Ensuite préparé les écailles avec les perforatrices rondes. Les enfants adorent faire des confettis et avec ce genre de perforatrices c’est 100% sécurisé. ou
Si vous n’avez pas de perforatrice ronde, vous pouvez utiliser des gommettes . Une fois, les jolis ronds prêts, les coller sur les poissons.
Il vaut mieux commencer par la queue pour remonter vers la tête pour avoir de jolies écailles bien superposées.
Ensuite, petite touche finale avec le feutre et une gommette oeil (facultatif).
Et voilà, les petits poissons sont prêts et attendent patiemment le 1er avril.
Pour le gâteau: 200g de chocolat noir à pâtisserie 3 oeufs80g de sucre pure canne (à défaut sucre blanc) 50g de farine + 50g de farine complète (à défaut 100g de farine) 2 cuil. à café de levure chimique 1 courgette de 200 à 250g
Pour la ganache: 80g de chocolat noir à pâtisserie 50g de crème fraiche
Pour la décoration: un paquet de barquette au chocolatdes smarties
-- Préparation: -- Préchauffer le four à 180°C. Faire fondre le chocolat au bain marie. Fouetter les œufs avec le sucre afin que le mélange devienne un peu mousseux. Peler et râper la courgette et l'ajouter au mélange ainsi que le chocolat fondu. Ajouter enfin les farines et la levure en mélangeant jusqu'à obtenir une préparation lisse et homogène. Verser la préparation dans un moule en silicone de préférence (car ce type de moule n'a pas besoin d'être beurré). Enfourner 20 à 25 minutes. Laisser refroidir puis démouler. Découper une petite part du gâteau pour former la bouche, la part sera à placer sur le côté de celui ci en guise de queue.
Préparer la ganache, dans une casserole faire chauffer la crème avec le chocolat coupé en morceaux en fouettant sans arrêt jusqu'à ce que le chocolat soit fondu et de façon à obtenir une préparation lisse et homogène. Laisser tiédir. Une fois la ganache un peu refroidie, l'étaler uniformément sur tout le gâteau, disposer les barquettes coupées en deux pour faire les écailles et décorer de smarties.
Placer au réfrigérateur 15minutes afin que la ganache durcisse rapidement, puis conserver à température ambiante, gâteau recouvert de papier aluminium, jusqu'à la dégustation.
La tradition consiste à placer un couple de figurines d’argile de taureau sur les toits des maisons avec la véritable conviction que ceux-ci, par leur bravoure, défendront la progéniture, le bétail et apporteront la prospérité au foyer, aux mariages, la fertilité aux ménages et protégeront la maison contre les tremblements de terre ou toute autre force maléfique ....
Taureau de Pukara : Encore aujourd'hui, c'est une des figures les plus répandues de l'identité andine ...
Des taureaux de céramique diversement colorés sont volontiers offerts au Pérou pour un mariage, une crémaillère, un anniversaire ... et leur couleur revêt une signification différente ... amour, passion, énergie, harmonie, sagesse, spiritualité ....
joli petit taureau de Pukara. De couleur crême, il symbolise l'optimisme, le bien-être et la chance ....
Il était une fois... le taureau de Pucará: "Il y a fort longtemps, une terrible sécheresse s'abattit sur Pukará, un petit village niché dans les Andes, non loin du lac Titicaca. Les puits étaient à sec et les habitants souffraient cruellement. Les paysans décidèrent donc d'offrir un taureau en sacrifice au Dieu Pachakamaq, espérant ainsi obtenir la pluie tant convoitée. Voilà donc que les habitants se mettent en procession avec leur taureau pour monter au rocher de Pucará où se tiendra le sacrifice rituel. Le taureau, semblant deviner ce qui l'attend, résiste et se débat et après forces ruades, il perce le rocher de ses cornes... et miraculeusement, l'eau jaillit de la roche... une eau pure et abondante qui sauva le village et hissa le taureau au rang d'animal rituel." Le symbolisme du taureau de Pucará Les taureaux de Pucará traditionnels sont peu colorés. L'argile local leur confère une teinte orangée blanchâtre naturelle, et quelques ornements y sont peints, généralement en noir et blanc.
