Mort de Pierre Bergé, mécène et ancien PDG d'Yves Saint Laurent Président du conseil de surveillance du « Monde » et figure du milieu culturel français, celui qui a incarné la mode française aux côtés d'Yves Saint Laurent est mort vendredi à l'âge de 86 ans. Mécène, homme d'affaires et d'engagements, Pierre Bergé est mort, vendredi 8 septembre, à l'âge de 86 ans, à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône). Figure du milieu culturel français, il a incarné la mode française aux côtés d'Yves Saint Laurent, dont il fut le mentor, et s'est fait connaître auprès du grand public par ses combats notamment en faveur des droits des homosexuels. Né à Saint-Pierre-d'Oléron (Charente-Maritime) en 1930, il arrive à 18 ans à Paris et y rencontre par hasard Jacques Prévert, tombé accidentellement du balcon d'un immeuble. Il se lie alors d'amitié avec les grands noms de la scène littéraire et culturelle parisienne, de Cocteau à Aragon en passant par Camus. Nourri d'idéaux libertaires et pacifistes, il défend également le combat de Garry Davis pour une citoyenneté au-delà des frontières, à travers l'éphémère journal La Patrie mondiale, dont il est rédacteur en chef.
Mentor et compagnon de Bernard Buffet pendant huit ans, il accompagne le peintre dans sa carrière et côtoie pendant plusieurs années Jean Giono. En 1954, Pierre Bergé rencontre Yves Saint Laurent, successeur de Christian Dior. Cette rencontre changera à jamais la vie des deux hommes. Bergé aide Saint Laurent à monter sa propre maison de couture. Fort du succès mondial de la maison Yves Saint Laurent, Pierre Bergé devient une figure du monde de la mode. Il est élu président de la Chambre syndicale des couturiers en 1974 et crée en 1986 l'Institut français de la mode. Il devait inaugurer en octobre le musée Yves Saint Laurent à Paris, avenue Marceau, ainsi qu'un lieu dédié à l'œuvre du couturier à Marrakech (Maroc)
Homme d'affaires enrichi par les succès et la revente de la maison de couture, Pierre Bergé était avant tout un amoureux des arts. De 1977 à 1981, il dirige le théâtre de l'Athénée puis, de 1988 à 1993, préside l'Opéra de Paris, sous le regard amical du président Mitterrand. Il prend notamment la présidence du comité Mac Orlan qui gère les autorisations d'exploitation de l'œuvre de l'écrivain, celle du comité Cocteau, finance la restauration de la maison d'Emile Zola à Médan (Yvelines). Nommé Grand Mécène des arts et de la culture en 2001, Pierre Bergé soutient des achats de tableaux au Louvre, la rénovation de deux salles à la National Gallery de Londres ou celle du Centre Pompidou à Paris. Soutien de l'association Act Up Le nom de Pierre Bergé restera également lié à son engagement contre le sida. Il crée en 1994 l'association Ensemble contre le sida, qui deviendra Sidaction, aux côtés de Line Renaud. Leur engagement en fera l'une des associations les plus actives en Europe dans la lutte contre la maladie.
La Cour de cassation a reprécisé qu’il était interdit de stationner devant son propre garage sous peine d’une amende. Découvrez en plus sur cette règle que beaucoup ignorent. Le 20 juin dernier, la Cour de cassation a reprécisé qu’il était interdit de stationner son véhicule devant une porte de garage, même le sien, sous peine d’une contravention. Garer son véhicule devant une porte de garage constitue en effet une infraction car elle gêne l’accès des véhicules de secours, explique le Service Public sur son site. Une amende de deuxième classe (35 euros) est ainsi prévue pour les contrevenants. Si le véhicule empiète sur le trottoir, elle peut même monter jusqu’à 135 euros.
Un automobiliste a été condamné Le 9 août, un automobiliste qui s'était garé devant sa propriété a été condamné à verser une amende de 35 euros. Relaxé en premier jugement après avoir fait valoir que le trottoir avait été laissé libre et que son véhicule ne gênait pas les piétons, il a finalement été reconnu coupable de "stationnement gênant d'un véhicule devant l'entrée d'un immeuble" par la Cour de Cassation qui a décidé quecela constituait bien une infraction "passible d'une amende pénale". Pierre Chasseray, délégué général de l’Association 40 millions d’automobilistes, a déclaré sur BFMTV, que ce principe était "abusif et un peu ridicule".
