand Colbert (2 mai 1684), que lorsqu'à son
tour Despréaux y dut succéder à M. de Bezons. Quelque méritées que
fussent les louanges prodiguées avec candeur par La Fontaine à son
prédécesseur, dans le discours d'étiquette, on ne peut se défendre d'une
admiration profonde quand on songe qu'il les adressait aux mânes de ce
même ministre, puissant dispensateur des grâces du monarque, et dont il
n'avait reçu jamais que les dédains d'une injuste rigueur.
La Fontaine mourut à Paris le 13 avril 1695, dans la maison de M. et Mme
d'Hervart — Maître des Requêtes au Parlement de Paris marié à Françoise
de Bretonvilliers —, dernier asile que lui offrit l'amitié après qu'il
eut perdu Mme de la Sablière, chez qui, durant vingt années, il avait
également reçu la plus délicate et la plus généreuse hospitalité. Il
faut bien avouer que la conduite privée du poète philosophe n'a pas
toujours répondu à la pureté de ses principes ; mais en faveur de sa
bonté naturelle, de sa rare constance en amitié, et plus encore
peut-être, pour la beauté de ses ouvrages, précieux fruits de son
insouciance même, la postérité lui pardonne volontiers les écarts de sa
vie, et jusqu'à la singulière négligence de ses devoirs de père de
famille.
Dans ses dernières années, cédant, non sans combattre, aux pressantes sollicitations de l'abbé Pouget — La Fontaine avait
demandé un prêtre, et le curé de l'église Saint-Roch lui avait envoyé le
jeune abbé Pouget, qui venait d'obtenir son doctorat de théologie —, il
parut regretter les atteintes que ses Contes, trop libres (et pourtant
imprimés avec privilège) avaient pu porter aux mœurs et à la religion,
et il finit par se soumettre aux réparations qu'on lui prescrivit.
Toutefois ces réparations qu'on imposa au bon vieillard lui durent être
pénibles, quelle que fut sa repentance, si l'on en juge par l'apostrophe
suivante qu'adressa (si l'on en croit la tradition) la servante de La
Fontaine au jeune ecclésiastique attaché à le convaincre : « Eh ! ne le
tourmentez pas tant ! il est plus bête que méchant ; Dieu n'aura jamais
le courage de le damner. »
Aujourd’hui, c’est vendredi 13 ! Bonne ou mauvaise nouvelle ?
Voici quelques infos et astuces sur ce sujet très controversé.
Que faire un vendredi 13 ?
Quand on est superstitieux, il est de bon ton d’éviter les chats noirs et les échelles, surtout un vendredi 13. Si vous n’avez ni patte de lapin, ni brin de muguet, pensez à toucher du bois et à porter du vert pour conjurer le sort. Vous pouvez aussi vous tenir loin des miroirs pour éviter 7 ans de malheur et jeter du sel par dessus votre épaule.
A faire avec les enfants un vendredi 13, après l’école :
Partir à la chasse au trèfle à quatre feuilles, au bois ou au parc municipal.Aller à la ferme pédagogique et rencontrer le maréchal ferrand, pour lui demander un fer à cheval.
Mais surtout, voici une bonne raison de ne rien entreprendre : passez une journée « normale » (pourquoi pas en télétravail) ), profitez des bons moments avec les collègues ou du calme de la maison, et laissez-vous aller sans changer vos habitudes. Bref : vendredi 13, on reste zen !
Mais n’oubliez pas qu’il faut souvent provoquer la chance… Osez : lancez-vous !
Mais connaissez-vous les origines du vendredi 13 et pourquoi il pose tant questionnement ?
Nous vous aidons à mieux le comprendre à travers ces quelques exemples…
Les origines du vendredi 13
A l’origine : le vendredi 13 porte-bonheur
Dans la mythologie grecque, le 13 est un chiffre valorisé. C’est le symbole de la toute puissance de Zeus. En échos, Ulysse est le 13ème homme a échapper au cyclope, et symbolise le courage et l’esprit.
Dans l’Antiquité, le vendredi était le jour d’exécution des criminels. C’était aussi un jour de liesse pour les grecs qui célébraient la déesse Aphrodite.
Evolution vers un vendredi 13 porte-malheur
Tandis que pendant l’Antiquité, le 13, par son indivisibilité est un chiffre fort, il perd de sa superbe dans les temps chrétiens. Le 12 est porté aux nues et devient symbole d’unité et de stabilité. Dorénavant, le 13 est une rupture, symbolisé par la carte de la mort dans le tarot.
