Un Drone A Survolé Pour La Première Fois Uluru & A Pu Filmer... Le Mont Emblématique En Australie Pour Un Résultat Époustouflant !
Uluru, aussi connu sous le nom d'Ayers Rock, est un inselberg en grès situé dans le Territoire du Nord, au centre de l'île principale de l'Australie. Il s'élève à 348 mètres au-dessus de la plaine. Wikipédia
Un nouveau regard à couper le souffle du mont sacré Uluru a été capturé grâce au premier drone autorisé à le survoler. Anciennement connu sous le nom d’Ayers Rock, Uluru est d’une grande importance spirituelle pour le peuple local des Anangus. Le monolithe vieux de 600 millions d’années est long de 3,6 km et culmine à 348 m. Cependant le rocher emblématique d’Australie que nous voyons n’est que le sommet de l’énorme monolithe qui se poursuit sous le sol sur éventuellement 5 à 6 km. Il fait en effet partie de cette immense formation rocheuse souterraine qui comprend également Kata Tjuta. La vidéo a été mise en ligne par Voyages Indigenous Tourism Australia...Qui a obtenu l’autorisation de survol par le Bureau de gestion du Parc National Uluru-Kata Tjuta, qui s’efforce de respecter les valeurs des aborigènes. Les Anangus sont les aborigènes du centre et de l’ouest de l’Australie, et gardiens protecteurs traditionnels du site. Clic..............Never before seen bird's-eye view of Uluru by Gaainger Films - Drone Film Festival ANZ 16 from Drone Film Festival ANZ on Vimeo.
« Nous sommes ravis de présenter cette nouvelle perspective exclusive d’un des plus étourdissants paysages de la terre, et nous remercions les aborigènes pour leur soutien, » a déclaré Andrew Williams, le PDG de Voyages Indigenous Tourism Australia. « Nous espérons que cette vidéo va encourager les voyageurs d’Australie et de partout dans le monde à venir découvrir Uluru par eux-mêmes. » Uluru, Un Mont Sacré Très TouristiqueL’autorisation donnée par les aborigènes revêt un caractère exceptionnel car Uluru est, depuis les années 1940, devenu une destination touristique qui attire quelque 400.000 touristes chaque année. Problème, bon nombre d’entre eux escaladent le monolithe sacré, provoquant réactions et contrariétés chez les aborigènes qui estiment que les entités à l’origine de la création du monde se sont réfugiées sous les grandes formations rocheuses comme Uluru. Uluru, aussi connu sous le nom d'Ayers Rock, est un inselberg en grès situé dans le Territoire du Nord, au centre de l'île principale de l'Australie. Il s'élève à 348 mètres au-dessus de la plaine.Wikipédia
Quand Nemo, le chien du couple Macron, urine dans un salon de l'Elysée Le labrador noir croisé de griffon adopté par le couple présidentiel s'est laissé aller pendant une réunion entre le président de la République et trois membres du gouvernement. La réunion a été brutalement interrompue. Alors qu'Emmanuel Macron s'entretenait avec trois membres du gouvernement (Benjamin Griveaux, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie et des Finances, Julien Denormandie, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Cohésion des territoires, et Brune Poirson, secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire), le chien du couple présidentiel a levé la patte pour se soulager contre une cheminée d'un salon de l'Elysée. Les secrétaires d'Etat se mettent à rire en regardant Nemo uriner. Et Emmanuel Macron s'amuse d'un "un truc assez exceptionnel". "Quel est ce bruit ?" sourit Brune Poirson quand Julien Denormandie interroge : "Ça arrive souvent ?" "Non", répond le chef de l'Etat. "Vous avez déclenché chez mon chien un comportement totalement inhabituel", poursuit-il en invitant à reprendre le cours de la réunion.
Le trésor architectural de l'église ND du Travail ! De la rue, rien ne laisse présager ce que l'intérieur nous réserve. L'Église Notre-Dame du Travail, située à quelques encablures de la Gare Montparnasse, nous montre en effet une façade en pierre de taille, inspirée du style roman et relativement sobre. Jolie certes, mais finalement peu originale si on la compare à d'autres lieux de culte parisiens, comme Notre-Dame-de-Compassion ou Saint-Jean-de-Montmartre. Et pourtant, l'intérieur nous réserve quelques surprises ! Une église dédiée aux travailleurs :
Construite entre 1897 et 1902, l'Église Notre-Dame-du-Travail est née de la volonté du nouveau prêtre de la paroisse, l'abbé Soulange-Bodin, d'ériger un lieu qui puisse unir la religion aux travailleurs de toutes les classes, du plus humble des ouvriers à l'industriel riche et prospère. L'église devait remplacer celle de Notre-Dame-de-Plaisance, devenue trop petite pour accueillir comme il se doit les nombreux habitants venus s'installer dans ce quartier pauvre de la capitale. Tous les vitraux, tableaux et sculptures présents au sein de cette étonnante église rendent ainsi hommage aux travailleurs et à la condition ouvrière. sculpture de Notre Dame du travail a été réalisée en 1897 par Camille Lefebvre.
La Vierge tient sur ses genoux des outils de fileuse tandis que Jésus tient un outil de charpentier. La base de la statue est recouverte d'objets évoquant quelques métiers très pratiqués à l'époque. Ce tableau réalisé par Joseph Uberti représente Saint Éloi, le patron des ouvriers métallurgistes (1899
Une église « industrielle » construite avec des matériaux de récupération :
En plus d'être la seule église parisienne construite à destination de la classe ouvrière, l'Église Notre-Dame-du-Travail a la particularité d'être érigée autour d'une insolite construction en fer. Les murs latéraux et ceux du presbytère sont en moellons, une pierre calcaire tendre et légère qui provient de l'ancien abattoir de Grenelle, tandis que la charpente, elle, est entièrement métallique. L'Église Notre-Dame-du-Travail reflète ainsi l'époque durant laquelle elle a été construite. Nous sommes à la fin du XIXe siècle, la Tour Eiffel vient de voir le jour, tout comme la nouvelle Gare d'Orsay. Chacun de ces deux édifices donne une place prépondérante au fer et utilise des techniques qui permettent d'aérer et d'alléger les constructions. L'architecture intérieure de l'église reprend le même principe : une toiture légère, des poutrelles apparentes et des arceaux en fer.
Les 135 tonnes de fer qui ont servi à la construction proviennent principalement du Palais de l'Industrie, ancien édifice construit pour l'exposition universelle de 1855 et détruit en 1896, au début de la construction de l'église, pour laisser place aux Petit et Grand Palais. L'utilisation du métal permet non seulement d'aérer l'espace, mais, selon l'abbé Soulange-Bodin lui-même, il offre également aux ouvriers de la paroisse un cadre familier, plus proche de celui qu'ils connaissent dans leurs usines, halles et autres édifices utilitaires de l'époque. Une étonnante architecture qui sert un singulier dessein, l'Église Notre-Dame-du-Travail mérite clairement le détour !
Escalier sculptural dans les Bureaux de LVMH Pour la conception de ses nouveaux bureaux du pôle média, LVMH a fait appel à la vision artistique toujours innovante du designer français Ora Ito. Abritant les bureaux des journaux comme Le Parisien et Les Echos, ce site parisien de quatre étages se situe dans le 15èmearrondissement, 10 rue de Grenelle. Ora Ito a conçu l'intérieur avec une esthétique globale minimaliste, ponctuée par un escalier central dynamique. Construit avec des panneaux de bois empilés verticalement, cet escalier original serpente à travers la zone de réception, les espaces de travail, l'auditorium et la cantine. Le concepteur décrit la composition modulaire comme ressemblant à un serpent, « une sculpture paramétrique qui accroche le regard avec une structure biomorphique, comme une tornade dans un environnement de bureau serein. » Cette addition inspirée par la nature ajoute une caractéristique décorative frappante à une fonction autrement simpliste, orientée bureau. Comme la forme de l'escalier semble se transformer à travers les niveaux, Ora Ito établit un dialogue créatif entre l'architecture du bâtiment et ceux qui y travaillent
1856. Décès à Neuilly-sur-Seine du poète français Théophile Gautier. *********** 1985. Le RAID est fondé. Cette unité d'élite de la police nationale a été créée pour de répondre aux situations les plus graves telles que les prises d'otages, l'interpellation d'un forcené ou encore les arrestations à haut risque. Sa devise est «Servir sans faillir ************ 2001. Le premier iPod est lancé par Apple. Grâce à son design révolutionnaire, il s'impose comme la référence des lecteurs MP3. Il connaîtra plusieurs évolutions (iPod Mini, iPod Shuffle, l'iPod Touch) avant qu'Apple ne retire l'iPod Classic de la vente le mois dernier. Près 375 millions d'exemplaires se seraient écoulés en treize ans **********
23 octobre 1851 Naissance d'André Chantemesse Né au Puy en Haute-Loire, cet élève de Louis Pasteur fut aussi le médecin qui assista le grand savant dans ses dernières heures. Fils d'un négociant en dentelles, après des études au collège d'Aurillac où il cotoya Émile Roux, autre future sommité de l'Institut Pasteur, Il suivit dans un premier temps les traces de son père, travaillant dans l'industrie de la dentelle à Paris entre 1871 et 1875. Ce n'est qu'à l'âge de 25 ans qu'il décida brusquement de commencer des études de médecine. Le " sérum de Chantemesse", première sérothérapie contre la typhoïde De retour à Paris, il intègra l'équipe pasteurienne des médecins du service de la rage. En 1886 , il entreprit des travaux sur ce qui deviendra son cheval de bataille : la fièvre typhoïde. Il put ainsi constater en 1887 que les épidémies de fièvre typhoïde coïncident avec les distributions d'eau de la Seine à Paris, puis en 1896 le rôle "typhogène" de certaines huîtres et aussi, en 1902, le rôle des porteurs latents de bacille. Dès 1888, il mit au point la première méthode de sérothérapie contre la typhoïde - le sérum de Chantemesse - en collaboration avec Fernand Widal. En 1890, membre de l'Assemblée de l'Institut Pasteur, il commença à soigner Louis Pasteur et l'assistera jusqu'à son dernier souffle. En 1897, il est nommé professeur de pathologie expérimentale et comparée à la faculté de médecine de Paris. Élu membre de l'Académie de médecine en 1901, il créa et dirigea à partir de 1906 une revue mensuelle " L'hygiène générale et appliquée".
