De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
29/06/2017 - 16:06
Savez-vous ce qui se passe quand vous consommez des pistaches tous les jours ?



Ce délicieux fruit oléagineux autrefois exotique est disponible dans tous les commerces, et représente la collation la plus saine possible pour ses effets sur le métabolisme, la baisse du cholestérol et anti vieillissement. La pistache mérite une place de choix dans notre alimentation quotidienne car ses bienfaits pour la santé sont  très nombreux


*la consommation occasionelle de pistaches réduit le taux de cholestérol de 20% grâce à sa richesse en Lutéine  anti-oxydante *
Les pistaches sont une excellente source de fibres alimentaires essentielles à activer le métabolisme et faciliter la digestion.

*la pistache régule la glycémie grâce à son apport en phosphore .
Une tasse de pistache couvre 60%de nos besoins quotidiens en phosphore, nécessaire au métabolisme protéique et glucidique.



*les pistaches, si elles sont consommées régulièrement, sont très bénéfique pour la puissance sexuelle chez l homme,
grâce aux acides gras essentiels qu’elles contiennent elles augmentent  d’une part  la production des hormones sexuelles et d’ autre part le flux sanguin vers les organes  génitaux.

[url=https://commons.wikimedia.org/wiki/File[img= width=220,height=215]]<img[/img][/url]
Pistachier vrai.

*Parmi tous les oléagineux , les pistaches sont celles qui apporte le plus d’antioxydants clés de la  régénération cellulaire et lutte contre les radicaux libres.
Véritable BOTOX NATUREL, 5à6 pistaches quotidiennement aident à lutter contre les rides.


*En achetant vos pistaches, prenez les non épluchées  ,comme ça en les ouvrant vous les compterez et n en mangerez pas trop.
29/06/2017 - 15:27
Le musée des Confluences naît de la rencontre d’un Cristal de verre et d’un Nuage d’inox, à l’image de la convergence des deux cours
d’eau : le Rhône et la Saône. Son architecte, Wolf D. Prix, l’a conçu
pour être un lieu de découverte où les espaces de savoirs et de loisirs
se conjuguent.

Le Musée des Confluences a ouvert ses portes le 20 décembre 2014 © Quentin Lafont // Musée des Confluences
découvrir le quartier des confluences, véritable vitrine de design contemporain. Ce territoire situé sur la presque-île
(entre Rhône et Saône) au sud de la gare Perrache a longtemps été dédié à
des activités industrielles et portuaires. Depuis les années 2000, les
anciennes friches laissent progressivement place à un quartier innovant
tant du point de vue architectural qu’environnemental. Le renouvellement
urbain a été pensé dans sa globalité pour conjuguer performance énergétique et qualité de vie. Pour couronner le tout, les différents bâtiments multicolores –
bureaux, logements et espaces de loisirs –  ont été réalisés par des architectes plus talentueux les uns que les autres.

Les anciens docks Les anciens docks sur les quais de Saône sont l’exemple le plus frappant de ce quartier en reconversion. Ils ont été entièrement reconfigurés et accueille aujourd’hui des clubs
tendance, des sièges d’entreprises et des galeries d’art.

Le premier bâtiment immanquable est un immense cube orange conçu par le couple d’architecte Jakob et Macfarlane, également à l’origine de la cité de la mode et du design à Paris. Ce
cube orange, évidé à plusieurs endroits de la façade pour créer des
puits de lumière,  abrite le siège du promoteur immobilier Cardinal
ainsi qu’un showroom de design. Un peu plus loin sur le quai son grand frère de couleur verte est le siège de la chaîne de télévision Euronews.

Juste après le cube orange, place au pavillon des douanes un ancien entrepôt totalement transformé par le cabinet d’architecture
Wilmotte & Associés. Outre les deux escaliers extérieurs en
colimaçon qui ont été conservés, le bâtiment a été entièrement recouvert
d’une couche de résille métallique noire. Le petit détail fun : des
grenouilles orange se sont installées sur les  balcons !



Le bâtiment suivant, la Sucrière, est un symbole du passé industriel de la ville de Lyon et est le seul à avoir gardé son aspect extérieur original. Ancien
entrepôt puis chambre de commerce, elle accueille depuis 2003 des
expositions temporaires dont la biennale d’art contemporain. Au moment
de mon passage, la façade était entièrement recouverte des collages de l’artiste brésilien Paulo Nimer Pjota.