La plus ancienne forêt d’Europe victime de déforestation La forêt de Bialowieza est menacée par une vaste opération d’abattage d’arbres. Une pétition et l’Union Européenne réclament l’arrêt immédiat des coupes. La forêt primitive de Bialowieza est un sanctuaire accueillant une biodiversité exceptionnelle et la plus grande population de bisons en Europe. Classée sur la liste zone Natura 2000 et inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, elle est aujourd’hui menacée par les haches des bûcherons. Le gouvernement polonais est sommé d’arrêter le massacre. On la surnomme « la forêt des bisons », car elle protège au sein de ses 150.000 hectares une incroyable population d’animaux sauvages : bisons, loups, ours, lynx, mais aussi des chevaux koniks polonais proches d’une espèce préhistorique aujourd’hui disparue. La forêt de Bialowieza, dont 63.000 hectares se trouvent en Pologne, est la plus ancienne forêt primaire d’Europe. Elle avait pu, jusqu’à présent, être préservée de l’interventionnisme et de l’avidité de l’homme. C’était sans compter sur le parti politique ultraconservateur « Droit et justice », qui a lancé une gigantesque opération de taille des arbres dela forêt, qui seraient porteurs de scolytes (des insectes vivant sous l’écorce des arbres qui les débarrassent de champignons mortels, un comble). Une taille qui s’enfonce jusque dans des zones protégées, où les arbres ont plus de 100 ans. Et cette mission est, bien entendu, subventionnée par des fonds européens. Ce qui inquiète, c’est que les informations communiquées sont floues. Le gouvernement polonais, ainsi que les forestiers, ne précisent pas clairement quelles espèces d’arbres sont concernées, ni la durée et l’ampleur de cette mission, ni si d’autres arbres seront replantés ou non. De plus, on apprend que le gouvernement polonais manque d’argent. La déclassification de certains arbres et la vente de ceux qui sont abattus permettraient ainsi de remplir les caisses et d’alimenter les centrales d’énergie en bois. La réouverture de la chasse au bison est également envisagée. Des conséquences dramatiques pour cette forêt et pour son extraordinaire biodiversité qu’une pétition nous demande de défendre au plus vite. Elle compte déjà plus de 153.000 signatures. De son côté, l’Union Européenne réclame à la Cour de justice de l’UE l’arrêt des coupes, ainsi que la protection des espèces et des espaces naturels. » Quand le dernier arbre aura été abattu, quand la dernière rivière aura été empoisonnée, quand le dernier poisson aura été péché, alors on saura que l’argent ne se mange pas »
Anne-Claire Payet découvre très tôt sa passion pour le dessin. C'est naturellement qu'elle se tourne vers un univers féerique et fantastique : Un monde invisible qu'elle s'efforce de matérialiser. Son univers, bien que teinté de noir, est aussi emprunt de romantisme et de délicatesse. Illustratrice pour Bragelonne, elle a réalisé de nombreuses couvertures avant de nous rejoindre en août 2008. Elle fait désormais partie intégrante du département graphique. Plus sur moi : Je suis Anne-Claire Payet, une Artiste Numérique. Depuis que je suis une enfant, j'ai eu une passion pour l'imaginaire, fantaisie et la mythologie. Je vis en France et je me spécialise en Fantaisie et Art Sombre. Mon travail est surtout inspiré selon les livres, la musique et mes propres émotions.
Niché dans le Perche, un collège du XVIIe siècle renaît grâce à Stéphane Bern. Le journaliste l'a restauré et l'ouvre en partie au public pour faire revivre l’histoire des lieux. Situé dans l’enceinte de l’abbaye de Thiron Gardais,le collège est fondé en 1629, sous l’impulsion d’Henri de Bourbon-Verneuil, fils naturel d’HenriIV et d’Henriette d’Entragues. Il confie cette charge aux moines de la Congrégation de Saint-Maur qui observent la Règle de saint Benoît.
Ci-dessus : maquette du collège et de l'ensemble abbatial au XVIIIe siècle
Uniforme et salle de classe du collège royal militaire.
En 1776, sur décision du roi Louis XVI, l'établissement devient un des douze collèges royaux et militaires de France. Les bâtiments sont alors agrandis et occupent deux quadrilatères, adossés à la collégiale (voir photo ci-dessus). Jusqu’à la Révolution, l’abbaye accueille ainsi une centaine de garçons par an,entre 7 et 15 ans, dont une moitié d’élèves ordinaires et une moitié d’élèves du roi, généralement boursiers. Le marquis de Launay.
