16 illustrations satiriques sur le monde d'aujourd'hui qui vont vous donner une claque.
Bien souvent, il arrive des phénomènes dans ce monde qu’il est difficile de comprendre. Heureusement que des dessinateurs sont là pour illustrer réellement ce qui fait tourner la planète, même si la vérité fait mal au cœur.
Nous sommes un peu coutumiers du fait, il est vrai. Nous aimons bien vous relayer des sélections d'illustrations satiriques qui dénoncent les dérives de ce monde. Tout d’abord pour saluer le travail de l’artiste, dont la justesse du message est bouleversante, mais aussi pour ne pas oublier à quel point ce monde est moche sous certains aspects.
On vous propose de découvrir 16 illustrations satiriques qui vous troubleront tout autant : 1 – La souffrance n’est pas un art mais une réalité
2 – Tuer la nature, c’est nous tuer
3 – Cerveau au rabais
4 – L’ovni du XXIème siècle
5 – Un monde différent, une enfance différente
6 – Le riche taxe la production du pauvre
7 – Le peuple ne connaît pas son vrai pouvoir
8 – Non + argent = Oui
9 – Le cours du dollar nourri au pétrole
10 – L’isolement dû à l’addiction aux smartphones
11 – Au royaume des aveugles…
12 – Les likes et les smileys ne nourrissent pas
13 – L’éducation scolaire formatée
14 – Un peu de verdure artificielle pour cacher le vrai décor
15 – Quand les soldats se battent pour leur vie, les gradés accumulent les médailles
Passer tout le temps du vol sur le toit de l'avion, ça vous tente ?
Eh bien grâce à la SkyDeck, c'est désormais possible ! Avouons-le : la sensation que l’on ressent la première fois qu’on prend l’avion et qu’on regarde par la fenêtre à 10 000 mètres d’altitude, est absolumentmagique !
Seulement voilà, après quelques heures de vol, l’excitation redescend et la magies’estompe. Certains se mettent alors à imaginer à quel point ça pourrait être génial si les hublots étaient un peu plus grands et si les ailes n’occupaient pas 70% de la vue extérieure.
Grâce à Windspeed Technologies, notre rêve est peut-être en passe de se réaliser. En effet, il existe désormais une technique qui pourrait offrir une vue à 360 degrés et ainsi estomper l’ennui que l’on connaît habituellement sur les vols long-courriers. Mieux encore, les passagers qui auront la chance de vivre cette expérience unique auront l’impression d’être sur le toit du monde !
Cette innovation sans précédent, nommée « SkyDeck », est décrite par son concepteur et par la compagnie aérienne qui va l’exploiter comme « une vue extrêmement stimulante de l’environnement externe de l’avion », et au vu des photos, on veut bien les croire. Au total, ce sont deux sièges qui pourront offrir cette véritable attraction en plein vol. Génial non ?
À grande échelle, cette installation dernier cri pourrait donc être adaptée sur n’importe quel type d’avion. Seule condition, bien prendre en compte qu’une telle modification n’est pas anodine. En effet, la SkyDeck a des conséquences sur les performances moteur de l’appareil, mais aussi sur la consommation de carburant, qui augmente à cause du poids supplémentaire que cette nouveauté apporte à l’avion. Pour vendre cette « bulle », la société vise les détenteurs de jets privés ou les compagnies qui cherchent à satisfaire une clientèle haut de gamme.
Pour ce qui est du tarif (assez élevé) de ce bijou technologique, il est toujours débattu au sein même de l’entreprise. Mais selon certains spécialistes, il est estimé entre 7 et 24 millions d’euros ; un prix quivarie selon la taille de l’avion. À ce prix-là, ne vous attendez pas à pouvoir accéder à ces places de luxe avec votre billet classe éco !
Cependant, malgré l’énorme investissement financier nécessaire, il semblerait que la SkyDeck a déjà séduit plusieurs compagnies aériennes. Shakil Hussain,le CEO de Windspeed Tech et l’inventeur de la SkyDeck, l’a dit lui-même: « Le concept a beaucoup attiré l’attention à la conférence National Business Aviation Association de Las Vegas cette année. Un gros constructeur européen a prévu de proposer ce service à de potentiels clients très bientôt. »
Pour commencer la semaine, que diriez-vous d'une balade dans la cité de Carcassonne? Cette ville se trouve dans le département de l'Aude, dans la région Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées.
Carcasonne est la plus grande forteresse d'Europe; elle se compose d'un noyau fortifié, d'un château comtal et d'une double enceinte. Une enceinte extérieure avec 14 tours et une intérieure avec 24 tours; séparées par les lices. Elle reste un des haut-lieux du moyen-âge en Europe. Elle garde une population résidentielle d'environ 140 habitants, disposant d'une poste, d'une école, ect...échappant ainsi au sort des villes-musées uniquement animées par le tourisme.
