Certes, VOYAGER à du bon. Mais ça peut également être l’occasion d’en apprendre long sur nous-mêmes… Il est vrai que les clichés ont la vie dure. Histoire de sourire un peu en attendant les vacances, voici un petit florilège des clichés que les étrangers peuvent avoir sur nous… C’est parti pour une séance gratuite de French bashing !
1) Les Français sont sales ici nous touchons au number one ! Il semblerait que ce cliché écrase tous les autres haut la main. En effet, pour bon nombre d’étrangers et, on ne sait pas trop pourquoi, les Français seraient en délicatesse avec leur salle de bain tant leur saleté est proverbiale. D’ailleurs ce serait pour cela que nous utiliserions beaucoup de parfum… On se demande vraiment pourquoi. Une douche par semaine, c’est déjà bien non ?
2) Les Français sont toujours en grève La propension des Français à râler, rouspéter, maugréer et protester est légendaire. Conséquence : la grève ! Il est vrai que, à l’étranger, en tendant l’oreille, nos transports en commun ne suscitent guère d’échos favorables. Apparemment la SNCF est passée par là…
3) Les Français ne seraient pas aimables En plus d’être en grève et d’avoir une hygiène pour le moins relative, les Français ne seraient pas aimables (décidément, on a tout pour nous…).
4) Les Français sont nuls en anglais Le Français, têtu comme une mule, mettrait un point d’honneur à ne jamais répondre à une question posée en anglais, combien même la comprendrait-il. Couplé avec le cliché précédent, une interaction entre un étranger et un Français à PARISressemblerait à ça : – Excuse me sire, what time is it please ? – Dégage j’ai pas le temps !
5) Les femmes françaises ne se rasent pas Bizarrement, la pilosité des femmes françaises serait légendaire…
6) Une alimentation rudimentaire : baguette, fromage et vin ! Le repas typique d’un Français ? Du fromage, du pain et du vin ! Point barre. Rajoutons une marinière pour faire bonne mesure, et il est vrai que nous nous approchons de monsieur tout le monde…
7) Les Français portent TOUJOURS le béret Et alors, si on le porte bien ?
8) Les Français sont romantiques Paris, c’est bien connu, est la ville de l’amour. Et les French lovers y sont redoutables ! Pour une fois qu’il y a un cliché plus ou moins à notre avantage… Photothèque Musée des Augustins, Toulouse
9) Le French kiss : une institution nationale D’ailleurs les Français seraient tellement ROMANTIQUES qu’ils auraient érigé le french kiss en institution nationale. Il va sans dire que tous les matins, en arrivant au bureau, on se roule une pelle…
10) Les françaises ne sont point farouches On mélange le romantisme atavique des Français à notre goût immodéré pour le french kiss, on secoue très fort, et on obtient la réputation des femmes françaises à l’étranger !
La bactérie xylella fastidiosa, qui a décimé des milliers d’oliviers en Italie, a été détectée sur l’archipel espagnol des Baléares, où les mesures de lutte s’intensifient, a indiqué vendredi le gouvernement régional. « Le nombre de résultats positifs que nous avons est très élevé », et l’ensemble de l’archipel vient d’être classé comme zone infectée, a expliqué à l’AFP Mateu Ginard, directeur du département agriculture au gouvernement régional des Baléares. Les exportations de végétaux ont été interdites au départ de l’archipel pour empêcher la bactérie d’atteindre le reste de l’Espagne, premier producteur mondial d’huile d’olive. La xylella fastidiosa, apparue en 2013 dans le sud de l’Italie puis détectée en France, n’avait jusqu’ici jamais été identifiée en Espagne. Elle fait dépérir les arbres en les desséchant de l’intérieur. La bactérie a été détectée pour la première fois en octobre sur un cerisier dans une pépinière sur l’île de Mallorque, puis sur des oliviers, amandiers et autres plantes. Des tests ont également révélé saprésence sur l’île voisine d’Ibiza. Les autorités avaient déclenché dans la foulée le protocole dit d’éradication, qui consiste à détruire toutes les plantes jugées vulnérables à la bactérie dans un rayon de 100 mètres. Au total, plus de 1.900 plantes ont été détruites. Tous les cas ont été repérés sur des plantes isolées, en dehors des champs cultivés d’oliviers et d’amandiers, selon M. Ginard. Il reste encore à déterminer quelle souche de la bactérie a touché les oliviers, pour savoir si elle est aussi virulente que celle qui a infecté près d’un million d’oliviers en Italie. Jusqu’ici, deux souches différentes ont été identifiées sur les autres plantes, moins ravageuses que la souche italienne. Les autorités ont décidé de détruire toutes les plantes contaminées, mais elles ont pour l’instant suspendu l’éradication qui implique la destruction de tous les végétaux autour de la plante malade, ce qui serait un « désastre » environnemental pour l’archipel, a précisé M. Ginard. Si la xylella fastidiosa ne présente a priori aucun risque pour les êtres humains, elle est capable de tuer plus de 200 espèces végétales, notamment la vigne, le clémentinier et l’olivier.
