LA CREATION POUR LES ARBORIGENES Les croyances des aborigènes sont très liées aux phénomènes naturels survenus dans le passé et peuvent aider la science à résoudre certains mystères.
Guangji Bridge, également connu sous le nom Xiangzi Bridge, est un ancien pont à travers le fleuve Han à Chaozhou, province du Guangdong, en Chine. Il est reconnu comme l'un des quatre célèbres ponts anciens du pays - les trois autres sont le pont de Zhaozhou, le pont Lugou et Luoyang Bridge. En dehors de l'antiquité et l'importance historique, Guangji Bridge est spéciale comme premier pont flottant du monde qui peut ouvrir et fermer.
Une partie du pont Guangji est soutenu par dix-huit bateaux flottants, qui pourraient être déplacés de côté pour créer un canal ouvert pour les navires et les bateaux de passer à travers. A l'origine, l'ensemble du pont était une structure flottante soutenue par quatre-vingt-six énormes bateaux. Aujourd'hui, seule la partie centrale peut être ouverte.
"Bien Commun De L'humanité... À Roquevaire, L'eau Est Gratuite ! La commune de Roquevaire s'étale le long de l'Huveaune, fleuve côtier qui prend sa source dans le massif de la Sainte-Baume et se jette dans la Méditerranée à Marseille. Elle est composée d'un village principal et de trois hameaux : Lascours, niché au pied du Garlaban, Pont-de-l'Étoile et Pont-de-Joux. À proximité de Marseille, d'Aix-en-Provence, des calanques et des plages, Roquevaire fait partie du Pays Aubagnais. Cette initiative exemplaire prouve que les Français sont des gens responsables... et que l'intérêt commun a encore le droit de cité ! Par : Axel Leclercq - 25 Avril 2016
Sachant que nul ne peut vivre sans eau, est-il sain et justifiable de faire du business sur le dos de cet élément précieux ? Pour la commune de Roquevaire, la réponse est clairement non. Depuis 5 ans, l’eau y est considérée comme un « bien commun de l’humanité » et chacun peut la consommer gratuitement (ou presque) ! Gros plan sur une initiative exemplaire, réussie… et pourtant menacée. Le 19 décembre 2011, la municipalité de Roquevaire (8 693 habitants dans les Bouches-du-Rhône) a pris une décision historique : rendre l’eau vitale gratuite pour tous ses administrés ! Un fait rare motivé par une raison simple :
« L’eau potable ne doit pas être une marchandise source de profits injustifiés (…) elle est un bien commun de l’humanité. »
Source : Wikipedia Au final, comme la réglementation proscrit la gratuité, la commune a quand même opté pour un prix symbolique : 1€ pour 30m3 d’eau potable (au lieu de 2€/m3 en moyenne en France) ! 30m3 c’est la quantité d’eau jugée vitale à un foyer. Au delà (« eau utile » et « eau confort », les prix augmentent légèrement mais restent bien en deçà de ceux généralement pratiqués ailleurs. Yves Mesnard, maire de Roquevaire, s’est confié au site Bastamag :
« On ne paie pas la ressource. Or, en tant qu’élus, on n’est pas là pour faire du pognon mais pour faire fonctionner une commune. »
Source : Shutterstock Et le plus intéressant reste à venir. Les opposants à la gratuité de l’eau soulignent que seul un prix conséquent peut limiter le gâchis d’un bien précieux. Comprendre : les Français sont irresponsables et laisseraient couleur leurs robinets en permanence s’ils n’avaient pas à payer leur eau… Seulement voilà, Roquevaire apporte la preuve de l’exact contraire ! Depuis 2011, tandis que la population de la commune a augmenté, la consommation générale d’eau, elle, a diminué ! En somme, plutôt que d’entraîner une gabegie, la gratuité de l’eau a sensibilisé chacun sur le sujet ! Source : Shutterstock En observant de tels résultats, on pourrait s’attendre à ce que toutes les communes suivent la même voix. Mais gare aux réjouissances hâtives : si Roquevaire a pu décréter la gratuité de l’eau, c’est uniquement parce qu’elle avait toujours gardé la main sur ce marché grâce à sa régie municipale crée en 1925. Or, la plupart des villes et agglomérations de France ont déjà cédé la gestion de leur eau à des entreprises privées… et il est très difficile pour une collectivité de revenir sur ce type de contrat. Source : Wikipedia Malheureusement, et contre son plein gré, Roquevaire pourrait bien connaître le même sort. En 2020, cette commune rejoindra la métropole d’Aix-Marseille-Provence et, de ce fait, perdra la compétence de l’eau… Espérons que Roquevaire arrivera à convaincre ses futurs partenaires que l’eau n’est pas une marchandise comme les autres. Sinon… Voilà en tout cas une belle décision qui prouve que la volonté politique d’un échelon local peut montrer l’exemple à tout un pays !
Décès Du Chanteur Soul Billy Paul... Billy Paul, photographié en 2008. Archives AFP, Noel VasquezAgence France-PresseNew York
Le chanteur américain Billy Paul, vedette de la scène soul de Philadelphie, qui a connu la gloire en 1972 avec le succès Me and Mrs. Jones, est décédé dimanche à l'âge de 81 ans.
Connu pour sa voix mélodieuse, Billy Paul avait obtenu un Grammy Award et avait contribué au développement du Rythm and Blues moderne. Mais il a subi les conséquences négatives d'une des erreurs de marketing les plus connues de l'industrie musicale américaine. « C'est avec le coeur lourd que nous avons le regret de vous annoncer que Billy est décédé aujourd'hui à son domicile après une grave maladie », déclare un communiqué publié sur le site internet du chanteur. Né Paul Williams à Philadelphie, il s'est trouvé dès son plus jeune âge plongé dans l'univers de la soul music de cette ville de l'est des États-Unis. Il a participé dans sa jeunesse à des sessions avec des légendes comme Charlie Parker et Nina Simone. En 1972, Billy Paul se trouve propulsé en haut des classements avec Me and Mrs. Jones, une chanson sur une aventure extra-conjugale, qui sera par la suite reprise par nombre d'artistes, dont le duo pop Hall and Oates et le crooner Michael Buble.
Mais à la suite d'une décision qui allait se révéler commercialement désastreuse, Billy Paul n'enchaîna pas avec une autre chanson du même genre, mais avec Am I Black Enough For You ? (« Est-ce que je suis assez noir pour vous? »), morceau funky contenant des allusions au mouvement du Black Power. « Cette chanson est en avance sur son temps », a déclaré l'artiste des années plus tard, en 2009. « À présent elle est très, très populaire. Elle a rattrapé l'époque - maintenant nous avons un président noir », a-t-il ajouté, faisant référence à Barack Obama.
Regardez Une Photo Des Chutes Du Niagara Gelée Par Le Vortex Polaire...
Source : NIAGARA FALLS gelées par le vortex polaire...
New Delhi: Le "vortex polaire" a frappé les Etats - Unis avec des températures incroyablement basses et a également offert l'occasion pour quelques photos incroyables et maintenant nous avons quelques photographies des chutes gelées de Niagara Falls.
Ces images ont été prises d'une zone partiellement gelé des chutes du côté américain...
