De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
17/10/2017 - 08:02
Il me semble avoir déja vu ça quelque part!!!

16/10/2017 - 20:14
                                                   
Les 6 boutiques d'antan les plus belles de Paris
Vous aimez vous plonger dans le Paris d'antan, celui que l'on imagine en
noir et blanc. Alors, on vous a sélectionné 6 boutiques anciennes, qui
ont conservé leur authenticité. Des adresses au charme rétro, où il est
encore possible aujourd'hui de faire quelques folies !



STOHRER :


Ouverte en 1730, Stohrer est à la fois la pâtisserie la plus
ancienne et sans conteste, la plus belle du tout Paris. Avec ses
peintures murales réalisées par le décorateur de l'Opéra de Paris Paul
Baudry et son plafond généreusement décoré, elle émerveille tous les
promeneurs de Montorgueil, à qui elle offre un saut gourmand dans le
passé. Elle porte le nom de Nicolas Stohrer, pâtissier de l'épouse de
Louis XV et créateur de la boutique, qui ne serait autre que l'inventeur
du baba au rhum ! Aujourd'hui encore, l'endroit est réputé pour cette
pâtisserie, déclinée en trois versions, dont une, délicieuse, à la crème
chantilly.

ANTIQUAIRE RARISSIME :


Si les boutiques d'antiquaire sont toujours des
cavernes d'Ali Baba qui méritent le détour, Rarissime attire aussi grâce
à son histoire hors du commun : à l'origine salon de coiffure, ce lieu
est devenu boutique d'antiquités en 1638, et l'est resté... jusqu'à
aujourd'hui ! On a d'ailleurs l'impression que rien n'a réellement bougé
depuis des siècles : même bric à brac d'objets, même devanture boisée
et quelques raretés architecturales d'époque à admirer comme un escalier
en hélice du 17ème siècle.


Rarissime
18 rue Saint Roch, 75001

LA MERE DE FAMILLE :


On se sent nostalgique quand on entre chez la
Mère de Famille, la plus ancienne confiserie de Paris. D'abord parce que
l'on y trouve tous les délices d'antan, comme les nougats, les fruits
confits ou encore les roudoudous, puis parce qu'on est touché par l'âme
du lieu, qui accueille les gourmands en quête de réconfort depuis 1761.
Avec ses étagères et son comptoir en bois, son carrelage ancien, et sa
magnifique devanture inscrite à l'inventaire des monuments historiques,
la boutique fait rêver, jusqu'aux danseuses des Folies Bergères qui
viendraient depuis toujours s'y approvisionner en douceurs sucrées.


La mère de famille
35, rue du Faubourg-Montmartre, 75009

AU PLAT D'ETAIN :


Cette boutique de soldats de plomb et de
figurines de collection ressemblerait presque à un petit musée tant elle
est chargée et habile dans l'art de mettre en scène ses objets, tous
minutieusement faits et peints à la main. Imperturbable, elle campe
depuis 1775, à quelques mètres de la place Saint-Sulpice, comme si le
temps n'avait sur elle aucune prise. Il est presque facile d'imaginer
qu'il y a quelques décennies, Charles de Gaulle, alors enfant, venait y
acheter ses petits soldats de plomb...



Au plat d'étain
16 rue guisarde, 75006

A L'ORIENTAL :


Un minuscule magasin plein à craquer
de pipes neuves ou anciennes, de pots à tabac, étuis à cigarette,
narguilés, de gravures et tableaux en tous genres, voilà comment résumer
cette boutique insolite nichée dans les jardins du Palais-Royal. Depuis
son ouverture en 1818, on y viendrait du monde entier pour admirer la
collection de pipes Sherlock Holmes ou dénicher pipes à tête en ivoire,
en écume de mer, ou en bruyère fabriquées à la main. Il se chuchote que
de nombreux hommes politiques s'y approvisionnent encore aujourd'hui,
imitant Balzac qui y venait en son temps acheter ses tabatières...




A l'oriental
19/21 Galerie de Chartres, Palais-Royal, 75001

OFFICINE BULY :


Au XIXème siècle, le parfumeur Bully fait
fureur à Paris avec ses fameuses vinaigres de toilettes, présentées dans
leur bel écrin de la rue Saint-Honoré. En 2014, le célèbre comptoir de
la beauté renaît de ses cendres dans le 6ème arrondissement de Paris.
Certes, la boutique n'est pas celle d'origine, mais on y retrouve son
authenticité grâce à son carrelage italien en terre cuite, son
magnifique comptoir en marbre et bois de noyer sculpté, et ses flacons
de luxe en verre sombre. Côté trouvailles insolites, de l'huile antique
aux macérats de plantes, des allumettes parfumées ou du vernis à base de
coquillages broyés...
16/10/2017 - 20:12
                                         

En Italie, des jours de congés pour soigner un animal malade ...


Une Italienne a obtenu deux jours de
congés payés pour faire soigner son chien, a annoncé mercredi
l'association de protection des animaux LAV, saluant une première en
Italie, un pays où les animaux de compagnie sont rois.


Le chien ayant eu besoin de soins urgents, cette femme
célibataire employée d'une université romaine avait dû s'absenter de son
travail pour le porter chez le vétérinaire et l'assister ensuite.


Avec le soutien juridique de la LAV, elle a
ensuite obtenu que son employeur comptabilise ces deux jours d'absence
comme des congés payés pour « motif personnel grave ou familial ».


Elle a en effet fait valoir que le code pénal
italien prévoyait jusqu'à un an de prison et 10.000 euros d'amende pour
quiconque abandonne son animal ou le laisse dans de « graves souffrances
».

« C'est un nouveau pas en avant significatif
qui prend acte du fait que les animaux qui n'ont pas de finalité
lucrative ou productive sont à tous les égards des composantes de la
famille », a commenté Gianluca Felicetti, président de la LAV.