Le chateau fort de Suscinio, comprenant six tours, leurs courtines, un donjon et une douve, fût édifié à l'aube du XIIIème siècle sur l'ordre de Pierre de Dreux, sur unterrain marécageux au Sud de la presqu'ile de Rhuys, à quelques encablures de l'océan.
Ce fût l'une des résidences favorites des Ducs de Bretagne, qui le préférèrent aux Château de Nantes ou à celui de Vannes, notamment pour la chasse, grâce à ses vastes forêts regorgeantes de gibiers. Il est vrai qu'à cette époque, il est plus proche du rendez-vous de chasse, que de la forteresse qu'il deviendra dans le courant du XVème siècle...
Le château de Suscinio passe à la couronne de France au début du XVIème siècle, les jours fastes laissent alors place à des jours plus sombres.
Après avoir subit l'attaque des chouans, il fût démentelé comme beaucoup d'autres chateaux et servit de carrière de pierres après la révolution. Ruiné, il fût tout de même classé Monument Historique en 1840. Depuis son rachat par le Conseil Général du Morbihan en 1965, le chateau de Suscinio fait l'objet d'importants travaux de restauration et retrouve sa grandeur d'autrefois.
SUR LES TRACES DU DERNIER MAÎTRE DES TEMPLIERS À PARIS Il est le dernier grand maître des Templiers et, depuis que Maurice Druon en a fait son sujet de prédilection dans la suite de romans Les Rois maudits, il fait partie des figures les plus intrigantes de notre histoire. La légende voudrait, en effet, que Jacques de Molay ait lancé, au moment de succomber sous les flammes, une malédiction à l’encontre du roi Philippe IV le Bel, du pape Clément V, de l’inquisiteur Guillaume Humbert, et de leurs descendants pendant treize générations. Si cette légende n’a jamais pu être vérifiée et que de nombreux détails historiques manquent sur les Templiers, quelques marques du passage de leur dernier grand maître peuvent être retrouvées dans Paris. On est parti sur les traces de cette illustre figure de l’Ordre des Templiers. L’ENCLOS DU TEMPLE, SIX HECTARES EN PLEIN COEUR DU MARAIS L’ordre du Temple est un ordre religieux et militaire, créé en 1129 à l’occasion du concile de Troyes, dans le but de protégerles lieux saints en Palestine et défendre les pèlerins en Terre Sainte.
Le vendredi 13 octobre 1307, Jacques de Molay se trouve à Paris quand Philippe le Bel met en oeuvre sa grande rafle policière qui, des siècles plus tard, continue d’impressionner. Au petit matin et dans le plus grand secret, tous les membres français de l’ordre sont arrêtés par les sénéchaux du royaume. Jacques de Molay et les 140 Templiers de Paris sont expulsés de l’enclos du Temple. Quelques uns sont tués, d’autres enfermés dans les prisons de la capitale.
