Six Femmes Scientifiques Privées De Nobel En Raison De Leur Sexe !
Si les femmes nobélisées sont si rares, c'est surtout parce que les hommes ont pris la très mauvaise habitude de s'approprier leurs découvertes ! La preuve... Par : Axel Leclerck 30 mars 2016
Pour nous convaincre que la science est histoire d’hommes... Les machos de mauvaise foi (et c’est un pléonasme) se plaisent à nous rappeler que les prix nobels féminins ne courent pas les rues. Ils ont raison… mais on ne peut pas les laisser dire ! Car si les femmes nobélisées sont si rares c’est surtout parce que les hommes ont pris la très mauvaise habitude de s’approprier injustement leurs découvertes ! La preuve. Il y a trois ans, le National Geographic a recensé six exemples historiques et frappants de femmes scientifiques qui se sont fait voler le fruit de leurs recherches par leurs collègues masculins. Elles auraient dû avoir le prix Nobel mais, au final, on ne se rappelle même plus de leur nom ! Il est temps de rendre à César ce qui appartient à César et de réhabiliter ces femmes qui ont contribué aux progrès de notre monde.
6- Jocelyn Bell Burnell (1943-…) Crédit photo : Wikipedia En 1967, Jocelyn Bell Burnell est étudiante à l’université de Cambridge quand elle découvre le premier pulsar (un objet astronomique émettant un fort rayonnement électromagnétique). Seulement voilà, en 1974, prétextant le fait que Jocelyn Bell Burnell n’était alors qu’une élève de l’école, le comité Nobel a préféré décerner le prix… à son directeur de thèse ! Déjà, à l’époque, personne n’était dupe des véritables raisons de ce choix scandaleux !
5- Esther Lederberg (1922-2006) Crédit photo : Wikipedia Esther Lederberg a longtemps travaillé sur la reproduction des bactéries en compagnie de son premier mari, Joshua Lerderberg. Et quand ces recherches ont abouti, devinez qui a eu le Nobel ? Joshua, bien sûr ! C’était en 1958.
4- Chien-Shiung Wu (1912-1997) Source : The Jade Times Née en Chine, cette physicienne brillante (l’une des meilleures de son époque selon ses pairs) a été recrutée par l’université américaine de Columbia en 1940. Grande spécialiste du nucléaire, dans les années 50, elle a clairement contribué au travail sur la « parité des interactions faibles » mené par Tsung-Dao Lee et Chen Nin Yang. Résultats : Yang et Lee ont eu le Nobel… et pas Wu ! Une décision que personne ne sait encore justifier à ce jour ???
3- Lise Meitner (1878-1968) Crédit photo : Wikipedia En 1938, Lise Meitner découvre la fission nucléaire. N’importe quel homme ayant fait une telle découverte aurait eu droit à son Nobel. Seulement voilà, non seulement Lise Meitener était une femme mais, en plus, autrichienne et juive ! Et à l’époque, récompenser une femme juive autrichienne était impensable. Du coup, c’est son collègue, Otto Hahn, qui a décroché tous les lauriers, notamment le Nobel de Chimie en 1944 ???
2- Rosalind Franklin (1920-1958) Crédit photo : Wikipedia Rosalin Franklin a révolutionné la biologie en passant l’ADN au rayon X. Mais, là encore, ses collègues ont raflé les récompenses. Rosalin Franklin est en effet décédée à l’âge de 37 ans des suites d’un cancer des ovaires, probable conséquence de son exposition aux rayons X... Et, quatre ans plus tard, James Watson, Francis Crick et Maurice Wilkins recevaient le Nobel pour leur travail sur la structure de l’ADN…????
1- Nettie Stevens (1861-1912) Crédit photo : Wikipedia En 1905, Nettie Stevens, assistante de Thomas Hunt Morgan, découvre que le sexe d’un enfant est déterminé par ses chromosomes. Pas mal comme découverte n’est-ce pas ? Il a fallu un peu de temps à l’académie Nobel pour valider ces recherches mais, en 1933, pour récompenser son travail sur le chromosome et l’hérédité, elle décidé enfin de récompenser… Thomas Hunt Morgan ! On ne va quand même pas féliciter la femme assistante quand on peut célébrer l’homme patron hein ? Oui, c’est scandaleux. Une galerie de portraits qui en dit long sur le parcours du combattant qu’a dû affronter Marie Curie. Heureusement, les temps changent. Doucement, mais ils changent ! Quoi qu’il en soit, il serait temps que ces six femmes décrochent enfin toute la lumière qu’elle mérite !!!
