COLLAGE DE PERSONNAGES DE TABLEAUX CELEBRES.... par Gabriel Nardelli Araujo Artiste portugais,Il colle des personnages de peintures célèbres dans des scènes du monde d’aujourd’hui...
Le 22 juin 1941, Hitler lance l’opération Barbarossa et ouvre le front de l’Est dans l’idée d’écraser l’Union soviétique afin de se retourner ensuite contre l’Angleterre et ce qui restait des démocraties en lambeaux. Cette opération, a pu être qualifiée comme parmi l’une des opérations militaires les plus spectaculaires de l’histoire militaire, elle faisait suite à de tortueux calculs à la fois d’Hitler et de l’Allemagne nazie et de Staline. En effet depuis le 23 août 1939, Staline avait signé avec l’Allemagne un pacte d’alliance, le pacte de non-agression, qui prévoyait la liquidation commune de la Pologne, l’occupation par les russes des Etats baltes, puis par étape la liquidation de la Finlande et la mainmise sur la Bessarabie. Beaucoup d’encre a coulé sur ce sujet, il n’a pas assez été dit quelle fut la responsabilité de Staline dans le déclenchement de la guerre, sa connivence intéressée dans l’aggravement de la situation et au final sa responsabilité directe dans la fin tragique de tant de citoyens de l’Union soviétique durant la guerre qui a finalement éclaté en ce 22 juin 1941. Plus tard Staline tentera d’expliquer par des artifices ses décisions catastrophiques mais nous n’allons pas revenir en ce jour sur des faits désormais lumineux. La signature du pacte fut une décision consentie par Staline pour venger les échecs subit par l’Union Soviétique durant la guerre civile russe de 1918-1922. A cette époque, l’Armée rouge vaincue en Finlande avait dû accepter l’indépendance de ce petit pays. Vaincue également devant Varsovie dans une offensive racontée par Isaac Babel, la Pologne lui avait échappé, ainsi que les Etats baltes et la Bessarabie tombée grâce au soutien des alliés et notamment de la France entre les mains de la Roumanie, pays ayant fait le choix des alliés durant la 1ère Guerre mondiale. C’est pour ces raisons que Staline principalement a préféré signer un pacte lui apportant des avantages directs offert sur un plateau par Hitler, avantages que par ailleurs les alliés n’auraient jamais consentis à lui donner. La Pologne écrasée et démantelée, les Etats baltes occupés, la Roumanie contrainte à céder la Bessarabie, Staline n’échoue qu’en Finlande où ayant sous-estimé gravement la combativité et la valeur de la petite armée finlandaise, les Russes reçoivent durant l’hiver 39-40 une véritable correction. La Finlande est toutefois bientôt vaincue, mais sa résistance lui permet d’avoir à céder seulement quelques territoires face à la soif du Camarade Staline. De son côté, Hitler n’a jamais signé ce pacte dans l’idée de faire vraiment une alliance avec l’Union soviétique et Staline. Pour lui, les concessions faites à l’Est ne sont que provisoires, elles lui ont apporté les mains libres à l’Ouest, des matières premières, notamment du pétrole, du caoutchouc et des métaux précieux pour alimenter son armée et son industrie de guerre afin d’écraser les démocraties occidentales. Nous connaissons la suite, la France est balayée et humiliée, la Grande Bretagne sauve les meubles in extremis dans la bataille aérienne d’Angleterre durant l’automne et l’hiver 1940. Les objectifs d’Hitler s’ils n’ont pas tous été atteints sont réalisés en grande partie. En grande partie, oui mais pas tous. La Grande Bretagne est encore debout, l’Italie est mise en difficulté dans une campagne contre la Grèce. Hitler pour voler au secours de son allié italien en difficulté doit changer ses plans. L’invasion en effet de l’URSS était planifiée de longue date et dans l’esprit d’Hitler, cette invasion devait être le véritable but de sa guerre, l’élimination de l’ennemi bolchevique, la destruction du Peuple russe, son asservissement et son exploitation par les Allemands. Ce plan d’invasion se trouve dérangé par la débandade italienne de Mussolini qui en Grèce se voit défait et même attaqué en Albanie où il est menacé. Hitler lance alors une campagne contre la Yougoslavie et la Grèce qui sont vaincues et occupées malgré l’intervention anglaise. Les Allemands iront même bientôt jusqu’en Crête. Cette perte de temps, des mois de mars, avril, mai et juin 1941, va se trouver être fatal aux plans de domination d’Hitler. Car en Russie, des conditions climatiques dures, une immensité des territoires, un peuple décidé et entouré de chefs déterminés attendent l’Allemagne nazie. L’invasion est déclenchée le 22 juin 1941, avec des opérations commandos qui eurent lieu plusieurs heures auparavant. Cette opération, l’opération Barbarossa est soutenue non seulement par l’Armée allemande mais par les armées de nations satellites ou humiliées par Staline dans les derniers mois. Son manque de discernement et de prudence augmente de manière importante le danger mortel de cette invasion, car les Roumains, les Finlandais, les Slovaques et les Hongrois rejoignent les assaillants et fournissent des troupes qui n’ont pas la valeur de celle des Allemands mais qui renforcent considérablement la puissance de l’attaque, notamment en ouvrant la Russie du Sud et en menaçant directement et gravement Leningrad. L’assaut allemand dans les premières heures et les premières semaines de Barbarossa annihile les défenses russes qui sont sévèrement battus dans les premières batailles. Mais très vite, l’âme russe va se ressaisir et Staline après quelques jours de stupeur se révèlera un chef tenace et fédérateur. Si l’aviation soviétique opérationnelle est pour ainsi dire détruite dans les premières semaines, ses avions et ses pilotes se révélant bien inférieurs à ceux de leurs adversaires, les Soviétiques opposent un matériel blindé rustique et efficace qui posent vite de très importants problèmes aux Allemands. Les engins blindés de l’Armée rouge s’avère en effet plus blindé, plus armé et plus robuste que les meilleurs chars nazis. Cette découverte sera une très mauvaise surprise pour les assaillants qui ne pouvaient avoir raison de certains chars russes qu’avec l’aide du fameux canon de DCA de 88. Malgré la débâcle, partout les Russes se défendent bientôt avec l’énergie du désespoir. Cette énergie est renforcée et supportée par la conscience que les nazis viennent en Union soviétique, en Russie, pour réduire en esclavage les peuples slaves. Même dans les pays baltes ou en Ukraine où les Allemands peuvent trouver des soutiens, ces derniers se comportent d’horribles manières, les populations civiles sont menacées, oppressées, des commandos