De la neige au Sahara, voila un phénomène incroyable mais vrai. On connait le désert! C’est un endroit sec avec des températures très élevées et on est loin d’imaginer que de la neige puisse tomber dans unetelle région et pourtant c’était bien le cas! Dans la région de Ain Sefra en Algérie, La blancheur qui a recouvert cette ville désertique a surpris plus d’un. En plein désert, la ville était recouverte de neige sur fond rouge, le sable! Durant ces deux derniers jours, le phénomène a fait le buzz et continue d’alimenter les discussions et les articles en tous genres! Capturés par un photographe amateur, les clichés que vous allez voir sont vraiment splendides et insolites!
Voila de belles images qu’on voit très rarement! La couleur du sable est mêlée à celle de la neige et cela donne de jolies combinaisons qui font la joie des habitants de la région. Ils peuvent au moins toucher cette neige et jouer avec pour ne pas dire la ramasser et la laisser devenir eau. La nature nous émerveille avec ce cadeau de fin d’année qu’on espère apportera avec lui quelques changements climatiques car il est vraiment urgent de préserver notre planète des réchauffements climatiques qui la menacent. Cette neige prouve au moins que notre terre peut être sauvée!
Les métiers les plus dangereux et les moins intéressants à travers le monde. Il est important d’avoir un emploi pour pouvoir vivre dignement mais certains métiers sont vraiment très dangereux et pourtant des gens les font car ils n’ont pas le choix! La combinaison de clichés que vous allez voir vous fera découvrir quelques emplois qu’il n’est pas bon de faire. A travers le monde, ces métiers existent encore de nos jours comme travailler dans les mines par exemple. La liste est longue, regardez plutôt la chance que vous avez! Tous ces hommes travaillent réellement et ce n’est pas des mises en scène pour un film de science fiction qu’ils sont là. Ils travaillent dans de dures conditions et ils risquent leur vie à chaque instant et pourtant ils reviennent chaque jour pour faire ce même boulot des années durant! Pour les plus chanceux! Les autres ne peuvent hélas pas reprendre ce travail car victimes d’un accident qui leur ôta la vie ou qui les rend handicapés à jamais! Ces gens souffrent pour que leurs patrons gagnent gros. Ils travaillent pour subvenir à leurs besoins, à ceux de leurs familles, mais leur vie est sans cesse menacée. Dur de penser qu’ils sont des millions à faire un travail à risque sans protection, parfois, sans assurances. La vie est si injuste!
Merci Mayyan1 et Marie-Jeanne de nous prévenir, en tous cas moi je ne savais pas, je ne me souviens pas d'en avoir vu dans mon super marché,, PANGA PANGA....bien se rappeler de ce nom, pauvre poisson empoisonné!!!! et par qui???? fric,fric,fric....vers quoi va t'on? et nos petits enfants!!!!
Comme son nom l’indique, la mi-Carême marque la moitié du Carême, mais rien dans le calendrier liturgique n’indique cette mi-temps. Les oraisons du jour gardent la même tonalité que celles des jours qui l’entourent. « Que tes serviteurs se purifient dans la pénitence et s’appliquent à faire ce qui est bon… » dit l’oraison d’ouverture de la messe. Seule l’antienne d’ouverture porte la marque d’une joie particulière ; celle de celui qui cherche le Seigneur de toute sa force. Ainsi est donné l’axe de la vraie joie, celle qui consiste à « imiter la charité du Christ qui a donné sa vie par amour pour le monde. » Alors pourquoi les crêpes, les bugnes et autres traditions culinaires festives viennent-elles agrémenter ce jour ? La logique du bon sens économique ! Le Carême est un temps de jeûne et les générations passées prenaient très au sérieux cet aspect particulier. Même les œufs étaient interdits. Mais les œufs ne se conservent guère plus de vingt jours, c’est-à-dire la moitié de quarante. C’est pour ne pas perdre cette denrée précieuse pour beaucoup, qu’on l’utilisait sous toutes les formes possibles. De la même manière, c’est pour vider les réserves qu’on fait des crêpes pour le Mardi gras. Après la mi-Carême, on attend à nouveau vingt jours pour sortir, décorés de joie pascale, les œufs gardés en réserve.
POURQUOI FETER LA MI-CAREME ? ?
Comme son nom l’indique, elle marque la moitié du Carême, cependant ne la cherchez pas dans le calendrier liturgique, elle n'y figure pas. Publié le 7 janvier 2018.
La Mi-Carême est une fête traditionnelle, d'origine française. Cette fête qui scinde en deux le Carême remonte au Moyen Age et se perpétue dans certaines régions où l'on organise un carnaval ... La Mi-Carême se célèbre donc au milieu de la période des Quarante jours de Carême. C'est une pause dans les privations et le jeûne qui accompagnent généralement cette période. La Mi-Carême est fêtée par définition « le jeudi de la troisième semaine entière des quarante jours de pénitence ». On pourrait penser que la fête doit tomber le troisième lundi du Carême (vingtième jour à compter premier jour de Carême, le Mercredi des Cendres; mais les dimanches étant hors-carême , il faut donc rajouter trois jours de la semaine ce qui tombe un jeudi. Pourquoi mange-t-on des crêpes à la Mi-Carême ? Autrefois, le Carême était suivi très sérieusement aussi la viande et même les oeufs étaient interdits. C'est pour cela qu'à la veille du Mercredi des Cendres - le Mardi-Gras, on fait des crêpes pour vider les réserves qui ne pourront tenir quarante jours ! Sachant que les oeufs ne se conservent pas plus de 20 jours; à une époque où les denrées n'étaient pas aussi accessibles qu'aujourd'hui, on a institué la Mi-Carême pour que les chrétiens puissent manger cette denrée précieuse avant qu'elle ne se perde ! Après la Mi-Carême, on attend à nouveau vingt jours pour sortir, décorés de joie pascale, les œufs gardés en réserve.
