Les herbes et les mousses ne sont pas les seules plantes à mettre sur une toiture verte.
En tenant compte des spécificités du bâtiment et sa disposition, on peut s’offrir des jardins fleuris, des toitures à plantes grasses et mêmes planter des arbres et arbustes sur son toit.
Il y a trois types principaux de toitures vertes et vous pouvez vous informer ici quels sont les avantages et les inconvénients des types.
Un décor végétal pour plonger le visiteur au cœur des histoires :
Avec 35 000 arbres, 450 000 arbustes et plus de 1 million de fleurs plantées chaque année,
les jardins et espaces verts de Disneyland Paris font partie intégrante de l’expérience des visiteurs.
Loin d’être de simples ornements, les arbres, plantes ou fleurs de la destination participent à créer une atmosphère dépaysante et à donner vie à l’histoire.
Les équipes doivent respecter 16 thématiques différentes, avec des contraintes de couleurs et de hauteur tout en tenant compte de la nature vivante du végétal à travers les quatre saisons.
Le Parc Disneyland est composé de cinq pays thématiques, les lands.
Chacun de ces lands emmène les visiteurs dans un univers fantastique pour vivre les histoires créées par Disney.
Pour rendre cette expérience encore plus riche, les plantes, les fleurs, les arbres et tous les végétaux sont choisis, disposés et taillés avec soin afin de s’intégrer parfaitement dans le décor.
Ainsi, les fleurs aux tons discrets, avec des parterres soignés et structurés s’intègrent parfaitement dans l’ambiance de petite ville victorienne du début du XXe siècle de Main Street U.S.A.
À Frontierland, des séquoias (sequoia giganteum) et des pins noirs d’Autriche (pinus nigra Austriaca) recréent le décor de l’Ouest américain et évoquent les grands espaces quand 180 espèces de cactus, dont certains dépassent trois mètres de haut, contribuent à plonger les visiteurs dans l’environnement aride du désert.
À Adventureland, univers dédié aux aventuriers dans des contrées lointaines et exotiques, l’équipe Nature et Environnement a dû faire preuve d’ingéniosité pour créer une végétation luxuriante et verdoyante été comme hiver, utilisant des plantes exotiques, mais également en appliquant des techniques de taille spécifiques pour favoriser la pousse des feuilles.
Dans le Walt Disney Studios, les arbres et arbustes s’intègrent dans un environnement urbain au cœur des studios de production.
On y trouve des essences exotiques qui rappellent l’atmosphère des studios de cinéma californiens : grenadiers à fleurs, magnolia grandiflora, palmiers, arbres à soie, marronniers rouges ou encore érables à sucre et chênes verts.
Des topiaires d’if et de buis donnent également une véritable dimension de spectacle à la végétation.
L’expérience se poursuit dans les sept hôtels Disney, chacun racontant une histoire différente avec une thématique que l’on retrouve également dans la végétation.
Par exemple, on trouve des yuccas, des arbustes bas et de nombreux minéraux au Disney’s Hotel Santa Fe®, inspiré du style pueblo du sud des États-Unis ; au Disney’s Hotel Cheyenne®, graminées et herbacées recréent un environnement de plaines de l’Ouest sauvage.
Enfin, le Disney’s Sequoia Lodge® est quant à lui niché au milieu de 500 séquoias importés des États-Unis et au cœur d’une végétation de sous-bois de montagne, évoquant les parcs naturels américains.
Ainsi, grâce à ces espaces verts spécialement conçus et développés pour prolonger la magie, chaque hôtel à thème offre une atmosphère unique. Autre particularité des hôtels, les fleurs fraiches coupées qui sont arrangées en compositions et disposées chaque jour dans les hôtels pour le plaisir des visiteurs. Le château de Cendrillon, au parc Tokyo Disneyland
Il aura fallu déplacer 3,4 millions de mètres cubes de terre pour fabriquer les collines et les vallées de Disneyland® Paris.
Les paysagistes de Disneyland Paris ont planté plus de 35 000 arbres et 450 000 arbustes venus des 4 coins du monde, dont un cèdre de 150 ans.
Deux fois par an, les jardiniers de Disneyland Paris taillent les 2,5 km de haies de Alice’s Curious Labyrinth.
Ce qui représente en réalité 7,5 km de haies puisqu’elles ont trois faces !
Le plus haut cactus de Disneyland Paris mesure près de 5,60 m et le plus âgé de ces « artichauts épineux » a dépassé la cinquantaine.
Le plus spectaculaire de tous les parterres est sans doute celui que les visiteurs découvrent à l’entrée du parc, une tête de Mickey de 30 mètres de circonférence.
Il faut plus de 2 500 plantes fleuries pour le remplir.
Il change bien entendu de couleur à chaque saison.
Parmi les nombreux arbres plantés au Disney’s Sequoia Lodge, la vedette est un cèdre de 35 ans, haut de 12 m, large de 9 m, pesant presque 16 tonnes et provenant de Versailles.
Transféré avec les plus grands soins, les jardiniers ont respecté une orientation nord-est pour la plantation.
Leurs efforts sont récompensés : le grand bébé se porte le mieux du monde dans son nouvel environnement.
L’arbre le plus haut de Disneyland Paris fait 21 mètres de hauteur.
Il s’agit du banian d’Adventure Isle, au cœur d’Adventureland, qui abrite la Cabane des Robinson.
Toutefois, cet arbre ne risque pas de grandir davantage ou de perdre ses feuilles :
c’est le seul arbre artificiel du parc Disneyland.
Il a été créé par des artistes qui lui ont donné l’aspect d’un arbre véritable en fixant minutieusement sur ses branches plus de 300 000 feuilles.
1000 Séquoias ont été importés de Colombie Britannique au Canada pour être plantés lors de la construction en 1990
Les plantes aquatiques, ou hydrophytes sont des plantes dont la totalité du cycle biologique se réalise dans l'eau ou à sa surface et ne supportent pas l'exondation. Ce sont des algues, des bryophytes et des végétaux vasculaires, ptéridophytes et spermatophytes qui ne produisent généralement pas de vraies racines car pouvant prélever les nutriments dont elles ont besoin directement dans l'eau.
Certaines espèces (nénuphars par exemple) produisent des rhizomes qui constituent une réserve d'énergie pour la saison suivante ; Les macrophytes aquatiques semblent en régression depuis un siècle au moins dans les zones, mais on connait mal les espèces qui vivaient par exemple dans les lacs et cours d'eau il y a plusieurs siècles, même si l'étude des pollens piégés par les sédiments (palynologie) et des macrofossiles récents peut nous y aider
Les plantes aquatiques sont portées par la masse d'eau et ne développent pas de tissus de soutien.
Elles s’affaissent donc dès qu’on les sort de l’eau et supportent très mal l’exondation.
Leurs graines sont généralement disperées par l'eau (hydrochorie) et/ou des animaux (zoochorie).
Leur adaptation au milieu aquatique est variable et s'observe tant sur l'appareil végétatif : présence de tissus permettant la flottaison (aérenchymes), adaptation morphologique au courant via la production de feuilles filiformes ou linéaires allongées), que sur l'appareil reproducteur. On rencontre dans ces différents groupes des plantes totalement immergées, d'autres, les plus nombreuses, partiellement émergées ou à feuilles flottantes. Elles sont généralement fixées au fond l'eau et plus rarement sur un substrat dur (bois immergé, roche, étant alors parfois encroutantes). Quelques-unes sont libres, dérivant entre deux eaux ou flottant en surface (lentille d'eau par exemple). Très peu de plantes vasculaires sont réellement hydrogames (dont la fécondation se déroule dans l'eau) : la plupart d'entre elles portent leurs fleurs à la surface et leur fécondation est plus souvent réalisée par le vent (plantes anémogames, en général à fleurs dépourvues de pétales) ou par les insectes (plantes entomogames).
