Il a tout compris : cet homme a décidé de faire le tour du monde... tout en mangeant des pizzas tous les jours. Phil Duncan, un globe-trotter britannique, s’évertue à faire le tour du monde pour manger des pizzas partout où il passe. Une autre idée de « la vie de rêve » qu’il fait partager sur son compte Instagram.Pour cet amoureux des pizzas, le monde n’a pas de frontières. Originaire de Liverpool en Angleterre, Phil Duncan est un globe-trotter assez particulier, car il s’est donné pour mission de goûter les pizzas de tous les pays où il fait escale. S’il aime voyager, il partage le même goût pour le mets préféré des Tortues Ninja et pour lui, chaque nouvelle pizza ingurgitée est une découverte de saveurs.Et vu qu’un bonheur ne se vit jamais seul, Phil Duncan partage ses dégustations sur son compte Instagram, et si possible dans un incroyable décor. Selon Elite Daily, notre jeune globe-trotter s’est découvert cette passion à l’âge de cinq ans lorsqu’il goûta une pizza-baguette à Disneyland Paris. Depuis, il a dégusté des pizzas dans plus de 30 pays,sur cinq continents différents, donnant naissance à son album photo « Travel Slice ». Découvrez quelques-unes de ces photos ci-dessous, celava vous ouvrir l’appétit !
1 - Phil Duncan, « pizza lover »
Interrogé par Elite Daily, Phil Duncan s’est confié sur ces souvenirs de « pizza lover » : « Durant mon dernier séjour à New York, j’ai réussi à manger dans dix pizzerias différentes en moins de 36 heures. ». Digne d’un pizza-marathon… 2 - Sous la neige ou sous le soleil, les pizzas quatre saisons. Petite pizza croquante en direct de Budapest...
Une pizza bien gelée à New-York En direct du quartier "Little Italy" à San Diego
Mais une question nous taraude, pourquoi faire le tour du monde pour manger que des pizzas plutôt que de découvrir des spécialités gastronomiques locales ? Pour Phil, la pizza est juste universelle… « Je suis allé dans les plus grandes villes du monde et sur les îles les plus reculées au milieu de nulle part. Cela m’a émerveillé. Peu importe la cuisine locale, vous trouverez toujours un endroit qui fait des pizzas. » 3 - Un expert de la pizza
Posé au calme, à côté d'une chute d'eau près de Washington
Dégustation de pizza en mer
Forcément, avec le temps, le jeune globe-trotter est devenu un spécialiste en matière de pizzas, et délivre ses vérités : « Les gens disent qu’il n’existe pas de mauvaise pizza. Et bien, ils ne sont pas allés en Argentine, parce que c’est clairement là-bas que j’ai mangé la pire pizza. ». Comble de l’amoureux des pizzas, Phil n’est pourtant jamais allé en Italie… : « Je ne suis jamais allé en Italie, pays berceau de lapizza. Surtout parce que quand je pars en pèlerinage,je veux faire ça proprement, vraiment expérimenter cela en espérant apprendre comment faire une pizza. » 4 - Un futur pizzaïolo ?
Seulement voilà, une fois que Phil aura visité tous les pays et mangé toutes les pizzas du monde, que fera-t-il du reste de sa vie ? Quelque chose autourdes pizzas, évidemment… : « Mon rêve, quand je serais plus âgé, est d’ouvrir ma propre pizzeria. Je suppose que je devrais apprendre à faire les pizzas plutôt que les manger. ». Bon appétit !
Ils visitent plus de 50 pays en van en ne dépensant que... 8 euros par jour !
Karol Lewandowski et Aleksandra ?lusarczyk, un couple de polonais que vous allez découvrir ci-dessous, ont réalisé le rêve de beaucoup de personnes.
Bien qu’ils n’eussent pas beaucoup d’argent au début de leur aventure, ils ont quand même eu envie de voir le monde. Ils ont alors acheté un van pour 600 euros (seulement), l’ont peint, ont pris des tentes, des réserves de nourriture et ont filé, droit devant !
6 ans plus tard, les deux voyageurs ont parcouru plus de 150 000 kilomètres et visité plus de 50 pays sur 5 continents différents. En dormant dans le van ou à la belle étoile selon la météo et la température, sans jamais payer une chambre d’hôtel. Pareil pour la nourriture : Karol et Aleksandra cuisinent tout, eux-mêmes. Cela permet de faire des économies conséquentes et de mieux gérer ce qu’ils mangent.
Mais comment fait-on pour voyager en ne dépensant que 8 euros par jour ? Comme la dépense la plus importante est l’essence, le couple a décidé d’ouvrir son van au covoiturage. Du coup, quand tous deux rencontrent des gens qui font le même trajet qu’eux, ils les prennent et divisent les frais. Deuxième solution : les cartes postales. Comme beaucoup de gens suivent les deux jeunes polonais dans leur voyage et ont envie de recevoir une carte postale d’eux, le couple propose ce service contre le prix d’un litre de carburant. Une manière originale et efficace de limiter les dépassements de budget.