La mi-carême, un mardi gras renouvelé ?A mi-chemin du carême, comme une pause dans les privations et pour ne pas laisser perdre les provisions périssables, la tradition populaire a placé une occasion festive. C’est le pendant du mardi gras où l’on finissait les réserves de viande avant la période des privations. Attestée depuis le 17ème siècle, la mi-carême semble avoir trouvé son origine en France, voire à Paris, où se tenait ce jour-là, jusqu’au premier tiers du 20ème siècle, les fêtes des blanchisseuses.
Pour l’Eglise, une occasion de faire le point dans la route vers Pâques.Au milieu du carême, le quatrième dimanche est dit « de lætare », selon le premier mot du chant d’entrée. Les ornements sont roses, couleur de joie. On peut aussi dire que ce rose mêle le rouge de la Passion avec le blanc de la Résurrection. Cette joie intérieure proposée par la liturgie est celle du chrétien qui, à mi-chemin de son parcours de purification, aperçoit à l’horizon la Lumière du Salut. Le chant d’entrée est extrait du dernier chapitre du livre d’Isaïe. Le contexte est celui d’un jugement. Le Prophète rappelle la condamnation promise aux hypocrites, ceux qui suivent leurs propres chemins. Ce n’est qu’après qu’il s’adresse à ceux qui aiment le Seigneur. A eux seuls, il offre la joie. Cette mi-carême est ainsi l’occasion de faire le point sur notre situation : sommes-nous bien ceux qui aiment le Seigneur ? – Ceux qui vivent de sa Lumière ?
Le combat de Carnaval et de Carême Dans le tableau de Pieter Brueghel l’Ancien, deux caravanes se croisent. Celle de Carnaval est menée par un truculent boucher porteur d’une broche couverte de victuailles. En face, suivie de quelques enfants faisant sonner leur crécelle et de rares pénitents, Carême porte deux misérables poissons. Tout autour, comme indifférents à la scène, une foultitude de personnages vaquent à leurs occupations ordinaires. Des estropiés crient misère, des enfants jouent à la toupie et aux osselets, une femme lave ses carreaux, des paysans partent vanner le blé. Comme maintenant, les indifférents sont plus nombreux que les autres. Et nous, comment nous situer ?
Tous deux membres de l'association des rochers de Pyrôme, Michel Loiseau et Jean-Luc Grimaud sont passionnés par le site, son histoire et les légendes qui s'y rattachent.
Dans les légendes populaires, les rochers ou « chirons » de Pyraume servent de refuge à toute la gent diabolique de la contrée : loups-garous, lutins, farfadets. Les enfants se montrent avec effroi la cheminée du diable, sa table, son fauteuil et son lit gigantesque. Malheur aux imprudents qui osent regarder par les fissures et sonder les mystères de l'antre infernal ! Afin d'en chasser le démon, femmes et jeunes filles de Moulins organisèrent jadis une procession « sans parler », procédé infaillible, paraît-il, s'il était réalisable. La première femme qui arriva à Pyraume crut voir la silhouette du diable. Prise de frayeur, elle s'écria : « Le voilà ! le voilà ! » Aussitôt elle fut saisie, emportée, et jamais plus on ne la revit.
On voit encore, près des rochers de Pyrôme, la fontaine des farfadets. Ces vilains petits bonshommes étaient des maraudeurs incorrigibles et de francs polissons. A la nuit tombante, ils montaient souvent sur la maison voisine de Nérette, dont la toiture se trouve presque au niveau du sol. Perchés sur le tuyau de la cheminée, ils laissaient tomber dans la poêle des flocons de suie et autres incongruités. Ils se plaisaient à taquiner la fermière, à lui voler ses pommes. En son absence, ils s'installaient au coin du foyer, sur les sièges les plus bas, qu'ils ne quittaient jamais sans les avoir souillés.
Fatiguée de leur sans-gêne et de leurs déprédations, la fermière rangea un jour, tout autour de la cheminée, des trépieds chauffés à blanc, des « marmottes»- (chaufferettes en terre cuite) - pleines de braise, recouvertes de barreaux de fer rougis au feu. Les farfadets, sans défiance, s'assirent sur les sièges mis à leur portée, mais ils se redressèrent bien vite, hurlant de douleur, et criant dans leur fuite : « C... brûlé ! C... brûlé ! »
On raconte également que les farfadets gardent un trésor caché sous un énorme bloc, qui se soulève à minuit sonnant, la veille de Noël. A ce moment, l'or est offert aux libres convoitises de ceux qui consentent à céder « leur part de paradis ». Un poète local, Célestin Normandin, a consacré aux farfadets de Pyraume les vers suivants :
Dans les Avents, par les nuits sombres, À Pyraume on entend souvent Des cris plaintifs ; l'on voit des ombres Errer lorsque mugit le vent. Puis, quand vient l'heure solennelle, Pendant la messe de minuit, Un farfadet fait sentinelle Et disparaît quand le jour luit. Il garde, nous dit la légende, De l'or dans ce maigre pâtis, Et cet or, il faut qu'il le vende Pour quelques « parts de Paradis ».
La véritable histoire de cette journée provient en réalité du 8 mars 1917, à Petrograd en Russie. Des femmes descendent dans la rue pour soutenir les hommes mobilisés sur le front. Les leaders socialistes y voient le point de départ de la révolution russe. En France, une journée respectée depuis 1982 Au début des années 60, pour favoriser l'installation de cette journée, les communistes vont gommer ces racines soviétiques. En 1977, l'ONU proclame le 8 mars journée internationale des femmes. Et le 8 mars 1982, François Mitterrand invite 400 femmes et décrète la journée de la femme en France. Mais en 2015, certains s'interrogent sur la pertinence de cette manifestation dont le nom varie entre "Journée internationale de la femme" et "Journée internationale des droits des femmes". Or, dans nombre de pays, cette journée consacrée aux droits des femmes (et non à une représentation stéréotypée de la femme avec ses corollaires sexistes, cadeaux, roses et parfum), n'est pas un luxe, loin s'en faut omment le 8 mars est devenu la Journée Internationale des Femmes...
Au début du XXe siècle, des femmes de tous pays s'unissent pour défendre leurs droits. L'origine de cette journée s'ancre dans les luttes ouvrières et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l'égalité entre les hommes et les femmes, qui agitèrent l'Europe et le monde occidental, au début du XXe siècle. La création d'une « Journée internationale des femmes » est proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, et s'inscrit alors dans une perspective révolutionnaire. La date n'est tout d'abord pas fixée, et ce n'est qu'à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier.