Les professeurs, moines et laïcs, enseignent aux élèves le français, l’anglais, l’allemand, les mathématiques, mais aussi le dessin, la danse, la musique, le greffage et la conduite des arbres fruitiers et l’escrime. Le but est de former des cadets de l’école royale militaire de Paris mais aussi des gentilshommes accomplis. En 1778, Napoléon Bonaparte est admis comme élève boursier au collège de Tiron, mais il préfère finalement le collège de Brienne où étudie déjà son frère Joseph et qui dispense un enseignement plus scientifique. Un autre personnage emblématique de l’histoire de France a, lui, fait ses études à Thiron Gardais. Il s’agit du marquis Bernard-René Jourdan de Launay, gouverneur de la Bastille, qui perd la vie le 14 juillet 1789, jour de la célèbre prise de la prison royale Stéphane Bern, nouveau propriétaire des lieux. Le XIXe siècle voit le collège et l’abbaye en grande partie démembrés. Les bâtiments conservés du collège restent propriété de la même famille de 1803 à 2005 quand il est acquis par le Conseil Général d’Eure-et-Loire. Mais le bâtiment est trop dégradé pour pouvoir être entretenu par le département. Son président fait alors appel à Stéphane Bern qui accepte de racheter les lieux en 2013. Après 3 ans de travaux, un musée consacré à l’histoire du collège et de l’abbaye est inauguré en 2016. Les nombreux objets glanés par le journaliste pour y être exposés rappellent la vie quotidienne des élèves et celle des moines, mais aussi l’histoire, souvent méconnue, des collèges royaux et militaires.
Façade du musée. Crosse de saint Bernard de Tiron.
L’un des objets emblématiques de la collection est la crosse de saint Bernard, prêtée par le musée des Beaux-Arts de Chartres, qui a appartenuau fondateur de l’abbaye de Tiron au XIIe siècle. Stéphane Bern a également ressuscité les jardins avec l'aide du paysagiste Louis Benech. Ce dernier a recréé les anciennes perspectives avec des buis et des arbres dont certains datent de l’Ancien Régime. L'église abbatiale a, elle aussi, besoin d'être restaurée. Une campagne de mécénat, soutenue par la Fondation du Patrimoine, est en cours.
Élevez-vous au dessus des murailles du château de Vincennes, et admirez son donjon et Sainte-Chapelle comme vous ne les avez jamais vus.Bâti au XIVe siècle par le roi Charles V,fortifié et agrandi au cours des siècles, cet ensemble architectural est aujourd'hui géré par le Centre des monuments nationaux. C'est le plus vaste château fort royal français subsistant et, avec son donjon de 52 mètres, c'est la plus haute forteresse de plaine d'Europe.
Le roi Louis VII aménagea vers 1150 un simple pavillon de chasse dans la forêt de Vincennes. Au XIIIe siècle, Philippe Auguste, puis Louis IX, y aménagèrent un manoir. Vers 1337, Philippe VI de Valois décida de fortifier le site en construisant un donjon carré, du côté ouest. Charles V naquit dans cette forteresse, puis en fit le siège de son gouvernement et de sa haute administration. Il fit effectuer les travaux décidés par Philippe VI, en y ajoutant l'enceinte monumentale avec ses portes et ses tours. Les travaux du donjon et l'enceinte furent achevés en 1371. La Sainte-Chapelle de Vincennes, dont les travaux d'édification débutèrent en 1379, devait recevoir un fragment de la relique de la couronne d'épines. Louis XI fit de Vincennes sa résidence, mais il quitta les appartements royaux aménagés dans le donjon pour un pavillon neuf édifié, en 1470, dans l'angle sud-est de l'enceinte. Depuis la Renaissance François Ier fit réaménager le pavillon construit par Louis XI pour y résider lors de ses séjours dans la capitale. La chapelle put enfin être inaugurée sous Henri II, en 1552. En mai 1574, Charles IX, gravement malade, mourut dans les appartements royaux du donjon. Après l'assassinat de son père Henri IV, le jeune Louis XIII fut installé à Vincennes dans l'ancien pavillon de Louis XI et y passa une partie de sa jeunesse. Le château devint ainsi la troisième résidence royale. L'architecte Louis Le Vau construisit pour Louis XIV les ailes appelées « pavillons du Roi et de la Reine » de 1658 à 1661. Le cardinal Mazarin y décéda le 11 mars 1661 et sa dépouille fut exposée dans la Sainte-Chapelle.
Puis les travaux de reconstruction furent abandonnés et les efforts se concentrèrent entièrement sur Versailles. Le jardiner Le Nôtre eut le temps d'y aménager des jardins à la française. Le donjon fut aménagé en prison d'État pour les prisonniers de haute naissance. Nicolas Fouquet y fut incarcéré durant son procès de trois ans (1664), avant son transfert dans la place forte royale de Pignerol. En 1796, le château fut converti en arsenal . En 1804, le duc d'Enghien fut fusillé dans les douves du château, sur l'ordre de Napoléon. Le général Daumesnil, gouverneur de Vincennes, le défendit avec acharnement lors de l'occupation de Paris par les troupes russes et prussiennes en 1815. Il résista ainsi cinq mois, et ne finit par capituler que sur ordre de Louis XVIII, sortant de la forteresse en brandissant le drapeau tricolore.
Sur le parvis de la cathédrale de Bayeux, l’Arbre de la Liberté, planté en 1797, vous conte des histoires de liberté. La Libération, la Révolution, le Flower Power ou encore Martin Luther King Jr, autant de symboles revisités dans ces projections à 360°, sur cet arbre et les monuments alentours.
