Petites superstitions.. Il est recommandé de faire un voeu lorsqu'on rencontre un chat noir, qui est un bon présage et porte chance. Aux Etats-Unis, le chat qui fait sa toilette dans l'encadrement d'une porte annonce la visite d'un ecclésiastique.
Il existe plusieurs superstitions sur les fleurs qu'on offre à un malade : les fleurs rouges sont tout à fait adaptées car elles représentent la vie; par contre, il vaut mieux éviter les blanches. Les fleurs violettes sont synonymes de bienveillance de la part de la personne qui les offre. Dans tous les cas, il faut éviter de déposer les fleurs sur son lit pour ne pas lui porter malheur.
Selon une tradition, les toiles d'arraignées auraient le pouvoir d'arrêter les hémorragies (à condition qu'elles ne soient pas trop profondes).
Si la nouvelle lune tombe un samedi ou un dimanche, il faut s'attendre à de la pluie Tu veux que je te dise ce que tu es ? Un couard, un lâche, un poltron, une poule mouillée !"
- "Ce n'est pas vrai, Nénette ! Je suis un homme courageux, moi ! La preuve, c'est que je me suis marié avec toi."
La nécropole de la Basilique Saint-Denis. La cathédrale gothique de Saint-Denis abrite un grand musée de sculptures funéraires. C’est en effet dans cette basilique dédiée au premier évêquede Paris que les rois de France ont trouvé une sépulture.
Une dernière demeure pas si tranquille que cela : durant la Révolution, la colère des Parisiens s’est reportée sur les tombes des monarques qui onttoutes été profanées. Que l’on se rassure, le lieu a retrouvé sa quiétude. Et même les soirs de célébrations au Grand stade, que ce soit lors des matchs ou des concerts géants, les vivats de la foule ne troublent pas la tranquillité du lieu. Qui se visite incognito hors des sentiers battus. Un trésor bien gardé. Replongeons-nous dans l’âge mérovingien. A cette époque, Saint-Denis s’appelle La Franciade. C’est une grande foire où s’échangent, aux portes de Paris, des marchandises parfois venues de très loin. Témoins ces milliers d’objets retrouvés dans les sous-sols au cours de fouilles qui avaient tout de pêches miraculeuses : un bonnet tricoté, une paire de patins à glace, une tablette d’écriture en ivoire, des statuettes à l’effigie du premier évêque de Paris, la tête tranchée reposant dans sa main… Car la légende de Saint-Denis veut qu’il ait parcouru 6 km, la tête coupée, avant de s’effondrer. C’est à cet endroit que l’on a d’abord construit une abbaye, puis une cathédrale fréquentée par des milliers de pèlerins. L’abbé Suger, un génial bâtisseur C’est sur l’emplacement de l’ancien édifice carolingien que l’abbé Suger, « l’inventeur » du gothique conçoit, à la fin du XXIè siècle, un bâtiment à l’élévation impressionnante, posé sur une forêt de colonnes et éclairé par des ouvertures immenses ornées de vitraux multicolores.
Le style fait rapidement école et le nord de la France se couvre de bâtiments religieux à la modernité étonnante et qui rivalisent d’audace. Monarques endormis Au-delà de la beauté du lieu, c’est la nécropole royale – elle se visite tous les jours à 11 heures et 15 heures et le dimanche à 12h30 et 15 heures -qui donne à Saint-Denis tout son intérêt. 42 rois, 32 reines, 60 princes et princesses y ont reposé. Devenu musée, le site ouvre sur une première série de 70 « gisants », impressionnantes figures de calcaire aux yeux ouverts commandées par Saint-Louis à la mémoire de ses ancêtres. 1 - Buste de Marie d'Anjou, épouse de Charle VII et ainsi Reine de France de 1422 à 1461. 2- Tombeau de François 1er, de Claude de France et de leurs enfants.
Il ne faut pas manquer la chapelle des Bourbons avec le petit cœur de Louis XVII conservé dans un vase de cristal rempli d’alcool. Dans une boîte posée en hauteur, des « parties du corps » du Roi Soleil rescapées des pillages successifs. Des mausolées célèbrent la mémoire des grands souverains à commencer par celui du bon roi Dagobert, le premier à être enterré ici. Voici la sacristie de la basilique de Saint-Denis, lieu de cérémonie. Si le temps le permet, une escapade dans les environs permet de découvrir,à deux pas, une ancienne abbaye qui abrite aujourd’hui l’internat de laLégion d’honneur. 400 jeunes filles de 10 à 18 ans y font leurs études et apprennent les bonnes manières, en uniforme et loin des tentations du monde.
Balade dans HanoÏ Capitale du Vietnam. Hanoï est la capitale du Viêt Nam. Située au nord du pays, sur les rives du delta du fleuve Rouge, sa population est estimée à environ sept millions d'habitants en 2013, dont 2,6 millions dans la ville-centre... Wikipédia Superficie : 3 329 km² Météo : 31 °C, vent N à 5 km/h, 75 % d'humidité Population : 7,588 millions (2015) CLIC..........Hungry In Hanoi from Alex Schiller on Vimeo.
En 2010, Hanoi célèbre l’anniversaire du millénaire de sa longue histoire. Hanoi est restée authentiquement vietnamienne bien que forgée par deux cultures, chinoise et française, qui ont apporté leur contribution au physique et au caractère unique de la ville. Hanoi signifie "la ville en deçà du fleuve". Elle s’étend sur la rive occidentale du fleuve Rouge (Sông Hồng), venu des montagnes chinoises duYunnan. Hanoi est sans doute une des capitales les plus captivantes d’Asie du Sud-Est. Une belle ville à taille humaine, profondément humaine, qui plaira aux trekkeurs urbains.
“Vous rêvez de connaître l’Extrême Orient ? Partez pour un fabuleux voyage au Vietnam où vous attendent des gens chaleureux, des cultures originales, des paysages variés. Nos circuits vous offrent la possibilité d’admirer les rizières en terrasse dans la région de Sapa ou Ha Giang, de se réveiller en milieu de la magnifique baie d’Halong...De marquer des étapes dans les hauts plateaux, de découvrir le Millénaire de Thang Long-Hanoi et la vieille ville de Hoian...De ressentir la vie pleine de sérénité des gens qui vivent sur les rives du Mékong. Partez au Vietnam pour profiter d’une expérience inoubliable dans une vie. Voyage Vietnam est une agence de voyage sur mesure qui possède de nombreuses années d’expériences dans le domaine du tourisme. Une équipe dynamique, enthousiaste, expérimentée et compétente, toujours prête à aider ses clients en cas de difficultés ou d’urgence. Nous avons le plaisir de vous proposer des circuits personnalisés, inédits et organisés avec tout l’enthousiasme des passionnés et dans le respect absolu des produits touristiques ! En outre, nous nous engageons à fournir à nos un service de grande qualité.”
Découvrez deux des pays de l’ancienne Indochine française grâce à ce circuit sur leurs patrimoines historiques, culturels et naturels. Des paysages époustouflants de la baie d’Along à la charmante ville fluviale de Hoi An, de la magie du Mékong aux temples exaltants d’Angkor, préparez-vous à faire un voyage inoubliable ! Vous y ferez une découverte complète du Vietnam avec ses paysages somptueux et variés, ses villes et sa campagne, ses fleuves et ses plages, ainsi que ses richesses ethniques, par une traversée de hautes montagnes à à l’ile de Phu Quoc à l’extrême Sud, en passant par Hue et Hoi An.
