À La Découverte De la Biodiversité Du Brésil... Expédition Au Pantanal Au Brésil Publication...Par Les Biodiversitaires
Le Pantanal est l’une des zones humides intérieures les plus fabuleuses de la planète pour sa biodiversité animale et végétale. Cette région, en grande partie dans l’état du Mato Grosso (mais aussi le Mato Grosso do Sul, et un peu en Bolivie et au Paraguay), couvre une superficie de 200 000 km² dont 170 000 recouverts par les eaux ! Entre septembre et novembre, débute la saison des pluies qui va peu à peu inonder la région, à travers les nombreuses rivières dont la plus importante est la rivière Cuiabá. Ces inondations sont rendues possibles par la faible déclivité de cette plaine immense. Elles durent environ 6 mois. Il est difficile de circuler dans cette région où alternent donc marais, zones prairiales (de type pampa) et forêts.
Mygale ! A partir de Cuiabá, la capitale du Mato Grosso, une route célèbre descend plein sud : c’est la Transpantaneira... Asphaltée seulement à son début et qui se transforme ensuite en piste (dont on imagine la « praticabilité » en saison des pluies !). Longue de 145 km et accompagnée dans son cheminement de 122 ponts en bois, souvent très étroits, elle se termine à Porto Jofre, en bordure de la rivière Cuiabá. Ensuite, C’est… La Jungle ! En route, on croise d’immenses fazendas ‐ ces grandes propriétés terriennes – qui couvrent jusqu’à 20 000 ha. On y trouve souvent de grands troupeaux de bovins (vaches, zébus), et assez fréquemment des chevaux (rarement des moutons).
Renard des savanes, agouti d'Azara, nandou d'Amérique et même tatou à neuf bandes trainent régulièrement autour des fazendas. La flore est particulièrement riche, avec des figuiers étrangleurs en forêt ou des papyrus en zone marécageuse.
Dès qu'il y a des fleurs, les colibris sont là... La faune est considérée comme l’une des plus riches au monde. Les oiseaux sont partout et en général vraiment peu farouches (surtout autour des écolodges). Pour des Européens, c’est toujours très étonnant de pouvoir les approcher d’aussi près… Les mammifères sont bien présents, et souvent nocturnes.
Coati à queue annelée, curieux
Sajou brun, encore plus curieux...
Le capybara est en fait une sorte d'énorme... cochon d'Inde. Qui adore barboter et n'est pas très farouche. Quand on l'approche d'assez près, on peut entendre ses petits gloussements graves.
Évidemment les stars comme le jaguar ou le tapir restent des rencontres extrêmement fortes. On ne peut passer sous silence non plus les concertsnocturnes des grenouilles avec une mention toute spéciale pour la « grenouille formule 1 », dont le cri évoque un démarrage d'automobile de compétition...
Protégé, le jaguar n'a pas peur de l'homme... c'est nous qui avons peur de lui ! Nous l'observons d'une barque, au milieu de la rivière. Il se repose caché la plupart du temps, mais quand on a la chance de le trouver (après des heures ou des jours d'attente, en fonction de la chance), c'est un animal incroyable de beauté.
Que serait le Pantanal sans ses caïmans ? Statiques comme des pierres, la gueule ouverte, ils sont omniprésents, jusqu’en milieu sec. Un tout jeune caïman, minuscule mais déjà très belliqueux, est même venu nous rendre visite dans une salle de réunion d’un écolodge (compagnon du log vespéral).
Tout petit mais déjà très teigneux... Pas trop envie de lui faire des guili-guilis, on l'a quand même expulsé de là, ce qui lui a beaucoup déplu.
Quant aux piranhas, ils sont restés sous l’eau. Même si les plus audacieux d’entre nous les ont mangés… en soupe. En effet, ils sont très communs, et l’un des poissons de table régulier.
Deux compagnons d’aventures, un rapaçologue et un lynxomaniaque égarés dans la jungle, revenant ici d’une rivière pleine de piranhas pour tenter de trouver (en vain) le héron agami.
Dans la rivière, c'est piranhas ou caïmans, au choix...
Sur les rives, l'iguane vert se confond avec la végétation.
La faune invertébré est aussi incroyable : énormes cigales, fourmis tueuses, petites mais bourrées d’histamine, superbes papillons dont des morphos sans cesse en mouvement, tiques aux aguets, moustiques pas pires qu’ailleurs (mais beaucoup plus nombreux !), etc.
La nature est partout, elle est une, primaire, incroyablement belle. Pas étonnant avec ça que le Pantanal soit inscrit au patrimoine de l’humanité.
Les toucans sont parmi les oiseaux les plus mythiques du Pantanal. Ici, toucan araçari.
Toucan toco houspillé par des tyrans sulfureux.
En revanche, il fait très chaud à cette époque et, hormis à São Paulo et après le passage d’une pluie, la température diurne culminait quotidiennement à 40° (et un peu plus). Le tout dans une atmosphère humide qui fait transpirer comme pas possible. D’ailleurs, selon notre guide, cette fin de saison des pluies a été particulièrement chaude en 2015 (réchauffement climatique oblige). Mais tout ceci semblait oublié lorsqu’il s’agissait d’observer.
Anhinga d'Amérique
La plupart des prospections se sont faites à pied, aux heures les moins chaudes, mais aussi en bateau (Porto Jofre, Santa Tereza), enfin en camion (énorme, poussif et pas 4x4, mais sympathique), notamment le soirpour des sorties au phare. A Araras, quelques-uns d’entre nous sont aussi partis prospecter à cheval, découvrant des paysages et des sensations inaccessibles autrement.
Caracara huppé très content de son butin...
Ara hyacinthe
Amazone aurou. Couple bagué et vivant à proximité d'une fazenda.
Le grand ibijau, qui se confond avec l'écorce...
Caurale soleil : cet incroyable oiseau fait de l'ombre avec ses ailes pour chasser.
Bonus : le cri d'oiseau le plus énervant du monde, selon nous, c'est celui dela "poule" sauvage locale, l'ortalide du Chaco, qui commence ses terribles vocalises très tôt le matin ! En prime, cette castafiore chante en duo... Ecoutez (clic) ici !
Sous un air assez banal, ce volatile est le plus grand massacreur d'oreilles de toute la jungle !
Merci à Jao, notre guide naturaliste brésilien, inlassable chercheur de jaguars, et Dorothée, qui a assuré la logistique ! Merci aussi à toute la courageuse et sympathique équipe ainsi qu'à Olivier Pollet !
Reportage réalisé lors d'un voyage LPO/Escursia (voyages scientifiques) au cœur du Pantanal, accompagné par Philippe J. Dubois. Photos Elise Rousseau.
Un garçon de 11 ans, suspendu dans le vide pendant 7 minutes. Le jeune skieur a perdu l'équilibre en tentant de rattraper l'un de ses bâtons... Il s’en tire avec un simple torticolis. Et pourtant, le petit Tristan, originaire de Seattle aux Etats-Unis, a vécu une belle frayeur, la semaine dernière, dans la station de ski de Whistler, au Canada. Durant près de sept minutes, le garçonnet de 11 ans est en effet resté suspendu dans le vide depuis le télésiège sur lequel il s’était installé, rapporte The Mirror. Suspendu à 10 mètres de haut Basculant dans le vide après avoir tenté de récupérer son bâton de ski, Tristan aété rattrapé in extremis par son oncle et sa tante. C’est à la force deleurs bras qu’ils ont pu le tenir pendant ses longues minutes, sans toutefois parvenir à le hisser sur le télésiège. « Mon oncle et ma tanteme retenaient et j’essayais de m’accrocher à quelque chose, mais c’était trop loin. Je n’ai pas regardé en bas », a confié le jeune garçon à Sky News. Sous ses pieds, 10 mètres de dénivelé. Une fois la remontée mécanique stoppée, Tristan a donc dû prendre son courage à deux mains pour se laisser tomber dans le vide afin d’atterrir sur une bâche. Des skieurs, alertés par les cris de panique, ont en effet rapidement tendu celle-ci en dessous du garçonnet pour lui permettre de sauter.
La plage de Bondi est la plus populaire de l'Australie. Sans doute grâce à sa proximité de Sydney (30 minutes)... Son sable fin et doré, son eau turquoise, ses vagues de surf, sa promenade et les nombreuses festivités qui s'y déroulent à l'année... Chose certaine, elle porte bien son nom parce qu'elle est toujours bondée !
Le 31 octobre, ce sera " Halloween ". Peinture de Robert Duncan la citrouille et ses superstitions ! La citrouille comme toutes les courges,est un symbole de prospérité de chance et de fécondité ! D'antan, il était recommander de glisser quelques graines de citrouilledans le porte monnaie pour s'assurer la prospérité. -De même, il était courant de confectionner un petit sac de couleur or etd'y mettre 4 grains de citrouille et une pièce de monnaie et de glisser le tout sous le lit ...Chance assurée parait-il ! On lui a attribué de nombreux bienfaits : Les pépins de citrouille écrasés débarrasseraient des vers intestinaux mélangés à de l'huile. -Ils auraient aussi la réputation d'enlever les taches de rousseur. Dans les régions du centre, il est dit que seul le semeur qui a une grosse tête ou celui qui a un gros derrière a de chance d'obtenir des citrouilles de belles tailles ... eh oui ! Dans les régions de l'Ouest, ils prennent la précaution de semer les citrouilles le Vendredi saint : c'est parait-il le jour le plus favorable pour obtenir un légume énorme ! Encore plus curieux, en Suisse, c'est celui qui débite le plus de mensonges qui aura les plus belles citrouilles. " Halloween " est remise à la mode après de nombreux siècles d'oubli. Certains sont pour ... d'autres contre ...perso je suis contre.
