Pourquoi reçoit-on plus de décharges électrostatiques en ce moment?
En hiver, les décharges électrostatiques sont plus nombreuses. Pas d'inquiétude si vous prenez plusieurs "coups de jus" dans la journée. Vous avez encore pris une châtaigne en faisant la bise à vos amis(es). Ce n'est pas leur faute. C'est une simple question de saison.
En hiver, il y a plus de chances que vous vous preniez des décharges électrostatiques , ces petites châtaignes, lorsque vous faites les petits gestes quotidiens. L'électricité statique est présente partout. Les mains, les cheveux, le métal, les vêtements...
Lorsque des objets se touchent, ils perdent ou gagnent des électrons. À force, les charges s'accumulent, il y a un transfert d'électrons, et c'est la décharge. "Durant un court laps de temps, l’électricité n’est plus… statique: la petite décharge électrique qui s’ensuit correspond au passage des électrons" explique sur son site l'Université de Montréal. Et en hiver, ces décharges sont plus nombreuses.
Nous portons plus de couches de vêtements, ce qui créée plus de frottements, et ces derniers sont plus isolants. L'air aussi est différent et influe sur le mouvement des électrons. "L'air sec de l’hiver est un meilleur isolant, c'est-à-dire qu’il isole davantage les électrons, qui doivent s’accumuler en plus grande quantité pour franchir la barrière isolante. C’est ce qui explique pourquoi les chocs en hiver sont plus forts", explique Andrea Bianchi, chercheur en physique, sur le site de l'Université de Montréal.
Bon, ceci dit, heureusement que l'ERDF nous facture pas cette électricité !
artiste Canadien, Calvin Nicholls, crée d'incroyables et réalistes sculptures en papier. Il a commencé au milieu des années 80 et a produit, depuis lors, plus de 500 oeuvres. Chaque oeuvre peut lui prendre jusqu'à 4 semaines de travail et, pour quelques cas, plus de 2 ans.
Situées à la lisière entre l'artisanat d'art et le commerce de proximité, les échoppes des fleuristes les plus talentueux ressemblent parfois à de véritables cabinets de curiosités végétales. Tour d'horizon des plus jolies boutiques de fleurs de la capitale. Monsieur Le Fleuriste Derrière la devanture du 209 avenue Daumesnil se cache, depuis 2016, l'une des adresses les plus agréables de la capitale. En entrant, on découvre une boutique lumineuse, moderne, agencée de façon à ce que chaque plante semble parfaitement à sa place. Disséminés ça et là, des spécimens rares, quelques objets décoratifs, une grande variété de plantes en pot, ainsi qu'une sélection de produits de soin estampillés « Monsieur le Fleuriste ». Et lorsque vient le moment de concevoir un bouquet, les gérants – Gil Boyard, Meilleur Ouvrier de France en 2010, et Nicolas Rosière, son acolyte depuis plus de 15 ans – rivalisent de créativité et de savoir-faire pour nous proposer des compositions de fleurs ou de plantes aussi délicates qu'originales. Une pépite
Aoyama Flower Market C'est à près de 10 000 km de Paris, dans le quartier tokyoïte d'Aoyama, qu'est né le premier Aoyama Flower Market en 1993. Près de vingt ans plus tard, Tomoji Hakuno est envoyé à Paris par la maison-mère pour ouvrir la première boutique à l'internationale. Il installe son écrin de verdure aux allures de tableau végétal dans le 7e arrondissement, rue du Bac. Depuis, les petites mains du Aoyama Flower Market nous proposent un savant mélange entre l'ikebana, l'art floral japonais, et les techniques de composition occidentale au sein d'une jolie boutique à l'atmosphère propice à l'évasion. Et ne vous fiez pas à l'adresse cossue de la boutique : les prix sont tout doux
Bleuet Coquelicot Installée à deux pas du Canal Saint-Martin, Bleuet Coquelicot est une charmante petite boutique à l'allure résolument bucolique. Surnommée « fleuristerie des champs » par son propriétaire (qui répond au poétique nom de « Tom des fleurs » !), l'échoppe propose des compositions de fleurs de saison issues des régions françaises, mais également des plantes plus rares. Sanctuaire des romantiques, Bleuet Coquelicot est aussi le lieu idéal pour quiconque recherche un artisan généreux en conseils et capable de parler de ses plantes avec passion
Stéphane Chapelle Fleuriste Implantée depuis près de vingt ans à deux pas du Palais-Royal, la boutique de Stéphane Chapelle est un condensé d'élégance et d'harmonie. Si ce fleuriste-jardinier est depuis longtemps une référence (il compte Chanel ou l'Oréal parmi ses clients), il n'en reste pas moins un artisan qui aime la simplicité. Moins classiques et calibrées que celles d'autres fleuristes de renom, ses compositions sont élégantes sans être précieuses, classiques sans jamais manquer d'originalité. Et grâce à sa mise en scène soignée et son art de manier le contraste, l'atelier-boutique qui porte son nom est un régal pour les yeux !