Jusqu'à nos jours... La date est réinvestie avec le regain féministe des années 70 et la « Journée internationale des femmes » est reconnue officiellement par les Nations Unies en 1977, puis en France en 1982. C'est une journée de manifestations à travers le monde, l'occasion de faire un bilan. La Journée des femmes reste aujourd'hui d'une brûlante actualité. Car tant que l'égalité entre les hommes et les femmes ne sera pas atteinte, nous aurons besoin de la célébrer.
Le miracle Pinay, c'est en 1952. Le 8 mars 1952, comme l'inflation menace la croissance économique, le président Vincent Auriol appelle à la tête du gouvernement français un inconnu, Antoine Pinay, maire de Saint-Chamond (Loire). En quelques mois, celui-ci rétablit la confiance des financiers et des consommateurs. Il fait notamment chuter les prix avec la complicité des grands magasins et lance un emprunt indexé sur l'or et défiscalisé, la rente 3,5%. Les souscriptions atteignent 428 milliards de francs ! Bien qu'ayant ainsi rétabli l'équilibre des finances publiques, le président du Conseil est mis en minorité par la défection des députés MRP sur un projet de réforme de la sécurité sociale et de l'impôt foncier. Antoine Pinay, qui n'a pas le goût des batailles politiques, jette l'éponge le 23 décembre 1952. Son passage, malgré sa brièveté, marquera de son empreinte la IVe République. ********** 1974 Inauguration de l'aéroport Charles-de-Gaulle 10 ans de travaux auront été nécessaires pour voir apparaître l'aérogare le plus moderne d'Europe. Elle sera ouverte au public à partir du 13 mars. Les premiers vols rallieront Paris à New York. Équipé à l'époque d'un seul terminal et d'une seule piste, l'aéroport est devenu en 30 ans la première plateforme aérienne de France avec quatre pistes et trois aérogares qui accueillent annuellement plus de 48 millions de passagers ********** Un stéthoscope (du grec stêthos (στῆθος), "poitrine", et scope du grec ancien "skopein" (σκοπεϊν), « observer ») est un instrument médical acoustique, utilisé pour l'auscultation, c'est-à-dire l'écoute des sons internes au corps humain. Le stéthoscope a été inventé le 17 février 1816 en France, par le docteur René Laennec. Il ne s'agissait alors que d'une simple liasse de papiers roulés, permettant d'éloigner l'oreille du médecin de son patient pour des raisons de pudeur, mais aussi d'efficacité. Il créa ainsi l'auscultation médiate par opposition à l'auscultation immédiate où il avait la tête collée à la poitrine du patient. Sa première description écrite de son système remonte au 8 mars 1817. Laennec en construisit secondairement plusieurs modèles en bois.
Le modèle en a été amélioré vers 1830 par Pierre Piorry qui construisit un adaptateur en ivoire du côté auriculaire. Vers la même époque, un tube flexible relie le pavillon à l'écouteur mais le modèle rigide va encore persister quelques décennies.
Le stéthoscope bi-auriculaire (pour les deux oreilles) a été imaginé dès 1829 mais construit seulement en 1851. Le tube était en caoutchouc mais cette solution s'avéra fragile et dut être abandonnée. Un second modèle, plus rigide, vit le jour en 1852 à base de tubes métalliques.
Vers 1870, des stéthoscopes différentiels apparaissent : deux pavillons, montés chacun sur un tube et connectés à une oreille, devaient permettre de comparer l'auscultation à deux endroits différents.
En 1961, le Dr David Littmann créa le stéthoscope contemporain avec son double pavillon réversible, qui reste toujours utilisé de nos jours.
Actuellement, les stéthoscopes comportent un ou deux pavillons, pièces métalliques pourvues d'une membrane que l'on applique sur la peau du patient. Cette membrane, mise en vibration par les sons corporels, est reliée par un ou deux tubes souples aux embouts que l'opérateur place dans ses oreilles. La rigidité du système au niveau auriculaire, se fait grâce à une armature métallique : la lyre. Par sa construction, il constitue un amplificateur acoustique (large pavillon, petits écouteurs). Les capteurs peuvent filtrer certaines fréquences, pour recueillir les sons plus spécifiquement aigus ou graves, selon les diagnostics à effectuer. Des modèles à amplification électronique ont été construits, sans réel succès commercial.
Le stéthoscope est utilisé par les professionnels de santé afin d'écouter les battements cardiaques, le murmure respiratoire, le thrill artériel, les bruits abdominaux ou fœtaux, ou encore utilisé lors de la prise de la tension artérielle.
C'est un appareil non intrusif, qui n'a pas d'effet secondaire, hormis une sensation de froid lors du contact avec la peau. Il donne de nombreuses informations sur le patient. Il est très utilisé lors d'auscultation cardiaque ou pulmonaire ********** 1869 Décès d'Hector Berlioz - 65 ans compositeur français. On lui doit des œuvres d'une puissance dramatique remarquable, telles "Harold en Italie", "Les Troyens" , "Symphonie fantastique". "La Damnation de Faust", "La Grande Messe des morts" "Benvenuto Cellini", "L'Enfance du Christ ********** 1917 Décès de Ferdinand Zeppelin, 78 ans Industriel allemand, Ferdinand Zeppelin, né le 8 juillet 1838, a construit à partir de 1890 les grands dirigeables qui l'ont rendu célèbre.Il a été le fondateur de la société Zeppelin et l'inventeur des aéronefs qui portent son nom. ********* 1993 Décès de Billy Eckstine, 79 ans Billy « Mr B » Eckstine né William Clarence était un chanteur doté d'une voix de baryton toute particulière, trompettiste, tromboniste à pistons et chef d'orchestre américain de jazz. Il est né à Pittsburgh en Pennsylvanie le 8 juillet 1914 Il a aussi été populaire comme chanteur. Il a enregistré, entre autres des succès tels que: "A Cottage For Sale", "Prisoner Of Love", et "My Foolish Heart".