Que reste-t-il de l’ancienne demeure des Templiers ? Absolument rien ! La tour du Temple (connue pour avoir été la geôle de Louis XVI et sa famille sous la Révolution), l’église Sainte-Marie, l’hôtel du Grand Prieur, la tour de César, et l’ensemble des bâtiments érigés dans l’enceinte de l’enclos, ont disparu. Démolis, remplacés et rayés des cartes parisiennes au fil des siècles. Aujourd’hui, les seules traces du passage des Templiers à Paris sont des marques bleues peintes sur le sol de la rue Eugène Spuller, qui indiquent l’emplacement des anciennes tourelles et de la tour du Temple, ainsi qu’une plaque placée à l’angle de la rue Dupetit-Thouars et de la rue Gabriel-Vicaire, sur laquelle est dessiné un double plan de l’ancien domaine et des rues actuelles. Ce qu’il reste de l’enclos du Temple en 1734 (Plan Turgot)
SUR L’ÎLE DE LA CITÉ, L’EMPLACEMENT DU BÛCHERLe 18 mars 1314, Jacques de Molay, emprisonné depuis la grande rafle menée par Philippe le Bel, est conduit sur l’île de la Cité, devant la Cathédrale Notre-Dame. Il doit y entendre le verdict de son procès, en compagnie de Geoffroy de Charnay, précepteur de Normandie, et de deux autres figures templières, Hugues de Payraud et Geoffroy de Gonneville. La sentence desjuges est la prison à perpétuité pour crime « d’hérésie et de pratiques obscènes ». Jacques de Molay et les Templiers sont arrêtés dans l’enclos du Temple (miniature extraite des « Grandes Chroniques de France », XIVe siècle).
Mais, alors qu’il n’avait jamais renié ses aveux en six ans d’emprisonnement, le grand-maître s’insurge contre sa condamnation, déclarant qu’il ne s’est pas rendu coupable des crimes qui lui sont reprochés et qu’il est victime d’une machination de la part de Philippe IV le Bel et du pape Clément V. Ces propos sont appuyés par ceux de Geoffroy de Charnay, son second dans la hiérarchie de l’ordre du Temple. Les deux hommes savent que cette protestation leur vaudra une toute autre condamnation : en tant que relaps, ils ne sont plus protégés par le pape et doivent être condamnés au bûcher. Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay sont exécutés le soir-même sur un bûcher élevé sur la petite Île aux Juifs, rattachée à l’île de la Cité lors de la création du Pont Neuf à la fin du XVIe siècle. Aujourd’hui, il constitue la partie méridionale de l’actuel Square du Vert-Galant, à deux pas de la statue d’Henri IV qui trône sur le terre-plein du pont, une dizaine de mètres plus haut. Dans le square, une simple plaque commémorative rappelle les événements qui eurent lieu le 18 mars 1314.
Airbnb et Pantone se sont associés pour créer un espace unique qui apporte l'extérieur, à l'intérieur. L'espace dispose d'une forêt impressionnante réception, une serre intérieure quise double d'une salle à manger, jardin chambre avec pelouse tondue, topiaires et plantes soporifiques, un cubby trou de tentes pour les enfants à dormir et une cuisine de jardin d'herbes aromatiques.
Barge royale Karaweik, Lac Kandawgyi à Rangoun, Birmanie.
Encore plus cool qu’un palais, une barge royale qui contient un palais ! Cette curiosité s’appelle le Karaweik et se trouve dans la ville de Rangoun, capitale économique de la Birmanie. Construite dans les années 1970, elle est la réplique en béton d’une authentique barge royale birmane. La structure pèse 20 000 tonnes et a été conçue pour durer des siècles. Elle compte deux salles de réception et une salle de conférence. Étonnamment, le Karaweik n’est aujourd’hui ni la demeure d’un roi, ni même celle d’un haut dignitaire. Il est un restaurant avec buffet ! Alors, si vous êtes de passage dans la ville, rendez-vous sur la rive orientale du lac Kandawgyi pour déguster un plat dans cet endroit insolite !
Et dénicher certains de trésors de l’histoire du chocolat n’était pas de tout repos. « J’ai dû aller jusqu’à Monaco, et même jusqu’en Israël pourles trouver. J’ai aussi été très émue quand une dame m’a apporté trois tablettes de chocolat intactes qui datent vraisemblablement de l’après-guerre. »
Balade à Saint Valery sur Somme, Train de la baie de Somme
Préambule : Cette balade vous fera emprunter le chemin de fer de la baie de Somme. Le train à vapeur de la baie de Somme vous conduira de Saint Valery sur Somme au Crotoy.
Gare de Saint Valery sur Somme.
Durée : 2 heures 30 aller et retour Période : mars à octobre Catégorie : balade familiale Région naturelle : Baie de Somme
Train de la baie de Somme
Balade Train de la baie de Somme : En 1970 l'association du chemin de fer de la BAIE DE SOMME ouvre une ligne touristique avec une locomotive à vapeur au départ de ST VALERY SUR SOMME.
