La riche décoration intérieure (esprit des fresques et silhouette du mobilier) et l’austérité des façades sur mer forment un exemple d’une architecture « pittoresco-académique » à tendance néo-antique et modern style.
« Le musée donne une idée particulièrement vivante de ce que fut la résidence d'un grand amateur d'art de la Belle Époque qui manifesta un attrait particulier pour le XVIIIe siècle » Corcuera (Vogue Décoration, 1985).
Neuf jardins entourent la villa sur sept hectares.
L'entrée des jardins offre une vue sur la rade de Villefranche-sur-Mer.
Aux jardins « à la française », lapidaire,japonais et roseraie initiaux, s'ajoutent les jardins espagnol, italien, exotique, provençal, réminiscences des voyages de la baronne
Après sa mort, d'autres jardins à thème seront rajoutés par le paysagiste Louis Marchand.
Le jardin « à la française », visible depuis les salons, occupe la partie centrale des jardins. Il est composé d'une pièce d'eau centrale et est entouré de bassins latéraux et de plantations disposées symétriquement.
Alentours la cascade se déversant dans un bassin peuplé de carpes Koï sont entourés de différentes variétés d'acer palmatum.
La roseraie, située à l'extrémité du jardin, pousse au pied d'un petit temple de forme hexagonale avec ses roses Baronne E. de Rothschild, Princesse de Monaco, Dynastie de Mepitac et ses rosiers grimpants Pierre de Ronsard.
À côté de ces jardins existant depuis l'origine de la villa, d'autres jardins à thème ont été développés : Le jardin florentin avec son escalier en fer à cheval dissimulant une grotte humide agrémentée d'un éphèbe de marbre.
Le jardin provençal situé sur le versant opposé à la roseraie, offre une vue pittoresque avec ses oliviers et pins courbés par le vent. Il répand une odeur agréable avec ses lavandes, ses agapanthes et ses bouquets de polygalas.
Plusieurs petits chemins rejoignent le temple de l'Amour entouré de plantes aromatiques puis, de là, le jardin à la française.
Chambre Directoire Le boudoir de la baronne Lits jumeaux dans la chambre bleue [url=http://www.villa-ephrussi.com/fr/dossiers/vues-exterieures?galerie=1#prettyPhoto[gallery1]/17/] [/url] Edifié sur la presqu’île de Saint-Jean-Cap-Ferrat, ce palais de style Renaissance, qui se visite comme un musée, fait rimer nature et culture. [url=http://www.villa-ephrussi.com/fr/dossiers/vues-interieures?galerie=1#prettyPhoto[gallery1][/url]
Elle transforme les pétales de fleurs, les feuilles et d'autres plantes en dessins.
«Je suis à la recherche de lumière et de beauté et je fais de l'art à partir de ce que je trouve.»
La jeune femme, explique avoir eu l'idée de se lancer dans ces créations en voyant les pétales d'un des coquelicots orange dans son jardin qui l'ont fait penser à un poisson rouge.
«J'ai très vite compris qu'avec des fleurs, je peux faire des choses que la peinture ne permet pas», explique la jeune artiste.
Certaines créations (comme les visages avec beaucoup de détails) peuvent prendre plusieurs heures.
Mais d'autres peuvent être terminées en quelques instants.
«Souvent, les plantes ressemblent déjà à ce que je veux en faire et la création ne demande alors que quelques minutes, comme pour un lapin fait de feuilles, et dont la queue est faite de graines.»
«Je ramasse habituellement des petites branches et des fleurs au hasard de mes promenades dans la nature ou dans mon jardin.»
«Je dépose ensuite mes trouvailles sur une table et je vois ce que je peux en faire.
Elles ont leur propre motif et je me contente de les placer là où elles vont naturellement.» Bridget Collins
Le jardin est un lieu tranquille dans la ville de Tarbes.