Un taureau de Pucará traditionnel doit également posséder huit caractéristiques spécifiques:
1. Un orifice au bas du dos, au niveau de l'os sacré, afin d'y verser de l'eau ou du vin. symbolisme de fertiliser le bétail. 2. Une petite anse au bas du cou, qui signifie que l'énergie sexuelle doit d'abord provenir du mental, et plus symboliquement, que l'énergie créatrice doit être contrôlée par l'esprit; un message pour les nouveaux mariés qui dorénavant, créeront eux aussi la vie. 3. Le bât porté par un animal est dessiné en guise de symbole de protection, mais aussi un rappel du poids que l'homme doit porter afin de contribuer chaque jour, par ses actes, à l'épanouissement de la race humaine. 4. La partie supérieure du cou est ornée de trois bordures montant vers la tête (le domaine du mental) et représentant les trois niveaux d'éveil de la conscience: naître, mourir et se sacrifier pour l'humanité; le Père, le Fils et le Saint-Esprit; les énergies positive, négative ou neutre. Des bordures à motif de zig zag, d'escalier, ou de chaînes, inspirées de l'architecture antique, couvrent les épaules et le torse du taureau afin de symboliser le travail avec le thymus qui développe l'intuition du coeur. 5. Les yeux ronds et saillants du taureau de Pucará rappellent à l'homme qu'il doit être vigilant avec le monde qui l'entoure, mais aussi capable d'introspection (de regarder en soi-même). 6. La langue: que ta parole soit impeccable, que ton verbe soit adéquat, il ne faut pas utiliser les mots qui blessent: - le mensonge, l'insulte, la colère ou l'orgueil. 7. Ces ornements stylisés sont en fait la représentation d'une ancienne (et plutôt sadique) méthode de marquage du bétail appelée Huallccuscka. Les profondes coupures infligées au torse de l'animal mettaient plusieurs mois à cicatriser. 8. On retrouve sur les authentiques taureaux de Pucará les mêmes ornements en forme de spirale retrouvés sur les ruines des monuments du peuple Pucará de l'Antiquité. C'est la spirale de l'existence, dans laquelle nous voyageons sur des basses sphères aux hautes sphères, selon l'éveil de notre conscience tout au long de notre vie.
Les taureaux de Pucará constituent une très jolie part de l'artisanat péruvien.
Fait main tout autant qu'en manufactures, les taureaux de Pucará modernes sont confectionnés de toutes sortes de matériaux et se déclinent dans toute une gamme de couleurs vives.
Le symbolisme intrinsèquement attaché à cet icône culturel en fait une pièce à la fois esthétique et spirituelle, et il semble que des propriétés spécifiques s'attachent aux taureaux de Pucará en fonction de leur couleur. - Le taureau de Pucará rouge apportera au couple : l’amour, la passion, la vitalité. - Le taureau de Pucará jaune représente l’énergie, la bonne chance que recevra la personne qui le possède. - Le taureau de Pucará vert représente la fertilité, l’équilibre. - Le taureau de Pucará noir ou violet représente la noblesse, la sagesse, la créativité, la spiritualité - Le taureau de Pucará crème représente l’optimisme, le bien-être des familles, des couples. - Le taureau de Pucará bleu symbolise la sérénité, l’harmonie, la fidélité dans le couple.
Le taureau de Pucara est un symbole de la culture andine péruvienne. Il a été fait à la main par des artisans du Pérou. La tradition au Pérou du taureau de Pucara est de le mettre sur les toits des maison pour donner la joie, bien être et sécurité à la famille que la habite. C'est un excellent cadeau à faire aux amis, la famille pour apporter la joie, la réussite, prospérité dans ses foyers
Deux taureaux posés sur les toits des maisons des hauts plateaux andins…
AUBUSSON : " La balancelle ". Tapisserie en laine et soie. Epoque XVIIIè La tapisserie est un Tissu fabriqué sur un Métier à Tisser ou bien à la main, dont le Tissage représente des motifs ornementaux. Le tissage se compose de deux ensembles de fils entrelacés, ceux parallèles à la longueur : - les Fils de Chaîne et ceux parallèles à la largeur : - les Fils de Trame.
Les fils de chaîne sont mis en place sous tension sur un métier, et le fil de trame est transmis par un mouvement mécanique de va-et-vient sur tout ou partie de l'ouvrage.
Souvent la tapisserie est une réalisation textile décorative d'ameublement, se classant dans les Arts Décoratifs .
La tenture murale d'une pièce peut être constituée d'une seule ou d'un ensemble de tapisseries. Monsieur Honoré Ledoux mettant la touche finale à une tapisserie représentant un chevalier en armure sur son destrier.
L'art de la tapisserie existe depuis l'Antiquité , et beaucoup de peuples l'ont pratiqué : - Grèce antique , - Chine impériale, - Égypte antique , - Civilisations Précolombiennes.