André Chantemesse mourut le 25 février 1919 de la grippe espagnole. ************ 1817 Naissance de Pierre Larousse à qui l'on doit le dictionnaire Pierre Larousse était un pédagogue, un encyclopédiste et un éditeur français. Il est surtout connu pour les dictionnaires qui portent son nom, dont Le Petit Larousse. Il fonda en 1852 une maison d'édition, la Librairie Larousse, qui se développa rapidement. Son œuvre majeure fut le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle, en 17 volumes, qu'il mit onze ans à écrire. *********** 1844 Naissance de Sarah Bernhardt Henriette-Marie-Sarah Bernhardt, née à Paris et morte dans la même ville le 26 mars 1923, est une des plus importantes actrices françaises du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
Appelée par Victor Hugo « la Voix d'or », mais aussi par d'autres « la Divine » ou encore l'« Impératrice du théâtre », elle est considérée par beaucoup comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIXe siècle. Première « star » internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l'expression de « monstre sacré *********** 1944 La Grande-Bretagne, les États-Unis et l'URSS reconnaissent officiellement le gouvernement du général de Gaulle De Gaulle qui réussit à contrôler les différents groupes de résistants, apporta une aide considérable aux alliés en rétablissant un pays calme et assurant sa coopération à l'arrière des armées américaines et anglaises. Il procéda aussitôt au ravitaillement du pays, à la réorganisation de l'armée et à l'armement de nouvelles divisions qui allaient se battre en Allemagne et en Autriche aux côtés des alliés. La France reprenait enfin sa position diplomatique parmi ses alliés. Son gouvernement enfin était considéré comme légitime par tous. ********** 1958 Une 1ère aventure des Schtroumpfs est publiée dans « Spirou La première apparition des Schtroumpfs se produit dans l'épisode des aventures de Johan et Pirlouit La flûte à six trous, prépublié dans Le Journal de Spirou le 23 octobre 1958 et dont le nom en album devint La Flûte à six schtroumpfs. On y rencontre une peuplade de lutins bleus à bonnets blancs vivant dans un village de champignons et parlant le langage schtroumpf. Johan et Pirlouit viendront encore rendre visite aux schtroumpfs dans l'épisode intitulé Le pays maudit. Les schtroumpfs viendront également leur prêter main forte dans les albums La guerre des 7 fontaines, Le sortilège de Maltrochu, La horde du corbeau et La Nuit des Sorciers.
Puis dès 1959, les Schtroumpfs vécurent leurs propres aventures dans Spirou, d'abord sous la forme de sept mini-récits(Les Schtroumpfs noirs (1959), Le Voleur de Schtroumpfs (1959), L'Œuf et les Schtroumpfs (1960), Le Faux Schtroumpf(1961), La Faim des Schtroumpfs (1961), Le Centième Schtroumpf (1962), et Le Schtroumpf volant (1963), albums de quarante-huit pages chacun, à monter soi-même), qui seront réédités sous mini-couvertures cartonnées à partir de 2004(trois coffrets de deux mini-albums par les éditions Niffle) (Spirou récidivera avec le mini-récit Le Bébé Schtroumpf, tiré d'images du dessin animé en 1984). Jusque-là, on ne voyait que le Grand schtroumpf et les petits schtroumpfs, apparemment tous identiques. Les différences physiques et de caractère (schtroumpf à lunettes, farceur, costaud, etc.) n'apparaissent — progressivement — qu'au moment où les schtroumpfs commencent à avoir leurs propres histoires
La plus belle église de Paris A quelques mètres du Panthéon se trouve l'église Saint-Etienne-du-Mont. Outre son style qui nous intrigue, elle renferme des trésors inattendus. Construite au XVIème siècle, l'église Saint-Étienne-Du-Mont a été édifiée pour répondre à un fort accroissement de la population. En effet, des religieux venaient en nombre aux alentours d'une importante abbaye se trouvant rue Clovis où reposait Sainte-Geneviève. L'église s'est donc construite accolée à L'abbaye Sa construction commence en 1492 et ne se termine qu'en 1626. On assiste alors à l'évolution du style lors de la construction, passant du Gothique à la Renaissance. Cela se remarque dans la façade de la bâtisse (construite de 1610 à 1622), unique en son genre, mais qui se révèle, finalement, être un ensemble harmonieux. Nous observons un décor datant de la Renaissance qui s'intègre à une structure héritée du Moyen Age, en trois parties élevées Le Panthéon est construit par la suite en l'honneur de Sainte-Geneviève, remplaçant ainsi l'ancienne abbaye en ruine. Cette dernière est définitivement fermée pendant la Révolution française. C'est alors à l'église Saint-Etienne-Du-Mont qu'est fait l'honneur d'accueillir les reliques de Sainte Geneviève à partir du XIXème siècle. Cependant, en 1793, l'église est pillée par les révolutionnaires et les restes de la sainte brûlée sur la Place de Grève, tristement connue pour ces exécutions. Seul vestige de la sainte, un morceau de l'ancien sarcophage, où elle avait reposé jusqu'au IXème siècle, a été retrouvé par le curé de l'église en 1803. Il est aujourd'hui exposé dans le reliquaire en cuivre à l'intérieur de l'église. Un patrimoine ... et une histoire exceptionnelle :
L'église Saint-Etienne-Du-Mont prend une place centrale dans le quartier. Ce mélange de style n'est pas le seul trésor que possède cette église. A l'intérieur, un superbe jubé, dernier témoin d'une époque révolue à Paris, trône fièrement. Il s'agit d'une sorte de tribune qui forme une séparation de pierres entre la nef, où sont présents les fidèles, et le chœur réservé au clergé uniquement Apparu en France au XIIème siècle, il avait pour seul but cette séparation. Suite à une réforme liturgique, cet attribut devient vain à partir du XVIème siècle et provoque une modification de l'architecture des églises. Aujourd'hui, le chœur doit être visible des fidèles, ce qui a eu pour conséquence de condamner les jubés à la destruction. C'est la chaire à prêcher qui le remplace. Cependant ce travail de destruction prend des siècles, ainsi les derniers jubés disparaissent les uns après les autres jusqu'au XIXème siècle. Encore de nos jours, il n'est pas rare de voir les traces des jubés dans les églises. On les remarque par des poutres de soutien ou encore des portes murées. Rares sont les églises en France à disposer encore d'un jubé. À Paris, il n'en reste qu'un et c'est celui de Saint-Etienne-Du-Mont !
La force cachée des plantes : prouesses du monde végétal. De la plante verte décorative, qui trône dans un hall d’immeuble ou une salle d’attente, aux herbes médicinales que nous prenons comme remèdes, en passant par toute la panoplie des plantes sauvages qui prolifèrent dans la nature et jusque dans la moindre fissure de l’asphalte, le moinsque l’on puisse dire est que nous côtoyons sans cesse le monde végétal.Mais nous lui prêtons-nous vraiment toute l’attention qu’il se doit ? Pas si sur… En effet, nous avons tendance à considérer les plantes comme les grandes perdantes du jeu de l’évolution. Privées de cerveau, incapables de voir, de sentir, d’entendre, de communiquer, inaptes à se déplacer pour éviter un danger ou se protéger de l’attaque d’un prédateur, elles nous apparaissent comme des êtres vivants particulièrement vulnérables et fragiles. C’est pourtant sans connaître la force cachée des plantes que nous les jugeons de la sorte. Astucieuses, ingénieuses, inventives pour certaines, séductrices pour d’autres, elles excellent à composer avec leur environnement, que ce soit pour optimiser l’utilisation de ses ressources ou pour se protéger contre ses dangers et ses pièges. Pour cela, certaines plantes repoussent leurs ennemis au moyen d’armes extraordinaires, tandis que d’autres développent entre elles des stratégies d’intervention, ou bien "chassent" leurs proies… Des gardes du corps agressifs des acacias mexicains aux plantes carnivores de Bornéo en passant par les orchidées séductrices de Majorque, ce documentaire nous emmène à la découverte de quelques-unes de ces espèces extraordinaires.
. Pousser vers le haut
Le sens de la pesanteur est un mécanisme essentiel chez les animaux. En effet, sans cette capacité à distinguer le haut et le bas, ils seraient incapables de tenir debout. Mais qu’en est-il des plantes ? Une expérience réalisée avec des tulipes plantées dans un pot retourné fixé àun plafond montre qu’elles sont capables de se retourner pour continuer à pousser vers le haut. Pour expliquer ce phénomène étonnant, les chercheurs se sont intéressés aux algues charophytes. Ces plantes aquatiques assez répandues sont capables de se régénérer lorsqu’elles ont été coupées, développant une sorte de racine depuis leur partie tronquée pour s’enraciner dans le sol. L’étude de cette cellule radiculaire au microscope montre qu’elle est se fraie un chemin vers le bas au moyen de petits cailloux lourds, appelés statolithes, fixés à sonextrémité. Plus denses que le cytoplasme, ceux-ci sont capables de se sédimenter suivant la force gravitationnelle, et d’indiquer ainsi à la racine la direction à prendre, vers le bas. Dans l’expérience à laquelle nous assistons, les chercheurs modifient la position d’un fragment d’algue charophyte en train de repousser, plaçant celui-ci à l’horizontale. Les statolithes réagissent immédiatement en corrigeant sa trajectoire : en raison de la contrainte qu’ils exercent, sa paroi inférieure pousse plus vite que sa paroi supérieure, obligeant la racineà se courber jusqu’à ce qu’elle ait repris sa progression vers le bas. Les plantes poussent donc en tenant compte de la gravité. Cette loi vaut aussi bien pour la racine que pour la tige, bien que l’une et l’autre poussent en sens inverse. Mais pourquoi poussent-elles ? La séquence suivante s’intéresse à la vesce des haies, une plante grimpante aux feuilles pennées, aux fleurs bleu violacé, en grappes sur de courts pédoncules, qui fleurit de mai à novembre. Pour se développer dans son environnement, celle-ci utilise un véritable « sens du toucher » qui lui permet de grimper en spirale en s’aidant des autres végétaux présents, autour desquels elle enroule ses vrilles. Des images accélérées très spectaculaires nous permettent d’assister à l’une de ces ascensions. En haut, la plante trouve un espace plus dégagé, et donc plus de lumière, synonyme d’énergie pour elle.
. Plante flaireuse
La vesce est loin d’être la seule espèce capable de développer des trésors d’agilité pour accéder à l’énergie nourricière. D’autres végétaux disposent même de techniques bien plus spectaculaires. Ainsi, la cuscute (cuscuta, famille des Convolvulacées), plante parasite de la tomate, est capable, dès sa sortie de terre, de repérer un plant de son hôte en balayant l’espace qui l’entoure à la manière d’un tentacule. Une fois ce contact avec l’hôte établi, le parasite va s’y enrouler et commencer à se développer en pompant son énergie vitale. Pour agir de lasorte, la cuscute est littéralement capable de « flairer » son hôte, comme va le mettre en évidence une expérience effectuée par les scientifiques. Ceux-ci ont extrait l’arôme de plants de tomates placés sous cloche en pompant l’air au moyen de sondes reliées à des filtres chargés de capturer les molécules odorantes. Mélangée à de l’eau distillée, cette essence est ensuite recueillie dans un petit récipient et placée à proximité d’un germe de cuscute, tandis qu’un vrai plant de tomate placé sous cloche, donc isolé olfactivement, vient compléter le dispositif mis au point par les chercheurs. Le résultat, présenté en images accélérées, est édifiant : le germe semble humer l’air, hésitant entre le plant de tomate et le leurre parfumé, avant de s’attacher à celui-ci, trompé par l’odeur de sa proie présumée. Pour les scientifiques, cela signifie que la cuscute a un comportement très sophistiqué, qu’on ne s’attendrait pas à trouver chez les plantes, mais plutôt dans le règne animal. Comme un prédateur, la cuscute flaire en effet sa proie, l’attaque, et se nourrit d’elle.
