Le Café de la Marine du Télégramme avec Loick Peyron. Loïck Peyron est l'invité d'un Café de la Marine exceptionnel le samedi 16 Avril à la Cité de la Voile Eric Tabarly à Lorient. Le skipper baulois qui a déjà trois victoires dans la transat anglaise à son compteur s'apprête à relever un défi un peu fou dans cette transat qui s'élancera le 2 mai de Plymouth à destination de New-York. Peyron naviguera sur Pen Duick 2 qu'Eric Tabarly avait mené à la victoire dans cette transat en 1964.
Incroyable performance d’un pilote qui fait voler son avion à la verticale.
Le pilote Fabio Borges a réalisé une incroyable performance lors du 31ème Festival d’Aéromodélisme, à Gaspar au Brésil. Il a été filmé par des amateurs en train de faire voler son avion à la verticale à quelques centimètres du sol. Il a même réussi l’exploit de le faire tourner sur lui-même. Cette manœuvre qui demande une extrême maîtrise de l’avion téléguidé a été reproduite par un autre pilote durant le meeting.
Vivre dans une cabane dans les arbres ? Il l'a fait ! Par Eleonore Deveaux -19 juin 2015
Vivre dans un arbre était un rêve de gamin pour Foster Huntington. Alors il a décidé de prendre un peu de hauteur en se construisant ce petit nid douillet.
Qui n’a jamais rêvé de vivre un jour dans une cabane en haut d’un arbre ? En tout cas c’était un rêve de gamin pour Foster Huntington. Et après quelques années sur la route, il a décidé de prendre un peu de hauteur en se construisant ce petit nid douillet.
En 2011, Foster Huntington quitte son travail dans la conception chez Ralph Lauren, pour arpenter les routes américaines à bord d’un Combi Volkswagen. Pendant 3 ans, il vit la grande aventure, publie des livres de photographies, profite du grand air et devient une star d’Instagram grâce à son hashtag #vanlife. Mais en 2014, il arrête ses escapades. Il gare alors son van dans l’ouest de l’État de Washington, près de la frontière avec l’Oregon et décide de construire une cabane dans les arbres !
« J’ai toujours aimé les cabanes dans les arbres. J’ai pensé qu’il était temps d’en construire une pour un grand garçon. »
L’aventurier de 27 ans a donc rassemblé un groupe d’amis et le chantier a débuté. Et un an plus tard, le rêve de Foster est devenu réalité. La structure, sur plusieurs niveaux, est composée de deux cabanes reliées entre elles. La bande de copains a également construit une baignoire extérieure ainsi qu’une piste de skate. Baptisée Cinder Cone en raison de sa forme, l’habitation de Foster Huntington est située en plein milieu de la gorge du fleuve Columbia.
Foster Huntington travaille désormais en tant que consultant sur les médias sociaux, photographe indépendant et blogueur, le tout, depuis sa cabane !
« Je pense que c’est important de vivre dans un endroit exaltant surtout à l’ère d’Internet puisqu’on peut travailler de n’importe où. J’aurais pu acheter une maison. Mais cette situation est beaucoup mieux pour moi. C’est comme réaliser un rêve d’enfant. »
Crédit photo : Foster Huntington Durant la construction de sa cabane, il a pris des centaines de photos de l’avancement des travaux. Il les publie dans un livre, The Cinder Cone Build Book. Grâce à l’aide d’une campagne Kickstarter, ce projet a vu le jour récemment. Foster a voulu concevoir son livre afin de permettre à d’autre de construire leur cabane.
TOMATES. Après avoir fait le trou dans la terre, inclure une poignée d'orties sans les racines. Les orties font fonction d'insecticide, de fongicide, d'engrais, de traitement contre les maladies. Plus besoin de traiter vos pieds de tomates avec de la bouillie bordelaise. Votre récolte de jolis fruits sera abondante.
Peaux de bananes contre les pucerons Pour éviter ou faire fuir les pucerons, enterrer des peaux de bananes noircies sous vos plantations. Les sales bestioles en ont horreur!! Ca à été très efficace chez moi.
Persil : Mélanger les graines avec du marc de café séché, le semis sera ainsi bien répartit Semez dans de petits sillons espacés de 40 Cm, arrosez, recouvrir en tassant légèrement et plantez un rang de poireaux entre et de chaque coté des semis. Arrosez régulièrement légèrement, le semis lèvera en 20 jours Vous aurez alors des plants sains et vigoureux à profusion.