La tapisserie occidentale connaît un essor formidable pendant le XIVe siècle, illustré par la Tenture de l'Apocalypse commandée par le duc Louis Ier d'Anjou. 'La cuve déborde', quatrième série, douzième scène, cliché inversé de l’envers, laine, 150 x 249 cm. Présentée depuis 1954 au château d’Angers, la tenture de l’Apocalypse est le plus vaste ensemble médiéval de tapisseries créé et conservé en Occident
Un grand nombre de tapisseries sont parvenues jusqu'à nous directement.
Elles sont parfois grandioses comme : - la Tenture de La Dame à la Licorne conservée au musée de Cluny,
- la Tenture de David et Bethsabée conservée à Écouen,
Tentures de l'histoire de David et Bethsabée - Musée national de la Renaissance (Ecouen): C'est l'ensemble le plus connu de l'époque Renaissance. Cette œuvre de grandes dimensions fut tissée à Bruxelles entre 1510 et 1515. Constituée de dix pièces, elle est longue de 75 mètres et haute de 4,5 mètres (totalisant donc 340 m2). Le nom de ses auteurs demeure inconnu. Il s'agit d'un récit biblique . Le Musée national de la Renaissance expose bien d'autres tapisseries du XVI siècle, provenant de toute l'Europe.
- la Tenture Les Chasses de Maximilien conservée au Musée du Louvre,
Les tentures sont souvent plus modestes.
Certaines tentures sont disponibles en plusieurs sériescomme la : - Tenture de l'Histoire du Roy dont une série complète se trouve au Château de Versailles.
La tapisserie (ou lice ou lisse) est une œuvre tissée sur un Métier à Tisser à haute lice ou basse lice. Le tisserand qui effectue le travail s'appelle « licier » ou « lissier ». Metier à tisser vertical (ou a haute lisse)
La laine est le matériau principal utilisé pour réaliser une tapisserie. La laine a été utilisée de préférence grâce à deux qualités : - elle est facile à teindre et - elle conserve bien la chaleur.
On utilise aussi la soie produite par le ver à soie et qui donne un aspect lumineux à la tapisserie. Son inconvénient vient de son prix élevé.
Dans les tapisseries les plus riches, on pouvait mélanger les fils de laine à des fils de soie, voire à des fils d'or ou d'argent.
Les tapisseries étant destinées à décorer les murs, elles sont appréciées pour la richesse de leurs coloris. Au Moyen Âge, il n'y avait que très peu de couleurs, toutes d'origine naturelle, souvent à base de plantes tinctoriales. Le nombre de couleurs disponibles est passé d'une vingtaine au Moyen Âge, à une centaine au XVIIe siècle, 600 un siècle plus tard et aujourd'hui, plusieurs milliers.
Avec les progrès de la chimie à partir du XVIIIe siècle, le nombre de couleurs s'est accru sensiblement et l'on a pu utiliser des tons de plus en plus fins. Alors que la tapisserie présentait une forme d'irréalisme en raison du nombre restreint de couleurs, au XVIIIe siècle, elle parvient à reproduire fidèlement des peintures.
Mais , ces premières teintures chimiques étaient très sensibles à la lumière et les tentures datant de Louis XIV et Louis XV ont des couleurs plus ternes que celles du Moyen Âge. Au départ est créé un CARTON , qui est l'ébauche en dimensions réelles de la tapisserie. Le carton est une sorte de maquette peinte, qui indique la composition, les motifs et les couleurs. Au départ exécutée par les tapissiers, elle devient une activité à part entière, celle des peintres-cartonniers.
Le carton peut être fait à partir d'une peinture, comme on le voit à partir du XVIe siècle avec la reproduction en tapisseries de tableaux de Raphaël. peintres cartonniers à Aubusson
L'Atelier Musée du carton de Tapisserie d'Aubusson est installé au bord de la Creuse dans un élégant châtelet prolongeant le Pont de la Terrade, en plein coeur d’Aubusson, on y découvre la magnifique collection de cartons gouachés de l'Association Am'carta, créés par des peintres cartonniers, collaborateurs indispensables du lissier
Manufacture Robert Four (Aquitaine.Limousin.Poitou-Charentes) Patrimoine Culturel Immatériel de l'Unesco (2009) Installés le long des rives de la Creuse www.aubusson-manufacture.com
Dom Robert Les Enfants de Lumière (Détail) Dom Robert (1907-1997), un grand nom de la tapisserie d'Aubusson Dom Robert ou la clé des champs Entre 1942 et 1992, Dom Robert créera près de cent cinquante cartons de tapisserie, certains extraits ou repris de cartons précédents mais toujours retravaillés de sa main, la plupart sans maquette préalable. Le« carton » composé à la grandeur d'exécution de la tapisserie est placé sous la chaîne du métier où les lissiers suivent le dessin donné avec exactitude. L’œuvre tissé de Dom Robert comprend près de cent cinquante cartons originaux, en grande majorité tissés à Aubusson. « C'est par circonstance que j'ai fait de la tapisserie, c'est par un appel que je suis entré au monastère, c'est de naissance que je dessine. » Dom Robert
La France lui doit le renouveau de la tapisserie au XXe siècle, qu’il traitait en très grand format comme à son âge d’or, du Moyen Age aux Lumières, lorsque les rois se déplaçaient avec leurs galeries de laine, roulées comme des tapis dans les chariots de leur suite pour animer et réchauffer les châteaux.