Avec 60 millions d'habitants, l'Italie compte 60
millions d'animaux de compagnie, pour lesquels les Italiens dépensent
environ deux milliards d'euros par an.

La moitié
de ces animaux sont des poissons mais l'Italie compte aussi 7,5
millions de chats et sept millions de chiens, qu'il n'est pas rare de
voir accompagner leurs maîtres dans les centres commerciaux ou les
restaurants.
16/10/2017 - 11:05

                                               ÇA  C'EST  PASSÉ  UN  16  OCTOBRE 

16 octobre 1854 : Naissance en Irlande
de l'écrivain Oscar Wilde. C'est à lui que l'on doit notamment le roman
"Le portrait de Dorian Gray" ou encore la pièce de théâtre "L'importance
d'être constant".
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16 octobre 1793 : Exécution de Marie-Antoinette, place de la Concorde à
Paris (alors baptisée place de la Révolution). La reine de France est
guillotinée à midi et quart devant une foule criant "A mort
l'Autrichienne".
6 octobre




Journée mondiale de l'alimentation
Le droit à l'alimentation
Chaque année, le 16 octobre, l'Organisation des Nations Unies pour
l'alimentation et l'agriculture célèbre la Journée mondiale de
l'alimentation, qui commémore la date de sa création, en 1945.
Même si l'agriculture est aujourd'hui un secteur économique secondaire dans
de nombreux pays industrialisés, elle doit jouer un rôle de premier plan
sur la scène internationale si l'on veut que la faim ne soit plus qu'un
mauvais souvenir.
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708
Fondation du sanctuaire du mont Saint-Michel par Aubert évêque d'Avranches
En l'an 708, Aubert, alors évêque d'Avranches, reçoit la visite de
l'archange Michel au cours d'un songe. Ce dernier lui ordonne de faire
édifier un sanctuaire à l'image du Mont Gargano en Italie.
Au début du XIIIe siècle, le roi de France, Philippe Auguste, subventionne
l'édification de La Merveille. Cette structure grandiose, bâtie sur
trois niveaux, est considérée comme l'une des plus belles réalisations
gothiques de cette époque.


Durant le XIVe et le XVe siècles, des remparts, des tours et des constructions militaires diverses sont
installés pour faire face à la guerre de cent ans. Ces fortifications
permettent au Mont de résister et lui procurent une défense
infranchissable face à l'opposition anglaise qui dura trente ans avant
la capitulation.

Sous Louis XI, les premiers prisonniers politiques sont incarcérés dans le monastère où ils sont enfermés dans
d'effroyables cages de fer (les fillettes).
Le Mont acquiert très vite une réputation de prison dont personne ne s'échappe.
Durant la Révolution Française, l'abbaye est à nouveau utilisée comme prison.
Des prêtres, des détenus de droit commun ainsi que des Chouans y sont
enfermés. Cette activité pénitentiaire s'arrêtera en 1863 grâce à
l'indignation de certains intellectuels tel que Victor Hugo.
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1846
Début de l'anesthésie générale à l'éther
Le Dr. William Thomas Green Morton administre, pour la première fois, de l'éther pour amortir la douleur lors d'une opération.

Associé au chimiste Jackson, ils travaillent sur les principes anesthésiants de
l'éther sulfurique. Sûr des propriétés de son produit, Morton permet à
Warren d'opérer de nouveau. Le sujet souffre d'une tumeur du cou. Le 16
octobre 1846, Warren pratique l'ablation de l'excroissance assisté de
Morton sans que le patient ne ressente aucune douleur, ce qui fera dire
au chirurgien : "Nous venons d'assister à un événement capital dans les
annales de la chirurgie ; notre métier est délivré pour toujours de son
horreur". A partir de ce moment, Morton exerce tant auprès de ses
collègues chirurgiens qu'à son cabinet dentaire.
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1847
Publication du roman «Jane Eyre»
«Jane Eyre» est un roman de Charlotte Brontë, publié le 16 octobre 1847 en Angleterre.
Charlotte Brontë, craignant que l'éditeur refuse le manuscrit d'une femme, avait pris le pseudonyme de Currer Bell.
L'histoire est présentée comme l'autobiographie de l'héroïne.

Jane Eyre est le premier roman publié de Charlotte Brontë, dont le livre
précédent, The Professor, avait été refusé par sept éditeurs. Charlotte
Brontë amorce la rédaction de Jane Eyre en août 1846 et l'achève un an
plus tard. Le livre est accepté par la maison d'édition Smith, Elder and
Co. et publié en octobre 1847 sous le pseudonyme de Currer Bell. Le
succès est immédiat au point de précipiter la parution déjà prévue des
romans Les Hauts de Hurlevent et Agnès Grey des sœurs de Charlotte,
Emily (alias Ellis Bell) et Anne (alias Acton Bell). En décembre 1847,
Jane Eyre fait l'objet d'une seconde édition que Charlotte dédie à
William Makepeace Thackeray.

La première traduction française, par Noëmie Lesbazeilles-Souvestre, est publiée en 1854 sous le titre
Jane Eyre ou les Mémoires d'une institutrice.
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1902
Première utilisation des empreintes digitales

Alphonse Bertillon, chef du service photographique de la préfecture de police de
Paris, réalise que les empreintes digitales sont propres et uniques à
chaque personne et qu'elles peuvent ainsi servir à trouver le coupable.

