"On ne partage pas sa vie avec quelqu'un parce qu'il est gentil, mais parce qu'il vous fait vibrer, rire, parce qu'il vous emporte sans vous retenir, parce qu'il vous manque même quand il est dans la pièce d'à côté, parce que ses silences vous parlent autant que ses conversations, parce qu'il aime vos défauts autant que vos qualités, parce que le soir en s'endormant on a peur de la mort, la seule chose qui vous apaise est d'imaginer son regard, la chaleur de ses mains. » Marc Levy
Article : Biennale de la Danse 2018 ci-dessous en bas de page
Lyon : Journées du Patrimoine : 65 cloches entre six kilos et cinq tonnes. Le deuxième carillon de France est à l’Hôtel de Ville de Lyon. Installé en 1914 par Édouard Herriot qu’avaient séduit les cloches des carillons d’Anvers, Bruges et Gand. 36 cloches lui ont été ajoutées en 91. La topologie caisse de résonance de Lyon due à ses deux collines les amplifie. Ce carillon est joué par le carillonneur Charles Dairay. ---------------
----------------- UN DÉFILÉ POUR LA PAIX DIMANCHE 16 SEPTEMBRE DÈS 14H30 / RUE DE LA RÉPUBLIQUE, DES TERREAUX À BELLECOUR: Dès 14h30 Rue de la république Des Terreaux à Bellecour
GRAZ en AutricheMonogramme figurant sur le bâtiment `Landhaus`,siège du parlement de Styrie
A.E.I.O.U. ou AEIOU, est le monogramme de la devise utilisée par les empereurs de la famille des Habsbourg.
L'empereur Frédéric III (1415-1493), qui était amateur de formules ésotériques, avait l'habitude de signer de ce monogramme1 sa vaisselle de table, ses armoiries et des châteaux tels que le château de Wiener Neustadt et le château de Linz.
Un soir de concert, le célèbre violoniste Paganini jouait avec tant de fougue qu’une corde se rompit, la plus fine, la chanterelle; imperturbable, il continue de jouer.
Une deuxième corde saute, puis une troisième. C’est presque la fin du morceau.
Frénétiquement applaudi, Paganini termine en beauté avec l’unique corde restante, la grosse corde de sol.
Au bout de la vie, une à une les cordes sautent. Jambes faibles, mémoire capricieuse, levers difficiles, fatigue du soir.
Combien de temps pourrons-nous jouer encore le concerto de la vie ?
Sans être un Paganini étincelant jusqu’au bout, on peut faire entendre des choses belles avec les cordes qui restent. Il faut les fréquenter en grande amitié plutôt que trop penser aux cordes disparues.
Chère vieille corde de sol. La dernière, la plus grave. Corde de la patience courageuse, de la sagesse, de la bonté, des appels de Dieu Que de notes peuvent jaillir de la dernière corde !
C’est cela qu’on attend autour de vous : une petite musique de paix et d’humour.
Prédication silencieuse, mais si parlante, sur l’espérance.
Quand Dante arrive à la description du paradis, il s’exclame: « il me sembla que tout riait ».
La dernière corde est faite pour ce rire.
André Sève (1913-2001) ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Aït-ben-Haddou est un ksar du Maroc inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, dans la province de Ouarzazate. Il fait partie de la commune d'Aït Zineb. auteur inconnu
"On ne partage pas sa vie avec quelqu'un parce qu'il est gentil, mais parce qu'il vous fait
vibrer, rire, parce qu'il vous emporte sans vous retenir, parce qu'il
vous manque même quand il est dans la pièce d'à côté, parce que ses
silences vous parlent autant que ses conversations, parce qu'il aime vos
défauts autant que vos qualités, parce que le soir en s'endormant on a
peur de la mort, la seule chose qui vous apaise est d'imaginer son
regard, la chaleur de ses mains. »
Marc Levy
Article : Biennale de la Danse 2018 ci-dessous en bas de page
Lyon : Journées du Patrimoine :
65 cloches entre six kilos et cinq tonnes.
Le deuxième carillon de France est à l’Hôtel de Ville de Lyon.
Installé en 1914 par Édouard Herriot qu’avaient séduit les cloches des carillons d’Anvers, Bruges et Gand.
36 cloches lui ont été ajoutées en 91.
La topologie caisse de résonance de Lyon due à ses deux collines les amplifie.
Ce carillon est joué par le carillonneur Charles Dairay.
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le Musée des Moulages
Bijou succulent, fondue de statues, compil de classicisme, ce musée méconnu des Lyonnais et des non-Lyonnais
possède plus de 2000 moulages d’œuvres de l’antique au contemporain.
En attendant sa réouverture en 2019, il sera ouvert durant ces journées du patrimoine ces samedi et dimanche.