. Plantes carnivores
Dans la nature, chaque ressource alimentaire est exploitée au maximum tout au long de la chaîne alimentaire. Il en va autrement pour les plantes, qui produisent de l’énergie par photosynthèse, c’est-à-dire en utilisant la lumière du soleil, et vont chercher dans l’air et dans le sol les autres substances dont elles ont encore besoin pour se nourrir :azote, minéraux, etc. Du moins est-ce ainsi que les choses fonctionnent en temps normal. Mais dans certaines situations, les plantes sont capables de déroger à ce schéma, se dotant alors de véritables armes qui leur permettent de palier à certaines insuffisances ou carences de leur milieu naturel. C’est le cas de l’utriculaire jaune (Utricularia tenuicaulis, famille des Lentibulariaceae). Cette plante dépourvue de racines vit dans les milieux marécageux, généralement pauvres en minéraux : un désastre pour les végétaux présents. Pour remédier à cette carence, les feuilles de l’utriculaire sont dotées de petites cavités – appelées utricules – équipées de poils hérissés qui déclenchent la dilatation soudaine de l’utricule dès qu’un insecte aquatique passe à proximité. La proie est alors aspirée dans cette poche qui sécrète des enzymes de digestion capables de la dissoudre en moins de deux heures. En adoptant des habitudes animales de prédation, l’utriculaire trouve ainsi les minérauxqui sont absents dans son milieu naturel. Mais l’utriculaire fait pâle figure comparée au nepenthes à bord blanc (Nepenthes albomarginata, famille des Népenthacées) une plante carnivore que l’on trouve dans les forêts marécageuses de Bornéo, et qui est capable de capturer plus de 6000 insectes par heure ! Les termites, qui foisonnent dans la forêt tropicale, sont les principales victimes de cette plante, qui utilise un leurre olfactif pour attirer les éclaireuses de la colonie de termite jusqu’à son bord piégeur. Celui-ci constitue une nourriture riche en protéines que les premiers termites arrivés déchiquètent avec leurs mandibules, provoquant une véritable ruée vers cette manne qui ne tarde pas, sous l’affluence, à se transformer en piège mortel. La cohue des insectes provoque en effet de nombreuses chutes sur la paroi interne glissante de la plante, permettant à celle-ci de piéger des milliers de termites qui lui apporteront sa ration quotidienne de minéraux.
. Autodéfense
Aussi redoutable qu’il soit, le nephentes n’en demeure pas moins à la merci de certains prédateurs naturels, tels le charançon, qui fait son régal des plus jeunes pousses de cette plante carnivore. Pour pallier à des dangers de ce type, certaines plantes ont donc appris à développer leurs propres moyens de défense. C’est le cas de l’acacia (famille des Fabacées), dont le feuillage particulièrement prisé par les animaux de pâturage est protégé par des épines acérées, qui les dissuadent de venir brouter. Mais ces épines ne peuvent rien contre certains insectes qui parasitentl’acacia. Pour se protéger d’eux, l’arbuste a donc « imaginé » une collaboration particulièrement originale avec une espèce de fourmis très belliqueuses qui pullulent dans ses branches. En cas d’agression par d’autres insectes, celles-ci se précipitent en masse sur les intrus, provoquant leur débandade.En échange, l’acacia offre le gîte et le couvert à ses sentinelles vigilantes. Ses épines creuses sont idéales pour la ponte et l’élevage des œufs de la colonie ; ses feuilles sécrètent des corpuscules orange, particulièrement riches en protéine, qui constituent la nourriture de prédilection des fourmis. L’acacia pousse même la bienveillance vis-à-vis de ses troupes de choc jusqu’à fabriquer un nectar contenant un suc spécial, facile à digérer pour les fourmis, à l’intérieur de petites cupules dont sont dotées ses branches. Les insectes ne sont pas les seuls à faire les frais de cette vigilance. Les fourmis s’attaquent également à toutes les plantes grimpantes qui tentent d’envahir l’acacia, éventrant leurs tiges avec leurs mandibules afin qu’elles se vident de leur sève et se dessèchent. On voit ainsi se constituer autour de l’arbuste un véritable écosystème miniature fonctionnant sur le modèle du donnant-donnant : l’acacia constitue le cadre de vie idéal pour les fourmis, qui assurent sa protection en échange.
. Reproduction
Pour assurer leur survie, les plantes ont également besoin de se reproduire. Elles n’ont pas besoin de rapports sexuels directs, mais cela ne simplifie par pour autant les choses. En effet, comment s’accoupler quand le partenaire est loin et inaccessible ? Pour surmonter l’obstacle de leur immobilité, certaines plantes savent toutefois faire preuve de beaucoup d’imagination. Elles utilisent pour cela des fleurs aux couleurs chatoyantes et aux formes attirantes pour les insectes butineurs. Ces fleurs abritent des grains de pollens qui contiennent les gènes mâles – l’équivalent des spermatozoïdes – prêts à être « expédiés » via ces petits messagers volants, qui les transporteront jusqu’aux stigmates femelles prêts à êtres fécondés d’autres fleurs : c’est le processus de pollinisation. En échange de leurs bons et loyaux services, les insectes reçoivent du nectar fabriqué par la plante : c’est le principe du donnant-donnant appliqué à la sexualité des végétaux. D’autres plantes disposent de moyens encore plus subtils pour être fécondées. C’est le cas de l’arum (famille des Araceae),dont les fleurs sont produites à l’intérieur d’un spadice aux propriétés calorifères. La nuit venue, celui-ci affiche environ dix degrés de plus que la température ambiante et sécrète une substance à l’odeur de pourriture et d’excréments. La chaleur répand l’odeur pestilentielle autour de l’arum, attirant une kyrielle de mouches, qui se retrouvent alors piégées au fond du spadice dont les parois lisses empêchent toute évasion. La seule zone sure de cette prison est une espèce de grappe contenant les stigmates femelles de l’arum, qui produisent des gouttelettes sucrées dont se gavent les mouches. Juste au-dessus de cette grappe, un autre dispositif de la plante fabrique du pollen, saupoudrant les prisonnières, qui vont être entièrement recouvertes par cette pluie jaune. A la fin de la nuit, le spadice finira par s’ouvrir, libérant les insectes couverts de pollen. Une fois à l’air libre, ceux-ci s’empresseront de retomber dans le même piège tendu par un autre arum, dont le spadice chaud attend ses pollinisateurs. Toujours dans le domaine des attirances, certaines plantes jouent la carte de l’attrait sexuel pour tromper leurs insectes pollinisateurs. L'Ophrys miroir (Ophrys speculum, famille des Orchidaceae), une orchidée terrestre européenne, possède ainsi des fleurs qui imitent à la perfection les formes et les ailes déployées d’une guêpe femelle. Ce leurre attire irrésistiblement les mâles, qui tentent de copuler avec l’ophrys, s’enduisant au passage de pollen. De fleurs en fleurs, ils féconderont ainsi les orchidées au fil de leurs tentatives de copulation.
. Sélection naturelle
Les fleurs ne sont pas seulement capables de se donner l’apparence d’insectes ou d’animaux. Comme eux, elles sont aussi en lutte permanenteavec des rivaux de la même espèce pour assurer leur descendance. En effet, la pollinisation n’est que la première étape d’un long processus de fécondation qui va mettre en compétition les grains de pollen présents sur le stigmate de la fleur. Leur matériel génétique doit en effet atteindre l’ovule, qui se trouve bien plus bas, dans l’ovaire, sous la fleur. Pour parvenir jusqu’à cet endroit stratégique, un fin tube pousse sur chaque grain de pollen, traversant le stigmate et poursuivant son cheminvers l’ovule. Les gènes mâles se trouvent à la pointe de ces longs tentacules qui s’étirent à travers la plante, et chacun d’eux essaie d’arriver à destination le plus vite possible. Une course sans merci se déroule alors dans les profondeurs de la plante, le premier appendice atteignant l’ovaire gagnant seul le droit de le féconder. De cette unionnaîtra le fruit de la plante : aigrettes chez le pissenlit, fruits à appendices chez le bec-de-grue, capsules chez l’impatience, etc.
. Semer à tout vent
Toutes les plantes portent ainsi en elles leur propre descendance, et toutes ont en commun d’essayer de disperser cette semence dans la nature afin d’assurer la survie de l’espèce. Dans ce domaine, elles rivalisentd’ailleurs d’ingéniosité. Le pissenlit mise sur la force motrice du vent pour éparpiller ses aigrettes, qui peuvent ainsi être transportées sur de très longues distances, portées par les courants d’air. Le bec-de-grue,ou erodium, dispose d’une toute autre stratégie.Une fois arrivés à maturité, ses fruits aux appendices en spirale se mettenten branle dès qu’ils touchent le sol. Si celui-ci est humide, leur spirale se déroule, permettant à la semence située à la pointe de se planter elle-même dans la terre. Des images très spectaculaires de ce procédé, filmées en caméra accélérée, illustrent cette partie du documentaire. D’autres plantes préfèrent la zoochorie, terme qui désigne un mode de dispersion de leurs graines par le biais des animaux. La bardane (famille des Asteraceae), fait partie de ces espèces : ses graines à l’apparence de petites bouloches dotées de crochets souples s’accrochentfacilement au pelage des animaux, qui les transportent ensuite sur de longues distances, favorisant ainsi leur dispersion. La violette procède quant à elle de manière encore plus spectaculaire. Lorsqu’ils sont murs, ses fruits en forme d’étoile à trois branches s’ouvrent et éjectent leurs graines dans la nature grâce à une « mâchoire » qui se referme sur leur base. Sur un mode similaire, les fruits du concombre sauvage se comportent comme de véritables petites bombes. A la moindre secousse, ils se détachent du pied, projetant la sève qui transporte leur semence jusqu’à dix mètres à la ronde. L’impatience est encore plus sensible au contact : il suffit d’une goutte d’eau pour faire exploser la capsule de son fruit, catapultant ainsi ses semences autour d’elle. Au grand jeu de la vie, les plantes s’en sortent donc étonnamment bien. Adaptables à de nombreux environnements, capables de développer des stratégies complexes qui leur permettent de se prémunir contre les dangers naturels ou les prédateurs, et dotées de techniques de diffusion de leur semence d’une efficacité imparable, il se pourrait même qu’elles soient bien mieux armées que la plupart des animaux, au premierrang desquels se trouve l’homme, pour résister à des changements de grande ampleur qui pourraient bien affecter notre planète d’ici quelquessiècles. L’avenir de la Terre serait-il végétal ?
