De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
06/11/2017 - 21:09

                                   ÇA  C'EST  PASSÉ  UN  6  NOVEMBRE         


6 novembre 1971 : Naissance de Laura
Flessel. Escrimeuse française, surnommée "La guêpe", elle est à la tête
d'un palmarès impressionnant : double championne olympique, six fois
championne du monde et une fois championne d'Europe
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6 novembre 1961 : Naissance de Florent Pagny. Après avoir commencé sa
carrière en tant qu'acteur, il sort en 1987 sa première chanson et
connaît dès lors le succès
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6 novembre 1955 : Fin du protectorat français au Maroc. A l'issue des
négociations de La Celle-Saint-Cloud, le gouvernement d'Edgar Faure
reconnaît le sultan Sidi Mohammed Ben Youssef comme souverain d'un "État
indépendant uni à la France par les liens permanents d'une
interdépendance librement consentie et définie". Cette déclaration
aboutira le 2 mars 1956 à l'indépendance du Maroc. [© INTERCONTINENTALE /
AFP]
**********
6 novembre 1917 : La révolution russe est lancée par un coup d'état de
Lénine, en Russie. Dans la nuit, les Bolcheviks, communistes, s'emparent
des principaux centres de décision de la capitale de l'époque,
Petrograd – Saint-Pétersbourg –, rebaptisée ensuite Leningrad jusqu'en
1991. Ce coup de force a été appelé "Révolution d'Octobre" car il s'est
déroulé dans la nuit du 25 au 26 octobre, selon le calendrier julien en
vigueur dans l'ancienne Russie.[
***********
6 novembre 1908 : Naissance de Françoise Dolto. Pédiatre et
psychanalyste, elle a consacré toute sa carrière aux enfants. Elle a
notamment créé la Maison Vert, lieu d'accueil pour les enfants et leurs
parents. Françoise Dolto, par ailleurs mère du chanteur Carlos, est
décédée le 25 août 1988
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6 novembre 1860 : Abraham Lincoln devient le 16e président des Etats-Unis
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6 novembre 1717 : Jean-Sébastien Bach est emprisonné pour crime de
lèse-majesté envers le duc Guillaume II. Le célèbre compositeur restera
près d'un mois en prison
 
06/11/2017 - 21:05
                                           BON À SAVOIR
                                                         > > > >Le docteur Christiane Laberge est une canadienne mais je ne pense pas qu'au Canada
la conservation soit meilleure qu'en France donc on peut prendre :-)

 

Voici ce que le docteur Christiane Laberge a dit dans sa chronique à la
radio au 98.5 il y a quelques semaines :
 
 

«Un médicament a la même efficacité 4 ans après la date de péremption.
Mais il ne faut pas le dire trop fort parce que les compagnies pharmaceutiques n'aiment pas ça ...
Tout ce gaspillage écologique...
Voilà pourquoi nos portefeuilles sont vides !
 
 

L'armée américaine avait pour plus d'un milliard de médicaments et
voulait savoir si c'était vrai qu'il fallait en disposer selon la date indiquée.
Ils ont tout testé et seulement un produit perdait un peu de son efficacité
après 4 ans.
 
 


CAPITAL, une revue française, expose également :
Les dates limites de conservation sont imposées par les industriels
pour écouler un maximum de produits et renouveler régulièrement
leurs stocks.
 
En fait, les yogourts ont été analysés et goûtés 57 jours après le
dernier jour de consommation autorisé inscrit sur l'emballage :
même saveur, même fraîcheur, donc aucun problème à être consommés.
 
 

Même chose pour les charcuteries sous vide qui peuvent être utilisées 15 jours après la date de consommation affichée.
 
 

Pour les gâteaux secs, biscuits sous vide de toutes sortes :
confiseries, chocolats, légumes secs, pâtes, riz, lentilles, ces produits
sont consommables et de même saveur 3 à 4 ans après la date limite de consommation affichée.
 
Les industriels organisent ce gâchis alimentaire pour augmenter leurs
bénéfices et satisfaire les actionnaires de plus en plus exigeants.
 
Un médecin a confirmé qu'il en est de même pour les pilules.
Il s'agit d'un racket des compagnies pharmaceutiques.
La seule différence, c'est qu' après 3 ans, l'efficacité est légèrement
diminuée, soit autour de 95 % au lieu de 100 %.
 