Natcho et Compagnie Avant même de passer la porte de cette charmante boutique du Haut-Marais, on sait que l'on va entrer dans l'antre d'un artisan au goût infaillible. Les succulentes, les fleurs en pots, les bouquets, les petits arbustes... Tout est parfaitement mis en scène pour nous donner envie de découvrir ce qui se cache derrière cette jolie devanture. Et l'intérieur n'est pas en reste : on y trouve des plantes, de toutes sortes et de toutes tailles, absolument partout, du sol au plafond !
LE SAVIEZ VOUS ?............. Inde : La Kumbh Mela, le plus grand rassemblement pacifique de pèlerins au monde La Kumbh Mela (fête de la jarre sacrée) est le plus grand rassemblement pacifique de pèlerins au monde. Les participants viennent se baigner ou s'immerger dans une rivière sacrée Les croyants lavent leurs péchés et espèrent se libérer du cycle sans fin des réincarnations en se baignant dans le Gange. Des millions de personnes s'y rendent sans invitation. Ascètes, hommes saints, sadhus, aspirants kalpavasis et visiteurs s'y rassemblent. Le festival se déroule tous les quatre ans, à tour de rôle à Allahabad, Haridwar, Ujjain et Nashik. Des millions de personnes s'y rendent, indépendamment de leur caste, leurs croyances ou leur genre. Ses principaux détenteurs appartiennent toutefois à des akhadas et ashrams, organisations religieuses, ou vivent d'aumônes. La Kumbh Mela joue un rôle spirituel central dans le pays. Elle exerce une influence magnétique sur les Indiens ordinaires. L'événement associe astronomie, astrologie, spiritualité, traditions rituelles, coutumes et pratiques culturelles et sociales, qui en font une manifestation riche en connaissances Organisé dans quatre villes différentes en Inde, l'événement comporte différentes activités sociales et culturelles, ce qui en fait un festival varié sur le plan culturel. La transmission des connaissances et des savoir-faire liés à cette tradition est assurée par les anciens manuscrits religieux, les traditions orales Toutefois, la relation élève-professeur des sadhus dans les ashrams et akhadas reste le plus important mode de transmission et de sauvegarde des connaissances et des savoir-faire liés à la Kumbh Mela
C'est un vrai plaisir de vous lire Mesdames et Messieurs, continuez à nous régaler visuellement et nous faire partager toute cette actualité parfois inconnue de nous Amicalement
" La vie est plus belle que la prudence." (Abbé Pierre)
" Le meilleur moyen pour prendre un train à l'heure, c'est de s'arranger pour rater le précédent." (Marcel Achard)
" Il est des portes sur la mer que l'on ouvre avec des mots." (Rafael Alberti) " Quand on ne travaillera plus les lendemains des jours de repos, la fatigue sera vaincue." (Alphonse Allais)
" L'avenir à chaque instant presse le présent d'être un souvenir." (Louis Aragon)
" L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible." (Woody Allen) " La différence entre l'homme qui met son humour dans la vie et celui qui fait de l'humour est la même qu'entre un aventurier et un homme qui a le goût de l'aventure." (Guillaume Apollinaire)
" Si l'on trouve du plaisir au bonheur d'autrui, c'est avant tout parce que l'autre est nécessaire à son propre bonheur." (Jacques Attali)
" Ne crois pas que tu t'es trompé de route quand tu n'es pas allé assez loin." (Claude Aveline)
" Les hommes peuvent atteindre un but commun sans emprunter les mêmes voies. " (Amadou Hampâté Bâ)