Première utilisation de la comparaison des empreintes digitales pour identifier un criminel par Alphonse Bertillon
Henri-Léon Scheffer

L'affaire Scheffer : une victoire de la science contre le crime ? Le 16 octobre
1902, 107, rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris, on découvre, dans
l'appartement d'un dentiste, le corps de son domestique assassiné. Le
vol semble à l'origine du meurtre. Le voleur, sans doute surpris en
pleine effraction, a laissé de nombreuses empreintes de doigts sur la
vitrine d'un médailler fracturé. Servi par un concours de circonstances
étonnant, Alphonse Bertillon, directeur du service de l'Identité
judiciaire, réussit à les identifier comme étant celles d'un certain
Henri-Léon Scheffer, né en 1876, arrêté et fiché quelques mois plus tôt.
Dans un rapport au juge d'instruction daté du 24 octobre, il démontre
la similitude des empreintes et explique que leur disposition prouve
qu'elles ont été faites après le bris de la vitrine. C'est la première
fois qu'un assassin est identifié, convaincu de meurtre et condamné à
l'aide de ses empreintes : " les seuls dénonciateurs qui ne trompent ni
ne mentent jamais
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1916
À New York, la militante des droits Margaret Sanger ouvre une première clinique de contôle des naissances
Elle nait dans une famille ouvrière d'origine irlandaise, sixième des 11
enfants d'Anne Purcell Higgins qui aura eu en tout 18 grossesses. Avant
1914, elle travaille comme infirmière et sage-femme dans les quartiers
les plus pauvres de New York et doit aider des femmes privées de leur
santé et sexualité ou plus capable d'élever leurs enfants, et qui n'ont
pas accès aux méthodes de contraception pourtant disponibles pour les
plus éduquées, dans un système puritain ou même l'information sur la
contraception par courrier est illégale.



moi qui me suis occupée des années des donneurs de sang avec mon mari je ne pouvais pas ne pas en parler
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La Transfusion Sanguine !! Le 16 Octobre 1914 eut lieu, à l'Hôpital de
Biarritz, la première transfusion sanguine directe de la première guerre
mondiale
Une Histoire tout récente née d'un lointain passé
Depuis le plus haute Antiquité, l'homme a considéré le sang comme un symbole
même de la Vie, la "Rivière de Vie". On lui attribuait la possibilité de
ranimer un organisme épuisé par l'hémorragie, de redonner, si ce sang
était "jeune et frais", force et vigueur au vieillard, ou même le bon
sens au fou. La transfusion du sang ou de ses composants est à l'heure
actuelle une pratique courante. Mais, que de longs tâtonnements, depuis
la découverte en 1628 par l'anglais Williams HARVEY du principe de la
circulation sanguine, avant de parvenir à la sécurité dont bénéficie
maintenant cette opération. On a longtemps pratiqué sur l'homme des
transfusions de sang animal, avec des résultats le plus souvent
catastrophiques, si bien que le Parlement de Paris, dut réglementer ces
pratiques par un arrêt en date de 1668.

Quelques tentatives artisanales continuent cependant à être effectuées ça et là. Elles ne
reposent sur aucune vérité physiologique. Mais, en 1873, un premier pas
est fait lorsque LANDOIS et MULLER démontrent que le sang humain mélangé
à celui d'un animal s'agglutinait en amas visibles à l'oeil nu. Ces
agglutinats traduisaient une incompatibilité qui entraînait la mort du
sujet transfusé. A partir de cette date, on ne pratiquera plus que la
transfusion d'homme à homme. Cependant, des accidents, dont la plupart
étaient mortels continuaient à se produire, ou bien, à l'inverse, on
assistait à des résurrections spectaculaires.

En 1900, LANDSTEINER, fait une découverte capitale. Il constate la possibilité
d'incompatibilité entre divers sangs humains, expliquant ainsi
les succès et les échecs des transfusions. Il démontre que le sang contient
deux sortes de substances particulières : les agglutinogènes dans les
globules rouges et les agglutinines dans le sérum.
Les études de HECKTOEN, de SCHULTZ, et surtout celles de OTTENBERG en 1911, démontrent
qu'il faut tenir compte des groupes d'isoagglutination pour injecter du
sang aux malades. Les groupes I, II, III, IV sont déterminés.
Aujourd'hui, ils sont appelés AB, A, B, O.

Les premières transfusions médicales


Les transfusions de sang sont faites jusqu'alors de bras à bras (
Transfusion sanguine directe ), cette méthode de transfusion fut mise au
point en 1898 par CRILLE, elle consiste à relier une artère du Donneur à
une veine du malade, soit par une canule, soit par une suture qui
entraînait pour le Donneur la perte définitive de son artère radiale. En
1902, le Français FLEIG employa, pour la première fois, du sang rendu
incoagulable, parce que « défribiné » pour la transfusion sanguine.
Cette méthode fut abandonné rapidement.

Isidore COLAS, un breton en convalescence à la suite d'une blessure à la jambe, sauve par le don
de son sang le Caporal Henri LEGRAIN du 45ème d'Infanterie, arrivé
exsangue du Front. Leurs sangs devaient être compatibles puisque
l'opération réussit. A la fin de 1914, 44 transfusions avaient été
pratiquées en France selon ce procédé, avec des résultats intéressants,
malgré la méconnaissance complète des groupes sanguins. Le problème de
la conservation et du transport du sang avait fait l'objet, au début du
siècle, des recherches d'ARTUS, PAGES et PECKELHARING

Dès 1914, HUSTIN utilise les propriétés anti-coagulantes du citrate de soude. Au
début de 1917, HEDON, médecin de Montpellier, démontre que la
transfusion citratée est possible. Les 13 et 15 mai de cette année,
JEANBRAU pratique avec succès les trois premières transfusions de sang
conservé.