Je vous montre cette photo prise sur le net afin que vous ayez une vue d'ensemble de cette cité.
Quand on arrive devant la cité; c'est l'émerveillement; elle s'impose dans la plaine viticole derrière laquelle se profile la garrigue des Corbières avec les Pyrénées en toile de fond.
Nous arrivons par la porte Narbonnaise; l'entrée principale de la cité...
Entre les tours, au-dessus de l'arche; la statue de la vierge.
Cette ville est inscrite au patrimone mondial de l'Unesco depuis 1997. Elle domine la vallée de l'Aude.
Le château comtal, avec un jardin médiéval à ses pieds...
Nous empruntons le chemin de ronde....
Ce chemin de ronde qui nous offre de belles perspectives...
La basilique Saint-Nazaire....
Les lices; c'est l'espace entre les 2 remparts. Aujourd'hui, ces lices permettent de découvrir l'architecture militaire....
Ils sont comme les moustiques en été. Insupportable frisson du matin en hiver, maisdurent toute l'année. Les fautes de français sont partout. Au travail, à la maison, au supermarché... Quelques uns de ces pires travers. Florilège. «Comme même», «le copain à», «sa va»... Incorrects ou maladroits, les tics de langage sont omniprésents. Impossible d'y échapper, quel que soit l'endroit, quel que soit l'interlocuteur. Sur internet, au travail comme dans la rue, dans les médias comme sur les petits et grands écrans, les tics de langage sont devenus banals. Presque aussi inséparables que ce que peuvent être les petits pois aux carottes. C'est dire... Alors comment s'y retrouver dans ce galimatias de mauvais goût, bien étranger à la langue de Molière? Si le répulsif à insectes existe, celui contre les tics de langage reste encore à inventer. À défaut de le concevoir aujourd'hui,nous vous proposons d'exorciser vos démons linguistiques. ? «Ils croivent» Si ce n'est le «Croix V Bâton» des Inconnus, on ne voit pas de quel «croiver» il est question. Car malgré les néologismes de la réforme de l'orthographe, le verbe «croiver» relève bien d'une croyance et n'existe pas encore dans le dictionnaire.Tout comme la conjugaison du verbe «voir» qui donnerait à la troisième personne du pluriel «ils voyent», prononcé «ils voillent». Ces élongations abusives de la consonne finale sont à proscrire. Vous pouvez nous croiver. ? «Comme même» Plus difficile à dire, plus long à écrire... quand même, les internautes ont manqué d'imagination sur ce coup-là. Fléau des réseaux sociaux, l'expression indigente - dont on évitera de commenter les variantes, «comême» ou «comem» - a le don de décridibiliser en une fraction de seconde son locuteur. Que peut-on attendre en effet derrière un tel attentat à la langue française? Sûrement un «kikou» ou un «mdr»... ? «Je dis ça, je dis rien» On ne reviendra pas sur l'absence de négation et le manque total de sens dans cette phrase qui se contredit en s'énonçant. Reste tout de même à préciser que le responsable de cette sentence aurait mieux fait de se taire, plutôt qu'annoncer la vacuité de ses propos. Ou comment se donner le bâton pour se faire battre... ? «C'est juste pas possible» Non en effet ce «juste» placardé à tout bout de champ n'est «juste» pas acceptable. À défaut de vouloir recentrer le sujet et de lui conférer une plus grande justesse, l'anglicisme n'a en réalité aucun intérêt si ce n'est celui de continuer une mode pédante du franglais à l'oral. Qui plus est mal traduite! Car le terme juste en français s'emploie dans le sens de «trop» ou «vraiment» alors qu'en anglais il signifie «précisément, exactement». En réalité, ses utilisateurs n'ont juste pas compris ce qu'ils disaient... ? «J'ai envie de dire» En général accompagné d'un «en même temps», «ouais», «hun» ou encore «tu vois», l'expression qui annonce le projet de délivrer un message, n'a finalement pour autre intention que de signifier une précision aussi utile qu'une didascalie énoncée à haute voix par un acteur sur scène... Autant prendre son portable pour parler à son voisin de table. Si vous avez quelque chose à dire, prière de le dire sans le préciser. ? «Je viens sur» Si vous avez pour projet d'investir, conquérir une ville ou d'entrer en guerre avec un pays, alors toutes nos excuses: l'expression «marcher sur» prendra tout son sens, vous concernant. Pour le reste, l'expression sera biaisée. Rapportons-nous aux règles de l'Académie: «La préposition «sur» ne peut traduire qu'une idée de position, de supériorité, de domination, et ne doit en aucun cas être employée à la place de à ou de en pour introduire un complément de lieu désignant une région, une ville et, plus généralement, le lieu où l'on se rend, où l'on se trouve.» Alea jacta est. ? «Le copain à» Qu'on se le dise une fois pour toute, lorsque