Le pont de la Confédération est installé sur le détroit de Northumberland entre l'île du Prince-Édouard avec le continent, la province du Nouveau-Brunswick, au Canada, depuis mai 1997. Faisant 12,9 km de long, c'est le plus long pont au-dessus d'une étendue maritimeprise par les glaces dans le monde. La route à deux voies (11 m de large) fait partie de la Route transcanadienne entre Borden-Carleton, à l'Île-du-Prince-Édouard et le Cap-Tourmentin, au Nouveau-Brunswick. C'est une structure à travées multiples (62) séparées de 250 m en béton post-tensionné à coffre poutre. La plus grande partie du pont courbe est à 40 mètres au-dessus de l'eau, mais il contient une partie à 60 mètres pour permettre le trafic de bateaux.
Le péage n'est dû que lorsque l'on quitte l'île ; le tarif actuel est, par exemple, de 30€ pour une automobile. Une navette est disponible pour les piétons et les cyclistes. Le tarif est de 3€ pour les piétons et de 4€ pour les cyclistes.
La législation de l'île s'applique, bien que ce soit celle du Nouveau-Brunswick qui réglemente les traversiers et autres navires.
Vue d'ensemble La plus grande des trois provinces Maritimes canadiennes, le Nouveau-Brunswick est blotti au sud de la Péninsule gaspésienne, au Québec, et partage sa frontière ouest avec l'État du Maine. La frontière est de la province est entièrement formée du littoral : le golfe Saint-Laurent et le détroit de Northumberland donnent à la province des plages sablonneuses aux eaux salées les plus chaudes au nord de la Virginie. Au sud, la baie de Chignecto et l'isthme de Chignecto, large de 24 km , relient le Nouveau-Brunswick à la Nouvelle-Écosse. Le reste du littoral sud est constitué de la baie de Fundy, dont les marées, les plus hautes du monde, ont sculpté un littoral spectaculaire. Le Nouveau-Brunswick est aussi relié à l'Île-du-Prince-Édouard par le célèbre pont de la Confédération.Situé sur la côte est du Canada. Le Nouveau-Brunswick dispose de magnifiques plages sablonneuses pendant l'été, il jouit d'un feuillage automnal spectaculaire, de fleurs sauvages printanières d'une éclatante beauté, et de vastes étendues de neige blanche et pur l'hiver. La province se caractérise notamment par ses collines ondoyantes, ses vallées spectaculaires, et son patrimoine architectural historique et moderne dans bon nombre de ses cités, villes et villages. Les agglomérations du Nouveau-Brunswick sont variées. Il y a huit cités : Bathurst, Campbellton, Dieppe, Edmundston, Fredericton (la capitale provinciale), Miramichi, Moncton et Saint-Jean. La province compte aussi un grand nombre de villes et villages attrayants sur l'ensemble du territoire, qui offrent un large éventail d'attractions aux visiteurs et aux résidents. Les rivières de la province, dont le puissant fleuve Saint-Jean, la splendide rivière Restigouche et la majestueuse rivière Miramichi, possèdent toutes des caractéristiques uniques sans nulle pareille. Qu'il s'agisse des terres agricoles valonneuses, des paysages forestiers spectaculaires, des vallées riveraines et des sommets de montagne rocheux, la beauté et la variété du Nouveau-Brunswick sont uniques au monde.
Tout comme la Nouvelle-Écosse et l'Ïle-du-Prince-Édouard, le Nouveau-Brunswick est à l'heure de l'Atlantique. Les gens qui entrent auNouveau-Brunswick par le Maine ou le Québec doivent donc avancer leur montre d'une heure.
Canyon De Charyn Le canyon de Charyn est un canyon de 80 km au Kazakhstan le long du fleuve Charyn, 200 km à l’est d'Almaty, près de la frontière chinoise. Il se trouve au sein du Parc national de Charyn qui a été créé le 23 février 2004 dans les districts d'Uyghur et de Kegen dans l’oblys d'Almaty. Une de ses sections s'appelle la Vallée des Châteaux du fait des formations rocheuses inhabituelles. Photos du canyon [archive] Canyon Charyn [archive]
Parc National De Charyn Le parc naturel national de Charyn (kazakh : Шары́н мемлекетті́к ұлтты́қ табиғи́ паркі́) est un parc naturel créé en 2004 par la Résolution N°213 du gouvernement de la République du Kazakhstan le 23 février 2004. Il est situé à cheval sur le district d'Enbekchikazakh, le district de Raiymbek et le district Ouïghour de l'Oblys d'Almaty au Kazakhstan. La résolution N°21 du gouvernement de la République du Kazakhstan «De l'élargissement du territoire du Parc Naturel National de Charyn» du 6 février 2009 a agrandi le territoire du parc, le faisant passer de 93 150 ha à 127 050 ha. Sommaire Géographie Relief Climat Faune et flore Activités Photos Géographie Situé à 193 km d'Almaty, le parc est subdivisé en deux zones au fonctionnement distinct : La réserve, qui compte 9 671 ha, La partie règlementée, qui s'étend sur 83 479 ha. ReliefLe canyon de Charyn (encore appelé la « Vallée des châteaux ») est une formation géologique où les processus de formation du relief sont observables, et qui a de ce fait un attrait particulier pour le tourisme et les activités de loisir. Outre le canyon, le parc s'étend sur la vallée désertique de Syougaty, les monts Oulken-Bogouty, et sur quelques fragments de steppe. ClimatLe climat du parc est désertique continental. La température annuelle moyenne est de +5°C. La température moyenne en janvier est de -5°C, et de +27°C en juillet. Les précipitations annuelles se montent à 150 mm. Le parc connait une période de gel de 60 jours par an, et de sécheresse de 40 jours par an. Faune & Flore : La faune du parc compte 36 espèces de mammifères, 200 espèces d'oiseaux (dont 111 nichent dans le parc), 18 espèces de reptiles dont le phrynocephalus versicolor, 10 espèces de poissons, et comme représentant des amphibiens, la rana asiatica. Une grande variété d'insectes est également présente sur le territoire du parc. La partie Est des montagnes «Petites Bougouty» est une zone de la réserve où vivent les gazelles à goitre, inscrites sur le Livre rouge de la République du Kazakhstan, et est aussi l'habitat de l'ibex de Sibérie et du faucon sacre. Sur le territoire du parc se trouve le monument naturel « la datcha forestière cendrée de Charyn », organisée pour protéger une relique d'espèce rare de fraxinus sogdiana. Il s'agit d'une espèce d'arbre unique remontant au Paléogène, et protégée par l'UNESCO. Protégée depuis 19641, cette espèce d'arbre fait l'objet de soins particuliers et de travaux de restauration. Outre le fraxinus sogdiana, le parc a une flore très diverses, recensant plus de 940 espèces de plantes ; trois d'entre elles sont inscrites au Livrerouge : l'oxytropis niedzweckiana, la ferula sugatensis et la galatella saxatilis. Activités: Très attractif pour sa diversité et ses paysages, le parc a été aménagé pour permettre l'accès aux visiteurs, notamment par la création de sentiers de randonnée pédestre, routière ou aquatique. En plus des activités d'accueil des visiteurs, les autorités du parc ont également un but de préservation de la nature et de restauration des systèmes naturels... La réintroduction du cerf tougaï , protégé par le Livre rouge du Kazakhstan aussi bien que par l'UICN, a notamment été entreprise ; de même, un projet de pépinière pour favoriser la reproduction des oiseaux rares est en cours. Ces projets pourraient recevoir le soutien d'organismes internationaux. Site du Parc Naturel National de Charyn [archive]
D’héritages Légendaires & Fabuleux en escroqueries Notoires..
(D’après « Le Petit Journal Illustré », Paru En 1937)...