Les milieux qui accueillent ces plantes sont variés, eau douce ou eau salée ou saumâtre, eau plus ou moins stagnante ou courante, température plus ou moins élevée...
Il s'agit notamment de lacs, d'étangs, de mares, de cours d'eau, de deltas et d'estuaires ou de lagunes...
Les plantes dans le milieu aquatique marin sont le plus souvent nommées phanérogames marins.
La plante suivante, qu’on désigne de « trolle » de couleur albâtre, est utilisée pour la décoration des bordures des bassins et jardins aquatiques. Dans la nature, elle pousse aussi près de cours d’eaux et de lacs. Vous pouvez profiter de ses jolies fleurs durant les mois de juin à août. De fait de son aspect, l’espèce pistia stratiotes est désignée par l’appellation de laitue d’eau. Son feuillage vert flotte librement sur la surface de l’eau de façon à apporter aux jardins aquatiques un look frais même durant les mois chauds. Très appréciée par la faune des bassins naturels pour son ombrage, elle est aussi, du fait de sa croissance rapide, un très bon choix pour les jardiniers impatients. Les nénuphars sont certainement l’espèce de plantes aquatique les plus connues et les plus admirées. La nymphaea tetragona convient parfaitement à la décoration de petits bassins d’eau. Elle vous enchantera avec ses fleurs blanches qui dégagent un parfum agréable durant les mois de l’été.
(Drosophylla) Plante Carnivore Ce gobe-mouches de Vénus se ferme en 1/10e de seconde, dès que sa proie déclenche le signal : un contact avec deux de ses minuscules poils ou deux contacts avec le même.
Les plantes carnivores sont des espèces végétales qui se nourrissent non seulement par la photosynthèse, mais aussi en attirant, capturant et finalement digérant de petites proies.
À la maison, ces plantes exotiques aident à résoudre partiellement le problème des insectes, tout en ajoutant un charme tropical magnifique à l’ambiance.
Il existe plus de 500 d’espèces de plantes carnivores dans le monde, mais elles partagent toutes, plus ou moins, les mêmes habitudes alimentaires caractéristiques.
Elles montrent un appétit à envier pour les petits insectes, les acariens et d’autres petits invertébrés.
Mais faut-il les »nourrir » avec de l’engrais? C’est fortement déconseillé.
Comme elles vivent dans des sols pauvres un apport d’éléments nutritifs invasif leur semblera brutal.
Les plantes carnivores se contentent de très peu et se débrouillent normalement très bien toutes seules.
La règle d’or d’arrosage à suivre est que les plantes carnivores ne doivent jamais manquer d’eau.
Elles ont besoin d’arrosage très fréquent,voire quotidien.
La plupart de cette espèce de plantes vient des régions tropicales, mais on peut les trouver sous presque toutes les latitudes.
Elles sont originaires de milieux pauvres et acides et sont donc incapables de s’adapter à notre « eau du robinet ».
Arrosez les plantes carnivores avec de l’eau déminéralisée, purifiée par l’osmose ou de l’eau de pluie.
Bien que les plantes carnivores obtiennent la plupart de leurs nutriments par les insectes qu’elles assimilent, elle se nourrissent également par la photosynthèse.
Cela signifie que le soleil est important pour elles.
Toutefois, le rayonnement solaire ne devrait pas être direct, car cela peut brûler leurs feuilles.
Il est important de les acheter uniquement des magasins fiables car, malheureusement, beaucoup d’espèces de ce genre sont menacées ou considérées en voie de disparition.
Parfois magnifiques, parfois ragoûtantes, les plantes carnivores fascinent les hommes depuis leur découverte il y a 250 ans.
Leur faculté à capturer des proies vivantes, qui leur vaut ce terme « carnivore » ou « insectivore », apparaît comme une curiosité de la nature, allant à l’encontre de l’image pacifique et immobile des végétaux.
Majoritairement adeptes des régions tropicales, elles se retrouvent désormais dans les foyers, jouant un rôle de plantes exotiques d’ornement.
Si certaines espèces se font discrètes dans leur procédé d’alimentation, dû à leur système dit passif, d’autres sont plus impressionnantes et apparaissent comme de véritables prédateurs.
La Dionée, dite « attrape-mouche » qui se referme sur ses victimes telle une gueule de requin blanc, est incontestablement la plante carnivore star.
Qu’elle se nourrisse d’insectes volants, de fourmis ou de plancton, la fleur carnivore puise à travers cette alimentation l’énergie et les éléments indispensables à sa survie, trop peu présents dans le sol souvent pauvre qui l’accueille.
Piège: Passif Capture: Attiré par le nectar de la fleur, l’insecte entre le tube. Les parois étant glissantes, il tombe dans le fond de la plante rempli de liquide et se noie après épuisement. Les enzymes présentes feront le reste.
Les Heliamphoras sont des plantes carnivores nécessitant un maximum d’ensoleillement et d’humidité La digestion de ces plantes carnivores est de type bactérien L’Heliamphora pousse en altitude Drosera Origine: hémisphère sud, principalement Australie. Europe pour certaines espèces.
Piège: Semi-Passif Capture: Les feuilles de la plantes se couvrent d’un liquide collant, mimant la rosée du matin, attirant ainsi les insectes. La proie s’y retrouve engluée puis asphyxiée par la plante se refermant sur elle.
Les Heliamphoras sont des plantes carnivores nécessitant un maximum d’ensoleillement et d’humidité La digestion de ces plantes carnivores est de type bactérien L’Heliamphora pousse en altitude Drosera Origine: hémisphère sud, principalement Australie. Europe pour certaines espèces.
Piège: Semi-Passif Capture: Les feuilles de la plantes se couvrent d’un liquide collant, mimant la rosée du matin, attirant ainsi les insectes.
La proie s’y retrouve engluée puis asphyxiée par la plante se refermant sur elle. La Drosera est une plante carnivore et plus précisément insectivore La Drosera est originaire de l’hémisphère sud, en particulier d’Australie La Drosera est recouverte de glue, ce qui lui permet de piéger ses proies Le piège de la Drosera est de type semi actif. Après avoir maîtrisé l’insecte, elle se referme pour mettre en action ses cellules digestives Certains principe actifs de la Drosera sont utilisés dans le secteur pharmaceutique Dionée attrape-mouche ou Dionaea Origine: Caroline du Nord & Caroline du Sud (Etats-Unis)
Piège: Actif Capture: Attiré par le nectar, l’insecte se pose dans la gueule de la plante, qui se referme aussitôt sur lui, telle une bouche.
Les plantes Carnivores du Québec - La Sarracénie - Plantes des #tourbières - Plantes #insectivores - Sarracénie pourpre
Le genre Sarracenia compte une petite dizaine de vivaces carnivores qui poussent, à l'origine, dans les marais acides du Canada arctique jusqu'à la Floride.
Certaines espèces ont un feuillage persistant et d'autres caduc.
Des urnes érigées de 30 à 90 cm de hauteur piègent les insectes.
Elles ont des arêtes latérales et sont recourbées au sommet, avec une ouverture ronde et des opercules dressés, striés de rouge.