EN RÉSUMÉ : Servi par un montage très dynamique, ce documentaire composé d’une succession de mini séquences consacrées aux différents aspects de la vie végétale – développement, déplacement, alimentation, moyens de défense, etc. – laisse la part belle aux images très spectaculaires de plantes remarquables filmées dans leur environnement. La technique des prises de vue accélérées donne vie à ces tiges, feuilles, corolles, pétales et autres racines que nous avons tort de croire immobiles. Devant la caméra, toujours judicieusement placée, s’exécutent ainsi de fantastiques ballets végétaux qui nous emmènent au cœur de cette vie secrète et foisonnante que nous côtoyons sans jamais la voir vraiment.
Le commentaire accompagne parfaitement cette plongée au cœur de l’univers végétal, permettant d’appréhender sa complexité à travers des explications simples et des analogies avec le monde animal judicieusement choisies. Seul bémol cependant : cette énumération de techniques et de procédés spectaculaires mis en œuvre par les végétaux pour assurer leur survie ou leur reproduction ne répond jamais à la question lancinante que nous nous posons devant la démonstration d’une telle ingéniosité : les plantes agissent-elles de la sorte mues par un seul principe mécanique, ou faut-il envisager la possibilité qu’elles soient dotées d’un embryon de conscience, voire d’une forme d’intelligence radicalement différente de la notre ?
La valeur d'enseigner aux enfants à dire "merci", "s'il vous plaît" ou "bonjour".
Transmettre aux enfants l'importance de remercier, "demander s'il vous plaît" ou dire "bonjour" ou "bon après-midi", dépasse un simple acte de courtoisie. Nous investissons dans les émotions, dans les valeurs sociales et surtout dans la réciprocité. Afin de créer une société fondée sur le respect mutuel, dans laquelle la civilité et la considération font la différence, il faut investir dans ces petites coutumes sociales auxquelles nous ne donnons parfois pas l'importance qu'elles méritent. Parce que la coexistence est finalement basée sur l'harmonie, sur ces interactions de qualité basées sur la tolérance où chaque enfant doit être initié dès son plus jeune âge. Je suis de la génération de remerciements, s'il vous plaît et bonjour, de la même chose qui n'hésite pas à dire un «Je ressens» quand cela est nécessaire. Qualités toutes celles que je ne doute pas de transmettre chez mes enfants, car éduquer dans le respect est d'éduquer avec amour.
Une erreur dans laquelle de nombreuses familles tombent souvent consiste à initier les enfants dans ces règles de courtoisie lorsque les petits commencent à parler. Maintenant, il est intéressant de savoir que le «cerveau social» d'un bébé est extrêmement réceptif à tout stimulus, tonique et même aux expressions faciales de son père et de sa mère. Croyez-le ou non, nous pouvons éduquer un enfant en valeurs dès les premiers âges. Ses compétences sont presque insoupçonnées et nous devons profiter de cette grande sensibilité en matière émotionnelle. Nous en parlerons.
La réciprocité, une valeur sociale du poids
Quand un enfant découvre enfin ce qui se passe dans ses contextes les plus proches lorsqu'il demande des choses et conclut avec un merci, rien ne sera jamais le même. Jusqu'à présent, elle a été réalisée comme une norme pro-sociale régie par les adultes, ce qui a donné un renforcement positif pour leur bon comportement. "L'éducation ne change pas le monde, elle change les gens qui vont changer le monde" -Paulo Freire-
Cependant, tôt ou tard, il éprouvera l'effet réel de traiter l'égalité avec le respect, et comment cette action revient à lui-même. C'est quelque chose d'exceptionnel, un comportement qui vous accompagne pour toujours, car traiter les autres avec respect est aussi de se respecter,c'est agir selon des valeurs et un sentiment de coexistence basés sur un pilier social et émotionnel de poids: la réciprocité. Ce sera environ les 7 ans où nos enfants découvriront pleinement toutes ces valeurs qui forment leur intelligence sociale. C'est le moment où ils commencent à donner plus d'importance à l'amitié, à savoir ce que cette responsabilité affective implique, à comprendre et àjouir de la collaboration, à répondre aux besoins des autres et à des intérêts différents de leurs propres. C'est certainement un âge merveilleux où chaque adulte doit garder à l'esprit un aspect essentiel: nous devons rester le meilleur exemple pour nos enfants. Maintenant, la question magique est la suivante ... De quelle manière inculquons-nous chez nos enfants dès leur plus jeune âgeces règles de coexistence, de respect et de courtoisie? Nous proposons des stratégies simples à prendre en compte, des indications de base indiquant les enfants dans chaque situation. Il vaut la peine d'être pris en compte.
Est-ce que vous êtes arrivé ou êtes entré quelque part? Dites bonjour, dites bonjour ou bon après-midi. Tu t'en vas? Dites au revoir Vous ont-ils fait une faveur? Vous ont-ils donné quelque chose? Donner des remerciements. Est-ce qu'ils vous ont parlé? Réponder. Est-ce qu'ils te parlent? Ecoute. Avez-vous quelque chose? Partagez-le. Vous ne l'avez pas? Ne pas envier. Avez-vous quelque chose qui n'est pas le vôtre? Récompensez-le. Voulez-vous qu'ils vous fassent quelque chose? Demandez-le. Vous avez tort? Excusez-moi. Des règles simples qui, sans aucun doute, vous seront d'une grande aide au jour le jour.
Troubles cardiaques et défibrillateur. (Exemple ci-dessous) Parmi les troubles cardiaques graves pouvant conduire au décès du patient, la fibrillation ventriculaire qui entraine une activité anarchique du myocarde par des accélérations brutales du rythme cardiaque peut conduire à un arrêt cardiaque. Or, agir vite est nécessaire et les secours peuvent parfois arriver trop tard. C’est pourquoi, de plus en plus de lieux publics font l’acquisition d’un défibrillateur, ce qui permet, dans bien des cas de sauver des vies. Explications. Défibrillateur : un fonctionnement simplifié à la portée de tous. Autrefois réservé aux professionnels de la Santé comme les pompiers, le SAMU, les infirmiers et les sauveteurs, le défibrillateur cardiaque a été simplifié et peut être utilisé par le grand public. Appareil simple à utiliser et notice explicative très documentée : il nereste plus qu’à composer le 15 (ou le 112 pour l’Europe) si vous êtes en présence d’une personne présentant les symptômes du malaise cardiaque, puis de procéder vous-même à la défibrillation du malade. De nos jours, les défibrillateurs disponibles sur le marché sont de plusieurs sortes : ● Pour les professionnels uniquement : o Le défibrillateur implantable (utilisé en chirurgie), o Le défibrillateur automatisé externe (DAE) qui fonctionne sur une batterie. ● Pour une utilisation publique : o Le défibrillateur semi-automatique (DSA):facile d’utilisation, la personne qui va l’utiliser n’aura qu’à suivre les instructions données et devra simplement appuyer sur un bouton pour procéder à la défibrillation (choc électrique) après s’être assuré que personne d’autre n’est en contact physique avec le malade. o Le défibrillateur entièrement automatique (DEA): il s’agit d’un appareil offrant l’avantage de s’occuper de tout. Il suffit, pour la personne qui porte secours, d’éloigner les personnes du malade et d’enclencher l’appareil selon les instructions données. Les défibrillateurs destinés au public ne nécessitent aucune formation préalable. Tout le monde peut donc être capable d’opérer une défibrillation cardiaque, ce qui va permettre de gagner des minutes précieuses et de sauver une vie. Attaques cardiaques : quels sont les signes avant-coureurs ? Une personne qui se fait suivre régulièrement pour des troubles cardiaques doit tout d’abord suivre un régime particulier et se faire suivre régulièrement. Il n’est toutefois pas dit qu’une personne qui fait de la tachycardie ou qui présente des périodes d’arythmie soit plus exposée à une attaque, mais elle devra faire plus attention et se faire suivre médicalement. Les principaux signes qui ont pu être constatés lors d’un malaise cardiaque sont notamment : - Des nausées,- Des suées,- Une tendance à l’essoufflement, - Une forte douleur dans la poitrine, - Des douleurs irradiant au niveau du cou, de la mâchoire ou de l’épaule, - Des fourmillements dans le bras gauche,etc. Afin de ne pas confondre ces symptômes avec une autre maladie, il est essentiel de consulter au plus vite. Par exemple, un ou plusieurs symptômes, peuvent évoquer la maladie de Lyme et il conviendra de signaler à votre médecin si vous avez été récemment mordu par une tique. De même, un ou plusieurs symptômes énoncés ci-dessus peuvent être précurseur d’un Accident Vasculaire Cérébral (AVC). Dans le doute et à défaut de pouvoir établir précisément le diagnostic, l’urgence est de consulter rapidement un médecin.
Avec 423 m de chute, la grande cascade de Gavarnie est la plus grande d'europe. Mais c'est l'ensemble du cirque qui est gigantesque. L'érosiondes glaciers a laissé apparaître au cours du temps l'empilement des couches géologiques sur 1500 m de hauteur.
Au confin des pyrénées, ce lieu permet de réaliser de nombreuses randonnées du niveau facile (en bas dans le cirque le long de la rivière) au niveau expert/alpiniste (montée jusqu'au refuge de la brêche de roland). De ce refuge on peut rejoindre l'espagne qui se situe juste derrière la ligne de crêtes.
La visite du lieu en automne permet d'avoir de superbes couleurs dans les forêts de basse altitude et d'apercevoir les premières neiges sur les cimes à plus de 3000m (magnifique!). Attention cependant à bien, se couvrir car le soleil reste caché une grande partie de la journée derrière les murailles rocheuses et sommets et ne réchauffe que très peu les aventuriers qui rejoignent le pied de la cascade. La nature sauvage, le calme et la tranquilité sont au rendez vous à cette saison.
En revanche, mieux vaut ne pas trop s'aventurer en plein hiver en dehors des sentiers battus ou sans connaissance parfaite du site et des parois.Chacun se rappelera sans nul doute avoir déjà entendu le nom de "Gavarnie" dans la rubrique fait divers de nos JT (avalanches, accident d'escalade,...).
Le Mont Emblématique En Australie Pour Un Résultat Époustouflant !
Uluru, aussi connu sous le nom d'Ayers Rock, est un inselberg en grès situé dans le Territoire du Nord, au centre de l'île principale de l'Australie. Il s'élève à 348 mètres au-dessus de la plaine. Wikipédia
Un nouveau regard à couper le souffle du mont sacré Uluru a été capturé grâce au premier drone autorisé à le survoler.
