Hiro Goto utilise Instagram pour créer une Chanson d’Amour visuelle en Hommage aux multiples Visages du Japon.
Le photographe japonais Hiro Goto utilise son compte Instagram pour partager son point de vue unique sur la beauté de son pays. Des rues animées de Tokyo aux paysages paisibles du mont Fuji, l’artiste utilise son appareil photo pour éplucher les différentes couches du Japon. Goto a d’abord utilisé la photographie comme un moyen simple d’enregistrer ses activités quotidiennes; mais, après avoir installé Instagram, quelque chose a changé. « Je peux partager des photos avec des gens partout dans le monde et je veux partager la beauté du Japon avec eux »,explique-t-il. Bien que nous ayons l’habitude de voir des photographiesde Tokyo et de ces néons en feu, Goto parsème son compte avec des moments plus calmes. Les temples et les portes, ainsi que les maisons enneigées et les rues désolées, témoignent de la dichotomie du Japon. C’est cet équilibre entre ancien et nouveau, rapide et lent, qui rend le style de vie japonais unique. Le compte Instagram de Goto est une exploration du Japon dans son intégralité, que ce soit les joueurs dans un salon de pachinko ou les onsens traditionnels (sources chaudes) d’une ville de montagne enneigée. Goto tente de créer avec son compte Instagram une chanson d’amour visuelle enhommage à son pays. Le photographe espère que ses images stimuleront les spectateurs pour explorer le Japon par leurs propres moyens. « Je serais heureux si les gens voulaient voyager au Japon en regardant mes photos. » Et en montrant la beauté du Japon, à la fois dans les zones touristiques traditionnelles de Tokyo et Kyoto, ainsi que des villes moins fréquentées comme Nagano et Yamagata, il donne à ses fans beaucoup de raisons de réserver leur prochain voyage.
Reuben Wu est un musicien et photographe né à Liverpool qui s’est installé à Chicago, et il a eu cette idée géniale d’utiliser des drones pour faire apparaître les halos des montagnes. Reuben explique que son rêve d’enfance était d’avoir une caméra volante pour voir des paysages à partir de perspectives impossibles. Son rêve est devenu réalité en obtenant son premier drone en 2014. Son travail requiert non seulement beaucoup d’habileté et de compétence, mais il faut aussi au moins une journée pour planifier toute la séance photo. Comme Reuben le dit lui-même « Il y a beaucoup de recherches antérieures qui sont dans ces images. L’étude des cartes, des cycles de la lune, des saisons et du flux touristique. Je passe la journée pour la composition et la planification des lieux, des sentiers de randonnée etc, puis j’attends le coucher du soleil avant de commencer le tournage. Je garde mon kit portable afin que je puisse marcher jusqu’aux endroits très éloignés. Je ne photographie jamais quand il y a d’autres visiteurs présents, il est important pour moi que l’endroit soit très éloigné et que je sois seul pour créer ces images. « La clé d’une image comme celle-ci est, bien sûr, une longue exposition pour éclairer le paysage. Reuben a réalisé qu’il pouvait utiliser le drone et sa lumière dans un mode d’orbite circulaire autour d’un «point d’intérêt». Découvrez vous-même son incroyable travail et vous pouvez suivre le compte Instagram de Reuben pour voir ses autres projets. Save
« Quality of Living Index », le classement annuel des villes qui offrent la meilleure qualité de vie dans le monde.
Chaque année, Mercer, l’un des plus grands cabinets de ressources humaines au monde effectue un classement des villes offrant la meilleure qualité de vie appelé « Quality of Living Index ». Plus de 450 d’entre elles sont analysées et les résultats cachent toujours quelques surprises.
Afin de créer un classement au plus proche de la réalité du terrain, Mercer prend en compte de très nombreux paramètres. On y retrouve notamment: le côté politique/justice (stabilité, criminalité, application de la loi), économique (services bancaires, échange de devises), socioculturel (nombre de médias, censure, liberté personnelle et d’expression), santé (services médicaux, pollution de l’air, traitement des déchets et des eaux usées), éducatif (niveau et disponibilité des écoles et universités), service (réseau électrique, transports publics, trafic automobile), divertissement (restaurants, théâtres, cinémas, sport et loisir), consommation (nourriture, mode, concessionnaires, produits du quotidien), logement (location, achat, entretien), ou encore nature (climat, nombre de catastrophes climatiques). Bonne nouvelle, le nouveau classement vient d’être dévoilé. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, des villes très visitées et réputées à l’instar de Londres ,Paris et New York n’y apparaissent pas. La preuve que la barre a été placée particulièrement haute. Voici les 23 destinations arrivées en tête lors de l’étude : 1. Vienne, Autriche 2. Zurich, Suisse 3. Auckland, Nouvelle-Zélande 4.Munich, Allemagne 5. Vancouver, Canada 6. Düsseldorf, Allemagne 7. Francfort, Allemagne 8. Genève, Suisse 9. Copenhague, Danemark 10. Bâle, Suisse 10. Sydney, Australie 12. Amsterdam, Pays-Bas 13. Berlin, Allemagne 14. Berne, Suisse 15. Wellington, Nouvelle-Zélande 16. Melbourne, Australie 17. Toronto, Canada 18. Ottawa, Canada 19. Hambourg, Allemagne 20. Stockholm, Suède 21. Luxembourg, Luxembourg 22. Perth, Australie 23.Montréal, Canada
Connaissez-vous l'étonnante origine de ces 10 superstitions sur la maison ? SOCIÉTÉ - Miroir brisé, fer à cheval, chat noir : les superstitions sont partout dans la maison. Voici quelques explications pour briller en société (et rompre la malédiction). On a tendance à croire que les superstitions sont des peurs inexplicables et profondément irrationnelles. Vous serez surprise de découvrir que la plupart d'entre elles ont une origine historique, bien souvent religieuse. D'ailleurs ces superstitions ne sont pas parfaitement inutiles car selon une étude menée par l'Université de Chicago, elles auraient même un effet positif sur le cerveau humain !
En nous persuadant que nous allons conjurer le mauvais sort, l'événement que nous cherchons à tout prix à éviter a moins de chance de se produire si l'on y croit dure comme fer. Une sorte de prophétie autoréalisatrice en somme !
1 - Le miroir brisé Cassez un miroir et vous êtes parti pour 7 ans de malheur ! À l'origine de cette superstition, une croyance hérité de l'Empire Romain datant du Ier siècle. À l'époque, les Romains étaient convaincus que le miroir, en plus de refléter l'image du corps, reflétait celle de l'esprit. Du coup, briser un miroir équivalait à détruire son âme... rien que ça ! La durée de la malédiction correspond aux cycles de vie des Romains qui pensaient que notre vie était divisée en différentes périodes de sept ans. Il fallait donc attendre la fin d'un cycle pour être libéré de ces terribles tribulations.