Bien qu'il y ait une certaine désinformation flottant autour, il est intéressant de noter que les chutes ne sont pas complètement gelées. Vous pouvez les voir couler comme d'habitude...
Ces quelques clichés d'un autre aspect du 7eme art.
1. Lindsay Lohan, À nous quatre. View this image ›Walt Disney Co. / Courtesy Everett CollectionID: 8503418
2. Jeff Bridges et Joel Coen, The Big Lebowski. View this image ›Gramercy Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503419
3. Melanie Brown et Melanie Chisholm, Spice World. View this image ›Columbia Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503420
4. Stacey Dash, la réalisatrice Amy Heckerling, et Alicia Silverstone, Clueless. View this image ›Paramount / Courtesy Everett CollectionID: 8503421
5. Le réalisateur Chris Columbus and Macaulay Culkin, Maman, j’ai raté l’avion. View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503422
6. Michael Madsen, Susan Sarandon, Geena Davis et Ridley Scott, Thelma & Louise. View this image ›MGM / Courtesy Everett CollectionID: 8503423
7. Tom Hanks, That Thing You Do! View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503425
8. Kate Winslet, Leonardo DiCaprio et James Cameron, Titanic. View this image ›20th Century Fox Film. Corp / Courtesy Everett CollectionID: 8503426
Dimension Films / Courtesy Everett CollectionID: 8503427
10. Michael Jordan et Bob Bergen, Space Jam. View this image ›Warner Bros / Courtesy Everett CollectionID: 8503428
11. Michelle Pfeiffer, Michael Keaton et Tim Burton, Batman: Le Défi. View this image ›Warner Bros / Courtesy Everett CollectionID: 8503429
12. Le directeur artistique Michael Giaimo, Pocahontas. View this image ›Buena Vista Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503430
13. Johnny Depp et Terry Gilliam, Las Vegas Parano. View this image ›Universal / Courtesy Everett CollectionID: 8503431
14. Judi Dench, Shakespeare in Love. View this image ›Miramax / Courtesy Everett CollectionID: 8503432
15. Julia Roberts, le réalisateur Roger Michell, et Hugh Grant, Coup de foudre à Notting Hill. View this image ›Universal / Courtesy Everett CollectionID: 8503434
16. Raul Julia, avec «La Chose» sur sa tête, et le réalisateur Barry Sonnenfeld, La famille Addams. View this image ›Paramount / Courtesy Everett CollectionID: 8503436
17. Anthony Hopkins et le réalisateur Jonathan Demme, Le silence des agneaux. View this image ›Orion Pictures Corp / Courtesy Everett CollectionID: 8503437
18. Le producteur Mark Johnson et Robin Williams, Toys. View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503438
19. Quentin Tarantino et Bruce Willis, Pulp Fiction. View this image ›Miramax / Courtesy Everett CollectionID: 8503439
20. Julia Roberts et le réalisateur Garry Marshall, Pretty Woman. View this image ›Buena Vista Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503440
21. Le réalisateur Brian Robbins et Kel Mitchell, Good Burger. View this image ›Paramount / Courtesy Everett CollectionID: 8503441
22. Arnold Schwarzenegger, Sharon Stone, et le réalisateur Paul Verhoeven, Total Recall. View this image ›Tristar / Courtesy Everett CollectionID: 8503442
23. Tim Burton et Winona Ryder, Edward aux mains d’argent. View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503443
Source : Le phénomène ovnis entre vérité et illusion... Avec cette photo...les septiques sont maintenant confondus... Afficher l'image d'origine Les OVNIS existent ! Loin d’être une affabulation, cette affirmation résulte de décennies d’observations et d’investigations, au plus haut niveau de l’Etat, dans plusieurs pays. Pilotes, officiers, hauts responsables en témoignent. Gros plan sur une réalité qui bouscule nos schémas de pensée. Belgique, novembre 1989. En fin d’après-midi, Heinrich Nicoll et Hubert Von Montigny aperçoivent un champ de lumière d’une grande intensité. Ils s’approchent… Au-dessus, plane un objet triangulaire, irradiant par moments d’un faisceau rouge. Délire d’étudiants ? Les deux hommes sont des policiers en patrouille. Hallucination ? Le même soir, 250 personnes rapportent aux autorités des observations identiques. Pendant près de deux ans, ces apparitions se répètent. Des milliers de belges en sont témoins – parmi lesquels des ingénieurs, des militaires, des journalistes, des hauts fonctionnaires… Prenant l’affaire très au sérieux, l’Etat lance des investigations, mobilise des spécialistes. Peut-il s’agir d’un avion furtif ou d’un engin secret des USA ? Réponse négative du gouvernement américain – pourquoi aurait-il investi sans autorisation l’espace aérien belge, à la vue de tous ? De cas en cas, les experts étudient, échafaudent des hypothèses, les testent… les invalident. Ce n’est pas un phénomène météorologique, affirment-ils, ni un hélicoptère, un appareil militaire, un ULM, un ballon ou quoi que ce soit de connu. « Parmi les 2000 cas rapportés, 650 ont fait l’objet de recherches, 500 restent inexpliqués », commente le Général Wilfried De Brouwer, alors Chef des opérations de l’Armée de l’air belge. Cet ancien pilote de chasse et cadre de l’OTAN est formel : il y a bien eu au-dessus de la Belgique une vague d’OVNIS – objets volants non identifiés. Des Faits Récurrents L’événement n’est pas isolé. Partout dans le monde, depuis la fin des années 40, les témoignages s’accumulent. Considérées fréquemment comme folkloriques, ces histoires bousculent quand elles émanent de gens expérimentés et dignes de confiance, confrontés aux phénomènes dans l’exercice de leur fonction : Pilotes civils et militaires, spationautes, contrôleurs aériens, experts radars, astronomes, cadres de la recherche spatiale ou de l’armée… Souvent les premiers surpris d’avoir à admettre cette réalité. Dans UFOs, la journaliste d’investigation Leslie Kean leur donne la parole. Pour cet ouvrage de référence, dont la version française est à paraître, l’américaine a enquêté pendant dix ans, interviewant en profondeur les principaux acteurs, épluchant les documents officiels et les rapports d’enquêtes, accédant off record à des informations sensibles. Parmi les dix-neuf contributeurs de son livre, se trouvent des pilotes ayant vécu une rencontre rapprochée, des cadres de la Défense ou de la Recherche ayant officiellement enquêté sur ces phénomènes, ainsi que des responsables politiques et des généraux de l’Armée. Clairs, précis, documentés, leurs témoignages se rejoignent… Clairs, précis, documentés, leurs témoignages se rejoignent, leurs conclusions concordent : des Etats-Unis à la France en passant par le Royaume-Uni, le Brésil, le Pérou, le Chili, le Portugal, l’Iran ou l’Australie. « La réalité d’objets volants non identifiés n’est pas une question de croyance, d’opinion ni de choix ; c’est un fait. Ces objets peuvent être observés par de multiples témoins, photographiés, détectés par des radars, et laisser des marques au sol », écrit Leslie Kean. Pour les étudier, plusieurs pays ont même créé des structures d’investigation, souvent