Anciennement connu sous le nom d’Ayers Rock, Uluru est d’une grande importance spirituelle pour le peuple local des Anangus. Le monolithe vieux de 600 millions d’années est long de 3,6 km et culmine à 348 m.
Cependant le rocher emblématique d’Australie que nous voyons n’est que le sommet de l’énorme monolithe qui se poursuit sous le sol sur éventuellement 5 à 6 km.
Il fait en effet partie de cette immense formation rocheuse souterraine qui comprend également Kata Tjuta.
La vidéo a été mise en ligne par Voyages Indigenous Tourism Australia...Qui a obtenu l’autorisation de survol par le Bureau de gestion du Parc National Uluru-Kata Tjuta, qui s’efforce de respecter les valeurs des aborigènes.
Les Anangus sont les aborigènes du centre et de l’ouest de l’Australie, et gardiens protecteurs traditionnels du site.
Clic..............Never before seen bird's-eye view of Uluru by Gaainger Films - Drone Film Festival ANZ 16 from Drone Film Festival ANZ on Vimeo.
« Nous sommes ravis de présenter cette nouvelle perspective exclusive d’un des plus étourdissants paysages de la terre, et nous remercions les aborigènes pour leur soutien, » a déclaré Andrew Williams, le PDG de Voyages Indigenous Tourism Australia.
« Nous espérons que cette vidéo va encourager les voyageurs d’Australie et de partout dans le monde à venir découvrir Uluru par eux-mêmes. »
Uluru, Un Mont Sacré Très Touristique L’autorisation donnée par les aborigènes revêt un caractère exceptionnel car Uluru est, depuis les années 1940, devenu une destination touristique qui attire quelque 400.000 touristes chaque année.
Problème, bon nombre d’entre eux escaladent le monolithe sacré, provoquant réactions et contrariétés chez les aborigènes qui estiment que les entités à l’origine de la création du monde se sont réfugiées sous les grandes formations rocheuses comme Uluru.
Uluru, aussi connu sous le nom d'Ayers Rock, est un inselberg en grès situé dans le Territoire du Nord, au centre de l'île principale de l'Australie. Il s'élève à 348 mètres au-dessus de la plaine.Wikipédia
Altitude : 863 m
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Montagne sacrée
Inselberg
Sommet en Australie
Faites Votre Chemin Que vous souhaitiez vous détendre et vous imprégner du paysage, découvrir la culture ou faire de la randonnée, il y a beaucoup de chosesà faire.
Consultez nos itinéraires suggérés pour vous aider dans votre inspiration.
Quand Nemo, le chien du couple Macron, urine dans un salon de l'Elysée
Le labrador noir croisé de griffon adopté par le couple présidentiel s'est
laissé aller pendant une réunion entre le président de la République et
trois membres du gouvernement.
La réunion a été brutalement interrompue. Alors qu'Emmanuel Macron s'entretenait avec trois membres
du gouvernement (Benjamin Griveaux, secrétaire d'État auprès du ministre
de l'Économie et des Finances, Julien Denormandie, secrétaire d'Etat
auprès du ministre de la Cohésion des territoires, et Brune Poirson,
secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et
solidaire), le chien du couple présidentiel a levé la patte pour se
soulager contre une cheminée d'un salon de l'Elysée.
Les secrétaires d'Etat se mettent à rire en regardant Nemo uriner. Et Emmanuel Macron
s'amuse d'un "un truc assez exceptionnel". "Quel est ce bruit ?" sourit
Brune Poirson quand Julien Denormandie interroge : "Ça arrive souvent ?"
"Non", répond le chef de l'Etat. "Vous avez déclenché chez mon chien un
comportement totalement inhabituel", poursuit-il en invitant à
reprendre le cours de la réunion.
Le trésor architectural de l'église ND du Travail !
De la rue, rien ne laisse présager ce que l'intérieur nous réserve.
L'Église Notre-Dame du Travail, située à quelques encablures de la Gare
Montparnasse, nous montre en effet une façade en pierre de taille,
inspirée du style roman et relativement sobre. Jolie certes, mais
finalement peu originale si on la compare à d'autres lieux de culte
parisiens, comme Notre-Dame-de-Compassion ou Saint-Jean-de-Montmartre.
Et pourtant, l'intérieur nous réserve quelques surprises !
Une église dédiée aux travailleurs :
Construite entre 1897 et 1902, l'Église Notre-Dame-du-Travail est née de la volonté du nouveau prêtre
de la paroisse, l'abbé Soulange-Bodin, d'ériger un lieu qui puisse unir
la religion aux travailleurs de toutes les classes, du plus humble des
ouvriers à l'industriel riche et prospère. L'église devait remplacer
celle de Notre-Dame-de-Plaisance, devenue trop petite pour accueillir
comme il se doit les nombreux habitants venus s'installer dans ce
quartier pauvre de la capitale. Tous les vitraux, tableaux et sculptures
présents au sein de cette étonnante église rendent ainsi hommage aux
travailleurs et à la condition ouvrière.
sculpture de Notre Dame du travail a été réalisée en 1897 par Camille
Lefebvre.
La Vierge tient sur ses genoux des outils de fileuse tandis que Jésus tient un outil de charpentier. La
base de la statue est recouverte d'objets évoquant quelques
métiers très pratiqués à l'époque.
Ce tableau réalisé par Joseph Uberti représente Saint Éloi, le patron des ouvriers métallurgistes (1899
Une église « industrielle » construite avec des matériaux de
récupération :
En plus d'être la seule église parisienne construite à destination de la classe ouvrière, l'Église
Notre-Dame-du-Travail a la particularité d'être érigée autour d'une
insolite construction en fer. Les murs latéraux et ceux du presbytère
sont en moellons, une pierre calcaire tendre et légère qui provient de
l'ancien abattoir de Grenelle, tandis que la charpente, elle, est
entièrement métallique.
L'Église Notre-Dame-du-Travail reflète ainsi l'époque durant
laquelle elle a été construite. Nous sommes à la fin du XIXe siècle, la
Tour Eiffel vient de voir le jour, tout comme la nouvelle Gare d'Orsay.
Chacun de ces deux édifices donne une place prépondérante au fer et
utilise des techniques qui permettent d'aérer et d'alléger les
constructions. L'architecture intérieure de l'église reprend le même
principe : une toiture légère, des poutrelles apparentes et des arceaux
en fer.
Les 135 tonnes de fer qui
ont servi à la construction proviennent principalement du Palais de
l'Industrie, ancien édifice construit pour l'exposition universelle de
1855 et détruit en 1896, au début de la construction de l'église, pour
laisser place aux Petit et Grand Palais. L'utilisation du métal permet
non seulement d'aérer l'espace, mais, selon l'abbé Soulange-Bodin
lui-même, il offre également aux ouvriers de la paroisse un cadre
familier, plus proche de celui qu'ils connaissent dans leurs usines,
halles et autres édifices utilitaires de l'époque. Une étonnante
architecture qui sert un singulier dessein, l'Église
Notre-Dame-du-Travail mérite clairement le détour !
Escalier sculptural dans les Bureaux de LVMH
Pour la conception de ses nouveaux bureaux du pôle média, LVMH a fait appel à
la vision artistique toujours innovante du designer français Ora Ito.
Abritant les bureaux des journaux comme Le Parisien et Les Echos, ce
site parisien de quatre étages se situe dans le 15èmearrondissement, 10
rue de Grenelle. Ora Ito a conçu l'intérieur avec une esthétique globale
minimaliste, ponctuée par un escalier central dynamique.
Construit avec des panneaux de bois empilés verticalement, cet escalier original
serpente à travers la zone de réception, les espaces de travail,
l'auditorium et la cantine. Le concepteur décrit la composition
modulaire comme ressemblant à un serpent, « une sculpture paramétrique
qui accroche le regard avec une structure biomorphique, comme une
tornade dans un environnement de bureau serein. » Cette addition
inspirée par la nature ajoute une caractéristique décorative frappante à
une fonction autrement simpliste, orientée bureau.
Comme la forme de l'escalier semble se transformer à travers les niveaux, Ora Ito
établit un dialogue créatif entre l'architecture du bâtiment et ceux qui
y travaillent
ÇA C'EST PASSÉ UN 23 OCTOBRE
1856. Décès à Neuilly-sur-Seine du poète français Théophile Gautier.
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1985. Le RAID est fondé. Cette unité d'élite de la police nationale a
été créée pour de répondre aux situations les plus graves telles que les
prises d'otages, l'interpellation d'un forcené ou encore les
arrestations à haut risque. Sa devise est «Servir sans faillir
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2001. Le premier iPod est lancé par Apple. Grâce à son design
révolutionnaire, il s'impose comme la référence des lecteurs MP3. Il
connaîtra plusieurs évolutions (iPod Mini, iPod Shuffle, l'iPod Touch)
avant qu'Apple ne retire l'iPod Classic de la vente le mois dernier.
Près 375 millions d'exemplaires se seraient écoulés en treize ans
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23 octobre 1851
Naissance d'André Chantemesse
Né au Puy en Haute-Loire, cet élève de Louis Pasteur fut aussi le médecin
qui assista le grand savant dans ses dernières heures. Fils d'un
négociant en dentelles, après des études au collège d'Aurillac où il
cotoya Émile Roux, autre future sommité de l'Institut Pasteur, Il suivit
dans un premier temps les traces de son père, travaillant dans
l'industrie de la dentelle à Paris entre 1871 et 1875. Ce n'est qu'à
l'âge de 25 ans qu'il décida brusquement de commencer des études de
médecine.
Le " sérum de Chantemesse", première sérothérapie contre la typhoïde
De retour à Paris, il intègra l'équipe pasteurienne des médecins du
service de la rage. En 1886 , il entreprit des travaux sur ce qui
deviendra son cheval de bataille : la fièvre typhoïde. Il put ainsi
constater en 1887 que les épidémies de fièvre typhoïde coïncident avec
les distributions d'eau de la Seine à Paris, puis en 1896 le rôle
"typhogène" de certaines huîtres et aussi, en 1902, le rôle des porteurs
latents de bacille.
Dès 1888, il mit au point la première méthode de sérothérapie contre la typhoïde - le sérum de Chantemesse - en
collaboration avec Fernand Widal. En 1890, membre de l'Assemblée de
l'Institut Pasteur, il commença à soigner Louis Pasteur et l'assistera
jusqu'à son dernier souffle. En 1897, il est nommé professeur de
pathologie expérimentale et comparée à la faculté de médecine de Paris.
Élu membre de l'Académie de médecine en 1901, il créa et dirigea à
partir de 1906 une revue mensuelle " L'hygiène générale et appliquée".
André Chantemesse mourut le 25 février 1919 de la grippe espagnole.
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1817
Naissance de Pierre Larousse à qui l'on doit le dictionnaire
Pierre Larousse était un pédagogue, un encyclopédiste et un éditeur français.