2 - Le pain à l'envers Vous vous souvenez du savon que votre vieil oncle Roger vous avait passé, lorsque vous aviez déposé, nonchalamment, la baguette à l'envers sur la table ? Vous aviez d'ailleurs quitté le repas en rouspétant, ne comprenant pas pourquoi il accordait autant d'importance à ce geste aux conséquences apparemment anodines. Mais ne blâmez pas trop oncle Roger, puisque cette angoisse remonte loin, très loin. Au Moyen Âge, les bourreaux qui se chargeaient des exécutions publiques avaient le droit à un morceau de pain, que leur réservait le boulanger. Les gens se sont mis à penser que retourner le pain attirerait le bourreau chez eux. On associe depuis cette pratique au malheur. Un conseil donc, pour éviter de perdre une tête : vérifiez la position de votre baguette !
3 - Ouvrir un parapluie à l'intérieur de la maison Contrairement aux superstitions précédentes, celle-ci est assez récente. Lorsque les premiers parapluies à armature en métal ont été commercialisés au Royaume-Uni au 18ème siècle, le système n'était pas aussi perfectionné qu'aujourd'hui. Si on les ouvrait trop brusquement dans une pièce, on prenait le risque de blesser quelqu'un. Aujourd'hui, à moins d'ouvrir votre parapluie en visant une autre personne, le seul risque est de salir votre intérieur.
4 - Renverser du sel Alors que votre petit cousin a eu le malheur de renverser la salière sur la table, votre vieil oncle Roger (encore lui) s'empare d'une pincée de sel qu'il jette immédiatement derrière son épaule. Comme le sel a, de tout temps, été une denrée rare, en gaspiller bêtement présageait une fin de mois difficile. Gaspiller du sel est donc synonyme de grand malheur, tandis que le sel lui porte chance. C'est pour conjurer le mauvais sort que Roger a failli vous faire perdre un oeil.
5 - Passer sous une échelle Si vous pensiez que cette superstition était dûe au bon sens (quand on passe sous une échelle, on risque de prendre un objet sur la tête), vous faites erreur ! Cette superstition aurait une origine religieuse. Dans la religion chrétienne, le Dieu unique est représenté par trois figures : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Ce trio divin est souvent symbolisépar un triangle, forme que l'on retrouve lorsqu'une échelle est posée contre un mur. Du coup, passer sous une échelle signifierait ni plus ni moins rompre la Sainte-Trinité, et s'attirer la colère de Dieu !
6 - Toucher du bois “Je touche du bois !” Vérifiez bien qu'il y a du bois autour de vous avant de lancer cette phrase, on ne plaisante pas avec les dieux. Eh oui encore eux ! Le bois est associé à l'expression de la force divine, à l'image des Perses qui y voyait la manifestation du dieu du feu. En le touchant, ils se mettaient sous sa protection. L'idée fut reprise par les chrétiens, qui voient dans le bois la représentation de la croix sur laquelle est mort Jésus.
7 - Le fer à cheval C'est l'incontournable de la panoplie ésotérique : le fer à cheval. Censé porter bonheur à la maison qui l'abrite, le fer à cheval est un symbole connu par toutes et tous. Cette croyance trouve son origine dans un vieux mythe romain qui voudrait que Néron, empereur de Rome, avait imposé à ses forgerons d'équiper ses chevaux avec des fers en or. Mais comme la technique n'était pas encore au point, il arrivait que les chevaux perdent leurs fers. Un paysan qui passait par là serait tombé par hasard sur l'un de ces fers en or, qui lui aurait apporté une vie heureuse. On se demande pourquoi...
8 - Le chat noir Dans l'inconscient collectif, le chat noir est associé aux mauvais présages. Mais il ne mérite pas cette mauvaise réputation ! C'est à partir du Moyen Âge que les chats noirs sont diabolisés : les légendes de l'époque associent le petit félin à Lucifer, qui aurait envoyé sa fille sur Terre accompagnée d'un chat noir pour enseigner la magie “noire” aux mortels. Le chat noir est alors devenu un animal de premier choix pour toutes sortes de sorcellerie, car considéré comme messager du diable. Pauvres petits chats !
9 - Ne jamais être treize à table Malheureux hasard, le plan de table vous a condamné à passer l'entièreté du repas à côté de votre oncle Roger. Quand tout à coup, Monique, sa femme, remarque qu'il y a 13 convives. Il va falloir que quelqu'un quitte la table. Bon perdant, vous cédez votre place avec joie. Tante Monique ne craint pas que la nourriture vienne à manquer, non elle se remémore le dernier repas de Jésus, la Cène. Le treizième convive de ce repas n'était autre que Judas, qui selon la Bible, aurait trahi Jésus, causant sa crucifiction.
10 - Trinquer les yeux dans les yeux Fin des hostilités, on a trouvé une solution à la crise des 13 invités, Tatie Monique a séparé la tablée en deux. Il est l'heure de boire un coup. Comme, dans le fond, vous êtes quelqu'un de bien, vous vous approchez de l'oncle Roger pour trinquer. “Dans les yeux !!!”, hurle-t-il. Vous manquez de lâcher votre coupe. Diplomate, vous lui expliquez qu'il n'y a plus de raison de craindre un malheur quand un proche ne vous fixe pas au moment de trinquer. En fait, au Moyen Âge il était fort risqué de ne pas prêter attention à son verre (encore plus qu'aujourd'hui) car les tentatives d'empoisonnement étaient fréquentes. Lorsque les verres s'entrechoquaient, le but était de renverser un peu de sa boisson dans le verre de l'autre pour prouver sa bonne foi. Il était d'ailleurs d'usage de se fixer dans les yeux en buvant la première gorgée pour montrer qu'on n'avait pas de mauvaise intention. Trinquer dans les yeux est alors devenu une marque de confiance. On aime beaucoup l'idée, à la vôtre !
Le passage à l'heure d'été, prévu pour le dimanche 25 mars à 2 heures : "A deux heures du matin, il sera directement trois heures" et nous reviendrons aux mois les plus ensoleillés de l'année. Le changement d'heure d'été surviendra trois mois avant le solstice d'été et permettra de profiter d'une heure de plus d'ensoleillement en fin de journée afin de réduire artificiellement les besoins en éclairage ... artificiel.
Peinture : André Martin, artiste peintre aquarelliste à Pertuis ...
André Martin habite Pertuis, petite ville située côté sud du Lubéron, dans la plaine fertile de la Durance. Il s'inspire de ce coin romanesque qui donne de l'âme à son pinceau. Récital d'ombres et lumières, sa peinture est une poésie intemporelle faite de tonalités si justement accordées.