Les héritages fabuleux d’ « oncles et tantes d’Amérique » suscitèrent bien des convoitises et donnèrent lieu, non seulement aux légendes les plus improbables bientôt ruinées par de méticuleuses recherches, mais encore à des escroqueries notoires...Telles l’histoire d’un certain Bonnet prétendument parti se faire nommer roi de Madagascar, ou celle de la « Grande Thérèse » dont s’amusa tout Paris à la fin du XIXe siècle
Une histoire d’héritage fantastique enfièvre depuis des mois maintes familles d’Alsace et d’Allemagne, rapporte en 1937 le journaliste Jean Lecoq du Petit Journal. Il s’agit de la succession d’une « tante d’Amérique », succession qui avoisinerait, dit-on, le demi-milliard, un tel chiffre expilquant les convoitises des candidats héritiers qui sont au nombre de plus de 10 000. Dans la première moitié du XIXe siècle, un modeste habitant de Bitschwiller, en Alsace, du nom de Christophe Schaeffer... Il émigra en Amérique, s’y maria et eut une fille, Henriette, laquelle épousa un grand planteur de tabacs, Walter Garrett. Celui-ci mourut dans les dernières années du XIXe siècle. Sa veuve, Henriette Garrett, née Schaeffer, lui survécut jusqu’en 1930. Le 16 novembre de cette année-là, elle partait à son tour, à l’âge de 90 ans, pour un monde meilleur. Mais elle laissait après elle une des plus belles fortunes d’Amérique, une fortune de 17 millions de dollars, acquise par son époux dans la culturedes tabacs. Mme Garrett n’avait pas d’héritiers directs. Soucieuse de faire profiter de son argent les membres de sa famille paternelle qui pouvaient exister encore dans la région rhénane... Elle laissa par testament une somme de plus d’un million qui devait être consacrée à des recherches minutieuses en vue de découvrir ces parents éloignés. Des recherches commencèrent aussitôt. Pendant ce temps, la fortune d’Henriette Garrett produisait des intérêts évalués à 1500 dollars par jour...Et en 1937, ce n’était plus 17 mais 20 millions de dollars qu’elle représentait. On conçoit que l’espoir d’un tel héritage ait éveillé les espérances de tous les Schaeffer d’Alsace et d’Allemagne. Or, ce nom est, là-bas, aussi commun que le sont, ailleurs, ceux de Durand ou de Dupont. Et cela n’était pas fait pour faciliter la besogne des enquêteurs.Le chroniqueur du Petit Journal nous rapporte qu’existe à cette époque au ministère des Affaires étrangères un service spécial qui s’occupe des recherches relatives aux successions lointaines... Il est facile d’imaginer, poursuit-il, si on a enregistré là des histoires d’héritages fabuleux, d’héritages qui demeurent en souffrance,et qui ne datent pas d’hier. La plus ancienne de ces revendications est celle qui a pour objet la succession de Jean Thierry, lequel n’était pas, d’ailleurs, un oncle d’Amérique, mais un oncle de Venise. Ce Jean Thierry, fils d’un cordonnier de Château-Thierry, était allé, à la fin du XVIIe siècle, s’établir dans la cité de Saint-Arc. Il y mourut en 1700, laissant une énorme fortune placée à la célèbre banque vénitienne, la Zecca. Or, Jean Thierry avait, à Château-Thierry, deux neveux, ses héritiers directs, qui ne furent jamais avertis de la mort de leur oncle, et de lamerveilleuse succession qu’ils pouvaient revendiquer. Celle-ci demeura dans les coffres de la Zecca, improductive. Et il arriva que, quatre-vingt-dix-sept ans plus tard, Bonaparte vint à Venise avec ses soldats en haillons. L’armée manquait de tout : il fallait la vêtir, la nourrir. L’or déposé à la Zecca fut réquisitionné. Les millions de Jean Thierry revinrent ainsi, du moins, à la France. Mais il arriva qu’un jour, les descendants des deux neveux de Château-Thierry connurent l’histoire. C’était au nom du gouvernement français que Bonaparte avait mis la main sur la fortune de leur grand-oncle. Ils en réclamèrent à l’Etat la restitution, firent des procès, furent déboutés, recommencèrent, ne se lassèrent pas. Au début du XXe siècle l’un d’entre eux introduisait encore, devant la première chambre du tribunal civil, une action contre l’Etat en revendication des millions de Jean Thierry. Cet héritage de Jean Thierry n’était pas purement légendaire. Il exista réellement : et des papiers de l’époque du Directoire, conservés aux Archives, en font la preuve. Mais que dire de tant d’autres successions fantaisistes qui n’existèrent jamais que dans l’imagination de ceux qui en réclamaient la possession ? Il y a, notamment, la succession d’un certain Jean-Etienne Martin, « originaire du Languedoc » (on ne dit point de quelle ville ni de quel village, et décédé à Buenos-Aires, on ne sait pas exactement en quelle année)... La succession Martin qui, pendant des lustres, a enfiévré toutes les familles Martin, et Dieu sait s’il y en a, de la Lozère, du Gard, de l’Hérault, de l’Ardèche, de la Haute-Loire, des Landes, de la Haute-Garonne, etc. Hélas ! Malgré les recherches opérées en Argentine par les soins de l’administration du Quai d’Orsay, on ne trouva nulle trace de ce Martin et de sa fortune. Il y a aussi la succession de Jean-Antoine Mallet, qui serait décédé au Brésil en 1888, et dont l’administration n’a jamais pu découvrir l’acte de décès. On n’a même pu savoir en quelle cité brésilienne était mort ce millionnaire. Cela n’a pas empêché d’innombrables Mallet de réclamer les six cents millions que la légende attribuait à ce Crésus mystérieux. Mais il y eut cet autre Malet — avec un seul « l », celui-ci — qui serait mort dans l’Etat de l’Ohio, laissant une fortune supérieure à 10 millions de dollars. Ce Malet était, disait-on, le fils du général Malet, le célèbre conspirateur. Les recherches opérées en Amérique démontrèrent que le personnage avait bien existé : mais, de la fortune qu’on lui attribuait, on ne trouva pas la moindre trace. Et il y eut encore Picard, mort à Philadelphie en 1832 ; Dupont, mort à Saint-Louis ; Tissier, de Marmande, qui serait décédé en 1884, à l’hôpital Bellevue de New-York...Poilras et Lafforgue, qui seraient morts à Chicago, l’un en 1887, l’autre en 1905 ; et Durand, mort en Argentine ; et Guérin, décédé au Brésil ...Et Boyer, à Haïti ; et Huc, au Chili ; sans compter quelques nababs des Indes néerlandaises : Colmon, Dubois, Renard, qui avaient fait, à Batavia, d’immenses fortunes dans la culture de la canne à sucre. Car tous ces oncles d’Amérique, d’Asie, d’Océanie possédaient d’incalculables richesses. La moindre de ces fortunes, revendiquées par tant d’héritiers, s’élevait à 25 millions. Certaines de ces revendications remontent au XIXe siècle. Le seul malheur était qu’en dépit des recherches consciencieuses et obstinées de l’administration, on ne put jamais retrouver, non seulement les héritages, mais même la plus petite trace de tous ces oncles opulents. Ils étaient innombrables, pourtant, car nous n’avons nommé ici que quelques-uns ; nous en avons passés, et des plus riches... Et, notamment, l’un des plus fantastiques, l’oncle Bonnet. Le nommé François-Claude Bonnet était un oncle, non plus d’Amérique, mais de l’Inde. A en croire ses héritiers, ledit Bonnet, après avoir vécu longtemps à Calcutta, où il aurait acquis une fortune de 75 millions, serait parti se faire nommer roi de Madagascar. Il serait mort dans la Grande Ile vers 1830. Pendant des années, cette fable ridicule enflamme l’imagination de tous les Bonnet de France et de Navarre — et il y en a presque autant que de Schaeffer dans les régions rhénanes. Sur la demande de tous ces Bonnet, l’administration se livra à toutes les recherches possibles à Madagascar, à l’île Bourbon, dans l’Inde et même en Angleterre... Elle ne trouva absolument rien ; et elle constata le fait dans une note publiée au « Moniteur officiel » le 19 mars 1834. Cette note aurait dû mettre fin à toutes les espérances et à toutes les convoitises des héritiers Bonnet : il n’en fut rien. La légende subsista, prenant même une force nouvelle. Et l’histoire Bonnet suscita même, en fin de compte, la plus jolie escroquerie. En 1887, un Comité se forma, à Paris, et mit l’affaire Bonnet en actions. Tout le monde — Bonnet ou non — pouvait souscrire. Dès la rentrée de la succession on assurait aux souscripteurs vingt fois la valeur du capital versé. Les fonds affluèrent. Après quoi, le Comité disparut, et l’argent des victimes avec lui. Car ce sont là, trop fréquemment, explique notre chroniqueur, la conséquence et l’aboutissement de toutes ces histoires d’héritages fabuleux. Tant qu’elles se contentent de bercer des espérances et de décevoir des convoitises, elles ne font pas grand mal ; mais trop souvent, elles favorisent l’escroquerie. Et ce ne sont pas toujours les héritiers — ou pseudo-héritiers — qui sont les seules victimes de ces dangereuses illusions. Il faut rappeler à ce propos une affaire qu’on dénomma justement « la plus dangereuse escroquerie du siècle » et dont le retentissement ne fut peut-être jamais égalé...L’affaire Humbert. Il s’agissait d’une somme de 40 millions qu’un Anglais, nommé Henry Crawford, mort à Toulouse en 1883, aurait léguée à Mme Marie-Thérèse Daurignac...Épouse de Frédéric Humbert (né en 1857), député de Seine-et-Marne et fils de Gustave Humbert (né en 1822), ancien garde des Sceaux, premier président de la Cour des Comptes. Marie-Thérèse Humbert allait donc entrer en possession de ce magnifique héritage...Quand surgirent deux neveux du testateur, Robert et Henry Crawford, lesquels prétendaient détenir un autre testament de leur oncle aux termes duquel la fortune était léguée...Non plus à Mme Humbert, mais à eux, Crawford frères, et à Mlle Maria Daurignac, sœur de Mme Humbert, à charge de servir à cette dernière une rente de 360 000 francs. Or, à cette époque, Mlle Daurignac était mineure. En attendant que sa majorité rendît une transaction possible, M. et Mme Humbert étaient nommés séquestres de la fortune. On imagine ce qu’une pareille histoire pouvait entraîner de complications et favoriser d’escroqueries. Il y eut des procès ; les tribunaux rendirent des arrêts qui donnaient une existence légale à ces Crawford que personne n’avait jamais vus, pour la bonne raison qu’ils n’existaient pas plus que l’oncle opulent dont ils étaient les héritiers. C’était Thérèse Humbert qui avait imaginé, monté et machiné toute l’affaire. Les Humbert menaient grande vie. Tout leur monde leur faisait crédit sur l’héritage. Les personnages les plus en vue fréquentaient leurs salons. Mais tant va la cruche à l’eau... Il suffit d’une seule plainte pour faire crouler l’échafaudage de mensonges dressé patiemment par la « Grande Thérèse ». Il fallut ouvrir le fameux coffre-fort dans lequel celle-ci affirmait que les millions étaient enfermés. Il était vide. Jamais Paris ne s’amusa tant. Il faudrait un volume pour énumérer les chansons, les images, les cartes postales, les bibelots de toutes sortescommémorant les principaux épisodes de l’affaire. L’ouverture du coffre-fort, surtout, suscita la verve des chansonniers. On y trouva, disaient-ils, un grand écrin... Et dans ce grand écrin,Un autr’ petit écrin,Et dans ce p’tit écrin,Peau d’balle et balai d’crin !Et par là-dessus, la foule, à tous les carrefours, reprenait le refrain dans un éclat de rire... Ah ! les poires !...Les bonnes poires !...Au jour de l’An, les camelots vendirent sur les trottoirs « le coffre-fortet le lapin » ; au jour des Rois, les pâtissiers glissèrent dans leurs galettes une opulente Thérèse en porcelaine. On vendit « le Billet de banque Craquefort », le « Jeu des Oies de la mère Humbert », le « Dernier soupir de Thérèse ». Celle-ci fut mise en prison. « Je suis une grande victime », dit-elle. Et le plus curieux de l’histoire, c’est qu’elle le croyait. Ces escroqueries chez lesquelles la folie de la richesse et des grandeurs est favorisée par un manque absolu de scrupules, bâtissent leur fable silaborieusement, vivent leur rêve si intensément, qu’elles finissent paren faire une réalité. Leur imagination a créé autour d’elles un monde fabuleux qui, peu à peu, leur apparaît vivant, agissant, réel. Ce fut le cas de la « Grande Thérèse » : le rêve, à force d’occuper son esprit, était devenu réalité.