" Les êtres cachés et fuyants oublient de fuir quand le poète les appelle par leur vrai nom." (Gaston Bachelard)
" On naît. On meurt. C'est mieux si entre les deux on a fait quelque chose." (Francis Bacon)
" Un homme n'en chasse pas un autre. Les histoires d'amour ne s'annulent pas. Elles s'additionnent. Les chagrins d'amour aussi."(Manon Barbeau) " J'aimerais recréer des lieux de grande écoute où les personnesprésentes vibrent et tremblent de joie, de bonheur. Le chanteur, l'aède est celui qui aide à vivre, à traverser tous les labyrinthes de ce temps." (Julos Beaucarne)
" Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer."(Beaumarchais) " Le bonheur, c'est avoir une bonne santé et une mauvaise mémoire." (Ingrid Bergman) " C'est au pied du mur que l'on voit le mieux le mur." (Jean-Marie Bigard)
" J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non pour m'assurer de l'existence de l'arbre - dont je ne doute pas - mais de la mienne." (Christian Bobin)
" Mille victoires sur mille ennemis ne valent pas une seule victoire sur soi-même." (Bouddha)
" Dès qu'il y a des gens qui bougent, les immobiles disent qu'ils fuient. " (Jacques Brel)
L'île du Petit Bé (ou Bey) et son fort se situent à quelques centaines de mètres des remparts de la ville de Saint-Malo et à quelques dizaines de mètres du Grand Bé.
Le fort a été construit au XVIIe siècle. Il faisait partie d'une ceinture défensive conçue par Vauban et destinée à protéger la ville de Saint-Malo d'attaques des escadres ennemies anglaises ou hollandaises.
Les allumeurs de réverbères apparaissent avec l'établissement fixe des premiers réverbères aux environs de 1667. Auparavant, l'éclairage des rues ne reposait que sur quelques chandelles que l'on recommandait de placer au premier étage des maisons bourgeoises A Paris en 1667, les autorités seraient les premières à avoir fait placer, au milieu et aux deux extrémités de chaque rue, des lanternes garnies de chandelles , ce qui se généralisa à toutes les villes de France .Pour perpétuer le souvenir, on frappa en 1669 une médaille avec cette légende "Urbis securitas et nitor" (la sécurité et le netteté de Paris) L'allumage des lampes se fait alors par les habitants officiellement désigné annuellement, chacun dans son quartier , pour intervenir aux heures réglées.Une taxe est prélevée, l'impôt de boues et lanternes qui permettra la transformation de Paris sous l'impulsion de son lieutenant de police . En 1766, à Paris toujours, les lanternes cèdent la place aux réverbères : l'huile succédant aux chandelles à double mèche. Les lanternes à réverbères ont été inventé par un certain abbé Matherot de Preigney et un sieur Bourgeois de Châteaublanc, qui par lettres-patentes enregistrées le 28 décembre 1745 obtinrent le privilège de cette entreprise . Le métier d'allumer de réverbères est des plus précaire,soumis aux intempéries , et s'accomplit en complément d'autres activités lucratives. Ne connait ni dimanche,ni morte saison : rien ne le détourne de sa promenade quotidienne. Il doit faire preuve d'une adresse manuelle , descendre chacune des lampes, enlever les mèches consumées, nettoyer la coquille, afin qu'elles s'imprègnent d'huile, allumées au milieu de la rue, au risque d'être écrasé par un cocher maladroit Le métier d'allumeur change de nature avec la conversion des réverbères, au gaz d'éclairage . Jusqu'en 1842 à Paris où la profession est sur le déclin ..