Plantes envahies par les pucerons Mettre du marc de café sur la terre de vos plantes et ou fleurs et vous verrez que les pucerons et autres insectes ne viendront plus. A renouveler toutes les 2 semaines Pour éloigner les papillons qui déposent des œufs qui deviennent chenilles, Plantez des coupes de thuyas ou de genets, l'odeur forte ainsi dégagée éloignera les papillons
MULOTS: Pour éviter que les mulots dévorent vos bulbes, vous n'avez qu’à déposer des boules à mites un peu partout dans vos plates-bandes et aussi au pied de vos arbres. Je le fait depuis plusieurs années et depuis ce temps ces petites bestioles ne dévorent plus mes bulbes ni mes arbres fruitiers, je dépose les boules a mites à l'automne juste avant que le sol ne gèle
Pour lutter contre tous les insectes nuisibles, à tous les stades de développement, de l'œuf à l'animal adulte, on employait jusqu'au 19ème siècle le jus de pomme de terre. Les plantes aspergées avec l'eau de cuisson des pommes de terre, refroidie bien entendu, pouvaient échapper aux insectes. Vous êtes sceptique ? Essayez et vous serez convaincu
Pour protéger toutes vos plantes contre les insectes, pulvérisez du savon de Marseille liquide (carolin) à raison de 10cl/ litre. Succès garanti à condition d'effectuer des pulvérisations chaque semaine
Pour préparer vos ongles aux travaux de jardinage(ou de bricolage), et éviter aux saletés de s'y loger, il suffit de griffer vos ongles dans du savon sec
Fourmies : Je confirme pour "le marc de café", qu'il s'agisse de fourmis à l'intérieur de la maison ou dans les champs. Les fourmis mangent le marc de café qui est un poison violent pour elles
Un truc imparable pour chasser les fourmis et donc les pucerons de mes rosiers : à chaque pied, disposez un demi-citron que vous aurez laissé moisir quelques jours au chaud... Renouvelez tous les 10 jours.... un truc pas cher, écologique et efficace !!! Vous pouvez gratter un morceau de craie blanche et répandre cette poudre à l'endroit où les fournis ont l'habitude de passer car elles n'apprécientpas la craie.
Les aleurodes ou mouches blanches Contre les mouches blanches et petits insectes qui dérangent nos fleurs et légumes le produit naturel miracle : du savon de Marseille dilué dans de l'eau, c'est magique et nature Contre tous les insectes Café et thé pour de belles plantes Une fois par mois, mettre un fond de café ou de thé dans l'eau d'arrosage des plantes, elles adorent !!!
Rose trémière: Recette contre la rouille, Bouillie soufrée ou lait écrémé dans neuf portions d`eau .
Chardons : Pour détruire les chardons, coupez au ras du sol et mettez dans le creux quelques grains de gros sel. Et le tour est joué
Guêpes : Pour éloigner les guêpes qui tournent autour de la table à l'extérieur, il suffit de mettre des clous de girofle sur la table
Carottes : Pour éloigner les mouches de la carotte, déposez des épluchures d'oignon en semant, Planter des pieds d'estragon près de vos routes de carottes... Fini les mouches Mélanger les graines de carottes avec du marc de café: la mouche de la carotte n'aime pas du tout Planter des oignons entre les rangs de carotte pour repousser la mouche de la carotte.
Coupez les gourmands de tomates et disposez les sur les choux le papillon(Piéride) ne distingue plus l'odeur du choux.
Contre l'altise (insecte coléoptère sauteur) qui cause des dégâts dans le potager et les vignes. Mettre des branches de sureau entre les rangs ou Planter du cresson, basilic ou de la sarriette pour l'éloigner
L'ail aime bien la présence des roses et des framboises. Il éloigne aussi certains insectes nuisibles.
Le basilic va très bien avec les tomates. Il en améliore le goût et aide à la croissance.
La camomille est bénéfique pour le jardin en général et tout particulièrement aux concombres et aux oignons.
Purin de feuilles de tomate : Faire macérer 1Kg de feuilles de tomate hachées dans 10 litres d’eau de pluie de 12 heures à 3 jours. En préventif, pulvériser cette préparation non diluée tous les 4ou 5 jours. En préventif, contre teigne du poireau ; altise, piéride du chou. En curatif contre les pucerons.
Pour éviter ou faire fuir les pucerons, enterrer des peaux de bananes noircies sous vos plantations. Les sales bestioles en ont horreur. Très efficace.
Pour éloigner les petits chats qui visitent nos jardins, étendre des graines de Cayenne.
Mélangez une cuillère de moutarde forte dans deux litres d'eau. Dans un vaporisateur et vaporisez les plantes et endroit ou vous ne voulez pas que votre chat se promène. .
Selon les lieux, les époques, les abris de plage ont pris des formes variées : Simple cabine de déshabillage, de mise à l'eau à l'abri des regards ou encore simple tente fixée tant bien que mal sur les galets dieppois.
Les gobes. Un peu d'histoire ? J'y vais ! L’histoire de Dieppe nous apprend que dès 1879, dans le cadre du programme des travaux lancé par Charles de Freycinet, ministre des Travaux Publics, des aménagements sont décidés pour relancer le port de Dieppe : c’est alors que l’on ouvre, à travers le faubourg du Pollet un chenal de 40 mètres de largeur destiné à relier l’avant-port avec le bassin de la retenue.
Pour ce faire, des rues sont supprimées : place Bourdin, rue des Trois marmots, rue aux Pitauts. D’autres, comme la rue J-A Belleteste et la Grande Rue du Pollet sont coupées. C’est ainsi que naquit « L’île du Pollet », résultat d’un quartier divisé par le chenal. M. de Hérédia, ministre des travaux publics et M. Dautresme, ministre du commerce et de l’industrie, inaugurent le pont Colbert, dit pont tournant ou grand pont le 18 juillet 1887.