Le village des dômes anciens rouges au bord du fleuve Tien..... Dans votre voyage au Vietnam, une croisière au long du fleuve Tien devient parfaitement pour visiter le Delta du Mékong, alors les touristes a une bonne chance pour admirer un groupe d’architecture exotique mais absolument extraordinaire, le village des dômes anciens rouges. Ces étranges dômes ne sont pas un château oublié ou une pyramide perdue … mais un groupe de four à briques. Toutes ces architectures restent tranquillement au bord de la rivière depuis plus d’un siècle en tant qu’un village d’artisanat traditionnel, le village de briques de An Hiep.Alors, voici ce lieu de village de briques exotiques vous accueille dans votre tour au Delta du Mékong pour vous impressionner avec son charme ultime. “La véritable voyage de découverte ne consiste pas à recherche de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux”
Géographie Hanoï se trouve sur le Delta du Fleuve Rouge qui charrie ses eaux boueuses vers le golfe du Tonkin, à une altitude inférieure à celui-ci, ce qui la rend vulnérable aux inondations. ToponymieSon nom varia au cours des siècles : Kecho, Dai La, Thang Long, Dong Kinh , signifiant « capitale de l'Est »), qui fut latinisé en Tonkin. Le nom de Tonkin désigna ensuite la province entourant la ville, c'est-à-dire le Nord du Viêt Nam actuel. Le nom Thăng Long est encore parfois utilisé de nos jours comme nom littéraire et poétique de la ville... Il signifie « dragon qui se dresse », contrairement à Ha Long (« dragon qui descend »). Le nom vietnamien de la ville se décompose en : hâ (« cours d'eau ») et ņôi (« entre »), donc Hanoï est donc « [la ville] entre les cours d'eau ». Hanoï est membre des associations Asian Network of Major Cities 21 et C40 Cities Climate Leadership Group. Spécialités CulinairesHanoï, comme le reste du Viêt Nam, est connue pour sa gastronomie . Les principales spécialités de la ville sont, entre autres, les nems de Hanoï, la soupe phở où dominent la Phở Bò au bœuf et la Phở Gà au poulet, les beignets de crevettes et beignets de calamar, le Bánh cuốn.
Hommage aux milliers de personnes qui ont perdu la vie le 11 septembre 2001, le mémorial du 11 septembre est un monument sombre et poignant qui marque autant les touristes que les habitants de la ville.
Au cœur du quartier de Lower Manhattan et de son activité frénétique, un édifice appelle à la quiétude et au recueillement. C'est le mémorial et musée national du 11 septembre qui rend hommage à toutes les victimes des attentats terroristes perpétrés le 11 septembre 2001.
Suite aux attentats, l'ancien emplacement du World Trade Center est devenu le théâtre de vives émotions. En ce lieu nommé Ground Zero, les survivants, les familles des victimes et le gouvernement ont voulu honorer la mémoire des disparus. Le site, qui invite aujourd'hui au recueillement, a aussi maintenant une vocation nouvelle : servir d'oasis pour que les gens qui travaillent dans le quartier, les touristes et tous ceux de passage puissent passer un moment paisible sur une superbe place paysagée. À l'emplacement même des deux anciennes tours jumelles, deux immenses bassins en miroir sont dotés chacun d'une cascade symbolisant la perte de vie et d'espace physique due aux attentats terroristes. Autour de ces bassins sont gravés les noms des 2 977 victimes. Ce mémorial est entouré d'une esplanade de plus de 2,5 ha, agrémentée de 400 arbres : la Memorial Plaza. Près de là a été découvert dans les décombres des tours jumelles le « Survivor Tree », un petit poirier sévèrement brûlé, qui, contre toute attente, a survécu et se dresse désormais fièrement, tel un symbole florissant d'espoir. Sous la Memorial Plaza se trouve le musée du mémorial du 11 septembre qui a ouvert ses portes en 2014. Sur la place, l'extérieur du pavillon d'entrée du musée a été conçu pour ressembler à une partie de l'une des tours jumelles tombée au sol. Le musée expose des objets recueillis juste après les attentats. Le mémorial et le musée du 11 septembre sont situés dans le quartier du Lower Manhattan, accessible en bus ou en métro. L'accès au mémorial du 11 septembre est gratuit mais vous devez vous procurer un pass visiteur. Pour plus d'informations, consultez le site Web officiel du mémorial du 11 septembre.
L'ANSE AUX MEADOWS SUR L'ILE DE TERRE NEUVE CANADA
L'Anse de Meadows est un site archéologique situé sur l'île canadienne de Terre-Neuve et inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO dès 1978. Ce site incroyable recense les vestiges d'un établissement viking du Xième siècle, attestant de la présence européenne en Amérique du Nord bien plus tôt que ce qui est raconté. L'Anse de Meadows permet d'admirer une dizaine de bâtiments tels qu'une scierie, une forge ou des habitations.
En visite, vous pourrez découvrir trois huttes vikings, des vestiges archéologiques, un musée ainsi que plusieurs activités éducatives qui plairont aux petits et grands.
Cartes à jouer du XIXe siècle : cartomancie et politique alimentent l’imagination des cartiers.
Dès les premières années de l’Empire, les cartes révolutionnaires sont non seulement délaissées, mais proscrites. Mais, si le XIXe siècle naissant marque l’avènement, non seulement des cartes cartomanciennes, les cartiers profitant promptement de la soif d’un peuple de connaître son destin au lendemain d’une période de sanglants troubles institutionnels et militaires, mais encore des cartes politiques à la faveur des nombreux changements de régime gouvernemental, les symboles républicains tentent, en vain, un retour en force pour le centenaire de la Révolution. Sous le Premier Empire, les dames des cartes à jouer s’appelèrent transitoirement : Hildegarde, Statira, Calpurnie, Abigaïl ; et les valets : Ogier, Parménion, Curion et Azraël. Le roi de carreau représentait fréquemment Napoléon Ier en empereur romain, ayant à ses pieds le globe du monde. On publia aussi, exceptionnellement, des jeux rappelant les scènes militaires del’époque. Nous aurions donc peu de choses à dire des cartes de cette période, aussi bien que de celles éditées sous la Restauration s’il ne convenait de signaler les cartes cartomanciennes qui eurent une grande vogue alors. En ces temps troublés, où l’avenir était si incertain, et où l’ignorance offrait un terrain de culture tout préparé à la superstition, les devinset les devineresses pullulaient. Leur clientèle s’étendait à presque toutes les classes de le société.Aussi a-t-on peine,si l’on ne fait lapart des circonstances, à comprendre la vogue dont purent jouir la célèbre Mme Lenormand et le fameux Etteila, de son vrai nom Alliette, garçon coiffeur du temps de la Révolution, et auteur du livre de Thoth qui est encore aujourd’hui le code de la cartomancie. Les règles prescrites par ce manuel sont tellement absconses qu’elles sont de nature à enlever à tout jamais aux gens affairés l’ambition d’apprendre à tirer les cartes. Carte de 1868 du grand jeu de Mademoiselle Lenormand
Tout d’abord il faut savoir que la bonne aventure classique ne se tire pas avec les cartes du jeu de piquet ou de whist, mais avec soixante-dix-huit tarots, dont vingt-deux, portant chacun une figure symbolique, forment les arcanes majeures. Les cinquante-six autres se divisent en quatre couleurs : bâtons, coupes, épées et deniers correspondant aux trèfles, cœurs, carreaux et piques des jeux ordinaires. Mais elles comprennent chacune quatre figures au lieu de trois : le roi représentant l’homme, la dame représentant la femme, le cavalier représentant le jeune homme et le valet représentant l’enfant. L’homme est le créateur, celui qui fait les entreprises ; la femme caractérise l’amour ; le jeune homme les luttes, rivalités et haines ; l’enfant symbolise le neutre, l’argent. Les quatre figures de bâtons et d’épées représentent des bruns ; les quatre figures de coupes et de deniers les blonds. Les figures de bâtons et d’épées sont bonnes, les autres mauvaises. Nous ne donnerons pas ici, ne serait-ce qu’un aperçu des prédictions qui se peuvent obtenir avec ces élément dont la signification varie suivant le voisinage des cartes. Qu’on sache seulement que les révélations obtenues avec les tarots que nous venons d’évoquer constituent « le grand jeu ». Celles qui s’obtiennent avec des cartes ordinaires se livrent au rabais et n’ont pas la même portée solennelle. Mais la difficulté de devenir docteur en cartomancie, et l’impossibilité où se trouveraient la plupart des gens de venir consulter dans le cabinet d’une célébrité à la mode, inspira aux cartiers spéculateurs l’idée d’imprimer des jeux où se trouveraient inscrites les indications rudimentaires du sens de chaque carte. Un de ces jeux eut pour marraine l’illustre Mme Lenormand. Carte Victor Hugo