La Grandeur des Orgues allemands photographiée par Robert Götzfried,
Quand on les regarde singulièrement ces orgues sont plutôt impressionnantes, mais collectivement les photos racontent l’histoire d’un instrument ancien qui varie si considérablement dans la conception qu’il est difficile de croire qu’ils sont en quelque sorte le même dispositif musical. Dans sa pratique photographique, Götzfried se rapproche souvent d’une variété d’objets semblables ou de lieux à la fois grands et obscurs des barbiers cambodgiens aux pistes de bowling ou aux stations-service abandonnées . À travers chaque collection il met rapidement en évidence les similitudes ou les différences qui lient une culture ou un style de vie ensemble.
Le 24 octobre 2005 décédait Rosa Parks, figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis Elle fut surnommée "mère du mouvement des droits civiques". Célèbre lorsqu'elle refusa de céder sa place dans un bus à un blanc, ce fut en décembre 1955. Elle dut payer une amende et refusa de la payer. Martin Luther King, avec le concours de Ralph Abernathy, lança alors une campagne de protestation et de boycott contre la compagnie de bus qui durera 381 jours. Le 13 novembre 1956, la Cour suprême casse les lois ségrégationnistes dans les bus, les déclarant anticonstitutionnelles.
********** **1882 Découverte du germe de la tuberculose
Le physicien allemand Robert Koch réussit à isoler la bactérie de la tuberculose. En 1883, il découvrira le bacille du choléra. Koch est l'un des pères de la bactériologie. En tant que pionnier de la bactériologie, Robert Koch fut l'égal de Pasteur. On lui doit l'identification de plusieurs bacilles, notamment du bacille de la tuberculose, de même que de ceux du charbon et du choléra. Il gagnera le prix Nobel de médecine en 1905 *********** 1790 La France adopte le drapeau tricolore
L'assemblée constituante décrète officiellement le drapeau tricolore, drapeau français, en substitution au drapeau blanc. Le drapeau tricolore apparaît dans la toute jeune république française. Il est largement inspiré par la cocarde que les révolutionnaires arborent depuis 1789. Il reprend le bleu et le rouge, couleurs de la ville de Paris, et le blanc, couleur royale ********** 1945. La charte des Nations Unies entre en vigueur. L'organisation de défense de la paix est d'abord composée de cinquante pays membres. Après plusieurs années de tractation, sa composition, ses objectifs et ses pouvoirs sont enfin définis
le 24 octobre 1957, décès du grand couturier Christian Dior Christian Dior, né le 21 janvier 1905 à Granville, dans la Manche, mort le 24 octobre 1957 à Montecatini Terme en Italie, est un grand couturier français. Il est le fondateur de la maison de couture qui porte son nom Né à Granville au cœur d'une famille d'industriels avisés, inventeurs de la très connue marque de lessive Saint-Marc et de l'eau de Javel Dior. Une anecdote raconte qu'en 1919, lors d'une kermesse en Normandie, une chiromancienne lui prédit que « les femmes vous seront bénéfiques, et c'est par elles que vous réussirez.
Il ouvre alors en 1928 avec son ami Jacques Paul Bonjean une galerie d'art. la crise de 1929 met fin à cette entreprise. En 1931, sa mère décède, son père, victime de mauvaises spéculations, est ruiné. La villa de Granville Les Rhumbs est alors vendue à la municipalité (elle est aujourd'hui transformée en musée). Il dira de cette maison dans son autobiographie Christian Dior et moi : « La maison de mon enfance... j'en garde le souvenir le plus tendre et le plus émerveillé. Que dis-je ? Ma vie, mon style, doivent presque tout à sa situation et à son architecture. »
Durant dix années, Christian Dior vit de la générosité de ses amis et de la vente de quelques tableaux. Son ami l'acteur Jean Ozenne remarque son talent et l'encourage à vendre quelques croquis. C'est ainsi qu'après son retour du service militaire, en 1935, il vend ses premiers croquis de robes et de chapeaux chez Claude Saint-Cyr ou chez la modiste Madame Agnès (en), puis est embauché comme illustrateur par le Figaro Illustré où il rencontre René Gruau. Soutenu par quelques amis artistes, il crée, comme lors de son enfance, des costumes pour le cinéma et le théâtre. Il fait également le siège des grandes maisons de l'époque, et parvient à faire accepter certains de ses croquis à Nina Ricci, Balenciaga.
Débuts dans la haute couture
En 1938, il est engagé par le grand couturier Robert Piguet - alors surnommé « le prince de la mode » - en tant que modéliste et dessinateur, il signe aussitôt trois collections. Le tailleur en pied-de-poule noir et blanc est son premier best-seller On commence à parler de lui lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate.
Il ne revient à Paris qu'en 1941, et entre chez Lucien Lelong, une des plus grandes maisons de couture parisienne. Ses mots en entrant dans les ateliers au moment des collections étaient toujours : « Grand point mesdames, grand point »
En 1945, il fait la connaissance de Marcel Boussac, le « roi du coton », qui croit immédiatement en son talent »Boussac investit soixante millions de francs et lui accorde une maison à son nom, au 30, avenue Montaigne ; Sa maison, créée le 8 octobre 1946, est inaugurée le 16 décembre. Il se lance ainsi dans la mode et la haute couture.
Le 12 février 1947, Christian Dior bouleverse la mode d'après-guerre avec son premier défilé, fruit d'un intense travail de collaboration avec son équipe dont Pierre Cardin est le premier tailleur. La silhouette qu'il propose est d'une conception avant-gardiste : taille cintrée, poitrine haute et ronde, épaules étroites, jambes découvertes à 40 cm au-dessus du sol.
Le succès
Dior rencontre immédiatement le succès en 1947 avec les lignes « Corolle » (le couturier s'inspirant de silhouettes de fleurs pour dessiner ses robes) surnommée « New Look » et la ligne « En 8 ». Au lendemain immédiat de l'Occupation, Christian Dior rend à la couture sa part de rêve et redonne aux femmes le goût de plaire et suggérer le désir. Les notions et les images liées au luxe reviennent sur le devant de la scène après une longue période d'insécurité et d'angoisse, « un retour au seyant et au joli dont les femmes avaient été privées depuis bien des lustres
Cette très belle villa sur les hauteurs de Granville abrite une somptueuse collection de ses créations
L’étrange n’épargne pas les cantons suisses de ses légendes et autres mystères. Découvrez aujourd’hui cinq lieux suisses réputés pour leur activité paranormale.
Le Clocher Du Château De Lenzbourg. Si l’on en croit la rumeur, le clocher du château de Lenzbourg serait hanté. En effet, une de ses cloches sonnerait les nuits de pleine lune alors que personne n’est présent sur place. Le château de Lenzbourg se trouve près de la vieille ville de Lenzbourg dans le canton d'Argovie. Avec une longue histoire à son actif, il fait partie des plus vieux châteaux de Suisse et présente une architecture variée. Wikipédia Schlosstrasse, 5600 Lenzbourg, canton d’Argovie.
Le Sanatorium Du Gothard. Près de Quinto dans le Tessin se trouve l’ancien sanatorium du Gothard, qui servait de clinique pour les turberculeux et également d’hôpital militaire. Déserté depuis 50 ans, tombant en ruine, le bâtiment a depuis des airs de maison hantée sortie des meilleurs films d’épouvante. Possédant sa propre crypte funéraire, le sanatorium serait un véritable nid de fantômes. Près de Quinto, canton du Tessin
Junkerngasse 54 Cette adresse de la capitale, aujourd’hui lieu d’exposition pour les concours d’architecture, serait également hantée par le fantôme d’une femme sans tête possédant un rire sardonique capable de vous glacer le sang. Les fonctionnaires ayant travaillé dans les bureaux de cette adresse ne sont jamais resté le soir après la nuit… Junkerngasse 54, canton de Berne
Le château de Rouelbeau Il ne reste que les fondations et des ruines de murs du château de Rouelbeau, achevé en 1318 à Meinier, près de Genève. Mais s’il subsiste quelque chose de cette bâtisse isolée au cœur de la forêt, c’est bien lal égende d’une dame blanche hantant les lieux dans l’attente du retour de son mari, le chevalier Humbert de Choulex, le même qui l’avait répudiée de son vivant… Le château de Rouelbeau ou La Bâtie-Cholay, est... Un ancien château médiéval dont subsistent quelques vestiges à Meinier, dans la campagne genevoise.Wikipédia Chemin de Rouelbeau, 1252 Meinier, canton de Genève.
La Maison Hantée Des Joller À Stans. Probablement le lieu réputé hanté le plus connu de Suisse. En 1850, la famille Joller, dont le patriarche Melchior Joller est un notable brigant, est victime d’une série d’événements étranges dans cette maison...Meubles qui bougent seuls, objets qui volent, apparitions…Les Joller ne supportant plus les railleries des gens du village qui ont eu vent de l’histoire, déménagent pour Rome…Et les phénomènes étranges s’arrêtent aussitôt. Dans des carnets appartenant à Mr. Joller retrouvés plus tard, on apprendra que ce dernier, très cartésien à la base, répertoriait tous les phénomènes paranormaux dont il était témoin. Il était également convaincu que c’était le fantôme de sa grand-mère qui hantait les lieux, pour le forcer à se départir de son esprit trop cartésien justement… La maison restera un lieu de pèlerinage jusqu’en 2010, date à laquelle un élu local décida de faire raser la maison pour faire cesser ce tourisme très particulier. Il aura fallu trois tentatives pour que la maison s’écroule finalement… Les ouvriers sur place ont affirmé avoir perçu comme un rire de vieille dame lorsque la bâtisse s’effondra… Stans, canton de Nidwald (Source : Temps Libre)
Expédition Au Pantanal Au Brésil
Publication...Par Les Biodiversitaires
Le Pantanal est l’une des zones humides intérieures les plus fabuleuses de la planète pour sa biodiversité animale et végétale.