En tout, plus d’une centaine de maisons sont détruites. Face à la crise du logement, ces carrières vont alors connaître une seconde utilisation : les habitants sont obligés de se reloger et les plus pauvres se retrouvent dans les gobes des falaises.
Dès 1913, une enquête a été réalisée sur les conditions de vie dans ces gobes. Cette enquête devait débouché sur la fermeture immédiate de ces " véritables terriers" et sur le relogement de ces gobiers (ainsi appelait-on les habitants de ces gobes ) dans des conditions décentes. Pourtant, certaines familles y resteront jusqu’en 1940, date à laquelle l’occupation Allemande les expulsera à nouveau.
Des gobes comme celle-ci, il y en avait quelques autres : Comme celles du Bas-Fort-Blanc.
Hier, alors que je ramassais du « bois flotté » pour en faire quelques activités manuelles avec mes petits enfants, j’ai vu un homme se diriger vers l’une d’entre elles … En 2013 … Ces gobes servent encore d’asile et de refuge à certains qui n’ont malheureusement pas d’autres choix !
En baie de Douarnenez, les fuites d'azote ont été réduites de près de 200 tonnes.
Le plan gouvernemental de lutte contre les algues vertes a permis de réduire entre 2010 et 2015 dans la baie de Douarnenez les flux d'azote dans les cours d'eau au-delà des objectifs fixés, s'est félicitée mardi la Chambre d'agriculture du Finistère. L'objectif,établi dans le cadre du volet agricole de la charte de territoire concernant cette zone, était d'atteindre une réduction des flux d'azote de 140 tonnes au cours de cette période.
"Après un gros travail de mobilisation des agriculteurs, cet objectif de 140 tonnes a été atteint et même dépassé, puisque les gains d'azote pour le volet agricole s'élèvent à 198 tonnes", indique l'organisme consulaire dans un communiqué. "On peut être dans un modèle productif et en même temps dans un modèle très efficient au niveau de l'environnement et de l'azote", a souligné à l'AFP André Sergent, président de la Chambre d'agriculture du Finistère.
Sur les 390 exploitations agricoles que compte la baie de Douarnenez, 104 ont participé, à différents niveaux, à la charte mise en place. Ce résultat positif provient notamment d'une amélioration des pratiques de fertilisation (51% des gains), mais aussi de la fermeture de nombreuses exploitations en raison notamment de la crise du secteur (35% des gains).
À l'échelle régionale, les surfaces couvertes par les algues vertes en 2015 sont supérieures à celles constatées en 2014 et 2013, note cependant la Chambre d'agriculture, qui souligne qu'elles sont toutefois quasiment inférieures de moitié à celles qui étaient constatées en 2008 et 2009.
Au-delà de cet état des lieux, les tendances peuvent varier d'une baie à l'autre, voire au sein d'une baie, d'un site à l'autre, note encore la Chambre. Le plan anti-algues, lancé en 2010 et d'un montant de 134 millions d'euros sur cinq ans, a été décliné en huit chartes de territoires spécifiques, correspondantchacune à un des secteurs côtiers les plus affectés par ce phénomène. En baie de Douarnenez, c’est 6 millions d'euros ont été investis pour l'assainissement et pour améliorer les pratiques agricoles.
Pilier de l'écosystème antarctique, le krill est un aliment de base pour plusieurs espèces animales, dont les manchots. Photo Natacha Pisarenko, Archives Environnement Changements climatiquesTout sur les changements climatiques » Roland LLoyd Parry Agence France-Presse Île Petermann
Une armée de manchots affamés se dandine sur la glace de l'Antarctique avant de plonger dans l'eau froide. Mais le krill, petites crevettes dont ils raffolent, est moins abondant qu'auparavant, en raison de la pêche et du changement climatique.