Le Dark Point, dernière construction le long du dock, est la réalisation d’Odile Decq qui
compte ouvrir d’ici peu une école d’architecture privée dans le quartier
Confluence.  Le design simple mais efficace met en jeu deux
parallélépipèdes désaxés l’un par rapport à l’autre créant un porte à
faux au-dessus du quai.

Le musée des confluences L’évènement le plus attendu par les lyonnais en 2014 était sans conteste l’inauguration du nouveau musée des confluences qui a finalement ouvert ses portes le
20 décembre  près de 8 ans après le début des travaux.
Le chantier a en effet connu de nombreuses difficultés techniques (en
particulier au niveau des fondations) entrainant une hausse importante
du coût de construction : plus de 300 millions d’euros aujourd’hui
contre 60 millions annoncés à la conception.


Première réalisation en France de l’agence autrichienne Coop Himmelb(l)au, cet immense vaisseau de plus de 180 mètres de long est une œuvre
architecturale majeure s’inscrivant dans la mouvance déconstructiviste.
Le musée des confluences rappelle d’ailleurs par certains aspects la
fondation Louis Vuitton à Paris imaginée par le célèbre architecte
américain Frank Gehry. Chacune des 3 unités architecturales constituant
le bâtiment – le socle, le crital et le nuage –  met en avant une des 3 matières premières les plus travaillées – respectivement le béton, le verre et l’acier.
Le socle en béton semi-enterré comprend principalement les auditoriums ainsi que
les services annexes du musée. Le cristal, immense verrière de 40 mètre
de hauteur, est destiné à l’accueil des visiteurs. La présence d’un
« puit de gravité » permet de soutenir la structure métallique du nuage.
Ce dernier abrite sur 4 étages l’ensemble des salles d’expositions
ainsi que les bureaux et la brasserie tenue par le chef doublement
étoilé Guy Lassausaie.

Le musée des confluences revendique l’héritage des cabinets de curiosités conçus par les plus grands explorateurs de l’histoire comme par exemple
Emile Guimet. Les collections présentent des objets insolites et
exotiques – minéraux, fossiles, insectes, animaux empaillés – mais
également des instruments de mesures et des œuvres d’art.


A travers 4 grandes thématiques, le musée a pour ambition de mieux comprendre l’Homme avec un grand « H » et sa relation au monde :
Origines, les récits du monde : la création du monde est traitée sous l’angle scientifique puis mythologique. Il est frappant de
noter certaines similitudes dans les récits de cosmogonie de
civilisations anciennes séparées par plusieurs milliers de km ;Espèces, la maille du vivant : la sculpture très originale de l’arbre du vivant permet de replacer l’homo sapiens à sa juste place,
une espèce animale parmi tant d’autres ;Sociétés, le théâtre des hommes : les objets de cette pièce mettent en avant la beauté de l’humanité faite de rencontres et
d’échanges mais également ses dérives potentielles avec l’émergence de
la technologie ;Eternités, visions de l’au-delà : les rites funéraires des différentes civilisations sont expliqués et présentés comme une façon
pour l’homme de se rassurer face à la question centrale de la mort.







J’ai réellement apprécié cette visite du musée des confluences qui ressemble pour moi à un mix entre le quai Branly, le musée Guimet et la galerie de l’évolution. Les collections sont bien mises en avant grâce à une scénographie travaillée (présentation des œuvres, diversité des supports, lumières). Les bornes
interactives ainsi que les médiateurs présents dans les différentes
salles font de ce musée un lieu de découverte qui plaira aux petits
comme aux grands. Je n’ai malheureusement pas eu le temps de visiter les
deux expositions temporaires proposées pour une durée de 6 mois « les
trésors de Guimet » et « la chambre des merveilles ».









29/06/2017 - 11:50
En savoir plus sur le Parc dela Tête d’or >Visiter en photographie aerienne > : cliquer

Accès au plan d’ensemble du jardin botanique
 >  : cliquer


SFO-PCVSociété Française d'Orchidophilie de Poitou-Charentes et Vendée


VUE SYNOPTIQUE SUR LE JARDIN BOTANIQUE

Extraits du dépliant "LaPlanète végétale"
éditée par la Mairie de Lyon et la
Région Rhône Alpes
 
 


Les Plantes aquatiques
2 Les rosiers sauvages
3 La roseraie historique
4 Les Pivoines
5 La collection d’arbustes
6 L’arboretum
7 Les bulbeuses
8 Les bambous
9 L’école de botanique
10 Le jardin alpin
11 Le jardin floral
12 Le jardin des lianes
13 Le jardin d’hiver
14
 Le jardin mexicain
15 Le jardin d’ombre
16 Le jardin médiéval
17 Les espèces régionales
menacées
18 Les étangs
19 Les
grandes serres tropicales

20 Lespetites serres chaudes
21 La vitrine des Orchidées
22 Les petites serres froides
23 La
serre Victoria

24 La
serre aux plantes carnivores

25 La
serre de Madagascar et des milieux arides

La Plaine africaine et le Parc aux daims
La Nouvelle Roseraie Internationale
Les rubriques marquées en gras font l’objet de commentaires
illustrés
 par des photographies.