Comme il a été mentionné plus haut, le couple ne paye jamais pour un logementet préfère dormir dans le van ou dans des tentes, sur la plage, dans une vallée, à la montagne, etc. De temps en temps, ils rencontrent des autochtones qui leur proposent de venir dormir chez eux. Ce sont souvent des Polonais vivant à l’étranger et qui ont entendu parler d’eux, qui sont très heureux de les accueillir.
Pour ce qui est de la nourriture, Karol et Aleksandra font leurs courses au supermarché et cuisinent grâce à leur réchaud. Ils ne vont jamais dans les restaurants afin de limiter les coûts. Par exemple, en Australie, ils ont mangé beaucoup de viande de kangourou, car c’est ce qu’il y a demoins cher.
Et quand la voiture tombe en panne?Au fur et à mesure des mauvaises surprises, il a fallu apprendre à réparer soi-même ! Et si, parfois, le couple est dépassé et a besoin du savoir-faire de professionnels, il se rend dans un garage. Bien souvent, impressionnés par leur voyage, les mécaniciens ont envie de les aider, de participer à leur aventure et ne leur demandent pas d’argent en échange. Pour se laver, le van possède une douche électrique portative avec un réservoir de 150 litres d’eau, situé sur son toit. Ainsi, le couple n’a pas non plus à payer ce service. Il leur arrive de profiter d’une rivière ou d’un lac alentour pour s’y laver.
Autre point très important de ce voyage exceptionnel : les sponsors. En effet, pour le couple, les marques servent surtout à obtenir de l’argentquand il faut payer une somme importante. La plupart du temps, il s’agit de billets de ferry. Par exemple, pour aller de l’Europe aux USA ou en Australie, ce sont les partenariats avec les sponsors qui ont pu permettre au couple de s’en sortir. En gros, les marques payent la totalité des billets aux jeunes aventuriers, et en contrepartie, ces derniers affichent sur leur véhicule un logo de la marque qui leur a rendu ce service. Étant donné que les deux tourtereaux tiennent le blog de voyage le plus visité de Pologne , les sponsors profitent ainsi d’une superbe visibilité. Un échange de bons procédés !
Finalement, si Karol et Aleksandra peuvent encore sillonner les routes du monde entier, c’est parce que pour travailler, il leur faut seulement un ordinateur et Internet. En effet, non seulement le couple gagne de l’argent avec son blog, mais l’année dernière, il a publié deux livres sur les astuces de voyages. En plus de ça, les éternels voyageurs réalisent des sessions photos ou encore de vidéos de promotion pour des tour-opérateurs. Parfois, ils travaillent aussi comme graphistes, leur formation d’origine.
C’est donc la preuve qu’il est possible de découvrir le monde et de passer savie à voyager sans avoir des millions à la banque ! Bravo à ce couple qui a su réaliser ses rêves et nous donner envie de partir à notre tour. Génial n’est-ce pas ?
Vu ces 20 photos, ça ne doit pas en être loin en tout cas ! Si on écoute tous les clichés sur l’Irlande, on finit par croire qu'il n'y fait jamais beau, qu'il y fait toujours froid et que les habitants sonttous des marins alcoolos qui boivent tout le temps de la bière ! Mais s’arrêter à ces clichés serait bien loin de la réalité. En plus d’être généreux et hospitaliers, les Irlandais possèdent des terres et des paysages à couper le souffle... Attention, vous allez avoir envie de casser votre PEL pour y faire un long séjour :
1. Le Rock of Cashel était le lieu de résidence des rois de la province du Munster
2. Ce célèbre pont suspendu est situé au nord de l’Irlande, proche de la ville de Ballintoy
3. Les impressionnantes falaises de Moher, situées sur la côte ouest du pays
4. Un arc-en-ciel magnifique qui sublime le paysage
5. Le château de d’Ashford, au bord du lac Corrib et de la rivière Cong
6. Un panorama du littoral vu du sommet d’une colline
7. Un pont de Wicklow sous un magnifique ciel étoilé
8. Plus de 40 000 petites colonnes de basalte le long de l’océan, résultat d’éruptions volcaniques
9. Les îles Skellig
10. Les aurores boréales rendent encore plus belle la vue des ruines du château de Dunluce
11. La beauté des rayons du soleil qui traverse les nuages, un phénomène typiquement irlandais
12. Un été en Irlande, et des plages pleines de surprises !
13. La spectaculaire transhumance des moutons dans la péninsule de Dingle
14. Vue de la capitale Dublin de nuit, une ville chargée d’histoire et extrêmement dynamique
15. La jetée du port de Wicklow, petite ville située sur la côte au sud de Dublin
16. Le magnifique château de Doonagore qui surplombe l’océan Atlantique
17. Le très vieux pont médiéval de Glanworth, dans la province de Cork
18. Le Ben Bulben, une impressionnante montagne de 526 mètres d’altitude
19. L’exemple parfait des routes sauvages et isolées qui rendent l’Irlande si agréable à parcourir
20. Un phare sur la côte proche de la pointe Swilly Bon, on part quand ?
« Un Nuage Sur Le Toit Du Monde »... Quand Les Particules Polluent Nos Glaciers...