A 22 ans, il entre en apprentissage chez Jean-Paul Lafitte, peintre muraliste, pour apprendre la fresque destinée à être vue par tous. Convaincu de l’impact social du street art avant l’heure, il trouvera dans la tapisserie la mobilité qu’il recherche.
Dès la fin des années 1930, la chute des commandes présage la disparition de la production textile des ateliers de basse lisse, notamment à Aubusson (Creuse), touché de plein fouet avec ses ateliers privés que Colbert avait élevé au rang de manufactures royales trois siècles plus tôt.
La tapisserie est passée de mode, faute de renouveau.
Les lissiers ne font que reproduire indéfiniment les modèles des « verdures » en vogue au Moyen Age.
Il faut relancer la création.
L’Etat décide de solliciter des artistes contemporains, - André Lhote, - Marcel Gromaire, - Pierre Dubreuil et - Jean Lurçat, sur quatre projets pour enrayer l’inéluctable. La tenture des Quatre Saisonsest la réponse, monumentale, de Lurçat, qui réalise en 1939 et 1940 des « cartons » peints à l’échelle un, pour une série de quatre tapisseries (de 3,35 m sur 4,85 m).
La Mémoire des peintres cartonniers à Aubusson dans la Creuse. Direction le Pont de la Terrade dans Aubusson, pour nous rendre dans la petite boutique de Chantal Chirac, antiquaire, restauratrice de cartons de Tapisserie (modèle utilisé par le lissier, celui-ci est placé sous lachaine du métier à tisser). Au départ, Chantal restaurait des tableaux puis a découvert les cartons de Tapisserie par hasard, et là le coup de cœur. A l'aide de sa tante, restauratrice de tableaux, elles ont mis au point une technique pour entoiler les cartons de Tapisseries et leurs redonnent vie.
Au fil du temps, Chantal a cumulé énormément de cartons, en allant dans les salles des ventes. On peut trouver dans son atelier toutes sortes de cartons restaurés et où peints, détournés et montés sur châssis en tableaux décoratifs, paravents... de très belles réalisations, permettant ainsi de conserver ce patrimoine d'une très jolie façon et rend un très bel hommage à tous ses peintres cartonniers.
Contact : Chantal CHIRAC Pont de la Terrade - Rue Vaveix - 23200 Aubusson . A découvrir son livre "Cartons de Tapisserie d'Aubusson", Editions Vial, 2010
j'ai beaucoup apprécié vos masques VIOLETTA, je trouve celà très gracieux et d'une élégante beauté, voici un masque réalisé par mes soins plus modeste bien sur que ceux présentés par vous
Une activité du
1er avril super simple à faire, avec 3 fois rien.
Le matériel pour faire ce poisson d’avril
Pour ce bricolage du 1er avril, vous aurez besoin de peu de choses :
une feuille de papier (coloré c’est plus sympa, un peu cartonné c’est encore mieux)
- un crayon,
- des ciseaux,
- un feutre,
- une perforatrice ronde et
- du papier de couleur
ou
- des gommettes
- de la colle
(sauf si vous utilisez des gommettes bien entendu)
Puis :
Dessiner et découper la forme d’un poisson dans du papier cartonné.
Ensuite préparé les écailles avec les perforatrices rondes.
Les enfants adorent faire des confettis et avec ce genre de perforatrices c’est 100% sécurisé.
Si vous n’avez pas de perforatrice ronde, vous pouvez utiliser des gommettes
.
Une fois, les jolis ronds prêts,
les coller sur les poissons.
Il vaut mieux commencer par la queue pour remonter vers la tête pour avoir de jolies écailles bien superposées.