Produits dangereux : le "made in China" toujours en cause Gabriel Gresillon / Correspondant à Bruxelles |Le 25/04 à 13:37
Les produits textiles ou de mode sont souvent visés par des alertes sur leur dangerosité - SIPA
Les produits les plus dangereux sont en priorité les jouets, suivi du textile et de la mode. La Chine, toujours la Chine. En pleine période de négociations sur la possible accession de la Chine au statut d’économie de marché, l’Europe ne veut pas froisser Pékin. Elle n’a donc pas trop insisté, lundi, lors de la présentation de son rapport sur la sécurité des produits non alimentaires sur le continent, sur la provenance des principales importations dangereuses.
Dans son rapport, il faut lire plusieurs statistiques avant de trouver celle-ci : 62% des produits qui ont été notifiés comme "dangereux" dans l’Union européenne provenaient, en 2015, de la deuxième économie mondiale. La Commission européenne rappelle que la Chine est la première source d’importations de l’Union européenne, ce qui peut expliquer la forte représentation de la Chine dans ce classement. Elle met également en avant la coopération avec les autorités chinoises pour tenter d’enrayer le phénomène : chaque notification d’un produit dangereux est transmise à ces dernières. Selon Bruxelles, depuis le lancement de cette coopération, Pékin aurait effectué un suivi sur 11.540 dossiers, et aurait pris des mesures correctives dans 3.748 cas. La traçabilité, précise la Commission, est bien souvent le problème principal. Vera Jourova, la commissaire en charge de la protection des consommateurs, a ajouté qu’elle se rendrait en Chine en juin pour aborder le sujet. Le danger du commerce en ligneEn 2015, l’Union européenne a reçu 2.072 alertes sur des produits non alimentaires dangereux. Il s’agissait, dans 27% des cas, de jouets, puis, pour 17%, de produits textiles ou de mode. Ces deux types de produits étaient déjà en haut du classement en 2014. Ce sont les risques chimiques qui ont été les plus fréquents (25% des cas), suivis des risques de blessures (22%). En matière chimique, les jouets sont au premier rang, avec notamment l’utilisation de phtalates dans les plastiques, des substances qui peuvent créer des problèmes de fertilité. Mais les bijoux sont également concernés : l’utilisation de métaux lourds, comme le nickel ou le plomb, a parfois été détectée. Ces statistiques sont le résultat de la mise en œuvre, depuis 2003, d’un système baptisé « Rapid Alert ». Celui-ci permet le partage, au niveau européen, de toutes les informations relatives à des produits non alimentaires considérés comme dangereux par un Etat membre. L’exécutif européen le présente comme un exemple de ce que la collaboration européenne peut apporter de positif aux citoyens du continent. Mais les nouveaux modes de consommation risquent d’accentuer les risques : l’explosion du commerce en ligne permet d’apporter directement chez le consommateur une quantité croissante de produits en provenance de l’étranger, dont tous n’ont pas nécessairement suivi les tests de qualité requis. @GGresillon
Un moteur dans le vélo Thierry Vildary propose une enquête exlusive sur la problématique des moteurs cachés dans les vélos des cyclistes professionnels , véritable technique de « dopage technologique » qui fait de plus de bruit et soulève de nombreuses interrogation .
Alaska: une impressionnante cabane de 55 mètres de haut.
- Un homme a construit une demeure qui représente un ensemble de maisons empilées les unes sur les autres. Une cabane proche des nuages. Phillip Weidner, avocat, est également un bricoleur et un architecte durant ses heures de repos. Dans une vidéo intitulée A house that touches the sky (Une maison qui touche le ciel), publiée par Great Big Story, un réseau de vidéos, il revient sur son ingénieuse invention, qui porte le nom de Goose Creek Tower, installée à Talkeetna, en Alaska. Il a décidé de la créer au cœur de la nature et son accès s'effectue en motoneige. Tout en bois, la cabane, qui a nécessité plusieurs années de travail, mesure pas moins de 55 mètres de haut, soit environ l'équivalent de quinze étages. Il a dû s'arrêter à ce niveau en raison de l'espace aérien fédéral qui commence à 60 mètres. Sa forme originale, qui ressemble à un ensemble de maisons construites les unes sur les autres, en fait une attraction touristique des plus incongrues, ressemblant légèrement au jeu de société d'agilité et d'adresse Jenga, dont le but est de placer des rectangles en bois les uns sur les autres pour former la tour la plus haute. Elle offre ainsi une vue à 360 degrés sur la forêt, à plus de 480 kilomètres alentours, d'après les estimations de son créateur. Selon le site Oddity Central, Phillip Weidner l'aurait construite à la suite d'un incendie, de plain-pied, d'une surperficie de douze mètres de largeur sur douze mètres de longueur. Mais la nature reprenant ses droits, les arbres auraient poussé, ce qui aurait incité Weidner à tenter de construite davantage d'étages pour continuer à avoir une vue dégagée. Reste dorénavant à installer des fenêtres et à aménager l'intérieur...