Saint Valery sur Somme est à 15 km à l'ouest d'Abbeville. L'accès est aussi possible par l'autoroute A 28, entre Abbeville et Rouen, sortie
1. La gare de Saint Valery sur Somme se situe au sud de la ville le long du quai du port de plaisance. Traversée de la baie de Somme
Situation
Description des points principaux de la balade.
P Le parking est situé le long du port de plaisance dans le sud de Saint Valery sur Somme.
1 Chaque année, la gare de Saint Valery revit le temps de quelques mois entre avril et novembre.
2 Le départ se fait le long du canal que le petit train à vapeur traverse par un pont tournant. Le trajet continue entre mollières* et étangs en traversant le fond de la baie de Somme.
3 Arrivée en gare de Noyelles sur mer le train s'arrête quelques instants le temps de changer la locomotive de côté et repart ensuite vers le Crotoy.
4 Le chemin de fer de la baie de Somme termine son trajet par les traversées des cultures de la baie pour arriver au Crotoy à moins de 500 m du port de plaisance.
Départ de Noyelles sur Mer.
Le savez-vous? : Loisirs nature et sportifs Locomotive Pinguely (1815),
Train à vapeur de la baie de Somme Histoire Le chemin de fer de la baie de Somme fut créé en 1887. Depuis Noyelles, il dessert le Crotoy, Saint Valery sur Somme et Cayeux sur mer. Le train amenait les touristes aux stations balnéaires et transportait galets, coquillages, betteraves et autres productions de la baie de Somme. Des peintres et des écrivains célèbres ont emprunté ce train ; Colette, Toulouse Lautrec, Anatole France, Jules Verne, ... La concurrence de la route mit un terme à l'exploitation de la ligne ferroviaire dans les années 1960.
Aujourd'hui L'association "Chemin de fer de la baie de Somme" fut créée par des passionnés en 1970. 5 locomotives à vapeur et 17 voitures furent remises en état. Plus de 100 000 voyageurs empruntent le chemin de fer de la baie de Somme chaque année. Changement de côté.
La Ligne Le train à vapeur relie les villes de :
-ST VALERY SUR SOMME : La ligne à voie unique est longue de 5,6 km. Elle fut ouverte en 1856 et longe la partie sud de la baie de Somme avant de remonter entre étangs, prés salés et Molières jusqu'à Noyelles. La gare se trouve le long des quais de Saint Valery. Un train diesel est utilisé sur le tronçon de la ligne entre Cayeux sur mer et Saint Valery sur Somme.
-NOYELLES SUR MER : La gare est un cul de sac pour le chemin de fer de la baie de Somme. La locomotive profite de cet arrêt pour changer de côté du train. Noyelles sur mer est desservie par le TER Picardie sur la ligne Paris Calais.
- LE CROTOY : La ligne à voie unique longue de 7,6 km a été inaugurée en 1887 et longe la partie nord de la baie. Quand Le train à vapeur fonctionne de la mi mars à la fin octobre. - Le samedi et dimanche en mars et octobre. - Tous les jours sauf le lundi et vendredi en avril. - Tous les jours sur la période de mai à septembre. Le nombre de trajet aller-retour varie de 2 à 4 suivant les périodes. *Glossaire Mollière : pré salé parsemé de mares et recouvert par les grandes marées.
Certes, VOYAGER à du bon. Mais ça peut également être l’occasion d’en apprendre long sur nous-mêmes… Il est vrai que les clichés ont la vie dure. Histoire de sourire un peu en attendant les vacances, voici un petit florilège des clichés que les étrangers peuvent avoir sur nous… C’est parti pour une séance gratuite de French bashing !
1) Les Français sont sales
ici nous touchons au number one ! Il semblerait que ce cliché écrase tous les autres haut la main. En effet, pour bon nombre d’étrangers et, on ne sait pas trop pourquoi, les Français seraient en délicatesse avec leur salle de bain tant leur saleté est proverbiale. D’ailleurs ce serait pour cela que nous utiliserions beaucoup de parfum… On se demande vraiment pourquoi. Une douche par semaine, c’est déjà bien non ?
2) Les Français sont toujours en grève
La propension des Français à râler, rouspéter, maugréer et protester est légendaire. Conséquence : la grève ! Il est vrai que, à l’étranger, en tendant l’oreille, nos transports en commun ne suscitent guère d’échos favorables. Apparemment la SNCF est
passée par là…
3) Les Français ne seraient pas aimables En plus d’être en grève et d’avoir une hygiène pour le moins relative, les Français ne seraient pas aimables (décidément, on a tout pour nous…).