Cette région, en grande partie dans l’état du Mato Grosso (mais aussi le Mato Grosso do Sul, et un peu en Bolivie et au Paraguay), couvre une superficie de 200 000 km² dont 170 000 recouverts par les eaux !
Entre septembre et novembre, débute la saison des pluies qui va peu à peu inonder la région, à travers les nombreuses rivières dont la plus importante est la rivière Cuiabá.
Ces inondations sont rendues possibles par la faible déclivité de cette plaine immense. Elles durent environ 6 mois. Il est difficile de circuler dans cette région où alternent donc marais, zones prairiales (de type pampa) et forêts.
Mygale !
A partir de Cuiabá, la capitale du Mato Grosso, une route célèbre descend plein sud : c’est la Transpantaneira...
Asphaltée seulement à son début et qui se transforme ensuite en piste (dont on imagine la « praticabilité » en saison des pluies !).
Longue de 145 km et accompagnée dans son cheminement de 122 ponts en bois, souvent très étroits, elle se termine à Porto Jofre, en bordure de la rivière Cuiabá.
Ensuite, C’est… La Jungle !
En route, on croise d’immenses fazendas ‐ ces grandes propriétés terriennes – qui couvrent jusqu’à 20 000 ha.
On y trouve souvent de grands troupeaux de bovins (vaches, zébus), et assez fréquemment des chevaux (rarement des moutons).
Renard des savanes, agouti d'Azara, nandou d'Amérique et même tatou à neuf bandes trainent régulièrement autour des fazendas.
La flore est particulièrement riche, avec des figuiers étrangleurs en forêt ou des papyrus en zone marécageuse.
Dès qu'il y a des fleurs, les colibris sont là...
La faune est considérée comme l’une des plus riches au monde. Les oiseaux sont partout et en général vraiment peu farouches (surtout autour des écolodges). Pour des Européens, c’est toujours très étonnant de pouvoir les approcher d’aussi près… Les mammifères sont bien présents, et souvent nocturnes.
Coati à queue annelée, curieux
Sajou brun, encore plus curieux...
Le capybara est en fait une sorte d'énorme... cochon d'Inde. Qui adore barboter et n'est pas très farouche. Quand on l'approche d'assez près, on peut entendre ses petits gloussements graves.
Évidemment les stars comme le jaguar ou le tapir restent des rencontres extrêmement fortes. On ne peut passer sous silence non plus les concertsnocturnes des grenouilles avec une mention toute spéciale pour la « grenouille formule 1 », dont le cri évoque un démarrage d'automobile de compétition...
Protégé, le jaguar n'a pas peur de l'homme... c'est nous qui avons peur de lui !
Nous l'observons d'une barque, au milieu de la rivière. Il se repose caché la plupart du temps, mais quand on a la chance de le trouver (après des heures ou des jours d'attente, en fonction de la chance), c'est un animal incroyable de beauté.
Que serait le Pantanal sans ses caïmans ? Statiques comme des pierres, la gueule ouverte, ils sont omniprésents, jusqu’en milieu sec. Un tout jeune caïman, minuscule mais déjà très belliqueux, est même venu nous rendre visite dans une salle de réunion d’un écolodge (compagnon du log vespéral).
Tout petit mais déjà très teigneux... Pas trop envie de lui faire des guili-guilis, on l'a quand même expulsé de là, ce qui lui a beaucoup déplu.
Quant aux piranhas, ils sont restés sous l’eau. Même si les plus audacieux d’entre nous les ont mangés… en soupe. En effet, ils sont très communs, et l’un des poissons de table régulier.
Deux compagnons d’aventures, un rapaçologue et un lynxomaniaque égarés dans la jungle, revenant ici d’une rivière pleine de piranhas pour tenter de trouver (en vain) le héron agami.
Dans la rivière, c'est piranhas ou caïmans, au choix...
Sur les rives, l'iguane vert se confond avec la végétation.
La faune invertébré est aussi incroyable : énormes cigales, fourmis tueuses, petites mais bourrées d’histamine, superbes papillons dont des morphos sans cesse en mouvement, tiques aux aguets, moustiques pas pires qu’ailleurs (mais beaucoup plus nombreux !), etc.
La nature est partout, elle est une, primaire, incroyablement belle. Pas étonnant avec ça que le Pantanal soit inscrit au patrimoine de l’humanité.
Les toucans sont parmi les oiseaux les plus mythiques du Pantanal. Ici, toucan araçari.
Toucan toco houspillé par des tyrans sulfureux.
En revanche, il fait très chaud à cette époque et, hormis à São Paulo et après le passage d’une pluie, la température diurne culminait quotidiennement à 40° (et un peu plus). Le tout dans une atmosphère humide qui fait transpirer comme pas possible. D’ailleurs, selon notre guide, cette fin de saison des pluies a été particulièrement chaude en 2015 (réchauffement climatique oblige). Mais tout ceci semblait oublié lorsqu’il s’agissait d’observer.
Anhinga d'Amérique
La plupart des prospections se sont faites à pied, aux heures les moins chaudes, mais aussi en bateau (Porto Jofre, Santa Tereza), enfin en camion (énorme, poussif et pas 4x4, mais sympathique), notamment le soirpour des sorties au phare. A Araras, quelques-uns d’entre nous sont aussi partis prospecter à cheval, découvrant des paysages et des sensations inaccessibles autrement.
Caracara huppé très content de son butin...
Ara hyacinthe
Amazone aurou. Couple bagué et vivant à proximité d'une fazenda.
Le grand ibijau, qui se confond avec l'écorce...
Caurale soleil : cet incroyable oiseau fait de l'ombre avec ses ailes pour chasser.
Bonus : le cri d'oiseau le plus énervant du monde, selon nous, c'est celui dela "poule" sauvage locale, l'ortalide du Chaco, qui commence ses terribles vocalises très tôt le matin ! En prime, cette castafiore chante en duo...
Ecoutez (clic) ici !
Sous un air assez banal, ce volatile est le plus grand massacreur d'oreilles de toute la jungle !
Merci à Jao, notre guide naturaliste brésilien, inlassable chercheur de jaguars, et Dorothée, qui a assuré la logistique ! Merci aussi à toute la courageuse et sympathique équipe ainsi qu'à Olivier Pollet !
Reportage réalisé lors d'un voyage LPO/Escursia (voyages scientifiques) au cœur du Pantanal, accompagné par Philippe J. Dubois. Photos Elise Rousseau.
Publié dans Biodiversité sauvage
Le jeune skieur a perdu l'équilibre en tentant de rattraper l'un de ses bâtons...
Il s’en tire avec un simple torticolis. Et pourtant, le petit Tristan, originaire de Seattle aux Etats-Unis, a vécu une belle frayeur, la semaine dernière, dans la station de ski de Whistler, au Canada. Durant près de sept minutes, le garçonnet de 11 ans est en effet resté suspendu dans le vide depuis le télésiège sur lequel il s’était installé, rapporte The Mirror.
Suspendu à 10 mètres de haut
Basculant dans le vide après avoir tenté de récupérer son bâton de ski, Tristan aété rattrapé in extremis par son oncle et sa tante. C’est à la force deleurs bras qu’ils ont pu le tenir pendant ses longues minutes, sans toutefois parvenir à le hisser sur le télésiège. « Mon oncle et ma tanteme retenaient et j’essayais de m’accrocher à quelque chose, mais c’était trop loin. Je n’ai pas regardé en bas », a confié le jeune garçon à Sky News.
Sous ses pieds, 10 mètres de dénivelé. Une fois la remontée mécanique stoppée, Tristan a donc dû prendre son courage à deux mains pour se laisser tomber dans le vide afin d’atterrir sur une bâche. Des skieurs, alertés par les cris de panique, ont en effet rapidement tendu celle-ci en dessous du garçonnet pour lui permettre de sauter.
Son sable fin et doré, son eau turquoise, ses vagues de surf, sa promenade et les nombreuses festivités qui s'y déroulent à l'année... Chose certaine, elle porte bien son nom parce qu'elle est toujours bondée !
Peinture de Robert Duncan
la citrouille et ses superstitions !
La citrouille comme toutes les courges,est un symbole de prospérité de chance et de fécondité !
D'antan, il était recommander de glisser quelques graines de citrouilledans le porte monnaie pour s'assurer la prospérité.
-De même, il était courant de confectionner un petit sac de couleur or etd'y mettre 4 grains de citrouille et une pièce de monnaie et de glisser le tout sous le lit ...Chance assurée parait-il !
On lui a attribué de nombreux bienfaits :
Les pépins de citrouille écrasés débarrasseraient des vers intestinaux mélangés à de l'huile.
-Ils auraient aussi la réputation d'enlever les taches de rousseur.
Dans les régions du centre, il est dit que seul le semeur qui a une grosse tête ou celui qui a un gros derrière a de chance d'obtenir des citrouilles de belles tailles ... eh oui !
Dans les régions de l'Ouest, ils prennent la précaution de semer les citrouilles le Vendredi saint : c'est parait-il le jour le plus favorable pour obtenir un légume énorme !
Encore plus curieux, en Suisse, c'est celui qui débite le plus de mensonges qui aura les plus belles citrouilles.
" Halloween " est remise à la mode après de nombreux siècles d'oubli.
Certains sont pour ... d'autres contre ...perso je suis contre.
Le pont de la Confédération est installé sur le détroit de Northumberland entre l'île du Prince-Édouard avec le continent, la province du Nouveau-Brunswick, au Canada, depuis mai 1997. Faisant 12,9 km de long, c'est le plus long pont au-dessus d'une étendue maritimeprise par les glaces dans le monde.
La route à deux voies (11 m de large) fait partie de la Route transcanadienne entre Borden-Carleton, à l'Île-du-Prince-Édouard et le Cap-Tourmentin, au Nouveau-Brunswick. C'est une structure à travées multiples (62) séparées de 250 m en béton post-tensionné à coffre poutre. La plus grande partie du pont courbe est à 40 mètres au-dessus de l'eau, mais il contient une partie à 60 mètres pour permettre le trafic de bateaux.