Source : Le palais du Potala, est un palais-forteresse ou dzong du XVII? siècle, situé à Lhassa, sur la colline de Marpori,au centre de la vallée de Lhassa. Wikipédia
La réalisatrice Agnès Moreau a décidé de révéler un phénomène peu connu mais doté d’un impact considérable. Poussée par les vents, la pollution atmosphérique s’accumule aux sommets des glaciers et forme des nuages bruns à des milliers de kilomètres d’altitude. Un phénomène décrypté dans le documentaire « Un nuage sur le toit du monde » que Maxi sciences a pu découvrir en avant-première. « Qui pourrait croire que l’air à 5.000 mètres d’altitude n’est pas le plus pur ? Que les neiges ne sont pas les blanches. Peu de gens, et pourtant… » C’est le sujet préoccupant qu’a choisi de mettre en lumière la réalisatrice Agnès Moreau dans son documentaire « Un nuage sur le toit du monde« . A des milliers de kilomètres d’altitude, les glaciers des chaines himalayennes sont masqués par d’épais nuages bruns, des ABC pour Atmospheric Brown Clouds. Loin de pouvoir être confondus avec nos nuages de coton, ces étendues brumeuses sont en fait chargées de particules polluantes à des concentrations extrêmement élevées. Ozone, particules fines et surtout carbone noir sont arrivés là poussés par les vents des vallées et continuent de voyager au gré des courants atmosphériques sur des kilomètres et des kilomètres. Des vents qui amènent ces polluants jusqu’au toit du monde, l’Everest situé à la frontière entre le Népal et la Chine. Ce phénomène a été révélé en 2008 lorsque des chercheurs ont fait part des résultats de mesures atmosphériques réalisées à plus de 5.000 mètres d’altitude, au pied de la montagne. Celles-ci indiquaient un constat simple mais tout sauf rassurant : « L’air de l’Himalaya est aussi pollué que celui des villes d’Europe« . Après la découverte d’un gigantesque nuage de pollution, une équipe de scientifiques italiens et français ont ainsi décidé de partir sur place pour en apprendre plus sur les concentrations surprenantes de polluants dans ces contrées censées être vierges et qui constituent encore des terres inconnues. C’est cette équipe qu’Agnès Moreau a suivi jusqu’au pied de l’Everest dans une pyramide de verre, la première station atmosphérique construite dans la région en 2006. Dans ce laboratoire, les chercheurs effectuent de multiples mesures sur la composition de l’air. Des données qui sont transmises et analysées par différentes équipes à travers le monde. Des changements climatiques liés à la pollution ? Outre cette étude, l’équipe mène également une enquête détaillée auprès de la population vivant à proximité des montagnes. Ils demandent ainsi aux habitants pour la plupart âgés, s’ils ont constaté des changements dans la fréquence des pluies, de la neige, de l’intensité de la mousson au cours des dernières années. Des questions dont les réponses sont sans équivoque. Oui, il y a eu du changement. En effet, comme l’expliquent plusieurs chercheurs dans le documentaire, le carbone noir impacte le climat local en favorisant le réchauffement et en augmentant la fonte des glaces. La preuve en images : à 2.000 mètres d’altitude, des habitants cultivent aujourd’hui des citrons et des bananes… Tandis que les conséquences de cette pollution semblent déjà à un stade avancé, leur étendue reste très imprécise. Dans son film, Agnès Moreau évoque ainsi un autre aspect : le besoin de sensibiliser les populations et gouvernements pour enrayer le phénomène.