spéciaux sèment la terreur derrière les troupes régulières de la Wehrmacht, avec la tâche d’éliminer les « ennemis » de la race aryenne, à savoir les communistes et les juifs. Ces violences, les assassinats, les massacres de masse, conduisent très vite, le Peuple russe à se rassembler autour du chef Staline et du drapeau. Durant l’Opération Barbarossa, les pertes soviétiques notamment en tués et en prisonniers furent colossales. Les Russes perdent en quelques semaines plusieurs millions d’hommes, une saignée qui ne faisaient que commencer, ainsi que près de 4 millions de prisonniers. Mais l’Opération malgré les succès sur la carte et l’occupation des villes soviétiques les unes après les autres, va échouer. Hitler en effet, détourne dans le cours de l’été son offensive en direction du Sud pour détruire le saillant de Kiev et les armées soviétiques bousculées qui se trouvaient dangereusement en l’air. L’offensive s’empare en effet de Kiev, le gros des forces soviétiques dans le Sud a été encerclé et détruit. Des centaines de milliers de prisonniers ont été faits et mourront pour beaucoup dans les terribles camps nazis. Hitler qui a transformé le plan initial ne sait pas qu’il vient sans doute de perdre la guerre. Car en négligeant Moscou, ilcompromet ses chances d’en finir avec une blitzkrieg qui trouve son tombeau en Russie. L’immensité du pays impose à l’Allemagne nazie et ses alliés une attrition des troupes très importante, une usure des matériels sans précédent et une mobilisation énorme de toutes les ressources. Après les succès impressionnants dans le Sud de la Russie, l’Armée hitlérienne va échouer sur plusieurs points. Notamment devant Leningrad, le groupe d’armée Nord privé des moyens suffisants doit se contenter de faire un siège de la ville qui sera terrifiant pour les Soviétiques. Au Sud, les Allemands ne peuvent réduire le bastion de Sébastopol qu’au prix d’un rassemblement de moyens impressionnants et coûteux, et seulement en 1942. Enfin l’offensive allemande sur Moscou est enrayée, à la fois par l’arrivée précoce d’un hiver rigoureux qu’Hitler n’avait bizarrement pas appréhendé, et par le transfert des troupes sibériennes à l’Ouest, Staline ayant reçu l’assurance par son efficace réseau d’espionnage que les Japonais n’attaqueraient pas la Russie dans son dos. Les Soviétiques ont eu le temps d’organiser la défense de Moscou, et de préparer une contre-offensive qui va bousculer les troupes d’Hitler. Ayant atteint les faubourgs de Moscou, les Allemands sont rejetés parfois à 200 kilomètres de leurs pointes les plus avancées. Vaincus, les Allemands doivent reculer et se retrancher, la guerre éclair a échoué, et la guerre s’enlise dans une guerre d’usure. De fait Hitler a déjà perdu près d’un million et demi d’hommes, tant tués que blessés, et l’essentiel de son matériel, notamment motorisés, certaines unités divisionnaires sont réduites à l’effectif d’un bataillon, l’hiver très froid vient aggraver la situation des envahisseurs. L’opération Barbarossa a vécu. La suite nous la connaissons tous, nous connaissons toutefois beaucoup moins ces heures tragiques, des premiers mois de l’invasion, où des Soviétiques, des Russes, se sacrifièrent pour retarder l’ennemi dans un esprit remarquable. Staline sut imposer une discipline de fer, stopper les fuyards en réprimant sur les arrières toutes les velléités de faiblesses. Le non recul est finalement imposé aux forces soviétiques, mesure désespérée, parfois payée par le prix fort du sang, dans des charges à la baïonnette totalement surréalistes. Mais dans ces heures-là, le Peuple soviétique, le Peuple Russe, fut oh combien magnifique, d’héroïsme et de patriotisme. Les combattants de Koursk, de Stalingrad ou de Berlin ont fait oublier ou négliger, ceux de la terrible année 1941, c’est pourtant à eux que nous devons de vivre dans un Monde libre. Aujourd’hui célébrons dans le recueillement, la mémoire de ces innombrables vies qui furent fauchées dans le printemps de leur vie, ne les oublions pas.
Illustration : Les Univers En Papier D'Eiko Ojala...
L'illustrateur Eiko Ojala mélange dessins, textures et ombres pour créer des illustrations surprenantes. Un artiste à découvrir d'urgence ! Par : Harold paris - 17 mai 2016
Eiko Ojala est un illustrateur estonien dont le style et la technique sont particulièrement surprenants. Avec ses créations, Eiko assemble et donne vie à des illustrations faites de papier « virtuel ». Son procédé créatif mélange dessins, textures et ombres pour un résultat saisissant. Pour certaines ombres complexes ou plus difficiles à reproduire numériquement, l’artiste utilise la photographie qu’il va ensuite incorporer dans ses créations. Son travail a été mis à l’honneur dans de prestigieux journaux comme le New York Times, le New Yorker, Le Monde, le Washington Post ou bien encore Wired. Il travaille aussi avec de grandes marques comme Air France ou HBO. EIko Ojala, au cours de sa carrière, a aussi remporté de nombreux prix comme le American Illustration 35 ou le Young Illustrators Award. Voici une série d’illustrations présentant son travail et son style particulier et génial. Crédit photo : Eiko Ojala
19 photos historiques de l'amour en temps de guerre... Quand un couple est séparé par un conflit, les séparations sont toujours douloureuses, et les retrouvailles... magnifiques ! Par : Axel Leclercq - 17 mai 2016
L’amour est un sentiment fort et puissant. Et quand vient le temps des conflits et des combats, il ne faiblit pas. Au contraire : il resurgit ! Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à voir ces superbes photos datant pour la plupart de la Seconde guerre mondiale… Chacun de ces clichés montre l’instant où le soldat part au front ou revient des combats. Des adieux déchirants… et des retrouvailles poignantes !
1963. Des soldats américains embarquent pour l’Egypte... Source : inconnue
Septembre 1950. Départ pour la guerre de Corée. Source : notbob1959
1945. Retour d’un soldat dans le Connecticut. Source : Harold M. Lambert
Si l’Homme cultive depuis longtemps de très nombreuses croyances, beaucoup d’entre elles sont parentes et résultent de mouvements de populations, volontaires ou non. L’une de ces religions, la Santeria, fascine autant qu’elle effraie.Voici cet étrange culte. Pratiquée dans plusieurs pays d’Amérique centrale ou du Sud, tels que Cuba, la Colombie ou le Venezuela, la Santeria s’immisce de plus en plus au nord du nouveau continent. Désormais, à Mexico ou encore à New York, les « santeros », tels qu’on appelle les croyants de ce culte, se multiplient.