A partir de 1880, le gaz d'éclairage cède progressivement place à l'électricité Le Petit Prince, d'Antoine de Saint Exupéry : « La cinquième planète était très curieuse. C'était la plus petite de toutes. Il y avait là juste assez de place pour loger un réverbère et un allumeur de réverbères. Le petit prince ne parvenait pas à s'expliquer à quoi pouvaient servir, quelque part dans le ciel, sur une planète sans maison, ni population, un réverbère et un allumeur de réverbères. Cependant il se dit en lui-même Peut-être bien que cette homme est absurde. Cependant il est moins absurde que le roi, que le vaniteux, que le businessman et que le buveur. Au moins son travail a-t-il un sens. Quand il allume son réverbère, c'est comme s'il faisait naître une étoile de plus, ou une fleur. Quand il éteint son réverbère ça endort la fleur ou l'étoile. C'est une occupation très jolie. C'est véritablement utile puisque c'est joli. »
Coucou à tous et merci beaucoup, quel plaisir de regarder tout ça!!!! Un merci particulier, pour Jean Ferrat et Robert Lamoureux, je les aimais tellement ceux là!!! quel plaisir et quelle joie ils nous ont donné...ils me manquent, et je ne pense pas être la seule!!! encoregrand merci .
En hiver, les décharges électrostatiques sont plus nombreuses.
Pas d'inquiétude si vous prenez plusieurs "coups de jus" dans la journée.
Vous avez encore pris une châtaigne en faisant la bise à vos amis(es).
Ce n'est pas leur faute. C'est une simple question de saison.
En hiver, il y a plus de chances que vous vous preniez des décharges électrostatiques , ces petites châtaignes, lorsque vous faites les petits gestes quotidiens. L'électricité statique est présente partout. Les mains, les cheveux, le métal, les vêtements...
Lorsque des objets se touchent, ils perdent ou gagnent des électrons. À force, les charges s'accumulent, il y a un transfert d'électrons, et c'est la décharge. "Durant un court laps de temps, l’électricité n’est plus… statique: la petite décharge électrique qui s’ensuit correspond au passage des électrons" explique sur son site l'Université de Montréal. Et en hiver, ces décharges sont plus nombreuses.
Nous portons plus de couches de vêtements, ce qui créée plus de frottements, et ces derniers sont plus isolants.
L'air aussi est différent et influe sur le mouvement des électrons. "L'air sec de l’hiver est un meilleur isolant, c'est-à-dire qu’il isole
davantage les électrons, qui doivent s’accumuler en plus grande quantité pour franchir la barrière isolante. C’est ce qui explique pourquoi les chocs en hiver sont plus forts", explique Andrea Bianchi, chercheur en physique, sur le site de l'Université de Montréal.
Bon, ceci dit, heureusement que l'ERDF nous facture pas cette électricité !
SCULTEUR DE PAPIER
artiste Canadien, Calvin Nicholls, crée d'incroyables et réalistes sculptures
en papier. Il a commencé au milieu des années 80 et a produit, depuis
lors, plus de 500 oeuvres. Chaque oeuvre peut lui prendre jusqu'à 4
semaines de travail et, pour quelques cas, plus de 2 ans.
Situées à la lisière entre l'artisanat d'art et le commerce de proximité, les échoppes des fleuristes les plus talentueux ressemblent
parfois à de véritables cabinets de curiosités végétales. Tour d'horizon
des plus jolies boutiques de fleurs de la capitale.