Histoire de Notre Dame du Chêne Les peintures du chœur de la Basilique illustrent l'histoire de Notre Dame du Chêne. Ceux ou celles qui veulent découvrir plus de détails concernant l'histoire de ce lieu, trouveront des livres dans la Boutique du Pèlerin. Au début... L'histoire de Notre-Dame du Chêne commençait en 1494, lorsque James Buret, curé de Vion, place une statuette de la Vierge dans un chêne suite aux témoignages de certains habitants qui ont vu des vols de colombes et des lumières autour de ce chêne. Alors naît un lieu de prière en pleine nature. La statuette se trouve maintenant dans la basilique au dessus du maître autel. Guérisons À l'ombre de ce chêne sacré un très modeste oratoire ne tarda pas à s'élever. D'abord connu sous le nom de « Chêne de la Jarriaye », dans les premières années du XVIème siècle, il porta le nom de Notre Dame du Chêne et attira de nombreux pèlerins. En 1515, un infirme originaire de Juigné (tout près de Solesmes) se dirigeait difficilement vers la sainte image de la Vierge Marie. Son offrande, les trois cierges, qu'il tenait à la main, s'allumèrent tout à coup d'eux-mêmes. A cet instant, le malade recouvra sa santé. A la même époque, d'autres guérisons ont été constatées.
L'oratoire primitif est devenu trop petit pour accueillir tous les pèlerins et un concordat fut conclu entre le curé de Vion et la Fabrique de cette paroisse pour construire une Chapelle.
Appel de Dieu. Elisabeth de Quatrebarbes vient dans la chapelle chercher la lumière sur sa vie. Elle perçoit clairement qu'elle doit entrer au Carmel. C'est pourquoi le peintre a représenté Thérèse d'Avila derrière elle. C'est en 1617 et Thérèse est morte en 1582. Cette femme deviendra plus tard prieure du Carmel de Beaune.
Présence de Marie En 1595, une femme qui ramassait du bois a la vision (ou l'apparition) de Notre-Dame du Chêne au-dessus du toit de la chapelle en ruine. Elle est là! Elle ne dit rien. Mais sa présence fait comprendre clairement que cette chapelle est sa maison. Elle veut qu'on vienne y prier avec elle, et qu'on la répare et l'entretienne.
Guérison grâce à la prière En 1621, une femme obtient la guérison d'un enfant difforme (qui lui a été confié en nourrice) en venant prier tous les jours pendant six semaines dans la chapelle. Quel exemple de persévérance et de foi !
Les enfants À cause des guerres de religion, la chapelle est assez rapidement en ruines comme on l'a déjà vu plus haut. On voit le Marquis de Sablé à qui des enfants racontent la présence de la statuette de Marie dans la chapelle : elle veille sur leurs troupeaux. Il se décidera, avec beaucoup d'autres, à donner de l'argent pour la réparation de la chapelle.
Au moment de la Révolution Française Lors de la Révolution française, on a voulu démolir la chapelle. Un couvreur, M. Lefèvre, qui l'avait achetée, est tombé du toit en enlevant les premières tuiles. Il a témoigné qu'une force surnaturelle l'avait poussé. La chapelle est restée debout. Elle a été rachetée par une dame de la noblesse qui l'a donnée à la paroisse de Vion. Des prêtres, et une nouvelle chapelle En 1860, l'évêque du Mans fait construire une grande maison (qui sert actuellement de Centre Spirituel, juste derrière la basilique) pour y mettre des prêtres missionnaires diocésains. Au nombre d'une dizaine, ils resteront présents sur le lieu jusqu'en 1967. Avec eux, des religieuses de Ruillé-sur-Loir se mettent au service du pèlerinage, et de l'œuvre des « Petits Clercs » (jeunes de 6° et 5°, de 1894 à 1960, dont on pense qu'ils ont l'appel à devenir prêtres, et qui apprennent le chant choral tout en travaillant en classe). En 1869, Mgr Fillion, évêque du Mans à cette époque, offre la maquette d'une nouvelle chapelle qui va être construite en 1872. Elle devient une basilique en 1894, c'est-à-dire l'église la plus importante après la cathédrale.
Le Saint Sépulcre En 1896, dans le champ qui sert au pique-nique des pèlerins, on construit un parc représentant le Saint Sépulcre de Jérusalem, appelé aussi basilique de la Résurrection.
Le Centre Spirituel En 1967, les prêtres Missionnaires diocésains redeviennent curés de paroisses, et la maison reste vide. En 1978, Mgr Alix, l'évêque du Mans de cette époque, décide de transformer la maison en Centre Spirituel du diocèse du Mans. En 1994, année du 5ème centenaire du pèlerinage, l'évêque du Mans, qui est alors Mgr Gilson, nomme une nouvelle équipe pour s'occuper des pèlerins, prêtre et laïcs, qui remplace les religieuses au service du pèlerinage. Chaque année, environ 70 000 pèlerins passent à Notre Dame du Chêne. En septembre 2010, Monseigneur Le Saux, l'évèque du Mans, appelle la Communauté Saint-Jean auprès de Notre-Dame-du-Chêne. La petite communauté de Frères rayonne sur le sanctuaire et les paroisses environnantes.
Situé dans le sud de la Sarthe à environ 5 kms de Sablé et de l'Abbaye de Solesmes, Notre Dame du Chêne, qui comprend la basilique et un Centre spirituel diocésain, est devenu le lieu de pèlerinage le plus important du diocèse du Mans, avec environ 70 000 visiteurs par an.
La légende veut qu'à la fin du XVe siècle, le curé du village de Vion, place une statuette de la Vierge à l'Enfant dans une niche aménagéedans un très vieux chêne. C'est le point de départ d'un pèlerinage attirant croyants et curieux auprès de la petite statue en terrecuite. Un siècle plus tard, la Vierge Marie y apparaît. Les peintures du chœur de la basilique retracent cette histoire. Dans le parc voisin se trouve une reproduction à l'identique du Saint Sépulcre de Jérusalem.
« Poser un lapin » consiste à ne pas se rendre à un rendez-vous sans prévenir la personne qui vous attend. Signalons d’abord que durant l’Antiquité, le lapin était un symbole de fécondité. Celui qui n’en avait pas était donc mis dans la pauvreté. Mais l’expression exacte remonte à la fin du 19ème siècle. Elle avait cependant à l’époque un sens différent. Elle signifiait ne pas rétribuerles faveurs d’une femme dite de « petite vertu ». Le « lapin » désignait donc le refus de payer. Et le « poseur de lapin » était celui qui faisait attendre la femme dont il avait profité. Le sens que nous connaissons aujourd’hui serait apparu vers 1890 chez les étudiants et semble venir d’une autre locution, « laisser poser », qui signifiait « faire attendre quelqu’un ». Mais il y a eu sans aucun doute un glissement progressif dans le langage courant d’une attente de paiement non honoré (la faveur sexuelle) vers une autre attente non satisfaite (la venue de la personne attendue).
========================================================================== Pourquoi Dit-On « À La Bonne Franquette » ?