On y trouve beaucoup d'animaux rares et intéressants, de belles fleurs, des arbres datant de 1830, une calèche ainsi que les vestiges d'un cloître qui proviennent de l'abbaye de Saint-Sever-de-Rustan, parmi d'autres vieux bâtiments. Cloître
Il fait construite à cette fin un bâtiment de style oriental, dominé par une tour d'observation sur les Pyrénées, œuvre de l'architecte tarbais Jean-Jacques Latour.
À la mort de Massey en 1853, les travaux de construction du muséum furent interrompus et le projet d'un jardin d'hiver fut abandonné.
Le musée a été créé à la suite du legs qu'il fit, donnant à la ville de Tarbes une partie de ses propriétés et notamment le jardin et le chantier inachevé du muséum.
Quelques années plus tard, la ville de Tarbes décida de construire une serre (l'orangerie) en remplacement.
C'est un bel exemple des constructions métalliques qui étaient en vogue au XIXe siècle.
Au cours des années, le jardin a bénéficié de multiples protections au titre des monuments historiques:
~ un premier classement le 9 octobre 1890 concernant les restes du cloître de l'abbaye de Saint-Sever-de-Rustan remontés dans le jardin,
~ une inscription le 29 octobre 1975 concernant les façades et toitures du musée Massey,
~ une inscription le 2 juin 1992 concernant le jardin lui-même, les statues et le kiosque et
~ un dernier classement le 27 juillet 1995 concernant la serre métallique.
_ Plusieurs statues parsèment le jardin. :
~ La plus connue et celle qui fit le plus polémique en son temps est sans doute celle de Edmond Desca nommé L'Ouragan qui était à l'origine en plâtre et qui fut fondu en bronze par la mairie de Tarbes en 1887.
La nudité de l'homme représenté sur la statue déplut à une tranche conservatrice de la population qui fit circuler des pétitions pour que la statue ne soit plus exposée en public. ... Un conservateur du jardin fit même mettre un caleçon sur la statue pour cacher ses attributs
.. Aujourd'hui, la statue est scellée devant le musée Massey.
D'autres statues sont placées dans différents endroits du parc dont une
L'Ouragan (titulaire(s) et droits sur les photos: Musée d'Orsay, Fonds Debuisson )- mairie
************************************************************* Parc paysager du milieu du XIXème siècle, clôturé par une grille monumentale de 1,2 kilomètre de longueur, d'une surface de 114.870 m², situé en plein centre-ville.
Ouvert au public toute l'année.
~Il se compose entre autres d’allées et de pelouses,
~de deux lacs et de canaux en galets alimentés en eau.
~La décoration florale représente la plantation de 50.000 plantes à massifs chaque année.
~Il est également pourvu d’aires de pique-nique en sous-bois,
~d’un jardin aquatique,
~d’un espace de jeux pour enfants.
_La flore de ce Jardin est composée d'un grand nombre
~ de végétaux, d'origine exotique et européenne, remarquables par leur beauté et la diversité de leurs essences.
_On y dénombre ainsi 1500 arbres,
~la plupart centenaires et
~3800 arbustes.
_Cette riche collection provient des cinq parties du monde et les espèces d'origine exotique représentent 50 % des plantations.
Un étiquetage discret facilite l'identification des sujets.
Bonjour Victoria Waouh !....après les richesses de votre ville je suis émerveillée de voir ce parc de la Tête d' Or ! celui de Kervalo , plus intime , est aussi très beau . Merci pour vos jolies photos ( il faudrait que Brice ajoute un gif avec des larmes , snif snif ...moi je n' ai rien d' aussi joli près de chez moi ! ) J ' aime beaucoup les roses trémières ...mais je n' en vois plus depuis quelques années , encore snif snif !
Fleurs luxuriantes et délicatement parfumées, les pivoines sont cultivées depuis l’Antiquité.