4) Les Français sont nuls en anglais
Le Français, têtu comme une mule, mettrait un point d’honneur à ne jamais répondre à une question posée en anglais, combien même la comprendrait-il. Couplé avec le cliché précédent, une interaction entre un étranger et un Français à PARISressemblerait à ça :
– Excuse me sire, what time is it please ?
– Dégage j’ai pas le temps !
5) Les femmes françaises ne se rasent pas
Bizarrement, la pilosité des femmes françaises serait légendaire…
6) Une alimentation rudimentaire : baguette, fromage et vin !
Le repas typique d’un Français ? Du fromage, du pain et du vin ! Point barre. Rajoutons une marinière pour faire bonne mesure, et il est vrai que nous nous approchons de monsieur tout le monde…
7) Les Français portent TOUJOURS le béret
Et alors, si on le porte bien ?
8) Les Français sont romantiques
Paris, c’est bien connu, est la ville de l’amour. Et les French lovers y sont redoutables ! Pour une fois qu’il y a un cliché plus ou moins à notre avantage…
Photothèque Musée des Augustins, Toulouse
9) Le French kiss : une institution nationale
D’ailleurs les Français seraient tellement ROMANTIQUES qu’ils auraient érigé le french kiss en institution nationale. Il va sans dire que tous les matins, en arrivant au bureau, on se roule une pelle…
10) Les françaises ne sont point farouches
On mélange le romantisme atavique des Français à notre goût immodéré pour le french kiss, on secoue très fort, et on obtient la réputation des femmes françaises à l’étranger !
Et vous, vous en connaissez d’autres ?
La bactérie xylella fastidiosa, qui a décimé des milliers d’oliviers en Italie, a été détectée sur l’archipel espagnol des Baléares, où les mesures de lutte s’intensifient, a indiqué vendredi le gouvernement régional.
« Le nombre de résultats positifs que nous avons est très élevé », et l’ensemble de l’archipel vient d’être classé comme zone infectée, a expliqué à l’AFP Mateu Ginard, directeur du département agriculture au gouvernement régional des Baléares.
Les exportations de végétaux ont été interdites au départ de l’archipel pour empêcher la bactérie d’atteindre le reste de l’Espagne, premier producteur mondial d’huile d’olive. La xylella fastidiosa, apparue en 2013 dans le sud de l’Italie puis détectée en France, n’avait jusqu’ici jamais été identifiée en Espagne. Elle fait dépérir les arbres en les desséchant de l’intérieur.
La bactérie a été détectée pour la première fois en octobre sur un cerisier dans une pépinière sur l’île de Mallorque, puis sur des oliviers, amandiers et autres plantes. Des tests ont également révélé saprésence sur l’île voisine d’Ibiza. Les autorités avaient déclenché dans la foulée le protocole dit d’éradication, qui consiste à détruire toutes les plantes jugées vulnérables à la bactérie dans un rayon de 100 mètres.
Au total, plus de 1.900 plantes ont été détruites. Tous les cas ont été repérés sur des plantes isolées, en dehors des champs cultivés d’oliviers et d’amandiers, selon M. Ginard. Il reste encore à déterminer quelle souche de la bactérie a touché les oliviers, pour savoir si elle est aussi virulente que celle qui a infecté près d’un million d’oliviers en Italie. Jusqu’ici, deux souches différentes ont été identifiées sur les autres plantes, moins ravageuses que la souche italienne.
Les autorités ont décidé de détruire toutes les plantes contaminées, mais elles ont pour l’instant suspendu l’éradication qui implique la destruction de tous les végétaux autour de la plante malade, ce qui serait un « désastre » environnemental pour l’archipel, a précisé M. Ginard. Si la xylella fastidiosa ne présente a priori aucun risque pour les êtres humains, elle est capable de tuer plus de 200 espèces végétales, notamment la vigne, le clémentinier et l’olivier.
Clic ici ........http://dai.ly/x2pyqby
Le chateau fort de Suscinio, comprenant six tours, leurs courtines, un donjon et une douve, fût édifié à l'aube du XIIIème siècle sur l'ordre de Pierre de Dreux, sur unterrain marécageux au Sud de la presqu'ile de Rhuys, à quelques encablures de l'océan.