LeParc de la Tête d’Or...
      et
son Jardin Botanique
                   
    
parJ.-P. Ring

LeParc de la Tête d’Or est sans conteste un desplus beaux parcs urbains de France.
Il s’étale sur une
superficie de 105 ha dans une boucle du Rhône, autour d’un
lac de
16 ha.
Véritable "poumonvert" de la ville de Lyon, c’est le lieu de promenadeprivilégié des lyonnais...et des visiteurs de
passage.
Jardin botanique, serres, parc animalier, roseraie (une des plus belles
d’Europe) parc richement arboré d’essences remarquables,
constituent un ensemble
harmonieux, accessile à tous où chacun peut venir
se
ressourcer , se distraire, ou s’instruire à sa guise...
Tout est gratuit !!! sauf les consommations bien
sûr.
En savoir plus sur le Parc dela Tête d’or >Visiter en photographie aerienne >
 

LA SERRE AUX PLANTES CARNIVORES

ou serre des Hollandais

Lacollection de plantes
carnivores est présentée dans une
tourbière

reconstituée au centre de la serre ainsi que dans des
vitrines
périphériques présentant de
très beaux
specimens rangés par origine géographique et par
classification taxonomique.

Cette très belle et très riche collection de plus
de 300
espèces est sans doute une des plus belles d’Europe.







Sarracenia leucophylla.
Les Sarracenia sont
originaires de la plaine côtière du sud-est des
Etats-Unis.

Implantés dans les prairies tourbeuses, ils
complètent leur nutrition azotée par la capture
d’insectes dans des urnes ou ascidies dérivées
des
feuilles.

La capture est passive et la digestion est
réalisée au fond du piège 
 





Drosera binata

Drosera binata est originaire d’Australie et de Nouvelle-Zélande et a la
particularité de posséder des feuilles fourchues.

Les
pièges se développent au-dessus des fourches sous
le
forme de fines gouttelettes gluantes qui imitent la rosée,
stratagème auquel se laissent prendre de petits insectes.
 





Dionaea muscipula


Les
Dionées, sans doute les plus connues et les plus fascinantes
des
plantes carnivores possèdent des pièges actifs
dérivés des feuilles.

Un
double contact est nécessaire avec les poils sensibles de la
face
interne du piège pour déclencher sa fermeture
brutale.

L’insecte
capturé sera digéré en quelques jours,
l’ouverture du piège laissant
alors apparaître l’exosquelette chitineux vide de la proie.







Nepenthes sp.


Les Nepenthes sont originaires des iles de l’Océan Indien,
particulièrement l’Indonésie.

Ce sont pour la plupart des plantes épiphytes,
lianoïdes,
dont les pièges en urne ou ascidies dérivent de
l’extrémité foliaire.

L’entrée de
l’urne est
recouverte d’une cire fortement dérapante.

Le fond de l’urne
fonctionne comme un estomac pour la digestion des insctes et autres
animalcules capturés, le couvercle servant de parapluie
uniquement.
 















Drosera atrostyla
Sarracenia purpurea
Piguicula sp.
Drosera capensis
Cepholotus follicularis
Pingicula sp.








Spiranthes cernua
08 - 12 - 2007


Originaire du Canada,Spiranthes cernua vit dans les tourbièresacides, avec une biologie proche de celle de notre Spiranthed’été.

Son adaptation àla serre des plantes carnivores semble parfaitement
réussie.

Accès au plan d’ensemble du jardin botanique >

LA GRANDE ROSERAIE
(ou nouvelle roseraie internationale)

Le Parc de la tête d’or renferme 4 roseraies !
La nouvelle roseraie internationale renferme 60 000 rosiers
et s’étend sur une sperficie de 5 hectares.