rattachées à l’armée de l’air ou au ministère de la Défense. En France, depuis 1977, le Groupe d’étude et d’information sur les phénomènes aéronautiques non identifiés (GEIPAN) est une unité du très sérieux Centre national d’études spatiales (CNES). « Nos méthodes d’analyse et de contrôle sont rigoureuses, indique Jean-Jacques Vélasco, qui l’a dirigé pendant 27 ans. Nous partons de données collectées par des organismes publics, tels que la gendarmerie, la police, la marine, l’aviation civile et militaire. Nos enquêtes sont précises, réalisées en double lecture. Pour ne pas être sujette à caution, notre démarche doit être scientifique. » De quoi ébranler les plus sceptiques. « Face aux histoires incroyables que me racontaient certains pilotes, je me disais qu’il s’agissait de phénomènes naturels ou d’effets d’optique,raconte Richard Haines, ancien chercheur de la NASA. Mais plus je penchais sérieusement sur le sujet, plus je comprenais qu’il y avait quelque chose. » Même son de cloche chez l’astronome Josef Hynek, chargé par l’Etat américain d’enquêter sur les OVNI de 1951 à 1969 : « Au début, j’étais le pire ennemi des amis des soucoupes volantes ! Je les prenais pour une bande de fêlés et d’illuminés. Je me faisais un point d’honneur à résoudre ces cas. Mais petit à petit, j’ai changé de point de vue », jusqu’à être convaincu « que le phénomène OVNI était réel », confesse-t-il en 1977. Des technologies intelligentes Bien sûr, la science progresse. Bien sûr, certaines observations étonnantes trouveront un jour une cause météorologique, astrophysique, géologique, électromagnétique… Mais « si 90 à 95% des objets volants peuvent être identifiés, les 5 à 10% restants doivent nous interroger,écrit Leslie Kean : tout ce qu’on sait, c’est qu’il ne s’agit ni d’une énorme farce, ni de phénomènes naturels, ni d’engins fabriqués par l’homme. » A l’appui de cette affirmation : les performances extraordinaires démontrées par ces objets volants non identifiés, qui « défient les lois de la gravité et de l’inertie telles que nous les connaissons, observe Jean-Jacques Vélasco. Les radars au sol et de bord confirment que leurs capacités sont bien supérieures aux technologies aéronautiques et spatiales des pays les plus avancés. » C’est ainsi qu’en 1980, des officiers britanniques de la base militaire de Rendlesham Forest ont découvert, posé sur leur sol, un engin ne ressemblant à rien de connu, dont émanait une brillante lumière. « Quand nous nous en sommes approchés, nos radios se sont mises à délirer, explique le Sergent James Penniston. Au bout de 45 minutes, la lumière intérieure s’est intensifiée, puis l’engin a décollé sans bruit, à une vitesse dépassant l’entendement. Il a disparu en un clin d’œil. » Autre fait troublant : leur intelligence d’anticipation, de réaction et d’interaction. Le Général Parviz Jafari peut en témoigner : en 1976, ce pilote iranien a pourchassé un OVNI. « Un objet lumineux, plus gros et plus brillant qu’une étoile, planait à basse altitude au-dessus de Téhéran », raconte-t-il dans UFOs. Sa hiérarchie lui demander de décoller ; lorsqu’il arrive à proximité de l’objet, celui-ci prend de l’altitude. « Des flashs stroboscopiques intenses de couleur rouge, verte, orange et bleue » l’empêchent de discerner un engin matériel. Il s’approche davantage ; « l’objet saute soudain de dix degrés sur sa droite, en un instant. » L’équivalent de 11 kilomètres, en une fraction de seconde… L’objet répète plusieurs fois sa sidérante manœuvre. « Lorsque mon coéquipier parvient à le localiser sur notre radar, sa taille à l’écran est celle d’un pétrolier ». Il décide d’ouvrir le feu ;« à ce moment, mes armes s’enrayent et ma radio se brouille » ! Et l’engin recule de 43 km en un éclair, « comme à la vitesse de la lumière». Il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un OVNI… Le pilote iranien n’est pas au bout de ses surprises : des choses rondes sortent du premier engin, foncent vers son avion puis tournent autour. Chaque fois qu’il essaie de réagir, sa radio et ses instruments de bord tombent en panne. « Encore aujourd’hui je ne sais pas ce que j’ai vu, conclut-il, mais je ne peux douter de sa réalité. Mon copilote, les contrôleurs aériens, les officiers du quartier général, tous l’ont vu. Les radars l’ont enregistré. Je n’ai que deux regrets : n’avoir pas eu d’appareil photo à bord, ni le réflexe de lui lancer un appel radio – qui êtes vous ? SVP, communiquez avec nous ! » Quatre ans plus tard au Pérou, le Commandant Oscar Santa Maria Huertas vit la même expérience, lorsqu’il reçoit l’ordre d’intercepter une sorte de ballon volant illégalement au-dessus de la base aérienne de La Joya, sous les yeux de 1800 soldats. « A chaque fois que je l’avais dans mon viseur, à la dernière seconde, il prenait de la hauteur », raconte le pilote. Quand il parvient à tirer, les projectiles sont « absorbés » par l’objet. Nullement endommagé, celui-ci se met à jouer au chat et à la souris, grimpant très rapidement puis s’arrêtant soudain, comme pour attendre le péruvien, puis repartant aussi sec à une allure spectaculaire. Lancé en vitesse supersonique, Oscar Santa Maria Huertas finit par se retrouver à 19000 mètres d’altitude. « Ce n’était pas un ballon, mais un objet de dix mètres de diamètre, composé d’un dôme brillant de couleur crème et d’une base circulaire argentée, auquel il manquait toutes les composantes habituelles d’un avion : Pas d’aile, pas de système de propulsion, pas de fenêtres, pas d’antenne… J’ai alors réalisé qu’il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un OVNI », écrit le pilote. « Si un pays était parvenu à développer de telles technologies, elles auraient révolutionné le transport aérien, l’armement et les lois de la physique, commente le Général De Brouwer.Encore aujourd’hui, elles nous sont inconnues. » L’hypothèse extra-terrestre Comment expliquer, alors, ces phénomènes ? Pour la plupart des scientifiques qui se sont penchés sur la question, l’éventualité d’une origine extra-terrestre ou inter-dimensionnelle paraît la plus logique. « Cette hypothèse doit être considérée avec le sérieux et la rigueur qui lui sont due, tant qu’aucune autre interprétation crédible n’a été formulée », affirme l’ancien directeur du CNES Yves Sillard. C’est aussi le constat « ferme et prudent » du rapport COMETA, publié en 1999 à l’initiative d’anciens de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) – parmi lesquels des généraux, un amiral, des ingénieurs en armement, des chercheurs en aéronautique, un commissaire de la police nationale, un ancien président du CNES et un ex-responsable du GEIPAN. Après trois ans d’analyse de cas issus de différents pays, ses auteurs concluent que ce qui semble être « des engins volants, capables de performances exceptionnelles guidées par une intelligence naturelle ou artificielle », pourrait être d’origine extraterrestre. Ces phénomènes démontrent que nous avons encore