Le péage n'est dû que lorsque l'on quitte l'île ; le tarif actuel est, par exemple, de 30€ pour une automobile. Une navette est disponible pour les piétons et les cyclistes. Le tarif est de 3€ pour les piétons et de 4€ pour les cyclistes.
La législation de l'île s'applique, bien que ce soit celle du Nouveau-Brunswick qui réglemente les traversiers et autres navires.
Article dans Wikipedia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_de_la_Confédération
Villes proches: Dieppe, Moncton, Halifax
Vue d'ensemble
La plus grande des trois provinces Maritimes canadiennes, le Nouveau-Brunswick est blotti au sud de la Péninsule gaspésienne, au Québec, et partage sa frontière ouest avec l'État du Maine.
La frontière est de la province est entièrement formée du littoral : le golfe Saint-Laurent et le détroit de Northumberland donnent à la province des plages sablonneuses aux eaux salées les plus chaudes au nord de la Virginie.
Au sud, la baie de Chignecto et l'isthme de Chignecto, large de 24 km , relient le Nouveau-Brunswick à la Nouvelle-Écosse.
Le reste du littoral sud est constitué de la baie de Fundy, dont les marées, les plus hautes du monde, ont sculpté un littoral spectaculaire.
Le Nouveau-Brunswick est aussi relié à l'Île-du-Prince-Édouard par le célèbre pont de la Confédération.Situé sur la côte est du Canada.
Le Nouveau-Brunswick dispose de magnifiques plages sablonneuses pendant l'été, il jouit d'un feuillage automnal spectaculaire, de fleurs sauvages printanières d'une éclatante beauté, et de vastes étendues de neige blanche et pur l'hiver. La province se caractérise notamment par ses collines ondoyantes, ses vallées spectaculaires, et son patrimoine
architectural historique et moderne dans bon nombre de ses cités, villes et villages.
Les agglomérations du Nouveau-Brunswick sont variées. Il y a huit cités : Bathurst, Campbellton, Dieppe, Edmundston, Fredericton (la capitale provinciale), Miramichi, Moncton et Saint-Jean. La province compte aussi un grand nombre de villes et villages attrayants sur l'ensemble du territoire, qui offrent un large éventail d'attractions aux visiteurs et aux résidents.
Les rivières de la province, dont le puissant fleuve Saint-Jean, la splendide rivière Restigouche et la majestueuse rivière Miramichi, possèdent toutes des caractéristiques uniques sans nulle pareille. Qu'il s'agisse des terres agricoles valonneuses, des paysages forestiers spectaculaires, des vallées riveraines et des sommets de montagne rocheux, la beauté et la variété du Nouveau-Brunswick sont uniques au monde.
Tout comme la Nouvelle-Écosse et l'Ïle-du-Prince-Édouard, le Nouveau-Brunswick est à l'heure de l'Atlantique. Les gens qui entrent auNouveau-Brunswick par le Maine ou le Québec doivent donc avancer leur montre d'une heure.
Clic...............LOST IN KAZAKHSTAN 4K from The Lost Avocado on Vimeo.
Canyon De Charyn
Le canyon de Charyn est un canyon de 80 km au Kazakhstan le long du fleuve Charyn, 200 km à l’est d'Almaty, près de la frontière chinoise.
Il se trouve au sein du Parc national de Charyn qui a été créé le 23 février 2004 dans les districts d'Uyghur et de Kegen dans l’oblys d'Almaty.
Une de ses sections s'appelle la Vallée des Châteaux du fait des formations rocheuses inhabituelles.
Photos du canyon [archive]
Canyon Charyn [archive]
Clic.......................Charyn Canyon from Denis Frantsouzov on Vimeo.
Parc National De Charyn
Le parc naturel national de Charyn (kazakh : Шары́н мемлекетті́к ұлтты́қ табиғи́ паркі́) est un parc naturel créé en 2004 par la Résolution N°213 du gouvernement de la République du Kazakhstan le 23 février 2004.
Il est situé à cheval sur le district d'Enbekchikazakh, le district de Raiymbek et le district Ouïghour de l'Oblys d'Almaty au Kazakhstan.
La résolution N°21 du gouvernement de la République du Kazakhstan «De l'élargissement du territoire du Parc Naturel National de Charyn» du 6 février 2009 a agrandi le territoire du parc, le faisant passer de 93 150 ha à 127 050 ha.
Sommaire
Géographie
Relief
Climat
Faune et flore
Activités
Photos
Géographie
Situé à 193 km d'Almaty, le parc est subdivisé en deux zones au fonctionnement distinct :
La réserve, qui compte 9 671 ha,
La partie règlementée, qui s'étend sur 83 479 ha.
Relief Le canyon de Charyn (encore appelé la « Vallée des châteaux ») est une formation géologique où les processus de formation du relief sont observables, et qui a de ce fait un attrait particulier pour le tourisme et les activités de loisir.
Outre le canyon, le parc s'étend sur la vallée désertique de Syougaty, les monts Oulken-Bogouty, et sur quelques fragments de steppe.
Climat Le climat du parc est désertique continental. La température annuelle moyenne est de +5°C. La température moyenne en janvier est de -5°C, et de +27°C en juillet.
Les précipitations annuelles se montent à 150 mm. Le parc connait une période de gel de 60 jours par an, et de sécheresse de 40 jours par an.
Faune & Flore :
La faune du parc compte 36 espèces de mammifères, 200 espèces d'oiseaux (dont 111 nichent dans le parc), 18 espèces de reptiles dont le phrynocephalus versicolor, 10 espèces de poissons, et comme représentant des amphibiens, la rana asiatica.
Une grande variété d'insectes est également présente sur le territoire du parc.
La partie Est des montagnes «Petites Bougouty» est une zone de la réserve où vivent les gazelles à goitre, inscrites sur le Livre rouge de la République du Kazakhstan, et est aussi l'habitat de l'ibex de Sibérie et du faucon sacre.
Sur le territoire du parc se trouve le monument naturel « la datcha forestière cendrée de Charyn », organisée pour protéger une relique d'espèce rare de fraxinus sogdiana.
Il s'agit d'une espèce d'arbre unique remontant au Paléogène, et protégée par l'UNESCO.
Protégée depuis 19641, cette espèce d'arbre fait l'objet de soins particuliers et de travaux de restauration.
Outre le fraxinus sogdiana, le parc a une flore très diverses, recensant plus de 940 espèces de plantes ; trois d'entre elles sont inscrites au Livrerouge : l'oxytropis niedzweckiana, la ferula sugatensis et la galatella saxatilis.
Activités:
Très attractif pour sa diversité et ses paysages, le parc a été aménagé pour permettre l'accès aux visiteurs, notamment par la création de sentiers de randonnée pédestre, routière ou aquatique.
En plus des activités d'accueil des visiteurs, les autorités du parc ont également un but de préservation de la nature et de restauration des systèmes naturels...
La réintroduction du cerf tougaï , protégé par le Livre rouge du Kazakhstan aussi bien que par l'UICN, a notamment été entreprise ; de même, un projet de pépinière pour favoriser la reproduction des oiseaux rares est en cours. Ces projets
pourraient recevoir le soutien d'organismes internationaux.
Site du Parc Naturel National de Charyn [archive]
Parcs nationaux du Kazakhstan
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Villes du Kazakhstan
D’héritages Légendaires & Fabuleux en escroqueries Notoires..
(D’après « Le Petit Journal Illustré », Paru En 1937)...
Les héritages fabuleux d’ « oncles et tantes d’Amérique » suscitèrent bien des convoitises et donnèrent lieu, non seulement aux légendes les plus improbables bientôt ruinées par de méticuleuses recherches, mais encore à
des escroqueries notoires...Telles l’histoire d’un certain Bonnet prétendument parti se faire nommer roi de Madagascar, ou celle de la « Grande Thérèse » dont s’amusa tout Paris à la fin du XIXe siècle
Une histoire d’héritage fantastique enfièvre depuis des mois maintes familles d’Alsace et d’Allemagne, rapporte en 1937 le journaliste Jean Lecoq du Petit Journal.
Il s’agit de la succession d’une « tante d’Amérique », succession qui avoisinerait, dit-on, le demi-milliard, un tel chiffre expilquant les convoitises des candidats héritiers qui sont au nombre de plus de 10 000.
Dans la première moitié du XIXe siècle, un modeste habitant de Bitschwiller, en Alsace, du nom de Christophe Schaeffer...
Il émigra en Amérique, s’y maria et eut une fille, Henriette, laquelle épousa un grand planteur de tabacs, Walter Garrett.
Celui-ci mourut dans les dernières années du XIXe siècle. Sa veuve, Henriette Garrett, née Schaeffer, lui survécut jusqu’en 1930.
Le 16 novembre de cette année-là, elle partait à son tour, à l’âge de 90 ans, pour un monde meilleur.
Mais elle laissait après elle une des plus belles fortunes d’Amérique, une fortune de 17 millions de dollars, acquise par son époux dans la culturedes tabacs. Mme Garrett n’avait pas d’héritiers directs.
Soucieuse de faire profiter de son argent les membres de sa famille paternelle qui pouvaient exister encore dans la région rhénane...
Elle laissa par testament une somme de plus d’un million qui devait être consacrée à des recherches minutieuses en vue de découvrir ces parents éloignés.
Des recherches commencèrent aussitôt. Pendant ce temps, la fortune d’Henriette Garrett produisait des intérêts évalués à 1500 dollars par jour...Et en 1937, ce n’était plus 17 mais 20 millions de dollars qu’elle représentait. On conçoit que l’espoir d’un tel héritage ait éveillé les espérances de tous les Schaeffer d’Alsace et d’Allemagne.
Or, ce nom est, là-bas, aussi commun que le sont, ailleurs, ceux de Durand ou de Dupont. Et cela n’était pas fait pour faciliter la besogne des enquêteurs. Le chroniqueur du Petit Journal nous rapporte qu’existe à cette époque au
ministère des Affaires étrangères un service spécial qui s’occupe des recherches relatives aux successions lointaines...
Il est facile d’imaginer, poursuit-il, si on a enregistré là des histoires d’héritages fabuleux, d’héritages qui demeurent en souffrance,et qui ne datent pas d’hier.