Pilier de l'écosystème antarctique, le krill est un aliment de base pour les manchots, baleines et phoques. Selon les scientifiques, il commence à se faire un peu plus rare dans la péninsule occidentale de l'Antarctique, même si la tendance n'est pas encore confirmée pour l'ensemble du continent. «Le krill est le mets incontournable de l'Antarctique, c'est une espèce clé pour tout le monde», assure Ron Naveen, qui dirige un groupe américain de recherche sur l'Antarctique, Oceanites, alors que derrière lui des manchots font entendre leur voix. Ces crevettes translucides ont absolument besoin de la glace qui les protège et leur apporte les algues nécessaires à leur alimentation et leur croissance. Or celle-ci est de plus en plus fine, notent les défenseurs de l'environnement. La péninsule occidentale de l'Antarctique s'est réchauffée de trois degrés Celsius en un demi-siècle, s'inquiètent des ONG comme le Fonds mondial pour la nature (WWF). Conséquences: «un recul du front glacier» et «des changements dans les tendances de glaciation qui ont, selon nous, un impact sur les manchots», indique Steven Chown, biologiste de l'université australienne Monash. «L'effet combiné de la hausse des températures, d'une acidité plus forte de l'océan et (...) des activités de pêche va créer une pression sur les populations de prédateurs qui se nourrissent surtout de krill», dit-il. La pêche en partie responsable Sur les glaciers bleus du continent gelé, des phoques à fourrure marron crient et se bousculent, et des baleines à bosse s'élancent au-dessus des flots, un spectacle magique pour les dizaines de touristes participant à une luxueuse excursion. Au milieu des hordes de manchots papous, on aperçoit de temps à autre un manchot Adélie, les yeux cerclés de blanc, ou un manchot à jugulaire, qui doit son nom à la ligne noire visible sur sa gorge. Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), le manchot Adélie et le krill font partie des espèces menacées par le changement climatique. Et «il se peut que la pêche du krill soit pratiquée trop près des zones de reproduction des colonies de manchots» et de celles «où les manchots se nourrissent», observe Ron Naveen. Environ 300 000 tonnes de krill sont pêchées chaque année, selon l'UICN. Le krill est ensuite transformé en nourriture pour poissons d'élevage ou intégré à des gélules d'Omega 3, un complément alimentaire qui aide notamment en cas d'articulations douloureuses. Les pêcheurs se défendent de mettre en danger cette espèce : le krill pêché ne représente que 0,5 % des 60 millions de tonnes avalées chaque année par les espèces marines de l'Antarctique, argue Cilia Indahl, responsable de la branche développement durable du groupe norvégien de pêche Aker BioMarine. Pour limiter la nuisance environnementale, l'entreprise explique faire avancer au ralenti ses navires, équipés de filets spéciaux afin d'éviter de blesser ou d'attraper d'autres espèces. «Nous faisons aussi attention aux zones où nous pêchons, pour être le moins possible là où se nourrissent d'autres animaux comme les manchots et les baleines», explique Mme Indahl. La Chine, la Russie et les autres. La pêche en Antarctique fait l'objet d'une surveillance spéciale par la Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de l'Antarctique (CCAMLR), dont les pays membres (24, plus l'Union européenne) doivent s'accorder sur des questions sensibles comme les quotas et les zones interdites. Certains pays ont proposé d'instaurer une grande zone protégée dans la mer de Ross, un endroit reculé et vierge abritant des espèces rares. La Chine a dit oui, mais la Russie, autre grande puissance de la pêche, refuse au grand dam des défenseurs de l'environnement. Selon le ministère chinois des Affaires étrangères, la Chine a donné son feu vert après avoir obtenu quelques changements pour parvenir à un meilleur équilibre «entre protection (des espèces) et usage rationnel des ressources». Le ministère de la Pêche russe a, lui, déclaré à l'AFP que le système de régulation de la pêche, supervisé par plusieurs organisations mondiales, «répond pleinement aux exigences modernes concernant la préservation de la diversité et ne nécessite pas de changement radical». La CCAMLR devrait mettre à jour sa régulation concernant la pêche du krill lors de son assemblée annuelle en octobre. «Il va y avoir une bataille pour savoir si l'on maintient ou non une partie dédiée à la pêche du krill, qui protège actuellement des prédateurs comme les manchots», relève Andrea Kavanagh, responsable des projets antarctiques au sein de l'ONG américaine The Pew Charitable Trusts. «Certains pays comme la Russie et la Chine ont dit, lors de l'assemblée l'an dernier, qu'ils ne voyaient pas le besoin» de la maintenir, déplore-t-elle, ajoutant: «Ils veulent être libres d'attraper autant de krill que possible près de la Péninsule Antarctique, y compris dans des zones très proches de colonies de manchots déjà en déclin depuis trois décennies», dit-elle. Les défenseurs de l'environnement estiment qu'un accord sur des mesures de protection sera crucial pour l'avenir de l'Antarctique, l'une des dernières régions au monde complètement sauvages. «Quand je suis ici, j'ai l'impression d'être sur la ligne de front du changement climatique», dit Ron Naveen. Sa spécialité depuis 22 ans: compter les manchots.
Voici PuiPui le lapin auto-proclamé le plus stylé du monde qui nous vient de Tokyo au Japon. Son équipe est composé d’un photographe et d’un styliste, ses propriétaires, et toutes ses tenus sont fabriquées sur mesure à la main. Ce top modèle n’hésite pas à changer de look et a un vrai talent pour poser devant l’objectif, tant et si bien qu’il a déjà plus de 27000 abonnés sur instagram (lien) PuiPui le lapin trop stylé, en images:
Loïck Peyron est l'invité d'un Café de la Marine exceptionnel le samedi 16 Avril à la Cité de la Voile Eric Tabarly à
Lorient. Le skipper baulois qui a déjà trois victoires dans la transat anglaise à son compteur s'apprête à relever un défi
un peu fou dans cette transat qui s'élancera le 2 mai de Plymouth à destination de New-York.
Peyron naviguera sur Pen Duick 2 qu'Eric Tabarly avait mené à la victoire dans cette transat en 1964.
CLIC ICI...................http://dai.ly/x45m0d5
voler son avion à la verticale.