Dans les années 40 il a formé un prestigieux orchestre de jazz réunissant l'élite des musiciens de l'époque, dont Miles Davis, Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Fats Navarro, Art Blakey et comme chanteuse soliste Sarah Vaughan.
Veules-les-Roses...La Belle Normande Inspire Les Artistes... Par Dominique Le Brun & Dominique Roger...
Les Plus Beaux Villages De Nos Régions...Blottie dans une valleuse boisée, en Seine-Maritime, cette adorable station balnéaire a inspiré bien des artistes et doit notamment sa richesse au plus petit fleuve de France qu'elle voit couler : la Veules, 1 194 mètres ! La Mer À La Campagne ?Veules-les-Roses, à quelques kilomètres à l'ouest de Dieppe est un rêve de peintre. Maisons coquettes couvertes de chaume, moulins à profusion et fleuve miniature... Le village respire au rythme de son patrimoine, naturel et bâti, jalousement protégé.
Allez toujours droit devant vous, vers l’ouest, au hasard, jusqu’à la mer !
Citation que l'on doit à Anaïs Aubert un jour de 1826 à son postillon. C’est donc sans l’avoir prémédité que cette actrice de la Comédie-Française, fuyant Paris et un chagrin d’amour, tombe sur ce village de pêcheurs, de meuniers et de tisserands niché au creux d’une valleuse de la côte d’Albâtre. Séduite par le bourg et la beauté de sa plage, elle fera de Veules-en-Caux – la commune ne prendra ce nom qu’en 1897 – un lieu de villégiature à la mode. Dans son sillage, la jeune femme entraîne des comédiens comme le populaire Mélingue, des hommes politiques, des artistes, des écrivains comme Paul Meurice, qui lui-même y attire son ami Victor Hugo. L’auteur des Misérables offrit même, dit-on, aux enfants les plus pauvres du village un immense banquet en septembre 1882. Un casino, des hôtels et des villas balnéaires voient rapidement le jour –la plupart des édifices du front de mer ont disparu lors des destructions de juin 1940. Et Veules devient une source d’inspiration pour bien des peintres, dont une colonie de peintres russes réalistes.
La foule y gâterait tout. Il vaut mieux n’en pas parler
Comme Jules Michelet, on aimerait garder rien que pour nous le village de Veules-les-Roses...
L'attractivité Artistique Peintre inspiré par ce pittoresque village normand... Le paysagiste Alexei Bogoliubov est le premier de ces artistes russes, en 1857, à découvrir la Normandie. L’artiste y attire une pléiade de peintres de l’Académie impériale des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg. Vassili Polenov, Ilya Repine, Alexis Kharlamov… Les Ambulants, comme on les appelle, s’entichent de Veules et y immortalisent paysages et scènes de vie du bourg – une Fille de pêcheur, un Cheval pour le ramassage des galets, Chaumière dans la cavée du Renard… Des toiles qui livrent aujourd’hui un précieux témoignage du Veules d'antan. Une Destination EstivaleToujours très fréquenté à la belle saison, Veules-les-Roses, 600 habitants, est vraisemblablement l’un des plus anciens villages normands – il remonterait au IVe siècle. Son origine étymologique signifierait « point d’eau ». Devant les modestes maisons de pêcheurs, un passage-piéton un peu particulier...pour traverser la Veules. Guère étonnant, cette station balnéaire doit sa richesse au fait qu’elle voit couler le plus petit fleuve de France : la Veules, 1 194 mètres ! Parallèle à la rue principale, le circuit le long de ses rives – il s’appelle le chemin des Champs-Elysées ! – offre une balade des plus apaisantes.
L'or Vert De La Veules Patrick Mahieu a repris il y a une 8 ans une cressonnière de 32 ares, aux sources de la Veules, dont l’origine remonte au XIVe siècle. Riche en fer et en calcium, la plante herbacée, qui « remplace très bien la salade l’hiver, dit-il, n’a plus de secret pour moi. La saison ne dure que 9 mois. J’en produis de la fin août à fin mai. Je profite des mois de juin et juillet pour replanter, à la main. L’eau, courante, est on ne peut plus pure car aux sources du fleuve. » Bottes de cresson, potage ou encore beurre de cresson... tout est direct du producteur au consommateur. Le Patrimoine Du Village. En parcourant le bourg, on peut avoir la chance de passer devant le clocher carré gothique de l’église Saint-Martin (XIIe-XIIIe siècles), aux piliers sculptés de motifs de navires, sirènes et coquillages. Le long de la Veules s’alignent de vieilles maisons en brique et silex typiquement cauchoises, des chaumières au jardin foisonnant, les pieds dans l’eau, une dizaine de moulins à eau et d’abreuvoirs, ou encore des «pucheux », l’endroit où les habitants venaient puiser l’eau. Les moulins sont restaurés, dans la mesure du possible. Celui-ci, le moulin Anquetil, fut détruit en juin 1940... Le bief, la roue, quelques murs sont heureusement parvenus jusqu'à nous. Le village en compte une dizaine, bâtis du XIIe au XIX siècle. Avec le temps, le chaume prend une belle teinte grisée. Bien entretenu, ce type de couverture peut durer une cinquantaine d'années. Dans une lettre à la femme de Paul Meurice, en 1873, l’historien Jules Michelet dit n’avoir connu « rien de plus joli ».
L’originalité, c’est le parti pris d’ignorer absolument la mer, de ne pas vouloir la voir. La charmante petite rivière est l’âme, pure, rapide, fourmillante,de la contrée. (…) Cette eau gentille se dépêche sans savoir où elle va. Et tout à coup, la voilà en face d’un infini imprévu, noyée dans la grande eau amère.
Contraste, ce village de poche traversé par un fleuve lilliputien présente à son embouchure, un deuxième visage, beaucoup plus grandiose. La plage laisse en effet découvrir à marée basse une superbe étendue de sable fin, paradis pour les amateurs de sports nautiques. Et, au pied des falaises crayeuses, sont cultivées depuis peu les seules huîtres élevées dans le département de la Seine-Maritime. Ce sont des ostréiculteurs bas-normands qui ont lancé le projet, notamment parce que l’endroit bénéfice des eaux douces de la Veules. Office de tourisme de Veules-les-Roses - Infos touristiques - Voir la fiche
On connait le désert! C’est un endroit sec avec des températures très élevées et on est loin d’imaginer que de la neige puisse tomber dans unetelle région et pourtant c’était bien le cas!