Les insectes tombent dans les urnes et, en tant que plante carnivore, elle les digère.
Des phyllodes, feuilles plates sans urnes se développent aussi, ils sont linéaires et, la plupart du temps, persistants.
Des fleurs apparaissent au printemps, plus hautes que les urnes ; elles sont solitaires, inclinées ou pendantes, plus ou moins en coupe avec 4 ou 5 pétales.
Le Sarracenia est sans doute l'une des plantes carnivores les plus faciles à cultiver.
Il est assez rustique puisqu'il supportera jusqu'à -5°C.
Famille : SarracéniacéesType : vivace Origine : Amérique du NordCouleur : fleurs jaunes, blanche, pourpre ou roses Semis : oui Bouture : non Plantation : printemps Floraison : printempsHauteur : jusqu'à 1 m Sol et exposition idéals pour le Sarracenia en pot
Le Sarracenia est une plante de milieu acide et humide.
Préparez un substrat de tourbe blonde de sphaigne mélangé à 50/50 avec du sable ou de la perlite.
Une exposition en pleine lumière est nécessaire mais sans risque de brûlure par les rayons directs du soleil.
Date de semis, de division et de plantation du Sarracenia
C'est au printemps que vous sèmerez le Sarracenia à 16-21°Cn après stratification des graines durant 15 jours.
Les pieds seront repiqués en godets quand ils auront au moins 3 urnes.
La division des pieds se fait au printemps également tout comme la plantation.
Conseil d’entretien et de culture du Sarracenia
Durant la croissance, le sol doit être en permanence maintenu humide.
En été, placez les pots sur des soucoupes d'eau non calcaire.
En hiver, respectez la période de repos nécessaire au Sarracenia : diminuez le taux d'humidité, maintenez la plante dans une pièce plus fraiche et atténuez la lumière.
Les phyllodes qui apparaissent parfois juste avant l'hiver ne doivent pas être coupés car ils entretiennent une activité chlorophyllienne.
Lorsque de nouvelles feuilles se développeront au printemps, vous pourrez alors les couper. Maladies, nuisibles et parasites du Sarracenia Les cochenilles et les pucerons sont des nuisibles pour les Sarracenia.
Emplacement et association favorable du Sarracenia
C'est une plante qui se cultive pratiquement toujours en pot afin de lui appporter le substrat nécessaire.
Si vous voulez le mettre en pleine terre, choisissez un sol humifère et acide en plein soleil.
Variétés conseillées de Sarracenia pour cultiver une plante carnivore
On en compte 8 espèces au total parmi lesquelles Sarracenia flaca ou sarracène à fleurs jaunes, feuilles persistantes aux fleurs jaunes et aux urnes vert-jaune avec ouvertures striées de rouge,
Sarracenia leucophylla, semi-persistante aux fleurs pourpres et aux urnes blanches plus ou moins veinées de rouge,
Sarracenia purpurea (photo ci-contre), aux fleurs pourpre foncé et rose ou rouge foncé, et aux urnes pourpre veinées de pourpre foncé ou de vert, résistant jusqu'à-15°C...
Ils sont les grands prédateurs de l'été : les frelons asiatiques, plus gros et plus résistants, terrorisent les ruches d'abeilles et perturbent nos déjeuners d'été en terrasse. Mais selon le Jardin des plantes de Nantes, le règne sans partage de ces prédateurs volants pourrait toucher à sa fin. La Sarracenia, originaire d'Amérique du Nord et qui n'a donc «jamais vu de frelons avant» a «inventé un piège très sélectif» pour attraper ces bestioles, se réjouit Romaric Perrochereau, directeur de la serre.
Un appât à base de phéromones
En ouvrant au hasard l'une des feuilles au capuchon pourpre de la plante carnivore «Sarracenia», le spécialiste s'exclame : «Là, c'est du frelon asiatique ! Il est vraiment bien gros, légèrement orangé. La plante, on voit qu'elle n'arrive pas à digérer l'aile.»
Attiré par le nectar et les phéromones situés sur la lèvre de la plante, le frelon à pattes jaunes a plongé dans le long tube de la feuille, puis a «perdu pied et glissé dans le toboggan, et est resté piégé au fond où il a été mangé par des sucs digestifs», explique M. Perrocheau.
Si ces plantes carnivores sont installées depuis 2010, ce n'est qu'à l'automne dernier que Christian Besson, jardinier botaniste, s'est rendu compte que les frelons asiatiques étaient attirés par les sarracénies. Pendant des visites au public, il les trouvait «assez facilement» dans les feuilles de la plante.
Étonné de cette découverte, Romaric Perrocheau décide alors d'étudier avec un spécialiste des insectes du Muséum d'Histoire naturelle le contenu de 200 «urnes» où finissent les cadavres des proies de la plante. Chacune contient «en moyenne trois frelons asiatiques et trois mouches, mais jamais aucune guêpe, aucune abeille, aucun frelon européen», affirme le directeur du Jardin des plantes.
ette plante pourrait-elle alors endiguer l'invasion de cette espèce étrangère? «On est loin d'éradiquer les frelons asiatiques», tempère le directeur du Jardin des Plantes: chaque Sarracenia contient «dix à quinze urnes et peut attirer jusqu'à 50 insectes. Or, dans un nid de frelons, c'est 4.000 individus».
Pour Éric Darrouzet, enseignant-chercheur à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de l'Université de Tours (centre), si «la découverte est intéressante», on ne sait pas pour l'instant si celle ci se révélera «majeure ou mineure».
La plante elle même ne peut donc pas éradiquer l'espèce, mais le chercheur «espère» cependant trouver dans la plante «une super molécule attractive» qui pourra être utilisée comme «appât» pour un prototype de piège 100% sélectif qu'il teste actuellement à Tours. Ce dernier devrait être commercialisé dès 2016.
En attendant l'avancée des recherches scientifiques, la Sarracenia, facile à cultiver et ne présentant «aucun risque de propagation dans la nature», peut être installée «sur des zones de protection, près des ruches», note le directeur du Jardin des plantes. Elle pourrait alors sauver nos précieuses abeilles... et vos soirées barbecues. Les plantes carnivores se cultivent dans le Lot-et-Garonne
Le bosquet des Trois Fontaines Créé par le Nôtre en 1677, ce bosquet est le seul mentionné sur un plan ancien comme étant « de la pensée du roi ». Il est composé de trois terrasses dont chacune présente un bassin différent. Restauré depuis 2005, il a retrouvé sa magnifique composition et ses jeux d’eau voulus par le souverain : au bassin inférieur, les jets forment une fleur de lys, au centre, des lances verticales et une voûte d’eau, en haut enfin, une colonne d’eau
Elle regroupe près de 3 300 variétés de rosiers sur une surface totale de 1,52 hectare.
La roseraie du Val-de-Marne a été créée par Jules Gravereaux (1844-1916) à L’Haÿ, petite commune de la banlieue sud de Paris qui prendra le nom de
L'Haÿ-les-Roses en 1914 en raison de la renommée déjà acquise à cette époque par la roseraie, honorée par son blason.
Cet homme d’affaires a réuni et collectionné des centaines de variétés différentes de rosiers dès 1894.
Il fait finalement appel au célèbre paysagisteÉdouard André (1840-1911) pour mettre en valeur ses collections et créer un jardin consacré entièrement à la « reine » des fleurs.
C’est ainsi qu’est né un nouveau style de l’art des jardins où la rose constitue l’élément unique de décoration végétale : la roseraie.