Après la révolution de 1848, l’horizon politique étant nuageux, et les joueurs appartenant par fractions presque égales à des opinions très diverses, les cartiers imaginèrent pour contenter tout le monde, de représenter sur leur cartes les emblèmes de la monarchie légitime, de lamonarchie constitutionnelle, de l’Empire et de la République. Pour cela, ils affublèrent le pique d’une fleur de lys, le carreau d’un aigle. Le triple symbole de l’orléanisme récemment déchu n’eut pas de marque particulière, mais le coeur fut surmonté du niveau égalitaire de la République qu’on venait d’acclamer.Les rois s’appelèrent Henri IV, Napoléon Ier,Louis-Philippe. les dames Marguerite, Joséphine, Marie, Amélie, les valets représentèrent un page, un chambellan, un valet. Le coeur portait deux représentations distinctes de la République avec pour valet un licteur romain et un piquet, pour annoncer les quatorze de rois ou de dames. Force était de dire : « Quatorze de régime ! ». D’où le nom donné à ces cartes. Avec le Second Empire nous revenons aux modèles anciens. Quant à la troisième République elle eut, à ses débuts, d’assez graves préoccupations pour qu’aucun de ses électeurs n’ait eu la distraction de songer à modifier les jeux de cartes. Il nous faut arriver en 1888, trois ans après la mort de Victor Hugo, pour constater l’édition d’un jeu destiné à commémorer la gloire d’un grand poète.Il occupait dans les trente-deux cartes la place d’honneur, celle du roi de coeur, et le cartier, pour compagnons lui avait assigné Thiers, Mac-Mahon et Grévy, les trois premiers présidents de la République. Les dames représentaient la science, le commerce, l’industrie et l’agriculture. Quant aux valets, ils s’appelaient Molière, Voltaire, Racine et Gambetta. Carte républicaine de Lenoir en 1889
Mais l’année 1889, date du centenaire de la Révolution, ne pouvait se passer sans inspirer à quelques cartiers l’ambition de marcher sur les brisées de David. L’un d’eux, nommé Lenoir, imagina de lancer les vraies cartes républicaines. Les couleurs étaientainsi désignées : Coeur : Liberté, représenté par une étoile ; Carreau : Égalité, représenté par un compas et une équerre ; Trèfle : Fraternité, représenté par deux mains ; Pique : Socialité, représenté par le bonnet phrygien. Les rois se nommaient des fondateurs. C’étaient Guillaume Tell, Washington,Brutus et Camille Desmoulins. Les dames s’appelaient des vertus, à savoir l’égalité, la liberté, la fraternité et la socialité déjà mentionnées. Quant aux valets, sous le titre de soutiens, ils symbolisaient l’agriculture, la justice, l’armée et le travail. Lenoir avait demandé des représentants dans toutes les communes de France pourla vente de son jeu, et pour allécher les clients répandait à profusion une mirifique affiche, entourée d’un liseré tricolore et des phrases suivantes :« Il y a presque vingt ans que nous sommes en République et presque un siècle que nous avons proclamé les Droits de l’homme et nous en sommes toujours réduits à nous servir des expressions : quatorzed’as, qui ne signifie pas grand chose ; quinte au roi, quand nous n’en voulons plus dans nos institutions ; tierce à la dame, nom que l’on donnait aux Dubarry, Pompadour et autres maîtresses de roi ; quatrième au valet, valet de chien de fauconnerie ! « Remplaçons ces appellations surannées qui blessent nos convictions d’hommes libres et demandons aux cafetiers et marchands de vins, qu’à l’avenir ils ne nous présentent, pour faire notre partie, que le nouveau jeu de cartes républicain... et alors nous entendrons, avec plaisir, les joueurs annoncer ainsi leurs points : Quatorze d’emblèmes ! quinte au fondateur ! tierce à la vertu ! quatrième au soutien ! Et lorsqu’on demandera en quelle couleur ? au lieu de coeur, carreau, trèfle ou pique, nous dirons : en Liberté ! en Égalité ! en Fraternité ou en Socialité ! » Carte républicaine de Lenoir en 1889
Mais les joueurs, sans souci des tentatives de culpabilisation de Lenoir, n’accordèrent qu’une attention dédaigneuse à son invention. Il est probable qu’ils se fussent montrés aussi indifférents à l’égard des cartes dites patriotiques, éditées en vue de la propagande boulangiste, si à leur occasion un décret fort commenté dans la presse, n’avait, le 28 mars 1889, interdit aux cartiers la fabrication des cartes différentes des moulages officiels. La prescription valut une heure de célébrité à ces cartes où Boulanger, roi de cœur, était entouré de Courbet, Chanzy et Denfert-Rochereau, avec pour dames Jeanne d’Arc, l’Alsace, la Lorraine et la République ; pour valets un cuirassier, un marin, un cultivateur et un ouvrier ; pour as un œillet, une ancre, une abeille et la croix de la Légion d’honneur. La caricature s’empara de l’événement et Alfred Le Petit, dans le Pilori, dessina quelques spécimens assez amusants des cartes proposées par lui comme modèles officiels. Depuis lors la verve des cartiers s’est tue. Observons cependant que le décret de 1889 n’empêchait pas la publication, après autorisation préalable, de certains modèles de cartes de luxe d’ailleurs très peu demandés par le public. On admit aussi la fabrication, de plus en plus restreinte, de quelques types en usage dans de rares départements, tels les tarots de Besançon, et les alluettes de Bretagne et de Vendée.
On l'avait trouvé adorable sur les photos et vidéos dévoilées jusqu'à présent, mais la photo officielle du prince George publiée vendredi dépasse nos espérances.. n a suivi la rentrée du prince George (presque) comme celle de nos enfants. On l'a vu se rendre jusqu'à l'école, main dans la main avec son papa, le prince William, dire bonjour, intimidé, à la directrice de l'école, habillée comme si elle se rendait à un mariage... Mais nous n'avions pas encore pu étudier en détail la photo officielle. Ne nous remerciez pas, la voici ! A côté de son père, le duc de Cambridge, qui se contente d'un sourire crispé, le prince George affiche un sourire franc, une main dans la poche, l'autre qui lui sert à se tenir à son père... Le petit garçon de 4 ans a aussi un pied en l'air. Le genre de photos qui ferait craquer n'importe qui. Quand Kensington Palace affirme partager une « adorable photo » du potentiel futur roi d'Angleterre, on peut dire qu'on ne se moque pas de nous.
Petites superstitions... Selon une légende anglaise, si au printemps les feuilles du chêne apparaissent avant les feuilles du frêne, il faut s'attendre à un bel été. En cas contraire, il sera pluvieux.
Quand on dépense ou qu'on reçoit de l'argent un lundi, la même chose se reproduira tous les autres jours de la semaine.
Dans la plupart des pays d'Europe, l'apparition d'une coccinelle est un présage heureux, surtout si elle se pose sur nous.
Si l'on ressent une démangeaison à l'oreille droite, cela signifie que quelqu'un est en train de dire du mal de nous; au contraire, si c'est l'oreille gauche, c'est que quelqu'un dit du mal.
"Espèce de maladroit ! Regardez ma femme... J'exige une indemnité !"
- "Allons, allons... Je l'ai renversée, mais elle n'est pas morte... !"