 

Donc, avant de jeter vos Tylenol, Immodium, Aspirine et autres
pilules du genre, pensez que vous enrichissez seulement les compagnies pharmaceutiques qui font des sous à vos dépens.

05/11/2017 - 19:17

                                 ÇA  C'EST  PASSÉ  UN  5  NOVEMBRE                



Maurice Utrillo, né Maurice Valadon le 26 décembre 1883 à Paris 18e et mort le 5
novembre 1955 à Dax, est un peintre français de paysages animés,
paysages urbains, peintre à la gouache, aquarelliste, illustrateur,
peintre de décors de théâtre
Né un lendemain de Noël, 8 rue du Poteau à Montmartre, un quartier de Paris, Utrillo est un des rares peintres
célèbres de Montmartre qui y soit né. Il est le fils du peintre Suzanne
Valadon (de son vrai nom Marie-Clémentine Valade) et d'un père inconnu.
Ce n'est probablement pas le peintre catalan Miguel Utrillo, un des
amants de Suzanne Valadon, qui l'a néanmoins reconnu en 1891 et lui a
donné son nom

Suzanne Valadon devint le modèle de Toulouse-Lautrec, Puvis de Chavannes, Pierre-Auguste Renoir (qui
l'appelait Maria), voire de Vincent van Gogh et de bien d'autres
peintres montmartrois dont elle aurait été parfois la maîtresse. C'est
en les observant qu'elle apprit à peindre et se lança dans ses premiers
dessins (son fils était un de ses modèles préférés quand il acceptait de
tenir la pose). On lui présenta le maître Edgar Degas qui lui apprit
quelques techniques, l'encouragea à peindre et fut son premier acheteur.

L'enfance de Maurice se déroule auprès de sa grand-mère, à qui sa mère l'a
confié, Villa Hochard à Pierrefitte-sur-Seine (actuelle
Seine-Saint-Denis). À partir de l'âge de 18 ans, il fait plusieurs
séjours à l'asile. Il sombre progressivement dans l'alcool, qui provoque
chez lui de nombreux troubles (violence, démence). Ses études en sont
affectées. Cependant, ses occupations thérapeutiques contribuent
peut-être à révéler son génie. En tout cas, il reçoit les encouragements
de sa mère lorsqu'elle pense découvrir en lui du talent.

Revenu à la ville de son enfance, il y croque ainsi Le Café « le Chat sans Queue » ou La Guinguette.

Maurice Utrillo rencontre le peintre Alphonse Quizet et commence à peindre
régulièrement à partir de 1910, année où il peut se mettre à vivre de sa
peinture. Il produit des centaines de toiles en plusieurs décennies et
il est beaucoup plagié (il existe une multitude de faux et d'œuvres
douteuses).

Dès les années 1920, il devient un peintre célèbre et le gouvernement français le décore de la croix de la Légion d'honneur
en 1929.

Sans doute poussé par sa mère, il épouse en 1935, à l'âge de 51 ans, Lucie Valore avec laquelle il s'installe au Vésinet
Celle-ci joue un rôle dans la gestion des finances du couple et
surveille Maurice afin d'éviter sa rechute dans l'alcoolisme et le
pousser à travailler. Sa mère meurt 3 ans plus tard.


Il s'éteint, âgé de 71 ans, le 5 novembre 1955 à l'hôtel Splendid de Dax où
il est en cure avec sa femme. Il est enterré au cimetière Saint-Vincent
à Montmartre, Paris, face au Lapin Agile.

Maurice Utrillo a peint essentiellement des paysages dans lesquels apparaissent souvent
des maisons ou des coins de villages. Durant sa carrière, il peint de
nombreux paysages urbains, essentiellement des vues du quartier
Montmartre. Son style est si particulier qu'il est difficile de le
classer dans tel ou tel mouvement.