Ce fût l'une des résidences favorites des Ducs de Bretagne, qui le préférèrent aux Château de Nantes ou à celui de Vannes, notamment pour la chasse, grâce à ses vastes forêts regorgeantes de gibiers. Il est vrai qu'à cette époque, il est plus proche du
rendez-vous de chasse, que de la forteresse qu'il deviendra dans le courant du XVème siècle...
Le château de Suscinio passe à la couronne de France au début du XVIème siècle, les jours fastes laissent alors place à des jours plus sombres.
Après avoir subit l'attaque des chouans, il fût démentelé comme beaucoup d'autres chateaux et servit de carrière de pierres après la révolution.
Ruiné, il fût tout de même classé Monument Historique en 1840.
Depuis son rachat par le Conseil Général du Morbihan en 1965, le chateau de Suscinio fait l'objet d'importants travaux de restauration et retrouve sa grandeur d'autrefois.
SUR LES TRACES DU DERNIER MAÎTRE DES TEMPLIERS À PARIS
Il est le dernier grand maître des Templiers et, depuis que Maurice Druon en a fait son sujet de prédilection dans la suite
de romans Les Rois maudits, il fait partie des figures les plus intrigantes de notre histoire.
La légende voudrait, en effet, que Jacques de Molay ait lancé, au moment de succomber sous les flammes, une malédiction à l’encontre du roi Philippe IV le Bel, du pape Clément V, de l’inquisiteur Guillaume Humbert, et de leurs descendants pendant treize générations.
Si cette légende n’a jamais pu être vérifiée et que de nombreux détails historiques manquent sur les Templiers, quelques marques du passage de leur dernier grand maître peuvent être retrouvées dans Paris. On est parti sur les traces de cette illustre figure de l’Ordre des Templiers.
L’ENCLOS DU TEMPLE, SIX HECTARES EN PLEIN COEUR DU MARAIS
L’ordre du Temple est un ordre religieux et militaire, créé en 1129 à l’occasion du concile de Troyes, dans le but de protégerles lieux saints en Palestine et défendre les pèlerins en Terre Sainte.
Devenu en deux siècles la communauté la plus puissante de la chrétienté grâce à ses exploits militaires, l’ordre du Temple établi son quartier général dans la capitale française à une époque où les échecs successifs des croisades menées par les Templiers ont grandement affaibli son prestige.
A l’aube du XIVe siècle, les Templiers n’ont pour ainsi dire plus aucune croisade à mener.
La plupart des chevaliers se reconvertissent alors en usuriers et se mettent à amasser les richesses.
Le roi, qui doit de l’argent au Temple, et l’opinion commencent à s’interroger sur la légitimité de l’ordre, désormais établi au coeur de Paris, dans un vaste domaine fortifié s’étendant sur près de six hectares : l’enclos du Temple.
La Tour du Temple en 1785 (© Histoires de Paris)
Le vendredi 13 octobre 1307, Jacques de Molay se trouve à Paris quand Philippe le Bel met en oeuvre sa grande rafle policière qui, des siècles plus tard, continue d’impressionner.
Au petit matin et dans le plus grand secret, tous les membres français de l’ordre sont arrêtés par les sénéchaux du royaume. Jacques de Molay et les 140 Templiers de Paris sont expulsés de l’enclos du Temple.
Quelques uns sont tués, d’autres enfermés dans les prisons de la capitale.
Que reste-t-il de l’ancienne demeure des Templiers ?
Absolument rien ! La tour du Temple (connue pour avoir été la geôle de Louis XVI et sa famille sous la Révolution), l’église Sainte-Marie, l’hôtel du Grand Prieur, la tour de César, et l’ensemble des bâtiments érigés dans l’enceinte de l’enclos, ont disparu. Démolis, remplacés et rayés des cartes parisiennes au fil des siècles. Aujourd’hui, les seules traces du passage des Templiers à Paris sont des marques bleues peintes sur le sol de la rue Eugène Spuller, qui indiquent l’emplacement
des anciennes tourelles et de la tour du Temple, ainsi qu’une plaque placée à l’angle de la rue Dupetit-Thouars et de la rue Gabriel-Vicaire, sur laquelle est dessiné un double plan de l’ancien domaine et des rues actuelles.