Ensuite, petite touche finale avec le feutre et une gommette oeil (facultatif).
Et voilà, les petits poissons sont prêts et attendent patiemment le 1er avril.
ou
La belle Sardinade
Photographies et recette - Amandine Cooking ©
Voici un gâteau au chocolat déguisé en poisson très facile et rapide à faire
qui ne nécessite pas de matériel particulier, un moule rond et un four suffiront!
- du sucre complet, le pure canne fait tout à fait l'affaire.
- Pour la farine, moitié farine classique et farine complète et un bon compris
(sachant que la complète est riche en fibres il ne faut pas la négliger),
- et on remplace le beurre par de la... courgette !
Rassurez-vous on ne l'a sent pas du tout !
Elle remplace très bien la matière grasse et permet au gâteau d'être hyper moelleux...
Ingrédients: (pour un moule rond de 24cm)
Pour le gâteau:
200g de chocolat noir à pâtisserie
3 oeufs80g de sucre pure canne (à défaut sucre blanc)
50g de farine
+ 50g de farine complète (à défaut 100g de farine)
2 cuil. à café de levure chimique
1 courgette de 200 à 250g
Pour la ganache:
80g de chocolat noir à pâtisserie
50g de crème fraiche
Pour la décoration:
un paquet de barquette au chocolatdes smarties
-- Préparation: --
Préchauffer le four à 180°C.
Faire fondre le chocolat au bain marie.
Fouetter les œufs avec le sucre afin que le mélange devienne un peu mousseux.
Peler et râper la courgette
Ajouter enfin les farines et la levure en mélangeant jusqu'à obtenir une préparation lisse et homogène.
Verser la préparation dans un moule en silicone de préférence (car ce type de moule n'a pas besoin d'être beurré).
Enfourner 20 à 25 minutes.
Laisser refroidir puis démouler.
Découper une petite part du gâteau pour former la bouche, la part sera à placer sur le côté de celui ci en guise de queue.
Préparer la ganache,
dans une casserole faire chauffer la crème avec le chocolat coupé en morceaux en fouettant sans arrêt jusqu'à ce que le chocolat soit fondu et de façon à obtenir une préparation lisse et homogène.
Laisser tiédir.
Une fois la ganache un peu refroidie, l'étaler uniformément sur tout le gâteau,
disposer les barquettes coupées en deux pour faire les écailles et décorer de smarties.
Placer au réfrigérateur 15minutes afin que la ganache durcisse rapidement,
puis conserver à température ambiante, gâteau recouvert de papier aluminium, jusqu'à la dégustation.
-------------------
mais il est généralement admis qu’il est apparu à la suite des changements dans le système calendaire.
Les célébrations du Nouvel An commençaient généralement le 25 Mars et duraient une semaine,
se terminant le 1er Avril.
En 1564, le roi de France Charles IX a ordonné un nouveau calendrier (le calendrier grégorien)
pour remplacer l’ancien calendrier julien.
Le nouveau calendrier célèbre le Nouvel An le 1er janvier.
La France adopte le calendrier réformé et décale le jour de l’an au 1er janvier.
Selon une explication populaire, beaucoup de gens ont refusé d’accepter la nouvelle date,
ou
ne l’ont même pas apprise, et ont continué à célébrer le Nouvel An le 1er Avril.
D’autres personnes ont commencé à se moquer de ces traditionalistes,
leur offrant de faux cadeaux ou leur faisant des blagues.
Finalement, la pratique s’est répandue dans toute l’Europe.
------
Au 16ème siècle les gens avaient pour habitude de s’offrir des cadeaux alimentaires.
Le 1er avril marquait la fin du Carême, période où il était interdit de consommer de la viande chez les chrétiens,
c’est pourquoi ils avaient pour habitude de s’offrir plutôt des poissons et lorsque les blagues ont commencé à faire leur apparition,
la farce la plus courante était d’offrir de faux poissons !!
--------------
Puisse ce souvenir vous sembler doux. »
La tradition consiste à placer un couple de figurines d’argile de taureau sur les toits des maisons avec la véritable conviction que ceux-ci, par leur bravoure, défendront la progéniture, le bétail et apporteront la prospérité au foyer, aux mariages, la fertilité aux ménages et protégeront la maison contre les tremblements de terre ou toute autre force maléfique ....
Taureau de Pukara :
Encore aujourd'hui, c'est une des figures les plus répandues de l'identité andine ...