Un autel dédié à la Santeria. Aussi nommé Regla Lucumi, ou Regla de Ocha, la Santeria est le résultat d’un syncrétisme, soit un mélange d’influences. Plus précisément, ses origines remontent à plusieurs centaines d’années, sur le continent africain. Là, vit notamment le peupleYoruba, une ethnie répartie sur le Bénin, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Togo et, surtout, le Nigéria. Or, bien avant la colonisation et les conversions forcées, ces populations disposaient déjà de leurs propres croyances. Celles-ci étaient notamment basées sur l’adoration de divinités en tous genres, chacune correspondant à une force ou à un élément naturel : les orishas. Mais dès le XVIe siècle, beaucoup deYorubas furent déportés en masse vers les Caraïbes dans le cadre des « traites négrières ». Dès lors, ces populations durent adapter leur mode de vie, et notamment leur religion.
Un orisha africain Exploités comme esclaves dans un pays dont ils ignoraient tout, les Africains asservis furent aussi convertis de force au catholicisme, religion qui prévalait alors en Amérique. Mais, refusant d’abandonner complètement leurs traditions, lesYorubas concilièrent leurs anciennes croyances avec celles qu’on leur imposait. Ils attribuèrent alors aux saints catholiques une double identité, chacun correspond désormais à un orisha, avec ses pouvoirs et ses caractéristiques propres. Les noms des saints, comme leur apparence, furent eux conservés, mais les cultes évoluèrent peu à peu. Un magasin d’objets de culte à La Havane via Shutterstock Au fil du temps, et au contact de la culture latino qui se développa progressivement en Amérique centrale et du Sud, la religion yoruba muta en d’autres formes de culte. Et alors qu’auBrésil naquit le Candomblé, le Vaudou vit le jour à Haïti et la Santeria à Cuba. Dans le même temps, chaque croyance cultiva ses propres usages, conditionnée par les coutumes locales. La Santeria, pour sa part, se pratique par la musique, la divination des prêtres, des autels édifiés dans les maisons ou encore des sacrifices d’animaux lors de grands évènements, tels que les naissances, les mariages ou les enterrements. Des objets de culte de la Santeria via Shutterstock L’apparition d’un culte comme la Santeria, véritable mélange culturel et religieux, est le symbole des évolutions successives qu’ont connues les populations humaines au fil des siècles.
Le vol MS804 parti mercredi soir à 23h09 a disparu jeudi matin des écrans radar, alors qu'il venait de pénétrer l'espace aérien égyptien. 56 passagers et 10 membres d'équipage étaient à bord de l'Airbus A320. Des opérations de recherches ont été lancées.
"Aucune hypothèse ne peut être écartée", selon Manuel Valls
L'avion transportait 56 passagers Selon la compagnie égyptienne, l'avion transportait 56 passagers - dont un enfant et deux bébés - et dix membres d'équipage. Quinze Français parmi les passagers Selon Egyptair, 30 Égyptiens et 15 Français se trouvaient à bord, de même que deux Irakiens, un Britannique, un Belge, un Portugais, un Algérien, un Tchadien, un Saoudien, un Koweïtien, un Soudanais, un Canadien.
Aucun appel de détresse
L'avion a disparu alors qu'il survolait la Méditerranée
Un aspect proche de celui des tableaux des peintres impressionnistes. Il ajoute des touches de peintures colorées a ses clichés pour arriver à unrésultat entre réalité et fantastique. Le croisement entre ces deux disciplines nous montre un résultat époustouflant.
Dita Von Teese : Le Burlesque Au Temps Du Féminisme...
L' Icône Burlesque Dita Von Teese Défend Un Glamour D'une Autre Époque... Photo Fournie Par la Production Nathalie Collard La Presse
Égérie du néo-burlesque, femme d'affaires, icône de mode, Dita Von Teese a dépoussiéré le burlesque pour en faire un divertissement chic et de bon goût. À quelques jours de son spectacle à l'Olympia de Montréal, La Presse s'est entretenue avec celle qui défend un glamour d'une autre époque.
Qu'est-ce que ça signifie, faire du burlesque, en 2016? Est-ce subversif ou nostalgique ? Le burlesque a changé avec les années. Aujourd'hui, les spectacles sont plus léchés, plus élaborés, grâce entre autres à l'évolution de la technologie qui nous permet de prendre des classiques et de les pousser plus loin. Mais je dirais surtout que c'est l'auditoire qui a changé. Dans les années 30-40, le burlesque était un divertissement pour hommes qui allaient aux spectacles pour voir des femmes nues. Au cours des 15 dernières années, l'auditoire est devenu majoritairement féminin. Je dirais que 80 % de mon public est composé de femmes. Pourquoi viennent-elles vous voir ? Alors que les hommes recherchaient d'abord une excitation sexuelle, les femmes viennent chercher une façon de reprendre le pouvoir sur leur propre sexualité. Elles viennent chercher de la créativité, de la fantaisie ainsi que le côté glamour. L'esprit du burlesque est bien différent du striptease traditionnel. Il ne s'agit pas d'une femme offerte en pâture aux hommes, mais bien d'une femme en pleine possession de ses moyens, en contrôle de sa sexualité. C'est ce que les femmes apprécient. On dit que le néo-burlesque est plus politique, qu'il est ouvertement féministe. Diriez-vous que ce que vous faites est féministe ? Je ne dis pas que je suis porte-parole féministe, mais il y a quelque chose de féministe dans ce que je fais, oui. Si ce n'est que de faire la promotion de la diversité corporelle. Car dans l'univers du burlesque, on retrouve des corps de différentes tailles, des femmes d'origines ethniques et d'âges différents. On est loin des critères de beauté imposés par les médias ou des modèles uniques présentés dans les défilés de lingerie Victoria's Secret. On parle beaucoup de Beyoncé dans les médias ces jours-ci. Comme elle, vous faites la promotion d'un modèle féminin fort, en contrôle, indépendant. Diriez-vous que vous partagez quelques points communs avec elle ? Beyoncé est probablement la seule artiste populaire que j'admire. Cette femme est non seulement une grande artiste hyper talentueuse, mais elle est également d'une incroyable générosité avec les autres, comme j'ai pu le constater les fois où je l'ai côtoyée. Je dirais toutefois que son message est politiquement chargé alors que le mien ne l'est pas. Par contre, nous souhaitons toutes les deux que les femmes prennent en main leur destinée. Honnêtement, il n'y a pas d'autre artiste à qui j'aimerais être comparée. Vous présentez vos spectacles un peu partout sur la planète. Y a-t-il des différences dans l'accueil qu'on vous réserve en Chine, aux États-Unis