nous sommes amenés à insulter un individu, il ne nous viendrait sûrement pas à l'esprit de le qualifier de «fils à»mais plutôt de «fils de». Aussi, sachons nous en rappeler, il n'est pascorrect de dire «le livre à» ou «l'ami à», de la même façon qu'il n'estpas juste d'écrire «je vais au boulanger», mais «chez le boulanger». Les règles de la grossièreté sauront sûrement vous éviter, pour cette fois-ci, des regards de travers. ? «Sa va» Avouons-le, dix centimètres sur un clavier peuvent être parfois bien assez pour nous rendre fainéant. Mais «comme même», cliquer sur la bonne lettre - à savoir le «ç» - pour correctement écrire «ça va» ne semble pas insurmontable... Alors tâchons d'éviter cet horrible impair, car à moins de signifier son incroyable paresse ou son manque de respect, «sa va» est absolument impardonnable. ? «Entre guillemets» Ils le disent à l'oral et parfois même le miment avec leurs doigts, pour en faire des petites oreilles de lapin trop sympas... Non! Qu'ils citent leur source ou qu'ils se taisent à jamais. Pas besoin de mettre en exergue des guillemets sur l'oralité. Autant utiliser du shampooing quand on n'a pas de cheveux. Non mais... ? «Tu vois» «J'avoue», «wesh», «trop»... abandonnons ces fioritures sans queue ni tête qui saturent nos phrases à défaut d'y ajouter des idées. Préférons la simplicité et épurons notre syntaxe. Nul besoin de couper ses phrases de«hmmm» et autres tics inutiles pour maintenir le contact avec votre interlocuteur, si votre sujet est intéressant il se suffira à lui-même.
Les jumeaux âgés de 13 mois, Jadon et Anias McDonald, ont subi une opération de 16 heures mais n'en ont pas encore fini avec le bloc opératoire, les médecins devant maintenant reconstruire leurs crânes. PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK/ NICOLE MCDONALD La Presse
Deux frères siamois reliés par le haut de leurs têtes ont été séparés par une équipe de chirurgiens américains à New York. Les jumeaux âgés de 13 mois, Jadon et Anias McDonald, ont subi une opération de 16 heures mais n'en ont pas encore fini avec le bloc opératoire, les médecins devant maintenant reconstruire leurs crânes. Dans un message diffusé sur sa page Facebook vendredi matin, la mère des deux bambins se dit emballée par la prouesse médicale tout en confiant être « anxieuse face à l'incertitude de demain ». Elle a également diffusé une photo de Jadon, seul dans son lit d'hôpital.
« J'ai demandé [au personnel médical, NDLR] pourquoi ils réaménageaient la chambre, parce que je n'avais pas vraiment conceptualisé l'idée qu'il y faudrait dorénavant deux lits », écrit la mère, tout en souhaitant à son fils une « joyeuse renaissance » Les frères McDonald sont nés avec des vaisseaux sanguins et des tissus cérébraux communs, un cas extrêmement rare qui se produit une fois tous les 10 millions de naissances, ont déclaré les médecins. Le chirurgien James Godrich qui a mené à bien l'opération n'en était pas àson premier cas de séparation de jumeaux siamois, lui qui a réussi des interventions similaires sur d'autres enfants, dont deux frères syriens,plus tôt cette année. Selon le Dr Sanjay Gupta, analyste médical et reporter attitré à la santé au réseau CNN, qui a assisté à l'intervention, 80 % des jumeaux siamois meurent s'ils ne sont pas séparés avant l'âge de deux ans. La famille a amassé plus de 100 000 $ US par l'entremise d'une plateforme de financement participatif pour couvrir les frais médicaux. D'après la BBC et CNN
Une nouvelle loi permet aux Parisiens de se lâcher et de faire preuve......... .
........d'imagination pour avoir leur propre jardin : végétalisons la capitale ! Elle est passée (presque) inaperçue mais le 1er juillet dernier, une loi a été adoptée par le conseil de Paris, autorisant les Parisiens à acquérir un permis pour végétaliser des lieux intra-muros.
Paris, la ville lumière, ses immeubles haussmanniens et ses grands monuments connus du monde entier. Mais Paris, ville verte ? Ça ce n'est pas gagné,encore... Bon, même s’il existe déjà de grands jardins (Tuileries, Luxembourg, etc…) et quelques lieux boisés en périphérie comme le Bois de Boulogne ou le Bois de Vincennes, la garantie verdure de la capitale ne dépendait que de la bonne volonté des élus.
Désormais, depuis le 1er juillet, les Parisiens sont encouragés à végétaliser la capitale intra-muros grâce à une nouvelle loi qui fut adoptée par le conseil de Paris, amorçant le projet « Parisculteurs » qui met 46 sites à disposition des apprentis jardiniers. Ainsi, lorsque vous vous promenez dans les artères bétonnées de la ville, vous aurez de plus en plus de chances de tomber sur des lopins de terres cultivés et fleuris par les habitants.