Dans la région de Ain Sefra en Algérie, La blancheur qui a recouvert cette ville désertique a surpris plus d’un.
En plein désert, la ville était recouverte de neige sur fond rouge, le sable!
Durant ces deux derniers jours, le phénomène a fait le buzz et continue d’alimenter les discussions et les articles en tous genres!
Capturés par un photographe amateur, les clichés que vous allez voir sont vraiment splendides et insolites!
Voila de belles images qu’on voit très rarement!
La couleur du sable est mêlée à celle de la neige et cela donne de jolies combinaisons qui font la joie des habitants de la région.
Ils peuvent au moins toucher cette neige et jouer avec pour ne pas dire la ramasser et la laisser devenir eau.
La nature nous émerveille avec ce cadeau de fin d’année qu’on espère apportera avec lui quelques changements climatiques car il est vraiment urgent de préserver notre planète des réchauffements climatiques qui la menacent.
Cette neige prouve au moins que notre terre peut être sauvée!
Il est important d’avoir un emploi pour pouvoir vivre dignement mais certains métiers sont vraiment très dangereux et pourtant des gens les font car ils n’ont pas le choix!
La combinaison de clichés que vous allez voir vous fera découvrir quelques emplois qu’il n’est pas bon de faire.
A travers le monde, ces métiers existent encore de nos jours comme travailler dans les mines par exemple.
La liste est longue, regardez plutôt la chance que vous avez!
Tous ces hommes travaillent réellement et ce n’est pas des mises en scène pour un film de science fiction qu’ils sont là.
Ils travaillent dans de dures conditions et ils risquent leur vie à chaque instant et pourtant ils reviennent chaque jour pour faire ce même boulot des années durant!
Pour les plus chanceux!
Les autres ne peuvent hélas pas reprendre ce travail car victimes d’un accident qui leur ôta la vie ou qui les rend handicapés à jamais!
Ces gens souffrent pour que leurs patrons gagnent gros. Ils travaillent pour subvenir à leurs besoins, à ceux de leurs familles, mais leur vie est sans cesse menacée.
Dur de penser qu’ils sont des millions à faire un travail à risque sans protection, parfois, sans assurances.
La vie est si injuste!
Voir le Fichier : Voici_le_poisson_PANGA-1.pdf
Publié le 06 mars 2018
oraisons du jour gardent la même tonalité que celles des jours qui
l’entourent. « Que tes serviteurs se purifient dans la pénitence et s’appliquent à faire ce qui est bon… » dit l’oraison d’ouverture de la messe. Seule l’antienne d’ouverture porte la marque d’une joie particulière ;
celle de celui qui cherche le Seigneur de toute sa force. Ainsi est
donné l’axe de la vraie joie, celle qui consiste à « imiter la charité du Christ qui a donné sa vie par amour pour le monde. »
Alors pourquoi les crêpes, les bugnes et autres traditions culinaires festives
viennent-elles agrémenter ce jour ? La logique du bon sens économique !
Le Carême est un temps de jeûne et les générations passées prenaient très au sérieux cet aspect
particulier. Même les œufs étaient interdits. Mais les œufs ne se
conservent guère plus de vingt jours, c’est-à-dire la moitié de
quarante. C’est pour ne pas perdre cette denrée précieuse pour beaucoup,
qu’on l’utilisait sous toutes les formes possibles.
De la même manière, c’est pour vider les réserves qu’on fait des crêpes pour le
Mardi gras. Après la mi-Carême, on attend à nouveau vingt jours pour
sortir, décorés de joie pascale, les œufs gardés en réserve.
POURQUOI FETER LA MI-CAREME ? ?
Comme son nom l’indique, elle marque la moitié du Carême, cependant ne la cherchez pas
dans le calendrier liturgique, elle n'y figure pas. Publié le 7 janvier
2018.
La Mi-Carême est une fête traditionnelle, d'origine française. Cette fête qui scinde en deux le Carême remonte au Moyen Age et se perpétue dans certaines régions où l'on organise un carnaval ...
La Mi-Carême se célèbre donc au milieu de la période des Quarante jours
de Carême. C'est une pause dans les privations et le jeûne qui
accompagnent généralement cette période. La Mi-Carême est fêtée par
définition « le jeudi de la troisième semaine entière des quarante jours de pénitence ».
On pourrait penser que la fête doit tomber le troisième lundi du Carême (vingtième jour à compter premier jour de Carême, le Mercredi des Cendres; mais les dimanches étant hors-carême , il faut donc rajouter trois jours de la semaine ce qui tombe un jeudi.
Pourquoi mange-t-on des crêpes à la Mi-Carême ? Autrefois, le Carême était suivi
très sérieusement aussi la viande et même les oeufs étaient interdits.
C'est pour cela qu'à la veille du Mercredi des Cendres - le Mardi-Gras,
on fait des crêpes pour vider les réserves qui ne pourront tenir
quarante jours !
Sachant que les oeufs ne se conservent pas plus de 20 jours; à une époque où les denrées n'étaient pas aussi accessibles
qu'aujourd'hui, on a institué la Mi-Carême pour que les chrétiens
puissent manger cette denrée précieuse avant qu'elle ne se perde ! Après
la Mi-Carême, on attend à nouveau vingt jours pour sortir, décorés de
joie pascale, les œufs gardés en réserve.
La mi-carême, un mardi gras renouvelé ?A mi-chemin du carême, comme une pause dans les privations et pour ne pas laisser perdre les provisions périssables, la tradition populaire a
placé une occasion festive. C’est le pendant du mardi gras où l’on
finissait les réserves de viande avant la période des privations.
Attestée depuis le 17ème siècle, la mi-carême semble avoir trouvé son
origine en France, voire à Paris, où se tenait ce jour-là, jusqu’au
premier tiers du 20ème siècle, les fêtes des blanchisseuses.