ou en France ? Paris m'a vraiment adoptée. Je sens qu'on m'y comprend mieux, surtout grâce au Crazy Horse, qui est un lieu-culte là-bas. Aux États-Unis, c'est plus difficile. C'est étrange, car le burlesque y était très populaire dans les années 40 et 50. Mais la société américaine est devenue puritaine avec le temps. Vous vous apprêtez à donner un spectacle à Montréal, ville sur laquelle l'effeuilleuse Lili St-Cyr a régné à la fin des années 40. Que représente-t-elle pour vous ? Son approche, qui passait par le ballet, m'a beaucoup inspirée. Nous avons quelques points en commun: elle avait une collection de lingerie, et j'ai aussi lancé ma collection de lingerie. Enfin, son histoire est très intéressante: en entrevue, elle n'avait pas peur d'exprimer des idées radicales pour l'époque, comme de dire qu'elle ne voulait pas de famille et qu'elle n'aimait pas les enfants (rires). C'était une vraie artiste, une «performeuse». Ce n'est pas le genre de vie que j'aimerais pour moi, mais je l'admire beaucoup. Est-ce difficile d'incarner le glamour à l'heure de l'austérité et de la mode hipster ? Je trouve cette mode ridicule. Je ne comprends pas les gens qui sortent de chez eux mal habillés ou vêtus de leurs vêtements de gym. Ça peut paraître étrange de vouloir défendre le glamour, mais il y a un pouvoir associé à la façon dont ce style et ce mode de vie vous font sentir. Alors oui, on peut dire que je suis une évangéliste du glamour ! À L'Olympia De Montréal... Le Burlesque, C'est Quoi ? Rien à voir avec la plaisanterie ou l'humour, le burlesque est le nom que les Américains donnaient aux spectacles d'effeuilleuses de cabaret français de la fin du XIXe siècle. Ces spectacles étaient présentés dans des salles devenues cultes depuis : Les Folies Bergères, Le Moulin rouge, Le chat noir, etc. Quant au néo-burlesque , c'est un mouvement né aux États-Unis qui se veut plus politique, féministe, transgenre, et qui fait entre autres la promotion de la diversité corporelle.
Le couturier français Jean Paul Gaultier avec Dita Von Teese lors de la présentation de sa collection printemps-été 2014 à Paris.Photo Archives AFP
Dita Von Teese en cinq dates 1972: Naissance à Rochester, au Michigan 2003: Apparaît dans le clip mOBSCENE de Marilyn Manson (elle sera mariée au leader du groupe pendant un an). 2004: Ambassadrice de la marque Cointreau dans le cadre de sa campagne Be Contreauversial. On y voit Dita Von Teese assise dans une coupe à cocktail géante. Le striptease dans un verre de martini géant est d'ailleurs le numéro signature de Dita Von Teese. 2006: Lancement de son livre Burlesque and the Art of the Teese/Fetish and the Art of the Teese. Elle en publiera un autre ainsi que des collections de lingerie et de maquillage. 2016: Lancement prévu (en mars) d'un vinyle - rose, bien entendu - sur lequel on retrouvera les principales pièces musicales qu'on entend dans son spectacle, des classiques et des morceaux plus contemporains qu'elle enregistre avec ses musiciens.
Cette centrale électrique est alimentée… Par les vagues ! Une première très révolutionnaire ! Par : Axel Leclercq -23 juillet 2015 Dossier: Ce sujet fait partie de notre Dossier Energie Renouvelable.
Ça se passe en Australie et ça pourrait déferler dans le monde entier ! Avec l'énergie houlomotrice, l'uranium prend un sacré coup de vieux. Tant mieux !
Après le vent, le soleil et les cours d’eau, voici une nouvelle source d’énergie qui s’apprête à être apprivoisée par l’homme : celle des océans ! Ça se passe en Australie et c’est le dernier cri de l’énergie renouvelable. La première centrale houlomotrice du monde a vu le jour à quelques kilomètres de Perth. « Houlométrique » ? Oui, il va s’en doute falloir s’habituer à ce nouveau mot : il désigne l’énergie produite… par les vagues de la mer.
Crédit photo : Carnegie Wave Ce petit joyau expérimental a été baptisé Ceto (du même nom que la déesse grecque de la mer). Et depuis le mois de février, il fournit 5% de l’électricité nécessaire à la base navale située à quelques kilomètres de là (et la fournit aussi en eau désalinisée !). Un premier test concluant qui va permettre de passer à des quantités plus sérieuses d’ici quelques mois.
Crédit photo : Carnegie Wave Concrètement, le système est relativement simple. D’immenses bouées sont immergées sous l’eau. A chaque vague, ces bouées bougent et actionnent ainsi des pistons hydrauliques reliés à une turbine qui transforme l’énergie mécanique en énergie électrique.
Crédit photo : Carnegie Wave Ce système utilise la puissance et le mouvement des vagues pour les transformer en énergie. Les « serpents Pelamis », sont la représentation actuelle de ... Simple comme bonjour ? Sûrement. Encore fallait-il travailler sur le sujet et oser investir les montants nécessaires. Cette première centrale a coûté plus de 100 millions de dollars. Mais, à terme, l’investissement pourrait s’avérer juteux.
Crédit photo : Carnegie Wave Carnegie wave energy, qui a mis au point le procédé, a en effet déjà signé un contrat avec EDF énergies nouvelles pour installer une centrale houlomotrice près de La Réunion. D’autres projets au Canada et en Irlande sont déjà lancés. Pour l’heure, comme tout procédé nouveau, la centrale houlomotrice n’est pas encore rentable. Mais d’ici 10 ans, Carnegie wave energy prévoit un coût de production à 10cts le kw/h (à titre de comparaison, aujourd’hui, un ménage français paie 9,1 cts pour un kw/h).
Crédit photo : Carnegie Wave Il y a des jours, comme ça, où l’uranium prend un sacré coût de vieux…
par Gabriel Nardelli Araujo
Artiste portugais,Il colle des personnages de peintures célèbres dans des scènes du monde d’aujourd’hui...
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http://ma-planete.com//blog/view/id_94633/title_RAPALLO-&-PORTO.../
Opération Barbarossa, 22 juin 1941
Le 22 juin 1941, Hitler lance l’opération Barbarossa et ouvre le front de
l’Est dans l’idée d’écraser l’Union soviétique afin de se retourner
ensuite contre l’Angleterre et ce qui restait des démocraties en
lambeaux.
Cette opération, a pu être qualifiée comme parmi l’une des opérations militaires
les plus spectaculaires de l’histoire militaire,
elle faisait suite à de tortueux calculs à la fois d’Hitler et de
l’Allemagne nazie et de Staline. En effet depuis le 23 août 1939,
Staline avait signé avec l’Allemagne un pacte d’alliance, le pacte de
non-agression, qui prévoyait la liquidation commune de la Pologne,
l’occupation par les russes des Etats baltes, puis par étape la
liquidation de la Finlande et la mainmise sur la Bessarabie.