Le jardin secret le plus hospitalier de Paris ... Ce calme coin de verdure du 7ème arrondissement fait partie de ces lieux dont on n'imagine même pas l'existence. Privé, caché derrière un long mur en pierre et seulement connu d'un petit nombre de privilégiés, le jardin de la Clinique de Saint Jean de Dieu est un havre de quiétude au cœur de Paris. On vous fait découvrir ce lieu préservé du tumulte parisien et pourtant bel et bien accessible à tous. Fleuri par des roses de toutes les couleurs, ce tranquille espace vert est le lieu de balade des patients de la clinique chirurgicale Oudinot, installée là, à deux pas des Invalides, depuis 1843. L'institution et son parc ont été fondés par les Frères de l'Ordre hospitalier de Saint Jean de Dieu dans les locaux de l'ancien hôtel particulier Plumet – du nom de la rue au XVIIe siècle – pour le soin des pauvres et des malades. Si le mode de fonctionnement de l'institution médicale a bien changé au fil des décennies, une communauté de plusieurs frères est encore présente dans la clinique et poursuit l'objectif de ses fondateurs : accueillir, accompagner et soigner les malades et convalescents. Et quoi de plus hospitalier qu'un beau et apaisant parc pour se balader ? Toujours désert et souvent ensoleillé, ce ravissant jardin d'agrément abrite un insolite puits en pierre (dont on ne parvient pas à savoir s'il s'agit d'une relique ou d'un simple artifice décoratif), une serre, de jolis arbustes taillés, un jet d'eau ainsi qu'une petite chapelle. Le tout forme un lieu étonnant de tranquillité, idéal pour une courte balade ou une pause lecture en solitaire. Depuis quelques temps maintenant, l'entrée principale n'est plus située au niveau de la rue Oudinot, mais du côté de la rue Rousselet, ce qui permet d'accéder directement au parc sans passer par l'intérieur de la clinique. On peut ainsi s'aventurer dans le jardin plus facilement, mais attention : nous sommes bien dans un lieu privé où les patients et malades sont prioritaires. On y entre donc sur la pointe des pieds en tâchant de respecter la beauté et la tranquillité de ce précieux environnement Clinique Oudinot, Fondation Saint Jean de Dieu – 2 rue Rousselet, 75007 Métro : Saint François Xavier (ligne 13), Duroc (lignes 10 et 13)
Cette époque où les parisiens se baignaient dans la Seine. Aaaaah l’été, il fait beau, il fait chaud. Seulement entre la pollution et le manque d’air, on piquerait bien une tête dans l’eau pour se rafraîchir… La Seine ? Mauvaise idée, trop polluée. Si aujourd’hui, rien que regarder l’eau du fleuve parisien file des boutons, il y a encore 60 ans, se baigner dans la Seine était monnaie courante. Retour sur cette époque qui reviendra peut-être ? Les parisiens commencent à faire des pirouettes dans l’eau dès le XVIIème siècle le long du Quai de Sully. On raconte même que Henri IV lui-même s’y baignait ! En 1923, la mairie de Paris prie les habitants d’arrêter de se prélasser dans le fleuve. Mais le tempérament insolent des parisiens les pousse à braver cet interdit jusqu’aux 60’s. Le championnat de France de plongeon s’y est même déroulé le 22 juin 1913…
Mort de Pierre Bergé, mécène et ancien PDG d'Yves Saint Laurent
Président du conseil de surveillance du « Monde » et figure du milieu culturel
français, celui qui a incarné la mode française aux côtés d'Yves Saint
Laurent est mort vendredi à l'âge de 86 ans.
Mécène, homme d'affaires et d'engagements, Pierre Bergé est mort, vendredi 8
septembre, à l'âge de 86 ans, à Saint-Rémy-de-Provence
(Bouches-du-Rhône). Figure du milieu culturel français, il a incarné la
mode française aux côtés d'Yves Saint Laurent, dont il fut le mentor, et
s'est fait connaître auprès du grand public par ses combats notamment
en faveur des droits des homosexuels.
Né à Saint-Pierre-d'Oléron (Charente-Maritime) en 1930, il arrive à 18 ans à Paris et y rencontre
par hasard Jacques Prévert, tombé accidentellement du balcon d'un
immeuble. Il se lie alors d'amitié avec les grands noms de la scène
littéraire et culturelle parisienne, de Cocteau à Aragon en passant par
Camus. Nourri d'idéaux libertaires et pacifistes, il défend également le
combat de Garry Davis pour une citoyenneté au-delà des frontières, à
travers l'éphémère journal La Patrie mondiale, dont il est rédacteur en
chef.
Mentor et compagnon de Bernard Buffet pendant huit ans, il accompagne le peintre dans sa carrière et côtoie pendant plusieurs
années Jean Giono. En 1954, Pierre Bergé rencontre Yves Saint Laurent,
successeur de Christian Dior. Cette rencontre changera à jamais la vie
des deux hommes. Bergé aide Saint Laurent à monter sa propre maison de
couture.