Pour y accéder, il faut, en partant du Jardin botanique,
emprunter l’allée de la ceinture et longer l’arboretum qu’on
pourra visiter en passant, avec ses essences si variées dont
certaines très rares comme
le Cyprès de Tassili (Cupressus dupreziana)
Longer le lac jusqu’à la hauteur de la Cité Internationale de Lyon.
























Photographies : Jean-Pierre Ring
 
LE  JARDIN ALPIN
 ET SON ENVIRONNEMENT AQUATIQUE


Le jardin alpin présente non seulement la flore alpine, mais
aussi celle des principaux massifs montagneux français et du reste
du monde.
( Himalaya, Rocheuses, Andes...)












Très judicieusement installé au
milieu d’un environnement aquatique qui récupère
les ruissellements artificiellement créés,
le
jardin alpin jouit de la fraîcheur indispensble à
la survie de ses plantes.

Canards et poules d’eau y sont chez eux au plus grand plaisir des

enfants et des visiteurs.

Une très belle collection de Nymphea et de Lotus vient
compléter ce petit paradis naturel.






















LA SERRE DE MADAGASCAR ET DES MILIEUX ARIDES :

Cette serre renferme une très belle collection de plantes
succulentes
 où Cactées,Euphorbiacées, Agaves, Aloes...rivalisent de beauté.

Mais c’est surtout la présentation particulièrement
soignée qui charme l’oeil.

Aussi je vous la présente rien que pour le plaisir des yeux







"Sur une moitié de la serre, diverses plantes succulentes évoquent un paysage
désertique.

Elles sont regroupées par continent :

Celles originaires d’Amérique
(Agaves, cactus...) sont séparées des plantes africaines (Aloes,
Euphorbes...) par une allée centrale.

La seconde partie de la serre présente un paysageSud-Africain avec des végétaux
endémiques de Madagascar et d’Afrique du Sud."

       
     (Opsitin "la planète végétale"
Région Rhône-Alpes Ville de Lyon)








 

Je ne saurais traduire par la seule photographie
l’ambiance très particulière qui règne
dans cette serre.

J’ai cherché un instant où
pouvaient nicher les oiseaux dont le chant
mélodieux apporte une touche sonore extrêmement
agréable, avant de m’a percevoir qu’il s’agissait d’une
diffusion...d’enregistrements de qualité et parfaitement
bien orchestrés.














Photographies : Jean-Pierre Ring

Photographies : Jean-PierrLES GRANDES SERRES TROPICALES


LesGrandes serres tropicales ont été construites en
1880.
Elles couvrent une surface au sol de 1900 m2
Le Pavillon Central fait 21 mètres de haut.

C’est un exubérant jardin tropical qui abrite :
Fougères arborescentes, Cycas géants, Araucarias, Palmiers, Dracaena,
Bananiers, Avocatiers, Cacaoyers, Papayers, Poivriers, Philodendrons...

Elles sont encadrées, à gauche par la Serre aux Camélias
et à droite par la Serreaux Pandanus.
















Face à l’entrée des Grandes
serres tropicales,
la statue de Bernard de Jussieu, grand botaniste français
né à Lyon le 17 août 1699.

Docteur en médecine, il est nommé professeur de
botanique au Jardin du Roi à Paris en 1722

Il est à l’origine d’une classification morphologique des
plantes et on lui doit de ce fait la distinction entre
Monocotylédones et Dicotylédones.
 
















Photographies : Jean-Pierre Ring
Août2007 et Décembre 2007
 



Voir le plan d’ensemble du jardin botanique >


 














 


 








































13/12/2007 - HORS REGION - Lejardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - Découverte du
Jardin Botanique
13/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - Les
petites serres chaudes et la vitrine aux Orchidées.

12/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - Le
Jardin alpin et son environnement aquatique.

12/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - La
nouvelle roseraie internationale.

12/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - La
Plaine africaine et le Parc aux Daims.

11/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - La
serre Victoria

11/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - La
serre de Madagascar et des milieux arides.

11/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - La
serre aux plantes carnivores.