Mais de l'utilisation du sang total, les chercheurs en vinrent très vite à la possibilité d'emploi de ses
éléments séparés. Dès 1916, ROUX et TURNER préconisaient la transfusion
d'hématies isolées du plasma, lorsqu'il existe une anémie avec masse
sanguine normale.
Rappelons aussi que ce sont les Français

RICHET, BRODIN et SAINT-GIRONS qui, les premiers, dès 1918 démontrent expérimentalement l'intérêt des injections de plasma.
Plus tard, le plasma fut utilisé dans le traitement des brûlés

Le Docteur Arnault TZANK, mobilisé à l'ambulance chirurgicale du
Professeur GOSSET, y apprend les réussites de JEANBRAU et s'enthousiasme
pour ses méthodes. Dès la fin de la guerre, il se consacre aux
problèmes de la transfusion. Il organise en 1923 le premier centre de
Tranfusion à l'hôpital Saint-Antoine de Paris, avec quelques donneurs de
bras à bras et crée « L'oeuvre de la Tranfusion Sanguine d'urgence

Les premiers résultats qu'il obtient sont spectaculaires : en 1924 le
nombre des morts par hémorragie chez les accouchées de cet hôpital
diminue de douze à une.
Cet établissement, qui a pris en 1926 le nom de « Centre de Transfusion Sanguine et de Recherches Hématologiques »,
reçoit l'année suivante sa consécration officielle par la reconnaissance
d'utilité
publique.

Le pavillon DEUTCH de la MEURTHE y ouvre ses laboratoires à la recherche systématique.
Dès lors, les progrès seront possibles grâce à la ténacité et à
l'abnégation des chercheurs, à l'enthousiasme et à la générosité des
"Donneurs" qui apportereront à la science leur contribution bénévole et
efficace.

En cette année, 270 transfusions de bras à bras au moyen d'une seringue sont réalisées dans la région parisienne. Une
trentaine d'années plus trad il y aura à Paris 200 000 dons de Sang.
Cette progression est identique sur tout le territoire, elle débute dans
les villes de facultés où se trouvent les grands services
d'hématologie, plus particulièremement à Bordeaux, Lille, Lyon,
Montpellier, Strasbourg où s'oragnisent les structures de véritables
centres de Transfusion Sanguine régionaux ou départementaux comme à
Auxerre, Saint-Etienne, Saint-Germain. A Bordeaux, dès 1934, JEANNEREY,
est le premier à préparer et à utiliser du sang conservé, avec
RINGEBACH.
Au début de la seconde guerre mondiale, le centre de Saint-Antoine recueille le sang de volontaires dans des ampoules
citratées que l'on utilise surtout dans les grands centres chirurgicaux
de l'Arrière.
En 1944, consacré " Centre National de la Transfusion Sanguine", il organise le ravitaillement en sang des organismes de
réanimation du front de l'Ouest et de la première Armée Française en
Alsace et dans les Vosges, où il prend le relais des centres d'Alger, de
Tunis et de Rabat créés en 1943 sous l'impulsion de BENHAMOU aidé par
STORA et JULLIARD. Les premières " Journées du sang ", qui sont
organisées dans les grandes entreprises nationales et la population
française dans les zones libérées, soulèvent un admirable élan qui unit
le Front et l'Arrière : train, puis ambulance, puis Jeep, jusqu'aux
postes sanitaires les plus avancés, avec, pour seul idéal, " que nul
blessé ne meure faute de sang ". Il n'est alors utilisé que du sang de
groupe O conservé en flacon de verre et du plasma sanguin liquide.
Pendant ce temps, les Américains et les Anglais mettent au point la
fabrication du plasma sec.
Entre temps, WIENER et LANDSTEINER ont découvert en 1940 un nouvel agglutinogène, qu'ils rendent responsable
d'accidents inexpliqués de la transfusion et qu'ils appelent Facteur
Rhésus, ou Rh.
En 1946, COHN mettait au point les techniques de fractionnement des constituants du plasma sanguin qui sont
principalement : le fibrilogène, les gammaglobulines, l'albumine dont
les propriétés thérapeutiques sont rappelées dans cette brochure.
Après la fin du conflit mondial, la Transfusion Sanguine connaît en France des temps difficiles.
Les nouvelles méthodes de transfusion-réanimation exigent de grandes
quantités de sang. Or, le corps médical a tendance à revenir à la
transfusion directe.
L'emploi du sang frais continue à avoir de nombreux partisans, celui du sang conservé n'est pas en pratique courante.
Dans les hôpitaux on manque de sang. Les donneurs de "bras à bras" sont trop
souvent sollicités en urgence et l'on ne conserve en flacon de verre
que le sang de quelques donneurs "occasionnels".
Comment répondre aux demandes croissantes ?
La solution naît d'un accident fortuit et douloureux.
En mars 1949, une explosion brûle gravement trois personnes dans une petite usine de Vincennes.
Elles sont traitées avec du plasma liquide en très grandes quantités. Le
Maire de Vincennes, au chevet de ses administrés, apprend que le plasma
provient du sang recueilli au Centre de Saint-Antoine dirigé par le
Docteur A. TZANCK. Il propose que les Vincennois viennent offrir leur
sang au centre de prélèvement.
Tout au contraire, il est décidé qu'ils ne se rendront pas à Paris. C'est au centre de se déplacer vers
eux. Il faut qu'on établisse à l'hôtel de Ville un centre de prélèvement
temporaire pour que tous les volontaires puissent venir offrir leur
sang.
Par la suite, on informera largement le Grand Public par voie d'affiches, de radio, de films, de conférences et l'on encouragera la
création de la toute jeune " Association des Donneurs de Sang Bénévoles
".
Cette année-là, la Transfusion Sanguine civile prendra son essor en France.
De grands centres régionaux se créent dans la plupart des villes de
Facultés et avec le concours de la Caisse Nationale de la Sécurité
Sociale et l'aide du Ministère de la Santé, le Centre National
s'installe rue Alexandre Cabanel ( Paris Xvème).
Cet établissement devient une véritable usine de production des dérivés du sang, le plus
important centre de recherches hémobiologiques, avec ses laboratoires
hautement spécialisés. On y délivre un enseignements pour les médecins,
futurs chefs de centres de Transfusion Sanguine.
En même temps commence à se relier le " réseau transfusionnel " Français, avec ses
cabines fixes et ses équipes mobiles de collecte de sang. La Croix Rouge
Française participe activement à cette action, avec les donneurs de
sang bénévoles. Toute une organisation nouvelle doit être créée, un
matériel spécialement adapté doit être conçu.