Beaucoup d’encre a coulé sur ce sujet, il n’a pas assez été dit quelle fut la
responsabilité de Staline dans le déclenchement de la guerre, sa
connivence intéressée dans l’aggravement de la situation et au final sa
responsabilité directe dans la fin tragique de tant de citoyens de
l’Union soviétique durant la guerre qui a finalement éclaté en ce 22
juin 1941. Plus tard Staline tentera d’expliquer par des artifices ses
décisions catastrophiques mais nous n’allons pas revenir en ce jour sur
des faits désormais lumineux.
La signature du pacte fut une décision consentie par Staline pour venger les échecs subit par
l’Union Soviétique durant la guerre civile russe de 1918-1922. A cette époque,
l’Armée rouge vaincue en Finlande avait dû accepter l’indépendance de ce
petit pays. Vaincue également devant Varsovie dans une offensive
racontée par Isaac Babel, la Pologne lui avait échappé, ainsi que les
Etats baltes et la Bessarabie tombée grâce au soutien des alliés et
notamment de la France entre les mains de la Roumanie, pays ayant fait
le choix des alliés durant la 1ère Guerre mondiale.
C’est pour ces raisons que Staline principalement a préféré signer un pacte lui
apportant des avantages directs offert sur un plateau par Hitler,
avantages que par ailleurs les alliés n’auraient jamais consentis à lui
donner. La Pologne écrasée et démantelée, les Etats baltes occupés, la
Roumanie contrainte à céder la Bessarabie, Staline n’échoue qu’en
Finlande où ayant sous-estimé gravement la combativité et la valeur de
la petite armée finlandaise, les Russes reçoivent durant l’hiver 39-40
une véritable correction. La Finlande est toutefois bientôt vaincue,
mais sa résistance lui permet d’avoir à céder seulement quelques
territoires face à la soif du Camarade Staline.
De son côté, Hitler n’a jamais signé ce pacte dans l’idée de faire vraiment une alliance
avec l’Union soviétique et Staline. Pour lui, les concessions faites à
l’Est ne sont que provisoires, elles lui ont apporté les mains libres à
l’Ouest, des matières premières, notamment du pétrole, du caoutchouc et
des métaux précieux pour alimenter son armée et son industrie de guerre
afin d’écraser les démocraties occidentales. Nous connaissons la suite,
la France est balayée et humiliée, la Grande Bretagne sauve les meubles
in extremis dans la bataille aérienne d’Angleterre durant l’automne et
l’hiver 1940. Les objectifs d’Hitler s’ils n’ont pas tous été atteints
sont réalisés en grande partie.
En grande partie, oui mais pas tous. La Grande Bretagne est encore debout,
l’Italie est mise en difficulté dans une campagne contre la Grèce. Hitler pour voler au
secours de son allié italien en difficulté doit changer ses plans. L’invasion en effet
de l’URSS était planifiée de longue date et dans l’esprit d’Hitler,
cette invasion devait être le véritable but de sa guerre, l’élimination
de l’ennemi bolchevique, la destruction du Peuple russe, son
asservissement et son exploitation par les Allemands. Ce plan d’invasion
se trouve dérangé par la débandade italienne de Mussolini qui en Grèce
se voit défait et même attaqué en Albanie où il est menacé.
Hitler lance alors une campagne contre la Yougoslavie et la Grèce qui sont
vaincues et occupées malgré l’intervention anglaise. Les Allemands iront
même bientôt jusqu’en Crête. Cette perte de temps, des mois de mars,
avril, mai et juin 1941, va se trouver être fatal aux plans de
domination d’Hitler. Car en Russie, des conditions climatiques dures,
une immensité des territoires, un peuple décidé et entouré de chefs
déterminés attendent l’Allemagne nazie. L’invasion est déclenchée le 22
juin 1941, avec des opérations commandos qui eurent lieu plusieurs
heures auparavant.
Cette opération, l’opération Barbarossa est soutenue non seulement par l’Armée allemande
mais par les armées de nations satellites ou humiliées par Staline dans les derniers mois.
Son manque de discernement et de prudence augmente de manière importante le
danger mortel de cette invasion, car les Roumains, les Finlandais, les
Slovaques et les Hongrois rejoignent les assaillants et fournissent des
troupes qui n’ont pas la valeur de celle des Allemands mais qui
renforcent considérablement la puissance de l’attaque, notamment en
ouvrant la Russie du Sud et en menaçant directement et gravement
Leningrad.
L’assaut allemand dans les premières heures et les premières semaines de Barbarossa
annihile les défenses russes qui sont sévèrement battus dans les premières batailles.
Mais très vite, l’âme russe va se ressaisir et Staline après quelques jours de stupeur se
révèlera un chef tenace et fédérateur. Si l’aviation soviétique
opérationnelle est pour ainsi dire détruite dans les premières semaines,
ses avions et ses pilotes se révélant bien inférieurs à ceux de leurs
adversaires, les Soviétiques opposent un matériel blindé rustique et
efficace qui posent vite de très importants problèmes aux Allemands. Les
engins blindés de l’Armée rouge s’avère en effet plus blindé, plus armé
et plus robuste que les meilleurs chars nazis. Cette découverte sera
une très mauvaise surprise pour les assaillants qui ne pouvaient avoir
raison de certains chars russes qu’avec l’aide du fameux canon de DCA de
88. Malgré la débâcle, partout les Russes se défendent bientôt avec
l’énergie du désespoir.
Cette énergie est renforcée et supportée par la conscience que les nazis viennent en Union soviétique,
en Russie, pour réduire en esclavage les peuples slaves. Même dans les pays baltes
ou en Ukraine où les Allemands peuvent trouver des soutiens, ces
derniers se comportent d’horribles manières, les populations civiles
sont menacées, oppressées, des commandos spéciaux sèment la terreur
derrière les troupes régulières de la Wehrmacht, avec la tâche
d’éliminer les « ennemis » de la race aryenne, à savoir les communistes
et les juifs. Ces violences, les assassinats, les massacres de masse,
conduisent très vite, le Peuple russe à se rassembler autour du chef
Staline et du drapeau.
Durant l’Opération Barbarossa, les pertes soviétiques notamment en tués et en prisonniers furent colossales.
Les Russes perdent en quelques semaines plusieurs millions d’hommes, une
saignée qui ne faisaient que commencer, ainsi que près de 4 millions de
prisonniers. Mais l’Opération malgré les succès sur la carte et
l’occupation des villes soviétiques les unes après les autres, va
échouer. Hitler en effet, détourne dans le cours de l’été son offensive
en direction du Sud pour détruire le saillant de Kiev et les armées
soviétiques bousculées qui se trouvaient dangereusement en l’air.