beaucoup à apprendre... « C’est l’explication la plus rationnelle, même si elle n’est pas scientifiquement prouvée », confirme le Général Denis Letty, ancien pilote de chasse et membre du groupe COMETA. Surtout à une époque où la découverte de plusieurs centaines d’exo-planètes rouvre le champ des possibles, où les avancées de la physique esquissent d’autres approches de la réalité, d’autres dimensions du monde… Notre civilisation serait alors « comme un groupe d’hommes préhistoriques se retrouvant soudain face à une télévision ou un four à micro-ondes », sourit Leslie Kean. Un champ d’investigation extraordinaire... Le sujet, pourtant, reste sulfureux. Dommage, estiment les experts, car l’humanité se prive d’un champ de recherche extraordinaire, sur lequel la mobilisation internationale d’équipes interdisciplinaires pourrait permettre de faire évoluer les connaissances. Plutôt que d’en rejeter la possibilité, pourquoi ne pas s’émerveiller du mystère que les OVNIS représentent, des perspectives qu’ils esquissent ? « La réalité objective des phénomènes aérospatiaux non identifiés ne fait plus aucun doute. Le climat de suspicion et de désinformation, voire de dérision, qui entoure trop souvent la collecte des cas, illustre une forme surprenante d’aveuglement intellectuel, écrit Yves Sillard à Leslie Kean. C’est la raison pour laquelle beaucoup de témoins se taisent, notamment chez les pilotes, civils ou militaires, qui craignent pour leur carrière. » De la collecte d’informations factuelles et de leur analyse, pourtant, pourraient naître « des hypothèses complètement nouvelles, fondées sur des conceptions cosmologiques encore en gestation », à même de « changer notre vision du monde physique et de l’univers alentour », estime l’ancien patron du CNES. « La communauté scientifique doit accepter de sortir le dossier OVNI du paranormal », plaide aussi Jacques Patenet, qui a dirigé le GEIPAN pendant près de trois ans. Alors que beaucoup de chercheurs ont peur de se discréditer, « ces phénomènes démontrent que nous avons encore beaucoup à apprendre, note le Général José Carlos Pereira, ancien Chef des opérations de l’armée de l’air brésilienne. Depuis Aristote, les êtres humains se posent les mêmes questions : qui nous sommes, d’où nous venons, où nous allons. La recherche sur les OVNIS peut être un moyen d’obtenir des réponses. » Une chose est sûre : « Le phénomène OVNI recèle quelque chose de suprêmement important, qui pourrait être transformateur pour l’ensemble d’entre nous, conclut Leslie Kean. Il est temps d’ouvrir nos yeux et de découvrir ce que c’est. » Vidéos en anglais,seules disponibles.
Balade En Australie... Adélaïde, la capitale cosmopolite Adélaïde par-ci, Adélaïde par-là… Nous devons bien l’avouer, la capitale de l’Australie du Sud est souvent citée sur ce blog. Que ce soit pour sa gastronomie, ses plages ou bien même pour ses animations, Adélaïde est une ville riche et dynamique. Elle est à l’image de l’Etat : intéressante, grandiose et éclectique ! Diversité. Ce terme est sûrement celui qui qualifierait le mieux la cité australienne. Central Market, Torrens River, le zoo, ses monuments historiques et ses églises, la ville est composée d’une multitude d’ingrédients qui la rendent si unique.
Chaque quartier est une découverte, de l’hyper-centre au Chinatown, Adélaïde étonne et marque chaque visiteur par son ambiance. Pour mieux vous en rendre compte, ces 14 photos représentent parfaitement la ville et ses différentes facettes. Bon voyage ! Se balader dans ses rues est toujours source de découvertes. Vous pouvez être sûr qu’il y aura toujours un lieu qui vous plaira ! On espère vous voir bientôt sur place. Évidement, pour plus de renseignements sur la ville, nous sommes toujours là pour répondre à toutes vos questions ...
La Mode Féminine En 1900 À Travers Le Monde : Quelle Diversité !
Les multinationales de l'habillement n'avaient pas encore inondé le marché de leur marchandise uniformisée. Les tenus étaient donc d'une infinie diversité. On aurait presque tendance à l’oublier mais, à une époque pas si lointaine que ça, les femmes ne s’habillaient pas toutes de la même manière aux quatre coins du globe. Ce qu’on appelle aujourd’hui les tenues traditionnelles ou folkloriques étaient en réalité les tendances du moment ! Les multinationales de l’habillement n’avaient pas encore envahi le marché pour vendre les mêmes choses à tout le monde et, du coup, la mode était encore d’une diversité exceptionnellement riche et bigarrée. Prenons par exemple les années 1900-1910. A cette époque, la mondialisation n’était encore qu’un concept flou et la photographie était déjà là pour témoigner de la beauté des femmes à travers le monde. Bref, c’est sans doute la meilleure période de l’histoire pour illustrer cette formidable richesse vestimentaire aujourd’hui en voie de disparition.
Sur Flickr, un certain PostMan s’est amusé à collectionner les cartes postales de ces années là. Venues du monde entier, elles ne sont pas juste pleines de nostalgie : elles sont surtout très inspirantes et belles à regarder. En voici 20, histoire de s’offrir un petit voyage dans l’espace… et dans le temps ! Femme des Philippines (Luzon) Source : PostMan Jeune gitane jouant de la mandoline. Source : PostMan Femme soldat au Japon. Source : inconnue Anna May Wong, première star américaine d’origine chinoise (cinéma). Source : PostMan Jeunes Algériennes. Source : PostMan Une fille berbère. Source : PostMan Lily Eslie (1886-1962), actrice et chanteuse britannique. Source : PostMan Anna Pavlovna (1881-1931), danseuse russe. Source : PostMan Rita Martin (1875-1958), photographe. Source : PostMan La reine Marie de Roumanie (1875-1938). Crédit photo :Inconnue Une jeune inconnue. Source : PostMan Dame Népalaise. Source : PostMan Gabrielle Ray (1883-1973), actrice danseuse et chanteuse. Source : PostMan Une japonaise et son parapluie. Source : PostMan Marie-Louise Derval, actrice française. Source : PostMan Quatre sœurs philippines. Crédit photo : inconnue Une Japonaise et son peigne. Source : PostMan Une Vietnamienne et son sabre. Source : PostMan Miss Valli Valli (1882-1927), actrice allemande. Source : PostMan Une Tonkinoise et son grand chapeau (Viet-Nam). Source : PostMan Chacune de ces images témoigne d’une époque, d’un pays et d’une mode. Toutes nous montrent à quelle vitesse notre monde change. En ce sens, elles sont à la fois belles, émouvantes, et très instructives. Très précieux.
Les croyances des aborigènes sont très liées aux phénomènes naturels
survenus dans le passé et peuvent aider la science à résoudre certains mystères.
CLIC ICI.........http://dai.ly/x46y3fp
Guangji Bridge, également connu sous le nom Xiangzi Bridge, est un ancien pont à
travers le fleuve Han à Chaozhou, province du Guangdong, en Chine.
Il est reconnu comme l'un des quatre célèbres ponts anciens du pays - les
trois autres sont le pont de Zhaozhou, le pont Lugou et Luoyang Bridge.