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UN DÉFILÉ POUR LA PAIX
DIMANCHE 16 SEPTEMBRE DÈS 14H30 / RUE DE LA RÉPUBLIQUE, DES TERREAUX À BELLECOUR:
Dès 14h30 Rue de la république Des Terreaux à Bellecour
Le Défilé : une parade citoyenne, clin d’œil aux écoles de samba devenu « rituel d’agglomération »
« Dans la tradition d’un certain l’humanisme lyonnais, le Défilé est depuis 1996 un objet de rencontres, de partage, de
citoyenneté, une célébration des pratiques amateurs dans ce qu’elles ont de plus noble :
- la qualité artistique au service de l’inclusion sociale, la prise de parole des citoyens dans l’espace public par un geste artistique, et une attention particulière portée à la participation des plus fragiles.
Depuis plus de 20 ans, le Défilé s’inscrit dans la politique de valorisation des quartiers populaires et de leurs populations, tout en promouvant et en incarnant les mixités sociales, générationnelles, géographiques. »
Dominique Hervieu, Directrice
artistique de la Biennale de la danse de Lyon et du Pôle européen de création
Le Défilé est une parade chorégraphique qui réunit tous les deux ans plus de 4 500 participants amateurs
de 10 à 80 ans, issus de plus de 500 communes de la région et encadrés par 250 artistes professionnels sous la direction de chorégraphes.
Le Défilé permet ainsi d’organiser, pendant un an, des ateliers de pratique artistique favorisant la rencontre entre amateurs
et professionnels, dans les domaines de la danse, de la musique, du chant, de la costumerie, des décors, accessoires, etc.
La richesse de ces rencontres vient de la diversité des partenariats engagés sur leurs territoires et sur la durée par les
porteurs de projets, garants de la mixité des publics mobilisés (âges, origines, conditions sociales).
Ainsi des centaines d’associations et des milliers d’individus sont les acteurs d’une incroyable dynamique dépassant
largement aujourd’hui les organisateurs comme les politiques, et qui a fait naître chez les chercheurs la fameuse expression « rituel d’agglomération » (Philippe Dujardin).
Le Défilé s’est affirmé au fil des éditions comme un événement exemplaire et emblématique :
- de la relation entre artistes et habitants des quartiers,
- du volet Culture de la Politique de la ville,
- de la rencontre entre les mondes de la culture et de l’insertion socioprofessionnelle,
- d’une identité et d’un savoir-faire « lyonnais » autour de la danse.
Le Défilé trouve son origine dans la rencontre de trois éléments :
- l’idée d’un Directeur artistique : en visitant les écoles de samba brésiliennes, Guy Darmet a eu l’idée d’ouvrir
la Biennale 1996 par une parade chorégraphique, invitant les habitants de tous les quartiers de l’agglomération à montrer au public, au centre-ville de la ville-centre, dans l’artère symbolique de la rue de la République, ce qu’ils avaient préparé pendant plusieurs mois avec des artistes ;
- un contexte artistique et culturel : le très fort développement, particulièrement remarquable dans la région lyonnaise, de
toutes les formes de danse issues du Hip-Hop,
dont les principaux représentants aujourd’hui reconnus
(Accrorap, Käfig, Traction Avant Cie,Azanie…) sont tous issus de la périphérie lyonnaise ;
cette émergence fut soutenue dès 1992 par
. les acteurs culturels (théâtres, Maison de la danse)
et
. les pouvoirs publics (Ministère de la culture, collectivités locales),
notamment au travers des Rencontres Danse Ville Danse ;
- un contexte socio-politique :
. le programme national Projets Culturels de Quartiers,
préfigurant le volet culture de la Politique de la ville et qui visait à faire se rencontrer et travailler ensemble,
sur des projets artistiques de qualité, des artistes et des habitants des quartiers dits « sensibles ».
LE FINAL :
Orphéon*
La compagnie vocale HOPE, DREAM AND DANCE !
Les artistes d’Orphéon*La Compagnie vocale,
300 choristes amateurs réunissant des chœurs de la métropole,
et 30 bénéficiaires et bénévoles des Petits frères des pauvres de la région,
sous la direction de Philippe Forget.
Quand les voix fêtent l’esprit de fraternité et célèbrent la Paix, retrouvée, désirée, attendue :
- artistes professionnels et amateurs se donnent la main et offrent à entendre les sonorités immortelles :
. des airs d’opéra les plus illustres,
. des plus belles pages des Beatles
. ou de Serge Gainsbourg.
L’émotion s’invite dans cette grande fresque humaine et vocale, intemporelle,
. de la Carmen de Bizet
. au compositeur américain Philip Glass
. en passant par le velours de la Javanaise…
Espérons ! Rêvons et dansons avec la Biennale de la danse.
Directeur musical Philippe Forget
Piano Sylvaine Carlier
Soprano Claire Nicolas
Mezzo-soprano Landy Andriamboavonjy et Delphine Terrier
Oeuvres de Serge Gainsbourg, Georges Bizet, Léo Delibes, Philip Glass, John Lennon
Choeurs Choeur de la Buissière, Choeur francoallemand, Choeur Prélude, Choeur
d'oratorio, Choeur Romantico, Choeur-atelier MADE iN, GRAP, Les Choeurs
s'emmèlent, Les Maristyles et Les Voix en aparté
Imaginez 15 000 personnes qui dansent et chantent à l’unisson…
Pour clore cette journée festive, Dominique Hervieu et Philippe Forget / Orphéon*La Compagnie vocale entourés d’un chœur de 300
choristes amateurs venus de la métropole, vous invitent à chanter et danser sur l’air d’Imagine, l’hymne universel de John Lennon sacré chanson du siècle !