11 SEPTEMBRE 1917 : GUYNEMER DISPARAÎT septembre 1917, le temps est un peu frais mais clément. C'est un temps pour voler, « un temps à Boche », comme le dit souvent Georges Guynemer, héros de l'aviation française à seulement 22 ans. Déjà crédité de 53 victoires, il est couvert de prestigieuses médailles qui viennent récompenser son audace, sa fougue, son ardeur patriotique : il est officier de la Légion d'honneur, titulaire de la médaille militaire, de la croix de guerre avec 25 palmes. Il est aussi décoré de nombreux ordres étrangers. Ce 11 septembre, il part comme à chaque fois que le climat le lui permet, en patrouille avec ses coéquipiers. Il y a deux groupes : une patrouille basse qui va servir d'appât pour l'aviation ennemie et une patrouille haute, composée du capitaine Guynemer et du sous-lieutenant Jean Bozon-Verduraz. Les deux groupes d'aviateurs partent vers 8 h 30 de l'aérodrome de Saint-Pol-sur-Mer et rejoignent la ligne des Flandres, vers Bischoote-Langemark. C'est un secteur que Guynemer connaît bien pour y avoir remporté quelques victoires. Après une heure de vol, Guynemer et son ailier remarquent la présence d'un avion de reconnaissance allemand. D'un battement d'ailes, le jeune capitaine avertit Bozon-Verduraz qui va le prendre en chasse. Ce qu'il fait. Au même moment, le sous-lieutenant aperçoit au loin un groupe de huit avions ennemis qui s'approchent d'eux. Bozon-Verduraz se souvient des cours appris à l'école d'aviation et joue les appâts. Après avoir entraîné les avions ennemis au loin, il revient à son point de départ. Mais il ne trouve aucune trace de Guynemer et de son avion, le Vieux Charles. À court d'essence, il rentre à Saint-Pol-sur-Mer. Dans l'escadrille, on attend Guynemer. Il est 10 h 30. L'inquiétude gagne. Un avion ne peut voler trois heures avec un plein d'essence. Guynemer s'est-il posé quelque part en raison d'une panne, comme cela s'est produit quelques jours auparavant ? Sur ordre du commandement, on téléphone dans les aérodromes amis, on forme des patrouilles pour rechercher Guynemer. Ces dernières ne trouvent rien. Quand la nuit arrive, il faut se rendre à l'évidence : Guynemer a disparu. Sur le carnet de vol, Bozon-Verduraz écrit : « Mardi 11 septembre 1917 : patrouille. Le capitaine Guynemer, parti à 8 h 25 avec le sous-lieutenant Bozon-Verduraz, disparaît au cours d'un combat contre un biplan au-dessus de Poelcapelle » (sic). Les recherches se poursuivent les jours suivants. Jusqu'à ce que la résignation l'emporte. Le 26 septembre, les autorités françaises se résignent à publier un communiqué laconique : « Dans la matinée du 11 septembre, le capitaine Guynemer, parti en reconnaissance dans la région des Flandres, s'est trouvé, au cours des péripéties d'une poursuite d'avion ennemi, séparé de son camarade de patrouille et n'a pas reparu depuis. Tous nos moyens d'investigation mis en jeu n'ont donné, jusqu'à ce jour, aucun renseignement complémentaire. » Que s'est-il passé ? La version la plus probable est que Guynemer a été tué en combat. Que son avion s'est écrasé à Poelkapelle, entre les lignes anglaises et allemandes. De puissants tirs d'artillerie ont labouré le terrain. Ce qui explique que l'on n'a rien retrouvé : ni son corps, ni l'avion. ************ 11 septembre attentats contre le World Trade Center et le Pentagone Le 11 septembre 2001, pour la deuxième fois de leur Histoire après la guerre anglo-américaine de 1812, les États-Unis sont agressés sur leur propre sol. Quatre avions de ligne sont détournés par des terroristes islamistes de la mouvance al-Qaida.
Deux s'écrasent avec leurs occupants sur les tours jumelles du World Trade Center, à New York, et un troisième sur le Pentagone (le ministère des armées), à Washington. Le quatrième s'écrase dans un bois de Pennsylvanie, les passagers ayant tenté au sacrifice de leur vie de maîtriser les terroristes. Au total, environ 3 000 morts et disparus.
L'effondrement des tours ayant été filmé en direct, l'émotion est immense dans le monde. Les Américains sont d'autant plus consternés que le chef du commando terroriste, Mohammed Atta, jeune architecte d'origine égyptienne, donnait l'apparence d'être bien intégré dans leur société, tout comme ses acolytes.
Le président George Bush Jr, après un moment d'égarement, engage le fer contre al-Qaida et son chef mystérieux Oussama Ben Laden, héritier d'une richissime famille d'Arabie séoudite originaire du Yémen, très proche des cercles du pouvoir de Riyad.
Moins d'un mois plus tard, une coalition internationale envahit l'Afghanistan, où Ben Laden a trouvé refuge auprès des talibans islamistes.
Au bout de quelques mois de frappes militaires, le gouvernement américain et ses alliés caressent l'espoir d'avoir vaincu l'hydre terroriste. Ben Laden lui-même est abattu dans son repaire pakistanais, le 2 mai 2011, soit dix ans après les attentats...
En dépit de leur retentissement médiatique, les attentats de New York et Washington inaugurent une décennie relativement peu meurtrière, en définitive comme la moins belliciste dans le monde depuis au moins un siècle. Cette première décennie du XXIe siècle s'achève sur les révolutions arabes, perçues comme un pied-de-nez aux terroristes d'al-Qaida et à l'islamisme apparu vingt ans plus tôt en Iran. Elles vont malheureusement tourner court. *********** 11 septembre 910Fondation de l'abbaye de Cluny Le 11 septembre 910, le duc d'Aquitaine Guillaume Ier, dit « le Pieux », cède un bout de lande à un groupe de douze moines bénédictins.
L'endroit s'appelle Cluny. Situé non loin de la Saône, il est appelé à devenir une abbaye, la plus illustre et la plus grande du monde occidental grâce aux privilèges dont elle a été dotée à sa naissance.En stipulant que les moines éliront librement leur abbé et ne relèveront que de la juridiction du pape, elle fait oeuvre révolutionnaire.
Grâce à son indépendance, l'abbaye va très vite se développer et rayonner dans tout l'Occident. Des moines issus de Cluny relèvent de nombreux monastères en déconfiture, comme Saint-Benoît-sur-Loire ou Saint-Maur-des-Fossés, et en créent de nouveaux. On compte bientôt plus de mille communautés clunisiennes en Europe. L'abbaye bourguignonne devient le centre d'une congrégation, c'est-à-dire d'un ensemble d'abbayes-filles dont les abbés obéissent à celui de Cluny. *********** Salvador Allende 26 juin 1908 à Santiago (Chili) - 11 septembre 1973 à Santiago (Chili) Né le 26 juin 1908 dans une riche famille de la bourgeoisie franc-maçonne du Chili, Salvador Allende suit une formation de médecin tout en s'engageant en politique. Il participe à vingt ans, en 1933, à la fondation du Parti socialiste chilien.
Salvador Allende (Santiago-du-Chili, 26 juin 1908 - 11 septembre 1970), avec sa femme Hortensio Bussi et sa fille Isabel (DR)En 1939, il devient ministre de la Santé dans un gouvernement de Front populaire et tente d'imposer par la loi la stérilisation des malades mentaux !... Avant d'être mise en oeuvre par Hitler et donc disqualifiée, cette démarche eugéniste était en effet présentée par les milieux progressistes, de la Suède au Chili, comme une évidence.
Il échoue une première fois à l'élection présidentielle en 1952, à la tête d'une coalition de gauche, le FRAP (Front d'action populaire), puis une nouvelle fois (d'extrême justesse) en 1958. Il se console avec la présidence du Sénat où se fait jour son sens du dialogue et du compromis. Une troisième fois candidat à la présidence en 1964, il échoue face à Eduardo Frei. La quatrième tentative, le 4 septembre 1970, sera la bonne 11 septembre 1973Mort tragique de Salvador Allende Le 11 septembre 1973, au Chili, le gouvernement d'Unité Populaire est renversé dans des conditions dramatiques. Le président socialiste Salvador Allende, élu trois ans plus tôt, est conduit au suicide. ***********
Il est recommandé de faire un voeu lorsqu'on rencontre un chat noir, qui
est un bon présage et porte chance. Aux Etats-Unis, le chat qui fait sa
toilette dans l'encadrement d'une porte annonce la visite d'un
ecclésiastique.
Il existe plusieurs superstitions sur les fleurs qu'on offre à un malade :
les fleurs rouges sont tout à fait adaptées car elles représentent la
vie; par contre, il vaut mieux éviter les blanches. Les fleurs violettes
sont synonymes de bienveillance de la part de la personne qui les
offre. Dans tous les cas, il faut éviter de déposer les fleurs sur son
lit pour ne pas lui porter malheur.
Selon une tradition, les toiles d'arraignées auraient le pouvoir d'arrêter
les hémorragies (à condition qu'elles ne soient pas trop profondes).
Si la nouvelle lune tombe un samedi ou un dimanche, il faut s'attendre à de la pluie
Tu veux que je te dise ce que tu es ? Un couard, un lâche, un poltron, une poule mouillée !"
- "Ce n'est pas vrai, Nénette ! Je suis un homme courageux, moi ! La preuve, c'est que je me suis marié avec toi."
La cathédrale gothique de Saint-Denis abrite un grand musée de sculptures funéraires. C’est en effet dans cette basilique dédiée au premier évêquede Paris que les rois de France ont trouvé une sépulture.