Monsieur Le Fleuriste
Derrière la devanture du 209 avenue Daumesnil se cache, depuis 2016, l'une des
adresses les plus agréables de la capitale. En entrant, on découvre une
boutique lumineuse, moderne, agencée de façon à ce que chaque plante
semble parfaitement à sa place. Disséminés ça et là, des spécimens
rares, quelques objets décoratifs, une grande variété de plantes en pot,
ainsi qu'une sélection de produits de soin estampillés « Monsieur le
Fleuriste ». Et lorsque vient le moment de concevoir un bouquet, les
gérants – Gil Boyard, Meilleur Ouvrier de France en 2010, et Nicolas
Rosière, son acolyte depuis plus de 15 ans – rivalisent de créativité et
de savoir-faire pour nous proposer des compositions de fleurs ou de
plantes aussi délicates qu'originales. Une pépite
C'est à près de 10 000 km de Paris, dans le quartier tokyoïte d'Aoyama,
qu'est né le premier Aoyama Flower Market en 1993. Près de vingt ans
plus tard, Tomoji Hakuno est envoyé à Paris par la maison-mère pour
ouvrir la première boutique à l'internationale. Il installe son écrin de
verdure aux allures de tableau végétal dans le 7e arrondissement, rue
du Bac. Depuis, les petites mains du Aoyama Flower Market nous proposent
un savant mélange entre l'ikebana, l'art floral japonais, et les
techniques de composition occidentale au sein d'une jolie boutique à
l'atmosphère propice à l'évasion. Et ne vous fiez pas à l'adresse cossue
de la boutique : les prix sont tout doux
Installée à deux pas du Canal Saint-Martin, Bleuet Coquelicot est une charmante
petite boutique à l'allure résolument bucolique. Surnommée «
fleuristerie des champs » par son propriétaire (qui répond au poétique
nom de « Tom des fleurs » !), l'échoppe propose des compositions de
fleurs de saison issues des régions françaises, mais également des
plantes plus rares. Sanctuaire des romantiques, Bleuet Coquelicot est
aussi le lieu idéal pour quiconque recherche un artisan généreux en
conseils et capable de parler de ses plantes avec passion
Implantée depuis près de vingt ans à deux pas du Palais-Royal, la boutique de
Stéphane Chapelle est un condensé d'élégance et d'harmonie. Si ce
fleuriste-jardinier est depuis longtemps une référence (il compte Chanel
ou l'Oréal parmi ses clients), il n'en reste pas moins un artisan qui
aime la simplicité. Moins classiques et calibrées que celles d'autres
fleuristes de renom, ses compositions sont élégantes sans être
précieuses, classiques sans jamais manquer d'originalité. Et grâce à sa
mise en scène soignée et son art de manier le contraste,
l'atelier-boutique qui porte son nom est un régal pour les yeux !
Avant même de passer la porte de cette charmante boutique du Haut-Marais, on
sait que l'on va entrer dans l'antre d'un artisan au goût infaillible.
Les succulentes, les fleurs en pots, les bouquets, les petits
arbustes... Tout est parfaitement mis en scène pour nous donner envie de
découvrir ce qui se cache derrière cette jolie devanture. Et
l'intérieur n'est pas en reste : on y trouve des plantes, de toutes
sortes et de toutes tailles, absolument partout, du sol au plafond !
Physicien et Astronome Léon Foucault est remarqué par Bonaparte et lui demande de
réaliser une expérience dans l’enceinte du Panthéon.
Une sphère de près de 50 Kgs suspendue à un fil de 67 mètres prouve la rotation de la Terre sur elle-même.
Malgré l’impression d’optique, la sphère ne pivote pas, c’est le cadran et donc la Terre en dessous qui tournent sur eux même.
LE SAVIEZ VOUS ?.............