Pour son livre Feathers: Displays of Brilliant Plumage le photographe Robert Clark a réalisé des images qui mettent en valeur les caractéristiques uniques avec leurs couleurs, leurs reflets et leurs structures des plumes de plein d’oiseaux différents.
Imaginé par les architectes suisses Herzog & De Meuron. Destiné à accueillir des concerts de musique classique, le bâtiment est resté près de 10 ans en travaux, pour cause notamment du coût élevé qui s’est longtemps accru.
Sur des glaciers de haute altitude, tels que ceux dans les montagnes des Andes, où l'air est sec, la neige peut se transformer en lames étroites spectaculaires de la glace jusqu'à plusieurs mètres de haut. Ils sont appelés Nieves Penitentes ou simplement Penitentes. Ils prennent la forme de lames minces de grande taille de neige ou de glace durcie rapprochées avec les lames orientées vers la direction générale du soleil. Ils forment habituellement en grappes et vont de quelques centimètres à 2 mètres, mais penitentes aussi élevées que 5 mètres a été enregistrée. Ils se développent en général au dessus de 4000mètres.
Pénitents de neige peuvent être l' enfer si vous avez à les traverser.
En Raison De Leur Sexe !
Si les femmes nobélisées sont si rares, c'est surtout parce que les hommes
ont pris la très mauvaise habitude de s'approprier leurs découvertes !
La preuve...
Par : Axel Leclerck 30 mars 2016
Pour nous convaincre que la science est histoire d’hommes...
Les machos de mauvaise foi (et c’est un pléonasme) se plaisent à nous
rappeler que les prix nobels féminins ne courent pas les rues.
Ils ont raison… mais on ne peut pas les laisser dire !
Car si les femmes nobélisées sont si rares c’est surtout parce que les
hommes ont pris la très mauvaise habitude de s’approprier injustement
leurs découvertes ! La preuve.
Il y a trois ans, le National Geographic a recensé six exemples historiques et frappants
de femmes scientifiques qui se sont fait voler le fruit de leurs recherches par leurs collègues masculins.
Elles auraient dû avoir le prix Nobel mais, au final, on ne se rappelle même
plus de leur nom ! Il est temps de rendre à César ce qui appartient à
César et de réhabiliter ces femmes qui ont contribué aux progrès de
notre monde.
6- Jocelyn Bell Burnell (1943-…)
Crédit photo : Wikipedia
En 1967, Jocelyn Bell Burnell est étudiante à l’université de Cambridge
quand elle découvre le premier pulsar (un objet astronomique émettant un
fort rayonnement électromagnétique). Seulement voilà, en 1974,
prétextant le fait que Jocelyn Bell Burnell n’était alors qu’une élève
de l’école, le comité Nobel a préféré décerner le prix… à son directeur
de thèse !
Déjà, à l’époque, personne n’était dupe des véritables raisons de ce choix scandaleux !
5- Esther Lederberg (1922-2006)
Crédit photo : Wikipedia
Esther Lederberg a longtemps travaillé sur la reproduction des bactéries en compagnie
de son premier mari, Joshua Lerderberg.
Et quand ces recherches ont abouti, devinez qui a eu le Nobel ? Joshua, bien sûr ! C’était en 1958.
4- Chien-Shiung Wu (1912-1997)
Source : The Jade Times
Née en Chine, cette physicienne brillante (l’une des meilleures de son
époque selon ses pairs) a été recrutée par l’université américaine de
Columbia en 1940. Grande spécialiste du nucléaire, dans les années 50,
elle a clairement contribué au travail sur la « parité des interactions
faibles » mené par Tsung-Dao Lee et Chen Nin Yang. Résultats : Yang et
Lee ont eu le Nobel… et pas Wu !