Passer une soirée “à la bonne franquette” signifie sans complications, sans chichi ni manières inutiles. Si une invitation se passe « à la bonne franquette » Alors les petits plats ne sont pas mis dans les grands ! Dès le 17ème siècle on trouve l’expression « à la franquette ». Le mot « franquette » vient de « franc » qui est d’origine normande. La locution est utilisée à cette époque pour dire « en toute franchise ». Un siècle plus tard elle est remplacée par « à la bonne franquette » Et prend dès lors le sens de « en toute simplicité ». Mais il faut ajouter que Jean Maillet souligne que jusqu’à la fin du 18ème siècle... Le peuple disait « parler à la franquette » ou « agir à la franquette » Pour exprimer l’absence de manières et façons. Il semble aussi qu’avant le mot « franquette » on utilisait celui de « Flanquette ». « Agir à la flanquette » signifiait donc « agir franchement ». La lettre «L » ayant par la suite était roulée en « R ». De toute façon...Cette expression semble plus se rapporter à la nourriture qu'autre chose.C'est ainsi que manger ce qu'il reste dans le frigo, on sort tout, on déballe tout ce que l'on a et l'on mange " à la bonne franquette". ================================================================================== D’où vient l’expression « les absents ont toujours tort » ?
Cette expression est très courante mais savez-vous pourquoi les absents ont tort ? Est-ce parce qu’ils ont commis la faute de ne pas être là et se voient en conséquence punis par condamnation a priori de leurs opinions ? Ou bien est-ce parce qu’ils ne peuvent pas se défendre et argumenter leur position ? Cette seconde explication est la bonne. L’absent est toujours fautif car il n’est pas en mesure de défendre ses intérêts, d’expliquer son point de vue ou sa décision. Par une formule assez proche les Latins disaient : Absens hoeres non erit, c’est-à-dire « l’absent ne sera pas héritier ». Mais l’expression qui nous occupe date elle, du 18ème siècle. A cette époque on dit d’ailleurs plutôt : « les os sont pour les absents ». Ce qui signifiait qu’en raison de leur absence ils ne pouvaient pas partager le repas et que par conséquent on leur laissait la part la moins enviable, les os.
Dans Les Rues De Nairobi...Avec Une Galerie De Photos...
Nairobi est la capitale du Kenya. Outre son centre urbain, la ville comporte aussi le parc national de Nairobi... Une grande réserve où vivent des rhinocéros noirs, une espèce menacée, ainsi que des girafes, des zèbres et des lions. Juste à côté se trouve un orphelinat pour éléphants réputé, géré par la David Sheldrick Wildlife Trust. Nairobi est également souvent le point de départ des safaris au Kenya. Originaire de Nairobi au Kenya, le photographe Kabutha Kago nous donne ici à contempler tout l’éclectisme présent dans les rues de sa ville. Des clans de guerriers aux artistes de rue sans oublier le rôle de la femme, qui joue un rôle crucial dans l’économie locale, le voyage est total. Capitale et plus grande ville du Kenya, Nairobi est également la capitale africaine des safaris. Située à une dizaine de kilomètres au sud de l'équateur, la ville est de climat tropical, modéré par l'altitude (Nairobi est à 1700m environ au-dessus du niveau de la mer). Le nom de la ville vient de « Maasai Ewaso Nyirobi », voulant dire, eau fraîche. La ville étant, en effet, un ancien point d'eau masaï. Malgré ce qu'on pourrait croire, Nairobi est une ville moderne et dynamique. Elle offre un très charmant contraste entre la vie nocturne de ses habitants et la faune qui en fait toute sa renommée. Les visiteurs pourront découvrir à Nairobi des clubs de musique branchés, des marchés animés, des magasins, hôtels et restaurants internationaux mais profiteront également des typiques safaris et visiteront les parcs locaux. Ne manquez pas une visite : - Au Giraffe Center ; - Au Musée National de Nairobi ; - A la Maison de Karen Blixen ; - Le Railway Museum ; - Le Marché Municipal...
Le musée National de Nairobi est LE lieu à visiter pour se renseigner sur la véritable histoire du Keyna. Ouvert en 1930, le musée a été baptisé «musée de Coryndon ». Le rez-de-chaussée abrite la partie consacrée au naturalisme, le premier étage, quant à lui, est consacré au cycle de la vie, à la culture contemporaine, aux arts et à l’histoire du Kenya et de celle de Nairobi,en particulier. L’orphelinat des éléphants de Sheldrick a été fondé par Daphné Sheldrick, veuve du célèbre garde-chasse David Sheldrick qui a été au centre des guerres de braconnage de l’ivoire dans le Tsavo. Lieu principal pour la conservation des éléphants, l’orphelinat regroupe les éléphanteaux orphelins du braconnage ou de causes naturelles et leur administre un traitement particulier et des soins permanents. Dans la banlieue de Nairobi, à Langata, on peut visiter le centre des Girafes connu également comme le Fond Africain pour la faune en danger du Kenya (AFEW Kenya). Ce centre, qui a été créé à l’origine comme centre d’élevage des girafes Rothschild menacées d’extinction, offre des programmes d’éducation pour les écoliers et pour les amoureux de la nature et de la faune kenyane. Dans les environs de Nairobi, vous pouvez visiter la maison de l’écrivain danois Karen Blixen. Cette maison, construite en 1910 par un architecte suédois, est maintenant transformée en musée. La vie de Karen Blixen dans les lieux, entre 1914 et 1931, a inspiré son célèbre roman autobiographique « La ferme africaine » ou « Out Of Africa». La maison fut également utilisée pour l’adaptation cinématographique. A 85km de la capitale Nairobi, le lac Naivasha constitue la première étape sur la route de l’ouest, ou du nord. C’est un magnifique lieu d’eau douce où plus de 350 espèces d’oiseaux viennent s’abreuver, ainsi que des hippopotames, des zèbres, des girafes et des antilopes. Le parc est une destination ornithologique mondiale ainsi que le paradis des touristes à la recherche de tranquillité et d’apaisement. Plus long cours d’eau du Kenya, le fleuve Tana est d’une longueur de 700 km. Il prend sa source dans les montagnes Aberdare à l’ouest de Nyeri et coule vers l’est au départ avant de tourner vers le sud autour du massif du mont Kenya. Sur les rives de la côte à l’extrême nord, les eaux puissantes du fleuve sejettent dans la mer dans un imposant delta. C’est un spectacle impressionnant de rencontre.
Nairobi est la capitale et la plus grande ville du Kenya.
Le photographe japonais Hiro Goto utilise son compte Instagram pour partager son point de vue unique sur la beauté de son pays. Des rues animées de Tokyo aux paysages paisibles du mont Fuji, l’artiste utilise son appareil photo pour éplucher les différentes couches du Japon.