Avec une floraison débutant au printemps jusqu’au début de l’été, elles ont l’avantage de repousser c
bracelets des demoiselles d'honneur, pour remplacer les traditionnels bouquets.
feuilles et baies. Les fleurs sont montées sur un ruban ivoire que vous
pourrez nouer autour du poignet (en faisant un ou deux tours).
ail
Thème mariage en extérieur
mariage princesse 3
Mariage orange et fuchsia
mariage d'été
fleurs pour la mariée!
Boîte dragées orchidée ivoire
La villa Kérylos, à Beaulieu-sur-Mer , a été construite par l'architecte Emmanuel Pontremoli entre 1902 et 1908 sur un promontoire rocheux surplombant la Méditerranée, sur la route du bord de mer.
Cette habitation construite et meublée sur le modèle des villas de la Grèce antique du IIe et du Ier siècle av. J.-C. pour l'archéologue et spécialiste de l'époque hellénistique, Théodore Reinach (1860-1928), est léguée à l'Institut de France en 1928.
La riche décoration intérieure (esprit des fresques et silhouette du mobilier) et l’austérité des façades sur mer forment un exemple d’une architecture « pittoresco-académique » à tendance néo-antique et modern style.
Des matériaux précieux ont été utilisés : marbre de Carrare, albâtre, bois exotiques et citronnier.
Les meubles en bois sont incrustés d'ivoire, de bronze et de cuir.
La villa est gérée depuis le 1er janvier 2016 par le Centre des monuments nationaux
Article du
magazine.bellesdemeures.com :
Dans la baie de Beaulieu-sur-Mer, la Villa Kerylos est un palais grec
reconstitué, à vivre comme un voyage autour de la Méditerranée Antique.
Beaulieu :
Ses habitants sont appelés les Saint-Jeannois
La villa Ephrussi de Rothschild,
appelée aussi villa Île-de-France, est un des plus beaux palais de style Renaissance de la Côte d'Azur construit sur un sommet de la presqu'île du cap Ferrat entre 1905 et 1912 à Saint-Jean-Cap-Ferrat par la baronne Béatrice Ephrussi de Rothschild (1864-1934).
« Le musée donne une idée particulièrement vivante de ce que fut la résidence d'un grand amateur d'art de la Belle Époque qui manifesta un
attrait particulier pour le XVIIIe siècle » Corcuera (Vogue Décoration, 1985).
Neuf jardins entourent la villa sur sept hectares.
Ils sont attribués aux architectes-paysagistes Achille Duchêne et Harold Peto.
L'entrée des jardins offre une vue sur la rade de Villefranche-sur-Mer.
Aux jardins « à la française », lapidaire, japonais et roseraie initiaux, s'ajoutent les jardins espagnol, italien, exotique, provençal, réminiscences des voyages de la baronne
Après sa mort, d'autres jardins à thème seront rajoutés par le paysagiste Louis Marchand.
Le jardin « à la française », visible depuis les salons, occupe la partie centrale des jardins. Il est composé d'une pièce d'eau centrale et est entouré de bassins latéraux et de plantations disposées
symétriquement.
Les bassins sont agrémentés de jacinthes d'eau.
Il est dominé par un temple de l'Amour et une cascade à degrés.
Le jardin espagnol est composé d'une grotte fraîche, d'une pergola et d'un canal empli de plantes aquatiques, philodendrons, papyrus et bordé de strelitzia, grenadiers et de daturas.
le jardin lapidaire met en scène, à l'ombre d'un camphrier et d'un cannelier de Californie, des bas-reliefs et gargouilles provenant d'édifices civils ou religieux.
Azalées, camélias japonica, rhododendrons, fuchsias, hydrangeas anabelle et solendra fleurissent de février à avril.
Le jardin japonais, restauré au printemps 2003, comprend son jardin sec bordé d'ophiopogons verts et noirs, d'azalées, de cicas revolutas et de gardénias.
Alentours la cascade se déversant dans un bassin peuplé de carpes Koï sont entourés de différentes variétés d'acer palmatum.