En effet, cette loi permet aux habitants de la capitale à se doter d’un permis pour végétaliser des petits espaces dans les rues ou sur les bâtiments (toits, murs, façades). Ce permis est délivré par la Ville de Paris, sous un délai d’un mois, et dure trois ans, avec la possibilité d’être renouvelée.
Cette loi encourage donc les Parisiens à se responsabiliser, les incitant à devenir des vrais « jardiniers de l’espace public parisien ». Ceux-ci ont donc la possibilité de cultiver des arbres fruitiers, des plantes, des pieds d’arbres et des fleurs, tandis que la Ville de Paris leur fournira un kit de plantation comprenant de la terre végétale et des graines.
De leur côté, les Parisiens qui se lancent dans cette démarche doivent signer une Charte de végétalisation qui les obligera à utiliser des plantes locales et mellifères, avec pour but de favoriser la biodiversité et à ne pas utiliser de pesticides. Grâce à cela, les Parisiens seront donc des acteurs majeurs de la transformation urbaine de leur ville.
En ce qui concerne l’embellissement et la végétalisation de la ville, Paris demande surtout à ses habitants jardiniers de faire preuve d’imagination. Avec cette loi, les élus parisiens ambitionnent surtout de reverdir Paris sur plus de 100 hectares d’ici 2020.
Un objectif qui pourrait être atteint grâce à un projet d’une autre envergure, lancé par la start-up « Toit tout vert ». Celle-ci ambitionnede développer une véritable ferme urbaine, sous serre et sur un toit, sur un espace de 1500 mètres carrés. Ce projet devrait voir le jour au début de l’année 2017 sur la toiture d’un bâtiment de Paris Habitat, situé dans le 12ème arrondissement de Paris.
Si vous souhaitez également mettre la main verte à la patte, vous pouvez vous renseigner sur les démarches à suivre sur le site de Parisculteurs.
Gabi, la jeune danseuse amputée à cause d'un cancer infantile, peut désormais participer à des compétitions de danse grâce à une chirurgie très spéciale... Gabi Shull est une jeune fille du Missouri qui, à l’âge d’à peine neuf ans, a dû être amputée de la jambe à cause d’un ostéosarcome (une tumeur maligne osseuse). Ce type de cancer des os a atteint gravement son genou, et elle a été obligée de subir l’opération.
Un véritable drame pour cette jeune fille passionnée de danse ! Lorsque les docteurs lui ont diagnostiqué son cancer, tout le monde pensait qu’elle ne pourrait plus jamais danser, et qu’elle aurait beaucoup de mal à marcher.
On imagine facilement que l’événement a pu être assez traumatisant pour elle.Mais aujourd'hui, Gabi a 15 ans... Et comme vous pouvez le constater, ce n'est pas son handicap qui l’empêche de faire des pointes !
Grâce à une technique de chirurgie révolutionnaire, la rotation-plastie, elle peut sauter, courir et danser avec la plus grande agilité !
En fait, la rotation-plastie consiste à greffer un pied « à l’envers » sur la jambe, de sorte à ce que l’articulation de la cheville remplace l’articulation du genou manquante.
Le membre doit être tourné à 180° (d’où le nom de rotation-plastie) afin que la cheville plie dans le bon sens. Le pied peut ensuite être inséré dans une prothèse spécialement adaptée, ce qui permet de jouir d’une excellente mobilité, qui permet de courir, de faire du sport, et de danser !
Et c’est exactement ce que fait Gabi. Elle fait de la danse de ballet, mais aussi du hip-hop, du contemporain, du jazz et même des claquettes !
Le plus fou, c’est qu’elle danse en compétition, malgré son handicap. Elle est aussi l’une des ambassadrices de The Truth 365, une organisation d’aide et de sensibilisation autour des cancers infantiles, pour laquelle elle constitue une porte-parole idéale.Elle a reçu un embout spécial qu'elle peut mettre au bout de sa prothèse, afin d'exécuter certaines figures de danse, comme les pointes.
Ça fonctionne plutôt bien !
Avec cette chirurgie, Gabi peut non seulement danser, mais également faire du patin à glace, de l’escalade… Elle n’a plus aucune limite ! Voici une vidéo (en anglais) qui montre la jeune fille en action. C'est assez impressionnant de voir avec quelle aisance elle se déplace !
qui vont vous donner une claque.
Bien souvent, il arrive des phénomènes dans ce monde qu’il est difficile de comprendre. Heureusement que des dessinateurs sont là pour illustrer réellement ce qui fait tourner la planète, même si la vérité fait mal au cœur.
Nous sommes un peu coutumiers du fait, il est vrai. Nous aimons bien vous relayer des sélections d'illustrations satiriques qui dénoncent les dérives de ce monde. Tout d’abord pour saluer le travail de l’artiste, dont la justesse du message est bouleversante, mais aussi pour ne pas oublier à quel point ce monde est moche sous certains aspects.