Le pilote Fabio Borges a réalisé une incroyable performance lors du 31ème
Festival d’Aéromodélisme, à Gaspar au Brésil. Il a été filmé par des
amateurs en train de faire voler son avion à la verticale à quelques
centimètres du sol.
Il a même réussi l’exploit de le faire tourner sur lui-même. Cette
manœuvre qui demande une extrême maîtrise de l’avion téléguidé a été
reproduite par un autre pilote durant le meeting.
Le Gange n’est pas un simple fleuve, c’est le plus sacré de tous les fleuves revêtant un caractère divin.
CLIC ICI........http://dai.ly/x47mme6
Par Eleonore Deveaux -19 juin 2015
Vivre dans un arbre était un rêve de gamin pour Foster Huntington. Alors il a
décidé de prendre un peu de hauteur en se construisant ce petit nid
douillet.
Qui n’a jamais rêvé de vivre un jour dans une cabane en haut d’un arbre ?
En tout cas c’était un rêve de gamin pour Foster Huntington. Et après
quelques années sur la route, il a décidé de prendre un peu de hauteur
en se construisant ce petit nid douillet.
En 2011, Foster Huntington quitte son travail dans la conception chez
Ralph Lauren, pour arpenter les routes américaines à bord d’un Combi
Volkswagen. Pendant 3 ans, il vit la grande aventure, publie des livres
de photographies, profite du grand air et devient une star d’Instagram
grâce à son hashtag #vanlife.
Mais en 2014, il arrête ses escapades. Il gare alors son van dans l’ouest de
l’État de Washington, près de la frontière avec l’Oregon et décide de
construire une cabane dans les arbres !
Crédit photo : Foster Huntington
L’aventurier de 27 ans a donc rassemblé un groupe d’amis et le chantier a débuté. Et
un an plus tard, le rêve de Foster est devenu réalité. La structure,
sur plusieurs niveaux, est composée de deux cabanes reliées entre elles.
La bande de copains a également construit une baignoire extérieure ainsi
qu’une piste de skate. Baptisée Cinder Cone en raison de sa forme,
l’habitation de Foster Huntington est située en plein milieu de la gorge
du fleuve Columbia.
Crédit photo : Foster Huntington
Foster Huntington travaille désormais en tant que consultant sur les médias
sociaux, photographe indépendant et blogueur, le tout, depuis sa cabane !
Crédit photo : Foster Huntington
Durant la construction de sa cabane, il a pris des centaines de photos de
l’avancement des travaux. Il les publie dans un livre, The Cinder Cone
Build Book.
Grâce à l’aide d’une campagne Kickstarter, ce projet a vu le jour récemment.
Foster a voulu concevoir son livre afin de permettre à d’autre de construire leur cabane.
Crédit photo : Foster Huntington
Crédit photo : Foster Huntington
Crédit photo : Foster Huntington
Crédit photo : Foster Huntington
Crédit photo : Foster Huntington
Ci-dessous, les vidéos de réalisation des cabanes...
La réalisation de ces cabanes est impressionnante et le résultat, simplement magnifique !
Proposé par : jeanjean94
Pour éviter l’apport d’engrais chimique et de pesticides, associez les plantes qui vont se compléter : sachez par exemple que l’ail, l’oignon ou encore l’échalote ralentissent le développement des légumineuses comme les haricots et les pois. Même chose pour les choux qui contrarient la croissance des fraisiers et le fenouil les carottes. Traditionnellement, les carottes se plantent à côté des poireaux, des oignons et de la coriandre, les tomates se plantent à proximité des oignons, les haricots à côté des radis. Les soucis tiendront éloignés les insectes des carottes, des choux et des laitues tandis que les œillets d’inde avec leurs odeurs particulières éloigneront les nuisibles des tomates
TOMATES.
Après avoir fait le trou dans la terre, inclure une poignée d'orties sans les
racines. Les orties font fonction d'insecticide, de fongicide,
d'engrais, de traitement contre les maladies. Plus besoin de traiter vos
pieds de tomates avec de la bouillie bordelaise. Votre récolte de jolis
fruits sera abondante.
Peaux de bananes contre les pucerons
Pour éviter ou faire fuir les pucerons, enterrer des peaux de bananes
noircies sous vos plantations. Les sales bestioles en ont horreur!! Ca à
été très efficace chez moi.
Persil :
Mélanger les graines avec du marc de café séché, le semis sera ainsi
bien répartit Semez dans de petits sillons espacés de 40 Cm, arrosez,
recouvrir en tassant légèrement et plantez un rang de poireaux entre et
de chaque coté des semis.
Arrosez régulièrement légèrement, le semis lèvera en 20 jours Vous aurez alors des plants sains et vigoureux à profusion.
Plantes envahies par les pucerons
Mettre du marc de café sur la terre de vos plantes et ou fleurs et vous verrez
que les pucerons et autres insectes ne viendront plus.