Goto a d’abord utilisé la photographie comme un moyen simple d’enregistrer ses activités quotidiennes; mais, après avoir installé Instagram, quelque chose a changé. « Je peux partager des photos avec des gens partout dans le monde et je veux partager la beauté du Japon avec eux »,explique-t-il. Bien que nous ayons l’habitude de voir des photographiesde Tokyo et de ces néons en feu, Goto parsème son compte avec des moments plus calmes.
Les temples et les portes, ainsi que les maisons enneigées et les rues désolées, témoignent de la dichotomie du Japon. C’est cet équilibre entre ancien et nouveau, rapide et lent, qui rend le style de vie japonais unique. Le compte Instagram de Goto est une exploration du Japon dans son intégralité, que ce soit les joueurs dans un salon de pachinko ou les onsens traditionnels (sources chaudes) d’une ville de montagne enneigée. Goto tente de créer avec son compte Instagram une chanson d’amour visuelle enhommage à son pays.
Le photographe espère que ses images stimuleront les spectateurs pour explorer le Japon par leurs propres moyens. « Je serais heureux si les gens voulaient voyager au Japon en regardant mes photos. » Et en
montrant la beauté du Japon, à la fois dans les zones touristiques traditionnelles de Tokyo et Kyoto, ainsi que des villes moins fréquentées comme Nagano et Yamagata, il donne à ses fans beaucoup de raisons de réserver leur prochain voyage.
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Reuben Wu est un musicien et photographe né à Liverpool qui s’est installé à Chicago, et il a eu cette idée géniale d’utiliser des drones pour faire apparaître les halos des montagnes.
Reuben explique que son rêve d’enfance était d’avoir une caméra volante pour voir des paysages à partir de perspectives impossibles. Son rêve est devenu réalité en obtenant son premier drone en 2014. Son travail requiert non seulement beaucoup d’habileté et de compétence, mais il faut aussi au moins une journée pour planifier toute la séance photo.
Comme Reuben le dit lui-même « Il y a beaucoup de recherches antérieures qui sont dans ces images. L’étude des cartes, des cycles de la lune, des saisons et du flux touristique. Je passe la journée pour la composition et la planification des lieux, des sentiers de randonnée etc, puis j’attends le coucher du soleil avant de commencer le tournage.
Je garde mon kit portable afin que je puisse marcher jusqu’aux endroits très éloignés. Je ne photographie jamais quand il
y a d’autres visiteurs présents, il est important pour moi que l’endroit soit très éloigné et que je sois seul pour créer ces images. «
La clé d’une image comme celle-ci est, bien sûr, une longue exposition pour éclairer le paysage. Reuben a réalisé qu’il pouvait utiliser le drone et sa lumière dans un mode d’orbite circulaire autour d’un «point d’intérêt».
Découvrez vous-même son incroyable travail et vous pouvez suivre le compte Instagram de Reuben pour voir ses autres projets.
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Chaque année, Mercer, l’un des plus grands cabinets de ressources humaines au monde effectue un classement des villes offrant la meilleure qualité de vie appelé « Quality of Living Index ».
Plus de 450 d’entre elles sont analysées et les résultats cachent toujours quelques surprises.
Afin de créer un classement au plus proche de la réalité du terrain, Mercer prend en compte de très nombreux paramètres. On y retrouve notamment:
le côté politique/justice (stabilité, criminalité, application de la loi),
économique (services bancaires, échange de devises),
socioculturel (nombre de médias, censure, liberté personnelle et d’expression),
santé (services médicaux, pollution de l’air, traitement des déchets et des eaux usées),
éducatif (niveau et disponibilité des écoles et universités),
service (réseau électrique, transports publics, trafic automobile),
divertissement (restaurants, théâtres, cinémas, sport et loisir),
consommation (nourriture, mode, concessionnaires, produits du quotidien),
logement (location, achat, entretien), ou encore nature (climat, nombre de catastrophes climatiques).
Bonne nouvelle, le nouveau classement vient d’être dévoilé. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, des villes très visitées et réputées à l’instar de Londres ,Paris et New York n’y apparaissent pas. La preuve que la barre a été placée particulièrement haute. Voici les 23 destinations arrivées en tête lors de l’étude :
1. Vienne, Autriche
2. Zurich, Suisse
3. Auckland, Nouvelle-Zélande 4.Munich, Allemagne
5. Vancouver, Canada
6. Düsseldorf, Allemagne
7. Francfort, Allemagne
8. Genève, Suisse
9. Copenhague, Danemark
10. Bâle, Suisse
10. Sydney, Australie
12. Amsterdam, Pays-Bas
13. Berlin, Allemagne
14. Berne, Suisse
15. Wellington, Nouvelle-Zélande
16. Melbourne, Australie
17. Toronto, Canada
18. Ottawa, Canada
19. Hambourg, Allemagne
20. Stockholm, Suède
21. Luxembourg, Luxembourg
22. Perth, Australie
23.Montréal, Canada
SOCIÉTÉ - Miroir brisé, fer à cheval, chat noir : les superstitions sont partout dans la maison. Voici quelques explications pour briller en société (et rompre la malédiction).
On a tendance à croire que les superstitions sont des peurs inexplicables et profondément irrationnelles. Vous serez surprise de découvrir que la plupart d'entre elles ont une origine historique, bien souvent religieuse.
D'ailleurs ces superstitions ne sont pas parfaitement inutiles car selon une étude menée par l'Université de Chicago, elles auraient même un effet positif sur le cerveau humain !
En nous persuadant que nous allons conjurer le mauvais sort, l'événement que nous cherchons à tout prix à éviter a moins de chance de se produire si l'on y croit dure comme fer. Une sorte de prophétie autoréalisatrice en somme !
1 - Le miroir brisé
Cassez un miroir et vous êtes parti pour 7 ans de malheur ! À l'origine de cette superstition, une croyance hérité de l'Empire Romain datant du Ier siècle.
À l'époque, les Romains étaient convaincus que le miroir, en plus de refléter l'image du corps, reflétait celle de l'esprit. Du coup, briser un miroir équivalait à détruire son âme... rien que ça !
La durée de la malédiction correspond aux cycles de vie des Romains qui pensaient que notre vie était divisée en différentes périodes de sept ans. Il fallait donc attendre la fin d'un cycle pour être libéré de ces terribles tribulations.
2 - Le pain à l'envers
Vous vous souvenez du savon que votre vieil oncle Roger vous avait passé, lorsque vous aviez déposé, nonchalamment, la baguette à l'envers sur la table ? Vous aviez d'ailleurs quitté le repas en rouspétant, ne comprenant pas pourquoi il accordait autant d'importance à ce geste aux conséquences apparemment anodines.
Mais ne blâmez pas trop oncle Roger, puisque cette angoisse remonte loin, très loin. Au Moyen Âge, les bourreaux qui se chargeaient des exécutions publiques avaient le droit à un morceau de pain, que leur réservait le boulanger.