10/12/2007 - HORSREGION - Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or à Lyon - Les
grandes serres tropicales

29/06/2017 - 11:44
La Chine est en train de construire une ville-forêt entièrement indépendante énergétiquement, qui absorbe la pollution.
En ce moment, la Chine semble être le théâtre de grands changements. Après l'inauguration, un peu plus tôt dans le mois, de la plus grande centrale solaire flottante du monde (une gigantesque structure construite au-dessus d'une ancienne mine de charbon), le plus gros pollueur du monde semble avoir l'ambition de revenir sur ce lourd passé, et d'opérer une transformation radicale. Et
comme le pays est aujourd'hui responsable de presque 30% des émissions mondiales de CO2, le faire se convertir à terme en une grande puissance écologique moderne représente un défi de taille, et pourrait avoir un impact immense dans le futur.
Cette fois-ci, c'est un nouveau projet d'envergure, ambitieux et unique en son genre, qui s'apprête à voir le jour en Chine : une «ville-forêt », entièrement indépendante sur le plan énergétique... et surtout, avec zéro émission de pollution ! 
« Liuzhou Forest City »  sera un véritable paradis de biodiversité, une jungle habitable où la nature et les humains coexistent, tout en jouissant d'une infrastructure moderne et des avantages d'une grande ville


Le projet, porté par le cabinet d'architecture italien Stefano Boeri Architetti (SBA), est d'autant plus audacieux que la Chine rencontre un grave problème au niveau de la gestion de l'urbanisme et de la pollution atmosphérique générée par les fortes densités de population.
C'est ce même cabinet qui avait construit des immeubles végétalisés en plein cœur de Milan,des édifices qui font figure devéritables
forêts suspendues.Cette première expérience ayant été très concluante,le cabinet commence à l'exporter dans plusieurs pays
 (notamment à Lausanne, en Suisse), et le concept commence tout juste à débarquer sur le marché chinois. Ainsi,en février dernier, SBA avait déjà annoncé la construction de deux tours végétales dans la ville chinoise de Nanjing, selon le modèle des bâtiments construits à Milan !

Ces « forêts verticales habitables » sont spécialement conçues pour purifier l'atmosphère, créer une sorte de barrage vert qui décompose le smog et absorbe le dioxyde de carbone, diffuse de l'oxygène, tout en enjolivant le quotidien des habitants. On comprend que les élus chinois soient très intéressés par ce genre de technologie, quand on voit l'étatde l'air ambiant dans certaines grandes villes ultra-polluées !


Mais après les immeubles végétalisés, SBA souhaite aller plus loin et s'attaquer à un projet autrement plus ambitieux : construire une ville-forêt entière !
Baptisée « Liuzhou Forest City » et commissionnée par le gouvernement régional chinois, la ville-forêt est sur de bons rails. Les travaux pour ce véritable paradis végétal ont déjà débuté et, si le chantier avance bien, devraient être terminés d'ici 2020. Liuzhou sera une ville entièrement autosuffisante, et qui tournera grâce à l'énergie géothermique et aux panneaux solaires qui recouvriront tous les toits. 
La ville pourra héberger quelque 30 000 personnes, et contiendra tous le confort et les activités de n'importe quelle ville moderne : deux écoles, un hôpital, des zones de loisirs et de commerce. Elle sera recouverte de plus d'un million de plantes, d'une centaine d'espèces différentes, et près de 40 000 arbres. Selon les architectes, elle sera capable d'absorber un peu plus de 10 000 tonnes de dioxyde de carbone (CO2) par an, ainsi qu'une grande quantité de polluants aérosols.


Dans cette ville, il n'y aura pas d' « espaces verts » : la ville entière sera un gigantesque espace vert ! En fait, les bâtiments seront
tellement couverts d'arbres que, vu du ciel, ils seront quasiment invisibles. Liuzhou sera une grande tache verte, uniquement bordée du bleu azur de la mer et des cours d'eau.
« Cette cité verte, entièrement câblée et reliée, sera reliée à la grandeville la plus proche au moyen d'un rail électrique ultrarapide, et d'unréseau de voitures électriques » a indiqué SBA dans un communiqué de presse.
Il n'y a plus qu'à attendre la fin des travaux pour voir si cette expérience tient ses promesses. Si c'est le cas, il pourrait s'agir d'un
tournant majeur sur notre manière d'aborder l'architecture urbaine et notre façon de construire nos villes !

 
29/06/2017 - 11:33
Couleur de l'année 2017, la terracotta est LA couleur que l'on veut absolument dans notre déco !
La terracotta n’est pas que le nom d’une célèbre poudre bronzante, c’est aussi le nom d’une couleur pantone qui a cartonné dans le monde de la déco et du design !
Rose foncé pour les uns ou marron orangé pour les autres, la tendance terracotta se décline dans un panel de teintes plutôt impressionnant.
Comme la poudre du même nom, cette couleur sert à raviver une pièce en lui donnant ce je-ne-sais-quoi de spicy, qu’aucune autre couleur ne serait capable de faire !
Laissez donc aux Nordiques leur tendance Hygge et plongez dans un monde ocre au doux parfum de Méditerranée.