L’offensive s’empare en effet de Kiev, le gros des forces soviétiques
dans le Sud a été encerclé et détruit. Des centaines de milliers de
prisonniers ont été faits et mourront pour beaucoup dans les terribles
camps nazis.
Hitler qui a transformé le plan initial ne sait pas qu’il vient sans doute de perdre la guerre.
Car en négligeant Moscou, ilcompromet ses chances d’en finir avec une blitzkrieg qui trouve son
tombeau en Russie. L’immensité du pays impose à l’Allemagne nazie et ses
alliés une attrition des troupes très importante, une usure des
matériels sans précédent et une mobilisation énorme de toutes les
ressources. Après les succès impressionnants dans le Sud de la Russie,
l’Armée hitlérienne va échouer sur plusieurs points.
Notamment devant Leningrad, le groupe d’armée Nord privé des moyens suffisants doit se
contenter de faire un siège de la ville qui sera terrifiant pour les
Soviétiques. Au Sud, les Allemands ne peuvent réduire le bastion de
Sébastopol qu’au prix d’un rassemblement de moyens impressionnants et
coûteux, et seulement en 1942. Enfin l’offensive allemande sur Moscou
est enrayée, à la fois par l’arrivée précoce d’un hiver rigoureux
qu’Hitler n’avait bizarrement pas appréhendé, et par le transfert des
troupes sibériennes à l’Ouest, Staline ayant reçu l’assurance par son
efficace réseau d’espionnage que les Japonais n’attaqueraient pas la
Russie dans son dos.
Les Soviétiques ont eu le temps d’organiser la défense de Moscou, et de préparer
une contre-offensive qui va bousculer les troupes d’Hitler. Ayant atteint les faubourgs de Moscou, les
Allemands sont rejetés parfois à 200 kilomètres de leurs pointes les
plus avancées. Vaincus, les Allemands doivent reculer et se retrancher,
la guerre éclair a échoué, et la guerre s’enlise dans une guerre
d’usure. De fait Hitler a déjà perdu près d’un million et demi d’hommes,
tant tués que blessés, et l’essentiel de son matériel, notamment
motorisés, certaines unités divisionnaires sont réduites à l’effectif
d’un bataillon, l’hiver très froid vient aggraver la situation des
envahisseurs. L’opération Barbarossa a vécu.
La suite nous la connaissons tous, nous connaissons toutefois beaucoup moins ces heures
tragiques, des premiers mois de l’invasion, où des Soviétiques, des
Russes, se sacrifièrent pour retarder l’ennemi dans un esprit
remarquable. Staline sut imposer une discipline de fer, stopper les
fuyards en réprimant sur les arrières toutes les velléités de
faiblesses. Le non recul est finalement imposé aux forces soviétiques,
mesure désespérée, parfois payée par le prix fort du sang, dans des
charges à la baïonnette totalement surréalistes. Mais dans ces
heures-là, le Peuple soviétique, le Peuple Russe, fut oh combien
magnifique, d’héroïsme et de patriotisme. Les combattants de Koursk, de
Stalingrad ou de Berlin ont fait oublier ou négliger, ceux de la
terrible année 1941, c’est pourtant à eux que nous devons de vivre dans
un Monde libre.
Aujourd’hui célébrons dans le recueillement, la mémoire de ces innombrables vies qui furent
fauchées dans le printemps de leur vie, ne les oublions pas.
L'illustrateur Eiko Ojala mélange dessins, textures et ombres pour créer des
illustrations surprenantes. Un artiste à découvrir d'urgence !
Par : Harold paris - 17 mai 2016
Eiko Ojala est un illustrateur estonien dont le style et la technique sont particulièrement surprenants.
Avec ses créations, Eiko assemble et donne vie à des illustrations faites de papier « virtuel ».
Son procédé créatif mélange dessins, textures et ombres pour un résultat
saisissant. Pour certaines ombres complexes ou plus difficiles à
reproduire numériquement, l’artiste utilise la photographie qu’il va
ensuite incorporer dans ses créations.
Son travail a été mis à l’honneur dans de prestigieux journaux comme le New
York Times, le New Yorker, Le Monde, le Washington Post ou bien encore
Wired.
Il travaille aussi avec de grandes marques comme Air France ou HBO. EIko
Ojala, au cours de sa carrière, a aussi remporté de nombreux prix comme
le American Illustration 35 ou le Young Illustrators Award.
Voici une série d’illustrations présentant son travail et son style particulier et génial.
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Crédit photo : Eiko Ojala
Vous pouvez retrouver plus d’illustrations d’Eiko Ojala sur Behance ou sur son propre site.
19 photos historiques de l'amour en temps de guerre...
Quand un couple est séparé par un conflit, les séparations sont toujours douloureuses, et les retrouvailles... magnifiques !
Par : Axel Leclercq - 17 mai 2016
L’amour est un sentiment fort et puissant. Et quand vient le temps des conflits
et des combats, il ne faiblit pas. Au contraire : il resurgit ! Pour
s’en convaincre, il n’y a qu’à voir ces superbes photos datant pour la
plupart de la Seconde guerre mondiale…
Chacun de ces clichés montre l’instant où le soldat part au front ou revient
des combats. Des adieux déchirants… et des retrouvailles poignantes !
1963. Des soldats américains embarquent pour l’Egypte...
Source : inconnue
Septembre 1950. Départ pour la guerre de Corée.
Source : notbob1959
1945. Retour d’un soldat dans le Connecticut.
Source : Harold M. Lambert
1943. Adieux en gare de New-York.
Source : Alfred Eisenstaedt
1940. Un soldat britannique retrouve sa fiancée à Londres.
Source : inconnue
1945. Jean Morre se met à genou pour embrasser son fiancé Ralph Neppel, amputé des deux jambes.
Source : George Skadding
Juste avant que le train ne démarre.
Source : inconnue
Retour à la maison.
Source : inconnue
1945. Hyde Park. Londres.
Source : Ralph Morse
1935.
Source : E. Dean/a>
1943. Un bal dans une école militaire du Mississippi.
Source : Alfred Eisenstaedt
1937. Des soldats anglais s’apprêtent à embarquer, direction l’Egypte.
Source : Imagno
1943. Adieux dans une gare de New-York.
Source : Alfred Eisenstaedt
1943. Dans la même gare (Penn Station).
Source : Alfred Eisenstaedt
Dernier baiser.
Source : Ulstein Bild
1945. Un marin et sa belle.
Source : Hulton Archive
1945.