A renouveler toutes les 2 semaines
Pour éloigner les papillons qui déposent des œufs qui deviennent chenilles,
Plantez des coupes de thuyas ou de genets, l'odeur forte ainsi dégagée
éloignera les papillons
MULOTS :
Pour éviter que les mulots dévorent vos bulbes, vous n'avez qu’à
déposer des boules à mites un peu partout dans vos plates-bandes et
aussi au pied de vos arbres. Je le fait depuis plusieurs années et
depuis ce temps ces petites bestioles ne dévorent plus mes bulbes ni mes
arbres fruitiers, je dépose les boules a mites à l'automne juste avant
que le sol ne gèle
Pour lutter contre tous les insectes nuisibles, à tous les stades de développement,
de l'œuf à l'animal adulte, on employait jusqu'au 19ème siècle le jus de pomme de terre.
Les plantes aspergées avec l'eau de cuisson des pommes de terre, refroidie bien
entendu, pouvaient échapper aux insectes. Vous êtes sceptique ? Essayez
et vous serez convaincu
Pour protéger toutes vos plantes contre les insectes, pulvérisez du savon de
Marseille liquide (carolin) à raison de 10cl/ litre. Succès garanti à
condition d'effectuer des pulvérisations chaque semaine
Pour préparer vos ongles aux travaux de jardinage(ou de bricolage), et
éviter aux saletés de s'y loger, il suffit de griffer vos ongles dans du
savon sec
Fourmies :
Je confirme pour "le marc de café", qu'il s'agisse de fourmis à
l'intérieur de la maison ou dans les champs. Les fourmis mangent le marc
de café qui est un poison violent pour elles
Un truc imparable pour chasser les fourmis et donc les pucerons de mes rosiers : à chaque pied, disposez un demi-citron que vous aurez laissé moisir quelques jours au chaud...
Renouvelez tous les 10 jours.... un truc pas cher, écologique et efficace !!!
Vous pouvez gratter un morceau de craie blanche et répandre cette poudre à
l'endroit où les fournis ont l'habitude de passer car elles n'apprécientpas la craie.
Les aleurodes ou mouches blanches
Contre les mouches blanches et petits insectes qui dérangent nos fleurs et légumes le produit naturel miracle : du savon de Marseille dilué dans de l'eau, c'est magique et nature Contre tous les insectes
Café et thé pour de belles plantes Une fois par mois, mettre un fond de café ou de thé dans l'eau d'arrosage des plantes, elles adorent !!!
Rose trémière:
Recette contre la rouille, Bouillie soufrée ou lait écrémé dans neuf portions d`eau .
Chardons :
Pour détruire les chardons, coupez au ras du sol et mettez dans le creux quelques grains de gros sel. Et le tour est joué
Guêpes :
Pour éloigner les guêpes qui tournent autour de la table à l'extérieur, il suffit de mettre des clous de girofle sur la table
Carottes :
Pour éloigner les mouches de la carotte, déposez des épluchures d'oignon en semant,
Planter des pieds d'estragon près de vos routes de carottes... Fini les mouches
Mélanger les graines de carottes avec du marc de café: la mouche de la carotte n'aime pas du tout
Planter des oignons entre les rangs de carotte pour repousser la mouche de la carotte.
Coupez les gourmands de tomates et disposez les sur les choux le papillon(Piéride) ne distingue plus l'odeur du choux.
Contre l'altise (insecte coléoptère sauteur) qui cause des dégâts dans le potager et les vignes.
Mettre des branches de sureau entre les rangs ou Planter du cresson, basilic ou de la sarriette pour l'éloigner
L'ail aime bien la présence des roses et des framboises. Il éloigne aussi certains insectes nuisibles.
Le basilic va très bien avec les tomates. Il en améliore le goût et aide à la croissance.
La camomille est bénéfique pour le jardin en général et tout particulièrement aux concombres et aux oignons.
Purin de feuilles de tomate :
Faire macérer 1Kg de feuilles de tomate hachées dans 10 litres d’eau de
pluie de 12 heures à 3 jours. En préventif, pulvériser cette
préparation non diluée tous les 4ou 5 jours. En préventif, contre teigne
du poireau ; altise, piéride du chou. En curatif contre les pucerons.
Pour éviter ou faire fuir les pucerons, enterrer des peaux de bananes noircies sous vos plantations. Les sales bestioles en ont horreur. Très efficace.
Pour éloigner les petits chats qui visitent nos jardins, étendre des graines de Cayenne.
Mélangez une cuillère de moutarde forte dans deux litres d'eau. Dans un vaporisateur et vaporisez les plantes et endroit ou vous ne voulez pas que votre chat se promène.
.
Tentes et cabines de plage.
Selon les lieux, les époques, les abris de plage ont pris des formes variées :
Simple cabine de déshabillage, de mise à l'eau à l'abri des regards ou encore
simple tente fixée tant bien que mal sur les galets dieppois.
Un peu d'histoire ? J'y vais !
L’histoire de Dieppe nous apprend que dès 1879, dans le cadre du programme des
travaux lancé par Charles de Freycinet, ministre des Travaux Publics,
des aménagements sont décidés pour relancer le port de Dieppe : c’est
alors que l’on ouvre, à travers le faubourg du Pollet un chenal de 40
mètres de largeur destiné à relier l’avant-port avec le bassin de la retenue.