Par tout les temps, été comme Hiver, jour et nuit, loin de leurs foyers, sur toutes les
routes de France, mais surtout poussées par un dévouement opiniâtre et
sans faille, les équipes Mobiles animées du même idéal que leurs
prédécesseurs, collectent en tous lieux afin que : " Nul ne meure faute
de Sang ".
Après Vincennes, en 1949 ils sont des milliers de mineurs à s'être rendus à Merlebach pour y faire don de leur sang, puis cela fut
le tour de ceux de l'Est, du Nord, du Pas-de-Calais, avant celui des
ouvriers de la sidérurgie, de l'industrie automobile. Les grandes villes
sont appelées à constituer ce que l'on va bientôt désigner sous le
terme de maillon de la " chaîne du sang " : Dunkerque, la première, en
1950, puis des centaines d'autres, aux quatre coins de la France. A
Abbeville, 4853 donneurs, soit 43% de la population, se présentent en
trois jours.
L'élan fraternel est donné. Quels sont les sentiments qui animent ainsi les milliers de donneurs de sang répertoriés en France
dès la création de l'oeuvre Nationale de la Transfusion Sanguine ?
Qu'est ce qui peut bien motiver ces volontaires à faire régulièrement
don de leur sang, sans aucun profit ?

Avant tout il y a chez eux le désir de participer à une oeuvre exaltante de solidarité; la
certitude de rendre un service utile et de remplir son devoir d'homme
sain face au malade ou à l'accidenté; la satisfaction surtout
d'accomplir une geste anonyme et bénévole à l'égard d'un inconnu.

Qui ne connaît ni races, ni religions, ni frontières ? Le DON DU SANG
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mon mari et moi avons ouvert une amicale de DONNEURS DE SANG ((rino en
était le président jusqu'a notre départ )) dans notre ancien village de
1970 a 2013 nous organisions les collectes avec le centre de transfusion
sanguine de Lyon
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Don de sang, don de vie.

Donner son sang, c'est sauver une vie. La transfusion sanguine est
indispensable et vitale dans le traitement de nombreuses pathologies.
Les raisons pour donner son sang sont nombreuses tout comme les besoins
qui sont bien diversifiés. Donner son sang, c'est venir en aide aux
grands malades (cancer, leucémie, sida), aux opérés, aux grands brûlés,
aux femmes enceintes en cas d'accouchement difficile, aux hémophiles, en
cas d'épidémies, aux accidentés de la route mais aussi des catastrophes
naturelles, humaines ou technologiques, dans les cas de situations
d'urgences (attentats, collision de trains, accident d'avions)... À
titre d'exemple, un accidenté de la route peut avoir besoin du sang de
10 à 30 personnes pour s'en sortir. Le sang est irremplaçable : il ne
peut être fabriqué artificiellement. La régularité des dons est
indispensable car le sang ne peut être conservé longtemps (42 jours pour
les globules rouges, 5 jours pour les plaquettes).



Le don de sang : un geste anonyme et généreux.
Les principes éthiques du don du sang sont l'anonymat, le bénévolat,
l'engagement du donneur et le non-profit commercial. 10 000 dons de sang
sont nécessaires chaque jour d'une année pour répondre aux besoins d'un
million de malades en attente de produits sanguins.

Avant le don, un médecin s'assure que vous pouvez donner votre sang sans
conséquence pour vous ni pour les malades qui recevront les produits
issus de ce don (il existe de strictes contre-indications médicales).
Vous devez avoir entre 18 et 70 ans et peser plus de 50 kg.
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voila tout est dit a vous de faire ce beau geste a l'occasion d'une collecte
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16 octobre 1984 : Le corps de Grégory Villemin, petit garçon de 4 ans, est
retrouvé dans les eaux de la Vologne (Vosges). L'enfant a les pieds et
les mains liées. C'est le début de l'affaire Grégory, qui 30 ans après
n'a toujours pas été résolue
**********
16 octobre 1978 : Jean-Paul II est élu pape au Vatican. Le Polonais Karol
Wojtyla devient le 264e souverain pontife, après huit tours d'élection.
Il décédera en 2005 et sera canonisé le 27 avril 2014.
***********
16 octobre 1968 : Naissance d'Elsa Zylberstein. L'actrice a reçu en 2009
le César de la meilleure actrice dans un second rôle pour son rôle dans
le film de Philippe Claudel "Il y a longtemps que je t'aime".
***********
16 octobre 1923 : La Walt Disney Company voit le jour. Les frères Walter
et Roy Disney fondent l'entreprise de divertissement à Los Angeles,
d'abord sous le nom de "Disney Brothers Studios". Mickey sera inventé
cinq ans plus tard.
**********
16 octobre 1879 : Publication de "Nana" d'Emile Zola (en photo). Le
célèbre roman est d'abord publié sous forme de feuilleton dans le
journal Le Voltaire.
16/10/2017 - 11:00