Une décision que personne ne sait encore justifier à ce jour ???
3- Lise Meitner (1878-1968)
Crédit photo : Wikipedia
En 1938, Lise Meitner découvre la fission nucléaire. N’importe quel homme
ayant fait une telle découverte aurait eu droit à son Nobel.
Seulement voilà, non seulement Lise Meitener était une femme mais, en
plus, autrichienne et juive ! Et à l’époque, récompenser une femme juive
autrichienne était impensable.
Du coup, c’est son collègue, Otto Hahn, qui a décroché tous les lauriers, notamment
le Nobel de Chimie en 1944 ???
2- Rosalind Franklin (1920-1958)
Crédit photo : Wikipedia
Rosalin Franklin a révolutionné la biologie en passant l’ADN au rayon X.
Mais, là encore, ses collègues ont raflé les récompenses.
Rosalin Franklin est en effet décédée à l’âge de 37 ans des suites d’un
cancer des ovaires, probable conséquence de son exposition aux rayons X...
Et, quatre ans plus tard, James Watson, Francis Crick et Maurice Wilkins
recevaient le Nobel pour leur travail sur la structure de l’ADN…????
1- Nettie Stevens (1861-1912)
Crédit photo : Wikipedia
En 1905, Nettie Stevens, assistante de Thomas Hunt Morgan, découvre que le
sexe d’un enfant est déterminé par ses chromosomes. Pas mal comme
découverte n’est-ce pas ?
Il a fallu un peu de temps à l’académie Nobel pour valider ces recherches
mais, en 1933, pour récompenser son travail sur le chromosome et
l’hérédité, elle décidé enfin de récompenser…
Thomas Hunt Morgan ! On ne va quand même pas féliciter la femme
assistante quand on peut célébrer l’homme patron hein ? Oui, c’est
scandaleux.
Une galerie de portraits qui en dit long sur le parcours du combattant qu’a
dû affronter Marie Curie. Heureusement, les temps changent. Doucement,
mais ils changent !
Quoi qu’il en soit, il serait temps que ces six femmes décrochent enfin toute la lumière qu’elle mérite !!!
Par Omar Robles
Gabriel Gresillon / Correspondant à Bruxelles |Le 25/04 à 13:37
Les produits textiles ou de mode sont souvent visés par des alertes sur leur dangerosité - SIPA
Les produits les plus dangereux sont en priorité les jouets, suivi du textile et de la mode.
La Chine, toujours la Chine.
En pleine période de négociations sur la possible accession de la Chine au statut
d’économie de marché, l’Europe ne veut pas froisser Pékin. Elle n’a donc
pas trop insisté, lundi, lors de la présentation de son rapport sur la
sécurité des produits non alimentaires sur le continent, sur la
provenance des principales importations dangereuses.
Dans son rapport, il faut lire plusieurs statistiques avant de trouver
celle-ci : 62% des produits qui ont été notifiés comme "dangereux" dans
l’Union européenne provenaient, en 2015, de la deuxième économie
mondiale. La Commission européenne rappelle que la Chine est la première
source d’importations de l’Union européenne, ce qui peut expliquer la
forte représentation de la Chine dans ce classement.
Elle met également en avant la coopération avec les autorités chinoises pour
tenter d’enrayer le phénomène : chaque notification d’un produit
dangereux est transmise à ces dernières. Selon Bruxelles, depuis le
lancement de cette coopération, Pékin aurait effectué un suivi sur
11.540 dossiers, et aurait pris des mesures correctives dans 3.748 cas.
La traçabilité, précise la Commission, est bien souvent le problème
principal. Vera Jourova, la commissaire en charge de la protection des
consommateurs, a ajouté qu’elle se rendrait en Chine en juin pour
aborder le sujet.
Le danger du commerce en ligneEn 2015, l’Union européenne a reçu 2.072 alertes
sur des produits non alimentaires dangereux. Il s’agissait, dans 27% des cas, de jouets,
puis, pour 17%, de produits textiles ou de mode. Ces deux types de
produits étaient déjà en haut du classement en 2014. Ce sont les risques
chimiques qui ont été les plus fréquents (25% des cas), suivis des
risques de blessures (22%). En matière chimique, les jouets sont au
premier rang, avec notamment l’utilisation de phtalates dans les
plastiques, des substances qui peuvent créer des problèmes de fertilité.