Une dernière demeure pas si tranquille que cela : durant la Révolution, la colère des Parisiens s’est reportée sur les tombes des monarques qui onttoutes été profanées. Que l’on se rassure, le lieu a retrouvé sa quiétude. Et même les soirs de célébrations au Grand stade, que ce soit lors des matchs ou des concerts géants, les vivats de la foule ne troublent pas la tranquillité du lieu. Qui se visite incognito hors des sentiers battus.
Un trésor bien gardé.
Replongeons-nous dans l’âge mérovingien. A cette époque, Saint-Denis s’appelle La Franciade. C’est une grande foire où s’échangent, aux portes de Paris, des marchandises parfois venues de très loin.
Témoins ces milliers d’objets retrouvés dans les sous-sols au cours de fouilles qui avaient tout de pêches miraculeuses : un bonnet tricoté, une paire de patins à glace, une tablette d’écriture en ivoire, des statuettes à l’effigie du premier évêque de Paris, la tête tranchée reposant dans sa main… Car la légende de Saint-Denis veut qu’il ait parcouru 6 km, la tête coupée, avant de s’effondrer.
C’est à cet endroit que l’on a d’abord construit une abbaye, puis une cathédrale fréquentée par des milliers de pèlerins.
L’abbé Suger, un génial bâtisseur C’est sur l’emplacement de l’ancien édifice carolingien que l’abbé Suger, « l’inventeur » du gothique conçoit, à la fin du XXIè siècle, un bâtiment à l’élévation impressionnante, posé sur une forêt de colonnes et éclairé par des ouvertures immenses ornées de vitraux multicolores.
Le style fait rapidement école et le nord de la France se couvre de bâtiments religieux à la modernité étonnante et qui rivalisent d’audace.
Monarques endormis Au-delà de la beauté du lieu, c’est la nécropole royale – elle se visite tous les jours à 11 heures et 15 heures et le dimanche à 12h30 et 15 heures -qui donne à Saint-Denis tout son intérêt. 42 rois, 32 reines, 60 princes et princesses y ont reposé. Devenu musée, le site ouvre sur une première série de 70 « gisants », impressionnantes figures de calcaire aux yeux ouverts commandées par Saint-Louis à la mémoire de ses ancêtres.
1 - Buste de Marie d'Anjou, épouse de Charle VII et ainsi Reine de France de 1422 à 1461.
2- Tombeau de François 1er, de Claude de France et de leurs enfants.
Il ne faut pas manquer la chapelle des Bourbons avec le petit cœur de Louis XVII conservé dans un vase de cristal rempli d’alcool. Dans une boîte posée en hauteur, des « parties du corps » du Roi Soleil rescapées des pillages successifs. Des mausolées célèbrent la mémoire des grands souverains à commencer par celui du bon roi Dagobert, le premier à être enterré ici.
Voici la sacristie de la basilique de Saint-Denis, lieu de cérémonie.
Si le temps le permet, une escapade dans les environs permet de découvrir,à deux pas, une ancienne abbaye qui abrite aujourd’hui l’internat de laLégion d’honneur. 400 jeunes filles de 10 à 18 ans y font leurs études et apprennent les bonnes manières, en uniforme et loin des tentations du monde.
Hanoï est la capitale du Viêt Nam. Située au nord du pays, sur les rives du delta du fleuve Rouge, sa population est estimée à environ sept millions d'habitants en 2013, dont 2,6 millions dans la ville-centre...
Wikipédia
Superficie : 3 329 km²
Météo : 31 °C, vent N à 5 km/h, 75 % d'humidité
Population : 7,588 millions (2015)
CLIC..........Hungry In Hanoi from Alex Schiller on Vimeo.
En 2010, Hanoi célèbre l’anniversaire du millénaire de sa longue histoire.
Hanoi est restée authentiquement vietnamienne bien que forgée par deux cultures, chinoise et française, qui ont apporté leur contribution au physique et au caractère unique de la ville.
Hanoi signifie "la ville en deçà du fleuve". Elle s’étend sur la rive occidentale du fleuve Rouge (Sông Hồng), venu des montagnes chinoises duYunnan.
Hanoi est sans doute une des capitales les plus captivantes d’Asie du Sud-Est. Une belle ville à taille humaine, profondément humaine, qui plaira aux trekkeurs urbains.
CLIC...........VIÊT NAM from Jorgo Kokkinidis on Vimeo.
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CLIC..............Vietnam by Drone Dji Phantom from Ben on Vimeo.
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Le village des dômes anciens rouges au bord du fleuve Tien..... Dans votre voyage au Vietnam, une croisière au long du fleuve Tien devient parfaitement pour visiter le Delta du Mékong, alors les touristes a une bonne chance pour admirer un groupe d’architecture exotique mais absolument extraordinaire, le village des dômes anciens rouges. Ces étranges dômes ne sont pas un château oublié ou une pyramide perdue … mais un groupe de four à briques. Toutes ces architectures restent tranquillement au bord de la rivière depuis plus d’un siècle en tant qu’un village d’artisanat traditionnel, le village de briques de An Hiep. Alors, voici ce lieu de village de briques exotiques vous accueille dans votre
tour au Delta du Mékong pour vous impressionner avec son charme ultime.
“La véritable voyage de découverte ne consiste pas à recherche de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux”
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Hanoï (en vietnamien Hà Nội, « la ville entre les fleuves ») est la capitale du Viêt Nam. Située au nord du pays, sur les rives du delta du fleuve Rouge (Sông Hồng), sa population est estimée à environ sept millions d'habitants en 2013, dont 2,6 millions dans la ville-centre.
Elle est ainsi la deuxième ville la plus peuplée du Viêt Nam, après Hô-Chi-Minh-Ville, située à 1 760 km au sud. Son paysage urbain est marqué par la présence de nombreux lacs (Hoan Kiem, Lac de l'ouest, Bambou blanc) ainsi que de nombreux édifices religieux, principalement confucéens et taoïstes (Temple de la Littérature, temple Ngoc Son) mais aussi catholiques (Cathédrale Saint-Joseph, Église des Martyrs). La vieille ville compte également un grand nombre de pagodes bouddhistes.
Hanoï est fondée par le roi Ly Thai To en 1010, et demeure jusqu'en 1802 le cœur politique du Viêt Nam.
La ville est éclipsée par Huế, la capitale impériale du pays durant la dynastie Nguyễn (1802–1945), mais devient la capitale de l'Indochine française de 1902 à 1954.
Elle est ensuite la capitale de la République démocratique du Viêt Nam, jusqu'en 1976, et devient celle de la République socialiste du Viêt Nam après la victoire du Nord lors de la Guerre du Viêt Nam.
En octobre 2008, la ville de Hanoï absorbe la Province de Hà Tây et des territoires ruraux, ce qui fait doubler sa population. En octobre 2010, des festivités (Le Millénaire d'Hanoï) commémorent la fondation de la ville.
Tout au long du XXe siècle, la ville a connu une explosion démographique et un fort développement économique qui font d'elle une métropole émergente.
De nombreux gratte-ciels y ont été construits, dont la Tour Keangnam (plus haut bâtiment du Viêt Nam), et un métro doit entrer en exploitation en 2017.
Centre universitaire et culturel, elle compte en outre les principaux musées du pays, dont le Musée national d'histoire vietnamienne et le Musée des beaux-arts du Viêt Nam.
CLIC.......................Vietnam - South To Hoi An from Billy Worthington on Vimeo.
Histoire
Hanoï fut fondée par le roi Ly Thai To en 1010. Elle devint la capitale de l'Indochine française de 1902 à 1953, puis celle de la République démocratique du Viêt Nam de 1954 à 1976, et enfin de la République socialiste du Viêt Nam depuis cette date.
La dernière prise d'armes de l'histoire de la France à Hanoï a lieu le 8 octobre 1954 au stade Mangin3, après soixante-quinze ans de colonisation. Elle est commandée par le général Massun .
Géographie
Hanoï se trouve sur le Delta du Fleuve Rouge qui charrie ses eaux boueuses vers le golfe du Tonkin, à une altitude inférieure à celui-ci, ce qui la rend vulnérable aux inondations.
Toponymie Son nom varia au cours des siècles : Kecho, Dai La, Thang Long, Dong Kinh , signifiant « capitale de l'Est »), qui fut latinisé en Tonkin.