1- Donnez un teint hâlé à vos murs 

2- Un rose foncé pour de beaux réveils !

3- La beauté de l'ocre 

4- Quelques touches de terracotta, des pots de fleurs orangés au mur de briques 

5- Une salle de bains dépaysante 

6- Des mélanges rosés et cuivrés pour une pièce à vivre des plus raffinées 

 
7- La tendance se voit même au sol ! 

8- Une touche dans une mer de gris 

9- Votre salon aux allures d'Orient 

10- Jouez sur les détails 

11- Que vous soyez plutôt rustique...

12- ... ou plutôt bohème, mettez du soleil dans votre déco !
 
13- Le charme fou de la terracotta dans votre salle de bain 

14- Industriel et terracotta font bon ménage !

15- Des notes orangées !

16- Mettez vos meubles au diapason ! 

17- Les touches de terracotta donnent l'impression d'être revenu dans les années 70 !

18- Avec un rien, vous habillez votre chambre 


 
29/06/2017 - 11:28
La Marne...Le Département Vert...


Premier département fleuri de France, la Marne se découvre aussi au fil de ses villes et villages fleuris.
 
Ici, la découverte des sites emblématiques  se fait aussi au détour d'une balade fleurie ou de la visite de l'un des nombreux parcs et jardins.
Tour d'horizon de ces espaces verts qui vous invitent à la détente et au ressourcement...


Les " Jards " De Châlons-en-Champagne.
Châlons-en-Champagne possède de jolis espaces verts en centre-ville, que l'on nomme ici les "jards" qui constituent en plein coeur de ville, un poumon vert d'environ 11 hectares, situé entre deux cours d'eau, le Mau et le Nau : petit jard, grand jard et jard anglais entre deux cours d'eau.
Le Grand Jard. Aux beaux jours, petits et grands, peuvent profiter des nombreuses activités proposées : pédalo, sports de plein air, animationsponey, bac à sable, lecture...
Ou tout simplement se détendre sur une chaise longue... En effet, chaque été, la Mairie y organise  Châlons-Plages pour le plus grand bonheur de tous.
Aux abords de l'Avenue du Général-Leclerc, où l'on peut stationner gratuitement, le Grand Jard s'étire jusqu'au canal. Ce jardin, aménagé au XVIIIe siècle, est doté d'un kiosque à musique du XIXe siècle.
Toutes les générations se croisent le long des allées bordées de marronniers, et, dans les bassins, les enfants inventent des jeux tandis que les boulistes et les pêcheurs s'adonnent à leur plaisir, créant des animations de passage.
Deux fois par an, la fête foraine installe ses attractions, musique et lampions, et à l'occasion, on peut aussi y voir  se dresser des chapiteaux : lors du Festival Furies, pour des spectacles et des bals.
Le Jard Anglais. Par la  passerelle du canal, on rejoint,  entre canal et Marne, le Jard Anglais, doté de pièces d'eau et d'allées praticables à pied...En rollers ou en vélo pour d'agréables promenades  sous de vieux marronniers ; on continue la balade le long du chemin de halage jusqu'à l'écluse ou dans l'autre sens jusqu'au pont du canal Louis XII.
Le Petit Jard. Labellisé Jardin Remarquable, aménagé en 1861, réaménagé en2001 suite à la tempête. Le Petit Jard,  permet de rejoindre, depuis l'avenue du Maréchal-Leclerc, le centre-ville dans un cadre enchanteur. 
Il accueille un arboretum public créé en 1938 qui abrite de nombreuses curiosités botaniques.


Epernay, Paradis Vert.

A Épernay, en bordure de l'Avenue du Champagne, on flâne dans les jardinsde l'hôtel de ville (créés au milieu du XIXe siècle pour agrémenter l'hôtel particulier de la famille Moët et Chandon) ou le parc horticole.
Ce dernier a été réalisé en 1873, invite à une promenade bucolique autour d'un bassin accueillant canards. Il abrite également un arboretum et un spécimen de fau de Verzy.
Très agréables, ces deux jardins d'Epernay ont été classés " Jardin remarquable ". Une pause verte après la découverte des caves et la dégustation de Champagne, sur l'Avenue de Champagne, classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Nanteuil-la-Forêt...Jardin Remarquable
A Nanteuil-la-Forêt, au coeur de la Montagne de Reims, se niche le jardin botanique de la Presles qui a reçu les labels " Jardin remarquable " et" Jardin botanique ".
Il est réputé pour être le plus beau jardin de Champagne. Il est dédié aux saules, dont il est notamment le siège de la collection nationale.