En effet, le carbone noir est libéré en grande partie par les véhicules diesels mais aussi lors de la combustion incomplète de bois ou de charbon. Ces particules sont ainsi relâchées par les briqueteries de la région comme par les foyers des habitants. Néanmoins, celles-ci ont une courte durée de vie : des solutions simples permettraient donc de limiter leurs émissions et auraient un impact beaucoup plus rapide et visible que la lutte contre les émissions de CO2, selon les scientifiques. Mais encore faut-il que les spécialistes parviennent à convaincre les gouvernements de l’importance du phénomène. « Un projet un peu fou, un peu long » Liens entre pollution et réchauffement climatique, système hydraulique et agriculture de la région, de la pyramide de verre aux laboratoires européens, des villages à 2.000 mètres d’altitude au pied de l’Everest, Agnès Moreau a suivi pas à pas les scientifiques pour alerter de ce phénomène inquiétant mais réversible. « C’est un projet un peu fou qui a été un peu long, un peu difficile pour expliquer un phénomène complexe et mal connu. On est passé d’environnements très différents de la Californie au Népal où il a fallu affronter des conditions assez extrêmes. Mais tout s’est bien passé et cela m’a même permis d’accomplir un vieux rêve : voir l’Everest »,confie la réalisatrice. Coproduit notamment par Arte France, Le Miroir, le CNRS Images et l’IRD, le documentaire « Un nuage sur le toit du monde » sera diffusé sur la chaine Arte le jeudi 24 mai prochain à 22H20. (Source : Maxi Sciences)
Photographie par Scott Wood Une photo incroyable sur la Grand-Sault en Arizona par Scott Wood, situé sur la rivière Little Colorado dans le haut désert du nord-est en Arizona. Les eaux de la rivière Little Colorado extrêmement boueuse lorsde leur passage à travers le grès du plateau du Colorado. À Grand-Sault, la rivière est détournée de son lit d’origine par un barrage d’une ancienne coulée de lave, plongeant de(56 m). Le Little Colorado rejoint finalement avec le fleuve Colorado dans le Grand Canyon, à environ 113 km en aval. Grand-Sault est en fait plus élevé que celles du Niagara, mais pas aussi large. La plupart du temps peu d’eau coule sur les chutes, et lors de la périodes sèches est réduite à un filet et peut même complètement se tarir. À la fin de Février 2010, le débit mesuré par une jauge de flux juste au-dessus des chutes était inférieure à un pied cube par seconde. Cependant, au début Avril le débit fait un bond spectaculaire en raison du ruissellement provenant fonte rapide des neiges dans les montagnes Blanches à est de l’Arizona. [Source: Universities Space Research Association ]
Ce film d’animation créé par Lizzy Hobbs entièrement à la machine à écrire raconte l’histoire d’Amy Johnson, une pionnière de l’aviation qui fut la première femme à rejoindre l’Australie depuis l’Angleterre en 1930. Amy Johnson
Les jolies sculptures inspirées par la nature de Kate Kato
"Mon nom est Kate Kato et je suis une artiste, designer, crafter et un collecteur de choses indésirables. Je vis dans les frontières du pays de Galles, où je crée des sculptures inspirées par la nature qui m'entoure. Mes sculptures sont principalement des plantes et des insectes et sont fabriquées à partir de matériaux recyclés. J'aime travailler principalement avec du papier et du textile, en utilisant la couture et la broderie pour rassembler les différentes parties de ma sculpture . "
Les plantes aromatiques sont des végétaux odorants utilisés en cuisine comme condiments, aromates ou épices. Elles sont parfois associées en mélanges ou employées en phytothérapie grâce à leurs huiles essentielles. Ces plantes sont cultivées par les moines depuis le VIIe siècle dans des jardins médiévaux dans un but essentiellement médicinal. Le plus ancien et le plus connu est l'herbularius, ou carré des simples. Ce type de jardin permettait de se servir des plantes pour soigner les maux du quotidien : le souci était utilisé pour ses pouvoirs cicatrisants, le thym et la camomille matricaire pour apaiser la toux ou les problèmes respiratoires, la menthe et l'absinthe pour les maux de ventre, la petite camomille, la verveine officinale ou la benoîte pour combattre la fièvre, la sauge pour soigner les plaies. Certaines plantes étaient exclusivement destinées aux problèmes des femmes comme l'armoise, la mélisse ou la rue. On trouvait également dans ce jardin un carré de plantes magiques aussi belles que toxiques comme la digitale, le datura ou la belladone dans les carrés de sorcières. Dans le potager, on cultivait surtout des légumes-racines destinés aux potées ou aux potages : les épinards, les poireaux, les aulx et quelques condiments destinés à relever les plats comme le raifort, le fenouil ou la livèche. De nos jours la palette des plantes aromatiques, épices, condiments et fines herbes s'est élargie. On trouve dans presque tous les jardins des particuliers ou des maraîchers, du persil, de la ciboulette, de la menthe poivrée, du basilic, de l'estragon, du carvi, de l'échalote, de l'origan, de la sarriette, de l'hysope, de la moutarde, de la citronnelle et bien d'autres encore. Les herbes peuvent être utilisées fraîches, séchées voire torréfiées pour rehausser le goût de certains plats. D'autres végétaux (fleurs, tiges ou racines) entrent dans la composition de tisanes, de sirops ou même de liqueurs, dont les plus anciennes ont été concoctées par des moines. C'est le cas par exemple de l'élixir de la Grande Chartreuse, l'eau de mélisse ou la bénédictine. Quelques-unes de ces plantes comme l'angélique, le myrte ou le cédrat sont servies confites ou sont utilisées pour créer des liqueurs. Notre diaporama vous propose d'entrer dans un formidable monde de goûts, de formes et de couleurs éblouissantes. Il ne manquera que les odeurs... N.B. : les usages thérapeutiques mentionnés ne doivent pas être pratiqués sans le conseil d'un pharmacien ou d'un médecin.
cet homme a décidé de faire le tour du monde... tout en mangeant des pizzas tous les jours.