La roseraie, située à l'extrémité du jardin, pousse au pied d'un petit temple de forme hexagonale avec ses roses Baronne E. de Rothschild, Princesse de Monaco, Dynastie de Mepitac et ses rosiers
grimpants Pierre de Ronsard.
À côté de ces jardins existant depuis l'origine de la villa, d'autres jardins à thème ont été développés :
Le jardin florentin avec son escalier en fer à cheval dissimulant une grotte humide agrémentée d'un éphèbe de marbre.
L'escalier se prolonge par une allée de cyprès qui domine la rade de Villefranche-sur-Mer.
Cette allée est bordée d'abelias, Streptosolen, lantanas, senecios, raphiolepsis. Un magnifique jacaranda fleurit au cœur de l'été.
Le jardin exotique, entièrement restauré en 1987, est découpé de sentiers sinueux serpentant au milieu de plantes succulentes et cactées (phormium, cierges, aloès, agaves, ferox, echinocactus grusonii, dasylirions, euphorbes.
Le jardin provençal situé sur le versant opposé à la roseraie, offre une vue pittoresque avec ses oliviers et pins courbés
par le vent.
Il répand une odeur agréable avec ses lavandes, ses agapanthes et ses bouquets de polygalas.
Plusieurs petits chemins rejoignent le temple de l'Amour entouré de plantes aromatiques puis, de là, le jardin à la française.
La villa et ses jardins sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 3 septembre 1996.
L'ensemble des jardins de la villa Ephrussi de Rothschild a reçu le label Jardin remarquable du ministère de la Culture en 2005
[/url][url=http://www.villa-ephrussi.com/fr/dossiers/jardins?galerie=1#prettyPhoto[gallery1]
[/url]
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Edifié sur la presqu’île de Saint-Jean-Cap-Ferrat, ce palais de style Renaissance, qui se visite comme un musée, fait rimer nature et culture.
Plan d'eau et jardins
Jardin exotique
Merci Victoria
Bridget Collins
Bridget Beth Collins est une artiste botanique.
Elle transforme les pétales de fleurs, les feuilles et d'autres plantes en dessins.
«Je suis à la recherche de lumière et de beauté et je fais de l'art à partir de ce que je trouve.»
La jeune femme, explique avoir eu l'idée de se lancer dans ces créations en voyant les pétales d'un des coquelicots
orange dans son jardin qui l'ont fait penser à un poisson rouge.
«J'ai très vite compris qu'avec des fleurs, je peux faire des choses que la peinture ne permet pas», explique la jeune artiste.
Certaines créations (comme les visages avec beaucoup de détails) peuvent prendre plusieurs heures.
Mais d'autres peuvent être terminées en quelques instants.
«Souvent, les plantes ressemblent déjà à ce que je veux en faire et la création ne demande alors que quelques minutes, comme pour un lapin fait de feuilles, et dont la queue est faite de graines.»
«Je ramasse habituellement des petites branches et des fleurs au hasard de mes promenades dans la nature ou dans mon jardin.»
«Je dépose ensuite mes trouvailles sur une table et je vois ce que je peux en faire.
Elles ont leur propre motif et je me contente de les placer là où elles vont naturellement.»
Bridget Collins
Vous pouvez admirer les œuvres de Bridget Collins sur son site et en découvrir d'autres dans son nouveau livre, Flora Forager: A Seasonal Journal Collected from Nature.
Bon dimanche !
Le Jardin Massey est un jardin public
de la ville de Tarbes, dans le département français des Hautes-Pyrénées.
Le jardin Massey a été dessiné et artistiquement composé au XIXe siècle, sous Louis-Philippe, par le botaniste Placide Massey (1777-1853), directeur des pépinières du Trianon et du potager de la Reine à Versailles, natif de Tarbes qui en fit don à sa ville natale à sa mort en 1853.
Il bénéficie du label « Jardin remarquable » décerné par le Ministère de la Culture.
Le jardin est un lieu tranquille dans la ville de Tarbes.