Le nom de Tonkin désigna ensuite la province entourant la ville, c'est-à-dire le Nord du Viêt Nam actuel.
Le nom Thăng Long est encore parfois utilisé de nos jours comme nom littéraire et poétique de la ville...
Il signifie « dragon qui se dresse », contrairement à Ha Long (« dragon qui descend »).
Le nom vietnamien de la ville se décompose en : hâ (« cours d'eau ») et ņôi (« entre »), donc Hanoï est donc « [la ville] entre les cours d'eau ».
Hanoï est membre des associations Asian Network of Major Cities 21 et C40 Cities Climate Leadership Group.
Spécialités Culinaires Hanoï, comme le reste du Viêt Nam, est connue pour sa gastronomie . Les principales spécialités de la ville sont, entre autres, les nems de Hanoï, la soupe phở où dominent la Phở Bò au bœuf et la Phở Gà au poulet, les beignets de crevettes et beignets de calamar, le Bánh cuốn.
Métro de Hanoi
Célébration du Millénaire d'Hanoï
Portail du Viêt Nam
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Hanoï
Fleuve Rouge
CLIC............................Drone Timelapse, Vietnam X-Champs 2016 from Kiteboard Tour Asia on Vimeo.
Hanoï, sur Wikimedia Commons
MÉMORIAL NATIONAL DU 11 SEPTEMBRE
Hommage aux milliers de personnes qui ont perdu la vie le 11 septembre 2001, le
mémorial du 11 septembre est un monument sombre et poignant qui marque
autant les touristes que les habitants de la ville.
Au cœur du quartier de Lower Manhattan et de son activité
frénétique, un édifice appelle à la quiétude et au recueillement. C'est
le mémorial et musée national du 11 septembre qui rend hommage à toutes
les victimes des attentats terroristes perpétrés le 11 septembre 2001.
Suite aux attentats, l'ancien emplacement du World Trade Center est devenu le théâtre de vives
émotions. En ce lieu nommé Ground Zero, les survivants, les familles des
victimes et le gouvernement ont voulu honorer la mémoire des disparus.
Le site, qui invite aujourd'hui au recueillement, a aussi maintenant une
vocation nouvelle : servir d'oasis pour que les gens qui travaillent
dans le quartier, les touristes et tous ceux de passage puissent passer
un moment paisible sur une superbe place paysagée.
À l'emplacement même des deux anciennes tours jumelles, deux immenses bassins en miroir
sont dotés chacun d'une cascade symbolisant la perte de vie et d'espace
physique due aux attentats terroristes.
Autour de ces bassins sont gravés les noms des 2 977 victimes. Ce mémorial est entouré d'une
esplanade de plus de 2,5 ha, agrémentée de 400 arbres : la Memorial
Plaza.
Près de là a été découvert dans les décombres des tours jumelles le « Survivor Tree », un petit poirier sévèrement brûlé, qui,
contre toute attente, a survécu et se dresse désormais fièrement, tel un
symbole florissant d'espoir.
Sous la Memorial Plaza se trouve le musée du mémorial du 11 septembre qui a ouvert ses portes en 2014.
Sur la place, l'extérieur du pavillon d'entrée du musée a été conçu pour
ressembler à une partie de l'une des tours jumelles tombée au sol. Le
musée expose des objets recueillis juste après les attentats.
Le mémorial et le musée du 11 septembre sont situés dans le quartier du Lower Manhattan, accessible en bus ou en métro.
L'accès au mémorial du 11 septembre est gratuit mais vous devez vous procurer
un pass visiteur. Pour plus d'informations, consultez le site Web
officiel du mémorial du 11 septembre.
L'ANSE AUX MEADOWS SUR L'ILE DE TERRE NEUVE CANADA
L'Anse de Meadows est un site archéologique situé sur l'île canadienne de
Terre-Neuve et inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO
dès 1978. Ce site incroyable recense les vestiges d'un établissement
viking du Xième siècle, attestant de la présence européenne en Amérique
du Nord bien plus tôt que ce qui est raconté. L'Anse de Meadows permet
d'admirer une dizaine de bâtiments tels qu'une scierie, une forge ou des
habitations.
En visite, vous pourrez découvrir trois huttes vikings, des vestiges
archéologiques, un musée ainsi que plusieurs activités éducatives qui
plairont aux petits et grands.
Dès les premières années de l’Empire, les cartes révolutionnaires sont non seulement délaissées, mais proscrites. Mais, si le XIXe siècle naissant marque l’avènement, non seulement des cartes cartomanciennes, les cartiers profitant promptement de la soif d’un peuple de connaître son destin au lendemain d’une période de sanglants troubles institutionnels et militaires, mais encore des cartes politiques à la faveur des nombreux changements de régime gouvernemental, les symboles républicains tentent, en vain, un retour en force pour le centenaire de la Révolution.
Sous le Premier Empire, les dames des cartes à jouer s’appelèrent transitoirement : Hildegarde, Statira, Calpurnie, Abigaïl ; et les valets : Ogier, Parménion, Curion et Azraël. Le roi de carreau représentait fréquemment Napoléon Ier en empereur romain, ayant à ses pieds le globe du monde. On publia aussi, exceptionnellement, des jeux rappelant les scènes militaires del’époque. Nous aurions donc peu de choses à dire des cartes de cette période, aussi bien que de celles éditées sous la Restauration s’il ne convenait de signaler les cartes cartomanciennes qui eurent une grande vogue alors.
En ces temps troublés, où l’avenir était si incertain, et où l’ignorance offrait un terrain de culture tout préparé à la superstition, les devinset les devineresses pullulaient. Leur clientèle s’étendait à presque toutes les classes de le société.Aussi a-t-on peine,si l’on ne fait lapart des circonstances, à comprendre la vogue dont purent jouir la célèbre Mme Lenormand et le fameux Etteila, de son vrai nom Alliette, garçon coiffeur du temps de la Révolution, et auteur du livre de Thoth qui est encore aujourd’hui le code de la cartomancie. Les règles prescrites par ce manuel sont tellement absconses qu’elles sont de nature à enlever à tout jamais aux gens affairés l’ambition d’apprendre à tirer les cartes.
Carte de 1868 du grand jeu de Mademoiselle Lenormand
Tout d’abord il faut savoir que la bonne aventure classique ne se tire pas avec les cartes du jeu de piquet ou de whist, mais avec soixante-dix-huit tarots, dont vingt-deux, portant chacun une figure symbolique, forment les arcanes majeures. Les cinquante-six autres se divisent en quatre couleurs : bâtons, coupes, épées et deniers correspondant aux trèfles, cœurs, carreaux et piques des jeux ordinaires. Mais elles comprennent chacune quatre figures au lieu de trois : le roi représentant l’homme, la dame représentant la femme, le cavalier représentant le jeune homme et le valet représentant l’enfant.
L’homme est le créateur, celui qui fait les entreprises ; la femme caractérise l’amour ; le jeune homme les luttes, rivalités et haines ; l’enfant symbolise le neutre, l’argent. Les quatre figures de bâtons et d’épées représentent des bruns ; les quatre figures de coupes et de deniers les blonds. Les figures de bâtons et d’épées sont bonnes, les autres mauvaises. Nous ne donnerons pas ici, ne serait-ce qu’un aperçu des prédictions qui se peuvent obtenir avec ces élément dont la signification varie suivant le voisinage des cartes. Qu’on sache seulement que les révélations obtenues avec les tarots que nous venons d’évoquer constituent « le grand jeu ».
Celles qui s’obtiennent avec des cartes ordinaires se livrent au rabais et n’ont pas la même portée solennelle. Mais la difficulté de devenir docteur en cartomancie, et l’impossibilité où se trouveraient la plupart des gens de venir consulter dans le cabinet d’une célébrité à la mode, inspira aux cartiers spéculateurs l’idée d’imprimer des jeux où se trouveraient inscrites les indications rudimentaires du sens de chaque carte. Un de ces jeux eut pour marraine l’illustre Mme Lenormand.