Phil Duncan, un globe-trotter britannique, s’évertue à faire le tour du monde pour manger des pizzas partout où il passe. Une autre idée de « la vie de rêve » qu’il fait partager sur son compte Instagram. Pour cet amoureux des pizzas, le monde n’a pas de frontières. Originaire de Liverpool en Angleterre, Phil Duncan est un globe-trotter assez particulier, car il s’est donné pour mission de goûter les pizzas de tous les pays où il fait escale. S’il aime voyager, il partage le même goût pour le mets préféré des Tortues Ninja et pour lui, chaque nouvelle pizza ingurgitée est une découverte de saveurs. Et vu qu’un bonheur ne se vit jamais seul, Phil Duncan partage ses dégustations sur son compte Instagram, et si possible dans un incroyable décor. Selon Elite Daily, notre jeune globe-trotter s’est découvert cette passion à l’âge de cinq ans lorsqu’il goûta une pizza-baguette à Disneyland Paris. Depuis, il a dégusté des pizzas dans plus de 30 pays,sur cinq continents différents, donnant naissance à son album photo « Travel Slice ». Découvrez quelques-unes de ces photos ci-dessous, celava vous ouvrir l’appétit !
1 - Phil Duncan, « pizza lover »
Interrogé par Elite Daily, Phil Duncan s’est confié sur ces souvenirs de « pizza lover » : « Durant mon dernier séjour à New York, j’ai réussi à manger dans dix pizzerias différentes en moins de 36 heures. ». Digne d’un pizza-marathon…
2 - Sous la neige ou sous le soleil, les pizzas quatre saisons.
Petite pizza croquante en direct de Budapest...
Une pizza bien gelée à New-York
En direct du quartier "Little Italy" à San Diego
Mais une question nous taraude, pourquoi faire le tour du monde pour manger que des pizzas plutôt que de découvrir des spécialités gastronomiques locales ? Pour Phil, la pizza est juste universelle… « Je suis allé dans les plus grandes villes du monde et sur les îles les plus reculées au milieu de nulle part. Cela m’a émerveillé. Peu importe la cuisine locale, vous trouverez toujours un endroit qui fait des pizzas. »
3 - Un expert de la pizza
Posé au calme, à côté d'une chute d'eau près de Washington
Dégustation de pizza en mer
Forcément, avec le temps, le jeune globe-trotter est devenu un spécialiste en matière de pizzas, et délivre ses vérités : « Les gens disent qu’il n’existe pas de mauvaise pizza. Et bien, ils ne sont pas allés en Argentine, parce que c’est clairement là-bas que j’ai mangé la pire pizza. ». Comble de l’amoureux des pizzas, Phil n’est pourtant jamais
allé en Italie… : « Je ne suis jamais allé en Italie, pays berceau de lapizza. Surtout parce que quand je pars en pèlerinage,je veux faire ça proprement, vraiment expérimenter cela en espérant apprendre comment faire une pizza. »
4 - Un futur pizzaïolo ?
Seulement voilà, une fois que Phil aura visité tous les pays et mangé toutes les pizzas du monde, que fera-t-il du reste de sa vie ? Quelque chose autourdes pizzas, évidemment… : « Mon rêve, quand je serais plus âgé, est d’ouvrir ma propre pizzeria.
Je suppose que je devrais apprendre à faire les pizzas plutôt que les manger. ».
Bon appétit !
8 euros par jour !
Karol Lewandowski et Aleksandra ?lusarczyk, un couple de polonais que vous allez découvrir ci-dessous, ont réalisé le rêve de beaucoup de personnes.
Bien qu’ils n’eussent pas beaucoup d’argent au début de leur aventure, ils ont quand même eu envie de voir le monde. Ils ont alors acheté un van pour 600 euros (seulement), l’ont peint, ont pris des tentes, des réserves de nourriture et ont filé, droit devant !
6 ans plus tard, les deux voyageurs ont parcouru plus de 150 000 kilomètres et visité plus de 50 pays sur 5 continents différents. En dormant dans le van ou à la belle étoile selon la météo et la température, sans jamais payer une chambre d’hôtel. Pareil pour la nourriture : Karol et Aleksandra cuisinent tout, eux-mêmes. Cela permet de faire des économies conséquentes et de mieux gérer ce qu’ils mangent.
Mais comment fait-on pour voyager en ne dépensant que 8 euros par jour ?
Comme la dépense la plus importante est l’essence, le couple a décidé d’ouvrir son van au covoiturage. Du coup, quand tous deux rencontrent des gens qui font le même trajet qu’eux, ils les prennent et divisent les frais. Deuxième solution : les cartes postales. Comme beaucoup de gens suivent les deux jeunes polonais dans leur voyage et ont envie de recevoir une carte postale d’eux, le couple propose ce service contre le prix d’un litre de carburant. Une manière originale et efficace de
limiter les dépassements de budget.