On distingue trois périodes dans son œuvre :

la période Montmagny de 1904 à 1910 ;
la période blanche de 1910 à 1914 : les formes et les teintes blanches sont prédominantes ;
la période colorée de 1922 à 1955 : les tonalités vives et gaies prédominent

************
Joseph Ira[ Dassin, dit Joe Dassin, né le 5 novembre 1938 à New York et mort
le 20 août 1980 à Papeete, France, est un chanteur et compositeur
franco-américain. En seize ans de carrière (1964-1980), il a connu de
nombreux succès dans la francophonie et ailleurs
Joe Dassin est le fils de Jules Dassin (1911-2008), réalisateur de films, et de Béatrice
Launer (1913-1994), violoniste virtuose, tous deux juifs américains Il a
deux sœurs, Richelle (surnommée « Ricky ») et Julie (surnommée « la
petite »). Son grand-père, Samuel Dassin, était un émigré juif ukrainien
originaire d'Odessa. À son arrivée en Amérique, ne parlant pas anglais,
il dit simplement qu'il venait d'Odessa aux services d'immigration. Ces
derniers l'enregistrèrent sous le nom de « Dassin

Joe Dassin et ses parents habitent New York et Los Angeles. Son père ayant brièvement
appartenu au Parti communiste américain (jusqu'à la conclusion du pacte
germano-soviétique) est dénoncé par un membre du parti, le réalisateur
Edward Dmytryk, désireux de s'affranchir des soupçons qui pèsent sur
lui, et cédant à la pression de la commission des activités
anti-américaines. La famille s'expatrie alors en Europe où elle déménage
de nombreuses fois ; suivant son père dans ses tournages, Joe Dassin
connaît beaucoup d'écoles : il étudie à l'Institut Le Rosey en Suisse,
passe son bac à Grenoble, puis soutient une thèse d'ethnologie sur la
tribu des Indiens Hopis à l'université du Michigan.

Après ses études, il revient en France et travaille comme technicien pour son
père, puis fait quelques figurations dans ses films. En 1962, son père
l'engage comme assistant sur le tournage de Topkapi, film où il fait une
brève apparition dans le rôle de Josef. Le 13 décembre 1963, il
rencontre sa compagne, Maryse Massiera, chez Eddie Barclay ; l'année
suivante, il double des films américains et écrit des articles pour
Playboy et The New Yorker. En 1965, il apparaît dans le film Nick Carter
et le trèfle rouge de Jean-Paul Savignac, aux côtés d'Eddie
Constantine, Nicole Courcel et Graziella Galvani, et dans Lady L. ;
entre les deux, il est assistant-metteur en scène sur le tournage de
What's New Pussycat?.

Maryse Massiera est une connaissance de Catherine Régnier, secrétaire chez CBS Records, entreprise qui s'est
récemment installée en France afin d'y distribuer les disques de ses
stars américaines. Maryse fait donc passer à son amie une bande sur
laquelle Joe Dassin entonne un folk song américain, Freight Train. Son
objectif est de graver cette bande sur un disque simple afin de l'offrir
à Joe Dassin pour son anniversaire. À l'écoute de la bande, CBS est
convaincue de lancer son premier artiste francophone, et, le 26 décembre
1964, Joe Dassin, premier résident français à signer avec une maison de
disques américaine, enregistre quatre titres (dont Je change un peu de
vent, version française de Freight Train), accompagné de l'orchestre de
Oswald d'Andréa, dont deux chansons sont signées Jean-Michel Rivat et
Frank Thomas

Au mois de juin 1965, il sort un nouveau EP dont le titre phare est Je vais mon chemin. Ce deuxième disque est un nouvel
échec. Il ne s'écoule qu'à 2 000 exemplaires environ. Et si, en ce début
de carrière, Joe Dassin a quelquefois l'occasion d'interpréter ses
chansons à la télévision (notamment Je change un peu de vent et Je vais
mon chemin), les médias s'intéressent plus au fils de Jules Dassin qu'au
chanteur. Son troisième EP sort à la fin de l'année 1965. Si Bip-bip ne
marque pas encore le marché du disque (environ 25 000 exemplaires sont
écoulés), ce titre devient son premier succès d'estime. C'est en tout
cas son premier vrai succès radio et, pour la première fois de sa
carrière, Joe Dassin fait son apparition dans les hit-parades.