Le jardin a été acquis en 1936 par le département de la Seine, puis transféré en 1968 au département du Val-de-Marne.
Il a été renommé « Roseraie du Val-de-Marne » en 1994. roses sauvages, cultivées, roses d'hier et d'aujourd'hui, roses d'ici et d'ailleurs... Plus de 13 000 pieds sont présentés au public.
La roseraie à la française est constituée de massifs de rosiers disposés autour du miroir d’eau.
L’allée de l’histoire des roses reprend une sélection de rosiers caractéristiques de l’évolution de la rose.
L’allée des rosiers botaniques présente une collection de rosiers sauvages, tels qu’ils poussent dans la nature.
L’allée des rosiers rugueux, des rosiers particulièrement résistants.
L’allée des rosiers pimprenelle présente des rosiers dits pimprenelle c’est-à-dire dont le feuillage ressemble à celui des pimprenelles.
Le jardin des roses galliques reprend toutes les variétés de roses connues jusqu’au XVIIIe siècle.
L’allée des roses de la Malmaison est une copie de la collection de roses réunies par Joséphine de Beauharnais au début du XIXe siècle.
Le jardin des roses d’Extrême-Orient propose une collection de rosiers originaires de Chine, du Japon, d’Inde, de Perse...
Le jardin des roses horticoles anciennes présente des variétés de rosiers issus de croisements entre des rosiers galliques et des rosiers d’Extrême-Orient.
Le jardin des roses étrangères modernes met en valeur les plus belles obtentions des créateurs de roses étrangers.
Le jardin des roses françaises modernes reprend les créations horticoles françaises, autour du Temple de l’Amour.
L’allée des roses thé regroupe des variétés de rosiers obtenus au XIXe siècle, dont les roses sont particulièrement parfumées et semblent fleurir aux quatre saisons.
La roseraie de Mme Gravereaux présente des rosiers de fleurs à couper.
La Roseraie du Val-de-Marne a été reconnue dès 1991 Collection nationale de roses anciennes par le Conservatoire de Collection Végétale Spécialisée (CCVS).
En 1995, la Roseraie a également reçu la toute première récompense Award of Garden Excellence, prix d'excellence du jardin, de la Fédération mondiale des sociétés de roses.
toits végétalisés :
Les scandinaves sont très attachés à leurs toits végétalisés, à tel point qu’il existe même un concours pour sélectionner
le plus beau «toit vert » organisé par l’association scandinave Green Roof.
Les
toits végélatisés ne sont pas que beaux ils ont de nombreux avantages,
ils réduisent les coûts de chauffage en hiver, gardent la maison fraiche
en été, ils absorbent l’eau de pluie et se conservent plusieurs années.
En parlant de toitures vertes et d’architecture verte, on pense toujours à une architecture moderne et innovante mais les maisons à toiture végétalisée sont une invention ancienne, de véritables maisons à vivre que les hommes dans les pays scandinaves utilisaient depuis des siècles.
Les images qu’on a trouvées vont vous amener dans un monde merveilleux de plaines vertes éloignées du monde connu et d’anciennes maisons qui se sont organiquement adaptées au paysage.
La plupart des photos sont prises en Norvège et en Islande où les gens connaissaient l’architecture écologique et créaient des maisons et des fermes en turf.
Ils prenaient des cailloux, du gazon, de l’herbe et tout ce qu’ils avaient comme matériel naturel de leur environnement.
Le résultat sont ces maisons fantastiques qui nous font penser aux contes de fées et aux mythes devenus réalité.
Cette architecture primitive avait en fait plusieurs effets pratiques
– la terre, l’herbe et la mousse isolaient l’intérieur de l’habitation du froid, de l’humidité et des conditions climatiques
défavorables.
Les maisons se collaient l’une à l’autre et on y vivait,
travaillait, élevait les animaux sans falloir sortir quand il faisait
froid.
A nos jours on crée des toitures végétales pour des raisons esthétiques et écologiques.
Puisqu’on a très
peu de parterres vertes dans les cités, l’architecture vert devient déjà
une nécessité.
Les herbes et les mousses ne sont pas les seules plantes à mettre sur
une toiture verte.
En tenant compte des spécificités du bâtiment et
sa disposition, on peut s’offrir des jardins fleuris, des toitures à
plantes grasses et mêmes planter des arbres et arbustes sur son toit.
Il
y a trois types principaux de toitures vertes et vous pouvez vous
informer ici quels sont les avantages et les inconvénients des types.
Un décor végétal pour plonger le visiteur au cœur des histoires :
Avec
35 000 arbres, 450 000 arbustes et plus de 1 million de fleurs plantées
chaque année,
les jardins et espaces verts de Disneyland Paris font
partie intégrante de l’expérience des visiteurs.
Loin d’être de simples ornements, les arbres, plantes ou fleurs de la destination participent à créer une atmosphère dépaysante et à donner vie à l’histoire.
Les équipes doivent respecter 16 thématiques différentes, avec des contraintes de couleurs et de hauteur tout en tenant compte de
la nature vivante du végétal à travers les quatre saisons.
Le Parc Disneyland est composé de cinq pays thématiques, les lands.
Chacun de ces lands emmène les visiteurs dans un univers fantastique
pour vivre les histoires créées par Disney.
Pour rendre cette expérience
encore plus riche, les plantes, les fleurs, les arbres et tous les
végétaux sont choisis, disposés et taillés avec soin afin de s’intégrer parfaitement dans le décor.
Ainsi, les fleurs aux tons discrets, avec des parterres soignés et
structurés s’intègrent parfaitement dans l’ambiance de petite ville
victorienne du début du XXe siècle de Main Street U.S.A.
À Frontierland, des séquoias (sequoia giganteum) et des pins noirs d’Autriche (pinus nigra Austriaca) recréent le décor de l’Ouest américain et évoquent les grands espaces quand 180 espèces de cactus, dont
certains dépassent trois mètres de haut, contribuent à plonger les
visiteurs dans l’environnement aride du désert.
À Adventureland, univers dédié aux aventuriers dans des contrées lointaines et
exotiques, l’équipe Nature et Environnement a dû faire preuve
d’ingéniosité pour créer une végétation luxuriante et verdoyante été comme hiver, utilisant des plantes exotiques, mais également en
appliquant des techniques de taille spécifiques pour favoriser la pousse
des feuilles.
Dans le Walt Disney Studios, les arbres et arbustes s’intègrent dans un environnement urbain au cœur des studios de production.
On y trouve des essences exotiques qui rappellent l’atmosphère des studios de cinéma californiens : grenadiers à fleurs, magnolia grandiflora, palmiers, arbres à soie, marronniers rouges ou encore érables à sucre
et chênes verts.
Des topiaires d’if et de buis donnent également une
véritable dimension de spectacle à la végétation.
L’expérience se poursuit dans les sept hôtels Disney, chacun racontant une histoire différente avec une thématique que l’on retrouve
également dans la végétation.
Par exemple, on trouve des yuccas, des arbustes bas et de nombreux minéraux au Disney’s Hotel Santa Fe®, inspiré du style pueblo du sud des États-Unis ; au Disney’s Hotel Cheyenne®, graminées et herbacées recréent un environnement de plaines de l’Ouest sauvage.
Enfin, le Disney’s Sequoia Lodge® est quant à lui niché au milieu de 500 séquoias importés des États-Unis et au cœur d’une végétation de sous-bois de montagne, évoquant les parcs naturels américains.
