De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
16/11/2017 - 18:19

                                                      
ÇA C'EST PASSÉ UN 16 NOVEMBRE


Achille Zavatta (6 mai 1915, La Goulette, Tunisie - 16 novembre 1993,
Ouzouer-des-Champs, France) est un homme de cirque français d'origine
tunisienne, à la fois clown, pratiquant aussi l'acrobatie, le trapèze
(agrès), les exercices équestres, le domptage et la musique. Il jouait
de la trompette, du saxophone et du tambour.
Fils de Federico Zavatta, issu d'une famille de forains italiens, et d'Emma Tholomet,
tous deux artistes de variétés dans le cirque.
Frère de Rodolphe Zavatta (1906-1998), voltigeur devenu clown après un accident au trapèze volant.
Après avoir débuté en 1918 à l'âge de trois ans dans le cirque familial, il
créa avec sa sœur et l'un de ses frères un numéro de jockeys, le Trio
Zavatta. Avec son numéro de clown Auguste et sa participation dans
diverses pantomimes (La Perle du Bengale, mise en scène par Géo Sandry),
à partir de 1936, c'est au Cirque d'Hiver-Bouglione dans les années
1930 qu'il accède à la célébrité. Son personnage d'Auguste est sa marque
de fabrique : nez rouge, chapeau et fleurs arrosantes. En duo avec ses
frères Michel ou Rolph, puis avec le clown blanc Alex, enfin se
contentant de partenaires sans maquillage, il fut, pour plusieurs
générations, l'un des clowns les plus célèbres, au même titre que Grock
ou Oleg Popov Il est l'auteur de 30 ans de Cirque (1954) et Viva Zavatta
(1976).

De 1947 à 1951, il dirige un grand chapiteau, le Bostok Circus puis Zoo Circus
En 1978, il crée son propre cirque traditionnel, le Cirque Zavatta, mais
doit abandonner la piste en 1985. Ses enfants reprendront la suite
(Lydia monte un cirque à son nom, ses deux frères créent le cirque
Zavatta Fils et Franck exploitera brièvement le cirque Franck Zavatta).
Aujourd'hui, de nombreux cirques tournent sous l'enseigne Zavatta, nom qu'ils louent
à des membres de la famille. Seul Stéphane, petit-fils d'Achille, est
encore à la tête d'un cirque : le cirque "Maximum".
Ne pouvant plus supporter la vie en dialyse, il se suicide le 16 novembre 1993 à
Ouzouer-des-Champs près de Montargis (Loiret). Il repose au cimetière du
Père-Lachaise à Paris (columbarium, case 1918
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Sœur Emmanuelle, de son vrai nom Madeleine Cinquin, est décédée le 20
octobre à l'âge de 99 ans. Cette religieuse franco-belge avait consacré
sa vie aux plus pauvres en France ou au Caire. Avec son franc-parler,
elle a su médiatiser sa cause.
Nom : Emmanuelle
Prénom : Soeur
Né(e) le : 16 novembre 1908 - à : Bruxelles

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Journée internationale de la tolérance (ONU)

Nous pouvons lire : "Nous, peuples des Nations Unies, résolus à préserver
les générations futures du fléau de la guerre, ... à Proclamer à nouveau
notre foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et
la valeur de la personne humaine ... Et à ces fins à pratiquer la
tolérance, à vivre en paix l'un avec l'autre dans un esprit de bon
voisinage", extrait de la Charte des Nations Unies.
Depuis, chaque année, le 16 novembre donne le jour à une nouvelle Journée
Internationale de la tolérance afin de rappeler que c'est justement
grâce essentiellement à la tolérance que les peuples, les groupes et les
individus peuvent espérer vivre en paix avec ses voisins.
*************
1884
Edmond de Goncourt crée un prix littéraire

Edmond de Goncourt, écrivain, amateur d'art et collectionneur, écrit un
testament par lequel il crée, en mémoire de son frère, une académie
chargée de remettre un prix littéraire qui porte leur nom. La Société
Littéraire des Goncourt fut officiellement fondée en 1902 et le premier
prix Goncourt était décerné le 21 décembre 1903. (John-Antoine Nau pour
Force Ennemie).




Edmond et Jules de Goncourt sont des écrivains: Edmond s'occupant des plans et
Jules du style, ils écrivent d'abord un roman "En 18..." Ils en
écriront six en commun avant la folie et la mort de Jules en 1870.
Edmond continuera seul et publiera quatre romans.
**********
1945
Création de l'UNESCO
(Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture)

La Convention créant l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la
science et la culture (UNESCO) a été signée à Londres le 16 novembre
1945 par 37 pays et est entrée en vigueur suite à la ratification, le 4
novembre 1946, par 20 de ses signataires. Son siège est installé à
Paris. Les membres de l'UNESCO ont inauguré leurs nouveaux locaux le 3
novembre 1958.
L'objectif principal de l'UNESCO est de contribuer au maintien de la paix et de la sécurité dans le monde en resserrant, par
l'éducation, la science, la culture et la communication, la
collaboration entre nations, afin d'assurer le respect universel de la
justice, de la loi, des droits de l'homme et des libertés fondamentales
pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion,
que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples.
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1960
Décès de Clark Gable
La grande vedette d'Hollywood Clark Gable (né le premier février 1901) meurt à l'âge de 59 ans, victime d'une attaque cardiaque.
C'est le film "A Free Soul" qui a lancé sa carrière pour de bon. En 1934, "It
Happened One Night" a été proclamé le film de l'année; l'acteur et sa
partenaire Claudette Colbert récoltant chacun un Oscar
Mais le rôle qui a immortalisé le 'Roi d'Hollywood', c'est celui de Rhett Butler
qu'il a tenu dans "Gone With the Wind", le plus grand succès
cinématographique de tous les temps.
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1981
Décès de William Holden, acteur américain
William Holden, de son vrai nom William Franklin Beedle Jr., est un acteur
américain né le 17 avril 1918 à O'Fallon dans l'Illinois (États-Unis) et
mort le 16 novembre 1981 à Santa Monica en Californie (États-Unis).


