INFOS Diverses , Pêle-Mêle ," PAPETERIE "(ex: timbres,Etc) ,BD, JOURNÉES MONDIALES.....

Par Victoria il y a 6 années 5 mois
09/09/2018 - 16:57
" Le temple du soleil", images de cet album de la BD, Tintin et Milou de Hergé.
07/09/2018 - 18:47



07/09/2018 - 17:58
Du 9 juillet 1966 au 22 février 1986, le théâtre triomphe à la
télévision. " AU THÉATRE CE SOIR "

Ces pièces légères séduisent des centaines de millions de téléspectateurs.


En 1965, le hasard fait bien les choses.
Les techniciens de l’ORTF se sont mis en grève et la direction ne sait plus quoi programmer.

Elle se tourne alors vers la Radio Télévision belge qui a diffusé
"La Bonne Planque" avec Bourvil.

Le succès est tel que lorsque Pierre Sabbagh planche sur les programmes en 1966
il se souvient des louanges des spectateurs.

Il se rapproche alors de Robert Manuel, le directeur artistique du théâtre Marigny qui
lui présente Jean-Jacques Bricaire, son administrateur.
Les trois hommes font affaire et décident de diffuser huit pièces jouées au théâtre Marigny.

Le 28 mai,
- Gisèle Casadesus et Michel Creton
enregistrent "Trois garçons et une fille",
une comédie légère où quatre enfants essayent de retenir leur père tenté par le démon de midi.

Pierre Sabbagh réalise cette première qui s’achève par la présentation de la troupe.

Pendant vingt ans, ce rituel se termine par
-  : "Les décors sont de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell."

Dès lors, l’équipe ne change plus.

Jean-Jacques Bricaire choisit :
- les pièces,
- les metteurs en scène et
-  les acteurs

tandis que Pierre Sabbagh et Georges Folgoas sont derrière la caméra.

Les téléspectateurs plébiscitent l’émission et
l’ORTF
commande vingt-cinq nouvelles pièces pour l’année suivante.

Pierre Dux, Jean-Pierre Darras et Pierre Brasseur en dirigent quelques-unes, mais
les metteurs en scène les plus prolifiques sont :
- Jean Le Poulain,
- Michel Roux
- et surtout Robert Manuel.

Parmi les quatre cent seize pièces enregistrées
,
- Maria Pacôme tient la vedette dans sept, bien plus que ses consœurs
- Micheline Dax
- et Jacqueline Maillan.

Côté masculin,
- Jacques Balutin
tient le haut de l’affiche avec vingt pièces, davantage que
- Jean Piat,
- Francis Blanche
- ou Michel Serrault qui n’en joue qu’une seule
- avec Jean Poiret.

Des futures vedettes du grand écran y font leur apparition, comme
- Michel Blanc et
- Patrick Bouchitey qui interprètent "Foot-Ball" en 1977,
- ou encore Danielle Évenou et
- Jean-Pierre Bacri qui jouent dans "Histoire de rire" en 1982.

Si certaines de ces comédies sont signées de
- Georges Feydeau, le roi du vaudeville,
beaucoup sont l’œuvre d’auteurs de boulevard dont les préoccupations semblent décalées dans les années 1980.

Le café-théâtre et son impertinence sont passés par là
et TF1
arrête les enregistrements en 1982, ne diffusant que les pièces déjà programmées.

En 1986, les acteurs saluent une dernière fois leur public.

Au théâtre ce soir s’arrête, après avoir séduit des centaines de millions de téléspectateurs.
07/09/2018 - 11:49

Calligraphie chinoise
Le Code Morse et Alphabet phonétique Art Print.



Alphabet arabe.

ALPHABET russe cyrillique Lettres russes manuscrites

07/09/2018 - 11:35
Écriture inclusive.



Encore une "connerie" pour des "intellos" à la noix.


"Quel trait d'identité d'un peuple paraît plus évident que la langue dont il use."

Jean-Michel Delacomptée.

Ce commentaire a été modifié le 07/09/2018 à 16:15
07/09/2018 - 11:32
Merci Andrée : j'aime +++++++++  les enluminures

     







en  LATIN

Aujourd’hui, La Grèce Autrement vous invite à renouer avec quelques faits de l’Antiquité, issus de l’histoire ou de la mythologie Grecque,
qui ont donné naissance à cinq expressions usuelles de notre langue. Savez-vous d’où provient l’expression « se retirer sous sa tente » ? Pourquoi parle-t-on d’un « dédale » de couloirs ? de mesures ou de réformes « draconiennes » ? Enfin, pourquoi peut-on qualifier une réponse de « laconique » ou des propos de « sibyllins » ?