Fort du succès mondial de la maison Yves Saint Laurent, Pierre Bergé devient
une figure du monde de la mode. Il est élu président de la Chambre
syndicale des couturiers en 1974 et crée en 1986 l'Institut français de
la mode. Il devait inaugurer en octobre le musée Yves Saint Laurent à
Paris, avenue Marceau, ainsi qu'un lieu dédié à l'œuvre du couturier à
Marrakech (Maroc)
Homme d'affaires enrichi par les succès et la revente de la maison de couture, Pierre Bergé était avant tout un
amoureux des arts. De 1977 à 1981, il dirige le théâtre de l'Athénée
puis, de 1988 à 1993, préside l'Opéra de Paris, sous le regard amical du
président Mitterrand. Il prend notamment la présidence du comité Mac
Orlan qui gère les autorisations d'exploitation de l'œuvre de
l'écrivain, celle du comité Cocteau, finance la restauration de la
maison d'Emile Zola à Médan (Yvelines).
Nommé Grand Mécène des arts et de la culture en 2001, Pierre Bergé soutient des achats de tableaux
au Louvre, la rénovation de deux salles à la National Gallery de Londres
ou celle du Centre Pompidou à Paris.
Soutien de l'association Act Up
Le nom de Pierre Bergé restera également lié à son engagement contre le
sida. Il crée en 1994 l'association Ensemble contre le sida, qui
deviendra Sidaction, aux côtés de Line Renaud. Leur engagement en fera
l'une des associations les plus actives en Europe dans la lutte contre
la maladie.
Auto Magazine-Axelle Boissay
La Cour de cassation a reprécisé qu’il était interdit de stationner devant son propre garage sous peine d’une amende. Découvrez en plus sur cette règle que beaucoup ignorent.
Le 20 juin dernier, la Cour de cassation a reprécisé qu’il était interdit de stationner son véhicule devant une porte de garage, même le sien, sous peine d’une contravention. Garer son véhicule devant une porte de
garage constitue en effet une infraction car elle gêne l’accès des véhicules de secours, explique le Service Public sur son site. Une amende de deuxième classe (35 euros) est ainsi prévue pour les contrevenants. Si le véhicule empiète sur le trottoir, elle peut même monter jusqu’à 135 euros.
Un automobiliste a été condamné
Le 9 août, un automobiliste qui s'était garé devant sa propriété a été condamné à verser une amende de 35 euros. Relaxé en premier jugement après avoir fait valoir que le trottoir avait été laissé libre et que son véhicule ne gênait pas les piétons, il a finalement été reconnu coupable de "stationnement gênant d'un véhicule devant l'entrée d'un immeuble" par la Cour de Cassation qui a décidé quecela constituait bien une infraction "passible d'une amende pénale".
Pierre Chasseray, délégué général de l’Association 40 millions d’automobilistes, a déclaré sur BFMTV, que ce principe était "abusif et un peu ridicule".
La forêt de Bialowieza est menacée par une vaste opération d’abattage d’arbres. Une pétition et l’Union Européenne réclament l’arrêt immédiat des coupes.
La forêt primitive de Bialowieza est un sanctuaire accueillant une biodiversité exceptionnelle et la plus grande population de bisons en Europe. Classée sur la liste zone Natura 2000 et inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, elle est aujourd’hui menacée par les haches des bûcherons. Le gouvernement polonais est sommé d’arrêter le massacre.
On la surnomme « la forêt des bisons », car elle protège au sein de ses 150.000 hectares une incroyable population d’animaux sauvages : bisons, loups, ours, lynx, mais aussi des chevaux koniks polonais proches d’une espèce préhistorique aujourd’hui disparue.
La forêt de Bialowieza, dont 63.000 hectares se trouvent en Pologne, est la plus ancienne forêt primaire d’Europe. Elle avait pu, jusqu’à présent, être préservée de l’interventionnisme et de l’avidité de l’homme.
C’était sans compter sur le parti politique ultraconservateur « Droit et justice », qui a lancé une gigantesque opération de taille des arbres dela forêt, qui seraient porteurs de scolytes (des insectes vivant sous l’écorce des arbres qui les débarrassent de champignons mortels, un comble). Une taille qui s’enfonce jusque dans des zones protégées, où les arbres ont plus de 100 ans. Et cette mission est, bien entendu, subventionnée par des fonds européens.
Ce qui inquiète, c’est que les informations communiquées sont floues. Le gouvernement polonais, ainsi que les forestiers, ne précisent pas clairement quelles espèces d’arbres sont concernées, ni la durée et
l’ampleur de cette mission, ni si d’autres arbres seront replantés ou non.