On vous propose de découvrir 16 illustrations satiriques qui vous troubleront tout autant :
1 – La souffrance n’est pas un art mais une réalité
2 – Tuer la nature, c’est nous tuer
3 – Cerveau au rabais
4 – L’ovni du XXIème siècle
5 – Un monde différent, une enfance différente
6 – Le riche taxe la production du pauvre
7 – Le peuple ne connaît pas son vrai pouvoir
8 – Non + argent = Oui
9 – Le cours du dollar nourri au pétrole
10 – L’isolement dû à l’addiction aux smartphones
11 – Au royaume des aveugles…
12 – Les likes et les smileys ne nourrissent pas
13 – L’éducation scolaire formatée
14 – Un peu de verdure artificielle pour cacher le vrai décor
15 – Quand les soldats se battent pour leur vie, les gradés accumulent les médailles
16 – L’Humanité s’est plantée dès le départ
Très bon ces dessins, n’est-ce pas ?
Eh bien grâce à la SkyDeck, c'est désormais possible !
Avouons-le : la sensation que l’on ressent la première fois qu’on prend l’avion et qu’on regarde par la fenêtre à 10 000 mètres d’altitude, est absolumentmagique !
Seulement voilà, après quelques heures de vol, l’excitation redescend et la magies’estompe. Certains se mettent alors à imaginer à quel point ça pourrait être génial si les hublots étaient un peu plus grands et si les ailes n’occupaient pas 70% de la vue extérieure.
Grâce à Windspeed Technologies, notre rêve est peut-être en passe de se réaliser. En effet, il existe désormais une technique qui pourrait offrir une vue à 360 degrés et ainsi estomper l’ennui que l’on connaît habituellement sur les vols long-courriers. Mieux encore, les passagers qui auront la chance de vivre cette expérience unique auront l’impression d’être sur le toit du monde !
Cette innovation sans précédent, nommée « SkyDeck », est décrite par son concepteur et par la compagnie aérienne qui va l’exploiter comme « une vue extrêmement stimulante de l’environnement externe de l’avion », et au vu des photos, on veut bien les croire. Au total, ce sont deux sièges qui pourront offrir cette véritable attraction en plein vol. Génial non ?
À grande échelle, cette installation dernier cri pourrait donc être adaptée sur n’importe quel type d’avion. Seule condition, bien prendre en compte qu’une telle modification n’est pas anodine. En effet, la SkyDeck a des conséquences sur les performances moteur de l’appareil, mais aussi sur la consommation de carburant, qui augmente à cause du poids supplémentaire que cette nouveauté apporte à l’avion. Pour vendre cette « bulle », la société vise les détenteurs de jets privés ou les compagnies qui cherchent à satisfaire une clientèle haut de gamme.
Pour ce qui est du tarif (assez élevé) de ce bijou technologique, il est toujours débattu au sein même de l’entreprise. Mais selon certains spécialistes, il est estimé entre 7 et 24 millions d’euros ; un prix quivarie selon la taille de l’avion. À ce prix-là, ne vous attendez pas à pouvoir accéder à ces places de luxe avec votre billet classe éco !
Cependant, malgré l’énorme investissement financier nécessaire, il semblerait que la SkyDeck a déjà séduit plusieurs compagnies aériennes. Shakil Hussain,le CEO de Windspeed Tech et l’inventeur de la SkyDeck, l’a dit lui-même: « Le concept a beaucoup attiré l’attention à la conférence National Business Aviation Association de Las Vegas cette année. Un gros constructeur européen a prévu de proposer ce service à de potentiels clients très bientôt. »
INVITATIONS AU VOYAGE...
Pour commencer la semaine, que diriez-vous d'une balade dans la cité de Carcassonne?
Cette ville se trouve dans le département de l'Aude, dans la région Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées.
Carcasonne est la plus grande forteresse d'Europe; elle se compose d'un noyau
fortifié, d'un château comtal et d'une double enceinte.
Une enceinte extérieure avec 14 tours et une intérieure avec 24 tours; séparées par les lices.
Elle reste un des haut-lieux du moyen-âge en Europe.
Elle garde une population résidentielle d'environ 140 habitants, disposant
d'une poste, d'une école, ect...échappant ainsi au sort des
villes-musées uniquement animées par le tourisme.
Je vous montre cette photo prise sur le net afin que vous ayez une vue d'ensemble de cette cité.
Quand on arrive devant la cité; c'est l'émerveillement; elle s'impose dans la
plaine viticole derrière laquelle se profile la garrigue des Corbières
avec les Pyrénées en toile de fond.
Nous arrivons par la porte Narbonnaise; l'entrée principale de la cité...
Entre les tours, au-dessus de l'arche; la statue de la vierge.