Faire une réponse laconique  :

La Laconie est une région de Grèce située dans Sud-Est du Péloponnèse.
Sa capitale et ville la plus connue est l’antique citée de Sparte.
Au sens premier du terme, l’adjectif laconique devrait donc qualifier quelque chose qui provient de cette région à la fois montagneuse et
maritime.
Cependant, ce qualificatif est généralement utilisé pour désigner une réponse extrêmement concise, à l’exact opposé de propos longs et ampoulés, une réponse qui va droit au but et contient parfois un trait d’humour cassant.
Cette culture du propos concis et frappant est tout à fait cohérente avec la culture militaire, minimaliste et particulièrement austère des
spartiates antiques.
En effet, souvent par opposition aux Athéniens, les Laconiens étaient réputés pour leur austérité, leur culture guerrière et le peu de place laissé aux débats ou déclarations ampoulées.
Parmi les laconismes les plus célèbres, citons celui du roi de Sparte, Leonidas, au chef des Perses Xerxès qui lui demandait de rendre les armes et auquel le souverain répondit par un simple : « Viens les prendre ! ».
Ou encore, la réponse de Dienekes à une ordonnance affolée qui lui annonce que les archers Perses sont si nombreux que leurs flèches forment un nuage, le chef spartiate répond par un simple : « Tant mieux, nous nous battrons à l’ombre ».
Le laconisme le plus court de l’histoire fut celui que les spartiates firent en réponse à la menace d’invasion de Philippe II de Macédoine :
« Je vous conseille de vous démettre sans délai car si je conduis mon armée sur votre territoire, alors je
détruirai vos fermes, je tuerai votre peuple, je raserai votre cité ».
La réponse officielle fut concise et efficace : « Si…»



Tenir des propos sibyllins  :

L’adjectif « sibylllin » qualifie généralement des propos ou des paroles énigmatiques, incomplets, ou au sens difficilement interprétable.
On trouve l’origine de ce terme dans la mythologie Grecque.
Sibylle était une pythie, c’est-à-dire une prêtresse du dieu Apollon à qui le célèbre Dieu avait donné le pouvoir de faire des prophéties.
Très inquiets de leur avenir et de la colère des Dieux, les Grecs antiques consultaient régulièrement l’oracle et sa messagère, la pythie.
Sibylle avait en effet le pouvoir d’annoncer aux mortels le sort que les dieux leur réservaient.
Une fois les oracles délivrés, l’ensemble des prophéties étaient consignées dans des livres sibyllins.
Le problème résidait dans le fait que les réponses divines qui parvenaient aux hommes au travers de la prêtresse étaient souvent à double ou triple sens,
parfois totalement mystérieux,
au point qu’on devait faire appel à des analystes et des interprètes qui tentaient de transformer ces propos énigmatiques en prose compréhensible par les hommes.


Se retirer sous sa tente   :

Achille, le fils de la Néréide Thétis et du simple mortel Pelée, s’en alla combattre les Troyens afin de ramener au roi Ménélas sa célèbre épouse Hélène, enlevée par le Troyen Paris.
Dans l’Iliade,
la célèbre œuvre du poète Homère, on apprend qu’après neuf ans de siège aux pieds des murailles de Troyes,
Agamemnon, Achille, Nestor, Ulysse et leurs alliés sont enlisés dans une sorte de guerre d’usure où les combats sans grandes avancées et les longs moments d’attente se succèdent.
Lors des combats précédents, Achille,
à la faveur d’une victoire contre les Troyens, capture une jeune prisonnière, Brizeis.
Cependant, des luttes intestines font rage.
    Ainsi Agamemnon, le chef des Grecs Achéens, se voit obligé de délivrer une de ses prisonnières, Chryséis, pour apaiser la colère des dieux et  exige qu’Achille lui donne sa jeune prisonnière, Brizeis.
   Le jeune héros Péléide (fils de Pelée), furieux et se sentant spolié, décide alors de cesser le combat aux côtés des Grecs et se retire alors sous sa tente pour réfléchir,
consulter sa mère et, par vengance, demander à celle-ci de demander à Zeus d’arbitrer la guerre en faveur d’une victoire finale d’Hector, Paris et des Troyens.
    Les Grecs, le fougeux Agamemnon, le rusé Ulysse et le sage Nestor ne vont cesser de vouloir faire changer
d’avis le héros Achille, reclus sous sa tente et pourtant le seul à pouvoir leur apporter la victoire.