Source : Ralph Morse
1940.
Source : inconnue
1939. Un soldat britannique part au front.
Source : Fox Photos
Cette religion afro-caribéenne fascinante
résultent de mouvements de populations, volontaires ou non. L’une de ces religions, la Santeria, fascine autant
qu’elle effraie.Voici cet étrange culte.
Pratiquée dans plusieurs pays d’Amérique centrale ou du Sud, tels que Cuba, la Colombie ou le Venezuela, la Santeria s’immisce de plus en plus au nord du nouveau continent. Désormais, à Mexico ou encore à New York, les « santeros », tels qu’on appelle les croyants de ce culte, se multiplient.
Aussi nommé Regla Lucumi, ou Regla de Ocha, la Santeria est le résultat d’un
syncrétisme, soit un mélange d’influences. Plus précisément, ses
origines remontent à plusieurs centaines d’années, sur le continent
africain. Là, vit notamment le peupleYoruba, une ethnie répartie sur le Bénin, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Togo et, surtout, le Nigéria.
Or, bien avant la colonisation et les conversions forcées, ces populations
disposaient déjà de leurs propres croyances. Celles-ci étaient notamment
basées sur l’adoration de divinités en tous genres, chacune
correspondant à une force ou à un élément naturel : les orishas. Mais
dès le XVIe siècle, beaucoup deYorubas furent déportés en masse vers les Caraïbes dans le cadre des « traites négrières ».
Dès lors, ces populations durent adapter leur mode de vie, et notamment leur religion.
asservis furent aussi convertis de force au catholicisme, religion qui
prévalait alors en Amérique. Mais, refusant d’abandonner complètement leurs traditions, lesYorubas concilièrent leurs anciennes croyances avec celles qu’on leur imposait.
Ils attribuèrent alors aux saints catholiques une double identité, chacun
correspond désormais à un orisha, avec ses pouvoirs et ses
caractéristiques propres. Les noms des saints, comme leur apparence,
furent eux conservés, mais les cultes évoluèrent peu à peu.
Au fil du temps, et au contact de la culture latino qui se développa progressivement en Amérique centrale et du Sud,
la religion yoruba muta en d’autres formes de culte.
Et alors qu’auBrésil naquit le Candomblé, le Vaudou vit le jour à Haïti et la Santeria à Cuba.
Dans le même temps, chaque croyance cultiva ses propres usages, conditionnée
par les coutumes locales. La Santeria, pour sa part, se pratique par la
musique, la divination des prêtres, des autels édifiés dans les maisons
ou encore des sacrifices d’animaux lors de grands évènements, tels que
les naissances, les mariages ou les enterrements.
L’apparition d’un culte comme la Santeria, véritable mélange culturel et religieux,
est le symbole des évolutions successives qu’ont connues les populations
humaines au fil des siècles.
15 Français à bord
Mis à jour le 19/05/2016 à 07h59 |
Le vol MS804 parti mercredi soir à 23h09 a disparu jeudi matin des écrans radar,
alors qu'il venait de pénétrer l'espace aérien égyptien. 56 passagers et
10 membres d'équipage étaient à bord de l'Airbus A320. Des opérations
de recherches ont été lancées.
"Aucune hypothèse ne peut être écartée", selon Manuel Valls
L'avion transportait 56 passagers
Selon la compagnie égyptienne, l'avion transportait 56 passagers - dont un enfant et deux bébés - et dix membres d'équipage.
Quinze Français parmi les passagers
Selon Egyptair, 30 Égyptiens et 15 Français se trouvaient à bord, de même que
deux Irakiens, un Britannique, un Belge, un Portugais, un Algérien, un Tchadien, un Saoudien,
un Koweïtien, un Soudanais, un Canadien.
Aucun appel de détresse
L'avion a disparu alors qu'il survolait la Méditerranée
Artiste Stev’nn Hall
Un aspect proche de celui des tableaux des peintres impressionnistes. Il ajoute des touches de peintures colorées
a ses clichés pour arriver à unrésultat entre réalité et fantastique.
Le croisement entre ces deux disciplines nous montre un résultat époustouflant.
L' Icône Burlesque Dita Von Teese Défend Un Glamour D'une Autre Époque...
Photo Fournie Par la Production Nathalie Collard La Presse
Égérie du néo-burlesque, femme d'affaires, icône de mode, Dita Von Teese a
dépoussiéré le burlesque pour en faire un divertissement chic et de bon
goût. À quelques jours de son spectacle à l'Olympia de Montréal, La
Presse s'est entretenue avec celle qui défend un glamour d'une autre
époque.
Qu'est-ce que ça signifie, faire du burlesque, en 2016? Est-ce subversif ou nostalgique ?
Le burlesque a changé avec les années. Aujourd'hui, les spectacles sont
plus léchés, plus élaborés, grâce entre autres à l'évolution de la
technologie qui nous permet de prendre des classiques et de les pousser
plus loin.
Mais je dirais surtout que c'est l'auditoire qui a changé. Dans les
années 30-40, le burlesque était un divertissement pour hommes qui
allaient aux spectacles pour voir des femmes nues. Au cours des
15 dernières années, l'auditoire est devenu majoritairement féminin. Je
dirais que 80 % de mon public est composé de femmes.
Pourquoi viennent-elles vous voir ?
Alors que les hommes recherchaient d'abord une excitation sexuelle, les
femmes viennent chercher une façon de reprendre le pouvoir sur leur
propre sexualité. Elles viennent chercher de la créativité, de la
fantaisie ainsi que le côté glamour.
L'esprit du burlesque est bien différent du striptease traditionnel. Il ne
s'agit pas d'une femme offerte en pâture aux hommes, mais bien d'une
femme en pleine possession de ses moyens, en contrôle de sa sexualité.
C'est ce que les femmes apprécient.
On dit que le néo-burlesque est plus politique, qu'il est ouvertement féministe.
Diriez-vous que ce que vous faites est féministe ?
Je ne dis pas que je suis porte-parole féministe, mais il y a quelque
chose de féministe dans ce que je fais, oui. Si ce n'est que de faire la
promotion de la diversité corporelle. Car dans l'univers du burlesque,
on retrouve des corps de différentes tailles, des femmes d'origines
ethniques et d'âges différents.
On est loin des critères de beauté imposés par les médias ou des modèles
uniques présentés dans les défilés de lingerie Victoria's Secret.
On parle beaucoup de Beyoncé dans les médias ces jours-ci. Comme elle,
vous faites la promotion d'un modèle féminin fort, en contrôle,
indépendant. Diriez-vous que vous partagez quelques points communs avec
elle ?