De plus, on apprend que le gouvernement polonais manque d’argent. La déclassification de certains arbres et la vente de ceux qui sont abattus permettraient ainsi de remplir les caisses et d’alimenter les centrales d’énergie en bois.
La réouverture de la chasse au bison est également envisagée.
Des conséquences dramatiques pour cette forêt et pour son extraordinaire biodiversité qu’une pétition nous demande de défendre au plus vite. Elle compte déjà plus de 153.000 signatures. De son côté, l’Union Européenne réclame à la Cour de justice de l’UE l’arrêt des coupes, ainsi que la protection des espèces et des espaces naturels.
» Quand le dernier arbre aura été abattu, quand la dernière rivière aura été empoisonnée, quand le dernier poisson aura été péché, alors on saura que l’argent ne se mange pas »
Anne-Claire Payet découvre très tôt sa passion pour le dessin.
C'est naturellement qu'elle se tourne vers un univers féerique et fantastique : Un monde invisible qu'elle s'efforce de matérialiser.
Son univers, bien que teinté de noir, est aussi emprunt de romantisme et de délicatesse.
Illustratrice pour Bragelonne, elle a réalisé de nombreuses couvertures avant de nous rejoindre en août 2008. Elle fait désormais partie intégrante du département graphique.
Plus sur moi :
Je suis Anne-Claire Payet, une Artiste Numérique.
Depuis que je suis une enfant, j'ai eu une passion pour l'imaginaire, fantaisie et la mythologie.
Je vis en France et je me spécialise en Fantaisie et Art Sombre.
Mon travail est surtout inspiré selon les livres, la musique et mes propres émotions.
© Fréderic Chéhu
Collège et abbatiale de Thiron Gardais
Niché dans le Perche, un collège du XVIIe siècle renaît grâce à Stéphane Bern. Le journaliste l'a restauré et l'ouvre en partie au public pour faire revivre l’histoire des lieux.
Situé dans l’enceinte de l’abbaye de Thiron Gardais,le collège est fondé en 1629, sous l’impulsion
d’Henri de Bourbon-Verneuil, fils naturel d’HenriIV et d’Henriette d’Entragues. Il confie cette charge aux moines de la Congrégation de Saint-Maur qui observent la Règle de saint Benoît.
Ci-dessus : maquette du collège et de l'ensemble abbatial au XVIIIe siècle
Uniforme et salle de classe du collège royal militaire.
En 1776, sur décision du roi Louis XVI, l'établissement devient un des douze collèges royaux et militaires de France. Les bâtiments sont alors agrandis et occupent deux quadrilatères, adossés à la collégiale (voir photo ci-dessus).
Jusqu’à la Révolution, l’abbaye accueille ainsi une centaine de garçons par an,entre 7 et 15 ans, dont une moitié d’élèves ordinaires et une moitié d’élèves du roi, généralement boursiers.
Le marquis de Launay.
Les professeurs, moines et laïcs, enseignent aux élèves le français, l’anglais, l’allemand, les mathématiques, mais aussi le dessin, la danse, la musique, le greffage et la conduite des arbres fruitiers et l’escrime. Le but est de former des cadets de l’école royale militaire de Paris mais aussi des gentilshommes accomplis.
En 1778, Napoléon Bonaparte est admis comme élève boursier au collège de Tiron, mais il préfère finalement le collège de Brienne où étudie déjà son frère Joseph et qui dispense un enseignement plus scientifique.
Un autre personnage emblématique de l’histoire de France a, lui, fait ses études à Thiron Gardais. Il s’agit du marquis Bernard-René Jourdan de Launay, gouverneur de la Bastille, qui perd la vie le 14 juillet 1789, jour de la célèbre prise de la prison royale
Stéphane Bern, nouveau propriétaire des lieux.
Le XIXe siècle voit le collège et l’abbaye en grande partie démembrés.
Les bâtiments conservés du collège restent propriété de la même famille de 1803 à 2005 quand il est acquis par le Conseil Général d’Eure-et-Loire. Mais le bâtiment est trop dégradé pour pouvoir être entretenu par le département. Son président fait alors appel à Stéphane Bern qui accepte de racheter les lieux en 2013.
Après 3 ans de travaux, un musée consacré à l’histoire du collège et de l’abbaye est inauguré en 2016. Les nombreux objets glanés par le journaliste pour y être exposés rappellent la vie quotidienne des élèves et celle des moines, mais aussi l’histoire, souvent méconnue, des collèges royaux et militaires.
Façade du musée.
Crosse de saint Bernard de Tiron.
L’un des objets emblématiques de la collection est la crosse de saint Bernard, prêtée par le musée des Beaux-Arts de Chartres, qui a appartenuau fondateur de l’abbaye de Tiron au XIIe siècle.
Stéphane Bern a également ressuscité les jardins avec l'aide du paysagiste Louis Benech. Ce dernier a recréé les anciennes perspectives avec des buis et des arbres dont certains datent de l’Ancien Régime.