Inde : La Kumbh Mela, le plus grand rassemblement pacifique de pèlerins au monde
La Kumbh Mela (fête de la jarre sacrée) est le plus grand rassemblement
pacifique de pèlerins au monde. Les participants viennent se baigner ou
s'immerger dans une rivière sacrée
Les croyants lavent leurs péchés et espèrent se libérer du cycle sans fin des réincarnations en se
baignant dans le Gange. Des millions de personnes s'y rendent sans
invitation. Ascètes, hommes saints, sadhus, aspirants kalpavasis et
visiteurs s'y rassemblent.
Le festival se déroule tous les quatre ans, à tour de rôle à Allahabad,
Haridwar, Ujjain et Nashik. Des millions de personnes s'y rendent,
indépendamment de leur caste, leurs croyances ou leur genre.
Ses principaux détenteurs appartiennent toutefois à des akhadas et ashrams,
organisations religieuses, ou vivent d'aumônes. La Kumbh Mela joue un
rôle spirituel central dans le pays. Elle exerce une influence
magnétique sur les Indiens ordinaires.
L'événement associe astronomie, astrologie, spiritualité, traditions rituelles, coutumes et
pratiques culturelles et sociales, qui en font une manifestation riche
en connaissances
Organisé dans quatre villes différentes en Inde, l'événement comporte
différentes activités sociales et culturelles, ce qui en fait un
festival varié sur le plan culturel. La transmission des connaissances
et des savoir-faire liés à cette tradition est assurée par les anciens
manuscrits religieux, les traditions orales
Toutefois, la relation élève-professeur des sadhus dans les ashrams et akhadas reste le plus
important mode de transmission et de sauvegarde des connaissances et des
savoir-faire liés à la Kumbh Mela
Amicalement
" La vie est plus belle que la prudence." (Abbé Pierre)
" Le meilleur moyen pour prendre un train à l'heure, c'est de s'arranger pour rater le précédent." (Marcel Achard)
" Il est des portes sur la mer que l'on ouvre avec des mots." (Rafael Alberti)
" Quand on ne travaillera plus les lendemains des jours de repos, la fatigue sera vaincue." (Alphonse Allais)
" L'avenir à chaque instant presse le présent d'être un souvenir." (Louis Aragon)
" L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible." (Woody Allen)
" La différence entre l'homme qui met son humour dans la vie et celui
qui fait de l'humour est la même qu'entre un aventurier et un homme qui a
le goût de l'aventure." (Guillaume Apollinaire)
" Si l'on trouve du plaisir au bonheur d'autrui, c'est avant tout parce que l'autre est nécessaire à son propre bonheur." (Jacques Attali)
" Ne crois pas que tu t'es trompé de route quand tu n'es pas allé assez loin." (Claude Aveline)
" Les hommes peuvent atteindre un but commun sans emprunter les mêmes voies. " (Amadou Hampâté Bâ)
" Les êtres cachés et fuyants oublient de fuir quand le poète les appelle par leur vrai nom." (Gaston Bachelard)
" On naît. On meurt. C'est mieux si entre les deux on a fait quelque chose." (Francis Bacon)
" Un homme n'en chasse pas un autre. Les histoires d'amour ne s'annulent pas. Elles s'additionnent. Les chagrins d'amour aussi."(Manon Barbeau)
" J'aimerais recréer des lieux de grande écoute où les personnesprésentes vibrent et tremblent de joie, de bonheur. Le chanteur, l'aède est celui
qui aide à vivre, à traverser tous les labyrinthes de ce temps." (Julos Beaucarne)
" Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer."(Beaumarchais)
" Le bonheur, c'est avoir une bonne santé et une mauvaise mémoire." (Ingrid Bergman)
" C'est au pied du mur que l'on voit le mieux le mur." (Jean-Marie Bigard)
" J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non
pour m'assurer de l'existence de l'arbre - dont je ne doute pas - mais
de la mienne." (Christian Bobin)
" Mille victoires sur mille ennemis ne valent pas une seule victoire sur soi-même." (Bouddha)
" Dès qu'il y a des gens qui bougent, les immobiles disent qu'ils fuient. " (Jacques Brel)
L'île du Petit Bé (ou Bey) et son fort se situent à quelques centaines de mètres des remparts de la ville de Saint-Malo et à quelques dizaines de mètres du Grand Bé.