Des taureaux de céramique diversement colorés sont volontiers offerts au
Pérou pour un mariage, une crémaillère, un anniversaire ...
et leur
couleur revêt une signification différente ...
amour, passion, énergie, harmonie, sagesse, spiritualité ....
joli petit taureau de Pukara.
De couleur crême, il symbolise l'optimisme, le bien-être et la chance ....
Il était une fois... le taureau de Pucará:
"Il y a fort longtemps, une terrible sécheresse s'abattit sur Pukará, un petit village niché dans les Andes,
non loin du lac Titicaca.
Les puits étaient à sec et les habitants souffraient cruellement.
Les paysans décidèrent donc d'offrir un taureau en sacrifice au Dieu Pachakamaq, espérant ainsi obtenir la pluie tant
convoitée.
Voilà donc que les habitants se mettent en procession avec leur taureau pour
monter au rocher de Pucará où se tiendra le sacrifice
rituel.
Le taureau, semblant deviner ce qui l'attend, résiste et se débat et après
forces ruades, il perce le rocher de ses cornes... et
miraculeusement, l'eau jaillit de la roche... une eau pure et abondante qui sauva le
village et hissa le taureau au rang d'animal rituel."
Le symbolisme du taureau de Pucará
Les taureaux de Pucará traditionnels sont peu colorés.
L'argile local leur confère une teinte orangée blanchâtre naturelle, et quelques
ornements y sont peints, généralement en noir et blanc.
Un taureau de Pucará traditionnel doit également posséder huit caractéristiques spécifiques:
Les taureaux de Pucará constituent une très jolie part de l'artisanat péruvien.
Fait main tout autant qu'en manufactures, les taureaux de Pucará modernes sont confectionnés de toutes sortes de
matériaux et se déclinent dans toute une gamme de couleurs vives.
Le symbolisme intrinsèquement attaché à cet icône culturel en fait une
pièce à la fois esthétique et spirituelle, et il semble que des
propriétés spécifiques s'attachent aux taureaux de Pucará en fonction de leur couleur.
- Le taureau de Pucará rouge apportera au couple : l’amour, la passion, la vitalité.
- Le taureau de Pucará jaune représente l’énergie, la bonne chance que recevra la personne qui le possède.
- Le taureau de Pucará vert représente la fertilité, l’équilibre.
- Le taureau de Pucará noir ou violet représente la noblesse, la sagesse, la créativité, la spiritualité
- Le taureau de Pucará crème représente l’optimisme, le bien-être des familles, des couples.
- Le taureau de Pucará bleu symbolise la sérénité, l’harmonie, la fidélité dans le couple.
Maribel Posso Olivares.
Inspirée de la légende du Torito de Pucará,
cette collection en céramique est peinte à la main de motifs floraux et d'ornements dorés, mêlant les inspirations espagnoles et péruviennes.
Le taureau de Pucara est un symbole de la culture andine péruvienne. Il a été fait à la main par des artisans du Pérou.
La tradition au Pérou du taureau de Pucara est de le mettre sur les toits des maison pour donner la joie, bien être et sécurité à la famille que la habite. C'est un excellent cadeau à faire aux amis, la famille pour apporter la joie, la réussite, prospérité dans ses foyers
Deux taureaux posés sur les toits des maisons des hauts plateaux andins…
Tapisserie en laine et soie. Epoque XVIIIè
La tapisserie
est un Tissu fabriqué sur un Métier à Tisser ou bien à la main, dont le Tissage représente des motifs ornementaux.
Le tissage se compose de deux ensembles de fils entrelacés, ceux parallèles à la longueur :
- les Fils de Chaîne
et
ceux parallèles à la largeur :
- les Fils de Trame.
Les fils de chaîne sont mis en place sous tension sur un métier,
et
le fil de trame est transmis par un mouvement mécanique de va-et-vient sur tout ou partie de l'ouvrage.
Souvent la tapisserie est une réalisation textile décorative d'ameublement, se classant dans les Arts Décoratifs .
La tenture murale d'une pièce peut être constituée d'une seule ou d'un ensemble de tapisseries.
Monsieur Honoré Ledoux mettant la touche finale à une tapisserie représentant un chevalier en armure sur son destrier.
L'art de la tapisserie existe depuis l'Antiquité , et beaucoup de peuples l'ont pratiqué :
- Grèce antique ,
- Chine impériale,
- Égypte antique ,
- Civilisations Précolombiennes.
La tapisserie occidentale connaît un essor formidable pendant le XIVe siècle,
illustré par la Tenture de l'Apocalypse commandée par le duc Louis Ier d'Anjou.