La notoriété vint à ce jeune premier au physique anonyme avec la maturité
et le rôle d'un scénariste déchu et gigolo dans Sunset Boulevard (1950).
Il reçut l'Oscar du meilleur acteur en 1953 pour "Stalag 17" et fut
nommé dans la même catégorie en 1951 pour Sunset boulevard et en 1977
pour Network.

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16/11/2017 - 18:17

                                                      PHOTOS  RARES

Surfeurs avec leurs « planches »- 1922


Une femme bikeuse – années 60


Un garçon regarde la télévision pour la première fois – 1948


L'inventeur du basket-ball (James Naismith) et sa femme


Cérémonie remise de diplômes – 1895


Linda Christian, première James Bond Girl – 1945
16/11/2017 - 18:14
                                                           

L'ACTRICE ÉTAIT QUALIFIÉE DE «BOMBE ANATOMIQUE
Linda Chris­tian a marqué les esprits par son physique, son rôle de première James Bond Girl et son mariage avec Tyrone Power.

sa sortie de mer en bikini blanc, une image restée gravée dans toutes
les mémoires, celle de la première James Bond Girl. Une vérité quelque
peu défor­mée en fait. La première actrice à avoir endossé le costume
(ou le maillot) de bimbo 007 s'ap­pe­lait Linda Chris­tian
Née au Mexique en 1923, c'est un peu par hasard que Linda Chris­tian voit
s'ou­vrir les portes d'Hol­ly­wood devant elle. Repé­rée par Errol
Flynn, les jour­na­listes et le monde du cinéma lui affublent
l'étiquette de «bombe anato­mique», qu'elle gardera tout au long de sa
courte carrière. Elle est embau­chée par la MGM, mais ne parvien­dra
jamais à percer dans le milieu. Elle est en 1954 la première James Bond
Girl donc, dans une adap­ta­tion pour la télé­vi­sion de Casino Royale
(Ursula Andress dans James Bond contre Dr No n'ap­pa­rai­tra qu'en 1962)
et joue dans le dernier Tarzan avec Johnny Weiss­mul­ler, Tarzan et les
sirènes.

C'est en revanche dans les pages people des jour­naux que Linda Chris­tian laisse une trace. Elle épouse en 1949 l'ac­teur
Tyrone Power, une énorme vedette à l'époque, et un mariage qui l'est
tout autant. Ils auront ensemble deux enfants, Taryn et Romina, cette
dernière connais­sant dans les années 70 et 80 un gros succès dans la
chan­son, en duo avec son mari. Al Bano et Romina Power sont les
inter­prètes notam­ment de Feli­cita.

La vie de famille n'est pas pour Linda Chris­tian qui devient la reine des nuits italiennes, la
fameuse «dolce vita». Elle s'af­fiche aux bras de nombreux amants puis
épouse un autre acteur, Edmund Purdom, un mariage qui ne durera même pas
un an. A 40 ans, Linda Chris­tian est déjà has been, sort ses mémoires
et tombe dans l'ou­bli. Elle est décé­dée d'un cancer du colon, dans sa
maison de Palm Desert, en Cali­for­nie.
 
16/11/2017 - 17:17

Beaujolais nouveau. Le millésime 2017 s'annonce "coloré" et "fruité" ...  
                                                          
Le troisième jeudi de novembre coïncide avec les premières dégustation de beaujolais nouveau, un vin primeur qui fait moins recette qu'autrefois.                                                                        
                                                              

Les amateurs de beaujolais vont devoir attendre minuit pour déboucher les premières bouteilles du millésime 2017. La tradition veut en effet qu'on déguste le Beaujolais nouveau à partir du troisième jeudi de novembre.                                                           
                                                                  
                   

De Beaujeu (Rhône) jusqu'en Chine, en passant par les Etats-Unis, la Belgique, le Brésil ou le Japon, des milliers de litres de ce vin primeur vont être consommés à partir de ce jeudi 16 novembre.            
                                                                       
  

Montée en gamme :   « On aura encore sans doute cette année une légère érosion de nos ventes mais on n'a plus de prix cassés et on note une montée en gamme, notre stratégie commence à payer », explique Dominique Piron, président
d'InterBeaujolais, en regrettant au passage que certaines enseignes de la grande distribution ne jouent pas le jeu.                         
                                                                  
                                                                       
                                    

Depuis l'an dernier, l'interprofession prend soin de parler des « Beaujolais nouveaux » et non plus du Beaujolais nouveau, pour mettre l'accent sur la qualité. « Les Japonais, qui sont notre premier client (hors de France) avec environ six millions de bouteilles par an, veulent plus de diversité », souligne-t-il.                                              
                                                                       