Comme il a été mentionné plus haut, le couple ne paye jamais pour un logementet préfère dormir dans le van ou dans des tentes, sur la plage, dans une vallée, à la montagne, etc. De temps en temps, ils rencontrent des autochtones qui leur proposent de venir dormir chez eux. Ce sont souvent des Polonais vivant à l’étranger et qui ont entendu parler d’eux, qui
sont très heureux de les accueillir.
Pour ce qui est de la nourriture, Karol et Aleksandra font leurs courses au supermarché et cuisinent grâce à leur réchaud. Ils ne vont jamais dans les restaurants afin de limiter les coûts. Par exemple, en Australie, ils ont mangé beaucoup de viande de kangourou, car c’est ce qu’il y a demoins cher.
Et quand la voiture tombe en panne?Au fur et à mesure des mauvaises surprises, il a fallu apprendre à réparer soi-même ! Et si, parfois, le couple est dépassé et a besoin du savoir-faire de professionnels, il se rend dans un garage. Bien souvent, impressionnés par leur voyage, les mécaniciens ont envie de les aider, de participer à leur aventure et ne leur demandent pas d’argent en échange.
Pour se laver, le van possède une douche électrique portative avec un réservoir de 150 litres d’eau, situé sur son toit. Ainsi, le couple n’a pas non plus à payer ce service. Il leur arrive de profiter d’une rivière ou d’un lac alentour pour s’y laver.
Autre point très important de ce voyage exceptionnel : les sponsors. En effet, pour le couple, les marques servent surtout à obtenir de l’argentquand il faut payer une somme importante. La plupart du temps, il s’agit de billets de ferry. Par exemple, pour aller de l’Europe aux USA ou en Australie, ce sont les partenariats avec les sponsors qui ont pu permettre au couple de s’en sortir. En gros, les marques payent la totalité des billets aux jeunes aventuriers, et en contrepartie, ces
derniers affichent sur leur véhicule un logo de la marque qui leur a rendu ce service. Étant donné que les deux tourtereaux tiennent le blog de voyage le plus visité de Pologne , les sponsors profitent ainsi d’une superbe visibilité. Un échange de bons procédés !
Finalement, si Karol et Aleksandra peuvent encore sillonner les routes du monde entier, c’est parce que pour travailler, il leur faut seulement un ordinateur et Internet. En effet, non seulement le couple gagne de l’argent avec son blog, mais l’année dernière, il a publié deux livres sur les astuces de voyages. En plus de ça, les éternels voyageurs réalisent des sessions photos ou encore de vidéos de promotion pour des tour-opérateurs. Parfois, ils travaillent aussi comme graphistes, leur formation d’origine.
C’est donc la preuve qu’il est possible de découvrir le monde et de passer savie à voyager sans avoir des millions à la banque ! Bravo à ce couple qui a su réaliser ses rêves et nous donner envie de partir à notre tour.
Génial n’est-ce pas ?
Vu ces 20 photos, ça ne doit pas en être loin en tout cas !
Si on écoute tous les clichés sur l’Irlande, on finit par croire qu'il n'y fait jamais beau, qu'il y fait toujours froid et que les habitants sonttous des marins alcoolos qui boivent tout le temps de la bière ! Mais s’arrêter à ces clichés serait bien loin de la réalité. En plus d’être généreux et hospitaliers, les Irlandais possèdent des terres et des paysages à couper le souffle... Attention, vous allez avoir envie de casser votre PEL pour y faire un long séjour :
1. Le Rock of Cashel était le lieu de résidence des rois de la province du Munster
2. Ce célèbre pont suspendu est situé au nord de l’Irlande, proche de la ville de Ballintoy
3. Les impressionnantes falaises de Moher, situées sur la côte ouest du pays
4. Un arc-en-ciel magnifique qui sublime le paysage
5. Le château de d’Ashford, au bord du lac Corrib et de la rivière Cong
6. Un panorama du littoral vu du sommet d’une colline
7. Un pont de Wicklow sous un magnifique ciel étoilé
8. Plus de 40 000 petites colonnes de basalte le long de l’océan, résultat d’éruptions volcaniques
9. Les îles Skellig
10. Les aurores boréales rendent encore plus belle la vue des ruines du château de Dunluce
11. La beauté des rayons du soleil qui traverse les nuages, un phénomène typiquement irlandais
12. Un été en Irlande, et des plages pleines de surprises !
13. La spectaculaire transhumance des moutons dans la péninsule de Dingle
14. Vue de la capitale Dublin de nuit, une ville chargée d’histoire et extrêmement dynamique
15. La jetée du port de Wicklow, petite ville située sur la côte au sud de Dublin
16. Le magnifique château de Doonagore qui surplombe l’océan Atlantique
17. Le très vieux pont médiéval de Glanworth, dans la province de Cork
18. Le Ben Bulben, une impressionnante montagne de 526 mètres d’altitude
19. L’exemple parfait des routes sauvages et isolées qui rendent l’Irlande si agréable à parcourir
20. Un phare sur la côte proche de la pointe Swilly
Bon, on part quand ?