Cette ville est inscrite au patrimone mondial de l'Unesco depuis 1997.
Elle domine la vallée de l'Aude.
Le château comtal, avec un jardin médiéval à ses pieds...
Nous empruntons le chemin de ronde....
Ce chemin de ronde qui nous offre de belles perspectives...
La basilique Saint-Nazaire....
Les lices; c'est l'espace entre les 2 remparts.
Aujourd'hui, ces lices permettent de découvrir l'architecture militaire....
tout en offrant de magnifiques points de vue...
Quelques vues prises au hasard de la visite....
Carcassonne mérite le voyage!
Les taux de réussite au permis de conduire au premier passage varient du simple au double en fonction des départements, selon Auto Plus..
1. Volcans Three Sisters, Oregon, États-Unis
2. Fly Geyser, Nevada, États-Unis
3. Lac Baïkal, Sibérie, Russie
4. The Wave, Arizona, États-Unis
5. Antarctique
6. Une plage d’Alentejo, Portugal
7. Lac Abraham, Alberta, Canada
8. Parc géologique national de Zhangye Danxia, Gansu, Chine
9. Caverne de glace, Wisconsin, États-Unis
10. Désert en Arizona, États-Unis
11. Désert en Namibie, Afrique
12. Lac Hillier, Australie
13. Chute Gooafoss, Islande
14. Volcan Dallol, Éthiopie
15. Archipel de Socotra, Yémen
16. Leitisvatn, îles Féroé, Danemark
Insupportable frisson du matin en hiver, maisdurent toute l'année. Les fautes de français sont partout. Au travail, à la maison, au supermarché...
Quelques uns de ces pires travers.
Florilège.
«Comme même», «le copain à», «sa va»... Incorrects ou maladroits, les tics de langage sont omniprésents. Impossible d'y échapper, quel que soit l'endroit, quel que soit l'interlocuteur.
Sur internet, au travail comme dans la rue, dans les médias comme sur les petits et grands écrans, les tics de langage sont devenus banals.
Presque aussi inséparables que ce que peuvent être les petits pois aux carottes. C'est dire... Alors comment s'y retrouver dans ce galimatias de mauvais goût, bien étranger à la langue de Molière?
Si le répulsif à insectes existe, celui contre les tics de langage reste encore à inventer. À défaut de le concevoir aujourd'hui,nous vous proposons d'exorciser vos démons linguistiques.
? «Ils croivent»
Si ce n'est le «Croix V Bâton» des Inconnus, on ne voit pas de quel «croiver» il est question. Car malgré les néologismes de la réforme de l'orthographe, le verbe «croiver» relève bien d'une croyance et n'existe pas encore dans le dictionnaire.Tout comme la conjugaison du verbe «voir» qui donnerait à la troisième personne du pluriel «ils voyent», prononcé «ils voillent». Ces élongations abusives de la consonne finale sont à proscrire. Vous pouvez nous croiver.
? «Comme même»
Plus difficile à dire, plus long à écrire... quand même, les internautes ont manqué d'imagination sur ce coup-là. Fléau des réseaux sociaux, l'expression indigente - dont on évitera de commenter les variantes, «comême» ou «comem» - a le don de décridibiliser en une fraction de seconde son locuteur. Que peut-on attendre en effet derrière un tel attentat à la langue française? Sûrement un «kikou» ou un «mdr»...
? «Je dis ça, je dis rien»
On ne reviendra pas sur l'absence de négation et le manque total de sens dans cette phrase qui se contredit en s'énonçant. Reste tout de même à préciser que le responsable de cette sentence aurait mieux fait de se taire, plutôt qu'annoncer la vacuité de ses propos. Ou comment se donner le bâton pour se faire battre...
? «C'est juste pas possible»
Non en effet ce «juste» placardé à tout bout de champ n'est «juste» pas acceptable. À défaut de vouloir recentrer le sujet et de lui conférer une plus grande justesse, l'anglicisme n'a en réalité aucun intérêt si ce n'est celui de continuer une mode pédante du franglais à l'oral. Qui plus est mal traduite! Car le terme juste en français s'emploie dans le sens de «trop» ou «vraiment» alors qu'en anglais il signifie «précisément, exactement». En réalité, ses utilisateurs n'ont juste pas compris ce qu'ils disaient...
? «J'ai envie de dire»
En général accompagné d'un «en même temps», «ouais», «hun» ou encore «tu vois», l'expression qui annonce le projet de délivrer un message, n'a finalement pour autre intention que de signifier une précision aussi utile qu'une didascalie énoncée à haute voix par un acteur sur scène...
Autant prendre son portable pour parler à son voisin de table. Si vous avez quelque chose à dire, prière de le dire sans le préciser.