Le 31 décembre 1965, Jacques Souplet, nouveau PDG de CBS France, lui
présente celui qui deviendra son producteur et ami, Jacques Plait. Le 18
janvier 1966, Joe Dassin se marie avec Maryse Massiera, dont il aura un
premier fils, Joshua (mort prématurément en 1973, cinq jours après
l'accouchement). Joe Dassin est alors animateur d'une série d'émissions
radio, Western Story, sur les antennes de Radio Luxembourg.

En avril 1966, il sort son quatrième EP (son premier en collaboration avec
Jacques Plait). Deux titres sortent rapidement du lot : Ça m'avance à
quoi et Comme la lune. Si les ventes sont encore modestes, les titres
passent beaucoup en radio et contribuent à la popularité grandissante du
chanteur. Joe Dassin est plus que jamais catalogué parmi les chanteurs
de folk song français. Au cours de l'été, il sort son premier single,
Guantanamera, et l'adaptation d'un traditionnel, Katy Cruel. Si
Guantanamera n'est pas un succès qui lui est propre (la chanson sera
interprétée entre autres par Nana Mouskouri) et si ce n'est pas lui qui
en fera un véritable succès à cette époque, on peut tout de même
souligner qu'aujourd'hui sa version a éclipsé toutes les autres et
qu'elle est la plus connue en France[réf. nécessaire].

Joe Dassin effectue également son premier concert en public notamment à l'Ancienne
Belgique à Bruxelles. À la fin de l'année, il sort un nouveau EP,
(Excuse me lady), ainsi que le tout premier album de sa carrière, Joe
Dassin à New-York, album qu'il a l'immense joie d'enregistrer à New
York. Toujours pas de franc succès commercial, même si Joe Dassin
continue lentement sa progression dans les hit-parades.

En janvier 1967, André Salvet et Bernard Chevry créent le MIDEM que Joe
Dassin va présenter en deux langues. Il sort aussi un nouveau EP en mai
1967 et, cette fois-ci, obtient le premier vrai réel succès de sa
carrière avec Les Dalton[6] qui compte un nombre de passages TV
records[Lesquels ?]. Viens voir le loup, titre de la face B, est éclipsé
et n'obtient qu'un succès d'estime. Sur ce disque, figure la chanson
Hello hello qui reste le premier texte de Claude Lemesle écrit pour Joe
Dassin.

À l'automne 1967, il signe Bébé requin pour France Gall et enregistre un nouveau single composé de Marie-Jeanne et Tout bébé a
besoin d'une maman. Le premier titre est un risque commercial mais il
est bon pour l'image du chanteur. À sa sortie, la chanson n'est pas
encore le classique qu'elle devient par la suite : le disque ne s'écoule
qu'à 50 000 exemplaires environ. C'est à la suite du passage à
l'Olympia en 1969, que Marie-Jeanne trouve le succès. Quant au 2e titre,
il est dans la lignée des Dalton. À la fin de l'année, Joe Dassin sort
son nouvel album, Les Deux Mondes de Joe Dassin. En plus de ses succès
de 1967, l'album présente quelques reprises de standards américains.

En mars 1968 sort le nouveau single de Joe Dassin avec La Bande à Bonnot.
La chanson devient un classique de l'artiste au fur et à mesure des
années. Un mois à peine plus tard, il sort un nouveau 45T, Siffler sur
la colline. En pleine période de mai 68, le titre rencontre un grand
succès commercial : 500 000 copies sont vendues en France [réf.
incomplète]. Joe Dassin devient avec ce titre une véritable vedette et
remporte le premier disque d'or de sa carrière.

En novembre 1968, Joe Dassin confirme son succès en sortant Ma bonne étoile, une reprise
d'une chanson italienne (comme Siffler sur la colline) avec des paroles
de Pierre Delanoë. Le titre s'installe en tête des hit-parades et
remporte un nouveau disque d'or (367 000 exemplaires). La face B du
disque Un peu comme toi rentre également dans les hit-parades. Cette
période marque également la fin de la collaboration entre Joe Dassin,
Jean-Michel Rivat et Franck Thomas. Le nouveau parolier favori de Joe
Dassin devient donc Pierre Delanoë.