                                                            

Les vignerons misent aussi sur la « bistronomie »  : « il y a une jeune génération de restaurateurs qui sont preneurs car nos vins sont abordables et faciles à assortir en cuisine », explique Dominique Piron.
                                            

Récolte difficile :  Après la folie des années 80, les ventes de Beaujolais nouveau ne cessent de reculer depuis une quinzaine d'années. En 2016, il s'est tout de même vendu 25,2 millions de bouteilles (500 000 de moins qu'en 2015).        
                                                                       
                       

 
Le millésime 2017 s'annonce « coloré, fruité » après une récolte en repli d'environ 30%, les vignes ayant souffert cette année du gel, puis de la grêle et enfin de la sécheresse.
16/11/2017 - 13:52
LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE EST UN VÉRITABLE FLÉAU : VOICI 10 CONSEILS POUR L'ÉVITER.

Qui n’a jamais oublié une salade au fond d’un frigo ou même un petit reste d’un plat préparé la veille ? Le gaspillage alimentaire touche la restauration mais également le particulier.
Non seulement, jeter des aliments est néfaste pour le porte-monnaie, mais cela l’est aussi pour l’environnement. Les Français jettent en moyenne 27 kg de denrées alimentaires par an.
Un peu plus d’un quart de ces produits sont encore dans l’emballage. Voici quelques petites astuces afin d’éviter au
maximum le gaspillage alimentaire.

 
FAIRE SES COURSES INTELLIGEMMENT



Faire les courses est un art. Certains sont adeptes de la fameuse liste, d’autres des drives et d’autres encore préfèrent aller chez les
producteurs du coin. Sans avoir besoin de prévoir à l’avance les plats de la semaine, il est tout de même important de savoir à peu près ce qu’il faut acheter. Ainsi les achats compulsifs sont amoindris, les quantités maîtrisées et le compte en banque un peu moins dans le rouge.

 VÉRIFIER LES DATES DE PÉREMPTION



Certaines grandes surfaces sont sans scrupule et le consommateur, en toute confiance, prend le premier pack de yaourts sans faire attention à la date limite de consommation. Résultat, trois jours plus tard, les laitages sont périmés et comme la plupart des personnes prennent ladite date comme référence, les yaourts partent à la poubelle.
Attention toutefois, CERTAINS PRODUITS PÉRIMÉS PEUVENT ENCORE ÊTRE CONSOMMÉS!

De même, le frigo doit être organisé de façon à ce que les dates les plus proches soient consommées avant, même si la crème au chocolat fait beaucoup d’ombre à la compote de pommes !

 ATTENTION À LA CONSERVATION



Là encore, tous les aliments conservés au frigo doivent être disposés de façon ordonnée (les légumes dans le bac adéquat, etc.). Pour les plats surgelés, il est important d’indiquer la date de réalisation avant la congélation et de mettre ceux à consommer en priorité à l’avant.

 CUISINER SES RESTES



Les fruits en fin de vie feront d’excellentes compotes, tartes ou salades de fruits pour le dessert ou le goûter. Les viandes ou poissons peuvent finir en hachis, en brochettes ou au wok.

Quant au pain rassis, il est d’usage d’y frotter des gousses d’ail, d’ajouter un filet d’huile d’olive puis un peu de tomate et du jambon de pays pour l’apéritif. Les enfants (et les adultes) raffolent aussi du pain perdu ! Autre alternative : l’émietter dans le jardin ou sur le balcon pour les oiseaux ou aller au parc nourrir les canards ou les chevaux.

 LA PÂTISSERIE AU SECOURS DES ALIMENTS EN FIN DE VIE 



Inutile de jeter des blancs d’œufs : ils se congèlent très bien dans un bac à glaçon par exemple en vue de préparer de délicieuses meringues ou financiers. De même les yaourts arrivant à la date limite de consommation feront un très bon gâteau pour le goûter.

 CUISINER JUSTE POUR CUISINER PLUS



Pas facile de cuisiner juste pour que chacun ait sa part et que rien ne reste. L’idéal est donc de toujours cuisiner plus. Chacun aura de
quoi se rassasier mais surtout, le surplus pourra être « partitionné » et congelé en vue de le ressortir les jours de flemme.
Certaines personnes cuisinent pendant le week-end et réalisent des quantités plus importantes de façon à avoir des restes pour toute la semaine. Ainsi, pas de gaspillage mais des plats variés à sortir du congélateur en fonction des humeurs et des envies.

NOURRIR LES ANIMAUX ET LE SOL



Les animaux domestiques sont friands des petits plats maison. Ainsi, plutôt que de jeter, la viande ou le poisson feront des heureux auprès du chien voire du chat, tout comme le riz et les pâtes.
Les poules sont omnivores et dégustent à peu près tout. Enfin, pour donner une seconde vie aux légumes et fruits moisis, le compost reste la meilleure des solutions.

 LA CONGÉLATION POUR ÉVITER LE GASPILLAGE



Congeler les fruits et légumes abîmés permet de réaliser de délicieux smoothies. De même, les découper et les conditionner dans des sacs isothermes sera salvateur au moment de préparer une fameuse nice cream ! Ces petites glaces saines composées de fruits congelés font le régal des enfants.