Le jardin botanique de la Presle .
Il
compte aujourd'hui une collection de plusieurs centaines de variétés de rosiers anciens...
Dont le rosier La Marne évocateur et symbole de résistance lors des combats en 1914-1918. C'est peut être aussi à ses somptueuses plates-bandes de plantes vivaces herbacées et ses roses anciennes que lejardin doit sa réputation qui en fait le haut lieu régional de la formation horticole, de l'art du jardin et de ses plaisirs.
L'étiquetage des plantes, la découverte des différentes chambres du jardin et les commentaires affichés sont un de ses atouts sans compter les animations de saison liées aux floraisons successives des végétaux.
Une découverte immanquable !


Reims...Des Jardins Si Différents.
A Reims, le parc de Champagne, celui de la Patte-d'oie et le jardin d'horticulture ou le parc Léo-Lagrange offrent des atmosphères très différentes.
Le parc de la Patte d'Oie est situé entre le centre des Congrès, le manège et le cirque, dans le prolongement des Promenades.
Agréablement agencé et dessiné, il est à la fois sobre et élégant.
Jardin à l'anglaise puis moderne, l'eau en devient l'élément majeur se déclinant alors sous toutes ces formes : ruisseaux, cours d'eau, cascades, fontaines...

Sans oublier son kiosque, ses aires de jeux et son fau de Verzy qui en font un des parcs préférés des Rémois. À l'entrée Est de la ville, on découvre le parc de Champagne.
Ce " jardin remarquable " est l'idéal pour se balader, pique-niquer et passer une journée en famille. Sur 22 ha, planté d'environ 3 000 arbres,cet espace vert clos offre de nombreuses possibilités : aire de fitness, table de ping-pong, aire de liberté canine, aires de jeux et même une " plage ".
De nombreuses manifestations et expositions y sont programmées : journée nature, expositions photographiques, chasse aux oeufs de Pâques... Sans oublier le concert pique-nique des Flâneries musicales (du 22 juin au 12 juillet 2017), un accord entre champagne et musique classique revisité. Unique !
Le parc Léo-Lagrange est  le plus grand parc de la ville. A proximité du centre, jouxtant le stade Auguste Delaune et la piscine-patinoire, il a été conçu par le paysagiste Jacques Sgard en 1978, qui l'a organisé autour d'un plan d'eau.
Dans la partie Est de cet espace vert, vous découvrez une zone humide semi-naturelle. Notez que vous avez également ici un parcours de reconnaissance des oiseaux, ainsi que deux aires de jeux pour les tout-petits et les plus grands.
On y croise familles, joggeurs et amateurs de sports collectifs. Il est
agréable de s'y promener au printemps, d'y pique-niquer parfois et, pour ne rien gâcher, quelques manifestations en plein air s'y déroulent chaque année, dès l'arrivée des beaux jours.


29/06/2017 - 11:07
Des plantes d’intérieurs en broderies par Sarah K. Benning. 

 
L’artiste Sarah K. Benning crée des illustrations modernes d’intérieurs de maisons et d’appartements avec leurs plantes en utilisant la technique de la broderie.











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29/06/2017 - 10:57
Carnac – Le mystère des parures du néolithique.
Dans les tumulus de Carnac en Bretagne, les archéologues ont retrouvé des parures en variscite, un minéral vert proche de la turquoise. Des scientifiques du Grand ouest et d’Espagne viennent de résoudre le mystère de l’origine de ce matériau.




29/06/2017 - 10:51
L'AMOUR... L'INDIVIDU... ET LE COUPLE POUR LES SIOUX.

 
 
Une vieille légende raconte qu’un jeune couple d’indiens Sioux alla, un matin, rendre visite au chaman du village.
Ils vivaient près de Paha Sapa, les actuelles Collines noires, considérées comme sacrées pour ce peuple.
Le jeune était un guerrier courageux et dans son cœur habitaient aussi bien l’honorabilité que la noblesse.
Chez Nuage Haut, la jeune femme aux yeux bridés et à la longue chevelure, on retrouvait une grande détermination et, surtout, cet amour profond pour celui qui allait devenir son époux. 
La raison pour laquelle ils avaient décider de rendre visite au chaman était très importante pour eux : ils avaient peur, peur que leur engagement, que cet amour dévot et ferme qu’ils se juraient désormais serompe d’une quelconque façon.
Ils avaient également peur de mourir et de ne pas se retrouver dans l’au-delà. Ils souhaitaient que le vieux sorcier leur donne un remède, un sortilège ou un sort pour que leur amour soit éternel.
 