En mars 1969, Le Petit Pain au chocolat, toujours adapté de l'italien par Delanoë, devient son
nouveau grand succès (447 000 copies). Joe Dassin est de nouveau en tête
des hit-parades. La face B est Le Temps des œufs au plat, signée Ricky
Dassin et Claude Lemesle.

Le 1er avril 1969, Joe Dassin s'effondre victime d'un premier infarctus. Reprenant ses tournées, il
endosse un costume blanc sur les conseils de Jacqueline, la femme
d'Henri Salvador et rencontre Boby Lapointe, qui lui présente Georges
Brassens et l'emmène en tournée. L'année 1969 se poursuit par Les
Champs-Élysées, une adaptation anglaise par Pierre Delanoë, et Le Chemin
de papa, cosigné par Dassin et Delanoë. Les deux chansons se vendent à
plus de 550 000 exemplaires chacune. Les Champs-Élysées est l'un des
plus grands succès de Joe Dassin et est par la suite traduite en
plusieurs langues (allemand, italien, anglais, japonais). C'est en
quelque sorte son premier succès international...

Le 22 octobre 1969, Joe Dassin termine sa tournée à l'Olympia avant de recevoir le
grand prix du disque de l'Académie Charles-Cros pour l'album Le Chemin
de papa, qui est l'album le plus vendu de sa carrière (presque 800 000
exemplaires) et dans lequel il reprend l'ensemble de ses hits précédents
: La Bande à Bonnot, Siffler sur la colline, Ma bonne étoile, Le Petit
Pain au chocolat, Les Champs-Élysées, Le Chemin de papa ou encore Mon
village du bout du monde. Joe Dassin est devenu en deux ans le plus
grand vendeur de disques en France[réf. nécessaire] et l'une de ses plus
grandes vedettes, ses concerts affichant désormais complet.

Pour la première fois, il est classé au hit allemand avec Die
Champs-Élysées[8]. Début 1970, il sort un nouveau single composé de deux
nouveaux titres : C'est la vie Lily et Billy le Bordelais. Le disque
s'écoule à 422 000 copies. Suite au titre Billy le Bordelais (une de ses
compositions), Joe Dassin est intronisé « Compagnon de Bordeaux » par
le conseil de la ville.

Alors qu'il est au sommet de sa carrière discographique, il enregistre L'Amérique et Cécilia, deux adaptations
signées Delanoë. Le disque se vend à plus de 730 000 exemplaires et
L'Amérique devient rapidement sa chanson de référence : désormais chacun
de ses concerts s'achève par ce titre. Après une tournée au cours de
l'été, Joe Dassin est à la recherche de nouveaux titres qui seraient
susceptibles de prendre la relève de L'Amérique. Le retour de l'armée de
Claude Lemesle marque un nouveau tournant dans sa carrière.

En effet, à la fin de l'année 1970, celui-ci propose deux chansons à Joe
Dassin mais ce dernier les refuse. de nouveau Jacques Plait convainc le
chanteur d'enregistrer ces deux titres. La Fleur aux dents (dont Joe
Dassin apporte sa participation à la musique) et L'Équipe à Jojo
deviennent deux succès. Les ventes de l'album s'en ressentent (740 000
ventes environ) mais d'autres chansons parviennent à émerger telles
C'est bon l'amour, La Luzerne, Un cadeau de papa et, surtout, Le
Portugais.
Le 5 mai 1977, il divorce à l'amiable de Maryse Massiera. Le 23 juin 1977, à Paris, il participe au spécial télé Soirée canadienne
du Québec à l'Olympia enregistré par la Société Radio-Canada.

Le 14 janvier 1978, à Cotignac, il se marie avec Christine Delvaux. Lors
d'un gala à Cotignac il achète un terrain dans cette commune. Durant
l'été 1978 il enregistre Si tu penses à moi, adapté de No Woman No Cry,
un tube de Bob Marley revu par Boney M. puis par Delanoë et Lemesle. Le
succès de ce titre est mitigé.

Le 14 septembre 1978, son fils Jonathan naît à l'Hôpital Américain de Neuilly.