 ACHETER AU JOUR LE JOUR



Certaines personnes ont la chance d’avoir une supérette, une épicerie ou encore mieux, un producteur à proximité. Ainsi, afin d’éviter tout gaspillage, pouvoir s’approvisionner au jour le jour est aussi une bonne solution. Cette option est idéale pour les personnes seules ou les familles peu nombreuses.

 PENSER AUX PERSONNES DANS LE BESOIN 



Il suffit bien souvent de sortir de chez soi et d’apercevoir des personnes vivant dans la précarité voire dans la rue. Plutôt que de
jeter, proposer ses aliments proches de la date de péremption à des personnes dans le besoin évite le gaspillage tout en faisant plaisir à autrui.
Cet acte altruiste n’a que des avantages : s’y essayer est gage de bien-être et de satisfaction.
Éviter le gaspillage alimentaire est souvent possible. Pour cela, il suffit d’un peu de bon sens et de volonté.
16/11/2017 - 10:04
Reportage:mon village passe au vert.

Par jean-Christophe Martineau, photos Jean-Louis Carli


En Alsace, Ungersheim est à la pointe de la transition écologique et énergétique. Notre journaliste a rencontré son maire et ses habitants qui ont décidé de montrer l'exemple.
La carriole avance au pas tranquille de Cosaque, le solide cheval comtois à la robe havane qui la tracte. Abrités sous
la capote, Nathan, Elias, Maé, Yanis, Mathis... Une dizaine d’écoliers rentrent chez eux pour le déjeuner dans un joyeux brouhaha. David Sandmann, employé municipal, fait office de cocher.

Ce spectacle quotidien n’intrigue plus les habitants d’Ungersheim. Dans ce bourg du Haut-Rhin de 2 200 habitants, situé à une vingtaine de kilomètres de Mulhouse, c’est en calèche que les enfants se rendent à l’école depuis 2008

"Je trouve cela bien. Pas de pollution.Les voitures sont obligées de ralentir et les enfants sont contents", commente Jérôme Antoine,
retraité des mines de potasse qui constituèrent, jusque dans les années 1990, un pilier de l’activité économique de la région. À 76 ans, personnalité incontournable du conseil des sages du village, il habite toujours l’une des maisons de la cité minière construite après-guerre. 
Cosaque et son congénère, Richelieu, sont des chevaux cantonniers que la commune emploie pour le transport scolaire, mais aussi pour diverses tâches comme l’arrosage des plantations ou les travaux des champs de la régie agricole municipale. Créée en 2015, celle-ci expérimente le maraîchage sans traitements chimiques. 

• Apporter une pierre à l’édifice
 
(Jean-Christophe Martineau, notre journaliste avec le maire de la commun d'Ungersheim, Jean-Claude Mensch)

Car Ungersheim est un village "en transition", l’un des premiers en France à avoir adopté en 2009 cette démarche qui
mixe écologie, développement durable et démocratie participative. À l’origine de ce projet, Jean-Claude Mensch, le maire, un ancien de la mine lui aussi. Âgé de 70 ans, élu depuis 1989, il a choisi d’orienter le développment du village vers un modèle de société plus respectueux de l’environnement, moins énergivore, plus solidaire. Utopie? "Nous apportons notre pierre à l’édifice", répond-il, franc sourire et regard bleu pâle. "Et puis, surtout, nous montrons qu’il n’y a pas de fatalité et qu’il est possible d’agir!"

À Ungersheim, l’engagement de la commune dans la transition s’est traduit par la mise en place d’un conseil participatif où siègent une cinquantaine d’habitants qui planchent sur différents thèmes: agriculture, eau, cohésion sociale, mobilité accessibilité, sport, culture, énergie renouvelable... Des propositions sont ensuite transmises au conseil municipal. 
Au fil des ans, Ungersheim a multiplié les chantiers: le retrait des traitements phytosanitaires et engrais chimiques dans les espaces verts, le remplacement des produits d’entretien issus de la pétrochimie par des substituts bio, l’éclairage public par des lampes Led, économes en énergie. D’autres nécessitent davantage d’investissements financiers et humains. Comme la centrale solaire, la plus importante d’Alsace, implantée sur un ancien terrain des mines de potasse. "Je suis réaliste, je sais qu’il
est difficile de se passer du nucléaire pour l’instant, mais cette centrale, c’est l’avenir. Le soleil est gratuit", s’enthousiasme Jérôme
Antoine au sommet du terril qui surplombe le site. À gauche, le regard embrasse le Grand Ballon des Vosges; à droite, la plaine et les monumentales installations du carreau Rodolphe, l’un des puits (desmines) désaffectés. Au pied du terril, neuf bâtiments abritent des PMEet une cinquantaine d’emplois.

Les 40 000m2 de toiture sont recouverts de panneaux photovoltaïques et l’électricité produite est revendue à EDF. "Cela représente la consommation hors chauffage de 10 000 personnes", détaille Xavier Baumgartner, gérant de la société exploitant le site. La commune, pour sa part, perçoit un loyer.