Carte Victor Hugo
Après la révolution de 1848, l’horizon politique étant nuageux, et les joueurs appartenant par fractions presque égales à des opinions très diverses, les cartiers imaginèrent pour contenter tout le monde, de représenter sur leur cartes les emblèmes de la monarchie légitime, de lamonarchie constitutionnelle, de l’Empire et de la République. Pour cela, ils affublèrent le pique d’une fleur de lys, le carreau d’un aigle. Le triple symbole de l’orléanisme récemment déchu n’eut pas de marque particulière, mais le coeur fut surmonté du niveau égalitaire de la République qu’on venait d’acclamer.Les rois s’appelèrent Henri IV, Napoléon Ier,Louis-Philippe. les dames Marguerite, Joséphine, Marie, Amélie, les valets représentèrent un page, un chambellan, un valet. Le coeur portait deux représentations distinctes de la République avec pour valet un licteur romain et un piquet, pour annoncer les quatorze de rois ou de dames. Force était de dire : « Quatorze de régime ! ». D’où le nom donné à ces cartes.
Avec le Second Empire nous revenons aux modèles anciens. Quant à la troisième République elle eut, à ses débuts, d’assez graves préoccupations pour qu’aucun de ses électeurs n’ait eu la distraction de songer à modifier les jeux de cartes. Il nous faut arriver en 1888, trois ans après la mort de Victor Hugo, pour constater l’édition d’un jeu destiné à commémorer la gloire d’un grand poète.Il occupait dans les trente-deux cartes la place d’honneur, celle du roi de coeur, et le cartier, pour compagnons lui avait assigné Thiers, Mac-Mahon et Grévy, les trois premiers présidents de la République. Les dames représentaient la science, le commerce, l’industrie et l’agriculture. Quant aux valets, ils s’appelaient Molière, Voltaire, Racine et Gambetta.
Carte républicaine de Lenoir en 1889
Mais l’année 1889, date du centenaire de la Révolution, ne pouvait se passer sans inspirer à quelques cartiers l’ambition de marcher sur les brisées de David. L’un d’eux, nommé Lenoir, imagina de lancer les vraies cartes républicaines. Les couleurs étaientainsi désignées : Coeur : Liberté, représenté par une étoile ; Carreau : Égalité, représenté par un compas et une équerre ; Trèfle : Fraternité, représenté par deux mains ; Pique : Socialité, représenté par le bonnet phrygien. Les rois se nommaient des fondateurs. C’étaient Guillaume Tell, Washington,Brutus et Camille Desmoulins. Les dames s’appelaient des vertus, à savoir l’égalité, la liberté, la fraternité et la socialité déjà mentionnées. Quant aux valets, sous le titre de soutiens, ils symbolisaient l’agriculture, la justice, l’armée et le travail.
Lenoir avait demandé des représentants dans toutes les communes de France pourla vente de son jeu, et pour allécher les clients répandait à profusion une mirifique affiche, entourée d’un liseré tricolore et des phrases suivantes :« Il y a presque vingt ans que nous sommes en République et presque un siècle que nous avons proclamé les Droits de l’homme et nous en sommes toujours réduits à nous servir des expressions : quatorzed’as, qui ne signifie pas grand chose ; quinte au roi, quand nous n’en voulons plus dans nos institutions ; tierce à la dame, nom que l’on donnait aux Dubarry, Pompadour et autres maîtresses de roi ; quatrième au valet, valet de chien de fauconnerie !
« Remplaçons ces appellations surannées qui blessent nos convictions d’hommes libres et demandons aux cafetiers et marchands de vins, qu’à l’avenir ils ne nous présentent, pour faire notre partie, que le nouveau jeu de cartes républicain... et alors nous entendrons, avec plaisir, les joueurs annoncer ainsi leurs points : Quatorze d’emblèmes ! quinte au fondateur ! tierce à la vertu ! quatrième au soutien ! Et lorsqu’on demandera en quelle couleur ? au lieu de coeur, carreau, trèfle ou pique, nous dirons : en Liberté ! en Égalité ! en Fraternité ou en Socialité ! »
Carte républicaine de Lenoir en 1889
Mais les joueurs, sans souci des tentatives de culpabilisation de Lenoir, n’accordèrent qu’une attention dédaigneuse à son invention. Il est probable qu’ils se fussent montrés aussi indifférents à l’égard des cartes dites patriotiques, éditées en vue de la propagande boulangiste, si à leur occasion un décret fort commenté dans la presse, n’avait, le 28 mars 1889, interdit aux cartiers la fabrication des cartes différentes des moulages officiels. La prescription valut une heure de célébrité à ces cartes où Boulanger, roi de cœur, était entouré de Courbet, Chanzy et Denfert-Rochereau, avec pour dames Jeanne d’Arc, l’Alsace, la Lorraine et la République ; pour valets un cuirassier, un marin, un cultivateur et un ouvrier ; pour as un œillet, une ancre, une abeille et la croix de la Légion d’honneur. La caricature s’empara de l’événement et Alfred Le Petit, dans le Pilori, dessina quelques spécimens assez amusants des cartes proposées par lui comme modèles officiels.
Depuis lors la verve des cartiers s’est tue. Observons cependant que le décret de 1889 n’empêchait pas la publication, après autorisation préalable, de certains modèles de cartes de luxe d’ailleurs très peu demandés par le public. On admit aussi la fabrication, de plus en plus restreinte, de quelques types en usage dans de rares départements, tels les tarots de Besançon, et les alluettes de Bretagne et de Vendée.
On l'avait trouvé adorable sur les
photos et vidéos dévoilées jusqu'à présent, mais la photo officielle du
prince George publiée vendredi dépasse nos espérances..
n a suivi la rentrée du prince George (presque) comme celle de nos
enfants. On l'a vu se rendre jusqu'à l'école, main dans la main avec son
papa, le prince William, dire bonjour, intimidé, à la directrice de
l'école, habillée comme si elle se rendait à un mariage... Mais nous
n'avions pas encore pu étudier en détail la photo officielle. Ne nous
remerciez pas, la voici !
A côté de son père, le duc de Cambridge, qui se contente d'un sourire
crispé, le prince George affiche un sourire franc, une main dans la
poche, l'autre qui lui sert à se tenir à son père... Le petit garçon de 4
ans a aussi un pied en l'air. Le genre de photos qui ferait craquer
n'importe qui. Quand Kensington Palace affirme partager une « adorable
photo » du potentiel futur roi d'Angleterre, on peut dire qu'on ne se
moque pas de nous.
Petites superstitions...
Selon une légende anglaise, si au printemps les feuilles du chêne
apparaissent avant les feuilles du frêne, il faut s'attendre à un bel
été. En cas contraire, il sera pluvieux.
Quand on dépense ou qu'on reçoit de l'argent un lundi, la même chose se reproduira tous les autres jours de la semaine.
Dans la plupart des pays d'Europe, l'apparition d'une coccinelle est un présage heureux, surtout si elle se pose sur nous.
Si l'on ressent une démangeaison à l'oreille droite, cela signifie que
quelqu'un est en train de dire du mal de nous; au contraire, si c'est
l'oreille gauche, c'est que quelqu'un dit du mal.
"Espèce de maladroit ! Regardez ma femme... J'exige une indemnité !"
- "Allons, allons... Je l'ai renversée, mais elle n'est pas morte... !"
- "Justement !
Oeufs emballés / © AFP - J. Thys
Aucune trace de l'insecticide fipronil, à l'origine du scandale des oeufs contaminés cet été, n'a été retrouvée dans des oeufs produits en France à l'issue de près de 3 000 contrôles, a annoncé lundi Stéphane Travert, le ministre de l'Agriculture.
Par AFP (editing T.P.) Publié le 11/09/2017 à 10:42 Mis à jour le 11/09/2017 à 10:46
"Nous n'avons trouvé aucune trace de fipronil dans les élevages français", a annoncé Stéphane Travert sur Europe 1, évoquant toutefois une exception. "Il y a eu un élevage dont les oeufs avaient été contaminés et (...) le propriétaire s'était spontanément manifesté", a-t-il expliqué.
Pour le reste,"tous les cas de contamination en France étaient des produits d'importation
qui venaient de nos voisins Belgique et Pays-Bas", a assuré Stéphane Travert, précisant que 2 900 élevages français avaient été contrôlés.