Il est surtout connu pour les dictionnaires qui portent son nom, dont Le
Petit Larousse. Il fonda en 1852 une maison d'édition, la Librairie
Larousse, qui se développa rapidement. Son œuvre majeure fut le Grand
Dictionnaire universel du XIXe siècle, en 17 volumes, qu'il mit onze ans
à écrire.
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1844
Naissance de Sarah Bernhardt
Henriette-Marie-Sarah Bernhardt, née à Paris et morte dans la même ville le 26 mars 1923, est
une des plus importantes actrices françaises du XIXe siècle et du début
du XXe siècle.
Appelée par Victor Hugo « la Voix d'or », mais aussi par d'autres « la Divine » ou encore l'« Impératrice du théâtre »,
elle est considérée par beaucoup comme une des plus grandes
tragédiennes françaises du XIXe siècle. Première « star »
internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des
tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant
pour elle l'expression de « monstre sacré
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1944
La Grande-Bretagne, les États-Unis et l'URSS reconnaissent officiellement le gouvernement du général de Gaulle
De Gaulle qui réussit à contrôler les différents groupes de résistants,
apporta une aide considérable aux alliés en rétablissant un pays calme
et assurant sa coopération à l'arrière des armées américaines et
anglaises. Il procéda aussitôt au ravitaillement du pays, à la
réorganisation de l'armée et à l'armement de nouvelles divisions qui
allaient se battre en Allemagne et en Autriche aux côtés des alliés.
La France reprenait enfin sa position diplomatique parmi ses alliés. Son
gouvernement enfin était considéré comme légitime par tous.
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1958
Une 1ère aventure des Schtroumpfs est publiée dans « Spirou
La première apparition des Schtroumpfs se produit dans l'épisode des
aventures de Johan et Pirlouit La flûte à six trous, prépublié dans Le
Journal de Spirou le 23 octobre 1958 et dont le nom en album devint La
Flûte à six schtroumpfs. On y rencontre une peuplade de lutins bleus à
bonnets blancs vivant dans un village de champignons et parlant le
langage schtroumpf. Johan et Pirlouit viendront encore rendre visite aux
schtroumpfs dans l'épisode intitulé Le pays maudit. Les schtroumpfs
viendront également leur prêter main forte dans les albums La guerre des
7 fontaines, Le sortilège de Maltrochu, La horde du corbeau et La Nuit
des Sorciers.
Puis dès 1959, les Schtroumpfs vécurent leurs propres aventures dans Spirou, d'abord sous la forme de sept
mini-récits(Les Schtroumpfs noirs (1959), Le Voleur de Schtroumpfs
(1959), L'Œuf et les Schtroumpfs (1960), Le Faux Schtroumpf(1961), La
Faim des Schtroumpfs (1961), Le Centième Schtroumpf (1962), et Le
Schtroumpf volant (1963), albums de quarante-huit pages chacun, à monter
soi-même), qui seront réédités sous mini-couvertures cartonnées à
partir de 2004(trois coffrets de deux mini-albums par les éditions
Niffle) (Spirou récidivera avec le mini-récit Le Bébé Schtroumpf, tiré
d'images du dessin animé en 1984). Jusque-là, on ne voyait que le Grand
schtroumpf et les petits schtroumpfs, apparemment tous identiques. Les
différences physiques et de caractère (schtroumpf à lunettes, farceur,
costaud, etc.) n'apparaissent — progressivement — qu'au moment où les
schtroumpfs commencent à avoir leurs propres histoires
La plus belle église de Paris
A quelques mètres du Panthéon se trouve l'église Saint-Etienne-du-Mont.
Outre son style qui nous intrigue, elle renferme des trésors inattendus.
Construite au XVIème siècle, l'église Saint-Étienne-Du-Mont a été édifiée pour
répondre à un fort accroissement de la population. En effet, des
religieux venaient en nombre aux alentours d'une importante abbaye se
trouvant rue Clovis où reposait Sainte-Geneviève. L'église s'est donc
construite accolée à L'abbaye
Sa construction commence en 1492 et ne se termine qu'en 1626. On assiste alors à l'évolution du style lors de
la construction, passant du Gothique à la Renaissance. Cela se remarque
dans la façade de la bâtisse (construite de 1610 à 1622), unique en son
genre, mais qui se révèle, finalement, être un ensemble harmonieux. Nous
observons un décor datant de la Renaissance qui s'intègre à une
structure héritée du Moyen Age, en trois parties élevées
Le Panthéon est construit par la suite en l'honneur de
Sainte-Geneviève, remplaçant ainsi l'ancienne abbaye en ruine. Cette
dernière est définitivement fermée pendant la Révolution française.
C'est alors à l'église Saint-Etienne-Du-Mont qu'est fait l'honneur
d'accueillir les reliques de Sainte Geneviève à partir du XIXème siècle.
Cependant, en 1793, l'église est pillée par les révolutionnaires et les
restes de la sainte brûlée sur la Place de Grève, tristement connue
pour ces exécutions. Seul vestige de la sainte, un morceau de l'ancien
sarcophage, où elle avait reposé jusqu'au IXème siècle, a été retrouvé
par le curé de l'église en 1803. Il est aujourd'hui exposé dans le
reliquaire en cuivre à l'intérieur de l'église.
Un patrimoine ... et une histoire exceptionnelle :
L'église Saint-Etienne-Du-Mont prend une place centrale dans le quartier. Ce
mélange de style n'est pas le seul trésor que possède cette église. A
l'intérieur, un superbe jubé, dernier témoin d'une époque révolue à
Paris, trône fièrement. Il s'agit d'une sorte de tribune qui forme une
séparation de pierres entre la nef, où sont présents les fidèles, et le
chœur réservé au clergé uniquement
Apparu en France au XIIème siècle, il avait pour seul but cette séparation.
Suite à une réforme liturgique, cet attribut devient vain à partir du
XVIème siècle et provoque une modification de l'architecture des
églises. Aujourd'hui, le chœur doit être visible des fidèles, ce qui a
eu pour conséquence de condamner les jubés à la destruction. C'est la
chaire à prêcher qui le remplace. Cependant ce travail de destruction
prend des siècles, ainsi les derniers jubés disparaissent les uns après
les autres jusqu'au XIXème siècle. Encore de nos jours, il n'est pas
rare de voir les traces des jubés dans les églises. On les remarque par
des poutres de soutien ou encore des portes murées. Rares sont les
églises en France à disposer encore d'un jubé. À Paris, il n'en reste
qu'un et c'est celui de Saint-Etienne-Du-Mont !
De la plante verte décorative, qui trône dans un hall d’immeuble ou une salle d’attente, aux herbes médicinales que nous prenons comme remèdes, en passant par toute la panoplie des plantes sauvages qui prolifèrent dans la nature et jusque dans la moindre fissure de l’asphalte, le moinsque l’on puisse dire est que nous côtoyons sans cesse le monde végétal.Mais nous lui prêtons-nous vraiment toute l’attention qu’il se doit ?
Pas si sur… En effet, nous avons tendance à considérer les plantes comme les grandes perdantes du jeu de l’évolution. Privées de cerveau, incapables de voir, de sentir, d’entendre, de communiquer, inaptes à se déplacer pour éviter un danger ou se protéger de l’attaque d’un prédateur, elles nous apparaissent comme des êtres vivants
particulièrement vulnérables et fragiles.
C’est pourtant sans connaître la force cachée des plantes que nous les jugeons de la sorte. Astucieuses, ingénieuses, inventives pour certaines, séductrices pour d’autres, elles excellent à composer avec leur environnement, que ce soit pour optimiser l’utilisation de ses ressources ou pour se protéger contre ses dangers et ses pièges.
Pour cela, certaines plantes repoussent leurs ennemis au moyen d’armes extraordinaires, tandis que d’autres développent entre elles des stratégies d’intervention, ou bien "chassent" leurs proies… Des gardes du corps agressifs des acacias mexicains aux plantes carnivores de Bornéo en passant par les orchidées séductrices de Majorque, ce
documentaire nous emmène à la découverte de quelques-unes de ces espèces
extraordinaires.
. Pousser vers le haut
Le sens de la pesanteur est un mécanisme essentiel chez les animaux. En effet, sans cette capacité à distinguer le haut et le bas, ils seraient incapables de tenir debout. Mais qu’en est-il des plantes ? Une expérience réalisée avec des tulipes plantées dans un pot retourné fixé àun plafond montre qu’elles sont capables de se retourner pour continuer à pousser vers le haut. Pour expliquer ce phénomène étonnant, les chercheurs se sont intéressés aux algues charophytes. Ces plantes aquatiques assez répandues sont capables de se régénérer lorsqu’elles ont été coupées, développant une sorte de racine depuis leur partie
tronquée pour s’enraciner dans le sol. L’étude de cette cellule radiculaire au microscope montre qu’elle est se fraie un chemin vers le bas au moyen de petits cailloux lourds, appelés statolithes, fixés à sonextrémité. Plus denses que le cytoplasme, ceux-ci sont capables de se sédimenter suivant la force gravitationnelle, et d’indiquer ainsi à la racine la direction à prendre, vers le bas. Dans l’expérience à laquelle nous assistons, les chercheurs modifient la position d’un fragment d’algue charophyte en train de repousser, plaçant celui-ci à l’horizontale. Les statolithes réagissent immédiatement en corrigeant sa
trajectoire : en raison de la contrainte qu’ils exercent, sa paroi inférieure pousse plus vite que sa paroi supérieure, obligeant la racineà se courber jusqu’à ce qu’elle ait repris sa progression vers le bas.
Les plantes poussent donc en tenant compte de la gravité. Cette loi vaut aussi bien pour la racine que pour la tige, bien que l’une et l’autre poussent en sens inverse. Mais pourquoi poussent-elles ? La séquence suivante s’intéresse à la vesce des haies, une plante grimpante aux feuilles pennées, aux fleurs bleu violacé, en grappes sur de courts
pédoncules, qui fleurit de mai à novembre. Pour se développer dans son environnement, celle-ci utilise un véritable « sens du toucher » qui lui permet de grimper en spirale en s’aidant des autres végétaux présents, autour desquels elle enroule ses vrilles. Des images accélérées très spectaculaires nous permettent d’assister à l’une de ces ascensions. En haut, la plante trouve un espace plus dégagé, et donc plus de lumière,
synonyme d’énergie pour elle.
. Plante flaireuse
La vesce est loin d’être la seule espèce capable de développer des trésors d’agilité pour accéder à l’énergie nourricière. D’autres végétaux disposent même de techniques bien plus spectaculaires. Ainsi, la cuscute (cuscuta, famille des Convolvulacées), plante parasite de la tomate, est capable, dès sa sortie de terre, de repérer un plant de son
hôte en balayant l’espace qui l’entoure à la manière d’un tentacule. Une fois ce contact avec l’hôte établi, le parasite va s’y enrouler et commencer à se développer en pompant son énergie vitale. Pour agir de lasorte, la cuscute est littéralement capable de « flairer » son hôte, comme va le mettre en évidence une expérience effectuée par les scientifiques. Ceux-ci ont extrait l’arôme de plants de tomates placés sous cloche en pompant l’air au moyen de sondes reliées à des filtres chargés de capturer les molécules odorantes. Mélangée à de l’eau distillée, cette essence est ensuite recueillie dans un petit récipient
et placée à proximité d’un germe de cuscute, tandis qu’un vrai plant de tomate placé sous cloche, donc isolé olfactivement, vient compléter le dispositif mis au point par les chercheurs.