En mars 1980 nait son deuxième fils, Julien. Au cours de l'année, l'album
Blue Country est traduit en anglais et devient Home made ice cream. Le
disque sort alors dans plus de vingt-cinq pays.
La santé de Joe Dassin n'est alors pas très bonne et il multiplie les malaises
cardiaques. Il sort tout de même un ultime single nommé The guitar don't
lie qui figure sur son dernier album sous le titre Le Marché aux puces.
C'est Tony Joe White en personne qui se charge de coller un texte à
cette composition. Sa santé se détériore avec une angine de poitrine
cachée dont il guérit secrètement... Fin juillet 1980, Joe est à nouveau
victime d'un infarctus et est hospitalisé à l'hôpital américain de
Neuilly.

Après avoir fait une énorme tournée en Europe dont il sort très fatigué, sans avoir obéi à son médecin qui lui avait conseillé
de se reposer, il part à Tahiti pour une quinzaine de jours de vacances
et de repos... Le 20 août 1980, Joe Dassin meurt à l'âge de 41 ans à la
suite d'un infarctus du myocarde à Papeete (Tahiti). Il déjeunait alors
avec sa famille et des amis dans le restaurant Chez Michel et Éliane[9]
lorsque soudainement, à 12 h 30, il est pris d'un malaise et s'effondre
sur sa chaise. La seule ambulance de Papeete est indisponible et
n'arrive sur les lieux qu'environ quarante minutes après l'attaque
cardiaque. Le cœur de Joe Dassin bat encore à l'hôpital mais de façon
très aléatoire. Malgré un massage cardiaque et un essai de réanimation,
le médecin ne peut que constater sa mort.

Une plaque à sa mémoire est visible à Papeete au bar « le Rétro» sur le front de mer où il est
décédé, au premier étage. Son monument funéraire se trouve à l'Hollywood
Forever Cemetery, cimetière juif d'Hollywood à Los Angeles (Californie)
***********
05/11/2017 - 09:21

                                           
LE  SAVIEZ  VOUS

Qu'est-ce que la VéritableNénette
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Elle a été conçue en 1947 à Lyon, où elle fut produite jusqu'en 1988.
De 1989 à 2012 la Nénette® fut fabriquée par les Ets Olivier en Eure et
Loire. A sa reprise par la Compagnie du Midi début 2013, sa fabrication a
été transférée à Saint-Laurent-du-Var dans les Alpes-Maritimes, où elle
continue d'être produite de façon essentiellement artisanale.
Elle est particulièrement recommandée pour l'automobiliste pendant la belle
saison : son utilisation quotidienne pour le dépoussiérage de la
carrosserie
permet de conduire chaque jour une voiture brillante et propre, en économisant bien des lavages..

M. Henri RICHAUD,
créateur de la Nénette®
05/11/2017 - 09:03
  Ils font partie de la famille ! 
Bon dimanche Marie Jeanne , bon dimanche à tous les ami(es) des animaux
05/11/2017 - 07:51
05/11/2017 - 07:49
Merci Andrée,bon dimanche
04/11/2017 - 20:54
04/11/2017 - 20:49
Bonsoir Marie Jeanne ,
Au cimetière d' Asnières , repose aussi Diésel , victime des attentats du Bataclan .
Rintintin c' est aussi ma jeunesse
Merci pour tout ce que vous postez , belle soirée



04/11/2017 - 19:53
                    
                                        LE  SAVIEZ  VOUS ?             