Les gens se sont mis à penser que retourner le pain attirerait le bourreau chez eux. On associe depuis cette pratique au malheur. Un conseil donc, pour éviter de perdre une tête : vérifiez la position de votre baguette !
3 - Ouvrir un parapluie à l'intérieur de la maison
Contrairement aux superstitions précédentes, celle-ci est assez récente. Lorsque les premiers parapluies à armature en métal ont été commercialisés au Royaume-Uni au 18ème siècle, le système n'était pas aussi perfectionné qu'aujourd'hui.
Si on les ouvrait trop brusquement dans une pièce, on prenait le risque de blesser quelqu'un.
Aujourd'hui, à moins d'ouvrir votre parapluie en visant une autre personne, le seul risque est de salir votre intérieur.
4 - Renverser du sel
Alors que votre petit cousin a eu le malheur de renverser la salière sur la table, votre vieil oncle Roger (encore lui) s'empare d'une pincée de sel qu'il jette immédiatement derrière son épaule.
Comme le sel a, de tout temps, été une denrée rare, en gaspiller bêtement présageait une fin de mois difficile. Gaspiller du sel est donc synonyme de grand malheur, tandis que le sel lui porte chance. C'est pour conjurer le mauvais sort que Roger a failli vous faire perdre un oeil.
5 - Passer sous une échelle
Si vous pensiez que cette superstition était dûe au bon sens (quand on passe sous une échelle, on risque de prendre un objet sur la tête), vous faites erreur !
Cette superstition aurait une origine religieuse. Dans la religion chrétienne, le Dieu unique est représenté par trois figures : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Ce trio divin est souvent symbolisépar un triangle, forme que l'on retrouve lorsqu'une échelle est posée contre un mur.
Du coup, passer sous une échelle signifierait ni plus ni moins rompre la Sainte-Trinité, et s'attirer la colère de Dieu !
6 - Toucher du bois
“Je touche du bois !” Vérifiez bien qu'il y a du bois autour de vous avant de lancer cette phrase, on ne plaisante pas avec les dieux.
Eh oui encore eux ! Le bois est associé à l'expression de la force divine, à l'image des Perses qui y voyait la manifestation du dieu du feu. En le touchant, ils se mettaient sous sa protection.
L'idée fut reprise par les chrétiens, qui voient dans le bois la représentation de la croix sur laquelle est mort Jésus.
7 - Le fer à cheval
C'est l'incontournable de la panoplie ésotérique : le fer à cheval. Censé porter bonheur à la maison qui l'abrite, le fer à cheval est un symbole connu par toutes et tous.
Cette croyance trouve son origine dans un vieux mythe romain qui voudrait que Néron, empereur de Rome, avait imposé à ses forgerons d'équiper ses chevaux avec des fers en or. Mais comme la technique n'était pas encore au point, il arrivait que les chevaux perdent leurs fers.
Un paysan qui passait par là serait tombé par hasard sur l'un de ces fers en or, qui lui aurait apporté une vie heureuse. On se demande pourquoi...
8 - Le chat noir
Dans l'inconscient collectif, le chat noir est associé aux mauvais présages. Mais il ne mérite pas cette mauvaise réputation !
C'est à partir du Moyen Âge que les chats noirs sont diabolisés : les légendes de l'époque associent le petit félin à Lucifer, qui aurait envoyé sa fille sur Terre accompagnée d'un chat noir pour enseigner la magie “noire” aux mortels.
Le chat noir est alors devenu un animal de premier choix pour toutes sortes de sorcellerie, car considéré comme messager du diable. Pauvres petits chats !
9 - Ne jamais être treize à table
Malheureux hasard, le plan de table vous a condamné à passer l'entièreté du repas à côté de votre oncle Roger. Quand tout à coup, Monique, sa femme, remarque qu'il y a 13 convives. Il va falloir que quelqu'un quitte la table. Bon perdant, vous cédez votre place avec joie.
Tante Monique ne craint pas que la nourriture vienne à manquer, non elle se remémore le dernier repas de Jésus, la Cène. Le treizième convive de ce repas n'était autre que Judas, qui selon la Bible, aurait trahi Jésus, causant sa crucifiction.
10 - Trinquer les yeux dans les yeux
Fin des hostilités, on a trouvé une solution à la crise des 13 invités, Tatie Monique a séparé la tablée en deux. Il est l'heure de boire un coup.
Comme, dans le fond, vous êtes quelqu'un de bien, vous vous approchez de l'oncle Roger pour trinquer. “Dans les yeux !!!”, hurle-t-il. Vous manquez de lâcher votre coupe.
Diplomate, vous lui expliquez qu'il n'y a plus de raison de craindre un malheur quand un proche ne vous fixe pas au moment de trinquer. En fait, au Moyen Âge il était fort risqué de ne pas prêter attention à son verre (encore plus qu'aujourd'hui) car les tentatives d'empoisonnement étaient fréquentes.
Lorsque les verres s'entrechoquaient, le but était de renverser un peu de sa boisson dans le verre de l'autre pour prouver sa bonne foi. Il était d'ailleurs d'usage de se fixer dans les yeux en buvant la première gorgée pour montrer qu'on n'avait pas de mauvaise intention.
Trinquer dans les yeux est alors devenu une marque de confiance. On aime beaucoup l'idée, à la vôtre !
CHANGEMENT D,HEURES
Changement d'heure 2018 :
Le passage à l'heure d'été, prévu pour le dimanche
25 mars à 2 heures : "A deux heures du matin, il sera
directement trois heures" et nous reviendrons aux mois les plus ensoleillés de l'année. Le changement d'heure d'été surviendra trois mois avant le solstice d'été et permettra de profiter d'une heure de plus d'ensoleillement en fin de
journée afin de réduire artificiellement les besoins en éclairage
... artificiel.
ARTISTE PEINTRE
Peinture : André Martin, artiste peintre aquarelliste à Pertuis ...
André Martin habite Pertuis, petite ville située côté sud du Lubéron,
dans la plaine fertile de la Durance. Il s'inspire de ce coin romanesque
qui donne de l'âme à son pinceau. Récital d'ombres et lumières, sa
peinture est une poésie intemporelle faite de tonalités si justement
accordées.
ON VISITE
Histoire de Notre Dame du Chêne
Les peintures du chœur de la Basilique illustrent l'histoire de Notre Dame
du Chêne. Ceux ou celles qui veulent découvrir plus de détails
concernant l'histoire de ce lieu, trouveront des livres dans la Boutique
du Pèlerin.
Au début...
L'histoire de Notre-Dame du Chêne commençait en 1494, lorsque James Buret, curé de
Vion, place une statuette de la Vierge dans un chêne suite aux
témoignages de certains habitants qui ont vu des vols de colombes et des
lumières autour de ce chêne. Alors naît un lieu de prière en pleine
nature. La statuette se trouve maintenant dans la basilique au dessus du
maître autel.