Pour l’Eglise, une occasion de faire le point dans la route vers Pâques.Au milieu du carême, le quatrième dimanche est dit « de lætare », selon le premier mot du chant d’entrée. Les ornements sont roses,
couleur de joie. On peut aussi dire que ce rose mêle le rouge de la
Passion avec le blanc de la Résurrection. Cette joie intérieure proposée
par la liturgie est celle du chrétien qui, à mi-chemin de son parcours
de purification, aperçoit à l’horizon la Lumière du Salut.
Le chant d’entrée est extrait du dernier chapitre du livre d’Isaïe. Le contexte est celui d’un jugement. Le Prophète rappelle la
condamnation promise aux hypocrites, ceux qui suivent leurs propres
chemins. Ce n’est qu’après qu’il s’adresse à ceux qui aiment le
Seigneur. A eux seuls, il offre la joie.
Cette mi-carême est ainsi l’occasion de faire le point sur notre situation : sommes-nous bien ceux qui aiment le Seigneur ? – Ceux qui
vivent de sa Lumière ?
Le combat de Carnaval et de Carême
Dans le tableau de Pieter Brueghel l’Ancien, deux caravanes se croisent. Celle de Carnaval est menée par un truculent boucher
porteur d’une broche couverte de victuailles. En face, suivie de
quelques enfants faisant sonner leur crécelle et de rares pénitents,
Carême porte deux misérables poissons. Tout autour, comme indifférents à
la scène, une foultitude de personnages vaquent à leurs occupations
ordinaires. Des estropiés crient misère, des enfants jouent à la toupie
et aux osselets, une femme lave ses carreaux, des paysans partent vanner
le blé.
Comme maintenant, les indifférents sont plus nombreux que les autres. Et nous, comment nous situer ?
Tous deux membres de l'association des rochers de Pyrôme, Michel Loiseau et
Jean-Luc Grimaud sont passionnés par le site, son histoire et les
légendes qui s'y rattachent.
Dans les légendes populaires, les rochers ou « chirons » de Pyraume servent
de refuge à toute la gent diabolique de la contrée : loups-garous,
lutins, farfadets. Les enfants se montrent avec effroi la cheminée du
diable, sa table, son fauteuil et son lit gigantesque. Malheur aux
imprudents qui osent regarder par les fissures et sonder les mystères de
l'antre infernal ! Afin d'en chasser le démon, femmes et jeunes filles
de Moulins organisèrent jadis une procession « sans parler », procédé
infaillible, paraît-il, s'il était réalisable. La première femme qui
arriva à Pyraume crut voir la silhouette du diable. Prise de frayeur,
elle s'écria : « Le voilà ! le voilà ! » Aussitôt elle fut saisie,
emportée, et jamais plus on ne la revit.
On voit encore, près des rochers de Pyrôme, la fontaine des farfadets. Ces
vilains petits bonshommes étaient des maraudeurs incorrigibles et de
francs polissons. A la nuit tombante, ils montaient souvent sur la
maison voisine de Nérette, dont la toiture se trouve presque au niveau
du sol. Perchés sur le tuyau de la cheminée, ils laissaient tomber dans
la poêle des flocons de suie et autres incongruités. Ils se plaisaient à
taquiner la fermière, à lui voler ses pommes. En son absence, ils
s'installaient au coin du foyer, sur les sièges les plus bas, qu'ils ne
quittaient jamais sans les avoir souillés.
Fatiguée de leur sans-gêne et de leurs déprédations, la fermière rangea un jour,
tout autour de la cheminée, des trépieds chauffés à blanc, des «
marmottes»- (chaufferettes en terre cuite) - pleines de braise, recouvertes de
barreaux de fer rougis au feu. Les farfadets, sans défiance, s'assirent
sur les sièges mis à leur portée, mais ils se redressèrent bien vite,
hurlant de douleur, et criant dans leur fuite : « C... brûlé ! C...
brûlé ! »
On raconte également que les farfadets gardent un trésor caché sous un
énorme bloc, qui se soulève à minuit sonnant, la veille de Noël. A ce
moment, l'or est offert aux libres convoitises de ceux qui consentent à
céder « leur part de paradis ». Un poète local, Célestin Normandin, a
consacré aux farfadets de Pyraume les vers suivants :
Dans les Avents, par les nuits sombres,
À Pyraume on entend souvent
Des cris plaintifs ; l'on voit des ombres
Errer lorsque mugit le vent.
Puis, quand vient l'heure solennelle,
Pendant la messe de minuit,
Un farfadet fait sentinelle
Et disparaît quand le jour luit.
Il garde, nous dit la légende,
De l'or dans ce maigre pâtis,
Et cet or, il faut qu'il le vende
Pour quelques « parts de Paradis ».
COMMENT EST NÉE LA JOURNÉE DES DROITS DES FEMMES
La véritable histoire de cette journée
provient en réalité du 8 mars 1917, à Petrograd en Russie. Des femmes
descendent dans la rue pour soutenir les hommes mobilisés sur le front.
Les leaders socialistes y voient le point de départ de la révolution
russe.
En France, une journée respectée depuis 1982
Au début des années 60, pour favoriser l'installation de cette journée,
les communistes vont gommer ces racines soviétiques. En 1977, l'ONU
proclame le 8 mars journée internationale des femmes. Et le 8 mars 1982,
François Mitterrand invite 400 femmes et décrète la journée de la femme
en France.
Mais en 2015, certains s'interrogent sur la pertinence de cette manifestation dont le nom varie entre "Journée internationale
de la femme" et "Journée internationale des droits des femmes". Or, dans
nombre de pays, cette journée consacrée aux droits des femmes (et non à
une représentation stéréotypée de la femme avec ses corollaires
sexistes, cadeaux, roses et parfum), n'est pas un luxe, loin s'en faut
omment le 8 mars est devenu la Journée Internationale des Femmes...
Au début du XXe siècle, des femmes de tous pays s'unissent pour défendre leurs droits.
L'origine de cette journée s'ancre dans les luttes ouvrières et les nombreuses
manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures
conditions de travail et l'égalité entre les hommes et les femmes, qui
agitèrent l'Europe et le monde occidental, au début du XXe siècle.