Rintintin, un chien lorrain
Tout le monde connaît Rintintin, ce cabot étonnant qui a accompagné le jeune
Rusty durant les 5 saisons (164 épisodes) de la célèbre série américaine
des années 50-60. Mais Rintintin n'est pas qu'un personnage de télé et
son histoire, la vraie, est moins connue. C'est en Lorraine qu'elle
commence...
Et oui, l'histoire de Rintintin commence bien avant la diffusion de la
série, pendant la Première Guerre Mondiale, le 15 septembre 1918 pour
être précis, au moment de la bataille qui va permettre la reprise du
Saillant de Saint-Mihiel. C'est à cette date que l'aviateur et caporal
américain Lee Duncan découvre un berger allemand et ses cinq marmots
dans les décombres d'un chenil bombardé, près de Flirey, en
Meurthe-et-Moselle. Betty, élevée par des Allemands - qui eux ne sont
pas bergers -, a en fait donné naissance à ses chiots il y a quelques
jours et se trouve maintenant dans une « chienne » de position...Il n'en
faut pas plus pour attendrir le soldat US. Les membres de l'unité se
partagent la petite famille. Duncan décide d'en prendre deux. Il les
nomme Nénette et Rintintin en hommage aux poupées que les enfants
lorrains ont l'habitude d'offrir aux soldats pour leur porter chance.
Pour une fois, c'est une équipe plus que complète qui rentre à la base
de Toul-Rosières.
Seulement, quelques mois après, sur les six canidés, seuls ont survécu les deux chiots de Duncan. Aussi, quand vient
l'heure de rentrer outre-Atlantique, le caporal s'arrange pour les
emmener avec lui à Los Angeles. Mais Nénette tombe malade pendant la
traversée et meurt quelques jours après. De la famille, seul reste
Rintintin, fidèle auprès de son maître.
L'histoire aurait pu s'arrêter là... mais la cité des anges aime les « happy ends ». Ainsi,
après avoir terminé son dressage, Duncan fait participer son chien à
plusieurs concours. Jusqu'au jour où le producteur et réalisateur
Darryll Zanuck est présent pour voir Rintintin faire preuve d'une
exceptionnelle habileté et sauter à plus de quatre mètres pour franchir
une palissade. Impressionné, le cinéaste trouve surtout l'occasion de
tester sa nouvelle caméra mobile. Et voilà que le chien se retrouve au
cinéma.
Sa première apparition se fait dans le film d'Irving Cummings « The Man from the hell's river » en 1922. Bien dressé par son maître,
l'animal montre de grands talents et effectue même sa scène en une seule
prise. Le film connaît un succès énorme et la performance de Rintintin
est remarquée. La première star canine du cinéma est née
Et elle a les crocs ! Rintintin tourne au final dans 26 films. Non seulement il
devient célèbre, mais ses aventures sauvent aussi la Warner Bros de la
faillite et lui permettent même d'accéder au rang de « major company » !
A l'apogée de sa carrière, l'acteur canin gagne des milliers de dollars
à la semaine et reçoit plus de 10 000 lettres de fans dans le même
temps. Consécration suprême, il obtient son étoile sur Hollywood
Boulevard, possède sa propre limousine et on publie même un numéro de
téléphone à son nom dans l'annuaire de Los Angeles. Apparemment, le «
star system » marche aussi bien à quatre pattes.
Mais en 1932, le berger allemand devenu star d'Hollywood meurt, non pas comme un chien
mais dans les bras de la célèbre et magnifique actrice Jean Harlow. Lee
Duncan, abattu, le fera enterrer dans le sol français, au cimetière
animalier d'Asnières-sur-Seine. Il perpétuera la lignée de son plus
fidèle (et rentable) ami pendant plusieurs générations et créera en 1954
la célèbre série dans laquelle joueront plusieurs descendants directs
du Rintintin original.
Cette série ayant pour héros un animal, la première du genre, inspirera les « Lassie, chien fidèle », « Skippy le
kangourou » et autres « Flipper le dauphin ». Récemment, un film de
Danny Lerner sorti en 2007 et un documentaire écrit et réalisé par le
lorrain Vincent Hachet en 2008 (« Rintintin, un mythe franco-américain
») retraçaient l'histoire du rescapé de la guerre devenu star, comme un
dernier hommage au chien le plus célèbre du monde. Ajoutons enfin que
Rantanplan, le « chien le plus bête de l'ouest » qui apparaît dans les
aventures de Lucky Luke, est en fait une « antithèse » de Rintintin


tombe de RINTINTIN
Cimetierre des Chiens d'Asnières > Visite du Cimetierre des Chiens
d'AsnièresPrès de Paris, à Asnières au bord de la Seine, allons à la
découverte d'un des rares cimetières pour animaux de France. Créé en
1899, il sert de sépulture à plus de 40 000 animaux, célèbres (comme
RinTinTin par exemple) ou anonymes, chiens et chats bien sur, mais aussi
chevaux, singes, chèvres et poules !
Un lieu d'émotion surement, mais aussi une très jolie promenade.
Ouvert tous les jours sauf le lundi de 10h à 16h30 du 16 octobre au 15 mars, et jusqu'à 18h le reste de l'année.