En dehors de l'antiquité et l'importance historique, Guangji Bridge est
spéciale comme premier pont flottant du monde qui peut ouvrir et fermer.
Une partie du pont Guangji est soutenu par dix-huit bateaux flottants, qui
pourraient être déplacés de côté pour créer un canal ouvert pour les
navires et les bateaux de passer à travers.
A l'origine, l'ensemble du pont était une structure flottante soutenue par quatre-vingt-six énormes bateaux.
Aujourd'hui, seule la partie centrale peut être ouverte.
Crédit photo: www.scmp.com
Crédit photo: economytraveller.com
Crédit photo: mygola.com
Crédit photo: Slices of Light / Flickr
Crédit photo: Luis Evers / Flickr
Crédit photo: ???? / Panoramio
Crédit photo: Luis Evers / Wikimedia
À Roquevaire, L'eau Est Gratuite !
La commune de Roquevaire s'étale le long de l'Huveaune, fleuve côtier qui prend sa source dans
le massif de la Sainte-Baume et se jette dans la Méditerranée à Marseille.
Elle est composée d'un village principal et de trois hameaux : Lascours, niché au pied du Garlaban,
Pont-de-l'Étoile et Pont-de-Joux.
À proximité de Marseille, d'Aix-en-Provence, des calanques et des plages, Roquevaire fait partie du Pays Aubagnais.
Cette initiative exemplaire prouve que les Français sont des gens
responsables... et que l'intérêt commun a encore le droit de cité !
Par : Axel Leclercq -
25 Avril 2016
Sachant que nul ne peut vivre sans eau, est-il sain et justifiable de faire du
business sur le dos de cet élément précieux ? Pour la commune de
Roquevaire, la réponse est clairement non.
Depuis 5 ans, l’eau y est considérée comme un « bien commun de l’humanité » et
chacun peut la consommer gratuitement (ou presque) ! Gros plan sur une
initiative exemplaire, réussie… et pourtant menacée.
Le 19 décembre 2011, la municipalité de Roquevaire (8 693 habitants dans
les Bouches-du-Rhône) a pris une décision historique : rendre l’eau
vitale gratuite pour tous ses administrés ! Un fait rare motivé par une
raison simple :
Source : Wikipedia
Au final, comme la réglementation proscrit la gratuité, la commune a quand
même opté pour un prix symbolique : 1€ pour 30m3 d’eau potable (au lieu
de 2€/m3 en moyenne en France) !
30m3 c’est la quantité d’eau jugée vitale à un foyer. Au delà (« eau utile »
et « eau confort », les prix augmentent légèrement mais restent bien en
deçà de ceux généralement pratiqués ailleurs.
Yves Mesnard, maire de Roquevaire, s’est confié au site Bastamag :
Source : Shutterstock
Et le plus intéressant reste à venir.
Les opposants à la gratuité de l’eau soulignent que seul un prix conséquent
peut limiter le gâchis d’un bien précieux. Comprendre : les Français
sont irresponsables et laisseraient couleur leurs robinets en permanence
s’ils n’avaient pas à payer leur eau…
Seulement voilà, Roquevaire apporte la preuve de l’exact contraire ! Depuis 2011,
tandis que la population de la commune a augmenté, la consommation
générale d’eau, elle, a diminué ! En somme, plutôt que d’entraîner une
gabegie, la gratuité de l’eau a sensibilisé chacun sur le sujet !
Source : Shutterstock
En observant de tels résultats, on pourrait s’attendre à ce que toutes les
communes suivent la même voix. Mais gare aux réjouissances hâtives : si
Roquevaire a pu décréter la gratuité de l’eau, c’est uniquement parce
qu’elle avait toujours gardé la main sur ce marché grâce à sa régie municipale crée en 1925.
Or, la plupart des villes et agglomérations de France ont déjà cédé la gestion
de leur eau à des entreprises privées… et il est très difficile pour
une collectivité de revenir sur ce type de contrat.
Source : Wikipedia
Malheureusement, et contre son plein gré, Roquevaire pourrait bien connaître le même
sort. En 2020, cette commune rejoindra la métropole
d’Aix-Marseille-Provence et, de ce fait, perdra la compétence de l’eau…
Espérons que Roquevaire arrivera à convaincre ses futurs partenaires que l’eau
n’est pas une marchandise comme les autres. Sinon…
Voilà en tout cas une belle décision qui prouve que la volonté politique d’un
échelon local peut montrer l’exemple à tout un pays !
Billy Paul, photographié en 2008.
Archives AFP, Noel Vasquez Agence France-PresseNew York
Le chanteur américain Billy Paul, vedette de la scène soul de
Philadelphie, qui a connu la gloire en 1972 avec le succès Me and Mrs. Jones,
est décédé dimanche à l'âge de 81 ans.
Connu pour sa voix mélodieuse, Billy Paul avait obtenu un Grammy Award et
avait contribué au développement du Rythm and Blues moderne. Mais il a
subi les conséquences négatives d'une des erreurs de marketing les plus
connues de l'industrie musicale américaine.
« C'est avec le coeur lourd que nous avons le regret de vous annoncer que Billy
est décédé aujourd'hui à son domicile après une grave maladie »,
déclare un communiqué publié sur le site internet du chanteur.
Né Paul Williams à Philadelphie, il s'est trouvé dès son plus jeune âge
plongé dans l'univers de la soul music de cette ville de l'est des États-Unis.
Il a participé dans sa jeunesse à des sessions avec des légendes comme Charlie Parker et Nina Simone.
En 1972, Billy Paul se trouve propulsé en haut des classements avec Me and
Mrs. Jones, une chanson sur une aventure extra-conjugale, qui sera par
la suite reprise par nombre d'artistes, dont le duo pop Hall and Oates
et le crooner Michael Buble.
Mais à la suite d'une décision qui allait se révéler commercialement
désastreuse, Billy Paul n'enchaîna pas avec une autre chanson du même
genre, mais avec Am I Black Enough For You ?
(« Est-ce que je suis assez noir pour vous? »), morceau funky contenant des allusions
au mouvement du Black Power.
« Cette chanson est en avance sur son temps », a déclaré l'artiste des années plus tard, en 2009.
« À présent elle est très, très populaire. Elle a rattrapé l'époque -
maintenant nous avons un président noir », a-t-il ajouté, faisant référence à Barack Obama.
Source : NIAGARA FALLS gelées par le vortex polaire...
New Delhi: Le "vortex polaire" a frappé les Etats - Unis avec des
températures incroyablement basses et a également offert l'occasion pour
quelques photos incroyables et maintenant nous avons quelques
photographies des chutes gelées de Niagara Falls.
Ces images ont été prises d'une zone partiellement gelé des chutes du côté américain...
Bien qu'il y ait une certaine désinformation flottant autour, il est
intéressant de noter que les chutes ne sont pas complètement gelées.
Vous pouvez les voir couler comme d'habitude...
Le Printemps arride.....