On y trouve beaucoup d'animaux rares et intéressants, de belles fleurs, des arbres
datant de 1830,
une calèche ainsi que les vestiges d'un cloître qui proviennent de l'abbaye de Saint-Sever-de-Rustan, parmi d'autres vieux bâtiments.
L’Abbaye de Saint-Sever-de-Rustan est un monastère bénédictin situé à Saint-Sever-de-Rustan (Hautes-Pyrénées) en France :
Au cœur du jardin, le musée Massey
Placide Massey voulait doter sa ville d'un muséum d’histoire naturelle.
Il fait construite à cette fin un bâtiment de style oriental, dominé par une tour d'observation sur les Pyrénées, œuvre de l'architecte tarbais Jean-Jacques Latour.
À la mort de Massey en 1853, les travaux de construction du muséum furent interrompus et le projet
d'un jardin d'hiver fut abandonné.
Le musée a été créé à la suite du legs qu'il fit, donnant à la ville de Tarbes une partie de ses
propriétés et notamment le jardin et le chantier inachevé du muséum.
Quelques années plus tard, la ville de Tarbes décida de construire une serre (l'orangerie) en remplacement.
C'est un bel exemple des constructions métalliques qui étaient en vogue au XIXe siècle.
La serre fut réhabilitée en 1980.
Au cours des années, le jardin a bénéficié de multiples protections au titre des monuments historiques:
~ un premier classement le 9 octobre 1890 concernant les restes du cloître de l'abbaye de Saint-Sever-de-Rustan remontés dans le jardin,
~ une inscription le 29 octobre 1975 concernant les façades et toitures du musée Massey,
~ une inscription le 2 juin 1992 concernant le jardin lui-même, les statues et le kiosque et
~ un dernier classement le 27 juillet 1995 concernant la serre métallique.
_ Plusieurs statues parsèment le jardin. :
~ La plus connue et celle qui fit le plus polémique en son temps est sans doute
celle de Edmond Desca nommé L'Ouragan qui était à l'origine en plâtre et qui fut fondu en bronze par la mairie de Tarbes en 1887.
La nudité de l'homme représenté sur la statue déplut à une tranche conservatrice de la population qui fit circuler des pétitions pour que la statue ne soit plus exposée en public.
... Un conservateur du jardin fit même mettre un caleçon sur la statue pour cacher ses attributs
.. Aujourd'hui, la statue est scellée devant le musée Massey.
D'autres statues sont placées dans différents endroits du parc dont une
représentant le poète Jules Laforgue
Théophile Gauthier.
A l'entrée du parc, un buste de Placide Massey accueille les visiteurs.
devant l'École supérieure d'art et céramique.
*************************************************************
Parc paysager du milieu du XIXème siècle, clôturé par une grille monumentale de 1,2 kilomètre de longueur, d'une surface de 114.870 m², situé en plein centre-ville.
Ouvert au public toute l'année.
~Il se compose entre autres d’allées et de pelouses,
~de deux lacs et de canaux en galets alimentés en eau.
~La décoration florale représente la plantation de 50.000 plantes à massifs chaque année.
~Il est également pourvu d’aires de pique-nique en sous-bois,
~d’un jardin aquatique,
~d’un espace de jeux pour enfants.
_La flore de ce Jardin est composée d'un grand nombre
~ de végétaux, d'origine exotique et européenne, remarquables par leur beauté et la
diversité de leurs essences.
_On y dénombre ainsi 1500 arbres,
~la plupart centenaires et
~3800 arbustes.
_Cette riche collection provient des cinq parties du monde et les espèces d'origine exotique représentent 50 % des plantations.
Un étiquetage discret facilite l'identification des sujets.
_Les sportifs pourront y retrouver :
~ un terrain de boules lyonnaises
~ et 6 courts de tennis.
_De nombreuses animations sont prososées comme :
~ un petit train pour les enfants,
~ un espace animalier,
~ des spectacles de théâtre ou
~ de musique,
~ des expositions….