La plus ancienne de ces revendications est celle qui a pour objet la succession de Jean Thierry, lequel n’était pas, d’ailleurs, un oncle d’Amérique, mais un oncle de Venise.
Ce Jean Thierry, fils d’un cordonnier de Château-Thierry, était allé, à la fin du XVIIe siècle, s’établir dans la cité de Saint-Arc.
Il y mourut en 1700, laissant une énorme fortune placée à la célèbre banque vénitienne, la Zecca.
Or, Jean Thierry avait, à Château-Thierry, deux neveux, ses héritiers directs, qui ne furent jamais avertis de la mort de leur oncle, et de lamerveilleuse succession qu’ils pouvaient revendiquer.
Celle-ci demeura dans les coffres de la Zecca, improductive.
Et il arriva que, quatre-vingt-dix-sept ans plus tard, Bonaparte vint à Venise avec ses soldats en haillons.
L’armée manquait de tout : il fallait la vêtir, la nourrir. L’or déposé à la Zecca fut réquisitionné. Les millions de Jean Thierry revinrent ainsi, du moins, à la France.
Mais il arriva qu’un jour, les descendants des deux neveux de Château-Thierry connurent l’histoire.
C’était au nom du gouvernement français que Bonaparte avait mis la main sur la fortune de leur grand-oncle.
Ils en réclamèrent à l’Etat la restitution, firent des procès, furent déboutés, recommencèrent, ne se lassèrent pas.
Au début du XXe siècle l’un d’entre eux introduisait encore, devant la première chambre du tribunal civil, une action contre l’Etat en revendication des millions de Jean Thierry.
Cet héritage de Jean Thierry n’était pas purement légendaire.
Il exista réellement : et des papiers de l’époque du Directoire, conservés aux Archives, en font la preuve.
Mais que dire de tant d’autres successions fantaisistes qui n’existèrent jamais que dans l’imagination de ceux qui en réclamaient la possession ?
Il y a, notamment, la succession d’un certain Jean-Etienne Martin, « originaire du Languedoc » (on ne dit point de quelle ville ni de quel village, et décédé à Buenos-Aires, on ne sait pas exactement en quelle année)...
La succession Martin qui, pendant des lustres, a enfiévré toutes les familles Martin, et Dieu sait s’il y en a, de la Lozère, du Gard, de l’Hérault, de l’Ardèche, de la Haute-Loire, des Landes, de la Haute-Garonne, etc. Hélas !
Malgré les recherches opérées en Argentine par les soins de l’administration du Quai d’Orsay, on ne trouva nulle trace de ce Martin et de sa fortune.
Il y a aussi la succession de Jean-Antoine Mallet, qui serait décédé au Brésil en 1888, et dont l’administration n’a jamais pu découvrir l’acte de décès.
On n’a même pu savoir en quelle cité brésilienne était mort ce millionnaire.
Cela n’a pas empêché d’innombrables Mallet de réclamer les six cents millions que la légende attribuait à ce Crésus mystérieux.
Mais il y eut cet autre Malet — avec un seul « l », celui-ci — qui serait mort dans l’Etat de l’Ohio, laissant une fortune supérieure à 10 millions de dollars.
Ce Malet était, disait-on, le fils du général Malet, le célèbre conspirateur.
Les recherches opérées en Amérique démontrèrent que le personnage avait bien existé : mais, de la fortune qu’on lui attribuait, on ne trouva pas la moindre trace.
Et il y eut encore Picard, mort à Philadelphie en 1832 ; Dupont, mort à Saint-Louis ; Tissier, de Marmande, qui serait décédé en 1884, à l’hôpital Bellevue de New-York...Poilras et Lafforgue, qui seraient morts à Chicago, l’un en 1887, l’autre en 1905 ; et Durand, mort en Argentine ; et Guérin, décédé au Brésil ...Et Boyer, à Haïti ; et Huc, au Chili ; sans compter quelques nababs des Indes néerlandaises : Colmon, Dubois, Renard, qui avaient fait, à Batavia, d’immenses fortunes dans la culture de la canne à sucre.
Car tous ces oncles d’Amérique, d’Asie, d’Océanie possédaient d’incalculables richesses.
La moindre de ces fortunes, revendiquées par tant d’héritiers, s’élevait à 25 millions.
Certaines de ces revendications remontent au XIXe siècle.
Le seul malheur était qu’en dépit des recherches consciencieuses et obstinées de l’administration, on ne put jamais retrouver, non seulement les héritages, mais même la plus petite trace de tous ces oncles opulents.
Ils étaient innombrables, pourtant, car nous n’avons nommé ici que quelques-uns ; nous en avons passés, et des plus riches...
Et, notamment, l’un des plus fantastiques, l’oncle Bonnet. Le nommé François-Claude Bonnet était un oncle, non plus d’Amérique, mais de l’Inde.
A en croire ses héritiers, ledit Bonnet, après avoir vécu longtemps à Calcutta, où il aurait acquis une fortune de 75 millions, serait parti se faire nommer roi de Madagascar. Il serait mort dans la Grande Ile vers 1830.
Pendant des années, cette fable ridicule enflamme l’imagination de tous les Bonnet de France et de Navarre — et il y en a presque autant que de Schaeffer dans les régions rhénanes.
Sur la demande de tous ces Bonnet, l’administration se livra à toutes les recherches possibles à Madagascar, à l’île Bourbon, dans l’Inde et même en Angleterre...
Elle ne trouva absolument rien ; et elle constata le fait dans une note publiée au « Moniteur officiel » le 19 mars 1834.
Cette note aurait dû mettre fin à toutes les espérances et à toutes les convoitises des héritiers Bonnet : il n’en fut rien.
La légende subsista, prenant même une force nouvelle.
Et l’histoire Bonnet suscita même, en fin de compte, la plus jolie escroquerie.
En 1887, un Comité se forma, à Paris, et mit l’affaire Bonnet en actions. Tout le monde — Bonnet ou non — pouvait souscrire.
Dès la rentrée de la succession on assurait aux souscripteurs vingt fois la valeur du capital versé.
Les fonds affluèrent. Après quoi, le Comité disparut, et l’argent des victimes avec lui.
Car ce sont là, trop fréquemment, explique notre chroniqueur, la conséquence et l’aboutissement de toutes ces histoires d’héritages fabuleux.
Tant qu’elles se contentent de bercer des espérances et de décevoir des convoitises, elles ne font pas grand mal ; mais trop souvent, elles favorisent l’escroquerie.
Et ce ne sont pas toujours les héritiers — ou pseudo-héritiers — qui sont les seules victimes de ces dangereuses illusions.
Il faut rappeler à ce propos une affaire qu’on dénomma justement « la plus dangereuse escroquerie du siècle » et dont le retentissement ne fut peut-être jamais égalé...L’affaire Humbert. Il s’agissait d’une somme de 40 millions qu’un Anglais, nommé Henry Crawford, mort à Toulouse en 1883, aurait léguée à Mme Marie-Thérèse Daurignac...Épouse de Frédéric Humbert (né en 1857), député de Seine-et-Marne et fils de Gustave Humbert (né en 1822), ancien garde des Sceaux, premier président de la Cour des Comptes.
Marie-Thérèse Humbert allait donc entrer en possession de ce magnifique héritage...Quand surgirent deux neveux du testateur, Robert et Henry Crawford, lesquels prétendaient détenir un autre testament de leur oncle aux termes duquel la fortune était léguée...Non plus à Mme Humbert, mais à eux, Crawford frères, et à Mlle Maria Daurignac, sœur de Mme Humbert, à charge de servir à cette dernière une rente de 360 000 francs.
Or, à cette époque, Mlle Daurignac était mineure. En attendant que sa majorité rendît une transaction possible, M. et Mme Humbert étaient nommés séquestres de la fortune.
On imagine ce qu’une pareille histoire pouvait entraîner de complications et favoriser d’escroqueries.
Il y eut des procès ; les tribunaux rendirent des arrêts qui donnaient une existence légale à ces Crawford que personne n’avait jamais vus, pour la bonne raison qu’ils n’existaient pas plus que l’oncle opulent dont ils étaient les héritiers.
C’était Thérèse Humbert qui avait imaginé, monté et machiné toute l’affaire. Les Humbert menaient grande vie.
Tout leur monde leur faisait crédit sur l’héritage. Les personnages les plus en vue fréquentaient leurs salons. Mais tant va la cruche à l’eau...
Il suffit d’une seule plainte pour faire crouler l’échafaudage de mensonges dressé patiemment par la « Grande Thérèse ».
Il fallut ouvrir le fameux coffre-fort dans lequel celle-ci affirmait que les millions étaient enfermés. Il était vide.
Jamais Paris ne s’amusa tant. Il faudrait un volume pour énumérer les chansons, les images, les cartes postales, les bibelots de toutes sortescommémorant les principaux épisodes de l’affaire.
L’ouverture du coffre-fort, surtout, suscita la verve des chansonniers. On y trouva, disaient-ils, un grand écrin...
Et dans ce grand écrin,Un autr’ petit écrin,Et dans ce p’tit écrin,Peau d’balle et balai d’crin ! Et par là-dessus, la foule, à tous les carrefours, reprenait le refrain dans un éclat de rire...
Ah ! les poires !...Les bonnes poires !... Au jour de l’An, les camelots vendirent sur les trottoirs « le coffre-fortet le lapin » ; au jour des Rois, les pâtissiers glissèrent dans leurs galettes une opulente Thérèse en porcelaine.
On vendit « le Billet de banque Craquefort », le « Jeu des Oies de la mère Humbert », le « Dernier soupir de Thérèse ». Celle-ci fut mise en prison. « Je suis une grande victime », dit-elle. Et le plus curieux de l’histoire, c’est qu’elle le croyait.
Ces escroqueries chez lesquelles la folie de la richesse et des grandeurs est favorisée par un manque absolu de scrupules, bâtissent leur fable silaborieusement, vivent leur rêve si intensément, qu’elles finissent paren faire une réalité.