1. Lindsay Lohan, À nous quatre.
View this image ›Walt Disney Co. / Courtesy Everett CollectionID: 8503418
2. Jeff Bridges et Joel Coen, The Big Lebowski.
View this image ›Gramercy Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503419
3. Melanie Brown et Melanie Chisholm, Spice World.
View this image ›Columbia Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503420
4. Stacey Dash, la réalisatrice Amy Heckerling, et Alicia Silverstone, Clueless.
View this image ›Paramount / Courtesy Everett CollectionID: 8503421
5. Le réalisateur Chris Columbus and Macaulay Culkin, Maman, j’ai raté l’avion.
View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503422
6. Michael Madsen, Susan Sarandon, Geena Davis et Ridley Scott, Thelma & Louise.
View this image ›MGM / Courtesy Everett CollectionID: 8503423
7. Tom Hanks, That Thing You Do!
View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503425
8. Kate Winslet, Leonardo DiCaprio et James Cameron, Titanic.
View this image ›20th Century Fox Film. Corp / Courtesy Everett CollectionID: 8503426
9. Wes Craven et Drew Barrymore, Scream.
View this image ›
Dimension Films / Courtesy Everett CollectionID: 8503427
10. Michael Jordan et Bob Bergen, Space Jam.
View this image ›Warner Bros / Courtesy Everett CollectionID: 8503428
11. Michelle Pfeiffer, Michael Keaton et Tim Burton, Batman: Le Défi.
View this image ›Warner Bros / Courtesy Everett CollectionID: 8503429
12. Le directeur artistique Michael Giaimo, Pocahontas.
View this image ›Buena Vista Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503430
13. Johnny Depp et Terry Gilliam, Las Vegas Parano.
View this image ›Universal / Courtesy Everett CollectionID: 8503431
14. Judi Dench, Shakespeare in Love.
View this image ›Miramax / Courtesy Everett CollectionID: 8503432
15. Julia Roberts, le réalisateur Roger Michell, et Hugh Grant, Coup de foudre à Notting Hill.
View this image ›Universal / Courtesy Everett CollectionID: 8503434
16. Raul Julia, avec «La Chose» sur sa tête, et le réalisateur Barry Sonnenfeld, La famille Addams.
View this image ›Paramount / Courtesy Everett CollectionID: 8503436
17. Anthony Hopkins et le réalisateur Jonathan Demme, Le silence des agneaux.
View this image ›Orion Pictures Corp / Courtesy Everett CollectionID: 8503437
18. Le producteur Mark Johnson et Robin Williams, Toys.
View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503438
19. Quentin Tarantino et Bruce Willis, Pulp Fiction.
View this image ›Miramax / Courtesy Everett CollectionID: 8503439
20. Julia Roberts et le réalisateur Garry Marshall, Pretty Woman.
View this image ›Buena Vista Pictures / Courtesy Everett CollectionID: 8503440
21. Le réalisateur Brian Robbins et Kel Mitchell, Good Burger.
View this image ›Paramount / Courtesy Everett CollectionID: 8503441
22. Arnold Schwarzenegger, Sharon Stone, et le réalisateur Paul Verhoeven, Total Recall.
View this image ›Tristar / Courtesy Everett CollectionID: 8503442
23. Tim Burton et Winona Ryder, Edward aux mains d’argent.
View this image ›20th Century Fox Film Corp. / Courtesy Everett CollectionID: 8503443
24. Robert De Niro, Frankenstein.
Source : Le phénomène ovnis entre vérité et illusion...
Avec cette photo...les septiques sont maintenant confondus...
Afficher l'image d'origine Les OVNIS existent ! Loin d’être une affabulation,
cette affirmation résulte de décennies d’observations et
d’investigations, au plus haut niveau de l’Etat, dans plusieurs pays.
Pilotes, officiers, hauts responsables en témoignent. Gros plan sur une
réalité qui bouscule nos schémas de pensée.
Belgique, novembre 1989. En fin d’après-midi, Heinrich Nicoll et Hubert Von
Montigny aperçoivent un champ de lumière d’une grande intensité. Ils
s’approchent… Au-dessus, plane un objet triangulaire, irradiant par
moments d’un faisceau rouge. Délire d’étudiants ? Les deux hommes sont
des policiers en patrouille. Hallucination ? Le même soir, 250 personnes
rapportent aux autorités des observations identiques.
Pendant près de deux ans, ces apparitions se répètent. Des milliers de belges
en sont témoins – parmi lesquels des ingénieurs, des militaires, des
journalistes, des hauts fonctionnaires… Prenant l’affaire très au
sérieux, l’Etat lance des investigations, mobilise des spécialistes.
Peut-il s’agir d’un avion furtif ou d’un engin secret des USA ? Réponse
négative du gouvernement américain – pourquoi aurait-il investi sans
autorisation l’espace aérien belge, à la vue de tous ?
De cas en cas, les experts étudient, échafaudent des hypothèses, les
testent… les invalident. Ce n’est pas un phénomène météorologique,
affirment-ils, ni un hélicoptère, un appareil militaire, un ULM, un
ballon ou quoi que ce soit de connu.
« Parmi les 2000 cas rapportés, 650 ont fait l’objet de recherches, 500
restent inexpliqués », commente le Général Wilfried De Brouwer, alors
Chef des opérations de l’Armée de l’air belge.
Cet ancien pilote de chasse et cadre de l’OTAN est formel : il y a bien eu
au-dessus de la Belgique une vague d’OVNIS – objets volants non
identifiés.
Des Faits Récurrents
L’événement n’est pas isolé. Partout dans le monde, depuis la fin des années 40,
les témoignages s’accumulent. Considérées fréquemment comme
folkloriques, ces histoires bousculent quand elles émanent de gens
expérimentés et dignes de confiance, confrontés aux phénomènes dans
l’exercice de leur fonction :
Pilotes civils et militaires, spationautes, contrôleurs aériens, experts
radars, astronomes, cadres de la recherche spatiale ou de l’armée…
Souvent les premiers surpris d’avoir à admettre cette réalité.
Dans UFOs, la journaliste d’investigation Leslie Kean leur donne la parole.
Pour cet ouvrage de référence, dont la version française est à paraître,
l’américaine a enquêté pendant dix ans, interviewant en profondeur les
principaux acteurs, épluchant les documents officiels et les rapports
d’enquêtes, accédant off record à des informations sensibles.
Parmi les dix-neuf contributeurs de son livre, se trouvent des pilotes ayant
vécu une rencontre rapprochée, des cadres de la Défense ou de la
Recherche ayant officiellement enquêté sur ces phénomènes, ainsi que des
responsables politiques et des généraux de l’Armée.
Clairs, précis, documentés, leurs témoignages se rejoignent…
Clairs, précis, documentés, leurs témoignages se rejoignent, leurs conclusions
concordent : des Etats-Unis à la France en passant par le Royaume-Uni,
le Brésil, le Pérou, le Chili, le Portugal, l’Iran ou l’Australie.
« La réalité d’objets volants non identifiés n’est pas une question de
croyance, d’opinion ni de choix ; c’est un fait. Ces objets peuvent être
observés par de multiples témoins, photographiés, détectés par des
radars, et laisser des marques au sol », écrit Leslie Kean.
Pour les étudier, plusieurs pays ont même créé des structures
d’investigation, souvent rattachées à l’armée de l’air ou au ministère
de la Défense.