Marc Levy, parfois orthographié Marc
Lévy est un auteur français né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt
et rendu célèbre dès son premier roman, Et si c'était vrai..., adapté
au cinéma en 2005.
Son père, Raymond Lévy, connu comme écrivain et résistant, évadé du train
de déportés qui les emmenait vers Dachau, est évoqué par Marc Levy dans
son ouvrage Les enfants de la liberté. Après guerre, il travaille dans
un magasin avant de reprendre les éditions d'art de son beau-père. Sa
mère est agente immobilière
Marc Levy entre à dix-huit ans à la Croix-Rouge, tout d'abord comme secouriste, et y reste six ans en
poursuivant des études de gestion et d'informatique à l'université
Paris-Dauphine.
En 1983, il crée sa première entreprise avec deux associés (Mickael Bendavid et Xavier Poncin), Logitec France3, basée au
départ dans les locaux du quai Voltaire à Paris puis à
Boulogne-Billancourt (à ne pas confondre avec un certain nombre de
sociétés au nom similaire).
En 1988, il ouvre une unité chargée de développer une carte de traitement d'images à Sophia Antipolis avec les
ingénieurs de la société américaine Spectrum Holobyte. Le projet échoue,
ce qui aboutit en 1989 à la perte de contrôle de la société, qui
déposera le bilan quelques mois plus tard.
Repartant de zéro, à 29 ans, il fonde avec son beau-frère (le frère de sa première femme) un
cabinet d'architecture de bureau, Eurythmic Cloiselec.
En 2000, après l'immense succès de son premier roman de gare Et si c'était vrai aux
Éditions Robert Laffont, Marc Levy démissionne à 38 ans de son cabinet
d'architecture et part habiter à Londres pour se consacrer exclusivement
à l'écriture. L'ouvrage est traduit dans une quarantaine de langues,
publié dans 32 pays et se vend à 5 millions d'exemplaires, restant
classé durant deux ans sur les listes de meilleures ventes. DreamWorks
SKG en acquiert les droits d'adaptation cinématographique. Le film,
intitulé en langue originale Just Like Heaven, réalisé par Mark Waters,
interprété par Reese Witherspoon et Mark Ruffalo, se classe premier du
box-office américain lors de sa sortie en 2005.
Marc Levy est le frère de Lorraine Lévy, auteur de théâtre, scénariste, réalisatrice. Il
est le cousin de Julie Andrieu, son grand-père maternel ayant épousé en
deuxièmes noces la mère de Nicole Courcel
16/10/2017 - 10:39
Pour tous ceux qui aiment voyager.
Quand tous les drapeaux s'inscrivent sur l'écran, vous pouvez en profiter pour faire un tour du monde.... Vous aurez une distraction assurée pour plusieurs heures...  Il suffit de cliquer sur le drapeau du pays de votre choix.  Une carte apparaîtra, avec des tasde lumières scintillantes où vous pourrez choisir.  Vous connaîtrez des lieux enchanteurs.
Et commencez à profiter de votre voyage.

 
Bon voyage !

Clic...............
http://www.alovelyworld.com/
16/10/2017 - 08:52
De tout petits immeubles pots de fleurs.

 
Le studio de design PULL AND PUSH de Kyoto a créé Mansion Planter : ces petits immeubles qui servent de pot de fleur. Ils sont assez minuscules pour tenir dans la paume de la main.
Le mot mansion désigne en japonais et en anglais des ensembles d’appartements.
Ces contenants de ciment, verre et laiton sont conçus pour accueillir des plantes mais peuvent aussi recevoir divers objets petits objets comme des fournitures de bureau.















 






15/10/2017 - 17:43

c'est arrivé un 15 octobre

15 octobre 1998 : Inauguration par Jacques Chirac de la ligne Meteor (ligne 14), la première ligne de métro automatisée à Paris.
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La Marche des Beurs
15 octobre 1983 : Départ à Marseille de la Marche pour l'égalité et contre
le racisme, rebaptisée "Marche des Beurs". Ce jour-là, 17 personnes
prennent le départ dans une relative indifférence mais au fil des jours
le cortège grossit. Sept semaines et 1.000 km plus tard, 100.000
manifestants accueillent la Marche à Paris
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15 octobre 1968 : Naissance de Didier Deschamps à Bayonne. Footballeur
professionnel pendant 16 ans, il est champion du Monde 1998 et champion
d'Europe 2000. Devenu entraîneur en 2001, il est aujourd'hui
sélectionneur de l'Equipe de France.
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Journée internationale de la Canne Blanche

Chaque année, le 15 octobre, au cours de la Quinzaine du Glaucome, a lieu la Journée Internationale de la Canne Blanche.

La canne blanche est le symbole de la cécité et de la malvoyance. Elle
permet aux personnes aveugles et malvoyantes de se déplacer en rue,
prévenant ainsi automobiles et piétons de leur handicap. Il s'agit d'une
invention récente : c'est en 1930 qu'une jeune Parisienne, Guilly
d'Herbemont, en eut l'idée. Elle constata qu'en rue, le public, tant
piétons qu'automobilistes, ne faisaient pas attention aux aveugles.