Le Musée Massey, devenu le Musée International des Hussards, a été intégralement restauré
et a été inauguré en mars 2012 par le Ministre de la Culture Frédéric Mitterrand.
Un mouflon au jardin
Une allée de trachycarpus
L'Hôtel de Ville de Tarbes date des années 1904-1908.
Le monument à Danton a été acquis par la ville de Tarbes en 1901, bien que Danton
n'ait eu aucun rapport avec la Bigorre ou les Hautes Pyrénées
///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Le parc Bel Air :
Ce parc d'une surface de 3,5 hectares, lieu de
quiétude et de promenade, est très apprécié des populations riveraines.
Il a été réhabilité en 1987.
Autrefois propriété du Baron de Rothschild,
il était beaucoup plus étendu et couvrait une dizaine d'hectares.
Ses
arbres centenaires, son plan d'eau, son aire de jeux et ses grandes
pelouses font sa renommée auprès d'un large public.
Ancienne propriété de la famille Fould qui a fourni
de nombreux cadres politiques locaux et nationaux, ce parc a été acheté par la municipalité en 1978 et réhabilité en 1982 à l'initiative de Paul Chastellain.
La ville Fould, en son sein, héberge le siège
administratif du Parc National des Pyrénées.
Promenade piétonne aménagée sur 2 km, elle est
devenue au fil des ans un coin de nature au coeur de la ville.
Elle se
poursuit au nord et au sud de Tarbes dans les communes avoisinantes,
offrant ainsi un parcours récréatif de 8 km.
Le Haras National de Tarbes a été créé en 1806 par
Napoléon et avait pour vocation la reproduction des chevaux, essentiellement pour les armées.
Avec l'évolution sociétale, son activité s'est développée autour du loisir équestre et de l'agriculture
avec la présence des chevaux de trait.
Depuis plusieurs années, le site n'était plus exploité et l'Etat a décidé de mettre le site en vente.
Ainsi la Mairie de Tarbes a racheté le 19 juillet 2016 à l'Institut Français du Cheval et de l'Equitation (IFCE) ce site classé monument historique, d'une superficie totale de 9 hectares en plein coeur de
ville.
Ce parc moderne aménagé entre 2000 et 2003,
s'articule autour de la rivière « L' Echez »,
véritable trait d'union
entre la zone universitaire de Bastillac et le Quartier Solazur.
L'Echez constitue l'épine dorsale du projet :
une passerelle piétonne
relie les différents équipements entre eux :
plaine de jeux, jeux d'enfants, aire de pique-nique, collections botaniques, boisements, coulée verte, jardins de quartier.
Sa surface est de 7 hectares et sa
végétation, arbres tiges et boisements, représente 1 330 unités.
Le quartier Nord de Tarbes a connu ces dernières
années un véritable lifting.
Les grandes barres HLM ont fait place
successivement à des pavillons ou résidences de peu d'étages.
De grandes allées sont apparues avec des pistes cyclables.
Un remaniement total, pour une meilleure qualité de vie du quartier où s'est ouvert
"Les Bois Blancs", un parc de 16.000 m² inauguré en 2010.
Il offre aux habitants un espace de grande qualité paysagère et des
espaces de jeux pour les enfants (2 aires et un terrain multisports).
Le
thème des 5 continents (Amérique, Afrique, Asie, Océanie et Europe) est
représenté par les plantations.
Concrètement, ce sont des îlots qui ont été dessinés par près de 200 arbres et une végétation venue d' ailleurs.
La grande pelouse au centre du parc permet d'accueillir des manifestations :
le carnaval, le festival du cirque ou tout autre événement contribuant à animer
le quartier.
Waouh !....après les richesses de votre ville je suis émerveillée de voir ce parc de la Tête d' Or ! celui de Kervalo , plus intime , est aussi très beau .
Merci pour vos jolies photos
J ' aime beaucoup les roses trémières ...mais je n' en vois plus depuis quelques années , encore snif snif !