L’adjectif « draconie
n »   :

provient du nom d’un célèbre législateur Athénien du VIIème siècle avant notre ère (né en -650 avant JC à Athènes et mort à Egine en -600 avant JC) qui fut à l’origine de l’édiction d’un règlement très sévère.
   En effet, en -621 avant JC, Dracon rédige des lois qui, pour que chacun ne puisse les ignorer, sont placardées partout dans la cité sur des panneaux de bois.
L’innovation est multiple :
- les lois sont écrites, ne donnent pas (en principe) lieu à interprétation,
- sont tracées et diffusées à tous les citoyens de la cité.
Dans ce corpus de lois, la notion de meurtre est pour la première fois formalisée et divisée entre homicide volontaire et involontaire.
La notion de sévérité apparaît rapidement lorsque les lois édictées par Dracon condamnent à mort toute personne reconnue coupable de vol.
Certains ont aussi attribué à Dracon la loi politique visant à instaurer une assemblée de 401 conseillers désignés par tirage au sort,
mais même si une réforme de ce type pourrait nous apparaître
« draconienne » dans notre référentiel actuel, de nombreux chercheurs concluent aujourd’hui que les lois de Dracon ne portaient que sur les agissements privés et donc principalement sur l’organisation civile de la vie de la cité avec cette réglementation très sévère des crimes et délits.


Se perdre dans un dédale (de ruelles, de pensées…)    :

Dédale et IcareDédale est le nom d’un architecte Athénien connu pour son ingéniosité et la qualité de ses constructions.
Il fut banni d’Athènes et rejoignit alors la Crète à l’époque de l’apogée de la civilisation Minoenne.
Il y construisit le palais du monarque Minos.
Le palais comportait tant de pièces, de couloirs et d’escaliers que tout un chacun ne pouvait y retrouver son chemin.
Dans ce palais labyrinthique, on décida d’enfermer le Minotaure,
le monstre légendaire du roi Minos à la tête de taureau et au corps d’homme.
Chaque année, les populations terrorisées devaient offrir en sacrifice humain des jeunes gens au célèbre monstre de Crète. Tous ceux
qui tentèrent de combattre le minotaure se perdirent dans le dédale de couloirs et pièces du palais.
Seul le jeune Athénien Thésée en vient à bout, aidé par le fil d’Ariane (fille du roi Minos) qu’il enleva puis
abandonna à Naxos lors de son chemin de retour vers Athènes.
En
représailles au succès de Thésée et à l’enlèvement de sa fille, Minos décide d’emprisonner dans le labyrinthe l’architecte Dédale et son propre fils Icare.
Toujours ingénieux, l’architecte a pour idée de fabriquer des ailes avec de la cire et des plumes pour s’échapper en volant. Malgré les conseils avisés de son père, Icare s’approcha trop près du soleil en survolant la mer Egée.
La cire fondit et il périt précipité dans les eaux de l’Egée.
Dédale, quant à lui, trouva refuge en Sicile.
Team_LGA
Découvrir le pot aux roses : découvrir le secret, la réalité cachée.
Selon toute
probabilité, il s'agit d'une équivoque sur découvrir "soulever le couvercle" et "trouver (un secret)",
appuyée sur le pot (nom du plus banal des récipients), et renforcée par "aux roses", évoquant une
préparation particulièrement rare (ou un secret, auquel les valeurs érotiques de rose, virginité,  ne sont peut-être pas étrangères).

Mettre les pieds dans le plat : être brutalement indiscret
Mettre les pieds dans
le plat, évoque aujourd'hui un personnage brutalement indiscret qui,
non content de mettre les pieds sur la table,
les place à l'occasion dans des assiettes et les plats.
L'expression apparaît en en 1808
(Dictionnaire du bas langage, d'Hautel) ; à cette époque le plat est
d'abord et plus généralement « la partie plate » (1808, Boiste)

Casser les pieds de quelqu'un : ennuyer, importuner quelqu'un
On attendrait plutôt écraser ;
dans cette locution d'origine argotique (1890, in Esnault),
pied est l'équivalent euphémistique d'autres termes dont l'association
avec casser est nettement plus claire, (casser le cul, etc.).
En outre, le pied, en argot c'est la «part».
Or de la part ou parties, le jeu de mot est aisé




Ce commentaire a été modifié le 07/09/2018 à 11:38
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Les enluminures
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07/09/2018 - 11:02
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