En France, depuis 1977, le Groupe d’étude et d’information sur les
phénomènes aéronautiques non identifiés (GEIPAN) est une unité du très
sérieux Centre national d’études spatiales (CNES).
« Nos méthodes d’analyse et de contrôle sont rigoureuses, indique
Jean-Jacques Vélasco, qui l’a dirigé pendant 27 ans. Nous partons de
données collectées par des organismes publics, tels que la gendarmerie,
la police, la marine, l’aviation civile et militaire.
Nos enquêtes sont précises, réalisées en double lecture. Pour ne pas être
sujette à caution, notre démarche doit être scientifique. »
De quoi ébranler les plus sceptiques. « Face aux histoires incroyables que
me racontaient certains pilotes, je me disais qu’il s’agissait de
phénomènes naturels ou d’effets d’optique,raconte Richard Haines, ancien
chercheur de la NASA.
Mais plus je penchais sérieusement sur le sujet, plus je comprenais qu’il y
avait quelque chose. » Même son de cloche chez l’astronome Josef Hynek,
chargé par l’Etat américain d’enquêter sur les OVNI de 1951 à 1969 :
« Au début, j’étais le pire ennemi des amis des soucoupes volantes ! Je
les prenais pour une bande de fêlés et d’illuminés. Je me faisais un
point d’honneur à résoudre ces cas. Mais petit à petit, j’ai changé de
point de vue », jusqu’à être convaincu « que le phénomène OVNI était
réel », confesse-t-il en 1977.
Des technologies intelligentes
Bien sûr, la science progresse. Bien sûr, certaines observations étonnantes
trouveront un jour une cause météorologique, astrophysique, géologique,
électromagnétique…
Mais « si 90 à 95% des objets volants peuvent être identifiés, les 5 à 10%
restants doivent nous interroger,écrit Leslie Kean : tout ce qu’on sait,
c’est qu’il ne s’agit ni d’une énorme farce, ni de phénomènes naturels,
ni d’engins fabriqués par l’homme. »
A l’appui de cette affirmation : les performances extraordinaires
démontrées par ces objets volants non identifiés, qui « défient les lois
de la gravité et de l’inertie telles que nous les connaissons, observe
Jean-Jacques Vélasco.
Les radars au sol et de bord confirment que leurs capacités sont bien
supérieures aux technologies aéronautiques et spatiales des pays les
plus avancés. »
C’est ainsi qu’en 1980, des officiers britanniques de la base militaire de
Rendlesham Forest ont découvert, posé sur leur sol, un engin ne
ressemblant à rien de connu, dont émanait une brillante lumière.
« Quand nous nous en sommes approchés, nos radios se sont mises à
délirer, explique le Sergent James Penniston. Au bout de 45 minutes, la
lumière intérieure s’est intensifiée, puis l’engin a décollé sans bruit,
à une vitesse dépassant l’entendement. Il a disparu en un clin d’œil. »
Autre fait troublant : leur intelligence d’anticipation, de réaction et
d’interaction. Le Général Parviz Jafari peut en témoigner : en 1976, ce
pilote iranien a pourchassé un OVNI. « Un objet lumineux, plus gros et
plus brillant qu’une étoile, planait à basse altitude au-dessus de
Téhéran », raconte-t-il dans UFOs.
Sa hiérarchie lui demander de décoller ; lorsqu’il arrive à proximité de
l’objet, celui-ci prend de l’altitude. « Des flashs stroboscopiques
intenses de couleur rouge, verte, orange et bleue » l’empêchent de
discerner un engin matériel.
Il s’approche davantage ; « l’objet saute soudain de dix degrés sur sa
droite, en un instant. » L’équivalent de 11 kilomètres, en une fraction
de seconde… L’objet répète plusieurs fois sa sidérante manœuvre.
« Lorsque mon coéquipier parvient à le localiser sur notre radar, sa
taille à l’écran est celle d’un pétrolier ». Il décide d’ouvrir le feu
;« à ce moment, mes armes s’enrayent et ma radio se brouille » ! Et
l’engin recule de 43 km en un éclair, « comme à la vitesse de la lumière».
Il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un OVNI…
Le pilote iranien n’est pas au bout de ses surprises : des choses rondes
sortent du premier engin, foncent vers son avion puis tournent autour.
Chaque fois qu’il essaie de réagir, sa radio et ses instruments de bord
tombent en panne.
« Encore aujourd’hui je ne sais pas ce que j’ai vu, conclut-il, mais je
ne peux douter de sa réalité. Mon copilote, les contrôleurs aériens, les
officiers du quartier général, tous l’ont vu. Les radars l’ont
enregistré.
Je n’ai que deux regrets : n’avoir pas eu d’appareil photo à bord, ni le
réflexe de lui lancer un appel radio – qui êtes vous ? SVP, communiquez
avec nous ! »
Quatre ans plus tard au Pérou, le Commandant Oscar Santa Maria Huertas vit la
même expérience, lorsqu’il reçoit l’ordre d’intercepter une sorte de
ballon volant illégalement au-dessus de la base aérienne de La Joya,
sous les yeux de 1800 soldats.
« A chaque fois que je l’avais dans mon viseur, à la dernière seconde, il
prenait de la hauteur », raconte le pilote. Quand il parvient à tirer,
les projectiles sont « absorbés » par l’objet.
Nullement endommagé, celui-ci se met à jouer au chat et à la souris, grimpant
très rapidement puis s’arrêtant soudain, comme pour attendre le
péruvien, puis repartant aussi sec à une allure spectaculaire. Lancé en
vitesse supersonique, Oscar Santa Maria Huertas finit par se retrouver à
19000 mètres d’altitude.
« Ce n’était pas un ballon, mais un objet de dix mètres de diamètre,
composé d’un dôme brillant de couleur crème et d’une base circulaire
argentée, auquel il manquait toutes les composantes habituelles d’un
avion :
Pas d’aile, pas de système de propulsion, pas de fenêtres, pas d’antenne…
J’ai alors réalisé qu’il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un
OVNI », écrit le pilote.
« Si un pays était parvenu à développer de telles technologies, elles
auraient révolutionné le transport aérien, l’armement et les lois de la
physique, commente le Général De Brouwer.Encore aujourd’hui, elles nous
sont inconnues. »
L’hypothèse extra-terrestre
Comment expliquer, alors, ces phénomènes ? Pour la plupart des scientifiques
qui se sont penchés sur la question, l’éventualité d’une origine
extra-terrestre ou inter-dimensionnelle paraît la plus logique.
« Cette hypothèse doit être considérée avec le sérieux et la rigueur qui
lui sont due, tant qu’aucune autre interprétation crédible n’a été
formulée », affirme l’ancien directeur du CNES Yves Sillard.
C’est aussi le constat « ferme et prudent » du rapport COMETA, publié en 1999
à l’initiative d’anciens de l’Institut des hautes études de défense
nationale (IHEDN) – parmi lesquels des généraux, un amiral, des
ingénieurs en armement, des chercheurs en aéronautique, un commissaire
de la police nationale, un ancien président du CNES et un ex-responsable
du GEIPAN.