Beyoncé est probablement la seule artiste populaire que j'admire. Cette femme
est non seulement une grande artiste hyper talentueuse, mais elle est
également d'une incroyable générosité avec les autres, comme j'ai pu le
constater les fois où je l'ai côtoyée.
Je dirais toutefois que son message est politiquement chargé alors que
le mien ne l'est pas. Par contre, nous souhaitons toutes les deux que
les femmes prennent en main leur destinée. Honnêtement, il n'y a pas
d'autre artiste à qui j'aimerais être comparée.
Vous présentez vos spectacles un peu partout sur la planète. Y a-t-il des
différences dans l'accueil qu'on vous réserve en Chine, aux États-Unis
ou en France ?
Paris m'a vraiment adoptée. Je sens qu'on m'y comprend mieux, surtout grâce
au Crazy Horse, qui est un lieu-culte là-bas. Aux États-Unis, c'est plus
difficile. C'est étrange, car le burlesque y était très populaire dans
les années 40 et 50. Mais la société américaine est devenue puritaine
avec le temps.
Vous vous apprêtez à donner un spectacle à Montréal, ville sur laquelle
l'effeuilleuse Lili St-Cyr a régné à la fin des années 40. Que
représente-t-elle pour vous ?
Son approche, qui passait par le ballet, m'a beaucoup inspirée. Nous avons
quelques points en commun: elle avait une collection de lingerie, et
j'ai aussi lancé ma collection de lingerie. Enfin, son histoire est très
intéressante: en entrevue, elle n'avait pas peur d'exprimer des idées
radicales pour l'époque, comme de dire qu'elle ne voulait pas de famille
et qu'elle n'aimait pas les enfants (rires).
C'était une vraie artiste, une «performeuse».
Ce n'est pas le genre de vie que j'aimerais pour moi, mais je l'admire beaucoup.
Est-ce difficile d'incarner le glamour à l'heure de l'austérité et de la mode hipster ?
Je trouve cette mode ridicule. Je ne comprends pas les gens qui sortent de
chez eux mal habillés ou vêtus de leurs vêtements de gym. Ça peut
paraître étrange de vouloir défendre le glamour, mais il y a un pouvoir
associé à la façon dont ce style et ce mode de vie vous font sentir.
Alors oui, on peut dire que je suis une évangéliste du glamour !
À L'Olympia De Montréal...
Le Burlesque, C'est Quoi ?
Rien à voir avec la plaisanterie ou l'humour, le burlesque est le nom que
les Américains donnaient aux spectacles d'effeuilleuses de cabaret
français de la fin du XIXe siècle.
Ces spectacles étaient présentés dans des salles devenues cultes
depuis : Les Folies Bergères, Le Moulin rouge, Le chat noir, etc.
Quant au néo-burlesque , c'est un mouvement né aux États-Unis
qui se veut plus politique, féministe, transgenre, et qui fait entre
autres la promotion de la diversité corporelle.
Le couturier français Jean Paul Gaultier avec Dita Von Teese lors de la
présentation de sa collection printemps-été 2014 à Paris.Photo Archives AFP
Dita Von Teese en cinq dates
1972: Naissance à Rochester, au Michigan
2003: Apparaît dans le clip mOBSCENE de Marilyn Manson (elle sera mariée au leader du groupe pendant un an).
2004: Ambassadrice de la marque Cointreau dans le cadre de sa campagne Be
Contreauversial. On y voit Dita Von Teese assise dans une coupe à
cocktail géante. Le striptease dans un verre de martini géant est
d'ailleurs le numéro signature de Dita Von Teese.
2006: Lancement de son livre Burlesque and the Art of the Teese/Fetish and
the Art of the Teese. Elle en publiera un autre ainsi que des
collections de lingerie et de maquillage.
2016: Lancement prévu (en mars) d'un vinyle - rose, bien entendu - sur lequel
on retrouvera les principales pièces musicales qu'on entend dans son
spectacle, des classiques et des morceaux plus contemporains qu'elle
enregistre avec ses musiciens.
Par les vagues !
Une première très révolutionnaire !
Par : Axel Leclercq -23 juillet 2015
Dossier: Ce sujet fait partie de notre Dossier Energie Renouvelable.
Ça se passe en Australie et ça pourrait déferler dans le monde entier !
Avec l'énergie houlomotrice, l'uranium prend un sacré coup de vieux.
Tant mieux !
Après le vent, le soleil et les cours d’eau, voici une nouvelle source
d’énergie qui s’apprête à être apprivoisée par l’homme : celle des
océans ! Ça se passe en Australie et c’est le dernier cri de l’énergie
renouvelable.
La première centrale houlomotrice du monde a vu le jour à quelques
kilomètres de Perth. « Houlométrique » ? Oui, il va s’en doute falloir
s’habituer à ce nouveau mot : il désigne l’énergie produite… par les
vagues de la mer.
Crédit photo : Carnegie Wave
Ce petit joyau expérimental a été baptisé Ceto (du même nom que la déesse grecque de la mer).
Et depuis le mois de février, il fournit 5% de l’électricité nécessaire à
la base navale située à quelques kilomètres de là (et la fournit aussi
en eau désalinisée !). Un premier test concluant qui va permettre de
passer à des quantités plus sérieuses d’ici quelques mois.
Crédit photo : Carnegie Wave
Concrètement, le système est relativement simple. D’immenses bouées sont immergées
sous l’eau. A chaque vague, ces bouées bougent et actionnent ainsi des
pistons hydrauliques reliés à une turbine qui transforme l’énergie
mécanique en énergie électrique.
Crédit photo : Carnegie Wave
Ce système utilise la puissance et le mouvement des vagues pour les
transformer en énergie. Les « serpents Pelamis », sont la représentation
actuelle de ...
Simple comme bonjour ? Sûrement. Encore fallait-il travailler sur le sujet et
oser investir les montants nécessaires. Cette première centrale a coûté
plus de 100 millions de dollars. Mais, à terme, l’investissement pourrait s’avérer juteux.
Crédit photo : Carnegie Wave
Carnegie wave energy, qui a mis au point le procédé, a en effet déjà signé un contrat avec EDF énergies nouvelles
pour installer une centrale houlomotrice près de La Réunion. D’autres projets au Canada et en Irlande sont déjà lancés.
Pour l’heure, comme tout procédé nouveau, la centrale houlomotrice n’est pas
encore rentable. Mais d’ici 10 ans, Carnegie wave energy prévoit un
coût de production à 10cts le kw/h (à titre de comparaison, aujourd’hui,
un ménage français paie 9,1 cts pour un kw/h).
Crédit photo : Carnegie Wave
Il y a des jours, comme ça, où l’uranium prend un sacré coût de vieux…