Mais les bijoux sont également concernés : l’utilisation de métaux
lourds, comme le nickel ou le plomb, a parfois été détectée.
Ces statistiques sont le résultat de la mise en œuvre, depuis 2003, d’un
système baptisé « Rapid Alert ». Celui-ci permet le partage, au niveau
européen, de toutes les informations relatives à des produits non
alimentaires considérés comme dangereux par un Etat membre. L’exécutif
européen le présente comme un exemple de ce que la collaboration
européenne peut apporter de positif aux citoyens du continent. Mais les
nouveaux modes de consommation risquent d’accentuer les risques :
l’explosion du commerce en ligne permet d’apporter directement chez le
consommateur une quantité croissante de produits en provenance de
l’étranger, dont tous n’ont pas nécessairement suivi les tests de
qualité requis.
@GGresillon
Valable pour une grande majorité des "sportifs" coupables mais pas responsables.
Un moteur dans le vélo
Thierry Vildary propose une enquête exlusive sur la problématique des moteurs cachés dans les vélos des cyclistes
professionnels , véritable technique de « dopage technologique » qui fait de plus de bruit et soulève de nombreuses
interrogation .
- Un homme a construit une demeure qui représente un ensemble de maisons empilées les unes sur les autres.
Une cabane proche des nuages. Phillip Weidner, avocat, est également un bricoleur et un architecte durant ses heures de repos.
Dans une vidéo intitulée A house that touches the sky (Une maison qui touche le ciel), publiée par Great Big Story, un réseau de vidéos, il revient sur son ingénieuse invention, qui porte le nom de Goose Creek Tower, installée à Talkeetna, en Alaska.
Il a décidé de la créer au cœur de la nature et son accès s'effectue en
motoneige. Tout en bois, la cabane, qui a nécessité plusieurs années de
travail, mesure pas moins de 55 mètres de haut, soit environ
l'équivalent de quinze étages. Il a dû s'arrêter à ce niveau en raison
de l'espace aérien fédéral qui commence à 60 mètres.
Sa forme originale, qui ressemble à un ensemble de maisons construites les unes sur les autres, en fait une attraction touristique des plus incongrues, ressemblant légèrement au jeu de société d'agilité et d'adresse Jenga, dont le but est de placer des rectangles en bois les uns sur les autres pour former la tour la plus haute.
Elle offre ainsi une vue à 360 degrés sur la forêt, à plus de 480 kilomètres alentours, d'après les estimations de son créateur.
Selon le site Oddity Central, Phillip Weidner l'aurait construite à la suite d'un incendie, de plain-pied, d'une surperficie de douze mètres de largeur sur douze mètres de longueur. Mais la nature reprenant ses droits, les arbres auraient poussé, ce qui aurait incité Weidner à tenter de construite
davantage d'étages pour continuer à avoir une vue dégagée.
Reste dorénavant à installer des fenêtres et à aménager l'intérieur...
Pour son livre Feathers: Displays of Brilliant Plumage le photographe Robert Clark
a réalisé des images qui mettent en valeur les caractéristiques uniques
avec leurs couleurs, leurs reflets et leurs structures des plumes de
plein d’oiseaux différents.
Imaginé par les architectes suisses Herzog & De Meuron. Destiné à accueillir des concerts de musique classique,
le bâtiment est resté près de 10 ans en travaux, pour cause notamment du coût élevé qui s’est longtemps accru.
Sur des glaciers de haute altitude, tels que ceux dans les montagnes des
Andes, où l'air est sec, la neige peut se transformer en lames étroites
spectaculaires de la glace jusqu'à plusieurs mètres de haut.
Ils sont appelés Nieves Penitentes ou simplement Penitentes.
Ils prennent la forme de lames minces de grande taille de neige ou de glace
durcie rapprochées avec les lames orientées vers la direction générale du soleil.
Ils forment habituellement en grappes et vont de quelques centimètres à 2 mètres,
mais penitentes aussi élevées que 5 mètres a été enregistrée.
Ils se développent en général au dessus de 4000mètres.
Pénitents de neige peuvent être l' enfer si vous avez à les traverser.
par Alexandre Felix photographe français
De mer en montagne et de brume en soleil, il nous transporte dans une nature à couper le souffle.