• Du bois pour chauffer et isoler.
La municipalité a également mis un terrain à la disposition d’une société civile immobilière regroupant neuf familles afin de bâtir un éco-hameau: "Le Champré". Gilles Barthe est l’un des futurs occupants de cette longue construction en paille bardée de bois de mélèze. Cet habitat bioclimatique comporte un système de chauffage collectif au bois, un chauffe-eau solaire, un jardin commun et sera particulièrement sobre en énergie grâce à son isolation performante. "Les murs ont 40 cm d’épaisseur", précise-t-il.

À 52 ans, ce technicien des télécoms consacre tout son temps libre à l’aménagement de son logement.
Visseuse en main, il fixe les panneaux recouvrant la laine de bois.
"C’est un projet que l’on réalise une fois dans sa vie, alors je suis très méticuleux"! Il y a encore une année de boulot avant que la famille’installe..." Curieux et admiratif, Jérôme Antoine se renseigne sur larésistance du bois, le circuit de la chaufferie. "Si j’étais jeune, je ferais comme vous. Bravo!", assure-t-il, l’œil brillant. 
Non loin du Champré s’étendent sur huit hectares les champs des jardins du Trèfle rouge, une association d’insertion qui pratique le maraîchage biologique. La trentaine d’employés produit chaque semaine 250 paniers de légumes de saison pour ses clients.

Ce jour-là, Jérôme Antoine discute plans de tomates et d’oignons rouges avec Julie, l’une des stagiaires.
Et lui indique une recette à base de choux de Bruxelles. "Manger sain, c’est important. Moi aussi je fais mon jardin. Tous les légumes et des fruitiers: pommiers, cerisiers, pruniers... Le bio, c’est une bonne chose. Et en plus, ici, cela permet à des gens de se réinsérer grâce au travail, ça me convient." 
L’exploitation alimente aussi le restaurant scolaire, qui propose des menus 100% bio, ainsi qu’une petite légumerie-conserverie. Baptisée De la graine à l’assiette, cette filière agricole locale est l’un des axes de la transition d’Ungersheim. "Il faut que les villes retrouvent uneautonomie alimentaire pour ne pas rester dépendantes de la grande
distribution. Il y a plus de 1000 hectares de terres agricoles dans les environs du village, mais quasiment aucune production
alimentaire de proximité.
Rien que du maïs. Un comble!" déplore Jean-Claude Mensch.


• Convaincre par l’exemple.
Pour compléter la palette des commerces du bourg (pharmacie, boulangers, boucher-charcutier, coiffeur, buraliste, restaurant), une épicerie coopérative va ouvrir en 2017 sur la place de la mairie, dans les locaux bientôt désertés par La Poste. Les clients pourront, comme Jérôme Antoine, y payer leurs emplettes en "radis", la monnaie locale d’Ungersheim. "C’est un bon moyen d’aider les commerçants à fidéliser les consommateurs", dit-il en sortant de la boulangerie. 12000 radis sont en circulation dans la commune. 

"Nous essayons de tracer le chemin", glisse Jean-Claude Mensch. Sur letableau de la salle du conseil municipal, il a inscrit un poème de RenéChar: "Impose ta chance, serre ton bonheur, et va vers ton risque. À te regarder ils s’habitueront." Monsieur le maire aime la poésie. Celle quiguide l’action. 
Il sourit: "L’exemple est la seule manière de convaincre!"
16/11/2017 - 10:04
Reportage:mon village passe au vert.

Par jean-Christophe Martineau, photos Jean-Louis Carli


En Alsace, Ungersheim est à la pointe de la transition écologique et énergétique. Notre journaliste a rencontré son maire et ses habitants qui ont décidé de montrer l'exemple.
La carriole avance au pas tranquille de Cosaque, le solide cheval comtois à la robe havane qui la tracte. Abrités sous
la capote, Nathan, Elias, Maé, Yanis, Mathis... Une dizaine d’écoliers rentrent chez eux pour le déjeuner dans un joyeux brouhaha. David Sandmann, employé municipal, fait office de cocher.

Ce spectacle quotidien n’intrigue plus les habitants d’Ungersheim. Dans ce bourg du Haut-Rhin de 2 200 habitants, situé à une vingtaine de kilomètres de Mulhouse, c’est en calèche que les enfants se rendent à l’école depuis 2008

"Je trouve cela bien. Pas de pollution.Les voitures sont obligées de ralentir et les enfants sont contents", commente Jérôme Antoine,
retraité des mines de potasse qui constituèrent, jusque dans les années 1990, un pilier de l’activité économique de la région. À 76 ans, personnalité incontournable du conseil des sages du village, il habite toujours l’une des maisons de la cité minière construite après-guerre. 
Cosaque et son congénère, Richelieu, sont des chevaux cantonniers que la commune emploie pour le transport scolaire, mais aussi pour diverses tâches comme l’arrosage des plantations ou les travaux des champs de la régie agricole municipale. Créée en 2015, celle-ci expérimente le maraîchage sans traitements chimiques. 

• Apporter une pierre à l’édifice
 
(Jean-Christophe Martineau, notre journaliste avec le maire de la commun d'Ungersheim, Jean-Claude Mensch)

Car Ungersheim est un village "en transition", l’un des premiers en France à avoir adopté en 2009 cette démarche qui
mixe écologie, développement durable et démocratie participative. À l’origine de ce projet, Jean-Claude Mensch, le maire, un ancien de la mine lui aussi. Âgé de 70 ans, élu depuis 1989, il a choisi d’orienter le développment du village vers un modèle de société plus respectueux de l’environnement, moins énergivore, plus solidaire. Utopie? "Nous apportons notre pierre à l’édifice", répond-il, franc sourire et regard bleu pâle. "Et puis, surtout, nous montrons qu’il n’y a pas de fatalité et qu’il est possible d’agir!"