La création d'une « Journée internationale des femmes » est proposée pour
la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des
femmes socialistes, par Clara Zetkin, et s'inscrit alors dans une
perspective révolutionnaire.
La date n'est tout d'abord pas fixée, et ce n'est qu'à partir de 1917,
avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8
mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes
devient une tradition dans le monde entier.
Jusqu'à nos jours...
La date est réinvestie avec le regain féministe des années 70 et la «
Journée internationale des femmes » est reconnue officiellement par les
Nations Unies en 1977, puis en France en 1982. C'est une journée de
manifestations à travers le monde, l'occasion de faire un bilan.
La Journée des femmes reste aujourd'hui d'une brûlante actualité. Car tant
que l'égalité entre les hommes et les femmes ne sera pas atteinte, nous
aurons besoin de la célébrer.
ÇA C'EST PASSÉ UN 8 MARS
Le miracle Pinay, c'est en 1952.
Le 8 mars 1952, comme l'inflation menace la croissance économique, le
président Vincent Auriol appelle à la tête du gouvernement français un
inconnu, Antoine Pinay, maire de Saint-Chamond (Loire). En quelques
mois, celui-ci rétablit la confiance des financiers et des
consommateurs. Il fait notamment chuter les prix avec la complicité des
grands magasins et lance un emprunt indexé sur l'or et défiscalisé, la
rente 3,5%. Les souscriptions atteignent 428 milliards de francs !
Bien qu'ayant ainsi rétabli l'équilibre des finances publiques, le président
du Conseil est mis en minorité par la défection des députés MRP sur un
projet de réforme de la sécurité sociale et de l'impôt foncier. Antoine
Pinay, qui n'a pas le goût des batailles politiques, jette l'éponge le
23 décembre 1952. Son passage, malgré sa brièveté, marquera de son
empreinte la IVe République.
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1974
Inauguration de l'aéroport Charles-de-Gaulle
10 ans de travaux auront été nécessaires pour voir apparaître l'aérogare le plus moderne d'Europe.
Elle sera ouverte au public à partir du 13 mars. Les premiers vols rallieront Paris à New York.
Équipé à l'époque d'un seul terminal et d'une seule piste, l'aéroport est
devenu en 30 ans la première plateforme aérienne de France avec quatre
pistes et trois aérogares qui accueillent annuellement plus de 48
millions de passagers
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Un stéthoscope (du grec stêthos (στῆθος), "poitrine", et scope du grec ancien "skopein" (σκοπεϊν), «
observer ») est un instrument médical acoustique, utilisé pour
l'auscultation, c'est-à-dire l'écoute des sons internes au corps humain.
Le stéthoscope a été inventé le 17 février 1816 en France, par le docteur
René Laennec. Il ne s'agissait alors que d'une simple liasse de papiers
roulés, permettant d'éloigner l'oreille du médecin de son patient pour
des raisons de pudeur, mais aussi d'efficacité. Il créa ainsi
l'auscultation médiate par opposition à l'auscultation immédiate où il
avait la tête collée à la poitrine du patient. Sa première description
écrite de son système remonte au 8 mars 1817. Laennec en construisit
secondairement plusieurs modèles en bois.
Le modèle en a été amélioré vers 1830 par Pierre Piorry qui construisit un adaptateur en
ivoire du côté auriculaire. Vers la même époque, un tube flexible relie
le pavillon à l'écouteur mais le modèle rigide va encore persister
quelques décennies.
Le stéthoscope bi-auriculaire (pour les deux oreilles) a été imaginé dès 1829 mais construit seulement en 1851. Le
tube était en caoutchouc mais cette solution s'avéra fragile et dut être
abandonnée. Un second modèle, plus rigide, vit le jour en 1852 à base
de tubes métalliques.
Vers 1870, des stéthoscopes différentiels apparaissent : deux pavillons, montés chacun sur un tube et connectés à
une oreille, devaient permettre de comparer l'auscultation à deux
endroits différents.
En 1961, le Dr David Littmann créa le stéthoscope contemporain avec son double pavillon réversible, qui reste
toujours utilisé de nos jours.
Actuellement, les stéthoscopes comportent un ou deux pavillons, pièces métalliques pourvues d'une
membrane que l'on applique sur la peau du patient. Cette membrane, mise
en vibration par les sons corporels, est reliée par un ou deux tubes
souples aux embouts que l'opérateur place dans ses oreilles. La rigidité
du système au niveau auriculaire, se fait grâce à une armature
métallique : la lyre. Par sa construction, il constitue un amplificateur
acoustique (large pavillon, petits écouteurs). Les capteurs peuvent
filtrer certaines fréquences, pour recueillir les sons plus
spécifiquement aigus ou graves, selon les diagnostics à effectuer. Des
modèles à amplification électronique ont été construits, sans réel
succès commercial.
Le stéthoscope est utilisé par les professionnels de santé afin d'écouter les battements cardiaques, le
murmure respiratoire, le thrill artériel, les bruits abdominaux ou
fœtaux, ou encore utilisé lors de la prise de la tension artérielle.
C'est un appareil non intrusif, qui n'a pas d'effet secondaire, hormis une
sensation de froid lors du contact avec la peau. Il donne de nombreuses
informations sur le patient. Il est très utilisé lors d'auscultation
cardiaque ou pulmonaire
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1869
Décès d'Hector Berlioz - 65 ans
compositeur français.
On lui doit des œuvres d'une puissance dramatique remarquable,
telles "Harold en Italie", "Les Troyens" , "Symphonie fantastique". "La Damnation de Faust", "La Grande Messe des morts"
"Benvenuto Cellini", "L'Enfance du Christ
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1917
Décès de Ferdinand Zeppelin, 78 ans
Industriel allemand, Ferdinand Zeppelin, né le 8 juillet 1838, a construit à
partir de 1890 les grands dirigeables qui l'ont rendu célèbre.Il a été
le fondateur de la société Zeppelin et l'inventeur des aéronefs qui
portent son nom.