Le résultat, présenté en images accélérées, est édifiant : le germe semble humer l’air, hésitant entre le plant de tomate et le leurre parfumé, avant de s’attacher à celui-ci, trompé par l’odeur de sa proie présumée. Pour les scientifiques, cela signifie que la cuscute a un
comportement très sophistiqué, qu’on ne s’attendrait pas à trouver chez les plantes, mais plutôt dans le règne animal. Comme un prédateur, la cuscute flaire en effet sa proie, l’attaque, et se nourrit d’elle.
. Plantes carnivores
Dans la nature, chaque ressource alimentaire est exploitée au maximum tout au long de la chaîne alimentaire. Il en va autrement pour les plantes, qui produisent de l’énergie par photosynthèse, c’est-à-dire en utilisant la lumière du soleil, et vont chercher dans l’air et dans le sol les autres substances dont elles ont encore besoin pour se nourrir :azote, minéraux, etc. Du moins est-ce ainsi que les choses fonctionnent en temps normal. Mais dans certaines situations, les plantes sont capables de déroger à ce schéma, se dotant alors de véritables armes qui leur permettent de palier à certaines insuffisances ou carences de leur milieu naturel.
C’est le cas de l’utriculaire jaune (Utricularia tenuicaulis, famille des Lentibulariaceae). Cette plante dépourvue de racines vit dans les milieux marécageux, généralement pauvres en minéraux : un désastre pour les végétaux présents. Pour remédier à cette carence, les feuilles de l’utriculaire sont dotées de petites cavités – appelées utricules – équipées de poils hérissés qui déclenchent la dilatation soudaine de l’utricule dès qu’un insecte aquatique passe à proximité. La proie est alors aspirée dans cette poche qui sécrète des enzymes de digestion capables de la dissoudre en moins de deux heures. En adoptant des
habitudes animales de prédation, l’utriculaire trouve ainsi les minérauxqui sont absents dans son milieu naturel.
Mais l’utriculaire fait pâle figure comparée au nepenthes à bord blanc (Nepenthes albomarginata, famille des Népenthacées) une plante carnivore que l’on trouve dans les forêts marécageuses de Bornéo, et qui est capable de capturer plus de 6000 insectes par heure ! Les termites, qui foisonnent dans la forêt tropicale, sont les principales victimes de
cette plante, qui utilise un leurre olfactif pour attirer les éclaireuses de la colonie de termite jusqu’à son bord piégeur. Celui-ci constitue une nourriture riche en protéines que les premiers termites arrivés déchiquètent avec leurs mandibules, provoquant une véritable
ruée vers cette manne qui ne tarde pas, sous l’affluence, à se transformer en piège mortel. La cohue des insectes provoque en effet de nombreuses chutes sur la paroi interne glissante de la plante, permettant à celle-ci de piéger des milliers de termites qui lui
apporteront sa ration quotidienne de minéraux.
. Autodéfense
Aussi redoutable qu’il soit, le nephentes n’en demeure pas moins à la merci de certains prédateurs naturels, tels le charançon, qui fait son régal des plus jeunes pousses de cette plante carnivore. Pour pallier à des dangers de ce type, certaines plantes ont donc appris à développer leurs propres moyens de défense. C’est le cas de l’acacia (famille des
Fabacées), dont le feuillage particulièrement prisé par les animaux de pâturage est protégé par des épines acérées, qui les dissuadent de venir brouter.
Mais ces épines ne peuvent rien contre certains insectes qui parasitentl’acacia. Pour se protéger d’eux, l’arbuste a donc « imaginé » une collaboration particulièrement originale avec une espèce de fourmis très belliqueuses qui pullulent dans ses branches. En cas d’agression par d’autres insectes, celles-ci se précipitent en masse sur les intrus, provoquant leur débandade.En échange, l’acacia offre le gîte et le couvert à ses sentinelles vigilantes. Ses épines creuses sont idéales pour la ponte et l’élevage des œufs de la colonie ; ses feuilles sécrètent des corpuscules orange, particulièrement riches en protéine, qui constituent la nourriture de prédilection des fourmis. L’acacia pousse même la bienveillance vis-à-vis de ses troupes de choc jusqu’à fabriquer un nectar contenant un suc spécial, facile à digérer pour les fourmis, à l’intérieur de petites cupules dont sont dotées ses branches.
Les insectes ne sont pas les seuls à faire les frais de cette vigilance. Les fourmis s’attaquent également à toutes les plantes grimpantes qui tentent d’envahir l’acacia, éventrant leurs tiges avec leurs mandibules afin qu’elles se vident de leur sève et se dessèchent.
On voit ainsi se constituer autour de l’arbuste un véritable écosystème miniature fonctionnant sur le modèle du donnant-donnant : l’acacia constitue le cadre de vie idéal pour les fourmis, qui assurent sa protection en échange.
. Reproduction
Pour assurer leur survie, les plantes ont également besoin de se reproduire. Elles n’ont pas besoin de rapports sexuels directs, mais cela ne simplifie par pour autant les choses. En effet, comment s’accoupler quand le partenaire est loin et inaccessible ? Pour
surmonter l’obstacle de leur immobilité, certaines plantes savent toutefois faire preuve de beaucoup d’imagination. Elles utilisent pour cela des fleurs aux couleurs chatoyantes et aux formes attirantes pour les insectes butineurs. Ces fleurs abritent des grains de pollens qui contiennent les gènes mâles – l’équivalent des spermatozoïdes – prêts à être
« expédiés » via ces petits messagers volants, qui les transporteront jusqu’aux stigmates femelles prêts à êtres fécondés d’autres fleurs : c’est le processus de pollinisation. En échange de leurs bons et loyaux services, les insectes reçoivent du nectar fabriqué par la plante : c’est le principe du donnant-donnant appliqué à la sexualité des végétaux.
D’autres plantes disposent de moyens encore plus subtils pour être fécondées. C’est le cas de l’arum (famille des Araceae),dont les fleurs sont produites à l’intérieur d’un spadice aux propriétés calorifères.
La nuit venue, celui-ci affiche environ dix degrés de plus que la température ambiante et sécrète une substance à l’odeur de pourriture et d’excréments. La chaleur répand l’odeur pestilentielle autour de l’arum, attirant une kyrielle de mouches, qui se retrouvent alors
piégées au fond du spadice dont les parois lisses empêchent toute évasion. La seule zone sure de cette prison est une espèce de grappe contenant les stigmates femelles de l’arum, qui produisent des gouttelettes sucrées dont se gavent les mouches. Juste au-dessus de
cette grappe, un autre dispositif de la plante fabrique du pollen, saupoudrant les prisonnières, qui vont être entièrement recouvertes par cette pluie jaune. A la fin de la nuit, le spadice finira par s’ouvrir, libérant les insectes couverts de pollen. Une fois à l’air libre,
ceux-ci s’empresseront de retomber dans le même piège tendu par un autre arum, dont le spadice chaud attend ses pollinisateurs.
Toujours dans le domaine des attirances, certaines plantes jouent la carte de l’attrait sexuel pour tromper leurs insectes pollinisateurs. L'Ophrys miroir (Ophrys speculum, famille des Orchidaceae), une orchidée terrestre européenne, possède ainsi des fleurs qui imitent à la
perfection les formes et les ailes déployées d’une guêpe femelle. Ce leurre attire irrésistiblement les mâles, qui tentent de copuler avec l’ophrys, s’enduisant au passage de pollen. De fleurs en fleurs, ils féconderont ainsi les orchidées au fil de leurs tentatives de
copulation.
. Sélection naturelle
Les fleurs ne sont pas seulement capables de se donner l’apparence d’insectes ou d’animaux. Comme eux, elles sont aussi en lutte permanenteavec des rivaux de la même espèce pour assurer leur descendance. En effet, la pollinisation n’est que la première étape d’un long processus de fécondation qui va mettre en compétition les grains de pollen présents sur le stigmate de la fleur. Leur matériel génétique doit en effet atteindre l’ovule, qui se trouve bien plus bas, dans l’ovaire, sous la fleur.
Pour parvenir jusqu’à cet endroit stratégique, un fin tube pousse sur chaque grain de pollen, traversant le stigmate et poursuivant son cheminvers l’ovule. Les gènes mâles se trouvent à la pointe de ces longs tentacules qui s’étirent à travers la plante, et chacun d’eux essaie d’arriver à destination le plus vite possible. Une course sans merci se
déroule alors dans les profondeurs de la plante, le premier appendice atteignant l’ovaire gagnant seul le droit de le féconder. De cette unionnaîtra le fruit de la plante : aigrettes chez le pissenlit, fruits à appendices chez le bec-de-grue, capsules chez l’impatience, etc.
. Semer à tout vent
Toutes les plantes portent ainsi en elles leur propre descendance, et toutes ont en commun d’essayer de disperser cette semence dans la nature afin d’assurer la survie de l’espèce. Dans ce domaine, elles rivalisentd’ailleurs d’ingéniosité. Le pissenlit mise sur la force motrice du vent pour éparpiller ses aigrettes, qui peuvent ainsi être transportées
sur de très longues distances, portées par les courants d’air.
Le bec-de-grue,ou erodium, dispose d’une toute autre stratégie.Une fois arrivés à maturité, ses fruits aux appendices en spirale se mettenten branle dès qu’ils touchent le sol. Si celui-ci est humide, leur spirale se déroule, permettant à la semence située à la pointe de se planter elle-même dans la terre. Des images très spectaculaires de ce procédé, filmées en caméra accélérée, illustrent cette partie du documentaire.
D’autres plantes préfèrent la zoochorie, terme qui désigne un mode de dispersion de leurs graines par le biais des animaux. La bardane (famille des Asteraceae), fait partie de ces espèces : ses graines à l’apparence de petites bouloches dotées de crochets souples s’accrochentfacilement au pelage des animaux, qui les transportent ensuite sur de
longues distances, favorisant ainsi leur dispersion.
La violette procède quant à elle de manière encore plus spectaculaire.
Lorsqu’ils sont murs, ses fruits en forme d’étoile à trois branches s’ouvrent et éjectent leurs graines dans la nature grâce à une « mâchoire » qui se referme sur leur base. Sur un mode similaire, les fruits du concombre sauvage se comportent comme de véritables petites bombes. A la moindre secousse, ils se détachent du pied, projetant la sève qui transporte leur semence jusqu’à dix mètres à la ronde.