Ce qu’il reste de l’enclos du Temple en 1734 (Plan Turgot)
SUR L’ÎLE DE LA CITÉ, L’EMPLACEMENT DU BÛCHER Le 18 mars 1314, Jacques de Molay, emprisonné depuis la grande rafle menée par Philippe le Bel, est conduit sur l’île de la Cité, devant la Cathédrale Notre-Dame. Il doit y entendre le verdict de son procès, en compagnie de Geoffroy de Charnay, précepteur de Normandie, et de deux autres figures templières, Hugues de Payraud et Geoffroy de Gonneville. La sentence desjuges est la prison à perpétuité pour crime « d’hérésie et
de pratiques obscènes ».
Jacques de Molay et les Templiers sont arrêtés dans l’enclos du Temple
(miniature extraite des « Grandes Chroniques de France », XIVe siècle).
Mais, alors qu’il n’avait jamais renié ses aveux en six ans d’emprisonnement, le grand-maître s’insurge contre sa condamnation, déclarant qu’il ne s’est pas rendu coupable des crimes qui lui sont reprochés et qu’il est victime d’une machination de la part de Philippe IV le Bel et du pape Clément V. Ces propos sont appuyés par ceux de Geoffroy de Charnay, son second dans la hiérarchie de l’ordre du Temple. Les deux hommes savent que cette protestation leur
vaudra une toute autre condamnation : en tant que relaps, ils ne sont plus protégés par le pape et doivent être condamnés au bûcher.
Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay sont exécutés le soir-même sur un bûcher élevé sur la petite Île aux Juifs,
rattachée à l’île de la Cité lors de la création du Pont Neuf à la fin du XVIe siècle. Aujourd’hui, il constitue la partie méridionale de l’actuel Square du Vert-Galant, à deux pas de la statue d’Henri IV qui trône sur le terre-plein du pont, une dizaine de mètres plus haut. Dans le square, une simple plaque commémorative rappelle les événements qui eurent lieu le 18 mars 1314.
Airbnb et Pantone se sont associés pour créer un espace unique qui apporte l'extérieur, à l'intérieur.
L'espace dispose d'une forêt impressionnante réception, une serre intérieure quise double d'une salle à manger, jardin chambre avec pelouse tondue, topiaires et plantes soporifiques, un cubby trou de tentes pour les enfants à dormir et une cuisine de jardin d'herbes aromatiques.
Conçu par Mizuishi Architects Atelier, la maison de 150 m2 est basée sur un site triangulaire entre
une rivière et une route.
Encore plus cool qu’un palais, une barge royale qui contient un palais ! Cette curiosité s’appelle le Karaweik et se trouve dans la ville de Rangoun, capitale économique de la Birmanie. Construite dans les années 1970, elle est la réplique en béton d’une authentique barge royale birmane. La structure pèse 20 000 tonnes et a été conçue pour durer des siècles.
Elle compte deux salles de réception et une salle de conférence.
Étonnamment, le Karaweik n’est aujourd’hui ni la demeure d’un roi, ni même celle d’un haut dignitaire. Il est un restaurant avec buffet !
Alors, si vous êtes de passage dans la ville, rendez-vous sur la rive orientale du lac Kandawgyi pour déguster un plat dans cet endroit insolite !
Exposition gourmande sur le chocolat d’Annecy.
Il reste peu de choses de la chocolaterie d’Annecy, depuis sa fermeture en1953. La responsable des archives municipales a passé des années à rassembler de quoi constituer une exposition sur cette partie méconnue de l’histoire de la ville haut-savoyarde.
Voilà plus de trente ans que Marie-Claude Rayssac prépare cette exposition !
La responsable des archives municipales connaît le chocolat annécien sur le bout des doigts, de la découverte des fèves de cacao jusqu’aux premières tablettes de chocolat fabriquées au bord du lac bleu.
« J’ai commencé en faisant les vides-greniers, les brocantes, puis internet est arrivé, ça m’a beaucoup facilité larecherches », explique la responsable des archives, qui guide également les visiteurs au sein de l’exposition depuis son lancement en septembre.