Le défi.
 
Le vieux chaman les regarda un instant avec son visage aquilin et ridé par les ans.
Il fuma quelques pipes, fronça les sourcils, s’éclaircit la voix et, enfin, prit la main de la jeune femme : 
- Si tu veux garder cet être que tu aimes à tes côtés pendant longtemps, tu devras entreprendre un voyage.
Ce ne sera pas facile, je te préviens. Tu grimperas en haut de cette colline que tu vois au fond et tu chasseras un faucon de tes propres mains, le plus fort et le plus beau que tu verras.
Tu devras ensuite le ramener vivant, ici même, le troisième jour après la pleine Lune.
 
Ensuite, le chaman se tourna vers le jeune guerrier.
 
- Quant à toi, tu dois savoir que ta tâche sera aussi complexe et exigeante. Tu dois aller au sommet de la plus haute montagne de notre région et chasser un aigle. Le plus beau, le plus vigoureux, le plus sauvage. Tu devras ensuite le ramener ici, le même jour que ta bien-aimée.
 

 
Le résultat
 
La jeune femme sioux et son bien-aimé réussirent le défi proposé par le vieux chaman.
Elle avait attrapé un faucon et l’avais mis dans un sac en peau. Le jeune guerrier, quant à lui, portait son aigle.
Le plus beau, le plus fort.
Lorsqu’ils arrivèrent devant le vieux sorcier, ils demandèrent quelle serait la prochaine étape:Sacrifier les oiseaux et nous baigner dans leur sang, peut-être ?
 
– Maintenant, vous devez faire ce que je vous dis : prenez les oiseaux etattachez-les par les pattes avec un lien en cuir. Ainsi, l’un sera attaché à l’autre et vice versa. Ensuite, vous devrez les relâcher pour qu’ils volent en toute liberté.
 
Quand les deux jeunes réalisèrent ce qui avait été demandé, ils restèrent médusés et sans mots en voyant le résultat.
La seule chose que réussirent à faire les deux oiseaux lorsqu’ils essayèrent de voler fut de tomber encore et encore. Frustrés et pleins de colère, ils commencèrent à se donner des coups de bec.
 
Le vieux chaman se rapprocha d’eux et les sépara. Voici le sort que je vais vous donner : apprenez de ce que vous venez de voir.
Si vous vous attachez l’un à l’autre, et même si c’est avec amour, la seule chose que vous réussirez à faire sera de vous traîner, de vous faire du mal et d’être malheureux.
Si vous souhaitez que votre amour perdure, volez ensemble, très haut dans le ciel, mais ne vous attachez jamais l’un à l’autre.
Car le véritable amour unit mais n’emprisonne pas. 
 
«La capacité de rire en même temps… ça, c’est de l’amour.» 
-Françoise Sagan-

 
Dans ce défi complexe de bâtir une relation de couple stable, heureuse, mature et enrichissante, il est nécessaire d’équilibrer les forces et les espaces et de créer une alchimie où «l’on est soi-même sans cesser d’être deux».
Il est également nécessaire de ne jamais perdre le chemin de l’identité, l’espace de l’amour-propre, le jardin de l’estime de soi et ce salon privé où habitent nos rêves et tout ce qui nous définit.
 

 
Par ailleurs, et pour conclure, il convient de rappeler que cette légende et le principe d’écologie émotionnelle peuvent s’appliquer à tout type de relation, que ce soit en amitié ou dans une relation familiale.
Car en fin de compte, dans n’importe quelle union, nous sommes obligés de sauvegarder les espaces individuels pour ainsi pouvoir préserver la magie de cette alliance. 
Il est nécessaire de s’en souvenir.
29/06/2017 - 09:46
Des dates illustrées pour mémoriser les événements historiques
La comète de Halley.

Illustrer 50 dates historiques grâce à la typographie, un excellent projet imaginé par les designers Levan Patsinashvili et David Babiashvili, qui mettent en scène les chiffres de manière créative, reflétant les événements de chaque date.
 
Du naufrage du Titanic à la Boston Tea Party en passant par la naissance de Microsoft ou l’assassinat de Kennedy, une jolie manière de réviser l’Histoire !