S'inspirant du bâton blanc des agents de police, elle parvint à convaincre la
Préfecture de police de Paris d'autoriser l'usage de la canne blanche
pour les aveugles et les malvoyants.
Cette initiative audacieuse et novatrice fut bientôt connue et suivie, tant en France que dans le monde entier
En 1969, les Nations Unies ont instauré une "Journée internationale de la canne blanche", fixée au 15 octobre

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1815
Napoléon Bonaparte commence son exil à Sainte-Hélène
Après 72 jours de traversée à bord du "Northumberland", l'Empereur,
prisonnier des anglais, arrive sur l'île britannique de Sainte-Hélène
dans l'Atlantique sud. En regardant les contours lugubres de
Sainte-Hélène il déclare " Ce n'est pas un joli séjour."
Accompagné de quelques fidèles et son valet de chambre, il fut installé dans la
modeste demeure de Longwood sur un plateau dénudé de ce grand rocher.
Il devait y demeurer six ans et y mourir sur l'île le 5 mai 1821
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1917
Exécution de Mata Hari, espionne
"La danseuse d'origine néerlandaise Margaretha Geertruida Zelle, née le 7
août 1876, est fusillée au camp du château de Vincennes. Elle est
accusée d'espionnage au service de l'Allemagne. Elle avait fait ses
débuts à Paris pendant le Belle-époque où elle pratiquait la danse
indonésienne. Elle avait pris le surnom de Mata Hari ("l'oeil de
l'aurore") en s'inspirant du nom d'une princesse javanaise.
Danseuse de charme, Mata Hari avait, selon les juges, accepté de collaborer avec
l'Allemagne en échange de 20 000 marks. Elle s'en défendit, affirmant
que c'était le prix de ses faveurs. Démasquée par l'agent secret H-21,
elle fut arrêtée après son entrevue avec l'attaché militaire allemand,
le major Kalle."
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1940
350 000 juifs sont enfermés dans le ghetto de Varsovie
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les ghettos servent à regrouper des Juifs,
rendant ainsi la situation plus facile à contrôler. Les nazis enferment
les Juifs de Pologne, de Biélorussie, de Galicie dans la partie
occidentale de l'Ukraine (Ghetto de Lvov) dans des quartiers à part
qu'ils clôturent et surveillent, coupés de tout contact avec
l'extérieur, transformés en vastes prisons souvent surpeuplées, mal
approvisionnées avant d'appliquer la déportation systématique vers les
camps d'extermination
C'est dans ce contexte que le ghetto de Varsovie, composé de plus de 350 000 résidents (de 400 000 après des
rapatriements), sombre dans la misère la plus extrême. N'ayant
progressivement plus le droit de sortir en ville, de travailler, les
gens affamés, meurent de faim. Ayant compris que leur sort est sans
issue face aux nazis, la population, sans attendre l'assaut des troupes
nazies, dans la solitude et l'abandon du monde entier, organise un
soulèvement pour tenter de s'échapper, les armes à la main. Sa révolte
héroïque d'avril-mai 1943 est demeurée une page d'histoire
particulièrement tragique de cette époque.
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2008
Journée Mondiale du lavage des mains
Le 15 octobre 2008, la première Journée mondiale du lavage des mains a été célébrée dans de très nombreux pays.
Son objectif principal est de sensibiliser un maximum de personnes sur les conséquences d'une mauvaise hygiène des mains.
L'Unicef, très impliquée dans l'organisation de cet évènement, indique que la
cible principale de cette journée est constituée par les enfants, et ce
notamment dans les écoles: Par un lavage de mains régulier au savon, le
taux de morbidité infantile lié aux maladies diarrhéiques peut être
réduit de moitié.

5 000 décès chaque année
Ce sont les pays en voie de développement qui sont concernés au premier chef par cette
campagne: 5.000 enfants de moins de cinq ans décèdent chaque année des
suites d'une maladie diarrhéique due à l'utilisation d'eaux
contaminées... alors que le "remède" est connu et simple à mettre en
œuvre: se laver les mains après avoir été aux toilettes ou avant de
manger. Le lavage des mains au savon est le moyen le plus efficace et le
moins coûteux de prévenir les maladies diarrhéiques et les pneumonie



15/10/2017 - 17:41
                                            
1000 m² en plein cœur du 6ème arrondissement. Ce n'est qu'après avoir passé
la sobre entrée d'un grand immeuble de la rue de Sèvres que l'on
découvre ce lieu de culte, le plus discret de la capitale. L'église
Saint-Ignace de Paris, baptisée ainsi en l'honneur d'Ignace de Loyola,
fondateur et premier Supérieur général de la Compagnie de Jésus, est en
effet particulièrement bien cachée.
Construite entre 1855 et 1858 à l'emplacement d'un ancien entrepôt de vin en retrait de la rue,
l'Église Saint-Ignace a toujours été dissimulée par des bâtiments. En
1972, les anciens édifices de la rue de Sèvres sont rasés pour laisser
place à l'actuel immeuble, installé, lui aussi, devant l'église. Si ce
n'est la petite pancarte au niveau de l'entrée, rien ne laisse présager
qu'un très joli lieu de culte se cache derrière cet édifice peu avenant.



Lorsque l'on entre, on est invariablement surpris par la taille de la nef principale et on ne peut s'empêcher de se demander comment ces
50 mètres de long pour 23 mètres de large peuvent passer aussi inaperçus
depuis la rue.

L'édifice a beau ne pas posséder de façade devant laquelle s'extasier,
l'intérieur n'en reste pas moins sublime. Ainsi, les petites chapelles
latérales qui accompagnent le vaisseau central sont richement décorées
et particulièrement bien conservée. Chacune d'elle possède son retable
en bois peint et doré ainsi que sa fresque murale. À l'honneur dans cet
insolite église, Ignace de Loyola évidemment, mais aussi la Vierge
Marie, qui nous rappelle le nom du lieu à sa construction en 1855 :
Église de l'Immaculée Conception.


Le seul moyen d'apercevoir l'extérieur de cette église étonnante est de se
placer au niveau du 54/56 du boulevard Raspail. On découvre alors
l'arrière en trapèze de l'abside, mais aussi ses vitraux et sa jolie
pierre de taille.

La boutique Bacqueville, virtuose dans l'art de frapper les médailles ...