Lorsque les chrétiens ont évangélisé les peuples du Nord de l’Europe, on dit que Frigga, reine des dieux dite « déesse au chat noir », fut chassée. Considérée comme sorcière, elle comploterait de mauvais sorts tous les vendredi, avec 11 sorcières et le diable. 13 présences « maléfiques », réunies un vendredi.
Dans la Bible, le vendredi n’est jamais cité autrement que comme « sixième jour » et serait associé à un certain nombre de malheurs : le jour où le diable tenta Ève, où Caïn tua son frère Abel, où le déluge de Noé s’abattit sur Terre, etc… Le 13 rappelle surtout la Cène. Lors de ce repas, 13 convives étaient à table, dont un traître : Judas.
Dans l’Histoire de France, vendredi 13 est notamment le jour de l’arrestation de Jacques de Molay qui énonça la prophétie des rois maudits.
Le saviez-vous ? La phobie du chiffre 13 s’appelle la paraskevidékatriaphobie.
Les gencives qui saignent sont un problème tout aussi banal que gênant, tout comme les dents qui se déchaussent. Dans cet article, nous vous expliquons comment vous pouvez améliorer ces deux conditions.
Les gencives qui saignent et les dents qui se déchaussent sont deux desproblèmes bucco-dentaires les plus communs.
Bien que leurs causes soient diverses, ils sont habituellement dus à un manque d’hygiène qui finit par entraîner l’apparition de maladies telles que la gingivite.
Voilà pourquoi nous vous présentons aujourd’hui quelques remèdes naturels pour traiter des symptômes comme le saignement des gencives et le déchaussement des dents.
Évidemment, ces recommandations ou ces remèdes ne sont utiles que dans les cas peu sévères. Par contre, si vous avez des problèmes graves, il vous faudra consulter un dentiste. Vous ferez ainsi l’objet d’une attention spécialisée afin de résoudre votre problème de la façon la plus appropriée !
L’eau tiède salée pour les gencives
Un excellent remède naturel pour traiter les gencives qui saignent est de faire un bain de bouche avec de l’eau tiède et du sel. Comme tout le monde sait, les solutions salées ont un effet antiseptique, et dans un cas comme celui-ci elles améliorent la circulation du sang au niveau des gencives, leur évitant ainsi de s’enflammer et de saigner.
De l’eau et du péroxyde
Un autre remède naturel pour traiter le saignement des gencives, également efficace pour soigner les dents qui tendent à se déchausser, consiste à préparer une solution à base d’eau avec un péroxyde. Dans ce cas, mélanger de l’eau à du péroxyde d’hydrogène (eau oxygénée) et faire un bain de bouche pendant 30 secondes ; il est très important de ne pas avaler cette solution, car cela peut être dangereux pour la santé. L’idéal est de faire un bain de bouche trois fois par semaine.
Masser et brosser les gencives
Il existe un remède très simple et efficace, mais que bien des gens ont oublié, qui consiste à se masser les gencives à l’aide de la brosse à dents. Nous leur éviterons ainsi de s’enflammer et d’occasionner la chute de nos dents, et elles deviendront donc plus toniques. Il existe actuellement dans le commerce des brosses à dents avec un masseur de gencives intégré, ce qui nous permet d’en prendre soin plus aisément. Massez-les tous les jours, à chaque fois que vous vous lavez les dents.
Le bicarbonate de soude
Le bicarbonate de soude est un remède naturel très efficace pour éviter le saignement et l’inflammation des gencives.
Il suffit de mélanger un peu de bicarbonate de soude à de l’eau et de l’appliquer sur les gencives avec le doigt. Brossez ensuite vos dents comme d’habitude et rincez-vous bien la bouche.
Le thym
L’utilisation du thym comme remède naturel pour traiter les problèmes des dents qui se déchaussent est très connue.
Depuis très longtemps, le thym a été employé pour fortifier et pour protéger les dents. On peut réaliser des bains de bouche avec un mélange d’eau et de racine de thym !
L’avocat
Pour traiter les dents qui bougent, nous vous recommandons également de frotter les feuilles de cet arbre sur toute la gencive. On peut également les mâcher afin d’obtenir de meilleurs résultats. L’avocat rend les gencives plus toniques et consolide la denture. Il évite la formation de caries ainsi que d’autres problèmes dentaires comme la pyorrhée.