L'église abbatiale a, elle aussi, besoin d'être restaurée. Une campagne de mécénat, soutenue par la Fondation du Patrimoine, est en cours.
Élevez-vous au dessus des murailles du château de Vincennes, et admirez son donjon et Sainte-Chapelle comme vous ne les avez jamais vus.Bâti au XIVe siècle par le roi Charles V,fortifié et agrandi au cours des siècles, cet ensemble architectural est aujourd'hui géré par le Centre des monuments nationaux.
C'est le plus vaste château fort royal français subsistant et, avec son donjon de 52 mètres, c'est la plus haute forteresse de plaine d'Europe.
Le roi Louis VII aménagea vers 1150 un simple pavillon de chasse dans la forêt de Vincennes. Au XIIIe siècle, Philippe Auguste, puis Louis IX, y aménagèrent un manoir. Vers 1337, Philippe VI de Valois décida de fortifier le site en construisant un donjon carré, du côté ouest.
Charles V naquit dans cette forteresse, puis en fit le siège de son gouvernement et de sa haute administration. Il fit effectuer les travaux décidés par Philippe VI, en y ajoutant l'enceinte monumentale avec ses portes et ses tours. Les travaux du donjon et l'enceinte furent achevés en 1371.
La Sainte-Chapelle de Vincennes, dont les travaux d'édification débutèrent en 1379, devait recevoir un fragment de la relique de la couronne d'épines.
Louis XI fit de Vincennes sa résidence, mais il quitta les appartements royaux aménagés dans le donjon pour un pavillon neuf édifié, en 1470, dans l'angle sud-est de l'enceinte.
Depuis la Renaissance François Ier fit réaménager le pavillon construit par Louis XI pour y résider lors de ses séjours dans la capitale. La chapelle put enfin être inaugurée sous Henri II, en 1552. En mai 1574, Charles IX, gravement malade, mourut dans les appartements royaux du donjon.
Après l'assassinat de son père Henri IV, le jeune Louis XIII fut installé à Vincennes dans l'ancien pavillon de Louis XI et y passa une partie de sa jeunesse. Le château devint ainsi la troisième résidence royale. L'architecte Louis Le Vau construisit pour Louis XIV les ailes appelées « pavillons du Roi et de la Reine » de 1658 à 1661. Le cardinal Mazarin y décéda le 11 mars 1661 et sa dépouille fut exposée dans la Sainte-Chapelle.
Puis les travaux de reconstruction furent abandonnés et les efforts se concentrèrent entièrement sur Versailles. Le jardiner Le Nôtre eut le temps d'y aménager des jardins à la française.
Le donjon fut aménagé en prison d'État pour les prisonniers de haute naissance. Nicolas Fouquet y fut incarcéré durant son procès de trois ans (1664), avant son transfert dans la place forte royale de Pignerol.
En 1796, le château fut converti en arsenal . En 1804, le duc d'Enghien fut fusillé dans les douves du château, sur l'ordre de Napoléon.
Le général Daumesnil, gouverneur de Vincennes, le défendit avec acharnement lors de l'occupation de Paris par les troupes russes et prussiennes en 1815. Il résista ainsi cinq mois, et ne finit par capituler que sur ordre de Louis XVIII, sortant de la forteresse en brandissant le drapeau tricolore.
Sur le parvis de la cathédrale de Bayeux, l’Arbre de la Liberté, planté en
1797, vous conte des histoires de liberté. La Libération, la Révolution,
le Flower Power ou encore Martin Luther King Jr, autant de symboles
revisités dans ces projections à 360°, sur cet arbre et les monuments
alentours.
Le jardin secret le plus hospitalier de Paris ...
Ce calme coin de verdure du 7ème arrondissement fait partie de ces lieux
dont on n'imagine même pas l'existence. Privé, caché derrière un long
mur en pierre et seulement connu d'un petit nombre de privilégiés, le
jardin de la Clinique de Saint Jean de Dieu est un havre de quiétude au
cœur de Paris. On vous fait découvrir ce lieu préservé du tumulte
parisien et pourtant bel et bien accessible à tous.
lieu de balade des patients de la clinique chirurgicale Oudinot,
installée là, à deux pas des Invalides, depuis 1843. L'institution et
son parc ont été fondés par les Frères de l'Ordre hospitalier de Saint
Jean de Dieu dans les locaux de l'ancien hôtel particulier Plumet – du
nom de la rue au XVIIe siècle – pour le soin des pauvres et des malades.
Si le mode de fonctionnement de l'institution médicale a bien changé au
fil des décennies, une communauté de plusieurs frères est encore
présente dans la clinique et poursuit l'objectif de ses fondateurs :
accueillir, accompagner et soigner les malades et convalescents.