Guérisons
À l'ombre de ce chêne sacré un très modeste oratoire ne tarda pas à
s'élever. D'abord connu sous le nom de « Chêne de la Jarriaye », dans
les premières années du XVIème siècle, il porta le nom de Notre Dame du
Chêne et attira de nombreux pèlerins. En 1515, un infirme originaire de
Juigné (tout près de Solesmes) se dirigeait difficilement vers la sainte
image de la Vierge Marie. Son offrande, les trois cierges, qu'il tenait
à la main, s'allumèrent tout à coup d'eux-mêmes. A cet instant, le
malade recouvra sa santé. A la même époque, d'autres guérisons ont été
constatées.
L'oratoire primitif est devenu trop petit pour accueillir tous les pèlerins et un concordat fut conclu entre le curé de
Vion et la Fabrique de cette paroisse pour construire une Chapelle.
Appel de Dieu.
Elisabeth de Quatrebarbes vient dans la chapelle chercher la lumière sur sa vie.
Elle perçoit clairement qu'elle doit entrer au Carmel. C'est pourquoi le
peintre a représenté Thérèse d'Avila derrière elle. C'est en 1617 et
Thérèse est morte en 1582. Cette femme deviendra plus tard prieure du
Carmel de Beaune.
Présence de Marie
En 1595, une femme qui ramassait du bois a la vision (ou l'apparition) de Notre-Dame
du Chêne au-dessus du toit de la chapelle en ruine. Elle est là! Elle ne
dit rien. Mais sa présence fait comprendre clairement que cette
chapelle est sa maison. Elle veut qu'on vienne y prier avec elle, et
qu'on la répare et l'entretienne.
Guérison grâce à la prière
En 1621, une femme obtient la guérison d'un enfant difforme (qui lui a été
confié en nourrice) en venant prier tous les jours pendant six semaines
dans la chapelle. Quel exemple de persévérance et de foi !
Les enfants
À cause des guerres de religion, la chapelle est assez rapidement en
ruines comme on l'a déjà vu plus haut. On voit le Marquis de Sablé à qui
des enfants racontent la présence de la statuette de Marie dans la
chapelle : elle veille sur leurs troupeaux. Il se décidera, avec
beaucoup d'autres, à donner de l'argent pour la réparation de la
chapelle.
Au moment de la Révolution Française
Lors de la Révolution française, on a voulu démolir la chapelle. Un couvreur, M.
Lefèvre, qui l'avait achetée, est tombé du toit en enlevant les
premières tuiles. Il a témoigné qu'une force surnaturelle l'avait
poussé. La chapelle est restée debout. Elle a été rachetée par une dame
de la noblesse qui l'a donnée à la paroisse de Vion.
Des prêtres, et une nouvelle chapelle
En 1860, l'évêque du Mans fait construire une grande maison (qui sert
actuellement de Centre Spirituel, juste derrière la basilique) pour y
mettre des prêtres missionnaires diocésains. Au nombre d'une dizaine,
ils resteront présents sur le lieu jusqu'en 1967. Avec eux, des
religieuses de Ruillé-sur-Loir se mettent au service du pèlerinage, et
de l'œuvre des « Petits Clercs » (jeunes de 6° et 5°, de 1894 à 1960,
dont on pense qu'ils ont l'appel à devenir prêtres, et qui apprennent le
chant choral tout en travaillant en classe). En 1869, Mgr Fillion,
évêque du Mans à cette époque, offre la maquette d'une nouvelle chapelle
qui va être construite en 1872. Elle devient une basilique en 1894,
c'est-à-dire l'église la plus importante après la cathédrale.
Le Saint Sépulcre
En 1896, dans le champ qui sert au pique-nique des pèlerins, on construit
un parc représentant le Saint Sépulcre de Jérusalem, appelé aussi
basilique de la Résurrection.
Le Centre Spirituel
En 1967, les prêtres Missionnaires diocésains redeviennent curés de paroisses, et
la maison reste vide. En 1978, Mgr Alix, l'évêque du Mans de cette
époque, décide de transformer la maison en Centre Spirituel du diocèse
du Mans. En 1994, année du 5ème centenaire du pèlerinage, l'évêque du
Mans, qui est alors Mgr Gilson, nomme une nouvelle équipe pour s'occuper
des pèlerins, prêtre et laïcs, qui remplace les religieuses au service
du pèlerinage. Chaque année, environ 70 000 pèlerins passent à Notre
Dame du Chêne. En septembre 2010, Monseigneur Le Saux, l'évèque du Mans,
appelle la Communauté Saint-Jean auprès de Notre-Dame-du-Chêne. La
petite communauté de Frères rayonne sur le sanctuaire et les paroisses
environnantes.
Situé dans le sud de la Sarthe à environ 5 kms de Sablé et de l'Abbaye de Solesmes, Notre Dame du Chêne, qui comprend
la basilique et un Centre spirituel diocésain, est devenu le lieu de
pèlerinage le plus important du diocèse du Mans, avec environ 70 000
visiteurs par an.
La légende veut qu'à la fin du XVe siècle, le curé du village de Vion, place une statuette de la Vierge à l'Enfant
dans une niche aménagéedans un très vieux chêne. C'est le point de
départ d'un pèlerinage attirant croyants et curieux auprès de la petite
statue en terrecuite. Un siècle plus tard, la Vierge Marie y apparaît.
Les peintures du chœur de la basilique retracent cette histoire. Dans le
parc voisin se trouve une reproduction à l'identique du Saint Sépulcre
de Jérusalem.
LE SAVIEZ VOUS ?......
croissants au petit déjeuner vient d'Autriche.
Au 17e siècle, les Turcs assiègent la ville de Vienne.
Les habitants parviennent à repousser les envahisseurs,
qui fuient en abandonnant derrière eux des stocks de café.
Des Viennois récupèrent ces sacs de café et ouvrent à
Vienne le premier "café" de l'histoire. Pour rendre la boisson
moins amère, ils ont l'idée de la mélanger avec du lait.
La légende raconte que pour célébrer la victoire, ils
accompagnent le café de petites brioches en forme de croissant,
symbole de l'Empire ottoman.
Depuis, on appelle ces pâtisseries des "viennoiseries".
« Poser un lapin » consiste à ne pas se rendre à un rendez-vous sans prévenir la personne qui vous attend.
Signalons d’abord que durant l’Antiquité, le lapin était un symbole de fécondité.
Celui qui n’en avait pas était donc mis dans la pauvreté.
Mais l’expression exacte remonte à la fin du 19ème siècle. Elle avait cependant à l’époque un sens différent. Elle signifiait ne pas rétribuerles faveurs d’une femme dite de « petite vertu ».
Le « lapin » désignait donc le refus de payer. Et le « poseur de lapin » était celui qui faisait attendre la femme dont il avait profité.
Le sens que nous connaissons aujourd’hui serait apparu vers 1890 chez les étudiants et semble venir d’une autre locution,
« laisser poser », qui signifiait « faire attendre quelqu’un ».