? «Je viens sur»
Si vous avez pour projet d'investir, conquérir une ville ou d'entrer en guerre avec un pays, alors toutes nos excuses: l'expression «marcher sur» prendra tout son sens, vous concernant. Pour le reste, l'expression sera biaisée. Rapportons-nous aux règles de l'Académie: «La préposition «sur» ne peut traduire qu'une idée de position, de supériorité, de domination, et ne doit en aucun cas être employée à la place de à ou de en pour introduire un complément de lieu désignant une région, une ville et, plus généralement, le lieu où l'on se rend, où l'on se trouve.» Alea jacta est.
? «Le copain à»
Qu'on se le dise une fois pour toute, lorsque nous sommes amenés à insulter un individu, il ne nous viendrait sûrement pas à l'esprit de le qualifier de «fils à»mais plutôt de «fils de». Aussi, sachons nous en rappeler, il n'est pascorrect de dire «le livre à» ou «l'ami à», de la même façon qu'il n'estpas juste d'écrire «je vais au boulanger», mais «chez le boulanger».
Les règles de la grossièreté sauront sûrement vous éviter, pour cette fois-ci, des regards de travers.
? «Sa va»
Avouons-le, dix centimètres sur un clavier peuvent être parfois bien assez pour nous rendre fainéant. Mais «comme même», cliquer sur la bonne lettre - à savoir le «ç» - pour correctement écrire «ça va» ne semble pas insurmontable... Alors tâchons d'éviter cet horrible impair, car à moins de signifier son incroyable paresse ou son manque de respect, «sa va» est absolument impardonnable.
? «Entre guillemets»
Ils le disent à l'oral et parfois même le miment avec leurs doigts, pour en faire des petites oreilles de lapin trop sympas... Non! Qu'ils citent leur source ou qu'ils se taisent à jamais. Pas besoin de mettre en exergue des guillemets sur l'oralité. Autant utiliser du shampooing quand on n'a pas de cheveux. Non mais...
? «Tu vois»
«J'avoue», «wesh», «trop»... abandonnons ces fioritures sans queue ni tête qui saturent nos phrases à défaut d'y ajouter des idées. Préférons la simplicité et épurons notre syntaxe. Nul besoin de couper ses phrases de«hmmm» et autres tics inutiles pour maintenir le contact avec votre interlocuteur, si votre sujet est intéressant il se suffira à lui-même.
Les jumeaux âgés de 13 mois, Jadon et Anias McDonald, ont subi une opération de 16 heures mais n'en ont pas encore
fini avec le bloc opératoire, les médecins devant maintenant reconstruire leurs crânes.
PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK/ NICOLE MCDONALD La Presse
Deux frères siamois reliés par le haut de leurs têtes ont été séparés par une équipe de chirurgiens américains à New York.
Les jumeaux âgés de 13 mois, Jadon et Anias McDonald, ont subi une opération de 16 heures mais n'en ont pas encore
fini avec le bloc opératoire, les médecins devant maintenant reconstruire leurs crânes.
Dans un message diffusé sur sa page Facebook vendredi matin, la mère des deux bambins se dit emballée par la prouesse médicale tout en confiant être « anxieuse face à l'incertitude de demain ».
Elle a également diffusé une photo de Jadon, seul dans son lit d'hôpital.
« J'ai demandé [au personnel médical, NDLR] pourquoi ils réaménageaient la chambre, parce que je n'avais pas vraiment conceptualisé l'idée qu'il y faudrait dorénavant deux lits », écrit la mère, tout en souhaitant à son fils une « joyeuse renaissance »
Les frères McDonald sont nés avec des vaisseaux sanguins et des tissus cérébraux communs, un cas extrêmement rare qui se produit une fois tous les 10 millions de naissances, ont déclaré les médecins.
Le chirurgien James Godrich qui a mené à bien l'opération n'en était pas àson premier cas de séparation de jumeaux siamois, lui qui a réussi des interventions similaires sur d'autres enfants, dont deux frères syriens,plus tôt cette année.
Selon le Dr Sanjay Gupta, analyste médical et reporter attitré à la santé au réseau CNN, qui a assisté à l'intervention, 80 % des jumeaux siamois meurent s'ils ne sont pas séparés avant l'âge de deux ans.
La famille a amassé plus de 100 000 $ US par l'entremise d'une plateforme de financement participatif pour couvrir les frais médicaux.
D'après la BBC et CNN
........d'imagination pour avoir leur propre jardin : végétalisons la capitale !
Elle est passée (presque) inaperçue mais le 1er juillet dernier, une loi a été adoptée par le conseil de Paris, autorisant les Parisiens à acquérir un permis pour végétaliser des lieux intra-muros.
Paris, la ville lumière, ses immeubles haussmanniens et ses grands monuments connus du monde entier. Mais Paris, ville verte ? Ça ce n'est pas gagné,encore... Bon, même s’il existe déjà de grands jardins (Tuileries, Luxembourg, etc…) et quelques lieux boisés en périphérie comme le Bois de Boulogne ou le Bois de Vincennes, la garantie verdure de la capitale ne dépendait que de la bonne volonté des élus.