Pour ce faire, des rues sont supprimées : place Bourdin, rue des Trois marmots, rue aux Pitauts.
D’autres, comme la rue J-A Belleteste et la Grande Rue du Pollet sont coupées. C’est ainsi que
naquit « L’île du Pollet », résultat d’un quartier divisé par le chenal.
M. de Hérédia, ministre des travaux publics et M. Dautresme, ministre
du commerce et de l’industrie, inaugurent le pont Colbert, dit pont
tournant ou grand pont le 18 juillet 1887.
En tout, plus d’une centaine de maisons sont détruites. Face à la crise du logement, ces
carrières vont alors connaître une seconde utilisation : les habitants
sont obligés de se reloger et les plus pauvres se retrouvent dans les
gobes des falaises.
Dès 1913, une enquête a été réalisée sur les conditions de vie dans ces gobes.
Cette enquête devait débouché sur la fermeture immédiate de ces " véritables terriers" et
sur le relogement de ces gobiers (ainsi appelait-on les habitants de ces gobes ) dans des
conditions décentes. Pourtant, certaines familles y resteront jusqu’en
1940, date à laquelle l’occupation Allemande les expulsera à nouveau.
Des gobes comme celle-ci, il y en avait quelques autres : Comme celles du Bas-Fort-Blanc.
Hier, alors que je ramassais du « bois flotté » pour en faire quelques
activités manuelles avec mes petits enfants, j’ai vu un homme se diriger
vers l’une d’entre elles … En 2013 … Ces gobes servent encore d’asile
et de refuge à certains qui n’ont malheureusement pas d’autres choix !
Les gobes
Les premiers résultats du plan de lutte contre les algues vertes en Baie de Douarnenez font part d'une nette baisse
des quantités d'azote rejetées par les cours d'eau. Un bilan positif qui n'est pas dû qu'au seul volontarisme des agriculteurs...
©Valerian Morzadec
En baie de Douarnenez, les fuites d'azote ont été réduites de près de 200 tonnes.
Le plan gouvernemental de lutte contre les algues vertes a permis de réduire entre 2010 et 2015 dans la baie de Douarnenez les flux d'azote dans les cours d'eau au-delà des objectifs fixés, s'est félicitée mardi la Chambre d'agriculture
du Finistère. L'objectif,établi dans le cadre du volet agricole de la charte de territoire concernant cette zone, était d'atteindre une réduction des flux d'azote de 140 tonnes au cours de cette période.
"Après un gros travail de mobilisation des agriculteurs, cet objectif de 140 tonnes a été atteint et même dépassé, puisque les gains
d'azote pour le volet agricole s'élèvent à 198 tonnes", indique l'organisme consulaire dans un communiqué. "On peut être dans un modèle productif et en même temps dans un modèle très efficient au niveau de l'environnement et de l'azote", a souligné à l'AFP André Sergent, président de la Chambre d'agriculture du Finistère.
Sur les 390 exploitations agricoles que compte la baie de Douarnenez, 104 ont participé, à différents niveaux, à la charte mise en place. Ce résultat positif provient notamment d'une amélioration des pratiques de fertilisation (51% des gains), mais aussi de la fermeture de nombreuses exploitations en raison notamment de la crise du secteur (35% des gains).
À l'échelle régionale, les surfaces couvertes par les algues vertes en 2015 sont supérieures à celles constatées en
2014 et 2013, note cependant la Chambre d'agriculture, qui souligne qu'elles sont toutefois quasiment inférieures de moitié à celles qui étaient constatées en 2008 et 2009.
Au-delà de cet état des lieux, les tendances peuvent varier d'une baie à l'autre, voire au sein d'une baie, d'un site à l'autre, note encore la Chambre.
Le plan anti-algues, lancé en 2010 et d'un montant de 134 millions d'euros sur cinq ans, a été décliné en huit chartes de territoires spécifiques, correspondantchacune à un des secteurs côtiers les plus affectés par ce phénomène.
En baie de Douarnenez, c’est 6 millions d'euros ont été investis pour l'assainissement et pour améliorer les pratiques agricoles.
Pilier de l'écosystème antarctique, le krill est un aliment de base pour plusieurs espèces animales,
dont les manchots.
Photo Natacha Pisarenko, Archives
Environnement
Changements climatiques Tout sur les changements climatiques »
Roland LLoyd Parry Agence France-Presse Île Petermann
Une armée de manchots affamés se dandine sur la glace de l'Antarctique
avant de plonger dans l'eau froide. Mais le krill, petites crevettes
dont ils raffolent, est moins abondant qu'auparavant, en raison de la
pêche et du changement climatique.
Pilier de l'écosystème antarctique, le krill est un aliment de base pour les
manchots, baleines et phoques. Selon les scientifiques, il commence à se
faire un peu plus rare dans la péninsule occidentale de l'Antarctique,
même si la tendance n'est pas encore confirmée pour l'ensemble du
continent.