Ainsi, grâce à ces espaces verts spécialement conçus et développés pour prolonger la magie, chaque hôtel à thème offre une atmosphère unique. Autre particularité des
hôtels, les fleurs fraiches coupées qui sont arrangées en compositions
et disposées chaque jour dans les hôtels pour le plaisir des visiteurs.
Il aura fallu déplacer 3,4 millions de mètres cubes de terre pour fabriquer les collines et les vallées de Disneyland® Paris.
Les paysagistes de Disneyland Paris ont planté plus de 35 000 arbres et 450 000 arbustes venus des 4 coins du monde, dont un cèdre de 150 ans.
Deux fois par an, les jardiniers de Disneyland Paris taillent les 2,5 km de haies de Alice’s Curious Labyrinth.
Ce qui représente en réalité 7,5 km de haies puisqu’elles ont trois faces !
Le plus haut cactus de Disneyland Paris mesure près de 5,60 m et le plus âgé de ces « artichauts épineux » a dépassé la cinquantaine.
Le plus spectaculaire de tous les parterres est sans doute celui que les visiteurs découvrent à l’entrée du parc, une tête de Mickey de 30 mètres de circonférence.
Il faut plus de 2 500 plantes fleuries pour le remplir.
Il change bien entendu de couleur à chaque saison.
Parmi les nombreux arbres plantés au Disney’s Sequoia Lodge, la vedette est un cèdre de 35 ans, haut de 12 m, large de 9 m, pesant presque 16 tonnes et provenant de Versailles.
Transféré avec les plus grands soins, les jardiniers ont respecté une
orientation nord-est pour la plantation.
Leurs efforts sont récompensés :
le grand bébé se porte le mieux du monde dans son nouvel environnement.
L’arbre le plus haut de Disneyland Paris fait 21 mètres de hauteur.
Il s’agit du banian d’Adventure Isle, au cœur d’Adventureland, qui
abrite la Cabane des Robinson.
Toutefois, cet arbre ne risque pas de grandir davantage ou de perdre ses feuilles :
c’est le seul arbre artificiel du parc Disneyland.
Il a été créé par des artistes qui lui ont donné l’aspect d’un arbre véritable en fixant minutieusement sur
ses branches plus de 300 000 feuilles.
1000 Séquoias ont été importés de Colombie Britannique au Canada pour être plantés lors de la construction en 1990
Les plantes aquatiques, ou hydrophytes sont des plantes dont la totalité du cycle biologique se réalise dans l'eau ou à sa surface et ne supportent pas l'exondation.
Ce sont des algues, des bryophytes et des végétaux vasculaires, ptéridophytes et spermatophytes qui ne produisent généralement pas de vraies racines car pouvant
prélever les nutriments dont elles ont besoin directement dans l'eau.
Certaines espèces (nénuphars par exemple) produisent des rhizomes qui constituent une réserve d'énergie pour la saison suivante ;
Les macrophytes aquatiques semblent en régression depuis un siècle au
moins dans les zones, mais on connait mal les espèces qui vivaient par
exemple dans les lacs et cours d'eau il y a plusieurs siècles, même si
l'étude des pollens piégés par les sédiments (palynologie) et des macrofossiles récents peut nous y aider
Nénuphars à Anduze, France
Les plantes aquatiques sont portées par la masse d'eau et ne développent
pas de tissus de soutien.
Elles s’affaissent donc dès qu’on les sort de
l’eau et supportent très mal l’exondation.
Leurs graines sont
généralement disperées par l'eau (hydrochorie) et/ou des animaux (zoochorie).
Leur adaptation au milieu aquatique est variable et s'observe tant sur l'appareil végétatif : présence de tissus permettant la flottaison
(aérenchymes), adaptation morphologique au courant via la production de
feuilles filiformes ou linéaires allongées), que sur l'appareil
reproducteur.
On rencontre dans ces différents groupes des plantes totalement immergées, d'autres, les plus nombreuses, partiellement émergées ou à
feuilles flottantes.
Elles sont généralement fixées au fond l'eau et plus rarement sur un substrat dur (bois immergé, roche, étant alors parfois encroutantes).
Quelques-unes sont libres, dérivant entre deux eaux ou flottant en surface (lentille d'eau par exemple).
Très peu de plantes vasculaires sont réellement hydrogames (dont la fécondation se déroule dans l'eau) : la plupart d'entre elles
portent leurs fleurs à la surface et leur fécondation est plus souvent
réalisée par le vent (plantes anémogames, en général à fleurs dépourvues de pétales) ou par les insectes (plantes entomogames).
Les milieux qui accueillent ces plantes sont variés, eau douce ou eau salée ou saumâtre, eau plus ou moins stagnante ou courante,
température plus ou moins élevée...
Il s'agit notamment de lacs, d'étangs, de mares, de cours d'eau, de deltas et d'estuaires ou de
lagunes...
Les plantes dans le milieu aquatique marin sont le plus souvent nommées phanérogames marins.
une espèce à petites fleurs de couleur jaune d’or. Elle se développe en
touffes dans les bassins aquatiques et près des cours d’eau. Ses belles
fleurs annoncent le début du printemps.
Primula vialii est une plante de la famille des Primulacées. Elle se caractérise par ses fleurs en forme
de lance. La primevère fleurit en couleurs du rose ou du blanc durant
les mois du début au milieu de l’été.
cette plante possède de belles fleurs de couleur bleu qui s’élèvent sur
une tige d’une hauteur d’environ 10 cm. C’est ce qui en fait une
excellente décoration pour un bassin d’eau aménagé sur plusieurs
niveaux.
vous permettra de profiter d’encore plus de teintes variées dans votre
jardin d’eau.
La plante suivante, qu’on désigne de « trolle » de couleur albâtre, est utilisée pour la décoration des
bordures des bassins et jardins aquatiques. Dans la nature, elle pousse
aussi près de cours d’eaux et de lacs. Vous pouvez profiter de ses
jolies fleurs durant les mois de juin à août.
De fait de son aspect, l’espèce pistia stratiotes est désignée par l’appellation de laitue d’eau. Son feuillage vert flotte
librement sur la surface de l’eau de façon à apporter aux jardins
aquatiques un look frais même durant les mois chauds. Très appréciée par
la faune des bassins naturels pour son ombrage, elle est aussi, du fait
de sa croissance rapide, un très bon choix pour les jardiniers
impatients.
Les nénuphars sont certainement l’espèce de plantes aquatique les plus connues et les plus admirées. La nymphaea tetragona convient parfaitement à la décoration de petits bassins d’eau. Elle vous enchantera avec ses fleurs blanches qui dégagent un parfum agréable durant les mois de l’été.
Les plantes carnivores sont des espèces végétales qui se nourrissent en attirant, capturant et finalement digérant des petites proies.
Nepenthes spectabilis est une plante carnivore endémique de Sumatra, et qui pousse entre 1400 et 2200 m au-dessus du niveau de la
mer.
Nepenthès désigne les plantes avec un piège passif, qui piègent
leurs victimes, et spectabilis vient du latin visible, remarquable
.
Coquilles d’oursins remplies de plantes tillandsias.
On dirait des méduses.
Les urnes de
la sarracénie pourpre renferment des pièces d’eau particulièrement
riches en vie
.
Plantes carnivores dans les Alpes : sarracenia purpurea
Les cruches de Heliamphora chimantensis sont un exemple de pièges à fosse.
La Sarracenia, la plante carnivore qui tue les frelons asiatiques
Les plantes carnivores sont des espèces végétales qui se nourrissent en attirant, capturant et finalement digérant des petites proies.