Mais il y a eu sans aucun doute un glissement progressif dans le langage courant d’une attente de paiement non honoré (la faveur sexuelle) vers une autre attente non satisfaite (la venue de la personne attendue).
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Pourquoi Dit-On « À La Bonne Franquette » ?
Passer une soirée “à la bonne franquette” signifie sans complications, sans chichi ni manières inutiles.
Si une invitation se passe « à la bonne franquette »
Alors les petits plats ne sont pas mis dans les grands !
Dès le 17ème siècle on trouve l’expression « à la franquette ».
Le mot « franquette » vient de « franc » qui est d’origine normande. La locution est utilisée à cette époque pour dire
« en toute franchise ».
Un siècle plus tard elle est remplacée par « à la bonne franquette »
Et prend dès lors le sens de « en toute simplicité ».
Mais il faut ajouter que Jean Maillet souligne que jusqu’à la fin du 18ème siècle...
Le peuple disait « parler à la franquette » ou « agir à la franquette » Pour exprimer l’absence de manières et façons.
Il semble aussi qu’avant le mot « franquette » on utilisait celui de « Flanquette ». « Agir à la flanquette » signifiait donc « agir franchement ».
La lettre «L » ayant par la suite était roulée en « R ». De toute façon...Cette expression semble plus se rapporter à la nourriture qu'autre chose.C'est ainsi que manger ce qu'il reste dans le frigo, on sort tout, on déballe tout ce que l'on a et l'on mange " à la bonne franquette".
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D’où vient l’expression « les absents ont toujours tort » ?
Cette expression est très courante mais savez-vous pourquoi les absents ont tort ?
Est-ce parce qu’ils ont commis la faute de ne pas être là et se voient en conséquence punis par condamnation a priori de leurs opinions ?
Ou bien est-ce parce qu’ils ne peuvent pas se défendre et argumenter leur position ?
Cette seconde explication est la bonne. L’absent est toujours fautif car il n’est pas en mesure de défendre ses intérêts, d’expliquer son point de vue ou sa décision.
Par une formule assez proche les Latins disaient : Absens hoeres non erit, c’est-à-dire « l’absent ne sera pas héritier ».
Mais l’expression qui nous occupe date elle, du 18ème siècle. A cette époque on dit d’ailleurs plutôt : « les os sont pour les absents ».
Ce qui signifiait qu’en raison de leur absence ils ne pouvaient pas partager le repas et que par conséquent on leur laissait la part la moins enviable, les os.
Nairobi est la capitale du Kenya. Outre son centre urbain, la ville comporte aussi le parc national de Nairobi...
Une grande réserve où vivent des rhinocéros noirs, une espèce menacée, ainsi que des girafes, des zèbres et des lions.
Juste à côté se trouve un orphelinat pour éléphants réputé, géré par la David Sheldrick Wildlife Trust. Nairobi est également souvent le point de départ des safaris au Kenya.
Originaire de Nairobi au Kenya, le photographe Kabutha Kago nous donne ici à contempler tout l’éclectisme présent dans les rues de sa ville.
Des clans de guerriers aux artistes de rue sans oublier le rôle de la femme, qui joue un rôle crucial dans l’économie locale, le voyage est total.
Capitale et plus grande ville du Kenya, Nairobi est également la capitale africaine des safaris. Située à une dizaine de kilomètres au sud de l'équateur, la ville est de climat tropical, modéré par l'altitude (Nairobi est à 1700m environ au-dessus du niveau de la mer).
Le nom de la ville vient de « Maasai Ewaso Nyirobi », voulant dire, eau fraîche. La ville étant, en effet, un ancien point d'eau masaï.
Malgré ce qu'on pourrait croire, Nairobi est une ville moderne et dynamique.
Elle offre un très charmant contraste entre la vie nocturne de ses habitants et la faune qui en fait toute sa renommée.
Les visiteurs pourront découvrir à Nairobi des clubs de musique branchés, des marchés animés, des magasins, hôtels et restaurants internationaux mais profiteront également des typiques safaris et visiteront les parcs locaux.
Ne manquez pas une visite : - Au Giraffe Center ; - Au Musée National de Nairobi ; - A la Maison de Karen Blixen ;
- Le Railway Museum ; - Le Marché Municipal...
Le musée National de Nairobi est LE lieu à visiter pour se renseigner sur la véritable histoire du Keyna. Ouvert en 1930, le musée a été baptisé «musée de Coryndon ».
Le rez-de-chaussée abrite la partie consacrée au naturalisme, le premier étage, quant à lui, est consacré au cycle de la vie, à la culture contemporaine, aux arts et à l’histoire du Kenya et de celle de Nairobi,en particulier.
L’orphelinat des éléphants de Sheldrick a été fondé par Daphné Sheldrick, veuve du célèbre garde-chasse David Sheldrick qui a été au centre des guerres de braconnage de l’ivoire dans le Tsavo.
Lieu principal pour la conservation des éléphants, l’orphelinat regroupe les éléphanteaux orphelins du braconnage ou de causes naturelles et leur administre un traitement particulier et des soins permanents.
Dans la banlieue de Nairobi, à Langata, on peut visiter le centre des Girafes connu également comme le Fond Africain pour la faune en danger du Kenya (AFEW Kenya).
Ce centre, qui a été créé à l’origine comme centre d’élevage des girafes Rothschild menacées d’extinction, offre des programmes d’éducation pour les écoliers et pour les amoureux de la nature et de la faune kenyane.
Dans les environs de Nairobi, vous pouvez visiter la maison de l’écrivain danois Karen Blixen.
Cette maison, construite en 1910 par un architecte suédois, est maintenant transformée en musée.
La vie de Karen Blixen dans les lieux, entre 1914 et 1931, a inspiré son célèbre roman autobiographique « La ferme africaine » ou « Out Of Africa».
La maison fut également utilisée pour l’adaptation cinématographique.
A 85km de la capitale Nairobi, le lac Naivasha constitue la première étape sur la route de l’ouest, ou du nord.
C’est un magnifique lieu d’eau douce où plus de 350 espèces d’oiseaux viennent s’abreuver, ainsi que des hippopotames, des zèbres, des girafes et des antilopes.
Le parc est une destination ornithologique mondiale ainsi que le paradis des touristes à la recherche de tranquillité et d’apaisement.
Plus long cours d’eau du Kenya, le fleuve Tana est d’une longueur de 700 km.
Il prend sa source dans les montagnes Aberdare à l’ouest de Nyeri et coule vers l’est au départ avant de tourner vers le sud autour du massif du mont Kenya.
Sur les rives de la côte à l’extrême nord, les eaux puissantes du fleuve sejettent dans la mer dans un imposant delta. C’est un spectacle impressionnant de rencontre.
Nairobi est la capitale et la plus grande ville du Kenya.