«Le krill est le mets incontournable de l'Antarctique, c'est une espèce clé
pour tout le monde», assure Ron Naveen, qui dirige un groupe américain
de recherche sur l'Antarctique, Oceanites, alors que derrière lui des
manchots font entendre leur voix.
Ces crevettes translucides ont absolument besoin de la glace qui les
protège et leur apporte les algues nécessaires à leur alimentation et
leur croissance. Or celle-ci est de plus en plus fine, notent les
défenseurs de l'environnement.
La péninsule occidentale de l'Antarctique s'est réchauffée de trois degrés
Celsius en un demi-siècle, s'inquiètent des ONG comme le Fonds mondial
pour la nature (WWF).
Conséquences: «un recul du front glacier» et «des changements dans les tendances de
glaciation qui ont, selon nous, un impact sur les manchots», indique
Steven Chown, biologiste de l'université australienne Monash.
«L'effet combiné de la hausse des températures, d'une acidité plus forte de
l'océan et (...) des activités de pêche va créer une pression sur les
populations de prédateurs qui se nourrissent surtout de krill», dit-il.
La pêche en partie responsable
Sur les glaciers bleus du continent gelé, des phoques à fourrure marron
crient et se bousculent, et des baleines à bosse s'élancent au-dessus
des flots, un spectacle magique pour les dizaines de touristes
participant à une luxueuse excursion.
Au milieu des hordes de manchots papous, on aperçoit de temps à autre un
manchot Adélie, les yeux cerclés de blanc, ou un manchot à jugulaire,
qui doit son nom à la ligne noire visible sur sa gorge.
Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), le
manchot Adélie et le krill font partie des espèces menacées par le
changement climatique.
Et «il se peut que la pêche du krill soit pratiquée trop près des zones de
reproduction des colonies de manchots» et de celles «où les manchots se
nourrissent», observe Ron Naveen.
Environ 300 000 tonnes de krill sont pêchées chaque année, selon l'UICN. Le
krill est ensuite transformé en nourriture pour poissons d'élevage ou
intégré à des gélules d'Omega 3, un complément alimentaire qui aide
notamment en cas d'articulations douloureuses.
Les pêcheurs se défendent de mettre en danger cette espèce : le krill pêché
ne représente que 0,5 % des 60 millions de tonnes avalées chaque année
par les espèces marines de l'Antarctique, argue Cilia Indahl,
responsable de la branche développement durable du groupe norvégien de
pêche Aker BioMarine.
Pour limiter la nuisance environnementale, l'entreprise explique faire
avancer au ralenti ses navires, équipés de filets spéciaux afin d'éviter
de blesser ou d'attraper d'autres espèces.
«Nous faisons aussi attention aux zones où nous pêchons, pour être le moins
possible là où se nourrissent d'autres animaux comme les manchots et les
baleines», explique Mme Indahl.
La Chine, la Russie et les autres.
La pêche en Antarctique fait l'objet d'une surveillance spéciale par la
Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de
l'Antarctique (CCAMLR), dont les pays membres (24, plus l'Union
européenne) doivent s'accorder sur des questions sensibles comme les
quotas et les zones interdites.
Certains pays ont proposé d'instaurer une grande zone protégée dans la mer de
Ross, un endroit reculé et vierge abritant des espèces rares. La Chine a
dit oui, mais la Russie, autre grande puissance de la pêche, refuse au
grand dam des défenseurs de l'environnement.
Selon le ministère chinois des Affaires étrangères, la Chine a donné son feu
vert après avoir obtenu quelques changements pour parvenir à un meilleur
équilibre «entre protection (des espèces) et usage rationnel des
ressources».
Le ministère de la Pêche russe a, lui, déclaré à l'AFP que le système de
régulation de la pêche, supervisé par plusieurs organisations mondiales,
«répond pleinement aux exigences modernes concernant la préservation de
la diversité et ne nécessite pas de changement radical».
La CCAMLR devrait mettre à jour sa régulation concernant la pêche du krill
lors de son assemblée annuelle en octobre.
«Il va y avoir une bataille pour savoir si l'on maintient ou non une partie
dédiée à la pêche du krill, qui protège actuellement des prédateurs
comme les manchots», relève Andrea Kavanagh, responsable des projets
antarctiques au sein de l'ONG américaine The Pew Charitable Trusts.
«Certains pays comme la Russie et la Chine ont dit, lors de l'assemblée l'an
dernier, qu'ils ne voyaient pas le besoin» de la maintenir,
déplore-t-elle, ajoutant: «Ils veulent être libres d'attraper autant de
krill que possible près de la Péninsule Antarctique, y compris dans des
zones très proches de colonies de manchots déjà en déclin depuis trois
décennies», dit-elle.
Les défenseurs de l'environnement estiment qu'un accord sur des mesures de
protection sera crucial pour l'avenir de l'Antarctique, l'une des
dernières régions au monde complètement sauvages.
«Quand je suis ici, j'ai l'impression d'être sur la ligne de front du changement climatique», dit Ron Naveen.
Sa spécialité depuis 22 ans: compter les manchots.
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