(Drosophylla) Plante Carnivore
Ce gobe-mouches de Vénus se ferme en 1/10e de seconde, dès que sa proie déclenche le signal : un contact avec deux de ses minuscules poils ou
deux contacts avec le même.
.
Sarracenia rubra est une espèce carnivore originaire d’Amérique du Nord, elle croît dans les marécages, les plaines humides, les sols sableux,
parfois tourbeux dans un climat tempéré et humide.
Le nom d'espèce rubra
vient du latin ruber qui signifie « rouge », allusion à la teinte rouge
que prennent les urnes en vieillissant.
les plantes carnivores drosera ont un piege passif
Le genre Sarracenia est une plante vivace carnivore qui pousse dans les marais acides d'Amérique du Nord.
Sarracenia purpurea, aux fleurs
pourpre foncé et rose ou rouge foncé, et aux urnes pourpre veinées de
pourpre foncé ou de vert
Jeremiah's Nepenthes Carnivorous Plants in the tropics
Les plantes carnivores sont des espèces végétales qui se nourrissent non seulement par la photosynthèse, mais aussi en attirant, capturant et finalement digérant de petites proies.
À la
maison, ces plantes exotiques aident à résoudre partiellement le problème des insectes, tout en ajoutant un charme tropical magnifique à l’ambiance.
Il existe plus de 500 d’espèces de plantes carnivores dans le monde, mais elles partagent toutes, plus ou moins, les mêmes habitudes alimentaires caractéristiques.
Elles montrent un appétit à envier pour les petits insectes, les acariens et d’autres petits invertébrés.
Mais
faut-il les »nourrir » avec de l’engrais? C’est fortement déconseillé.
Comme elles vivent dans des sols pauvres un apport d’éléments nutritifs
invasif leur semblera brutal.
Les plantes carnivores se contentent de très peu et se débrouillent normalement très bien toutes seules.
La règle d’or d’arrosage à suivre est que les plantes carnivores ne doivent jamais manquer d’eau.
Elles ont besoin d’arrosage très fréquent,voire quotidien.
La plupart de cette espèce de plantes vient des régions tropicales, mais on peut les trouver sous presque toutes les latitudes.
Elles sont originaires de milieux pauvres et acides et sont donc incapables de s’adapter à notre « eau du robinet ».
Arrosez les plantes carnivores avec de l’eau déminéralisée, purifiée par l’osmose ou de l’eau de pluie.
Bien que les plantes carnivores obtiennent la plupart de leurs nutriments par les insectes qu’elles assimilent, elle se nourrissent également par la photosynthèse.
Cela signifie que le soleil est important pour elles.
Toutefois, le rayonnement solaire ne devrait pas être direct, car cela peut brûler leurs feuilles.
Il est important de les acheter uniquement des magasins fiables car, malheureusement,
beaucoup d’espèces de ce genre sont menacées ou considérées en voie de
disparition.
Parfois magnifiques, parfois ragoûtantes, les plantes carnivores fascinent les hommes depuis leur découverte il y a 250 ans.
Leur faculté à capturer des proies vivantes, qui leur vaut ce terme
« carnivore » ou « insectivore », apparaît comme une curiosité de la nature, allant à l’encontre de l’image pacifique et immobile des végétaux.
Majoritairement adeptes des régions tropicales, elles se retrouvent désormais dans les foyers, jouant un rôle de plantes exotiques d’ornement.
Si certaines espèces se font discrètes dans leur procédé d’alimentation, dû à leur système dit passif, d’autres sont plus impressionnantes et apparaissent comme de véritables prédateurs.
La
Dionée, dite « attrape-mouche » qui se referme sur ses victimes telle une gueule de requin blanc, est incontestablement la plante carnivore star.
Qu’elle se nourrisse d’insectes volants, de fourmis ou de plancton, la fleur carnivore puise à travers cette alimentation l’énergie et les éléments indispensables à sa survie, trop peu présents dans le sol souvent pauvre qui l’accueille.
Piège: Passif
Capture: Attiré par le nectar de la fleur, l’insecte entre le tube.
Les parois
étant glissantes, il tombe dans le fond de la plante rempli de liquide et se noie après épuisement.
Les enzymes présentes feront le reste.
Les Heliamphoras sont des plantes carnivores nécessitant un maximum d’ensoleillement et d’humidité
La digestion de ces plantes carnivores est de type bactérien
L’Heliamphora pousse en altitude
Drosera
Origine: hémisphère sud, principalement Australie.
Europe pour certaines espèces.
Piège: Semi-Passif
Capture: Les feuilles de la plantes se couvrent d’un liquide collant, mimant la
rosée du matin, attirant ainsi les insectes. La proie s’y retrouve
engluée puis asphyxiée par la plante se refermant sur elle.
Les Heliamphoras sont des plantes carnivores nécessitant un maximum d’ensoleillement et d’humidité
La digestion de ces plantes carnivores est de type bactérien
L’Heliamphora pousse en altitude
Drosera
Origine: hémisphère sud, principalement Australie. Europe pour certaines espèces.
Piège: Semi-Passif
Capture: Les feuilles de la plantes se couvrent d’un liquide collant, mimant la
rosée du matin, attirant ainsi les insectes.
La proie s’y retrouve
engluée puis asphyxiée par la plante se refermant sur elle.
La Drosera est une plante carnivore et plus précisément insectivore
La Drosera est originaire de l’hémisphère sud, en particulier d’Australie
La Drosera est recouverte de glue, ce qui lui permet de piéger ses proies
Le piège de la Drosera est de type semi actif. Après avoir maîtrisé l’insecte, elle se referme pour
mettre en action ses cellules digestives
Certains principe actifs de la Drosera sont utilisés dans le secteur pharmaceutique
Dionée attrape-mouche ou Dionaea
Origine: Caroline du Nord & Caroline du Sud (Etats-Unis)
Piège: Actif
Capture: Attiré par le nectar, l’insecte se pose dans la gueule de la plante, qui se referme aussitôt sur lui, telle une bouche.
Les plantes Carnivores du Québec - La Sarracénie - Plantes des #tourbières - Plantes #insectivores - Sarracénie pourpre
Le genre Sarracenia compte une petite dizaine de vivaces carnivores qui poussent, à l'origine, dans les marais acides du Canada arctique
jusqu'à la Floride.
Certaines espèces ont un feuillage persistant et d'autres caduc.
Des urnes érigées de 30 à 90 cm de hauteur piègent les insectes.
Elles ont des arêtes latérales et sont recourbées au sommet, avec une ouverture ronde et des opercules dressés, striés de rouge.
Les insectes tombent dans les urnes et, en tant que plante carnivore, elle les digère.
Des phyllodes, feuilles plates sans urnes se développent aussi, ils sont linéaires et, la plupart du temps, persistants.
Des fleurs apparaissent au printemps, plus hautes que les urnes ;
elles
sont solitaires, inclinées ou pendantes, plus ou moins en coupe avec 4 ou 5 pétales.
Le Sarracenia est sans doute l'une des plantes carnivores les plus faciles à cultiver.
Il est assez rustique puisqu'il supportera jusqu'à -5°C.
Famille : SarracéniacéesType : vivace Origine : Amérique du NordCouleur : fleurs jaunes, blanche, pourpre ou roses Semis : oui Bouture : non Plantation : printemps
Floraison : printempsHauteur : jusqu'à 1 m Sol et exposition idéals pour le Sarracenia en pot
Le Sarracenia est une plante de milieu acide et humide.