Quand Les Particules Polluent Nos Glaciers...
Source : Le palais du Potala, est un palais-forteresse ou dzong du XVII? siècle, situé à Lhassa, sur la colline de Marpori,au centre de la vallée de Lhassa. Wikipédia
La réalisatrice Agnès Moreau a décidé de révéler un phénomène peu connu mais doté d’un impact considérable. Poussée par les vents, la pollution atmosphérique s’accumule aux sommets des glaciers et forme des nuages bruns à des milliers de kilomètres d’altitude.
Un phénomène décrypté dans le documentaire « Un nuage sur le toit du monde » que Maxi sciences a pu découvrir en avant-première.
« Qui pourrait croire que l’air à 5.000 mètres d’altitude n’est pas le plus pur ? Que les neiges ne sont pas les blanches. Peu de gens, et pourtant… »
C’est le sujet préoccupant qu’a choisi de mettre en lumière la réalisatrice Agnès Moreau dans son documentaire « Un nuage sur le toit du monde« .
A des milliers de kilomètres d’altitude, les glaciers des chaines himalayennes sont masqués par d’épais nuages bruns, des ABC pour Atmospheric Brown Clouds.
Loin de pouvoir être confondus avec nos nuages de coton, ces étendues brumeuses sont en fait chargées de particules polluantes à des concentrations extrêmement élevées.
Ozone, particules fines et surtout carbone noir sont arrivés là poussés par les vents des vallées et continuent de voyager au gré des courants atmosphériques sur des kilomètres et des kilomètres.
Des vents qui amènent ces polluants jusqu’au toit du monde, l’Everest situé à la frontière entre le Népal et la Chine.
Ce phénomène a été révélé en 2008 lorsque des chercheurs ont fait part des résultats de mesures atmosphériques réalisées à plus de 5.000 mètres d’altitude, au pied de la montagne.
Celles-ci indiquaient un constat simple mais tout sauf rassurant : « L’air de l’Himalaya est aussi pollué que celui des villes d’Europe« .
Après la découverte d’un gigantesque nuage de pollution, une équipe de scientifiques italiens et français ont ainsi décidé de partir sur place pour en apprendre plus sur les concentrations surprenantes de polluants dans ces contrées censées être vierges et qui constituent encore des terres inconnues.
C’est cette équipe qu’Agnès Moreau a suivi jusqu’au pied de l’Everest dans une pyramide de verre, la première station atmosphérique construite dans la région en 2006.
Dans ce laboratoire, les chercheurs effectuent de multiples mesures sur la composition de l’air. Des données qui sont transmises et analysées par différentes équipes à travers le monde.
Des changements climatiques liés à la pollution ?
Outre cette étude, l’équipe mène également une enquête détaillée auprès de la population vivant à proximité des montagnes.
Ils demandent ainsi aux habitants pour la plupart âgés, s’ils ont constaté des changements dans la fréquence des pluies, de la neige, de l’intensité de la mousson au cours des dernières années.
Des questions dont les réponses sont sans équivoque. Oui, il y a eu du changement.
En effet, comme l’expliquent plusieurs chercheurs dans le documentaire, le carbone noir impacte le climat local en favorisant le réchauffement et en augmentant la fonte des glaces.
La preuve en images : à 2.000 mètres d’altitude, des habitants cultivent aujourd’hui des citrons et des bananes…
Tandis que les conséquences de cette pollution semblent déjà à un stade avancé, leur étendue reste très imprécise.
Dans son film, Agnès Moreau évoque ainsi un autre aspect : le besoin de sensibiliser les populations et gouvernements pour enrayer le phénomène.
En effet, le carbone noir est libéré en grande partie par les véhicules diesels mais aussi lors de la combustion incomplète de bois ou de charbon.
Ces particules sont ainsi relâchées par les briqueteries de la région comme par les foyers des habitants.
Néanmoins, celles-ci ont une courte durée de vie : des solutions simples permettraient donc de limiter leurs émissions et auraient un impact beaucoup plus rapide et visible que la lutte contre les émissions de CO2, selon les scientifiques.
Mais encore faut-il que les spécialistes parviennent à convaincre les gouvernements de l’importance du phénomène.
« Un projet un peu fou, un peu long »
Liens entre pollution et réchauffement climatique, système hydraulique et agriculture de la région, de la pyramide de verre aux laboratoires européens, des villages à 2.000 mètres d’altitude au pied de l’Everest, Agnès Moreau a suivi pas à pas les scientifiques pour alerter de ce phénomène inquiétant mais réversible.
« C’est un projet un peu fou qui a été un peu long, un peu difficile pour expliquer un phénomène complexe et mal connu. On est passé d’environnements très différents de la Californie au Népal où il a fallu affronter des conditions assez extrêmes.