Toujours désert et souvent ensoleillé, ce ravissant jardin d'agrément
abrite un insolite puits en pierre (dont on ne parvient pas à savoir
s'il s'agit d'une relique ou d'un simple artifice décoratif), une serre,
de jolis arbustes taillés, un jet d'eau ainsi qu'une petite chapelle.
Le tout forme un lieu étonnant de tranquillité, idéal pour une courte
balade ou une pause lecture en solitaire.
niveau de la rue Oudinot, mais du côté de la rue Rousselet, ce qui
permet d'accéder directement au parc sans passer par l'intérieur de la
clinique. On peut ainsi s'aventurer dans le jardin plus facilement, mais
attention : nous sommes bien dans un lieu privé où les patients et
malades sont prioritaires. On y entre donc sur la pointe des pieds en
tâchant de respecter la beauté et la tranquillité de ce précieux
environnement
Métro : Saint François Xavier (ligne 13), Duroc (lignes 10 et 13)
Aaaaah l’été, il fait beau, il fait chaud. Seulement entre la pollution et le manque d’air, on piquerait bien une tête dans l’eau pour se rafraîchir…
La Seine ? Mauvaise idée, trop polluée. Si aujourd’hui, rien que regarder l’eau du fleuve parisien file des boutons, il y a encore 60 ans, se baigner dans la Seine était monnaie courante. Retour sur cette époque qui reviendra peut-être ?
Les parisiens commencent à faire des pirouettes dans l’eau dès le XVIIème siècle le long du Quai de Sully. On raconte même que Henri IV lui-même s’y baignait ! En 1923, la mairie de Paris prie les habitants d’arrêter de se prélasser dans le fleuve. Mais le tempérament insolent des parisiens les pousse à braver cet interdit jusqu’aux 60’s. Le championnat de France de plongeon s’y est même déroulé le 22 juin 1913…
La Seine était alors au centre des activités des parisiens d’antan.
Carte postale représentant de jeunes parisiens sur la plage de Bercy en 1900
© Maurice-Louis Branger/Roger Viollet
Homme traversant la Seine sur son vélo aquatique en 1910 –
Delbord plongeant à bicyclette au Championnat de France en 1913
© Maurice-Louis Branger/Roger-Viollet
Pantomime nautique : expérience de matelas flottant sur la Seine en 1914
1921
© Agence Rol/Gallica BNF
Baignade dans la Seine à Paris par fortes chaleurs en juillet 1921
© Agence Rol/Gallica BNF
Chaleur à Paris en juillet 1921
© Maurice-Louis Branger/Roger-Viollet
Traversée de Paris à la nage. Le départ en août 1923
1930
© Maurice-Louis Branger/Roger-Viollet
Baignade dans la Seine, près du Pont-Neuf
© Roger-Viollet
Guerre 1939-1945. Enfants se baignant dans la Seine en 1941
© Roger-Viollet
Jeune fille en bikini sur les berges de Seine en 1955
© André Zucca/BHVP/Roger-Viollet
Baigneurs sur les quais de la Seine, du pont du Carrousel en été 1943
© Roger-Viollet
Plongeon du Pont d’Iéna en 1944
© Roger-Viollet
Parisiens se baignant dans la Seine sous le Pont d’Iéna en 1945
C’est au tout début du XVIIe siècle, sous le règne d’Henri IV, que les premiers noms de voies officiels sont donnés : ces derniers ne
servent plus seulement à se repérer, mais aussi à célébrer un individu ou un évènement. La place Dauphine, aménagée à partir de 1607 à la demande d’Henri IV, est l’une des premières voies baptisées en l’honneur d’une personnalité, à savoir le jeune Louis, Dauphin de France et futur Louis XIII.Petit à petit, les hommages à despersonnalités,des événements (avenue et place de Wagram, Rue du 8-Mai-1945) ou des lieux géographiques(rue de Nancy, boulevard de Strasbourg) sans rapport avec l’environnement immédiat du lieu, s’imposent dans les choix des noms.
Et aujourd’hui ?
Depuis la loi du 2 mars 1982 relative à la liberté des communes, départements et régions, le choix des noms donnés aux rues des villes françaises relève des compétences de la commune, et donc desconseils municipaux. La dénomination des voies parisiennes n’est, normalement, autorisée qu’en hommage à une personnalité décédée depuis au moins cinq ans, mais de plus en plus de
dérogation sont constatées. Parmi les attributions de voies officialisées en 2016, on trouve par exemple la Place Georges-Moustaki, d’après l’auteur-compositeur décédé en 2013, ou encore la Promenade Florence-Arthaud, en hommage à la navigatrice française décédée accidentellement en mars 2015. Bon à savoir, chaque citoyen peut proposer un nouveau nom de rue en faisant parvenir sa
suggestion au maire de sa commune ou de son arrondissement.
La rue Charlot, ancienne rue d’Orléans, dans le 3ème arrondissement (© Groume)