'La cuve déborde',
quatrième série, douzième scène, cliché inversé de l’envers, laine, 150 x 249 cm. Présentée depuis 1954 au château d’Angers, la tenture de l’Apocalypse est le plus vaste ensemble médiéval de tapisseries créé et conservé en Occident
Un grand nombre de tapisseries sont parvenues jusqu'à nous directement.
Elles sont parfois grandioses comme :
- la Tenture de La Dame à la Licorne conservée au musée de Cluny,
- la Tenture de David et Bethsabée conservée à Écouen,
Musée national de la Renaissance (Ecouen) :
C'est l'ensemble le plus connu de l'époque Renaissance.
Cette œuvre de grandes dimensions fut tissée à Bruxelles entre 1510 et 1515.
Constituée de dix pièces, elle est longue de 75 mètres et haute de 4,5 mètres (totalisant donc 340 m2). Le nom de ses auteurs demeure inconnu. Il s'agit d'un récit biblique . Le Musée national de la Renaissance expose bien d'autres tapisseries du XVI siècle, provenant de toute l'Europe.
- la Tenture Les Chasses de Maximilien conservée au Musée du Louvre,
Les tentures sont souvent plus modestes.
Certaines tentures sont disponibles en plusieurs séries comme la :
- Tenture de l'Histoire du Roy dont une série complète se trouve au Château de Versailles.
Louis XIV visitant la Manufacture des Gobelins tissée de 1729 à 1734
La tapisserie (ou lice ou lisse) est une œuvre tissée sur un Métier à Tisser à haute lice ou basse lice.
Le tisserand qui effectue le travail s'appelle « licier » ou « lissier ».
La laine
est le matériau principal utilisé pour réaliser une tapisserie.
La laine a été utilisée de préférence grâce à deux qualités :
- elle est facile à teindre
et
- elle conserve bien la chaleur.
On utilise aussi la soie
produite par le ver à soie et qui donne un aspect lumineux à la tapisserie.
Son inconvénient vient de son prix élevé.
Dans les tapisseries les plus riches,
on pouvait mélanger les fils de laine à des fils de soie, voire à des fils d'or ou d'argent.
Les tapisseries étant destinées à décorer les murs, elles sont appréciées pour la richesse de leurs coloris.
Au Moyen Âge,
il n'y avait que très peu de couleurs, toutes d'origine naturelle, souvent à base de plantes tinctoriales.
Le nombre de couleurs disponibles est passé d'une vingtaine au Moyen Âge, à une centaine au XVIIe siècle,
600 un siècle plus tard et aujourd'hui, plusieurs milliers.
Avec les progrès de la chimie à partir du XVIIIe siècle,
le nombre de couleurs s'est accru sensiblement et l'on a pu utiliser des tons de plus en plus fins.
Alors que la tapisserie présentait une forme d'irréalisme en raison du nombre restreint de couleurs,
au XVIIIe siècle, elle parvient à reproduire fidèlement des peintures.
Mais ,
ces premières teintures chimiques étaient très sensibles à la lumière et
les tentures datant de Louis XIV et Louis XV ont des couleurs plus ternes que celles du Moyen Âge.
Au départ est créé un CARTON , qui est l'ébauche en dimensions réelles de la tapisserie.
Le carton est
une sorte de maquette peinte, qui indique la composition, les motifs et les couleurs.
Au départ exécutée par les tapissiers, elle devient une activité à part entière, celle des peintres-cartonniers.
Le carton peut être fait à partir d'une peinture, comme on le voit à partir du XVIe siècle avec la reproduction en tapisseries de tableaux de Raphaël.
peintres cartonniers à Aubusson
Tapisserie d'Aubusson d'Entre Deux, XVIIIème, Aux Volatiles Dans Un Décor De Parc De Chateau
L'Atelier Musée du carton de Tapisserie d'Aubusson est installé au bord de la Creuse dans un élégant châtelet prolongeant le Pont de la Terrade, en plein coeur d’Aubusson, on y découvre la magnifique collection de cartons gouachés de l'Association Am'carta, créés par des peintres cartonniers, collaborateurs indispensables du lissier
Manufacture Robert Four (Aquitaine.Limousin.Poitou-Charentes) Patrimoine Culturel Immatériel de l'Unesco (2009)
Installés le long des rives de la Creuse
www.aubusson-manufacture.com
Entre 1942 et 1992, Dom Robert créera près de cent cinquante cartons de tapisserie, certains extraits ou repris de cartons précédents mais
toujours retravaillés de sa main, la plupart sans maquette préalable. Le« carton » composé à la grandeur d'exécution de la tapisserie est placé sous la chaîne du métier où les lissiers suivent le dessin donné avec exactitude.