Mais tout s’est bien passé et cela m’a même permis d’accomplir un vieux rêve : voir l’Everest »,confie la réalisatrice.
Coproduit notamment par Arte France, Le Miroir, le CNRS Images et l’IRD, le documentaire « Un nuage sur le toit du monde » sera diffusé sur la chaine Arte le jeudi 24 mai prochain à 22H20.
(Source : Maxi Sciences)
Photographie par Scott Wood
Une photo incroyable sur la Grand-Sault en Arizona par Scott Wood, situé sur la rivière Little Colorado dans le haut désert du nord-est en Arizona. Les eaux de la rivière Little Colorado extrêmement boueuse lorsde leur passage à travers le grès du plateau du Colorado.
À Grand-Sault, la rivière est détournée de son lit d’origine par un barrage d’une ancienne coulée de lave, plongeant
de(56 m). Le Little Colorado rejoint finalement avec le fleuve Colorado dans le Grand Canyon, à environ 113 km en aval.
Grand-Sault est en fait plus élevé que celles du Niagara, mais pas aussi large. La plupart du temps peu d’eau coule sur les chutes, et lors de la périodes sèches est réduite à un filet et peut même complètement se tarir.
À la fin de Février 2010, le débit mesuré par une jauge de flux juste au-dessus des chutes était inférieure à un pied cube par seconde.
Cependant, au début Avril le débit fait un bond spectaculaire en raison du ruissellement provenant fonte rapide des neiges dans les montagnes Blanches à est de l’Arizona.
[Source: Universities Space Research Association ]
Clic ici........https://vimeo.com/168314107
Ce film d’animation créé par Lizzy Hobbs entièrement à la machine à écrire raconte l’histoire d’Amy Johnson, une pionnière de l’aviation qui fut la première femme à rejoindre l’Australie depuis l’Angleterre en 1930.
"Mon nom est Kate Kato et je suis une artiste, designer, crafter et un
collecteur de choses indésirables. Je vis dans les frontières du pays de
Galles, où je crée des sculptures inspirées par la nature qui m'entoure.
Mes sculptures sont principalement des plantes et des insectes et sont
fabriquées à partir de matériaux recyclés. J'aime travailler principalement
avec du papier et du textile, en utilisant la couture et la broderie pour
rassembler les différentes parties de ma sculpture . "
Les plantes aromatiques sont des végétaux odorants utilisés en cuisine comme condiments, aromates ou épices. Elles sont parfois associées en mélanges ou employées en phytothérapie grâce à leurs huiles essentielles.
Ces plantes sont cultivées par les moines depuis le VIIe siècle dans des jardins médiévaux dans un but essentiellement médicinal. Le plus ancien et le plus connu est l'herbularius, ou carré des simples. Ce type de jardin permettait de se servir des plantes pour soigner les maux du quotidien : le souci était utilisé pour ses pouvoirs cicatrisants, le thym et la camomille matricaire pour apaiser la toux ou les problèmes respiratoires, la menthe et l'absinthe pour les maux de ventre, la petite camomille, la verveine officinale ou la benoîte pour combattre la fièvre, la sauge pour soigner les plaies. Certaines plantes étaient exclusivement destinées aux problèmes des femmes comme l'armoise, la mélisse ou la rue.
On trouvait également dans ce jardin un carré de plantes magiques aussi belles que toxiques comme la digitale, le datura ou la belladone dans les carrés de sorcières. Dans le potager, on cultivait surtout des légumes-racines destinés aux potées ou aux potages : les épinards, les poireaux, les aulx et quelques condiments destinés à relever les plats comme le raifort, le fenouil ou la livèche.
De nos jours la palette des plantes aromatiques, épices, condiments et fines herbes s'est élargie. On trouve dans presque tous
les jardins des particuliers ou des maraîchers, du persil, de la ciboulette, de la menthe poivrée, du basilic, de l'estragon, du carvi, de l'échalote, de l'origan, de la sarriette, de l'hysope, de la moutarde, de la citronnelle et bien d'autres encore.
Les herbes peuvent être utilisées fraîches, séchées voire torréfiées pour rehausser le goût de certains plats. D'autres végétaux
(fleurs, tiges ou racines) entrent dans la composition de tisanes, de sirops ou même de liqueurs, dont les plus anciennes ont été concoctées par des moines.
C'est le cas par exemple de l'élixir de la Grande Chartreuse, l'eau de mélisse ou la bénédictine. Quelques-unes de ces plantes comme l'angélique, le myrte ou le cédrat sont servies confites ou sont utilisées pour créer des liqueurs. Notre diaporama vous propose d'entrer dans un formidable monde de goûts, de formes et de couleurs éblouissantes. Il ne manquera que les odeurs...
N.B. : les usages thérapeutiques mentionnés ne doivent pas être pratiqués sans le conseil d'un pharmacien ou d'un médecin.