Leur imagination a créé autour d’elles un monde fabuleux qui, peu à peu, leur apparaît vivant, agissant, réel.
Ce fut le cas de la « Grande Thérèse » : le rêve, à force d’occuper son esprit, était devenu réalité.
Quand on les regarde singulièrement ces orgues sont plutôt impressionnantes, mais collectivement les photos racontent l’histoire d’un instrument ancien qui varie si considérablement dans la conception qu’il est difficile de croire qu’ils sont en quelque sorte le même dispositif musical.
Dans sa pratique photographique, Götzfried se rapproche souvent d’une variété d’objets semblables ou de lieux à la fois grands et obscurs des barbiers cambodgiens aux pistes de bowling ou aux stations-service abandonnées . À travers chaque collection il met rapidement en évidence les similitudes ou les différences qui lient une culture ou un style de vie ensemble.
ÇA C'EST PASSÉ UN 24 OCTOBRE
Le 24 octobre 2005 décédait Rosa Parks, figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis
Elle fut surnommée "mère du mouvement des droits civiques".
Célèbre lorsqu'elle refusa de céder sa place dans un bus à un blanc, ce fut en
décembre 1955. Elle dut payer une amende et refusa de la payer. Martin
Luther King, avec le concours de Ralph Abernathy, lança alors une
campagne de protestation et de boycott contre la compagnie de bus qui
durera 381 jours. Le 13 novembre 1956, la Cour suprême casse les lois
ségrégationnistes dans les bus, les déclarant anticonstitutionnelles.
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**1882
Découverte du germe de la tuberculose
Le physicien allemand Robert Koch réussit à isoler la bactérie de la
tuberculose. En 1883, il découvrira le bacille du choléra. Koch est l'un
des pères de la bactériologie.
En tant que pionnier de la bactériologie, Robert Koch fut l'égal de Pasteur. On lui doit
l'identification de plusieurs bacilles, notamment du bacille de la
tuberculose, de même que de ceux du charbon et du choléra. Il gagnera le
prix Nobel de médecine en 1905
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1790
La France adopte le drapeau tricolore
L'assemblée constituante décrète officiellement le drapeau tricolore, drapeau
français, en substitution au drapeau blanc. Le drapeau tricolore
apparaît dans la toute jeune république française. Il est largement
inspiré par la cocarde que les révolutionnaires arborent depuis 1789. Il
reprend le bleu et le rouge, couleurs de la ville de Paris, et le
blanc, couleur royale
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1945. La charte des Nations Unies entre en vigueur. L'organisation de défense de la paix est d'abord
composée de cinquante pays membres. Après plusieurs années de
tractation, sa composition, ses objectifs et ses pouvoirs sont enfin
définis
le 24 octobre 1957, décès du grand couturier Christian Dior
Christian Dior, né le 21 janvier 1905 à Granville, dans la Manche, mort le 24
octobre 1957 à Montecatini Terme en Italie, est un grand couturier
français. Il est le fondateur de la maison de couture qui porte son nom
Né à Granville au cœur d'une famille d'industriels avisés, inventeurs de
la très connue marque de lessive Saint-Marc et de l'eau de Javel Dior.
Une anecdote raconte qu'en 1919, lors d'une kermesse en Normandie, une
chiromancienne lui prédit que « les femmes vous seront bénéfiques, et
c'est par elles que vous réussirez.
Il ouvre alors en 1928 avec son ami Jacques Paul Bonjean une galerie d'art. la crise de 1929
met fin à cette entreprise. En 1931, sa mère décède, son père, victime
de mauvaises spéculations, est ruiné. La villa de Granville Les Rhumbs
est alors vendue à la municipalité (elle est aujourd'hui transformée en
musée). Il dira de cette maison dans son autobiographie Christian Dior
et moi : « La maison de mon enfance... j'en garde le souvenir le plus
tendre et le plus émerveillé. Que dis-je ? Ma vie, mon style, doivent
presque tout à sa situation et à son architecture. »
Durant dix années, Christian Dior vit de la générosité de ses amis et de la vente
de quelques tableaux. Son ami l'acteur Jean Ozenne remarque son talent
et l'encourage à vendre quelques croquis. C'est ainsi qu'après son
retour du service militaire, en 1935, il vend ses premiers croquis de
robes et de chapeaux chez Claude Saint-Cyr ou chez la modiste Madame
Agnès (en), puis est embauché comme illustrateur par le Figaro Illustré
où il rencontre René Gruau.
Soutenu par quelques amis artistes, il crée, comme lors de son enfance, des
costumes pour le cinéma et le théâtre. Il fait également le siège des
grandes maisons de l'époque, et parvient à faire accepter certains de
ses croquis à Nina Ricci, Balenciaga.
Débuts dans la haute couture
En 1938, il est engagé par le grand couturier Robert Piguet - alors
surnommé « le prince de la mode » - en tant que modéliste et
dessinateur, il signe aussitôt trois collections. Le tailleur en
pied-de-poule noir et blanc est son premier best-seller On commence à
parler de lui lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate.
Il ne revient à Paris qu'en 1941, et entre chez Lucien Lelong, une des plus
grandes maisons de couture parisienne. Ses mots en entrant dans les
ateliers au moment des collections étaient toujours : « Grand point
mesdames, grand point »
En 1945, il fait la connaissance de Marcel Boussac, le « roi du coton »,
qui croit immédiatement en son talent »Boussac investit soixante
millions de francs et lui accorde une maison à son nom, au 30, avenue
Montaigne ; Sa maison, créée le 8 octobre 1946, est inaugurée le 16
décembre. Il se lance ainsi dans la mode et la haute couture.
Le 12 février 1947, Christian Dior bouleverse la mode d'après-guerre avec
son premier défilé, fruit d'un intense travail de collaboration avec son
équipe dont Pierre Cardin est le premier tailleur. La silhouette qu'il
propose est d'une conception avant-gardiste : taille cintrée, poitrine
haute et ronde, épaules étroites, jambes découvertes à 40 cm au-dessus
du sol.
Le succès
Dior rencontre immédiatement le succès en 1947 avec les lignes « Corolle » (le couturier s'inspirant de
silhouettes de fleurs pour dessiner ses robes) surnommée « New Look » et
la ligne « En 8 ». Au lendemain immédiat de l'Occupation, Christian
Dior rend à la couture sa part de rêve et redonne aux femmes le goût de
plaire et suggérer le désir. Les notions et les images liées au luxe
reviennent sur le devant de la scène après une longue période
d'insécurité et d'angoisse, « un retour au seyant et au joli dont les
femmes avaient été privées depuis bien des lustres
Cette très belle villa sur les hauteurs de Granville abrite une somptueuse collection de ses créations
L’étrange n’épargne pas les cantons suisses de ses légendes et autres mystères.
Découvrez aujourd’hui cinq lieux suisses réputés pour leur activité paranormale.
Le Clocher Du Château De Lenzbourg.
Si l’on en croit la rumeur, le clocher du château de Lenzbourg serait hanté. En effet, une de ses cloches sonnerait les nuits de pleine lune alors que personne n’est présent sur place.
Le château de Lenzbourg se trouve près de la vieille ville de Lenzbourg dans le canton d'Argovie. Avec une longue histoire à son actif, il fait partie des plus vieux châteaux de Suisse et présente une architecture variée. Wikipédia
Schlosstrasse, 5600 Lenzbourg, canton d’Argovie.
Le Sanatorium Du Gothard.
Près de Quinto dans le Tessin se trouve l’ancien sanatorium du Gothard, qui servait de clinique pour les turberculeux et également d’hôpital militaire.
Déserté depuis 50 ans, tombant en ruine, le bâtiment a depuis des airs de maison hantée sortie des meilleurs films d’épouvante. Possédant sa propre crypte funéraire, le sanatorium serait un véritable nid de fantômes.
Près de Quinto, canton du Tessin
Junkerngasse 54
Cette adresse de la capitale, aujourd’hui lieu d’exposition pour les concours d’architecture, serait également hantée par le fantôme d’une femme sans tête possédant un rire sardonique capable de vous glacer le sang. Les fonctionnaires ayant travaillé dans les bureaux de cette adresse ne sont jamais resté le soir après la nuit…
Junkerngasse 54, canton de Berne
Le château de Rouelbeau
Il ne reste que les fondations et des ruines de murs du château de Rouelbeau, achevé en 1318 à Meinier, près de Genève. Mais s’il subsiste quelque chose de cette bâtisse isolée au cœur de la forêt, c’est bien lal égende d’une dame blanche hantant les lieux dans l’attente du retour de son mari, le chevalier Humbert de Choulex, le même qui l’avait répudiée de son vivant…
Le château de Rouelbeau ou La Bâtie-Cholay, est...
Un ancien château médiéval dont subsistent quelques vestiges à Meinier, dans la campagne genevoise.Wikipédia
Chemin de Rouelbeau, 1252 Meinier, canton de Genève.
La Maison Hantée Des Joller À Stans.
Probablement le lieu réputé hanté le plus connu de Suisse. En 1850, la famille Joller, dont le patriarche Melchior Joller est un notable brigant, est victime d’une série d’événements étranges dans cette maison...Meubles qui bougent seuls, objets qui volent, apparitions…Les Joller ne supportant plus les railleries des gens du village qui ont eu vent de l’histoire, déménagent pour Rome…Et les phénomènes étranges s’arrêtent aussitôt. Dans des carnets appartenant à Mr. Joller retrouvés plus tard, on apprendra que ce dernier, très cartésien à la base, répertoriait tous les phénomènes paranormaux dont il était témoin.
Il était également convaincu que c’était le fantôme de sa grand-mère qui hantait les lieux, pour le forcer à se départir de son esprit trop cartésien justement… La maison restera un lieu de pèlerinage jusqu’en 2010, date à laquelle un élu local décida de faire raser la maison pour faire cesser ce tourisme très particulier.
Il aura fallu trois tentatives pour que la maison s’écroule finalement… Les ouvriers sur place ont affirmé avoir perçu comme un rire de vieille dame lorsque la bâtisse s’effondra…
Stans, canton de Nidwald
(Source : Temps Libre)