Conclusion:il a pu y en avoir à la vente mais pas français: "cocorico"
ÇA C'EST PASSÉ UN 11 SEPTEMBRE
11 SEPTEMBRE 1917 : GUYNEMER DISPARAÎT
septembre 1917, le temps est un peu frais mais clément. C'est un temps pour
voler, « un temps à Boche », comme le dit souvent Georges Guynemer,
héros de l'aviation française à seulement 22 ans. Déjà crédité de 53
victoires, il est couvert de prestigieuses médailles qui viennent
récompenser son audace, sa fougue, son ardeur patriotique : il est
officier de la Légion d'honneur, titulaire de la médaille militaire, de
la croix de guerre avec 25 palmes. Il est aussi décoré de nombreux
ordres étrangers. Ce 11 septembre, il part comme à chaque fois que le
climat le lui permet, en patrouille avec ses coéquipiers. Il y a deux
groupes : une patrouille basse qui va servir d'appât pour l'aviation
ennemie et une patrouille haute, composée du capitaine Guynemer et du
sous-lieutenant Jean Bozon-Verduraz. Les deux groupes d'aviateurs
partent vers 8 h 30 de l'aérodrome de Saint-Pol-sur-Mer et rejoignent la
ligne des Flandres, vers Bischoote-Langemark. C'est un secteur que
Guynemer connaît bien pour y avoir remporté quelques victoires.
Après une heure de vol, Guynemer et son ailier remarquent la présence d'un
avion de reconnaissance allemand. D'un battement d'ailes, le jeune
capitaine avertit Bozon-Verduraz qui va le prendre en chasse. Ce qu'il
fait. Au même moment, le sous-lieutenant aperçoit au loin un groupe de
huit avions ennemis qui s'approchent d'eux. Bozon-Verduraz se souvient
des cours appris à l'école d'aviation et joue les appâts. Après avoir
entraîné les avions ennemis au loin, il revient à son point de départ.
Mais il ne trouve aucune trace de Guynemer et de son avion, le Vieux
Charles. À court d'essence, il rentre à Saint-Pol-sur-Mer.
Dans l'escadrille, on attend Guynemer. Il est 10 h 30. L'inquiétude gagne. Un
avion ne peut voler trois heures avec un plein d'essence. Guynemer
s'est-il posé quelque part en raison d'une panne, comme cela s'est
produit quelques jours auparavant ? Sur ordre du commandement, on
téléphone dans les aérodromes amis, on forme des patrouilles pour
rechercher Guynemer. Ces dernières ne trouvent rien. Quand la nuit
arrive, il faut se rendre à l'évidence : Guynemer a disparu. Sur le
carnet de vol, Bozon-Verduraz écrit : « Mardi 11 septembre 1917 :
patrouille. Le capitaine Guynemer, parti à 8 h 25 avec le
sous-lieutenant Bozon-Verduraz, disparaît au cours d'un combat contre un
biplan au-dessus de Poelcapelle » (sic). Les recherches se poursuivent
les jours suivants. Jusqu'à ce que la résignation l'emporte. Le 26
septembre, les autorités françaises se résignent à publier un communiqué
laconique : « Dans la matinée du 11 septembre, le capitaine Guynemer,
parti en reconnaissance dans la région des Flandres, s'est trouvé, au
cours des péripéties d'une poursuite d'avion ennemi, séparé de son
camarade de patrouille et n'a pas reparu depuis. Tous nos moyens
d'investigation mis en jeu n'ont donné, jusqu'à ce jour, aucun
renseignement complémentaire. » Que s'est-il passé ? La version la plus
probable est que Guynemer a été tué en combat. Que son avion s'est
écrasé à Poelkapelle, entre les lignes anglaises et allemandes. De
puissants tirs d'artillerie ont labouré le terrain. Ce qui explique que
l'on n'a rien retrouvé : ni son corps, ni l'avion.
************
11 septembre attentats contre le World Trade Center et le Pentagone
Le 11 septembre 2001, pour la deuxième fois de leur Histoire après la
guerre anglo-américaine de 1812, les États-Unis sont agressés sur leur
propre sol.
Quatre avions de ligne sont détournés par des terroristes islamistes de la mouvance al-Qaida.
Deux s'écrasent avec leurs occupants sur les tours jumelles du World Trade
Center, à New York, et un troisième sur le Pentagone (le ministère des
armées), à Washington. Le quatrième s'écrase dans un bois de
Pennsylvanie, les passagers ayant tenté au sacrifice de leur vie de
maîtriser les terroristes.
Au total, environ 3 000 morts et disparus.
L'effondrement des tours ayant été filmé en direct, l'émotion est immense dans le monde.
Les Américains sont d'autant plus consternés que le chef du commando
terroriste, Mohammed Atta, jeune architecte d'origine égyptienne,
donnait l'apparence d'être bien intégré dans leur société, tout comme
ses acolytes.
Le président George Bush Jr, après un moment d'égarement, engage le fer contre al-Qaida et son chef mystérieux
Oussama Ben Laden, héritier d'une richissime famille d'Arabie séoudite
originaire du Yémen, très proche des cercles du pouvoir de Riyad.
Moins d'un mois plus tard, une coalition internationale envahit
l'Afghanistan, où Ben Laden a trouvé refuge auprès des talibans
islamistes.
Au bout de quelques mois de frappes militaires, le gouvernement américain et ses alliés caressent l'espoir d'avoir vaincu
l'hydre terroriste. Ben Laden lui-même est abattu dans son repaire
pakistanais, le 2 mai 2011, soit dix ans après les attentats...
En dépit de leur retentissement médiatique, les attentats de New York et
Washington inaugurent une décennie relativement peu meurtrière, en
définitive comme la moins belliciste dans le monde depuis au moins un
siècle.
Cette première décennie du XXIe siècle s'achève sur les révolutions arabes, perçues comme un pied-de-nez aux terroristes
d'al-Qaida et à l'islamisme apparu vingt ans plus tôt en Iran. Elles
vont malheureusement tourner court.
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11 septembre 910Fondation de l'abbaye de Cluny
Le 11 septembre 910, le duc d'Aquitaine Guillaume Ier, dit « le Pieux »,
cède un bout de lande à un groupe de douze moines bénédictins.
L'endroit s'appelle Cluny. Situé non loin de la Saône, il est appelé à devenir
une abbaye, la plus illustre et la plus grande du monde occidental grâce
aux privilèges dont elle a été dotée à sa naissance.En stipulant que
les moines éliront librement leur abbé et ne relèveront que de la
juridiction du pape, elle fait oeuvre révolutionnaire.
Grâce à son indépendance, l'abbaye va très vite se développer et rayonner dans tout l'Occident.
Des moines issus de Cluny relèvent de nombreux monastères en déconfiture,
comme Saint-Benoît-sur-Loire ou Saint-Maur-des-Fossés, et en créent de
nouveaux. On compte bientôt plus de mille communautés clunisiennes en
Europe. L'abbaye bourguignonne devient le centre d'une congrégation,
c'est-à-dire d'un ensemble d'abbayes-filles dont les abbés obéissent à
celui de Cluny.
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Salvador Allende
26 juin 1908 à Santiago (Chili) - 11 septembre 1973 à Santiago (Chili)
Né le 26 juin 1908 dans une riche famille de la bourgeoisie franc-maçonne
du Chili, Salvador Allende suit une formation de médecin tout en
s'engageant en politique. Il participe à vingt ans, en 1933, à la
fondation du Parti socialiste chilien.
Salvador Allende (Santiago-du-Chili, 26 juin 1908 - 11 septembre 1970), avec sa femme
Hortensio Bussi et sa fille Isabel (DR)En 1939, il devient ministre de
la Santé dans un gouvernement de Front populaire et tente d'imposer par
la loi la stérilisation des malades mentaux !... Avant d'être mise en
oeuvre par Hitler et donc disqualifiée, cette démarche eugéniste était
en effet présentée par les milieux progressistes, de la Suède au Chili,
comme une évidence.
Il échoue une première fois à l'élection présidentielle en 1952, à la tête d'une coalition de gauche, le FRAP
(Front d'action populaire), puis une nouvelle fois (d'extrême justesse)
en 1958. Il se console avec la présidence du Sénat où se fait jour son
sens du dialogue et du compromis.
Une troisième fois candidat à la présidence en 1964, il échoue face à
Eduardo Frei. La quatrième tentative, le 4 septembre 1970, sera la bonne
11 septembre 1973Mort tragique de Salvador Allende
Le 11 septembre 1973, au Chili, le gouvernement d'Unité Populaire est
renversé dans des conditions dramatiques. Le président socialiste
Salvador Allende, élu trois ans plus tôt, est conduit au suicide.
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