À Ungersheim, l’engagement de la commune dans la transition s’est traduit par la mise en place d’un conseil participatif où siègent une cinquantaine d’habitants qui planchent sur différents thèmes: agriculture, eau, cohésion sociale, mobilité accessibilité, sport, culture, énergie renouvelable... Des propositions sont ensuite transmises au conseil municipal. 
Au fil des ans, Ungersheim a multiplié les chantiers: le retrait des traitements phytosanitaires et engrais chimiques dans les espaces verts, le remplacement des produits d’entretien issus de la pétrochimie par des substituts bio, l’éclairage public par des lampes Led, économes en énergie. D’autres nécessitent davantage d’investissements financiers et humains. Comme la centrale solaire, la plus importante d’Alsace, implantée sur un ancien terrain des mines de potasse. "Je suis réaliste, je sais qu’il
est difficile de se passer du nucléaire pour l’instant, mais cette centrale, c’est l’avenir. Le soleil est gratuit", s’enthousiasme Jérôme
Antoine au sommet du terril qui surplombe le site. À gauche, le regard embrasse le Grand Ballon des Vosges; à droite, la plaine et les monumentales installations du carreau Rodolphe, l’un des puits (desmines) désaffectés. Au pied du terril, neuf bâtiments abritent des PMEet une cinquantaine d’emplois.

Les 40 000m2 de toiture sont recouverts de panneaux photovoltaïques et l’électricité produite est revendue à EDF. "Cela représente la consommation hors chauffage de 10 000 personnes", détaille Xavier Baumgartner, gérant de la société exploitant le site. La commune, pour sa part, perçoit un loyer.

• Du bois pour chauffer et isoler.
La municipalité a également mis un terrain à la disposition d’une société civile immobilière regroupant neuf familles afin de bâtir un éco-hameau: "Le Champré". Gilles Barthe est l’un des futurs occupants de cette longue construction en paille bardée de bois de mélèze. Cet habitat bioclimatique comporte un système de chauffage collectif au bois, un chauffe-eau solaire, un jardin commun et sera particulièrement sobre en énergie grâce à son isolation performante. "Les murs ont 40 cm d’épaisseur", précise-t-il.

À 52 ans, ce technicien des télécoms consacre tout son temps libre à l’aménagement de son logement.
Visseuse en main, il fixe les panneaux recouvrant la laine de bois.
"C’est un projet que l’on réalise une fois dans sa vie, alors je suis très méticuleux"! Il y a encore une année de boulot avant que la famille’installe..." Curieux et admiratif, Jérôme Antoine se renseigne sur larésistance du bois, le circuit de la chaufferie. "Si j’étais jeune, je ferais comme vous. Bravo!", assure-t-il, l’œil brillant. 
Non loin du Champré s’étendent sur huit hectares les champs des jardins du Trèfle rouge, une association d’insertion qui pratique le maraîchage biologique. La trentaine d’employés produit chaque semaine 250 paniers de légumes de saison pour ses clients.

Ce jour-là, Jérôme Antoine discute plans de tomates et d’oignons rouges avec Julie, l’une des stagiaires.
Et lui indique une recette à base de choux de Bruxelles. "Manger sain, c’est important. Moi aussi je fais mon jardin. Tous les légumes et des fruitiers: pommiers, cerisiers, pruniers... Le bio, c’est une bonne chose. Et en plus, ici, cela permet à des gens de se réinsérer grâce au travail, ça me convient." 
L’exploitation alimente aussi le restaurant scolaire, qui propose des menus 100% bio, ainsi qu’une petite légumerie-conserverie. Baptisée De la graine à l’assiette, cette filière agricole locale est l’un des axes de la transition d’Ungersheim. "Il faut que les villes retrouvent uneautonomie alimentaire pour ne pas rester dépendantes de la grande
distribution. Il y a plus de 1000 hectares de terres agricoles dans les environs du village, mais quasiment aucune production
alimentaire de proximité.
Rien que du maïs. Un comble!" déplore Jean-Claude Mensch.


• Convaincre par l’exemple.
Pour compléter la palette des commerces du bourg (pharmacie, boulangers, boucher-charcutier, coiffeur, buraliste, restaurant), une épicerie coopérative va ouvrir en 2017 sur la place de la mairie, dans les locaux bientôt désertés par La Poste. Les clients pourront, comme Jérôme Antoine, y payer leurs emplettes en "radis", la monnaie locale d’Ungersheim. "C’est un bon moyen d’aider les commerçants à fidéliser les consommateurs", dit-il en sortant de la boulangerie. 12000 radis sont en circulation dans la commune. 