Désormais, depuis le 1er juillet, les Parisiens sont encouragés à végétaliser la capitale intra-muros grâce à une nouvelle loi qui fut adoptée par le conseil de Paris, amorçant le projet « Parisculteurs » qui met 46 sites à disposition des apprentis jardiniers. Ainsi, lorsque vous vous promenez dans les artères bétonnées de la ville, vous aurez de plus en plus de chances de tomber sur des lopins de terres cultivés et fleuris par les habitants.
En effet, cette loi permet aux habitants de la capitale à se doter d’un permis pour végétaliser des petits espaces dans les rues ou sur les bâtiments (toits, murs, façades).
Ce permis est délivré par la Ville de Paris, sous un délai d’un mois, et dure trois ans, avec la possibilité d’être renouvelée.
Cette loi encourage donc les Parisiens à se responsabiliser, les incitant à devenir des vrais « jardiniers de l’espace public parisien ». Ceux-ci ont donc la possibilité de cultiver des arbres fruitiers, des plantes, des pieds d’arbres et des fleurs, tandis que la Ville de Paris leur fournira un kit de plantation comprenant de la terre végétale et des graines.
De leur côté, les Parisiens qui se lancent dans cette démarche doivent signer une Charte de végétalisation qui les obligera à utiliser des plantes locales et mellifères, avec pour but de favoriser la biodiversité et à ne pas utiliser de pesticides. Grâce à cela, les Parisiens seront donc des acteurs majeurs de la transformation urbaine de leur ville.
En ce qui concerne l’embellissement et la végétalisation de la ville, Paris demande surtout à ses habitants jardiniers de faire preuve d’imagination. Avec cette loi, les élus parisiens ambitionnent surtout de reverdir Paris sur plus de 100 hectares d’ici 2020.
Un objectif qui pourrait être atteint grâce à un projet d’une autre envergure, lancé par la start-up « Toit tout vert ». Celle-ci ambitionnede développer une véritable ferme urbaine, sous serre et sur un toit, sur un espace de 1500 mètres carrés. Ce projet devrait voir le jour au début de l’année 2017 sur la toiture d’un bâtiment de Paris Habitat, situé dans le 12ème arrondissement de Paris.
Si vous souhaitez également mettre la main verte à la patte, vous pouvez vous renseigner sur les démarches à suivre sur le site de Parisculteurs.
Très bonne initiative cette loi, n’est-ce pas ?
participer à des compétitions de danse grâce à une chirurgie très spéciale...
Gabi Shull est une jeune fille du Missouri qui, à l’âge d’à peine neuf ans, a dû être amputée de la jambe à cause d’un ostéosarcome (une tumeur maligne osseuse). Ce type de cancer des os a atteint gravement son genou, et elle a été
obligée de subir l’opération.
Un véritable drame pour cette jeune fille passionnée de danse ! Lorsque les docteurs lui ont diagnostiqué son cancer, tout le monde pensait qu’elle ne pourrait plus jamais danser, et qu’elle aurait beaucoup de mal à marcher.
On imagine facilement que l’événement a pu être assez traumatisant pour elle. Mais aujourd'hui, Gabi a 15 ans... Et comme vous pouvez le constater, ce n'est pas son handicap qui l’empêche de faire des pointes !
Grâce à une technique de chirurgie révolutionnaire, la rotation-plastie, elle peut sauter, courir et danser avec la plus grande agilité !
En fait, la rotation-plastie consiste à greffer un pied « à l’envers » sur la jambe, de sorte à ce que l’articulation de la cheville remplace l’articulation du genou manquante.
Le membre doit être tourné à 180° (d’où le nom de rotation-plastie) afin que la cheville plie dans le bon sens. Le pied peut ensuite être inséré dans une prothèse spécialement adaptée, ce qui permet de jouir d’une excellente mobilité, qui permet de courir, de faire du sport, et de danser !
Et c’est exactement ce que fait Gabi. Elle fait de la danse de ballet,
mais aussi du hip-hop, du contemporain, du jazz et même des claquettes !
Le plus fou, c’est qu’elle danse en compétition, malgré son handicap. Elle est aussi l’une des ambassadrices de The Truth 365, une organisation d’aide et de sensibilisation autour des cancers infantiles, pour laquelle elle constitue une porte-parole idéale. Elle a reçu un embout spécial qu'elle peut mettre au bout de sa prothèse, afin d'exécuter certaines figures de danse, comme les pointes.
Ça fonctionne plutôt bien !
Avec cette chirurgie, Gabi peut non seulement danser, mais également faire
du patin à glace, de l’escalade… Elle n’a plus aucune limite !
Voici une vidéo (en anglais) qui montre la jeune fille en action. C'est assez
impressionnant de voir avec quelle aisance elle se déplace !