Après trois ans d’analyse de cas issus de différents pays, ses auteurs
concluent que ce qui semble être « des engins volants, capables de
performances exceptionnelles guidées par une intelligence naturelle ou
artificielle », pourrait être d’origine extraterrestre.
Ces phénomènes démontrent que nous avons encore beaucoup à apprendre...
« C’est l’explication la plus rationnelle, même si elle n’est pas
scientifiquement prouvée », confirme le Général Denis Letty, ancien
pilote de chasse et membre du groupe COMETA.
Surtout à une époque où la découverte de plusieurs centaines d’exo-planètes
rouvre le champ des possibles, où les avancées de la physique esquissent
d’autres approches de la réalité, d’autres dimensions du monde…
Notre civilisation serait alors « comme un groupe d’hommes préhistoriques se
retrouvant soudain face à une télévision ou un four à micro-ondes »,
sourit Leslie Kean.
Un champ d’investigation extraordinaire...
Le sujet, pourtant, reste sulfureux. Dommage, estiment les experts, car
l’humanité se prive d’un champ de recherche extraordinaire, sur lequel
la mobilisation internationale d’équipes interdisciplinaires pourrait
permettre de faire évoluer les connaissances.
Plutôt que d’en rejeter la possibilité, pourquoi ne pas s’émerveiller du
mystère que les OVNIS représentent, des perspectives qu’ils esquissent ?
« La réalité objective des phénomènes aérospatiaux non identifiés ne
fait plus aucun doute. Le climat de suspicion et de désinformation,
voire de dérision, qui entoure trop souvent la collecte des cas,
illustre une forme surprenante d’aveuglement intellectuel, écrit Yves
Sillard à Leslie Kean.
C’est la raison pour laquelle beaucoup de témoins se taisent, notamment
chez les pilotes, civils ou militaires, qui craignent pour leur
carrière. »
De la collecte d’informations factuelles et de leur analyse, pourtant,
pourraient naître « des hypothèses complètement nouvelles, fondées sur
des conceptions cosmologiques encore en gestation », à même de « changer
notre vision du monde physique et de l’univers alentour », estime
l’ancien patron du CNES.
« La communauté scientifique doit accepter de sortir le dossier OVNI du
paranormal », plaide aussi Jacques Patenet, qui a dirigé le GEIPAN
pendant près de trois ans. Alors que beaucoup de chercheurs ont peur de
se discréditer, « ces phénomènes démontrent que nous avons encore
beaucoup à apprendre, note le Général José Carlos Pereira, ancien Chef
des opérations de l’armée de l’air brésilienne.
Depuis Aristote, les êtres humains se posent les mêmes questions : qui nous
sommes, d’où nous venons, où nous allons. La recherche sur les OVNIS
peut être un moyen d’obtenir des réponses. »
Une chose est sûre : « Le phénomène OVNI recèle quelque chose de
suprêmement important, qui pourrait être transformateur pour l’ensemble
d’entre nous, conclut Leslie Kean. Il est temps d’ouvrir nos yeux et de
découvrir ce que c’est. »
Vidéos en anglais,seules disponibles.
Adélaïde, la capitale cosmopolite
Adélaïde par-ci, Adélaïde par-là… Nous devons bien l’avouer, la capitale de l’Australie du Sud
est souvent citée sur ce blog.
Que ce soit pour sa gastronomie, ses plages ou bien même pour ses animations, Adélaïde est une ville
riche et dynamique. Elle est à l’image de l’Etat : intéressante, grandiose et éclectique !
Diversité. Ce terme est sûrement celui qui qualifierait le mieux la cité
australienne. Central Market, Torrens River, le zoo, ses monuments
historiques et ses églises, la ville est composée d’une multitude
d’ingrédients qui la rendent si unique.
Chaque quartier est une découverte, de l’hyper-centre au Chinatown, Adélaïde
étonne et marque chaque visiteur par son ambiance. Pour mieux vous en
rendre compte, ces 14 photos représentent parfaitement la ville et ses
différentes facettes. Bon voyage !
Se balader dans ses rues est toujours source de découvertes. Vous pouvez
être sûr qu’il y aura toujours un lieu qui vous plaira ! On espère vous
voir bientôt sur place. Évidement, pour plus de renseignements sur la
ville, nous sommes toujours là pour répondre à toutes vos questions ...
Les multinationales de l'habillement n'avaient pas encore inondé le marché
de leur marchandise uniformisée. Les tenus étaient donc d'une infinie
diversité.
On aurait presque tendance à l’oublier mais, à une époque pas si lointaine
que ça, les femmes ne s’habillaient pas toutes de la même manière aux
quatre coins du globe.
Ce qu’on appelle aujourd’hui les tenues traditionnelles ou folkloriques étaient en réalité les tendances du moment !
Les multinationales de l’habillement n’avaient pas encore envahi le marché
pour vendre les mêmes choses à tout le monde et, du coup, la mode était
encore d’une diversité exceptionnellement riche et bigarrée.
Prenons par exemple les années 1900-1910. A cette époque, la mondialisation
n’était encore qu’un concept flou et la photographie était déjà là pour
témoigner de la beauté des femmes à travers le monde.
Bref, c’est sans doute la meilleure période de l’histoire pour illustrer
cette formidable richesse vestimentaire aujourd’hui en voie de disparition.
Sur Flickr, un certain PostMan s’est amusé à collectionner les cartes postales de ces années là.
Venues du monde entier, elles ne sont pas juste pleines de nostalgie :
elles sont surtout très inspirantes et belles à regarder. En voici 20,
histoire de s’offrir un petit voyage dans l’espace… et dans le temps !
Femme des Philippines (Luzon)
Source : PostMan
Jeune gitane jouant de la mandoline.
Source : PostMan
Femme soldat au Japon.
Source : inconnue
Anna May Wong, première star américaine d’origine chinoise (cinéma).
Source : PostMan
Jeunes Algériennes.
Source : PostMan
Une fille berbère.
Source : PostMan
Lily Eslie (1886-1962), actrice et chanteuse britannique.
Source : PostMan
Anna Pavlovna (1881-1931), danseuse russe.
Source : PostMan
Rita Martin (1875-1958), photographe.
Source : PostMan
La reine Marie de Roumanie (1875-1938).
Crédit photo :Inconnue
Une jeune inconnue.
Source : PostMan
Dame Népalaise.
Source : PostMan
Gabrielle Ray (1883-1973), actrice danseuse et chanteuse.
Source : PostMan
Une japonaise et son parapluie.
Source : PostMan
Marie-Louise Derval, actrice française.
Source : PostMan
Quatre sœurs philippines.
Crédit photo : inconnue
Une Japonaise et son peigne.
Source : PostMan
Une Vietnamienne et son sabre.
Source : PostMan
Miss Valli Valli (1882-1927), actrice allemande.
Source : PostMan
Une Tonkinoise et son grand chapeau (Viet-Nam).
Source : PostMan
Chacune de ces images témoigne d’une époque, d’un pays et d’une mode. Toutes
nous montrent à quelle vitesse notre monde change. En ce sens, elles
sont à la fois belles, émouvantes, et très instructives. Très précieux.