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1993
Décès de Billy Eckstine, 79 ans
Billy « Mr B » Eckstine né William Clarence était un chanteur doté d'une voix
de baryton toute particulière, trompettiste, tromboniste à pistons et
chef d'orchestre américain de jazz. Il est né à Pittsburgh en
Pennsylvanie le 8 juillet 1914
Il a aussi été populaire comme chanteur. Il a enregistré, entre autres des succès tels que:
"A Cottage For Sale", "Prisoner Of Love", et "My Foolish Heart".
Dans les années 40 il a formé un prestigieux orchestre de jazz réunissant
l'élite des musiciens de l'époque, dont Miles Davis, Charlie Parker,
Dizzy Gillespie, Fats Navarro, Art Blakey et comme chanteuse soliste
Sarah Vaughan.
Par Dominique Le Brun & Dominique Roger...
Les Plus Beaux Villages De Nos Régions...Blottie dans une valleuse boisée, en Seine-Maritime, cette adorable station
balnéaire a inspiré bien des artistes et doit notamment sa richesse au plus petit fleuve de France qu'elle voit couler : la Veules, 1 194 mètres !
La Mer À La Campagne ? Veules-les-Roses, à quelques kilomètres à l'ouest de Dieppe est un rêve de peintre.
Maisons coquettes couvertes de chaume, moulins à profusion et fleuve miniature...
Le village respire au rythme de son patrimoine, naturel et bâti, jalousement protégé.
Citation que l'on doit à Anaïs Aubert un jour de 1826 à son postillon.
C’est donc sans l’avoir prémédité que cette actrice de la Comédie-Française, fuyant Paris et un chagrin d’amour, tombe sur ce village de pêcheurs, de meuniers et de tisserands niché au creux d’une valleuse de la côte d’Albâtre.
Séduite par le bourg et la beauté de sa plage, elle fera de Veules-en-Caux – la commune ne prendra ce nom qu’en 1897 – un lieu de villégiature à la mode.
Dans son sillage, la jeune femme entraîne des comédiens comme le populaire Mélingue, des hommes politiques, des artistes, des écrivains comme Paul Meurice, qui lui-même y attire son ami Victor Hugo.
L’auteur des Misérables offrit même, dit-on, aux enfants les plus pauvres du village un immense banquet en septembre 1882.
Un casino, des hôtels et des villas balnéaires voient rapidement le jour –la plupart des édifices du front de mer ont disparu lors des destructions de juin 1940.
Et Veules devient une source d’inspiration pour bien des peintres, dont une colonie de peintres russes réalistes.
Comme Jules Michelet, on aimerait garder rien que pour nous le village de Veules-les-Roses...
L'attractivité Artistique
Peintre inspiré par ce pittoresque village normand...
Le paysagiste Alexei Bogoliubov est le premier de ces artistes russes, en 1857, à découvrir la Normandie.
L’artiste y attire une pléiade de peintres de l’Académie impériale des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg.
Vassili Polenov, Ilya Repine, Alexis Kharlamov… Les Ambulants, comme on les appelle, s’entichent de Veules et y immortalisent paysages et scènes de vie du bourg – une Fille de pêcheur, un Cheval pour le ramassage des galets, Chaumière dans la cavée du Renard…
Des toiles qui livrent aujourd’hui un précieux témoignage du Veules d'antan.
Une Destination EstivaleToujours très fréquenté à la belle saison, Veules-les-Roses, 600 habitants, est vraisemblablement l’un des plus anciens villages normands – il remonterait au IVe siècle. Son origine étymologique signifierait « point d’eau ».
Devant les modestes maisons de pêcheurs, un passage-piéton un peu particulier...pour traverser la Veules.
Guère étonnant, cette station balnéaire doit sa richesse au fait qu’elle voit couler le plus petit fleuve de France : la Veules, 1 194 mètres !
Parallèle à la rue principale, le circuit le long de ses rives – il s’appelle le chemin des Champs-Elysées ! – offre une balade des plus apaisantes.
L'or Vert De La Veules
Patrick Mahieu a repris il y a une 8 ans une cressonnière de 32 ares, aux sources de la Veules, dont l’origine remonte au XIVe siècle.
Riche en fer et en calcium, la plante herbacée, qui « remplace très bien la salade l’hiver, dit-il, n’a plus de secret pour moi.
La saison ne dure que 9 mois. J’en produis de la fin août à fin mai. Je profite des mois de juin et juillet pour replanter, à la main. L’eau, courante, est on ne peut plus pure car aux sources du fleuve. »
Bottes de cresson, potage ou encore beurre de cresson... tout est direct du producteur au consommateur.
Le Patrimoine Du Village.
En parcourant le bourg, on peut avoir la chance de passer devant le clocher carré gothique de l’église Saint-Martin (XIIe-XIIIe siècles), aux piliers sculptés de motifs de navires, sirènes et coquillages.
Le long de la Veules s’alignent de vieilles maisons en brique et silex typiquement cauchoises, des chaumières au jardin foisonnant, les pieds dans l’eau, une dizaine de moulins à eau et d’abreuvoirs, ou encore des «pucheux », l’endroit où les habitants venaient puiser l’eau.
Les moulins sont restaurés, dans la mesure du possible. Celui-ci, le moulin Anquetil, fut détruit en juin 1940...
Le bief, la roue, quelques murs sont heureusement parvenus jusqu'à nous.
Le village en compte une dizaine, bâtis du XIIe au XIX siècle.
Avec le temps, le chaume prend une belle teinte grisée. Bien entretenu, ce type de couverture peut durer une cinquantaine d'années.
Dans une lettre à la femme de Paul Meurice, en 1873, l’historien Jules Michelet dit n’avoir connu « rien de plus joli ».
Contraste, ce village de poche traversé par un fleuve lilliputien présente à son embouchure, un deuxième visage, beaucoup plus grandiose.
La plage laisse en effet découvrir à marée basse une superbe étendue de sable fin, paradis pour les amateurs de sports nautiques.
Et, au pied des falaises crayeuses, sont cultivées depuis peu les seules huîtres élevées dans le département de la Seine-Maritime.
Ce sont des ostréiculteurs bas-normands qui ont lancé le projet, notamment parce que l’endroit bénéfice des eaux douces de la Veules.
Office de tourisme de Veules-les-Roses - Infos touristiques -
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