"Nous essayons de tracer le chemin", glisse Jean-Claude Mensch. Sur letableau de la salle du conseil municipal, il a inscrit un poème de RenéChar: "Impose ta chance, serre ton bonheur, et va vers ton risque. À te regarder ils s’habitueront." Monsieur le maire aime la poésie. Celle quiguide l’action. 
Il sourit: "L’exemple est la seule manière de convaincre!"
16/11/2017 - 08:41
Un Skieur Français Se Tue Lors D'un Entraînement En Alberta.
Le skieur français David Poisson Photo Olivier Morin, archives AFP
Agence France-Presse Lyon, France

Le skieur français David Poisson, 35 ans, médaillé de bronze de descente aux Championnats du monde de ski alpin 2013, est décédé lundi après une
chute à l'entraînement dans la station canadienne de Nakiska, a annoncé la Fédération française de ski (FFS).

«Dévastés par cette nouvelle», le président de la FFS Michel Vion, le directeur technique national Fabien Saguez et l'ensemble de l'encadrement sportif...Et le personnel administratif de la Fédération, «s'associent à la douleur de ses proches dans ces moments particulièrement difficiles», indique le communiqué de la Fédération.
La FFS ne donne pas plus de détails sur les circonstances du décès.
Ce décès tragique intervient 16 ans après celui de Régine Cavagnoud, décédée de graves lésions cérébrales à la suite d'une collision à l'entraînement.
Championne du monde de super-G huit mois plus tôt, la skieuse du Grand-Bornand (Haute-Savoie) avait heurté un entraîneur lors d'une séance d'entraînement sur un glacier autrichien le 29 octobre 2001. La jeune femme était morte deux jours plus tard.
La mort accidentelle du skieur de Peisey-Vallandry (Savoie) rappelle les dangers encourus par ces «fous» descendant, même si la sécurité sur les pistes a été améliorée lors des deux dernières décennies, souci constant des organisateurs et de la Fédération internationale de ski (FIS).
David Poisson et ses partenaires du groupe vitesse de l'équipe de France se préparaient depuis quelques jours à Nakiska en vue des épreuves de vitesse (descente et super-G) de Lake Louise, comptant pour la Coupe du
monde et prévues les 25 et 26 novembre.

Publié Le 14 Novembre 2017
Le skieur David Poisson aurait heurté un arbre lors de sa chute fatale.
David Poisson Photo Franck Fife, Agence France-Presse
Associated Press Paris
La Fédération française de ski affirme qu'une enquête préliminaire sur la mort de David Poisson suggère que le filet de sécurité a cédé et qu'il a heurté un arbre.

Poisson, âgé de 35 ans, est décédé lundi pendant un entraînement à la station deski de Nakiska, qui a accueilli les épreuves alpines aux Jeux olympiques de 1988.
La fédération a révélé dans un communiqué que Poisson aurait chuté lourdement après avoir perdu un ski et qu'«il aurait percuté un arbre après avoir traversé les filets de sécurité.»
Poisson, médaillé de bronze de la descente aux championnats du monde de 2013, s'entraînait en vue des épreuves de la Coupe du monde en Amérique du Nord.
L'évaluation des responsables français est conforme à ce que la police a déclaré, lundi.
La GRC a déclaré que Poisson est décédé à la suite de blessures qu'il a subies après avoir accroché une carre et chuté dans les filets de sécurité, heurtant un arbre.

Mini-Biographie De David Poisson:
David Poisson, né le 31 mars 1982 à Annecy en France et mort le 13 novembre 2017 à Nakiska au Canada, est un skieur alpin français actif de 1997 à 2017.
Au cours de sa carrière, il remporte notamment une médaille de bronze aux Championnats du monde 2013 à Schladming dans l'épreuve de la descente aux côtés d'Aksel Lund Svindal et Dominik Paris, devenant le premier français à monter sur le podium dans cette discipline depuis la médaille de bronze de Luc Alphand lors des Mondiaux 1996.
Souvent arrêté par des chutes et des blessures au cours de sa carrière,David Poisson obtient son premier podium à 30ans, à l'occasion des Championnats du monde de 2013, toutefois il a accumulé de nombreuses performances en Coupe du monde dont une 4e place lors de la descente de Bormio en décembre 2009 et de Kitzbühel en janvier 2013.
Il se tue à l'entraînement, sur le bas de la piste de descente des Jeux Olympiques de Calgary 1988, où l'équipe de France de vitesse est en préparation, chutant à haute vitesse avant de traverser les filets de protection et de percuter un arbre.
 Le 13 novembre 2017, la Fédération française de ski annonce son décès accidentel à l'âge de 35 ans1, à la suite d'une chute lors d'un entraînement dans la station canadienne de Nakiska.
Le lendemain, les secours canadiens annoncent qu'il a effectué une lourde chute en bas du parcours, sur une compression, en perdant un ski. Il a alors traversé les filets de sécurité et percuté un arbre, se tuant sur le coup.
Mort récente
Skieur alpin français
Naissance en mars 1982
Naissance à Annecy
Skieur alpin aux Jeux olympiques d'hiver de 2010


16/11/2017 - 08:19
SUR LA ROUTE DU CIDRE EN PAYS D'AUGE.