Préparez un
substrat de tourbe blonde de sphaigne mélangé à 50/50 avec du sable ou de la perlite.
Une exposition en pleine lumière est nécessaire mais sans risque de brûlure par les rayons directs du soleil.
Date de semis, de division et de plantation du Sarracenia
C'est au printemps que vous sèmerez le Sarracenia à 16-21°Cn après stratification des graines durant 15 jours.
Les pieds seront repiqués en godets quand ils auront au moins 3 urnes.
La division des pieds se fait au printemps également tout comme la plantation.
Conseil d’entretien et de culture du Sarracenia
Durant la croissance, le sol doit être en permanence maintenu humide.
En été,
placez les pots sur des soucoupes d'eau non calcaire.
En hiver, respectez la période de repos nécessaire au Sarracenia : diminuez le
taux d'humidité, maintenez la plante dans une pièce plus fraiche et
atténuez la lumière.
Les phyllodes qui apparaissent parfois juste avant l'hiver ne doivent pas être coupés car ils entretiennent une activité chlorophyllienne.
Lorsque de nouvelles feuilles se
développeront au printemps, vous pourrez alors les couper.
Maladies, nuisibles et parasites du Sarracenia
Les cochenilles et les pucerons sont des nuisibles pour les Sarracenia.
Emplacement et association favorable du Sarracenia
C'est une plante qui se cultive pratiquement toujours en pot afin de lui
appporter le substrat nécessaire.
Si vous voulez le mettre en pleine
terre, choisissez un sol humifère et acide en plein soleil.
Pour un bassin naturel, le Sarracenia joue un rôle de plante épuratrice puisqu'elle piège les insectes, à installer dans la zone de régénération.
Variétés conseillées de Sarracenia pour cultiver une plante carnivore
On en compte 8 espèces au total parmi lesquelles Sarracenia flaca ou sarracène à fleurs jaunes, feuilles persistantes aux fleurs jaunes et aux urnes vert-jaune avec ouvertures striées de rouge,
Sarracenia leucophylla, semi-persistante aux fleurs pourpres et aux urnes blanches plus ou moins veinées de rouge,
Sarracenia purpurea (photo ci-contre), aux fleurs pourpre foncé et rose ou rouge foncé, et
aux urnes pourpre veinées de pourpre foncé ou de vert, résistant jusqu'à-15°C...
Ils sont les grands prédateurs de l'été : les frelons asiatiques, plus gros et plus résistants, terrorisent les ruches d'abeilles et perturbent
nos déjeuners d'été en terrasse. Mais selon le Jardin des plantes de
Nantes, le règne sans partage de ces prédateurs volants pourrait toucher
à sa fin.
La Sarracenia, originaire d'Amérique du Nord et qui n'a donc «jamais vu
de frelons avant» a «inventé un piège très sélectif» pour attraper ces
bestioles, se réjouit Romaric Perrochereau, directeur de la serre.
Un appât à base de phéromones
En ouvrant au hasard l'une des feuilles au capuchon pourpre de la plante
carnivore «Sarracenia», le spécialiste s'exclame : «Là, c'est du frelon
asiatique ! Il est vraiment bien gros, légèrement orangé. La plante, on
voit qu'elle n'arrive pas à digérer l'aile.»
Attiré par le nectar et les phéromones situés sur la lèvre de la plante,
le frelon à pattes jaunes a plongé dans le long tube de la feuille,
puis a «perdu pied et glissé dans le toboggan, et est resté piégé au
fond où il a été mangé par des sucs digestifs», explique M. Perrocheau.
Si ces plantes carnivores sont installées depuis 2010, ce n'est qu'à
l'automne dernier que Christian Besson, jardinier botaniste, s'est rendu
compte que les frelons asiatiques étaient attirés par les sarracénies.
Pendant des visites au public, il les trouvait «assez facilement» dans
les feuilles de la plante.
Étonné de cette découverte, Romaric Perrocheau décide alors d'étudier
avec un spécialiste des insectes du Muséum d'Histoire naturelle le
contenu de 200 «urnes» où finissent les cadavres des proies de la
plante. Chacune contient «en moyenne trois frelons asiatiques et trois
mouches, mais jamais aucune guêpe, aucune abeille, aucun frelon
européen», affirme le directeur du Jardin des plantes.
ette plante pourrait-elle alors endiguer l'invasion de cette espèce étrangère? «On est loin d'éradiquer les frelons asiatiques», tempère le
directeur du Jardin des Plantes: chaque Sarracenia contient «dix à
quinze urnes et peut attirer jusqu'à 50 insectes. Or, dans un nid de
frelons, c'est 4.000 individus».
Pour Éric Darrouzet, enseignant-chercheur à l'Institut de recherche sur
la biologie de l'insecte (IRBI) de l'Université de Tours (centre),
si «la découverte est intéressante», on ne sait pas pour l'instant si
celle ci se révélera «majeure ou mineure».
La plante elle même ne peut donc pas éradiquer l'espèce, mais le
chercheur «espère» cependant trouver dans la plante «une super molécule
attractive» qui pourra être utilisée comme «appât» pour un prototype de
piège 100% sélectif qu'il teste actuellement à Tours. Ce dernier devrait
être commercialisé dès 2016.
En attendant l'avancée des recherches scientifiques, la Sarracenia,
facile à cultiver et ne présentant «aucun risque de propagation dans la
nature», peut être installée «sur des zones de protection, près des
ruches», note le directeur du Jardin des plantes. Elle pourrait alors
sauver nos précieuses abeilles... et vos soirées barbecues.
Les plantes carnivores se cultivent dans le Lot-et-Garonne
le château de Versailles et ses jardins comptent parmi les plus illustres monuments du patrimoine
mondial et constituent la plus complète réalisation de l’art français du
XVIIe siècle.
Les jardins de Versailles vibrent de mille couleurs
Jardins à la française tracés au cordeau
Jardin à la française
Les orangers cohabitent avec les citronniers
Le Bassin du Plat-Fond, bosquet de la Fontaine des 52 jets d'eau dans les
jardins de Versailles. Jean Cotelle le Jeune/ au temps de Louis XIV
châteaux de Versailles et de Trianon - Photo (C) RMN-Grand Palais (Château de Versailles) /
Gérard Blot
Que serait Versailles sans ses jardins bien ordonnés, ses parterres d’eau reflétant la lumière, ses perspectives, ses bassins aux statues
majestueuses ?
Les jardins de Versailles sont l’œuvre d'André Le Nôtre.
Marie Antoinette
Jardins de Versailles, importante symétrie mais aussi de TRES nombreuses statue des dieux de l'Antiquité, véritables icônes pour
le roi soleil, en particulier Apollon.
Tout ça sans compter les nombreuses fontaines et bassins.
Le spectacle des Grandes eaux n'est visible que sept mois dans l'année. Il fait resplendir le château, ses jardins et ses 55 bassins et fontaines
Les bosquets :
Le bosquet des Trois Fontaines Créé par le Nôtre en 1677, ce bosquet est le seul mentionné sur un plan ancien comme étant « de la pensée du roi ».
Il est composé de trois terrasses dont chacune présente
un bassin différent.
Restauré depuis 2005, il a retrouvé sa magnifique
composition et ses jeux d’eau voulus par le souverain :
au bassin
inférieur, les jets forment une fleur de lys, au centre, des lances
verticales et une voûte d’eau, en haut enfin, une colonne d’eau
Le Potager du Roi a été construit entre 1678 et 1683 par Jean-Baptiste La Quintinie, à la demande de Louis XIV. Ouvert au public,
il abrite l'École nationale supérieure de paysage.