© Aurore Trespeux
Et dénicher certains de trésors de l’histoire du chocolat n’était pas de tout repos. « J’ai dû aller jusqu’à Monaco, et même jusqu’en Israël pourles trouver. J’ai aussi été très émue quand une dame m’a apporté trois tablettes de chocolat intactes qui datent vraisemblablement de l’après-guerre. »
Il ne reste rien de la chocolaterie d’Annecy, qui a fonctionné de 1890 à 1953, et la famille des créateurs n’en a rien conservé non plus, même après la destruction du bâtiment peu
après sa fermeture.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/exposition-gourmande-chocolat-annecy-1168969.html
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Préambule : Cette balade vous fera emprunter le chemin de fer de la baie de Somme. Le train à vapeur de la baie de Somme vous conduira de Saint Valery sur Somme au Crotoy.
Gare de Saint Valery sur Somme.
Durée : 2 heures 30 aller et retour
Période : mars à octobre
Catégorie : balade familiale
Région naturelle : Baie de Somme
Balade Train de la baie de Somme :
En 1970 l'association du chemin de fer de la BAIE DE SOMME ouvre une ligne touristique avec une locomotive à vapeur au départ de ST VALERY SUR SOMME.
Saint Valery sur Somme est à 15 km à l'ouest d'Abbeville. L'accès est aussi possible par l'autoroute A 28, entre Abbeville et Rouen, sortie
1. La gare de Saint Valery sur Somme se situe au sud de la ville le long du quai du port de plaisance.
Traversée de la baie de Somme
Situation
Description des points principaux de la balade.
P Le parking est situé le long du port de plaisance dans le sud de Saint Valery sur Somme.
1 Chaque année, la gare de Saint Valery revit le temps de quelques mois entre avril et novembre.
2 Le départ se fait le long du canal que le petit train à vapeur traverse par un pont tournant. Le trajet continue entre mollières* et étangs en traversant le fond de la baie de Somme.
3 Arrivée en gare de Noyelles sur mer le train s'arrête quelques instants le temps de changer la locomotive de côté et repart ensuite vers le Crotoy.
4 Le chemin de fer de la baie de Somme termine son trajet par les traversées des cultures de la baie pour arriver au Crotoy à moins de 500 m du port de plaisance.
Départ de Noyelles sur Mer.
Le savez-vous? :
Loisirs nature et sportifs
Locomotive Pinguely (1815),
Train à vapeur de la baie de Somme
Histoire
Le chemin de fer de la baie de Somme fut créé en 1887. Depuis Noyelles, il dessert le Crotoy, Saint Valery sur Somme et Cayeux sur mer.
Le train amenait les touristes aux stations balnéaires et transportait galets, coquillages, betteraves et autres productions de la baie de Somme.
Des peintres et des écrivains célèbres ont emprunté ce train ; Colette, Toulouse Lautrec, Anatole France, Jules Verne, ...
La concurrence de la route mit un terme à l'exploitation de la ligne ferroviaire dans les années 1960.
Aujourd'hui
L'association "Chemin de fer de la baie de Somme" fut créée par des passionnés en 1970. 5 locomotives à vapeur et 17 voitures furent remises en état. Plus de 100 000 voyageurs empruntent le chemin de fer de la
baie de Somme chaque année.
Changement de côté.
La Ligne
Le train à vapeur relie les villes de :
-ST VALERY SUR SOMME : La ligne à voie unique est longue de 5,6 km. Elle fut ouverte en 1856
et longe la partie sud de la baie de Somme avant de remonter entre étangs, prés salés et Molières jusqu'à Noyelles. La gare se trouve le long des quais de Saint Valery. Un train diesel est utilisé sur le tronçon de la ligne entre Cayeux sur mer et Saint Valery sur Somme.
-NOYELLES SUR MER : La gare est un cul de sac pour le chemin de fer de la baie de Somme. La locomotive profite de cet arrêt pour changer de côté du train. Noyelles sur mer est desservie
par le TER Picardie sur la ligne Paris Calais.
- LE CROTOY : La ligne à voie unique longue de 7,6 km a été inaugurée en 1887 et longe la partie nord de la baie.
Quand
Le train à vapeur fonctionne de la mi mars à la fin octobre.
- Le samedi et dimanche en mars et octobre.
- Tous les jours sauf le lundi et vendredi en avril.
- Tous les jours sur la période de mai à septembre.
Le nombre de trajet aller-retour varie de 2 à 4 suivant les périodes.
*Glossaire
Mollière : pré salé parsemé de mares et recouvert par les grandes marées.