La biennale de la danse 2018
Un Défilé pour la paix
A.E.I.O.U. ou AEIOU, est le monogramme de la devise utilisée par les empereurs de la famille des Habsbourg.
L'empereur Frédéric III (1415-1493), qui était amateur de formules ésotériques,
avait l'habitude de signer de ce monogramme1 sa vaisselle de table, ses armoiries et des châteaux tels que le château de Wiener Neustadt et le château de Linz.
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Un soir de concert, le célèbre violoniste Paganini jouait avec tant de
fougue qu’une corde se rompit, la plus fine, la chanterelle;
imperturbable, il continue de jouer.
Une deuxième corde saute, puis une troisième. C’est presque la fin du morceau.
Frénétiquement applaudi, Paganini termine en beauté avec l’unique corde restante, la grosse corde de sol.
Au bout de la vie, une à une les cordes sautent. Jambes faibles, mémoire capricieuse, levers difficiles, fatigue du soir.
Combien de temps pourrons-nous jouer encore le concerto de la vie ?
Sans être un Paganini étincelant jusqu’au bout, on peut faire entendre des
choses belles avec les cordes qui restent. Il faut les fréquenter en
grande amitié plutôt que trop penser aux cordes disparues.
Chère vieille corde de sol. La dernière, la plus grave. Corde de la patience
courageuse, de la sagesse, de la bonté, des appels de Dieu Que de notes peuvent jaillir de la dernière corde !
C’est cela qu’on attend autour de vous : une petite musique de paix et d’humour.
Prédication silencieuse, mais si parlante, sur l’espérance.
Quand Dante arrive à la description du paradis, il s’exclame: « il me sembla que tout riait ».
La dernière corde est faite pour ce rire.
André Sève (1913-2001)
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Aït-ben-Haddou est un ksar du Maroc inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, dans la province de Ouarzazate.
Il fait partie de la commune d'Aït Zineb.
auteur inconnu
Catherine Chauloux, Les Déjantés
C’est la bibliothèque publique de Kansas City!
sur les deux plats : encadrement d'un double filet droit avec grand losange central au cœur duquel un grand fleuron losangé et doré a été poussé, traces de lacets disparus, tranches dorées. Les reliures dites "hollandaises" évoquent davantage le XVIIe siècle, mais ce grand fleuronest encore bien dans le goût Renaissance. Bibliothèque médiathèque Nancy
vers 1545, sur saint Grégoire de Nazianze, «Orationes novem elegantissimæ» [suivi de] saint Grégoire de Nysse, [en grec] «Liber de homine», Venise, 1536 [BNF, Réserve des livres rares, RÉS-C-2626]. --
Cette reliure de la Bibliothèque royale est l’une des deux seules qui furent exécutées sur des imprimés durant le règne de François Ie Ier
Ancien chromo 19ème papier découpé relief - jeune garçon XVIIIe bouquet de fleurs
Cartes anciennes de Germaine Bouret[url=http://www.delcampe.fr/items?language=F&searchString=couple+d%27enfants&cat=0&searchOptionForm[searchMode]
[/url]
ce sont des motifs différents des “zelliges”, ils sont organiques, inspirés de la nature et des végétaux. Certains de ces
motifs peuvent être associés à des zeilliges : pour créer des frises d’encadrements ou pour les intégrés aux pétales ou aux étoiles des zelliges. Mais ils sont principalement utilisés pour les bas-reliefs en platre ou en stuc.
Décor estampé à froid avec cinq gros bouillons métalliques et deux ferrures dont les sangles ont disparu.
Décor constitué de filets droits et de nombreux médaillons ronds, en forme d'écu ou de losange, tous chargés d'un motif différent : une rose gothique, une aigle, une fleur de lis au naturel, une licorne, et, dans les angles, le symbole de chacun des Évangélistes. Bibliothèque médiathèque Nancy, inc. 137
Christ dans une mandorle entre les symboles des évangélistes. 13e siècle période médiévale -
Bas Moyen Âge. Cabochon, cuivre, dorure, émail champlevé. Hauteur : 0.3 m Largeur :0.198 m. Paris,
musée de Cluny - musée national du Moyen Âge
il fut maître-échevin en 1507 et en 1514 ; aman de Saint-Gengoulf et échevin du Palais. Bibliothèque médiathèque Nancy, ms. 142 (198)
Brian Dettmer est un artiste américain qui transforme des livres en sculpture en les découpant délicatement avec des outils chirurgicaux.
Livre de choeur Principales fêtes indiquées :
sainte Geneviève ; saint Pierre Célestin ;saint Jean ante portam Latinam ; la Transfiguration ; translation de saint Benoît ; saint Ignace martyr. La date 1549 apparaît sur les initiales de différents feuillets Période 16e siècle 18e siècle Date 1549 18e siècle Autre contributeur Maître de Nicolas Le Conte. Illustrateur supposé Maître de Célestin V.