De Lisieux à Houlgate, par des routes bordées de vergers et de manoirs sinuant à travers le bocage normand, vous ferez une balade savoureuse entre pommes et camembert.
La promenade d'une quarantaine de km commence à LISIEUX et sa célebre Basilique Sainte-Thérese

labellisée "Patrimoine du XXIeme siecle. Elle est le deuxieme lieu de pélerinage apres Lourdes. Si l'extérieur est magnifique, vous serez conquis(e)s parses mosaïques, ses vitraux Art Déco et l'abondance de marbre.
Puis direction SAINT-GERMAIN-EN-LIVET qui abrite l'un des plus beaux châteaux du calvados, datant du XVeme siecle

Admirez sa façade en damier constituée en alternance de pierres et de briques vernissées ocre ou verte.
Continuez vers SAINT-LOUP-DE-FRIBOIS  pour une visite à ne pas manquer à la fromagerie

où est élaboré le fameux camembert au lait cru AOC

avant d'arriver au CHATEAU DE CREVECOEUR -EN-AUGE

où vous découvrirez une cour donnant sur divers bâtiments, grange, ferme, colombier, chapelle et "le logis", exemple bien conservé d'un domaine seigneural normand médiéval.
En suivant la route de Cambremer, arrêtez-vous à la Ferme-du-bout-du-chemin qui vaut le détour.......

pour ce tres beau bâtiment à colombages entouré de vergers où encore aujourd'hui on gaule les pommes.

Dans le village de Cambremer, une autre visite à faire, celle des "Jardins du Pays d'Auge"........

un éden de 4 hectares de parc à themes, de mises en scene végétales.
Et on continue le périple de là.......

jusqu'à BEUVRON-EN-AUGE pour apercevoir des étalons courir dans les champs. Un émir du Qatar a d'ailleurs acheté le
CHATEAU ET LE HARAS DE VICTOT

La place du village.........

a un charme fou car les boiseries des façades sont peintes de couleurs vives et les commerces arborent des enseignes rétro. Voir aussi LA HALLEà pans de bois qui ne sert plus de marché mais qui accueille antiquaires et un restaurant étoilé "Le pays d'Auge".

Arrivés à BONNEBOSQ, quittez la route du cidre pour rejoindre BEAUMONT-EN-AUGE avec sa pittoresque Rue de Paradis........

et la Place de Verdun d'où vous découvrirez le superbe panorama sur le Pays d'Auge et la vallée de LA TOUQUES
parsemée de "douets" (petits ruisseaux).

Et en route pour DEAUVILLE et ses palaces.......

puis à une vingtaine de km, HOULGATE, ravissante station balnéaire de La Belle Epoque.
Depuis le Casino.......

vous est proposé un circuit pédestre en boucle (1h30) pendant lequel vous passerez devant une quarantaine de villas, cottages néo-normands, gothiques anglais, chalets suisses, de style baroque, oriental....
Une petite halte bien méritée vous permettra de déguster un bon plateau de fruits de mer, une tarte aux pommes, accompagnés de la traditionnelle bolée.

POUR SEJOURNER
"La ferme du bout du chemin" (ST LAURENT DU MONT)

"Manoir du Champ-Versant" (XVIeme siecle) à BONNEBOSQ


HOTEL DE LA PLAGE (HOULGATE)

tres cosy à deux pas de la plage

POUR SE RESTAURER.
"Le P'tit Beaumont" (Beaumont en Auge)

Bistrot sympa, cuisine de terroir.

"Les Saisons" (Cambremer)

Café-restaurant où toiut est "fait maison" avec des produits locaux

Et si l'envie vous prend de pousser jusqu'à CABOURG,
ville qui séduira les "romantiques", vous vous apercevrez tres vite que toutes les rues semblent converger vers 
LE GRAND HOTEL......

dressé face à la plage tout comme les incroyables villas longeant le bord de mer......

et qui nous replongent dans l'ambiance de La Belle Epoque.
Ne partez pas sans avoir été boire un des cocktails exceptionnels que l'on propose "Chez Guillou"....



Fondé en 1957,cet établissement, hors du temps, est resté "dans son jus"
.

 
16/11/2017 - 08:08
Le Village Médiéval De Noyers En Saone-et-Loire.


Noyers est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.
 
Elle est très souvent appelée Noyers-sur-Serein. Ses habitants sont appelés les Nucériens...Wikipédia

 Superficie : 35,66 km² Population : 733 (2006) Arrondissement : Arrondissement d'Avallon

Le village de Noyers est agréablement situé dans une boucle du Serein et il est dominé par la Montagne Saint Georges, en Bourgogne.

De modestes proportions, Noyers est un magnifique exemple de village médiéval, situé à 22km de Tonnerre, en France.

Serré entre ses remparts médiévaux, en forme de fer à cheval...
Ceux-ci sont troués de 16 portes fortifiées.
Noyers est resté inchangé depuis le Moyen Age...Bien qu'il ait été le théâtre de nombreux conflits.

Ses remparts ont maintes fois, protégé ses habitants, des charges offensives...
Que ce soit au cours du siège de Blanche de Castille au XIIIe siècle ou lors de l'assaut...Des troupes catholiques au XVIe siècle, et ont su résister au temps.
La belle église qui orne le village est de style gothique flamboyant...Date de la fin du XVe siècle...

Les maisons à colombages (XIVe et XVe siècles) offrent aux regards des passants...
De belles poutres sculptées qui surplombent la rue.
Ici et là, de belles façades de style Renaissance indiquent les anciennes demeures...Des riches marchands qui vivaient à Noyers.

L'hôtel de ville, édifié en 1765, ajoute une note classique. 

A la Pentecôte, le village est le théâtre d'une fête médiévale...Haute en couleur, pour la plus grande joie des habitants et des visiteurs.