Le fort a été construit au XVIIe siècle. Il faisait partie d'une ceinture défensive conçue par Vauban et destinée à protéger la ville de
Saint-Malo d'attaques des escadres ennemies anglaises ou hollandaises.
Les allumeurs de réverbères apparaissent
avec l'établissement fixe des premiers réverbères aux environs de 1667.
Auparavant, l'éclairage des rues ne reposait que sur quelques
chandelles que l'on recommandait de placer au premier étage des maisons
bourgeoises
A Paris en 1667, les autorités seraient les premières à avoir fait
placer, au milieu et aux deux extrémités de chaque rue, des lanternes
garnies de chandelles , ce qui se généralisa à toutes les villes de
France .Pour perpétuer le souvenir, on frappa en 1669 une médaille avec
cette légende "Urbis securitas et nitor" (la sécurité et le netteté de
Paris)
L'allumage des lampes se fait alors par les habitants officiellement désigné
annuellement, chacun dans son quartier , pour intervenir aux heures
réglées.Une taxe est prélevée, l'impôt de boues et lanternes qui
permettra la transformation de Paris sous l'impulsion de son lieutenant
de police .
En 1766, à Paris toujours, les lanternes cèdent la place aux réverbères :
l'huile succédant aux chandelles à double mèche. Les lanternes à
réverbères ont été inventé par un certain abbé Matherot de Preigney et
un sieur Bourgeois de Châteaublanc, qui par lettres-patentes
enregistrées le 28 décembre 1745 obtinrent le privilège de cette
entreprise .
Le métier d'allumer de réverbères est des plus précaire,soumis aux
intempéries , et s'accomplit en complément d'autres activités
lucratives. Ne connait ni dimanche,ni morte saison : rien ne le détourne
de sa promenade quotidienne. Il doit faire preuve d'une adresse
manuelle , descendre chacune des lampes, enlever les mèches consumées,
nettoyer la coquille, afin qu'elles s'imprègnent d'huile, allumées au
milieu de la rue, au risque d'être écrasé par un cocher maladroit
Le métier d'allumeur change de nature avec la conversion des réverbères,
au gaz d'éclairage . Jusqu'en 1842 à Paris où la profession est sur le
déclin ..
A partir de 1880, le gaz d'éclairage cède progressivement place à l'électricité
Le Petit Prince, d'Antoine de Saint Exupéry :
« La cinquième planète était très curieuse. C'était la plus petite de
toutes. Il y avait là juste assez de place pour loger un réverbère et un
allumeur de réverbères. Le petit prince ne parvenait pas à s'expliquer à
quoi pouvaient servir, quelque part dans le ciel, sur une planète sans
maison, ni population, un réverbère et un allumeur de réverbères.
Cependant il se dit en lui-même Peut-être bien que cette homme est
absurde. Cependant il est moins absurde que le roi, que le vaniteux, que
le businessman et que le buveur. Au moins son travail a-t-il un sens.
Quand il allume son réverbère, c'est comme s'il faisait naître une
étoile de plus, ou une fleur. Quand il éteint son réverbère ça endort la
fleur ou l'étoile. C'est une occupation très jolie. C'est véritablement
utile puisque c'est joli. »
Un merci particulier, pour Jean Ferrat et Robert Lamoureux, je les aimais tellement ceux là!!! quel plaisir et quelle joie ils nous ont donné...ils me manquent, et je ne pense pas être la seule!!! encoregrand merci .