Vous êtes-vous déjà demandé où étaient fabriquées les légions d'honneur et autres
distinctions nationales remises chaque année par le Président de la
République le 14 juillet ? Sans doute pas, mais on vous donne quand même
la réponse : elles viennent probablement de cette petite boutique
installée dans la Galerie de Montpensier, au coeur du domaine du
Palais-Royal, depuis 1790. La boutique Bacqueville fait en effet partie
des trois derniers fabricants détenteurs du « droit de frappe » des plus
importantes médailles et décorations françaises (légion d'honneur,
médaille militaire, ordre national du mérite, etc.) ... Une boutique
dans laquelle on entre, en sachant pertinemment que l'on n'achètera
rien, mais qui vaut néanmoins le détour !











Eddy Mitchell, dont la passion pour le cinéma est légendaire et contagieuse,
sera l'invité d'honneur de l'ouverture du 9e festival Lumière qui se
tiendra samedi prochain 14 octobre 2017 à la Halle Tony Garnier à Lyon.

Bertrand Tavernier, Président de l'Institut Lumière qui organise le festival, et
Thierry Frémaux, le directeur, rendront hommage à celui qui inventa
dans les années 1980 une nouvelle manière de parler de cinéma à la
télévision lorsqu'il lança, avec Gérard Jourd'hui, l'émission La
Dernière Séance (du titre de l'une de ses plus célèbres chansons),
dédiée aux classiques du cinéma américain. Eddy Mitchell se faisait
ainsi le mémorialiste des salles de quartier à double programme et
actualités autant que d'un amour du cinéma qui s'exaltait dans la
passion affichée pour les westerns et les films noirs, pour les grands
monstres et les petits maîtres d'Hollywood.
Chanteur, parolier et acteur, passionné de rock n'roll depuis l'âge de 11 ans, Eddy Mitchell
est l'une des plus grandes personnalités de la scène musicale française.
Dans les années soixante, il forma le premier grand groupe de rock
français, Les Chaussettes Noires, qui fera, avec Johnny Hallyday, son
complice de toujours, swinguer la génération yéyé. Quand il devient
chanteur solo, son registre vocal évolue, sa carrière est guidée par ses
passions, avec une grande qualité d'écriture et d'inspiration, un
univers personnel indéfinissable et précieux. Impossible d'énumérer les
plus grands succès du chanteur, de ne pas dire l'admiration qu'il porte à
Chuck Berry comme à Elvis Presley ; impossible aussi de ne pas citer
Toujours un coin qui me rappelle, Pas de Boogie Woogie, Couleur menthe à
l'eau, Le Cimetière des éléphants, Il ne rentre pas ce soir...

Et La Dernière séance, chanson sur la mélancolie et la disparition, qui
devient le titre d'une émission de télévision mythique des années 1980
que le chanteur anime avec style et verve. Car "Monsieur Eddy" est un
authentique amoureux du cinéma dont il connaît l'histoire et l'actualité
sur le bout des doigts. Faussement badin, il fait preuve à l'antenne
d'une érudition et d'une fantaisie qui font merveille auprès du grand
public autant que des spécialistes. Grâce à lui, les films d'André De
Toth, de Gordon Douglas et de Jules Dassin passent en prime time sur les
chaines du service public, qui peut s'enorgueillir de former de
nouvelles générations de cinéphiles (en attendant de reDevant la caméra,
Eddy Mitchell multiplie les rôles, joue un flic chez Jean-Claude
Missiaen avec Gérard Lanvin, tombe amoureux d'un porte-clé chez Marco
Ferreri aux côtés de Christophe Lambert, campe un simple d'esprit
d'anthologie dans Coup de Torchon de Bertrand Tavernier en 1981 et
obtient, en 1995, le César du meilleur acteur dans un second rôle pour
Le Bonheur est dans le pré d'Étienne Chatiliez. Alternant films et
chansons, on le retrouve chez Claude Lelouch pour Salaud, on t'aime – il
tourne actuellement le premier film de Christophe Duthuron,
l'adaptation d'une BD à succès, Les Vieux fourneaux, avec Pierre Richard
et Alice Pol.

En cinquante ans de carrière, Eddy Mitchell n'a jamais arrêté de chanter, d'enregistrer des albums, tous remarquables,
et de prendre la route des concerts : l'été dernier, il était encore sur
scène avec Johnny Hallyday et Jacques Dutronc pour la tournée des
Vieilles Canailles. commencer un jour ?).
il rencontrera le public dimanche 15 octobre à 11h15 au Pathé Bellecour
et présentera Coup de torchon dimanche 15 octobre à 17h30 au Pathé Bellecour.
Eddy Mitchell vient compléter une belle délégation d'artistes auxquels le
festival rend hommage dans ses premiers jours : Tilda Swinton, Michael
Mann, Guillermo del Toro, Alfonso Cuarón ou Jean-François Stévenin
(suivis dans la semaine par Diane Kurys, William Friedkin, Anna Karina,
Jean-Paul Rappeneau ou Nicolas Winding Refn). Toutes ces personnalités
seront accompagnées de nombreux autres invités pour ouvrir, avec les
5000 spectateurs, la grande fête du cinéma classique
15/10/2017 - 09:52
Barrage de Derbyshire,Angleterre.


























Ce cadre paisible dans la vallée Derwent du Derbyshire, en Angleterre, sert de cadre improbable pour la naissance de la révolution industrielle au le18ème siècle, il était bourdonnant d'innovation. C'est ici que l'inventeur Richard Arkwright a créé des machines pour fabriquer des textiles plus rapidement et d'un haut niveau de qualité,dans une usine moderne. Situé dans la Parc national de Peak District, cette région a un statut  historique. Même le barrage Derwent, montré ici, a un histoire unique. Le barrage a servi de site d'entrainement pour les pilotes de la Seconde Guerre mondiale:ils se sont préparés à l'opération Chastise, alias Dam Busters, une attaque de 1943 qui a brisé deux barrages allemands et provoqué des inondations catastrophiques.