L’impatience est encore plus sensible au contact : il suffit d’une goutte d’eau pour faire exploser la capsule de son fruit, catapultant ainsi ses semences autour d’elle.
Au grand jeu de la vie, les plantes s’en sortent donc étonnamment bien.
Adaptables à de nombreux environnements, capables de développer des stratégies complexes qui leur permettent de se prémunir contre les dangers naturels ou les prédateurs, et dotées de techniques de diffusion de leur semence d’une efficacité imparable, il se pourrait même qu’elles soient bien mieux armées que la plupart des animaux, au premierrang desquels se trouve l’homme, pour résister à des changements de
grande ampleur qui pourraient bien affecter notre planète d’ici quelquessiècles. L’avenir de la Terre serait-il végétal ?
EN RÉSUMÉ : Servi par un montage très dynamique, ce documentaire composé d’une succession de mini séquences consacrées aux différents aspects de la vie végétale – développement, déplacement, alimentation, moyens de défense, etc. – laisse la part belle aux images très spectaculaires de plantes remarquables filmées dans leur environnement.
La technique des prises de vue accélérées donne vie à ces tiges, feuilles, corolles, pétales et autres racines que nous avons tort de croire immobiles. Devant la caméra, toujours judicieusement placée, s’exécutent ainsi de fantastiques ballets végétaux qui nous emmènent au cœur de cette vie secrète et foisonnante que nous côtoyons sans jamais
la voir vraiment.
Le commentaire accompagne parfaitement cette plongée au cœur de l’univers végétal, permettant d’appréhender sa complexité à travers des explications simples et des analogies avec le monde animal judicieusement choisies. Seul bémol cependant : cette énumération de techniques et de procédés spectaculaires mis en œuvre par les végétaux
pour assurer leur survie ou leur reproduction ne répond jamais à la question lancinante que nous nous posons devant la démonstration d’une telle ingéniosité : les plantes agissent-elles de la sorte mues par un seul principe mécanique, ou faut-il envisager la possibilité qu’elles soient dotées d’un embryon de conscience, voire d’une forme
d’intelligence radicalement différente de la notre ?
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Transmettre aux enfants l'importance de remercier, "demander s'il vous plaît" ou dire "bonjour" ou "bon après-midi", dépasse un simple acte de courtoisie. Nous investissons dans les émotions, dans les valeurs sociales et surtout dans la réciprocité.
Afin de créer une société fondée sur le respect mutuel, dans laquelle la civilité et la considération font la différence, il faut investir dans ces petites coutumes sociales auxquelles nous ne donnons parfois pas l'importance qu'elles méritent.
Parce que la coexistence est finalement basée sur l'harmonie, sur ces interactions de qualité basées sur la tolérance où chaque enfant doit être initié dès son plus jeune âge.
Je suis de la génération de remerciements, s'il vous plaît et bonjour, de la même chose qui n'hésite pas à dire un «Je ressens» quand cela est nécessaire.
Qualités toutes celles que je ne doute pas de transmettre chez mes enfants, car éduquer dans le respect est d'éduquer avec amour.
Une erreur dans laquelle de nombreuses familles tombent souvent consiste à initier les enfants dans ces règles de courtoisie lorsque les petits commencent à parler.
Maintenant, il est intéressant de savoir que le «cerveau social» d'un bébé est extrêmement réceptif à tout stimulus, tonique et même aux expressions faciales de son père et de sa mère.
Croyez-le ou non, nous pouvons éduquer un enfant en valeurs dès les premiers âges.
Ses compétences sont presque insoupçonnées et nous devons profiter de cette grande sensibilité en matière émotionnelle. Nous en parlerons.
La réciprocité, une valeur sociale du poids
Quand un enfant découvre enfin ce qui se passe dans ses contextes les plus proches lorsqu'il demande des choses et conclut avec un merci, rien ne sera jamais le même.
Jusqu'à présent, elle a été réalisée comme une norme pro-sociale régie par les adultes, ce qui a donné un renforcement positif pour leur bon comportement.
"L'éducation ne change pas le monde, elle change les gens qui vont changer le monde"
-Paulo Freire-
Cependant, tôt ou tard, il éprouvera l'effet réel de traiter l'égalité avec le respect, et comment cette action revient à lui-même.
C'est quelque chose d'exceptionnel, un comportement qui vous accompagne pour toujours, car traiter les autres avec respect est aussi de se respecter,c'est agir selon des valeurs et un sentiment de coexistence basés sur un pilier social et émotionnel de poids: la réciprocité.
Ce sera environ les 7 ans où nos enfants découvriront pleinement toutes ces valeurs qui forment leur intelligence sociale.
C'est le moment où ils commencent à donner plus d'importance à l'amitié, à savoir ce que cette responsabilité affective implique, à comprendre et àjouir de la collaboration, à répondre aux besoins des autres et à des intérêts différents de leurs propres.
C'est certainement un âge merveilleux où chaque adulte doit garder à l'esprit un aspect essentiel: nous devons rester le meilleur exemple pour nos enfants.
Maintenant, la question magique est la suivante ... De quelle manière inculquons-nous chez nos enfants dès leur plus jeune âgeces règles de coexistence, de respect et de courtoisie?
Nous proposons des stratégies simples à prendre en compte, des indications de base indiquant les enfants dans chaque situation. Il vaut la peine d'être pris en compte.
Est-ce que vous êtes arrivé ou êtes entré quelque part? Dites bonjour, dites bonjour ou bon après-midi.
Tu t'en vas? Dites au revoir
Vous ont-ils fait une faveur? Vous ont-ils donné quelque chose? Donner des remerciements.
Est-ce qu'ils vous ont parlé? Réponder.
Est-ce qu'ils te parlent? Ecoute.
Avez-vous quelque chose? Partagez-le.
Vous ne l'avez pas? Ne pas envier.
Avez-vous quelque chose qui n'est pas le vôtre? Récompensez-le.
Voulez-vous qu'ils vous fassent quelque chose? Demandez-le.
Vous avez tort? Excusez-moi.
Des règles simples qui, sans aucun doute, vous seront d'une grande aide au jour le jour.
(Exemple ci-dessous)
Parmi les troubles cardiaques graves pouvant conduire au décès du patient, la fibrillation ventriculaire qui entraine une activité anarchique du myocarde par des accélérations brutales du rythme cardiaque peut conduire à un arrêt cardiaque. Or, agir vite est nécessaire et les secours peuvent parfois arriver trop tard. C’est pourquoi, de plus en plus de lieux publics font l’acquisition d’un défibrillateur, ce qui permet, dans bien des cas de sauver des vies.
Explications.
Défibrillateur : un fonctionnement simplifié à la portée de tous.
Autrefois réservé aux professionnels de la Santé comme les pompiers, le SAMU, les infirmiers et les sauveteurs, le défibrillateur cardiaque a été simplifié et peut être utilisé par le grand public. Appareil simple à utiliser et notice explicative très documentée : il nereste plus qu’à composer le 15 (ou le 112 pour l’Europe) si vous êtes en présence d’une personne présentant les symptômes du malaise cardiaque, puis de procéder vous-même à la défibrillation du malade.
De nos jours, les défibrillateurs disponibles sur le marché sont de plusieurs sortes :
● Pour les professionnels uniquement :
o Le défibrillateur implantable (utilisé en chirurgie),
o Le défibrillateur automatisé externe (DAE) qui fonctionne sur une batterie.
● Pour une utilisation publique :
o Le défibrillateur semi-automatique (DSA):facile d’utilisation, la personne qui va l’utiliser
n’aura qu’à suivre les instructions données et devra simplement appuyer sur un bouton pour procéder à la défibrillation (choc électrique) après s’être assuré que personne d’autre n’est en contact physique avec le malade.
o Le défibrillateur entièrement automatique (DEA): il s’agit d’un appareil offrant l’avantage de s’occuper de tout. Il suffit, pour la personne qui porte secours, d’éloigner les personnes du malade et d’enclencher l’appareil selon les instructions données.
Les défibrillateurs destinés au public ne nécessitent aucune formation préalable. Tout le monde peut donc être capable d’opérer une défibrillation cardiaque, ce qui va permettre de gagner des minutes précieuses et de sauver une vie.
Attaques cardiaques : quels sont les signes avant-coureurs ?
Une personne qui se fait suivre régulièrement pour des troubles cardiaques doit tout d’abord suivre un régime particulier et se faire suivre régulièrement. Il n’est toutefois pas dit qu’une personne qui fait de la tachycardie ou qui présente des périodes d’arythmie soit plus exposée à une attaque, mais elle devra faire plus attention et se faire suivre médicalement.
Les principaux signes qui ont pu être constatés lors d’un malaise cardiaque sont notamment :
- Des nausées,- Des suées,- Une tendance à l’essoufflement,
- Une forte douleur dans la poitrine,
- Des douleurs irradiant au niveau du cou, de la mâchoire ou de l’épaule,
- Des fourmillements dans le bras gauche,etc.
Afin de ne pas confondre ces symptômes avec une autre maladie, il est essentiel de consulter au plus vite. Par exemple, un ou plusieurs symptômes, peuvent évoquer la maladie de Lyme et il conviendra de signaler à votre médecin si vous avez été récemment mordu par une tique.
De même, un ou plusieurs symptômes énoncés ci-dessus peuvent être précurseur d’un Accident Vasculaire Cérébral (AVC).
Dans le doute et à défaut de pouvoir établir précisément le diagnostic, l’urgence est de consulter rapidement un médecin.
Avec 423 m de chute, la grande cascade de Gavarnie est la plus grande d'europe. Mais c'est l'ensemble du cirque qui est gigantesque. L'érosiondes glaciers a laissé apparaître au cours du temps l'empilement des couches géologiques sur 1500 m de hauteur.
Au confin des pyrénées, ce lieu permet de réaliser de nombreuses randonnées du niveau facile (en bas dans le cirque le long de la
rivière) au niveau expert/alpiniste (montée jusqu'au refuge de la brêche de roland). De ce refuge on peut rejoindre l'espagne qui se situe juste derrière la ligne de crêtes.
La visite du lieu en automne permet d'avoir de superbes couleurs dans les forêts de basse altitude et d'apercevoir les premières neiges sur les cimes à plus de 3000m (magnifique!). Attention cependant à bien, se couvrir car le soleil reste caché une grande partie de la journée derrière les murailles rocheuses et sommets et ne réchauffe que très peu les aventuriers qui rejoignent le pied de la cascade. La nature sauvage, le calme et la tranquilité sont au rendez vous à cette saison.
En revanche, mieux vaut ne pas trop s'aventurer en plein hiver en dehors des sentiers battus ou sans connaissance parfaite du site et des parois.Chacun se rappelera sans nul doute avoir déjà entendu le nom de "Gavarnie" dans la rubrique fait divers de nos JT (avalanches, accident d'escalade,...).