L’œuvre tissé de Dom Robert comprend près de cent cinquante cartons originaux, en grande majorité tissés à Aubusson.
« C'est par circonstance que j'ai fait de la tapisserie, c'est par un appel que je suis entré au monastère, c'est de naissance que je
dessine. » Dom Robert
l’œuvre phare de Jean Lurçat dans une exposition spectaculaire
La France lui doit le renouveau de la tapisserie au XXe siècle, qu’il traitait en très grand format comme à son âge d’or, du Moyen Age
aux Lumières, lorsque les rois se déplaçaient avec leurs galeries de laine, roulées comme des tapis dans les chariots de leur suite pour
animer et réchauffer les châteaux.
« La tapisserie, écrit Lurçat, c’est principalement chose d’architecture… C’est un objet et dans son essence
un tissu, dont le devoir est d’habiller un pan de bâtiment à qui, sans cet ornement, eût sans doute manqué un je-ne-sais-quoi de charnu, de
passionnel : de charme pour tout dire. »
A 22 ans, il entre en apprentissage chez Jean-Paul Lafitte, peintre muraliste, pour apprendre la fresque destinée à être vue par tous. Convaincu de l’impact social du street art avant l’heure, il trouvera dans la tapisserie la mobilité qu’il recherche.
Dès la fin des années 1930, la chute des commandes présage la disparition de la production textile des ateliers de basse lisse,
notamment à Aubusson (Creuse), touché de plein fouet avec ses ateliers privés que
Colbert avait élevé au rang de manufactures royales trois siècles plus tôt.
La tapisserie est passée de mode, faute de renouveau.
Les lissiers ne font que reproduire indéfiniment les modèles des « verdures » en vogue au Moyen Age.
Il faut relancer la création.
L’Etat décide de solliciter des artistes contemporains,
- André Lhote,
- Marcel Gromaire,
- Pierre Dubreuil
et
- Jean Lurçat,
sur quatre projets pour enrayer l’inéluctable.
La tenture des Quatre Saisons est la réponse, monumentale,
de Lurçat, qui réalise en 1939 et 1940
des
« cartons » peints à l’échelle un, pour une série de quatre tapisseries (de 3,35 m sur 4,85 m).
Un hymne à la vie, où l’exubérance de la nature jaillit dans des couleurs crues, où le jaune d’un soleil aveuglant et le noir dominent. Cette palette agressive sera sa signature, limitée à quarante nuances numérotées qu’il impose aux lissiers.
personnalités comme Antoine-Marius Martin (directeur de l'École), Marie Cuttoli (collectionneuse et éditrice textile)
y jouent un rôle de premier plan. Mais l’histoire a surtout retenu un nom : le peintre Jean Lurçat, fondateur du renouveau de la tapisserie à partir des années 1940.
La Mémoire des peintres cartonniers à Aubusson dans la Creuse.
Direction le Pont de la Terrade dans Aubusson, pour nous rendre dans la petite boutique de Chantal Chirac, antiquaire, restauratrice de cartons
de Tapisserie (modèle utilisé par le lissier, celui-ci est placé sous lachaine du métier à tisser).
Au départ, Chantal restaurait des tableaux puis a découvert les cartons de Tapisserie par hasard, et là le coup de cœur.
A l'aide de sa tante, restauratrice de tableaux, elles ont mis au point une technique pour entoiler les cartons de Tapisseries et leurs redonnent vie.
Au fil du temps, Chantal a cumulé énormément de cartons, en allant dans les salles des ventes.
On peut trouver dans son atelier toutes sortes de cartons restaurés et où peints, détournés et montés sur châssis en tableaux décoratifs,
paravents... de très belles réalisations, permettant ainsi de conserver ce patrimoine d'une très jolie façon et rend un très bel hommage à tous
ses peintres cartonniers.
Contact : Chantal CHIRAC
Pont de la Terrade - Rue Vaveix - 23200 Aubusson . A découvrir son livre "Cartons de Tapisserie d'Aubusson", Editions Vial, 2010
j'ai beaucoup apprécié vos masques VIOLETTA, je trouve celà très gracieux et d'une élégante beauté, voici un masque réalisé par mes soins plus modeste bien sur que ceux présentés par vous
Somptueux ces opéras et théatres , que de beauté dans tout ce que vous nous proposez