Classé monument
historique et jardin remarquable, ses jardiniers perpétuent l'art de la
taille et cultivent une grande diversité de fruits et légumes dans un
jardin à la Française.
Le Potager du Roi à Versailles s’étend sur 9 hectares. Il a été réalisé entre 1678 et 1683 par Jean-Baptiste de La Quintinie, alors
directeur des jardins royaux à la demande de Louis XIV.
Le site est
classé monument historique et jardin remarquable.
Le potager est devenu
un jardin urbain qui abrite l’Ecole nationale supérieure du paysage.
Une
grande diversité de fruits et légumes y est cultivée chaque année.
Le Domaine de Trianon
Non loin du Château, Louis XIV donna libre cours à son amour de l’architecture et des jardins en créant un domaine réservé à son usage
personnel. Aménagés à l’emplacement d’un ancien village, les lieux en
conservèrent tout naturellement le nom : Trianon. Louis XV puis la reine
Marie-Antoinette tombèrent à leur tour sous le charme des lieux et
contribuèrent à son développement et à son embellissement.
Parc du château de Versailles - France - Bosquet de l'Encelade Le bosquet de l'Encelade est situé dans les jardins de Versailles, entre le
bassin de Flore et le bassin d'Apollon. Il est délimité au Nord par
l'allée de Cérès-et-de-Flore et à l'Ouest par celle d'Apollon. Il est
contigu au bosquet des Dômes et au bosquet de l'Obélisque. Il a été créé
en 1675 par Louis XIV et mis en œuvre par André Le Nôtre entre 1675 et
1678.
Le bassin de la Pyramide Exécutée par le sculpteur François Girardon sur un dessin de Le Brun, la Pyramide, au centre de son bassin,
demanda trois ans de travail. Elle est composée de quatre vasques de
plomb superposées, supportées par des tritons, des dauphins et des
écrevisses en plomb.
Marie-Antoinette ; Louis XVI ; et, famille
Max R. a enregistré dans Bosquets et fontaines :
La salle des festins, ou salle du Conseil dans les jadins de Versailles -
Étienne Allegrain, 1688 - Châteaux de Versailles et de Trianon - MV 754 -
© R.M.N. Photo Arnaudet
Vue de l'Orangerie, des escaliers des Cent-Marches et du château de Versailles vers 1695.
Trianon.
Roi des jardiniers et jardinier du Roi, en mars 1613 naissait
André Le Nôtre, celui qui allait donner ses lettres de noblesse au jardin à la
française.
Revisitez les plus belles réalisations du créateur des
jardins de Versailles, Saint-Cloud ou Chantilly
Les jardins à la française du château de Chambord
Château de Chambord (Loir et Cher) | Façade nord | Bernard Delefosse |
Château de Chambord La Renaissance apparaît en France avec un retard important par rapport à l'Italie. La raison principale est la poursuite
de la guerre de Cent Ans jusqu'en 1453, et même 1477
,
Cavalière de l'Alméria Parc au spectacle de chevaux et de rapaces de Chambord
située à L'Haÿ-les-Roses, près de Paris dans le département du Val-de-Marne (France),
est la première roseraie moderne, fondée en 1894 par Jules Gravereaux.
Elle regroupe près de 3 300 variétés de rosiers sur une surface totale de 1,52 hectare.
La roseraie du Val-de-Marne a été créée par Jules Gravereaux (1844-1916)
à L’Haÿ, petite commune de la banlieue sud de Paris qui prendra le nom de
L'Haÿ-les-Roses en 1914 en raison de la renommée déjà acquise à cette
époque par la roseraie, honorée par son blason.
Cet homme d’affaires a réuni et collectionné des centaines de variétés différentes de rosiers dès 1894.
Il fait finalement appel au
célèbre paysagiste Édouard André (1840-1911) pour mettre en valeur ses collections et créer un jardin consacré
entièrement à la « reine » des fleurs.
C’est ainsi qu’est né un nouveau style de l’art des jardins où la rose constitue l’élément unique de décoration végétale : la roseraie.
Le jardin a été acquis en 1936 par le département de la Seine, puis transféré en 1968 au département du Val-de-Marne.
Il a été renommé « Roseraie du Val-de-Marne » en 1994.
roses sauvages, cultivées, roses d'hier et d'aujourd'hui, roses d'ici et d'ailleurs...
Plus de 13 000 pieds sont présentés au public.
La roseraie à la française est constituée de massifs de rosiers disposés autour du miroir d’eau.
L’allée de l’histoire des roses reprend une sélection de rosiers caractéristiques de l’évolution de la rose.
L’allée des rosiers botaniques présente une collection de rosiers sauvages, tels qu’ils poussent dans la nature.
L’allée des rosiers rugueux, des rosiers particulièrement résistants.
L’allée des rosiers pimprenelle présente des rosiers dits pimprenelle c’est-à-dire dont le feuillage ressemble à celui des pimprenelles.
Le jardin des roses galliques reprend toutes les variétés de roses connues jusqu’au XVIIIe siècle.
L’allée des roses de la Malmaison est une copie de la collection de roses réunies par Joséphine de Beauharnais au début du XIXe siècle.
Le jardin des roses d’Extrême-Orient propose une collection de rosiers originaires de Chine, du Japon, d’Inde, de Perse...
Le jardin des roses horticoles anciennes présente des variétés de rosiers issus de croisements entre des rosiers galliques et des rosiers d’Extrême-Orient.
Le jardin des roses étrangères modernes met en valeur les plus belles obtentions des créateurs de roses étrangers.
Le jardin des roses françaises modernes reprend les créations horticoles françaises, autour du Temple de l’Amour.
L’allée des roses thé regroupe des variétés de rosiers obtenus au XIXe siècle, dont les roses sont particulièrement parfumées et semblent fleurir aux quatre saisons.
La roseraie de Mme Gravereaux présente des rosiers de fleurs à couper.
La Roseraie du Val-de-Marne a été reconnue dès 1991 Collection nationale de roses anciennes par le Conservatoire de Collection Végétale Spécialisée (CCVS).
En 1995, la Roseraie a également reçu la toute première récompense Award of Garden Excellence, prix d'excellence du jardin, de la Fédération mondiale des sociétés de roses.
Le jardin est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2005
et
depuis 2011, il est labellisé
Jardin remarquable.
rosier Pimprenelle
rose thé
Jules Gravereaux
Musée de la Rose : inventaire des documents numérisés
Blog Les Gravereaux
Consulter le fond d'archives : "Musée de la Rose : inventaire des documents numérisés" sur le site des Archives départementales du Val-de-Marne.
En Ukraine, depuis la révolution de 2014, une tradition reprend vie.
Derrière ces couronnes de fleurs, un message de tendresse, d'innocence
et de fierté.
Dans le but de redonner des couleurs aux habits traditionnels ukrainiens, la styliste Treti Pivni a recréé les magnifiques couronnes
de fleurs
Ula Kóska photographie des couronnes traditionnelles slaves dans sa série "Etno"
À l’origine, ces couronnes étaient portées par les filles et jeunes femmes au printemps comme signe de leur « pureté » et aussi pour
éloigner les « mauvais esprits ».
ou dans les festivals populaires ont aujourd’hui pris une nouvelle
signification de paix et de fierté contemporaine.